On a tous besoin un jour ou l'autre d'un secours qui dépasse nos propres capacités.
Cela peut aller du plombier au médecin, d'une écoute à une opération chirurgicale... Et puis notre besoin peut aller jusqu'à savoir si un Dieu existe vraiment, et s'il peut quelque chose pour moi.
Eh bien oui, je vous l'assure ! Pour l'expérimenter depuis maintenant presque 40 ans (après avoir été indifférent à tout ce qui est religieux ou spirituel), je vous assure qu'il y a un Dieu vivant, créateur des cieux et de la terre, des fleurs, des animaux, du genre humain... qui est aussi un secours (rédempteur, sauveur) dans les (grandes) difficultés. (voir mon témoignage en cliquant sur Accueil).
Dieu exceptionnel, unique, secours toujours accessible dès lors qu'on le sait et qu'on le croit.
Il est celui qui parle et notamment a mis à notre portée, pour nos yeux, à nos oreilles, ce qu'il veut de plus essentiel qu'on sache.
Voici un passage qui peut devenir pour vous comme une véritable bouée de sauvetage si vous êtes (bien) mal... et si vous voulez le croire:
Lisez et relisez, ou écoutez (en cliquant sur le texte puis sur le casque à gauche du titre), chercher ce que vous voulez prendre pour vous comme appui, comme affirmation que l'écrivain inspiré pose là comme objet de la foi. Vous pouvez vouloir que le "nous" au début soit remplacé par "moi".
Il est écrit par ailleurs que "la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ."
Et la parole de Christ signifie les évangiles et autres écrits qui forment ensemble l'Evangile de Jésus-Christ ou Nouveau Testament (2e partie de la Bible).
C'est là (entre autres) qu'on peut, seul-e avec Dieu, el lisant et en croyant, faire des expériences avec lui.
Car plus encore que croire en Dieu, ce qui est important et donne d'avoir une foi solide et efficace jusque dans les difficultés, c'est croire Dieu. Croire ce qu'il dit.
"Le bonheur dépend moins de ce que nous avons que de ce que nous n'avons pas."
Mon partage là-dessus un jour prochain...
En attendant bonne recherche de solution pour trouver une paix intérieure durable, même et surtout en cette période. (les articles ne manquent pas ici pour toucher au but: entrer dans le sens de notre présence ici).
La Bible, un livre souvent écrit
au cœur des tourmentes, des confinements*, scellée par le sang, la souffrance et la foi victorieuse.
Il devient paroles vivantes, lampe et lumière, semence, nourriture, eaux vives, pluie rafraîchissante, marteau, épée, miroir, feu ou puissance, quand il est ouvert et lu ou écouté. Qu'il soit papier ou numérique, jugez vous-même de ces écritures sans compromis au pouvoir surnaturel.
___________________________ * Confinement du peuple de Jacob devenu jusqu'à Moïse esclave en Égypte - de plusieurs prophètes déportés et exilés en Babylonie ou Assyrie - de la nation israélite occupée par l'Empire romain - de 120 disciples entre Pâques et Pentecôte - des apôtres Paul (prisonnier à Rome) ou Jean (exilé sur l'île de Patmos)...
AVEZ-VOUS UNE IDÉE DE CE QU'EST L'ÉVANGILE ?
Du grec evangelion, qui signifie Bonne nouvelle
L'Évangile est la bonne nouvelle, faite de quatre parties très particulières,
- que Dieu (le seul véritable) s'est incarné en prenant forme humaine,
- que cet homme (Jésus) est mort crucifié,
- qu'il est ressuscité d'entre les morts,
- et qu'il va revenir (selon des promesses).
A chacune de ses étapes, il y a une raison (une cause en amont) et un ou des effets (consécutifs). Tout cela peut (et veut, désire) être en rapport direct (étroit, vivant, intime) avec chacun de nous.
Tel est l'essentiel, tenu en suspens dans le temps depuis presque 2 000 ans... à la manière du pompon d'un manège aux chevaux de bois et au camion de pompiers, agité et à attraper pour gagner un nouveau tour.
Avec Dieu le gain possible c'est un super merveilleux nouveau tour: la vie éternelle (notre éternisation) qui nous sort (de la domination) du mal...
Ce projet (rédempteur) divn, se dit avec des mots et des phrases, des pensées, des rapports, des affirmations et promesses qui sont par essence d'un pays (d'un Royaume) étranger - qui est un peu comme la face cachée de la lune, existant dans un autre versant, invisible mais accessible quand même, de ce monde où ne se voit (de prime abord) que ce qui est matériel.
Alors lisons, écoutons, entendons et saisissons ce que sont ces 4 points qui fondent cette Bonne Nouvelle qu'est l'Évangile du Christ.
(Tous les textes en vert sont de ces paroles du Royaume de Dieu, à la fois permanent et en cours de création. Chacune est en lien: par un clic, vous pouvez les retrouver sur la toile avec leurs références bibliques).
Or Dieu seul est à adorer. Nous n'avons pas à adorer, c'est-à-dire à nous prosterner, à nous mettre à genoux de nous-même, devant aucune créature (et à plus forte raison devant une statue): c'est de l'idolâtrie - ce que Dieu abhorre et condamne (> voir les 2 premiers des 10 commandements).
Voilà donc Jésus décrit comme étant un être humain (pleinement), et comme étant Dieu, juste différemment qu'il ne l'était avant son incarnation.
2 - POURQUOI CET HOMME, JÉSUS, EST-IL MORT ?
Il est évident que Dieu ne peut pas mourir - il est vie éternellement. C'est pourquoi il retire de Jésus son Esprit quand celui-ci prend réellement la place de nous tous (êtres pécheurs, séparés de Dieu), quand il est élevé sur une croix.
