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31 mars 2024 7 31 /03 /mars /2024 13:48


La justice des nations devrait être et rester calquée sur la et les deux justices de Dieu...

suite de >> l'article commencé ici <<
(peut être lu indépendamment)

REMPLACEMENT DES RELIGIONS-SYSTEME PAR LA FOI AU DIEU UNIQUE

La venue de Jésus initia certainement le plus Grand Remplacement de tous les temps !

La première conversion la plus spectaculaire de la religion mosaïque (Loi ou Torah) à la foi en Jésus, en est une illustration des plus parlantes et interpellantes.

Il est un juif religieux vindicatif, grand défenseur de la Loi donnée par Dieu à ses pères : La visitation christique/messianique est si "renversante" que ce Saul (de Tarse) change même son nom et devient l'apôtre Paul. Pour  lire ou écouter le récit de cette rencontre foudroyante avec Jésus ressuscité >> clic ici <<.

Expérience déterminante qui lui fit entre autres écrire à son tour : « C'est une parole certaine et entièrement digne d'être reçue, que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier. » 1 Timothée 1:1

C'est ce dont je témoigne aussi (à mon niveau de grâce et de foi) par ce blog (clic sur Accueil ou ici pour le lire), comme le disent aussi tous chrétiens « nés de Dieu » > selon les termes de son plan de rachat de nos âmes et de rédemption/sublimation consécutive des corps :
« C'est la parole de la foi que nous prêchons : Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut,
11 selon ce que dit l'Ecriture : Quiconque croit en lui ne sera point confus. » Livre aux Romains 10.8 - Quelle merveille de savoir et de pouvoir confesser ses péchés pour sortir libéré de leurs effets nocifs...

Article >> ici, sur la naissance spirituelle >>

ORIGINE ET PERMANENCE DE LA VERTU SPIRITUELLE ETERNELE DU SACRIFICE DE JÉSUS

Lorsque le Dieu-qui-ne-change-pas... dit à Moïse d'instituer Pessah, la Pâque en l'honneur de l'Eternel (par l'obéissance des participants), il est en fait en train de rappeler le fondement oublié central qui régit la relation avec Dieu, oublié au fil de 430 ans de séjour au sein de la culture polythéiste/animiste égyptienne qui en a fait des israélites des seclaves.

Un fondement qui est l'unique moyen pour tous les humains et en tous temps, pour établir ou maintenir, trouver ou retrouver, une relation vivante (communion, connexion) avec Dieu (ce qu'on appelle rédemption, réconciliation, rachat, pardon, grâce...).

On trouve l'origine première de ce moyen dans le jardin (dit d'Eden = des Délices) organisé par Dieu comme modèle du champ de l'activité humaine basique, savoir premièrement travailler pour se nourrir par notre propre travail.

A ce moment, Satan - l'ange sorti de son rang béni en voulant se faire égal au Créateur – est parvenu à s'introduire dans le jardin des Délices sans susciter d'opposition.
C'est au point où il est devenu, par sa ruse, maître – dieu – de la planète Terre >> lire ou écouter ici ce récit révélé par Dieu via le 3e chapitre du livre 1er de la Bible <<.

On lit dans ce passge une phrase concise mais pleine de signification (comme Dieu en a beaucoup, qui nous invite en même temps qu'elle informe à réfléchir, méditer, chercher à comprendre de quoi il s'agit) : « L'Eternel Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit. ».

Ainsi la chute devant la ruse satanique de ce couple - en qui sont toutes les générations à venir, jusqu'à nous -, ouvre pour la planète « l'ère des sacrifices », à la fois comme conséquence du mal et comme moyen de le réparer.

