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13 août 2023 7 13 /08 /août /2023 20:56

 

TOUTE LA VIE QUI EST

 

La vie est belle et cruelle
Qu’on ait des ailes croyant au Ciel
Ou rien que des racines pour faire sa cuisine.

 

 

La vie belle est aussi mortelle
Nous rappelle parfois l’accidentel :
On y touche des cîmes et plonge en des abîmes.

 

 

La vie est belle et éternelle
Quand Dieu appelle de son Ciel
Pour que l’on rime avec lui Elohim.

 

La « Bonne nouvelle* » c'est une vie nouvelle
A laquelle Jésus le Christ nous appelle
Et le monde discrimine plus qu’on ne l’imagine.

 

C’est au point surnaturel que nos voies culturelles
Sous la force naturelle de l’Éternel
Perdent leur grise mine pour des vues qui illuminent.

 

La vie qui est belle et poubelle
Recycle celles et ceux qui de mortels
Voit le sublime qui en eux s’imprime.

 

Claude T. 13.08.23

______________
* Signification du mot grec euaggelion, qui a donné
Évangile.

 

"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.
Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées; mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites conformes à Dieu." Evangile selon Jean, chap. 3, vers. 16-21

Un guide de prières >> ici pour aider quelqu'un a venir à Dieu par Jésus-Christ pour trouver la paix et être sauvé <<

 

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8 août 2023 2 08 /08 /août /2023 20:46

Il y a deux problèmes à régler pour entrer par une porte fermée à clé :
- Il faut avoir la clé,

- et il faut que la serrure ne soit pas bouchée par quelque chose, pour une raison ou une autre.

Et quand le bonheur nous échappe, c’est qu’une porte se ferme sur lui et s’oppose à sa faveur pour nous. Une porte qui nous en sépare comme de la permanence d’une source où on pourrait boire à satiété une eau rafraîchissante : Le bonheur tient de l'eau, ccmme de l'air, ou encore d'une flamme de bougie qui peut être soufflée.
Et cen'est pas la discontinuité que doit nous empêcher e croire que

LE BONHEUR EXISTE

On sait déjà que le bonheur existe, par des expériences heureuses, des rencontres ou des temps qui nous l’ont prouvé.
Et donc il nous appartient de chercher pourquoi c’est comme une porte qui se ferme et empêche la lumière d’entrer, ou notre coeur de brûler ou d'être apaisé.

UN RAPPORT AU BONHEUR ALEATOIRE

L’image de la porte, de la serrure et de la clé nous aide si on veut ne pas se contenter des hauts et surtout des bas qui s’imposent à nous. Car on en subit des contrariétés, sans comprendre ce qui nous arrive ; c’est-à-dire sans comprendre comment ce monde est fait et fonctionne, bien ou mal.

LA SERRURE

Il y a quatre causes essentielles qui bouchent la serrure ; et même s’il passe parfois un peu de lumière, de bonheur par son trou, d’une façon générale elle est scellée pour qu’on ne puisse pas y faire entrer et tourner la (bonne) clé.

 

4 OBSTACLES MAJEURS RÉCURRENTS

1 – CONDITIONNEMENT SOCIÉTAL

Ce qui rend nettement la serrure inutilisable, c’est d’abord notre conditionnement sociétal/social.
C’est tout ce qui nous a formaté pour être fondamentalement un citoyen évolutionnisme athée ou un membre attaché à une religion ou à un groupuscule marginal. C’est là l’identité première qui nous est donnée, et elle est si partisane, empaquetée et ficellée, que c’est là dès l’enfance un vrai problème.

C’est au point où chaque système ayant accès à l’école et aux médias se débat pour vouloir imposer son point de vue, ce qui crée en nous, comme dans la société, une fracture, une dualité qui empêche l’unité à tous les niveaux. Et déjà, par les pratiques qu’on nous impose ou à quoi on veut nous faire adhérer (par manipulation, par tentation, par fausse promesse...) notre bonheur est compromis.

On est "culturé" au lieu que notre jardin intérieur soit "cultivé" pour qu’il porte des fleurs et des fruits paisibles de justice.

 

2 - ET MOI ET MOI ET MOI !

Après cet effet délètère (pour notre esprit) plus que constructeur, qui vient dès notre conception par l’environnement dans lequel on paraît et grandi, c’est nous-même qui sommes (devenus) un élément anachronIque de la serrure bouchée. Par conséquence du formatage initial.
Car on nous a appris plein de choses (encombrantes, pas nécessaires, troublantes et même néfastes…), au point où notre faculté de réflexion, de prendre du recul, est engluée dans la systématisation qui s’est organisée en nous.
On a nous-même choisi d’ajouter ou de soustraire des éléments entendus ou vus ici et là.
Choisis ou subis de se donner avec tout ce paquetage, une dynamique plus ou moins personnelle, ou complétement assimilée à un collectif auquel on adhère plutôt qu’à un autre.