Dieu le laisse alors comme un simple être humain (physiologique et psychique, ensemble corps et âme privé de la dimension spirituelle, qui est de Dieu).
EFFET POSSIBLE (POTENTIEL) DE LA MORT DE JÉSUS... PAR (LE MOYEN) DE LA FOI
Au moment d'expirer, Jésus dit: "Tout est accompli".
Du côté de Dieu donc, tout est fait pour que nos péchés puissent être pardonnés, pour que notre âme échappe au diable, au séjour des morts post-mortem, et à la perdition éternelle dans l'étang ardent de feu et de soufre (la géhenne ou enfer).
Pour que cette potentialité qui fit dire à Jean-Baptiste voyant Jésus venir à lui "Voici l'Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde" soit activé dans nos vies à chacun, nous avons à y ajouter la foi, notre foi. Notre part est donc de croire en Dieu et de croire en Jésus en tant que ce don unique de Dieu comme Sauveur sacrifié pour notre sauvetage de tout mal.
L'histoire biblique, l'histoire de Jésus et les nôtres ne s'arrêtent pas à ce commencement de la vie de Jésus et de la naissance de l'Église.
Savez-vous que cela peut maintenant encore s'écrire au plus profond de notre être - du vôtre ?
Comment ? En recevant en nous l'Esprit même de Dieu, qui est la vie éternelle, désireux de nous conduire dès ici et en ce temps, jusque dans le Royaume éternel magnifique du Dieu vivant.
Pour vivre donc déjà une vie avec Dieu (qui change fondamentalement tout), et pour connaître (expérimenter de la bonne manière) ce qu'on va voir ensuite, le retour de Jésus, il convient premièrement d'avoir fait la paix avec Dieu par le regret de notre existence passée (qui n'a pas tenu compte de la réalité de Dieu) et par le pardon de nos péchés.
Ce pardon résulte d'un positionnement personnel devant Dieu, fait de regret du mal fait, de la repentance, de la confession à Dieu, et de la réception en retour de l'Esprit de Dieu en nous.
Ici une aide de prière en lien qui permet de vérifier ou de formaliser une vraie relation avec Dieu.
4 - JÉSUS DOIT REVENIR.... TRÈS BIENTÔT...
Que pouvons-nous savoir du retour de Jésus ?
Le Dieu éternel en sa tri-unité a préparé pour ceux qui acceptent humblement d'être ses enfants par la foi, une seconde création qui ne finira jamais, exempte de tout mal, où l'amour régnera entre tous et où la justice sera automatique (comme l'annonce par exemplel'Apocalypse chap. 21.
Enfin retour, 2e venue de Jésus, "très bientôt". C'est une expression de la Bible qui veut dire que Dieu ne tarde pas dans l'accomplissement de ses promesses, et donc que Jésus reviendra au jour et à l'heure que Dieu décrétera.
"très bientôt" veut plus précisément dire, en ces jours de début du 3e millénaire christique, sans plus beaucoup d'années à attendre. En cela Jésus (et autres prophètes) a donné des repères, indiqué des signes précurseurs de son retour. Une recherche et étude très intéressantes... que je vous invite à faire, dans l'amour de la vérité, en vous aidant des moyens (nombreux) que peuvent fournir les librairies chrétiennes et des sites et blogs de l'internet.
Bonne marche sur le chemin qu'est Christ, qui ne mène peut-être pas à Rome, mais bien certainement jusqu'à la "Jérusalem céleste", capitale de la prochaine création.
La foi en l'homme - en nous-même ou en d'autres - fond.
L'espoir humain est une béquille qui se casse.
Ce temps crépusculaire nous amème
Les jeux sont faits !?
Par nos comportements coupables, arrogants, pervers, anti-Dieu, nous avons mis le comble à nos insolences, et globalement, collectivement,
on a perdu la main.
La folie serait maintenant de croire à un retour à la normale.
Notre normalité civilisationnelle est la cause de la crise planétaire
qui nous englobe.
Nos normalités (économiques, idéologiques, religieuses, morales...) sont devenues un consensus normatif souillé, utopique, chimérique, vulnérable à "l'effet papillon" (loi d'imprévisibilité mise à jour par E. Lorenz), inconduisible.
A vouloir vivre sans Dieu, d'Europe en Chine, on s'est attirés un jugement qui ne laisse plus de place à nos caprices et choix imposés par nos ego.
LES PROPHÉTIES BIBLIQUES S'ACCOMPLISSENT TOUJOURS
Dans la chronologie biblique apocalyptique, il reste une petite fenêtre (de très peu d'années) où un pseudo-sauveur va paraître pour relancer les économies... et les idéologies... comme ce fut dans les années 30 en Allemagne - car l'histoire se répète selon un procédé pédagogique autant que causal -.
Ce sera le pire mal... se présentant comme un bien miraculeux...
On est donc avertis, par l'histoire (ancienne et récente) et par la Bible depuis longtemps. C'est pourquoi il ne faut pas attendre demain une reprise bienheureuse, à l'identique, ou une suite seulement fatale et déprimante,
en restant maintenant laxiste ou impatient.
Le temps est à un positionnement personnel de fond.
Entre les erreurs, les mensonges, l'ignorance, les demi-vérités,
et les vérités vraies, immuables, universellement objectives en elles-mêmes,
un choix déterminant est à opérer. Tout retard pris - comme face au covid - risque de nous coûter (très) cher.
C'est l'amour et la patience de Dieu qui permettent encore ce temps à part.
Qu'on soit membres de corps de métiers hyper-sollicités en première ligne,
des politiques format la seconde ligne, ou des confinés lambda
sur les lignes arrières, ce temps est appel à interrogation.