BASE DE LA JUSTICE DIVINE

Ce principe est expliqué à Moïse, des le 3e livre de la Bible : Adam et sa femme sont morts spirituellement en écoutant et croyant le serpent/Satan.
Pour les restaurer dans leur relation (originelle, spirituelle) avec Dieu, une autre créature, innocente, tiers médiateur, doit mourir : C'est le principe de la justice légale de Dieu qui dit « Oeil pour œil, dent pour dent, mort pour mort, vie pour vie. »


Ainsi eurent lieu en Eden, de la part de Dieu, les sacrifices de deux agneaux, pour couvrir la honte et autres effets des transgresseurs.
Tuer, parce que dit Dieu, « la vie
(de l'âme) est (émerge, prend naissance) dans le sang (comme une émanation, de nature psychique) ». De la sorte la mort physique d'un animal se substitue à la mort spirituelle d'un fauteur.


C'est pourquoi à la suite, par toutes les religions par toute la planète, ont été offerts des sacrifices sanglants pour le péché, pour couvrir (effacer) les fautes et leurs conséquences, afin que se rallume, se ranime en nous, l'esprit qui apporte sa divine lumière à l'âme égarée.

Le Dieu-qui-a-de-la-suite-dans-les-idées-et-dans-ses-plans) vient ranimer très régulièrement le souvenir de ce principe de vie, dont l'effet est toujours bénéfiquement agissant pour qui le sait et l'invoque.
A l'opposi ne pas savoir ou abandonner laa mise en oeuvre de ce moyen de restauration de la justice sur nos vies, nous laisse livrer à diverses dynamisations mauvaises (sur le corps ou sur l'âme, par léefet de lois morales ou d'actions démoniaques).

C'est le vrai et on ne peut plus prsent drame pour l'âme individuelle et pour les sociétés humaines ignorantes de cette profondeur de la vie qu'on a reçue.

Voilà ce que rappelle en ce moment-même les fêtes de Pâques, sur deux plans d'effets différents.

A - La première (appelée La Pâque) rappelle aux juifs que leurs ancêtres devenus esclaves en Egypte en furent délivrés par la puissance agissante de Dieu qui permit à plus de deux millions de personnes de traverser la Mer Rouge à pieds secs.


Fête-souvenir qui n'a pas en elle-même l'effet profond d'alors, où le sang versé leur offrait la protection divine et une délivrance en conséquence de leur obéissance (la notion et conscience de péché, de bien et de mal, ne leur avaient pas encore été révélés) : Dieu pardonner par l'obéissance, ce qui est le principe de tout système religieux... et en même un moyen puissant pour convaincre tout homme/femme deêtre infidèles, puisque personne n'a la capacité d'obéir à tout ce que demande une religion...
D'où il ne peut résulter d'un tel système gourverneur de notre existence que de se conduire en hypocrite, en celui/celle qui fait semblant, ou en déprimé, triste, sans vie, tant le poids de la religion qu'on ne peut suivre nous abat... (3e réaction, on abandonne de croire, on apostasie...).

Or, la pratique non rituelle mais effective du sacrifice pour obtenir la grâce de Dieu est toujours de mise. Du moins si on veut aimer Dieu, lui plaire, se sentir bien dans notre relation avec lui.

En d'autres termes, pour rétablir notre relation avec Dieu coupée par une transgression, il y a toujours besoin du sang d'un animal innocent versé comme prix de chaque faute, de chaque « acte manqué » (sens du mot péché) pour en faire « l'expiation » (l'effacement, en être lavé, purifié).

> RELIGION = voie sans issue côté Ciel !

Aussi voilà pourquoi le repas pascal commémoratif du judaïsme (le seder) est surtout plus une image fnatastique (prophétique d'un autre vénement à venir, et venu), qu'une réalité puissante (en joie, en allégresse) par sa commémoration :
CHANGEMENT DE "PARDIGME" OU LA TRANSITION (TOUJOURS) NECESSIRE

Après 4 siècles de relations très houleuses avec leur Dieu (qui a cessé de parler), et par conséquence avec leurs ennemis (les opprimant en jugement de leurs désobéissances), le temps est venu de changer de voie de communication, de réconciliation, de relation spirituelle entre les terrestres que nous sommes et Le Céleste qu'Il est.