Et cela sans discernement du bien et du mal de ce qui es fait, de ce qu’on fait soi-même, la frontière entre bien et mal étant fluctuante d’un milieu à l’autre, positionnée comme il semble que cela nous arrange… ce qui n’est pas forcément le cas.
Pour libérer notre serrure, il faut commencer à prendre du recul, s’asseoir pour observer ce qui es passe ; mettre en service notre capacité de jugement critique pour la bonne cause, celle de notre désaliénation du système dominant qui a pris le dessus sur notre comportement et nos choix.
Pour cela on a une conscience naturelle, qu’il faut possiblement désenliser de la conscience socialisée qui s’est créée artificeusement en nous.
Dans le meilleur des cas, à partir de12-13 ans, on peut être capable d’activer cette nécessaire prise en main par soi-même, par une distanciation d’avec tout ce qui nous a formés jusque là et dont on supporte le poids. Le poids d’un mal-être intérieur, d’un mal-vivre avec les autres, du bonhur sans cesse contesté ou du non-bonheur.

Et pour cela, il faut avancer dans de la connaissance qu’on n’a pas du nous transmettre, ou à quoi on n’a pas assez tenu compte. Ce qui nous amène au troisième point de blocage de notre serrure.

 

3 - UN TENANT ET ABOUTISSANT DE TAILLE

Il s’agit de prendre la vraie mesure des agents les plus actifs de la société, de notre environnement propre, voire de ce ui se passe en nous.
Et là on doit réaliser que ce monde est dominée par le mal-vivre en soi en ensemble, parce qu’il y a plus encore que le ou les systèmes de ce monde qui nous ont moulés pour faire de nous leurs membres intégrés

Il y a en plus une force – du mal – qui n’est pas directement visible à l’oeil nu, qui existe dans l’ordre du psychisme (de l’âme, la psyché en grec) et la spiritualité (des esprits).
Cette force maléfique est conduite par un ange qui, en sortant de son rang élevé par un orgueil improbable, a donné naissance au mal en devenant Satan, ennemi de Dieu et du genre humain. Il est aussi appelé le diable (le diabolos, ce qui signifie le diviseur, celui qui désunit) et par plusieurs autres noms… Et avec ce séparatiste du bien, il y a une foule immense d’anges entraînés par lui dans sa rébellion et devenus ce qu’on appelle des démons, les esprits de la ténèbre et des discordes.
Nous ne devons jamais perdre cela de vue, et l’apprendre si on n’en a encore jamais réellement entendu parler.
On ne doit pas se laisser arrêter par le fait de eur invisibilité à nos yeux physiques, leur existence se démontrant de plus en plus clairement par les effets de leurs interventions dans les affaires humaines comme aussi dans la nature.

Et quand il est parlé de complot ou de complotisme parce qu’on voit des comportements humains anormaux, incohérents, malveillantse, on vferait mieux, plutôt que de s’en défendre, de comprendre que c’est au niveau de ce monde spirituel dénaturé et dégénéré que se situe le complot. Le complot diabolique étant de prendre un contrôle total – totalitaire, totalitariste – de la planète et de l’humanité… ce qui se voit déjà assez bien notamment par le jeu (de marionnettes) des hommes les plus riches ou le plus influents qui, à quelques-uns, veulent mettre en place une direction mondiale unique.

 

A ce niveau, notre serrure est bouchée au bonheur soit par l’ignorance dans laquelle on est maintenu, soit par des pensées, concepts et comportements qu’on a adoptés venant directement de l’influence démoniaque telle qu’elle agit subrepticement dans notre monde.
D’où un réel besoin de prendre encore du recul, de mieux voir, par les effets observables et par la réflexion, ce qui se passe et comment se désolidariser des effets mauvais, malsains, pervers, trompeurs, apeurants, déstructurants, pour ne pas rester dans le filet – le net – de ce complot où tous les humains sont visés, de plus en plus individuallement, pour n’avoir plus que pour chef unique, imposé, que Satan.

Parce que jusqu’à présent, il y a encore une quatrième force en présence, qui s’oppose à l’avancée des forces maléfiques et mortelles : le vrai Dieu, créateur, avec les deux-tiers des anges ses créatures qui lui sont restés fidèles.