...Exactement comme eut à faire le fils prodigue d'une parabole qui n'a pas fini de nous parler (ne manquez pas de la lire ou écouter ici).
Interrogation, entrée en soi-même, en vue de prendre une grande décision:
Dans ce monde que dominent les injustices, les contraintes, les extravagances faussement prometteuses et novices, soit nos restons coincés ensemble, insécurisés ensemble, à l'étroit dans nos situations personnelles
et dans la vue des choses;
soit nous venons, chacun pour sa part, ou revenons (non physiquement mais en associant raison, foi et espérance) en contact avec "la maison du Père" (avec le Dieu réel dans les dimensions psychique, spirituelle, transversale, de son royaume, avec ses grâces*, sa bienveillance, ses protections, sa justice).
La consigne sanitaire, solidaire et salutaire est claire:
Ne pas rester où on est tombé, où la vie ne nous satisfait plus - ou nous séduit trop (par une addiction ou une autre) -, là où "les esprits méchants dans les lieux célestes" nous veulent sous leur pouvoir, nous aident à nous y mettre, nous foulent ensuite aux pieds et, à un moment qui peut être le leur, arrachent les âmes des corps pour les jeter dans le shéol ou Séjour des morts
(qui est les prémices de l'enfer terminal.
QUAND LE CHEMIN SE PERD
Quand le chemin se perd
De nos vies, de nos entreprises, de la compréhension,
Quand on ne sait plus rien de comment la gestion
Du temps, de l'espace, des organisations,
Du conjoint, des enfants, des parents, de la raison,
Où trouver le secours, à qui regarder de fiable,
Sur quel rebord s'appuyer qui soit convenable,
Vers quel patron, vers quel chef capable,
Vers quel saint se tourner qui nous rendra vivable
Le présent arrêté ?
Quand les chemins se perdent qui étaient mal assurés,
Sur quoi on avançait sans soucis d'où cela menait,
Quelle folie que d'aller sans voir et regarder
Où on met ses pieds, à quelle fin arriver !
Et nous voilà défaits, pantelants, interdits.
Nous voilà face au Réel tel qu'il est écrit
Sinon à écrire... peut-être encore, suspendu
En dessous du vide de notre coeur rendu
A une extrêmité. Comme face à une savane,
A quel bush, quelle jungle remplie de lianes,
Impraticable comme sont tant de pensées lourdes
Ou volatiles, toutes possiblement des bourdes,
Voies sans issue, impasses, autant de culs-de-sac...
Mais points de départ possibles !? Entre l'adret et l'ubac
Comme en Tolkien, jeux vidéo, où une Terre du Juste Milieu
Existe, est à trouver qui touche aux cieux,
Pour enfin pour de vrai les toucher,
Et y gagner.
Quand le chemin se perd... une voix comme d'un désert,
Comme d'un rivage pas si lointain, sonne claire:
- Venez enfants, j'ai du pain et des poissons cuits !
Vous n'avez rien pris de votre nuit ?
Mais laissez là vos barques et vos soucis, moi je suis
Le chemin, la vérité et la vie.
C'est ce que Jésus dit encore aujourd'hui
Pour sauver ce qui est perdu, malade, sans toit ou sans abri
Spirituel, sans Dieu dans ce monde où les malédictions
Sévissent, font payer des tributs, démolissent les maisons.
- Croyez en Dieu et croyez en moi ! Croyez que je suis
La lumière de ce monde et que devant moi s'enfuient
L'ombre de la mort, tous les plus forts que vous, les raisons
Insensées... Parce que j'ai payé pour votre rançon
Par mon corps livré, fait péché, mal vivant crucifié,
Payé par tout mon sang versé pour le pardon de vos méfaits.
Car Dieu mon Père a tant aimé chacun de nous de ce monde déchu
Qu'il a donné son bien-aimé fils Jésus,
Pour que l'âme de quiconque croit en lui ne périsse pas
Mais qu'il reçoive en lui la vie divine qui le guidera pas à pas.
Par la prière on devient son enfant
Dès ce moment, et éternellement.
Écritures incluses dans le poème : Romains chap. 3.11,12 - Matthieu chap. 21.4,14 - 18.11 - Évangile selon Jean chap. 14.1-6 - Hébreux 2.14,15 - Jean chap. 3.16... - chap. 1.12,13 - chap. 8.12...
___________________
* Les grâces = faveurs imméritées, que Dieu peut nous accorder par la médiation de Jésus mort pour nous et ressuscité sont multiples.
Les plus fondamentales sont qu'il ajoute en nous, comme force contre le mal, la vie - éternelle - de son Esprit. Il élargit dans une dimension de profondeur, notre vue des réalités, visibles et invisibles, des tenants et des aboutissants de notre existence ici-maintenant. Il nous assure de sa protection et de son assistance face à ce que nous n'avons pas (enore, assez) la force de voir par nous-même qui nous serez préjudiciable. Il est une force, qui s'exerce dans notre foi, face aux esprits méchants, aux démons, qui nous tentent et veulent mettre la main sur nous pour nous faire faire toutes sortes de mauvaises choses...
Je ne suis pas là pour des blagues ou des devinettes.
Je veux partager ici ce qu'il y a de sérieux, voire de grave, dans notre condition humaine accidentée, dérégulée, insuffisante... N'est-ce pas cet état fébrile, malade, incertain, que nous montre plus que jamais, en direct, "en live", l'actualité planétaire, covid-19 et confinement !?
L'ESSENTIEL DE LA SOLUTION
Et donc la part essentielle de la solution à cette pandémie - avec le travail des corps médicaux et d'autres secours, alimentation, sécurisation... -, vient d'apparaître par l'Australie.