Il s'agit d'un meilleur moyen pour bien mieux assurer un effet salutaire à sa solution face à notre séparation (immédiate et éternelle) d'avec lui (qui est la source et le don et le détenteur exclusif du Bien qui ne s'nterrompt pas).

La règle du salut est donc désormais (depuis 2 000 ans pour tous), la délivrance de l'esclave du péché par la foi en la personne de Jésus (Yeshoua en son nom hébreu), Messie oint (Christ) divin, car il a été, et il est toujours,l'« Agneau de Dieu » venu prendre sur lui le péché/le mal du monde.
 

B - La fête célébrée par les chrétiens est donc appelée PâqueS, car elle englobe la précédente et l'événement qui à hangé la Pâque matérielle en une Pâque spiriuelle, où ce ne sont plus les corps seulement qui sont secourus et seront ressuscités, mais les capacités des âmes (de cognition, de sensibilité, de volonté (mal éclairée...) qui peuvent être reconditioonée pour la paix, l'amour et un bonheur qui n'aura pas de fin.

Ce qui se vit dans une condition comme foetale maintenant sur cette Terre, mais sera pleinement révélé et accompli dans la création célesto-terrestre qui suivra celle-ci...

Pour entrer dans ce plan nouveau des deux millénaires passés, plus bsoin de quantités de pratiques ritualistes, d'efforts insoutenables, de mortifications, de travail de développement sans effet notoire... Mais la foi comme orgne majeur de notre rédemption.
La foi en Celui seul qui a réussi à pbéir en tous points à la religion mosaïque, perfection qui lui a valu la jalousie, la convoitise, la haine des chefs religieux, au point où n'y tenant plus, ils l'ont arrêté et fait exécuter... par d'autres !

Dès lors, le rite des sacrifices d'animaux cessent, et comme les tznants de la religion ne le comprennent pas, Dieu fait détruire leur Temple (de Jérusalem, en 70), où les sacrifices devaient se faire.

Etcen'est pas du tout une nouvelle religion qui paraît, que Dieu donnerait, mais un nouveau chemin pour rejoindre Dieu ("en esprit et en vérité") de la manière la plus sécurisé, simple et accessible au plus grand nombre.

 

 

 

 

 

Elle est particulièrement active pour quiconque croit que Jésus est venu s'offrir comme un angneau au sang pur, faisant cesser dès lors toute la nécessité des sacrifices d'animaux, puisqu'il a été fait et péché et sacrtifice toujours actif pour qui le croit :
Rendu semblable aux pécheurs que nous sommes et fait sacrifice sanglant pour supporter à la place de tous – réellement au plan historique et potentiellement au plan spirituel - l'essentiel des souffrances qu'un être humain puisse subir, mort comprise.

Jésus est de la sorte l'accomplissement vivant offert une fois pour toutes,
- du bélier vu par Abraham à Morija, retenu à un buisson par ses cornes (attaché donc par Dieu à ses forces d'obéissance et de rédemption). >>lire ou écouter ce passge où Abraham prophétise en appelant ce lieu « Yawhé Jiré », ce qui signifie « le Dieu-Eternel pourvoira »...
Il pourvoira pour que les fils (et filles) des hommes ne soient pas tués, mis à mort spirituellement, par Satan qui veut déspiritualiser le genre humain pour en faire son bétail, un troupeau marqué par son nombre (666) avec qui il peut faire n'importe quoi... Genèse 22 << ;

- de l'agneau pascal institué sous Moïse à la sortie d'Egypte


- de tous les sacrifices sanglants anciens réclamés originellement par Dieu et encore pratiqués symboliquement de manière religieuse, la Bible appelant ces choses « l'ombre des réalités à venir », savoir le Christ Jésus venu changer le paradigme de la justice divine, ses exigences légales par sa grâce (comme présidentielle).
Grâce en ce que c'est la foi en ce Sauveur qui devient le levier premier, le pivot fondamental de la relation à Dieu, en lieu et place des efforts d'une obéissance religieuse servile qui ne satisfait ni qui cherche à la pratiquer ni Dieu.