 

4 – ET DIEU EST LÀ

Dieu est celui qui d’une part empêche la serrure d’être libre de fonctionner, et d’autre part à la possibilité, et veut en libérer l’accès pour qu’on puisse faire jouer le mécanisme qui libérer notre bien intérieur.
I nous faut arriver là à une notion centrale qui est celle de la vérité. Car pour que Dieu puisse agir en notre faveur, il faut que nous comprenions
- qu’il est retenu pour agir par sa justice et par la liberté dans laquelle il nous a créés, et é créé les anges – d’où la rébellion de certains et notre propre capacité à mal faire et à faire mal) ;
- et encore que pour nous sortir de la nasse piègeuse de ce monde, il a un plan qui s’active en fonction de nous, d’une réceptivité qui ne nous est pas naturelle, car le mal, inné ou acquis, et développé intempestivement, nous phagocyte, ne nous laisse pas libre d’aimer la lumière, les vérités.

 

Et le Dieu qui est (le) bon, amour, sainteté et justesse, se trouve un passage quand nos inconséquences nous ont affaiblis au point de pouvoir entendre que Dieu existe et qu’il nous appelle.
Appel à passer des mensonges à ses vérités, de la confusion dans la lumière qui révèle le sens, de notre présence dans ce monde ; le sens des deux courants qui cohabitent en ce monde de la vie et de la mort. Courant qui coulent vers la sortie d’ici-bas avec plus de vie et pour un bonheur éternel, ou avec plus de perte et dommages encore en descendant plus près encore de Satan et de ses sbires méchants.

 

Quand on en est là du savoir, de la connaissance fondamentale du Réel, il reste à mettre la clé dans la serrure qui a été dégagée.

 

LA CLE

C’est une vraie clé, spirituelle parce que notre problème est fondamentalement spirituel, quel que soit ce en quoi on croit (en Dieu ou en l’homme, en une religion ou au transhumanisme, à ce qu’on nous dit à la télé ou sur le net…). Bref on est tous que des croynats, qui croyons juste ou qui croyons à faux.

La clé c’est des paroles à entendre, et tourner la clé pour s’évader de la domination du mal c’est croire ce qui va maintenant être dit, plutôt qu’autre chose ou son contraire.

On va savoir que la clé est la bonne à l’effet que cela va produire en nous. Car la vérité rend libre, et la vérité se vérifie par les effets qu’on en ressent.

 

PAROLES DE VIE

Jésus est le seul à avoir pu dire « Mes paroles sont esprit et vie ».
Il est le seul à avoir dit au sujet de notre rapport à Dieu : « Je suis le chemin, la vérité, et la vie. »
Quel homme a pu affirmer ainsi ce qu’il est !?
Et si on s’interroge, on doit voir qu’il ne peut s’agir que des paroles mégalomaniaques d’un illuminé, d’un insensé, ou de la personne exceptionnelle qu’il est.
Ses œuvres surnaturelles et la notoriété qui est la sienne – unique elle aussi – au fil des sièces et depuis deux mille ne devraient que nous inciter à mieux savoir ce qu’il en est de son rapport à Dieu et de sa capacité à nous amener à lui pour un changement de vie des plus bénéfique.

 

Autre affirmation : « Personne ne peut venir à Dieu qu’en pensant par moi », c’est-à-dire en croyant qui je suis et ce que je dis.

Ontinuons donc à actionner la clé dans la serrure de notre entendement pour voir la porte qui nous sépare de Dieu, du bien-être intérieur, de bien-vivre, de la paix, du bonheur, d’un amour ou encore de la joie qui nous manquent, s’ouvrir.

 

Et là, on peut entendre Jésus dire aussi : « Je suis la porte » ! Et encore dans une image où nous sommes comparer à des brebis : « Je suis le bon berger ».
image qui nous rabaisse certes, mais aussi qui nous distingue des loups, des requins, des prédateurs que peuvent aussi être les hommes et les femmes dans ce monde.
Il précise que « Tous ceux qui sont venus avant lui…

 

CE QUI FAIT LA DIFFÉRENCE

 

Jésus fait la différence avec tous. Une différence multiforme :

- Il vient au monde comme cela a été annoncé 700 ans plus tôt par le prophète Esaïe ;

- Il vient du Ciel par le Saint-Esprit et de la Terre par la jeune juive Marie (Myriam) en vue de rapprocher et réconcilier en lui les mondes matériel et spirituel ;

- à 30 ans il se fait baptiser par son cousin Jean le Baptiste comme s’identifiant à notre humanité pécheresse qui a besoin de se soumettre à Dieu pour recevoir son Esprit comme force pour une vie nouvelle, régénérée ; Fort de ce revêtement de puissance, il est conduit dans un désert sans peur d’y perdre sa vie pour un jeûne de 40 jours et voir le diable venir à lui pour tenter de le soumetre à ce qu’il dit ; Il résiste à ses paroles trompeuses, tentantes, prononcées en rapport avec une situation circonstanciée et deux situations créées artificiellement, notamment en leur opposant des Paroles de Dieu à propos .