Lisez cette nouvelle :
"Coronavirus : Le Premier Ministre australien Scott Morrison prie pour sa nation et pour le monde
6 avril 2020 -Scott Morrison, le Premier Ministre australien, est chrétien évangélique. Dans une vidéo publiée sur les réseaux sociaux par la Queensland Parents for Secular State Schools, il évoque sa foi et prie pour l’Australie mais également pour le monde, face à cette pandémie de COVID-19.
Le Premier Ministre commence par citer des passages bibliques où Dieu a secouru son peuple, puis il commence par prier pour l’Australie, mais aussi pour les « gens qui souffrent encore plus » dans le monde entier.
« Père céleste, nous te confions simplement notre nation en cette période terrible de grand besoin et de souffrance pour tant de gens. Et nous le faisons aussi pour le monde entier. Dans des endroits éloignés de ce pays, il y a des gens qui souffrent encore plus, qui vivent d’énormes difficultés et crient. Seigneur, nous prions pour que tu entendes leurs voix, nous prions pour que tu les délivres, que tu leurs procures la paix et que tu leur donnes du réconfort. Envoie-leur de la force en cette période de grand, grand besoin. »
Scott Morrison demande ensuite à Dieu d’accorder « force » et « sagesse » à l’Australie.
« Père, donne-nous la force ici dans ce pays, donne-nous la sagesse, donne-nous le jugement, donne-nous des encouragements. Que ta paix règne, que ton amour inonde cette nation en ce moment, et que ton peuple, ceux qui ont confiance en toi, Seigneur, soient des instruments de ton amour, de ta compassion, de ta justice, de ta miséricorde, de ta grâce. Soyons lumière dans un temps de grande obscurité. Puisses-tu nous élever en ce moment. Puisses-tu nous renforcer et nous encourager. Et en toutes choses, Seigneur, puisses-tu briller sur nous tous en ce moment, alors que nous recherchons ta grâce et que nous recherchons ta force et ta faveur. Nous prions cela au nom de Jésus. »
Dans sa prière, le Premier Ministre cite ensuite les dirigeants australiens, parlementaires, ministres, et « collègues du Cabinet », dans un désir d’unité.
« Je prie pour que tu gardes le cabinet national fort et uni, et que nous puissions faire face à chaque jour et à chaque défi dans l’unité d’objectif. »
Il termine ensuite sa prière en demandant à Dieu que son « règne vienne », que sa « volonté soit faite » et que sa « paix » soit apportée « dans notre monde ».
« Que ton royaume vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Apporte la paix dans notre monde. Apporte-la à notre nation, au nom de Jésus, nous prions. Amen. »
REVENIR AU DIEU VIVANT POUR LUI PERMETTRE DE SE MONTRER... (RÉ)ACTIF
Au début de la seconde guerre mondiale, Winston Churchill, un autre Premier ministre (du Royaume-Uni) avait appelé l'Angleterre à une journée de jeûne et de prière lors de la seconde guerre mondiale. Peut-être que sans cet appel Londres aurait été rayée de la carte, et sans le secours des ricains (américains qui avaient à cette époque une foi chrétienne plus vive qu'aujourd'hui), la France aurait certainement été asservie à la botte démoniaque nazie.
On sait encore qu'avec l'élection de Donald Trump, un virage important s'est opéré aux E.-U. qui courait déjà à l'écueil diabolique de la mondialisation.
Comprenons donc la situation covid-19 - qui vient encore d'empirer avec l'annonce du confinement prolongé jusqu'au mois de mai -.
Revenons, venez ou revenez à la foi des français qui firent la France, depuis Clovis, qui devint le 1er roi des francs (d'ou la france) après avoir été mis au contact de la foi chrétienne de son épouse Clotilde et en mettant Christ à l'épreuve.
Il ne s'agit pas de venir ou revenir à une religion, fusse-t-elle dite chrétienne, mais bien à une approche vivante et vivifiante, expérimentale, de Dieu lui-même par et en la personne de Jésus le Christ.
Cela concerne chacun-e d'entre nous, compris bien sûr les autorités politiques (établies ou de l'opposition).
Car si ce covid est un jugement de Dieu sur les comportements sociaux, moraux, commerciaux, idéologiques et politiques, globalement de la terre entière - et donc des nations -, Dieu donne toujours avec la sanction du mal, une solution pour y échapper.
C'est-à-dire que dans sa justice - qui corrige, secoue ou frappe les coupables, et on l'est tous* -, le Dieu éternel peut aussi accorder sa grâce (comme il existe des grâces présidentielles, figuration politique de ce comportement divin).
Que la force spirituelle et détermination nous aide à entrer en nous-même et faire un come-back des plus salutaires.
Le courage de ce 1er ministre australien face aux nations formées (formatées) à l'athéisme, devrait, pourrait, nous amener, citoyens et surtout dirigeants de nations, à réaliser que la situation est telle qu'elle dépasse et nos prospectives (pronostic, prévision, projection) dans tous les domaines, et nos capacités à réagir comme il convient.
Faute d'un retour à Dieu, même si nous réussissons à faire stopper la propagation du covid, on peut s'attendre à des jugements plus sévères encore... comme il y eut la 1ère guerre mondiale, puis la seconde (l'histoire se répète souvent, ce qui devrait nous permettre d'apprendre).
DIFFÉRENTES MANIÈRES DE PRIER
On ne prie de la même manière si on est chrétien ou si on n'est pas.
Les chrétiens prient leur Père céleste, par la grâce de la médiation de Jésus qui est devenu leur Sauveur.
Celui/celle qui n'est pas encore enfant de Dieu, né/e de Dieu selon les Écritures, doit prier autrement pour le devenir et trouver en Dieu le Sauveur et Père dont notre vie insuffisante a besoin.