La fête de Pâque est donc devenus pour les chrétiens enfants de Dieu (comme écrit au chapitre 3 de La Bonne Nouvelle de l'Evangile délivrée par Jean) une fête complète (groupant les deux catégories de fête, mémoriale et actualisée.

C'est la foi en la vertu permanente – hors du temps, éternelle – du sang du sacrifice (christique/messianique) – qui le rend actif quand il est invoqué.

Et pour donner à cette réalité éminemment spirituelle plus tangible pour lescroyants, Jésus a institué ce qu'on appelle « la sainte-cène »ou « repas du Seigneur »**, où
- le vin figure son sang versé pour le pardon des fautes dont la vertu est de se permettre à la vie spirituelle qu'elles arrêtent de reprendre son cours de Dieu à nous et inversement,
- et le pain rompu pour être partagé représente son corps donné afin que le croyant devient et soi cellule ou pierre vivante d'un édifice spirituel fantastique appelé « le Corps de Christ », qui est son Epouse (mystique éternelle), sa vigne en travail ou encore son Eglise (véritable) en tant que rasemblement vivant unique par Dieu du genre humain qu'il soustrait à la domination de Satan.

«Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu. » 2Corinthiens 5.17
Cela pour que le croyant puisse recevoir de Dieu une portion (les arrhes) de son Esprit : C'est lui qui la vie éternelle qui nous fait sortir de la mort spirituelle, échapper à la mort psychique (de l'âme siège de notre conscience de soi) et va transformer notre corps mortel en un corps nouveau incorruptible, aux capacités bien plus élargies, ce qui se vivra après la fin de ce monde dans une création (un univers) tout nouveau, sans mal et sans fin... >> lire ou écouter ici les 2 dernières chapitres de l'Apocalypse <<

« Car le salaire du péché, c'est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. » Romains 6.23  

Pour vous aider si besoin, ici >> une page-guide de prières (efficaces) pour se mettre en ordre et en paix son existence face à Dieu et recevoir sa Grâce <<.
Un contact téléphonique est aussi possible en vous faisant connaître par le bouton Contact, me donnant votre numméro de téléphone et si vous êtes en France (u ailleurs.

_____________
* Cependant toutes les libertés prises ne sont pas forcémnt bonnes, réellement libératrices ; on parle de libertés liberticides.Elles sont un basculement du type « aller de Charybde en Scyla », d'un mal dont on sort pour tomber dans un mal plus grand (plus contraignant encore, jusqu'à un esclavage sévère ou addiction).

** Avec le commadement d'Aimer, comme synthèse de tous les commadements divins, Jésus a simplifié au maximum les obligations à caractère rituel, avec seulement l'obligation du baptême - comme signe physique de l'invisible intérieur qu'est la naissance spirituelle (Jean 1.12, 13 et chap. 3 – 1 Pierre 3:21 ) - et l'invitation à rappeler par la sainte-cène ou repas du Seigneur la mort du Christ Jésus « jusqu'à ce qu'il (re)vienne » - ce qui approche très vite (1 Corinthiens 11:23 etc...).

Des témoignages des effets parfois fulgurants sur nos vies aujourd'hui :

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23 juin 2017 5 23 /06 /juin /2017 07:21

Les lois religieuses comme celle de notre conscience morale
sont avec la loi amorale qui habite notre âme
comme chien et chat :
une dualité antagonique que ne peut résoudre qu'une transcendance... divine.

suite de l'article commencé ici

Ainsi une forme de notre vie en société - le plus souvent héritée, traditionnelle plus que vivante et vivifiante en elle-même - est appelée à être dépassée, non par l'abandon (apostasie) ou l'agnosticisme ou l'athéisme ! - mais par notre réponse à une meilleure offre faite par Dieu lui-même.