Des millions d'enfants de Dieu prient donc désormais pour la situation. Mais il ne faut pas compter sur cela seulement. Car dans tous les cas, chacun reste face à son devenir personnel éternel.
La protection la plus sûre comme la survie de l'âme après la mort (côté Paradis ou côté enfer) dépendent de notre relation à Dieu - restaurée ou pas - et de notre manière de nous comporter.
C'est là toute la Bonne nouvelle de la foi par laquelle nous sauvons notre âme (notre moi, notre personne, d'une perdition éternelle), non pas par des rites et pratiques purificatrices (religieuses, occultes, ésotériques, humanistes), mais en croyant que Jésus est Celui qu'il a montré et dit qu'il était, qu'il est mort et ressuscité pour nous sauver... ce que des centaines de millions ont cru et expérimenté depuis presque deux mille ans (dont j'ai pour ma part la grâce d'avoir pu et de faire partie).
ici > des trames pour aider à prier, à trouver ses mots, pour quelqu'un qui veut venir à Dieu pour entrer au bénéfice de son plan de rédemption (de rachat de nos âmes).
Soyez fortifié-e et sauvé-e.
_____________________
* Cette pandémie et ce qu'elle produit ressemble à ce que Jésus fit lorsque, armé de cordes (corde commence comme corona) pour s'en faire un fouet, il renversa les tables des marchands du temple de Jérusalem, libéra les animaux destinés au sacrifice, dispersa l'argent des changeurs (des banquiers). Jean ch. 2 et Matthieu ch. 21
Cela ne fait aucun doute pour beaucoup: ce Covid-19 est un jugement de Dieu.
On le sait parce qu'après ses premières apparitions à Colmar dès fin 2019 (>voir ce témoignage), il est surtout tombé sur "la maison de Dieu", l'église La Porte Ouverte chrétienne de Mulhouse.
Pourquoi cette assemblée ?
Parce qu'elle est le plus important rassemblement local régulier évangélique de France, voire d'Europe, et de plus à ce moment-là des croyants venus de toute la France y étaient réunis (comme chaque année).
Elle apparait donc de manière emblèmatique, comme un symbole fort de "l'église du Dieu vivant" qui se met à juger la terre entière, en concordance avec ce que l'apôtre Pierre a dit dans sa 1ère lettre (chap. 4, vers.17) ; "Car c'est le moment où le jugement va commencer par la maison de Dieu. Or, si c'est par nous qu'il commence, quelle sera la fin de ceux qui n'obéissent pas à l'Evangile de Dieu ?"*
Il n'y a donc aucun hasard à cet événement, pas plus ici qu'en Chine d'où le corona nouveau a jailli comme le son sourd d'une trompette (plus précisément d'un shofar selon le terme hébreu).
Plus largement, le covid-19 est la base d'un jugement pour toute "la terre habitée".
Un jugement dont il dépend de la réaction globale de l'Eglise du Dieu vivant (sa sanctification*) et des leaders politiques principaux qu'il s'arrête sans autre effet négatif, ou qu'il ne soit que les prémices (le commencement) d'événements plus sévères à la suite.
ENTENDEZ-VOUS L'APPEL ?
Covid et confinement forment un son de trompette grave, rappel pour certains et interpellation pour d'autres qui ne savent pas, que Dieu juge (toujours au final) les nations comme les personnes. Leurs organisations sociétales (économiques, politiques, idéologiques), les choix de leurs leaders et nantis, selon que dans tous les cas "tous sont pécheur/pécheresse, c'est-à-dire fondamentalement coupables par toutes sortes de fautes morales (non confessées et pardonnées). Il en est ainsi de cupidité, la duplicité, l'exploitation des uns par d'autres et autres méchancetés, les manipulations psychologiques et autres perversités et commerces charnels, l'orgueil, l'arrogance, les corruptions... tout comportements, paroles ou pensées qui sèment le mal des uns aux autres (ce que montre la contamination et propagation virale) et séparent toujours plus la terre du Ciel divin, privant de la glorieuse présence de Dieu".
Rester chez soi pour entrer en soi et pour se tourner vers Dieu.
Que trouve-t-on en soi ? Du vide le plus souvent ! ce qui fit dire à Blaise Pascal "Il y a dans le coeur de l'homme un vide... en forme de Dieu."
Ce qui se traduit par un manque de paix, de suite dans les pensées; des angoisses, de l'étouffement (une grande caractéristique liée à ce mal). Du non sens, des envies d'évasion, d'occupationnel, de l'irritation, des colères surprenantes, des disputes choquantes, de l'endurcissement... des insuffisances...
Mais la grandeur d'un jugement divin est qu'il apporte avec la sanction aussi la solution. (Si vous êtes curieux, on voit cela notamment lors de la plus grave faute humaine (par ses conséquences durables) en lisant ici du verset 1 au verset 21).
ET PÂQUE(S) QUI ARRIVE... À POINT !?
Cet à propos du retour de la fête de Pâques pendant ce confinement a dépendu de Dieu seul (le maître des temps et des circonstances), et pour la suite dépend... de nous - de chacun pour sa part et selon sa zone d'influence.
Mais que savons-nous de Pâques ?
On en a entendu le mot, mais bien moins souvent la réalité vraie. Et l'effet que peut produire cet événement - central de l'histoire humaine -, quand on le met en lien direct avec nous-même est tragiquement si méconnu, inexpérimenté.
De quoi s'agit-il donc ?
De regarder à une croix. Non pas à l'image seulement, mais à la personne qui agonise, des heures durant, blessée à mort, sous le soleil ardent puis sous une pluie battante, environnée de mouches qui sucent son sang; d'une foule vociférante, hystérique, démonisée, qui aussi tout à coup s'est tue, et regarde, sidérée, sans comprendre.
Un juste qui meurt dans des conditions aussi épouvantables, entre de vrais brigands, après avoir été humilié par des soldats moqueurs et cruels, frappé de coups de fouet qui ont labouré son dos, ses flancs, les mains et les pieds percés à grands coups de marteau, pour le fixer, paralyser, sur cette croix, instrument de supplice, de torture, d'humiliation (on y meurt nu aussi), de mort (par arrêt cardiaque ou asphyxie).
C'est cela la Pâque.
Un événement historique et spirituel dont
ne pas détourner les yeux sans avoir compris.
Un sacrifice humain inouï,
volontaire, incomparable,
à jamais unique,
où le Juste prend la place
des coupables
- que nous sommes tous
aux yeux de Dieu -
pour les sauver.
C'est-à-dire pour les sortir
- pour nous sortir -
de la séparation éternelle
d'avec Dieu
...Dans la mesure où on le croit.
Mais "toutes choses sont-elles déjà devenues nouvelles" pour VOUS !? Avez-vous déjà vu Jésus ensanglanté comme le Sauveur, comme le sacrifice qui accomplit la justice de Dieu et apaise tout ceux qui en bénéficient.
C'est là que notre liberté - la vôtre - est cruciale, c'est-à-dire qu'elle a permis que vous arriviez à cette intersection majeure, décisive dès maintenant et pour l'éternité, où soit vous croyez que Jésus a été crucifié pour vous obtenir la possibilité de recevoir par la foi en lui le pardon de tous vos péchés, soit vous restez "mort (spirituellement) dans vos offenses", vous restez séparé-e de Dieu et éternellement perdu-e, comme vous crucifiant vous-même.
L'éternité d'une vie consciente, dans la conscience que nous avons maintenantn de nous-même et que Dieu est Dieu, n'est pas un automatisme du tout (genre "On ira tous au paradis").
Ce n'est pas non plus le résultat de nos efforts humains, religieux ou humanistes, visant à ce que nous soyons une bonne personne, à faire plus de bien que de mal, à compenser le mal par du bien.
Non, le seul moyen de plaire à Dieu, d'entrer dans une réconciliation et paix avec lui, dans la sphère de son éternité (le Royaume de Dieu ou Paradis), c'est croire en ce que lui, Dieu, en tant que Père et en tant que Fils, a fait par cette mort terrible pour effacer nos fautes et nous offrir sa vie éternelle.
_______________________
* On peut aussi rapprocher cet événement de l'incendie de la cathédrale de Paris (également proche de la fête pascale, donc reliée à la pensée de Pâques), comme symbole de la catholicité que Dieu commence à sanctifier. Sanctifier, c'est à la fois épurer (encore, les coeurs des fidèles) et séparer (distancer de "l'esprit du monde" qui est essentiellement idolâtre, c'est-à-dire mettant toutes sortes de choses, inertes ou vivantes, à la place de Dieu dans nos coeurs).
** Les Pâques chrétiennes font référence à La Pâque juive initiale, où le moyen de paix avec Dieu, de purification du corps (pour conserver la santé physique) est le sacrifice d'animaux innocents.
Cet acte rituel fort a été absorbé dans la mort du Christ Jésus innocent - le Messie mal reconnu d'Israël -, qui s'est offert comme sacrifice parfait, total, définitif, une fois pur toutes pour tous les êtres humains.
Le Dieu véritable n'est ni surpris ni dépassé par ce qui arrive avec l'apparition fantomatique du covid-19.
Il est depuis le commencement le maître des temps et des circonstances.
Et quand de mauvais usages de nos libertés (collectives ou personnelles, psychiques ou physiques) nous mettent en (grande) difficulté, le secours le plus profond nécessaire à notre âme (troublée, apeurée, angoissée, endeuillée, révoltée, déprmée...) ne manque pas de sa part.
Il nous suffit de venir vers lui dans l'état (de vérité) où nous sommes, de regarder de son (bon) côté, et il nous y aide.
Parmi les secours les plus efficaces, il y a celui des paroles.
Mais encore faut-il des paroles justes, à propos, véridiques, comme la Bible en contient pour toutes les situations (personnelles ou collectives) et tous les ressentis qui peuvent être les nôtres.
Ici je vous invite à venir chercher un véritable secours de Dieu via des paroles du livre des Psaumes. Car le vrai Dieu est un Dieu qui parle, entre autres en rendant ce genre de paroles écrites (qui transcendent les temps) interpellantes, personnalisées, comme si vous entendiez la voix même de Dieu.
Dans l'humilité, venez là avec votre fardeau, votre lourdeur, peut-être votre peu de foi, en faire l'expérience.
On sait (normalement) que Jésus a été crucifié injustement.
Certes, on ne peut pas se trouver ainsi crucifié pour rien, sans raison : La raison était qu'il prenait alors sur lui toutes nos fautes et leurs conséquences (dont la mort fait partie).
Depuis quelques semaines la plus grande église de France, vivante par ses près de 2 000 membres réguliers, La Porte Ouverte de Mulhouse, est montrée du doigt, huée, accusée, moquée, blessée... comme son Maître Jésus-Christ à partir du jardin de Gethsémané jusqu'au mont Golgotha.
QUEL EST SON CRIME ?
On lui reproche d'avoir été le point d'insertion de l'épidémie en France, par un grand rassemblement (annuel) qui se déroula du 17 au 21 février (2020).
Il convient de démentir cette rumeur (plutôt que de la colporter).