C'est ce qu'avait compris Descartes, qui nous l'a dit depuis longtemps ainsi : "Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire tout à nouveau tout le système de ses connaissances."
Ce qui est vrai
- qu'on soit né et qu'on ait été (comme lui) formaté sous une loi religieuse (n'importe laquelle),
- ou qu'on ait été fabriqué par une culture fondée sur l'incroyance - dont l'essentiel est existentiellement  absurde, comme l'a conclu Jean-Paul Sartre*.

  
QUELLE POSSIBILITÉ DE SORTIE !?
Bien différemment donc que
- de suivre une loi religieuse de manière laborieuse et ingrate (ce qui n'apporte jamais la paix et une relation sensible avec Dieu)
- ou de transgresser sans cesse sa propre conscience (jusqu'à dramatiquement finir par la faire taire),
ce que Dieu nous offre comme substitut à ces deux cas d'échec, c'est que nous passions
     - de la domination du péché qui nous habite - loi amorale s'il en est - (comme on l'a compris)
     - à sa grâce libératrice - ce qui est d'un tout autre ordre. C'est une toute autre expression de la justice divine dont dans tous les on ne peut pas se départir...
Là où la loi ne fait que réclamer de nous, sans nous procurer la force nécessaire pour tenir dans le bien, la grâce de Dieu et son acceptation de notre part vont nous donner accès à la force qui nous manque pour une vie honnête et sans faux-semblants, par une communication - don, gratuit, enthousiaste - de l'Esprit même de Dieu.

Comment cette transition - énergétique pourrait-on dire - se passe-t-elle? La suite du dernier verset cité nous le dit : "...nous étions sous l'esclavage des rudiments du monde.4 mais, lorsque les temps ont été accomplis, Dieu a envoyé son Fils, né d'une femme, né sous la loi,5 afin qu'il rachetât ceux qui étaient sous la loi, afin que nous puissions recevoir l'adoption de Dieu."

Pour recevoir Jésus comme la Parole de Dieu faite chair afin de nous délivrer de la puissance du péché et du diable, il faut que nous soyons arrivé personnellement au terme de la démarche religieuse, savoir réaliser que par notre religion nous ne pouvons atteindre Dieu, le satisfaire, lui plaire, entrer dans son ciel éternel et ses projets pour aujourd'hui et futurs...
C'est ce que signifie le verset lu plus haut : "Par la loi que je suis mort à la loi, afin de vivre pour Dieu."
Car on ne veut vivre sous deux types de justice ! On ne peut servir deux maîtres à la fois. Ce qui nous est encore expliqué ainsi :
"Ignorez-vous, frères, - car je parle à des gens qui connaissent la loi -, que la loi (notre religion) exerce son pouvoir sur l'homme aussi longtemps qu'il vit ?2 Ainsi, une femme mariée est liée par la loi à son mari tant qu'il est vivant ; mais si le mari meurt, elle est dégagée de la loi qui la liait à son mari.3 Si donc, du vivant de son mari, elle devient la femme d'un autre homme, elle sera appelée adultère ; mais si le mari meurt, elle est affranchie de la loi, de sorte qu'elle n'est point adultère en devenant la femme d'un autre.4 De même, mes frères, vous aussi vous avez été, par le corps de Christ, mis à mort en ce qui concerne la loi, pour que vous apparteniez à un autre, à celui qui est ressuscité des morts, afin que nous portions des fruits pour Dieu.5 Car, lorsque nous étions dans la chair, les passions des péchés provoquées par la loi agissaient dans nos membres, de sorte que nous portions des fruits pour la mort.6 Mais maintenant, nous avons été dégagés de la loi, étant morts à cette loi sous laquelle nous étions retenus, de sorte que nous servons dans un esprit nouveau, et non selon la lettre qui a vieilli."