Cet habitant de Colmar âgé de 46 ans explique: « J’ai été atteint par le coronavirus début décembre 2019 sans pour autant avoir quitté le territoire français depuis plus de six mois. En date du 3 décembre, j’ai eu mes premiers symptômes qui se sont manifestés par une énorme fatigue, les jours précédents, des céphalées très douloureuses, une baisse de pression artérielle […], une perte de goût, d’odorat pendant au moins 3 jours, de la fièvre naturellement qui est montée très brutalement et que le paracétamol ne faisait pas beaucoup baisser, aussi des sensations que l’infection descende dans les voies respiratoires, c’est-à-dire larynx, pharynx et poumons. S’en est suivi une surinfection pulmonaire foudroyante au point d’entendre ma respiration siffler, comme si j’avais été asthmatique, et ce en moins de 96 heures. Et tout ça malgré le traitement aux aérosols et antibiotiques prescrit par un ami médecin. Cependant il m’a fallu presque quatre semaines après le 23 décembre pour récupérer mes facultés respiratoires et pulmonaires totales, parce qu’une toux intempestive ne cessait de me gêner...
J’ai commencé à m’inquiéter parce que la fièvre restait élevée. […] Au radio scanner des poumons, j’avais 5 tâches, 4-5 tâches sur les poumons. […] Je ne m’attendais pas à être foudroyé de cette manière-là. […] Ça a été énorme. […] Une respiration coupée, une respiration sifflante comme ça, je n ‘ai jamais eu. […] Ça a été foudroyant. Ça a été très, très, très violent. »
Le témoin évoque ensuite plusieurs personnes de son entourage qui ont été malades, dont une pharmacienne et un dentiste.
Pour Liliane Held-Khawam, ce témoignage « revêt une importance capitale ». Entre autres raisons, parce qu’il a été testé positif, que son infection « remonte à novembre 2019, si l’on prend en compte la période d’incubation de 14 jours », et qu’il n’a « pas quitté le territoire français durant les 6 mois qui ont précédé son infection » et ne peut donc pas être le « patient zéro ».
L’économiste affirme alors sur son blog :
« Le virus était donc déjà présent sur sol alsacien/français. La gestion de l’épidémie a démarré avec des mois de retard. »
"SEUIL AYANT PERMIS L'ALERTE" PLUS QUE POINT DE DÉPART
Le pasteur de l'église de Mulhouse Samuel Peterschmitt, lui-même atteint par le COVID-19 et aujourd'hui sorti d'affaire, rappelle que l’église fut plutôt « le seuil d’alerte » de la contamination en France:
« C’est nous qui avons donné l’alerte et fait les premiers dépistages. Ce sont les membres de la Porte Ouverte qui ont été les premiers dépistés. Mais il est clair qu’ils n’étaient pas les premiers malades. Seulement les premiers détectés. D’où le fait que nous avons la conviction que nous ne sommes pas le point de départ, mais le seuil d’alerte. »
Il précise que « c’est établi aujourd’hui de plus en plus clairement, que des patients très suspects du COVID-19 étaient déjà infectés à la fin du mois de janvier et au début du mois de février. À l’appui, il y a l’observation d’une recrudescence de syndromes grippaux. Et à cette période, ces symptômes n’étaient pas perçus comme le COVID-19, mais aujourd’hui, il y a des signes évocateurs, qui étaient déjà signalés, comme la perte de l’odorat et du goût notamment. Et ces malades victimes de la contagion, étaient sans lien, ni entre eux, et sans lien avec l’église de la Porte Ouverte. »
COUPABLES OU VICTIMES
Certes le fait d'un rassemblement de milliers de personnes à ce moment-là a favorisé la propagation de ce coronavirus où des personnes contaminées retournèrent chez elles, à une date où il n'était encore question ni d'un risque grave de contamination en France ni de confinement (mis en place le 17 mars, plus de trois semaines après la fin des réunions).
En tant que chrétien, la question de notre responsabilité au sujet de ce qui nous arrive, de bien comme de mal, ne peut être escamotée.
Si on lit bien, on ne peut occulter le 1er verset : "Celui qui demeure sous l'abri du Très Haut Repose à l'ombre du Tout Puissant."
Or, bien que chrétien aimant Dieu et désirant suivre fidèlement Jésus dans ses voies justes, agréables et parfaites, on reste chacun des pécheurs, imparfait quant aux lois (protectrices) divines, des fauteurs potentiels, soumis à des tentations et à la force pas toujours encore maîtrisée de pulsions ou autres centres d'intérêt mauvais dont on n'arrive pas (encore) à se détacher. (La vie chrétienne étant une marche de libération en libération, comme de connaissance en connaissance).
Et donc ainsi, on peut ne pas "demeurer" sous la protection absolue de Dieu. Ce qui explique que des chrétiens ont pu être - sont - contaminés.
C'est alors, surtout dans un contexte de jugement global de toute la terre habitée, une conséquence d'une faute réitérée non vue ou mal vue en tant que telle. C'est donc un rappel à se tenir dans une plus grande proximité et lumière du Très-Haut, du Tout-Puissant.
Donc ne "jetons pas la pierre" comme voulaient faire les religieux face à une femme surprise en adultère, mais ayons compassion... non sans chercher ce qu'on peut apprendre de toutes nos épreuves.
Les progrès en tout ne passent pas souvent par la facilité, et l'épisode de la tour de Siloé nous rappelle ou apprend ce qu'il en est nous concernant tous.
Je pense aussi que s'il y eut des fautes (par faiblesses psychiques) causes de la contamination dans ce camp de Dieu, la faiblesse physique de personnes ayant jeûné pendant cette semaine (de jeûne et prières), peut avoir favorisé l'emprise du virus sur des corps sous-alimentés. De même la fatigue accumulée par des surcharges régulières de travail (trop d'activités, de choses à gérer, de projets mis en route...) peuvent affaiblir nos organismes.
L'église Porte Ouverte de Mulhouse fait référence à une porte dont parle le livre de l'Apocalypse, "que nul ne peut fermer."