2 - LA FOI VÉRITABLE DÉPASSE ET ENGLOUTIT LES RELIGIOSITÉS SPIRITUELLEMENT INOPÉRANTES
Cet autre fondement de Justice Divine, celui de la grâce avec pardon effectif de toutes nos fautes quand nous tombons (offenses, transgressions, péchés, travers, dépendances, pratiques perverses...), s'appuie non plus sur nos oeuvres, mais sur ce que nous croyons, concernant Dieu et ce qu'il a fait pour nous faire échapper à la justice religieuse dont les démons et Satan sont souvent les agents d'exécution iniques et les principaux bénéficiaires.

Ainsi lisons-nous : "C'est par la loi que je suis mort à la loi, afin de vivre pour Dieu."
Ce qui pose le fondement nouveau :
     a) sur le seul mérite de ce que Jésus a fait quand, de Parole éternelle de Dieu, il est venu prendre vie dans une chair semblable à la nôtre, pour mourir à notre place.
Non plus loi du talion - qu'il a acceptée de laisser complétement tombée sur lui plutôt que sur nous tous -, mais loi de substitution, d'expiation et de propitiation. C'est la justice rédemptrice qui se substitue à l'ordinaire universel ; qui nous offre comme un asile, une tour de défense, la solution légale qui libère des légalismes impossibles à vivre correctement... sans la réception et force du seul Esprit saint...

     b) sur notre foi toute personnelle en Jésus-Christ.
"Que dirons-nous donc ? Les païens, qui ne cherchaient pas la justice, ont obtenu la justice, la justice qui vient de la foi,31 tandis qu'Israël (et tous ceux qui pratiquent religieusement), qui cherchait une loi de justice, n'est pas parvenu à cette loi.32 Pourquoi ? Parce qu'Israël (et d'autres religions à la suite) l'a cherchée, non par la foi, mais comme provenant des oeuvres. Ils se sont heurtés contre la pierre d'achoppement,33 selon qu'il est écrit : Voici, je mets en Sion une pierre d'achoppement Et un rocher de scandale (Yeshoua, Jésus), Et celui qui croit en lui ne sera point confus."

"Car chose impossible à la loi, - parce que la chair la rendait sans force -, Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché,4 et cela afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'esprit.5 Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l'esprit s'affectionnent aux choses de l'esprit.6 Et l'affection de la chair, c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la paix ;7 car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu'elle ne le peut même pas."

"Car Christ est la fin de la loi, pour la justification de tous ceux qui croient.5 En effet, Moïse définit ainsi la justice qui vient de la loi : L'homme qui mettra ces choses en pratique vivra par elles.6 Mais voici comment parle la justice qui vient de la foi : Ne dis pas en ton coeur : Qui montera au ciel ? c'est en faire descendre Christ ;7 ou : Qui descendra dans l'abîme ? c'est faire remonter Christ d'entre les morts.8 Que dit-elle donc ? La parole est près de toi, dans ta bouche et dans ton coeur. Or, c'est la parole de la foi, que nous prêchons.9 Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé.10 Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut, selon ce que dit l'Écriture :11 Quiconque croit en lui ne sera point confus.12 Il n'y a aucune différence, en effet, entre le Juif et le Grec (toutes les ethnies), puisqu'ils ont tous un même Seigneur, qui est riche pour tous ceux qui l'invoquent.13 Car quiconque invoquera le nom du Seigneur sera sauvé."