Elle reste donc ouverte, par internet, et surtout par la foi qui demeure de tous ceux qui en sont la vie, le corps spirituel, les "pierres vivantes".
Si donc elle est ici par le covid-19 et les mesures gouvernementales - auxquelles se soumettre - pours le moment fermée, ses membres blessés, affectés, c'est aussi pour qu'elle sache mieux trouver comment permettre à Celui qui en est l'origine, Jésus et le Saint-Esprit, de mieux la visiter et la conduire, de mieux l'épurer (spirituellement) et la centrer au plus près possible de la Parole écrite... afin qu'en sortent davantage des disciples aguerris que des chrétiens (encore) trop nourris sans efforts personnels, ce qui les laisse faibles dans la foi et vulnérables.
Enfin que tous nous réalisions qu'il n'est plus temps de faire n'importe quoi, que les temps sont fâcheux (les signes sont nombreux pour nous en avertir) étant ceux de la fin d'un ordre du monde appelé à disparaître - et non à être amélioré.
Un ordre qui tient d'une volonté persistante maligne à vouloir globaliser, uniformiser, dépersonnaliser, soumettre, jusqu'à l'esclavage, le genre humain, ce qui tend régulièrement à des prises de décisions visant à établir un impérialisme, une gouvernance mondiale centralisée, et par là toujours un totalitaire déshumanisant.
Profitons donc chacun de ce confinement pour que ce soit comme une porte fermée de notre chambre dans laquelle nous pouvons mieux nous isoler avec le Dieu véritable, pour le prier... et chercher loin des bruits (différents aspects de) sa face.
Le coronavirus covid-19 n'est qu'une épouvante de plus qui s'ajoute aux jugements qui frappent désormais la terre habitée en raison de nos comportements généralisés coupables (moraux plus encore qu'écologiques).
On voudrait parfois venir à Dieu,
pour le connaître (tel qu'il est réellement et non comme des religions nous le présentent),
pour être libéré d'une épreuve qui nous accable,
pour être délivré d'un fardeau de culpabilité,
pour obtenir le pardon d'un ou plusieurs péchés (fautes) identifiés (sans qu'on soit obligé de passer par un confesseur),
pour ne plus être angoissé-e par la pensée de la mort ou de l'enfer,
pour une guérison sans remède médical ou qu'on croit devoir demander à Dieu,
Pour obtenir une grâce particulière...
Mais on ne sait pas trop comment s'approcher de Dieu et comment lui parler.
Alors voici là une double aide - qui ne saurait se substituer aux paroles issues de votre coeur, mais qui peut amorcer et faciliter leur formulation.
2 - Ou encore, vous pouvez prier en faisant vôtres les paroles de certains psaumes, ici celles du Psaume 6 ci-après.
Dans tous les cas, c'est à la disposition de votre cœur que Dieu regarde. Voyez si ces paroles d'aide peuvent devenir les vôtres - auquel cas Dieu les entendra et vous serez exaucé-e.
Dans son commentaire, Martin Luther explique que "dans toute souffrance et épreuve l'homme doit, avant tout, courir à Dieu, et, qu'elles viennent du diable ou des hommes, les reconnaître et les accueillir comme envoyées par Dieu."
Si Dieu permet une difficulté quelconque, c'est la même chose que s'il l'envoyait lui-même, parce qu'elle a du sens pour notre compréhension du bien et du mal, et encore pour que nous expérimentions comment Dieu nous vient en aide comme personne d'autre ne peut le faire.
"Second point, écrit Luther, Dieu châtie de deux manières.
a) D'une part dans sa miséricorde, comme un père de bonté. Il agit ainsi envers ceux qui sont devenus ses enfants par la foi dans le Christ qui les sauve. Enfants adoptés qu'il aime et qu'il corrige pour leur éducation et meilleur devenir éternel possible, non en proportion de la gravité des fautes, mais en rapport (sur la base) de ce que Jésus a déjà payé par ses propres souffrances et sa mort à notre place*.
Notre part est alors de croire en cette substitution où Jésus a été fait péché pour que les nôtres puissent être effacées seulement en lui disant nos fautes afin d'en obtenir le pardon*.
b) D'autre part Dieu châtie dans sa colère, comme un juge sévère qu'il est tenu d'être envers les créatures égarées que nous sommes par nature et par nos comportements tant que nous n'avons pas fait la paix avec lui, vécu une réconciliation et fait alliance avec lui.
Nous sommes alors jugés selon une justice stricte pour nos transgressions commises en désobéissance à notre conscience personnelle ou aux lois de notre religion si nous en avons une (et aussi aux lois de la société).
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* Dans la foi en Jésus élevé en croix comme moyen de rédemption (réconciliation et alliance avec Dieu face aux forces réelles, invisibles mais vivantes du mal), on peut comprendre que le Christ Jésus fut homme par identification à notre humanité pécheresse et mortelle.
Ce qui veut dire que, notamment pendant qu'il est cloué en croix, de cette position d'homme pécheur perdu face à un Dieu juste et saint, il a lui-même déjà véçu et prié ce psaume 6 (et d'autres comme les 22, 32, 38, 51, 102, 130, 143...) afin que par sa foi et compassion il s'attendit lui-même pendant son agonie à Dieu son Père pour le délivrer et le sortir des souffrances et de la position de mort(el) - toutes choses qu'il subit en les adoptant pour que le croyant en lui n'ait pas à affronter les tourments liés à la mort sans Dieu.
Le succès de cette substitution est attesté par sa résurrection et sa vie actuelle dans le Ciel divin d'où il va (très bientôt) réapparaître pour faire cesser les maux de la terre en entrant par dessus tous les leaders du monde dans son règne...
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.