On appelle cet aspect de notre relation avec Dieu la justification, ce qui signifie que notre foi en qui est Jésus et en ce qu'il a fait pour nous en donnant sa vie, nous rend juste... sans que nous ayant sans cesse à vouloir l'être par nos propres efforts.
La Bible présente Abraham comme étant le "père de la foi", c'est-à-dire le premier des êtres humains qui fut considéré juste par Dieu en raison de sa foi. Ainsi de la même manière chaque chrétien peut plaire à Dieu - devenir héritier de sa vie éternelle - de la même façon qu'Abraham crut, comme il est expliqué ici :
"Les héritiers le sont par la foi, pour que ce soit par grâce, afin que la promesse soit assurée à toute la postérité, non seulement à celle qui est sous la loi, mais aussi à celle qui a la foi d'Abraham, notre père à tous, selon qu'il est écrit :17 Je t'ai établi père d'un grand nombre de nations. Il est notre père devant celui auquel il a cru, Dieu, qui donne la vie aux morts, et qui appelle les choses qui ne sont point comme si elles étaient.18 Espérant contre toute espérance, il crut, en sorte qu'il devint père d'un grand nombre de nations, selon ce qui lui avait été dit : Telle sera ta postérité.19 Et, sans faiblir dans la foi, il ne considéra point que son corps était déjà usé, puisqu'il avait près de cent ans, et que Sara n'était plus en état d'avoir des enfants.20 Il ne douta point, par incrédulité, au sujet de la promesse de Dieu ; mais il fut fortifié par la foi, donnant gloire à Dieu,21 et ayant la pleine conviction que ce qu'il promet il peut aussi l'accomplir.22 C'est pourquoi cela lui fut imputé à justice.23 Mais ce n'est pas à cause de lui seul qu'il est écrit que cela lui fut imputé ;24 c'est encore à cause de nous, à qui cela sera imputé, à nous qui croyons en celui qui a ressuscité des morts Jésus notre Seigneur,25 lequel a été livré pour nos offenses, et est ressuscité pour notre justification."

Après quoi, nous avons à rester saint-e - ce qu'a fait de nous le pardon de nos péchés -. C'est alors ce qui s'appelle la sanctification.

c) La sanctification est complémentairement la façon dont nous vivons dans ce monde sans nous (laisser) séparer de Dieu. Elle dépend de ce que Dieu a fait pour nous ET de notre façon de vivre "en nouveauté de vie", sous ou dans l'influence de l'Esprit et non plus sous et dans la domination de la loi du péché qui procure la mort (spirituelle).
La bonne mesure ou l'étalon de la marche avec Christ :
"Ne jugez point, afin que vous ne soyez point jugés.2 Car on vous jugera du jugement dont vous jugez, et l'on vous mesurera avec la mesure dont vous mesurez.3 Pourquoi vois-tu la paille qui est dans l'oeil de ton frère, et n'aperçois-tu pas la poutre qui est dans ton oeil ?4 Ou comment peux-tu dire à ton frère : Laisse-moi ôter une paille de ton oeil, toi qui as une poutre dans le tien ?"

Règle effet boomerang : "O homme, qui que tu sois, toi qui juges, tu es donc inexcusable ; car, en jugeant les autres, tu te condamnes toi-même, puisque toi qui juges, tu fais les mêmes choses."

"Je me suis tenu en garde contre mon iniquité.24 (18 : 25) Aussi l'Éternel m'a rendu selon ma droiture, Selon la
pureté de mes mains devant ses yeux.
25 (18 : 26) Avec celui qui est bon tu te montres bon, Avec l'homme droit tu agis selon la droiture,26 (18 : 27) Avec celui qui est pur tu te montres pur, Et avec le pervers tu agis selon sa perversité.27 (18 : 28) Tu sauves le peuple qui s'humilie, Et tu abaisses les regards hautains."

COMMENT JÉSUS A-T-IL FAIT CHANGER LE RÉGIME ET L'EXERCICE DE LA JUSTICE DE DIEU ?
En se substituant à celle qui se fondait sur les pratiques ou oeuvres d'obéissance. Il a accompli une oeuvre exceptionnelle, unique, inimitable, parfaite, comme on va le lire à la suite.

à suivre...

Venez à Jésus pour être sauvé-e et gardé-e et conduit-e.
Que sa bénédiction en ce jour vous soit partagée de manière sensible.

___________
* JP Sartre dut convenir du pourquoi de l'absurde - et donc aussi de l'absurdité de sa propre philosophie - : "L'univers sans raison d'être, sans Dieu, est absurde dans son ensemble et dans ses parties."

 

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