- Fort de ce qu’il n’a rien laissé comme emprise à Satan, Jésus entre dans trois ans et demi
     - d’enseignements nouveaux, révolutionnaires, qui s’opposent à la prétendue vertu des religions comme à l’aliénation des corps et des âmes, par des paroles et par
     - des manifestations de puissance visant à démonter qui il est – « le fils unique de Dieu » et un fils d’homme qui prend le risque de perdre son existence incarnée pour en soulager, délivrer, guérir, ressusciter d’autres ;

     - mais il faut encore que Satan et quelques-uns des démons ses acolytes, soient laissés libres pour aussi les convaincre de leurs injustices, les dépouiller de leur domination, les mettant à notre portée pour les combattre et les vaincre... notre part de notre relation et vie éternelle avec Dieu se vivant dans la foi.

CHOISIR ENTRE DIEU ET SATN C'EST CHOISIR ENTRE BIEN ET MAL DOMINANTS

Le bien, le bonheur est parmi nous beaucoup moins permanence que le mal aux expressions multiples qui régulièrement nous perturbe, nous trouble, nous irrite, nous harcèle... Il dépend de nous de renverser ce rapport de forces, par notre foi placée en la force divine, compris la présenceet les capacités de ses anges.

Si ce n'est fait, venez à Dieu avant que la porte de sa Grâce, de son pardon, de la réconciliation et paix éternelles avec lui ne se ferme. ici >> un guide pour prier de manière personnelle et efficace en ce sens <<

 

 

ses ingrédients étant l’amour, la gentillsse, la paix, de bonnes relations…

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21 juin 2023 3 21 /06 /juin /2023 15:23

 

Si le super-milliardaire Elon Musk (première ou seconde fortune mondiale selon les mois) n’est pas maître de son destin, qui peut prétendre l’être !?

Avec un capital (inimaginable) de quelque 200 milliards de dollars, cet homme peut avoir tout ce qu’il veut du monde matériel.
Mais existent aussi des réalités d’ordre psychique, sentimental, ou spirituel, qui ne peuvent pas s’achèter ou se contrôler, comme l’amour, la paix, la joie ou la santé.

 

CE QUI EST ET CE QUI PEUT NOUS ORIENTER

Dans une interview (du 19 juin 23 sur France 2), Elon Musk a avoué (à demi-mots) un constat dramatique : après avoir développé ce qu’on appelle l’AI ou IA – l’intelligence artificielle -, il a désiré et déclaré arrêter purement et simplement le développement de cette voie.
… Mais les autres leaders de firmes en lice dans ce domaine, n’ont pas voulu l’écouter ! La course au développement se poursuit donc « le nez dans le guidon ». Il avoue dès lors devoir – être comme obligé - lui aussi de continuer.


On peut comprendre que c’est pour se tenir informer et pour veiller au grain dans une certaine mesure – une certaine mesure pas si certaine que ça. Et donc, il n’est pas plus maître que d’autres de ce qu’il a mis en route ni même de ce qu’il voudrait se retirer.


A mon échelle, alors que j’avais eu avec ma femme le fort sentiment de faire moins de reportages photo et notamment en abandonnant les plus éloignés des courses, quand une nouvelle saison de sport automobile a commencé, l’idée de laisser la place aux photographes concurrents a été la plus forte. Résultat : à la première course loin de chez nous je suis frappé et projeté dans un ravin par un bolide qui sort de la route ! (récit sur ce blog en cliquant sur Accueil).

Ainsi rien que la force d’une pensée – comme d’une parole – peut nous orienter et changer le cours de notre existence. Mais qui apprend ou sait naturellement qu’existent 4 sources bien distinctes qu'il est bon de connaître, à toutes les pensées !? (voir article)

 

CE QUI EST ET CE QU’ON PEUT INVENTER

 

En entendant le patron de Tesla sur l’intelligence artificielle, et en connaissant un peu ce qui fait la prospective et les prophéties bibliques, on comprend qu’il a aperçu ou vu vers quoi l’humanité est dirigée sur les plans de la pensée et des comportements, par ce type de technologie : Des machines, à qui on donne de nos capacités cognitives avec plus de puissance encore que nous en avons chacun individuellement !

Et le tout forcément, sans la moindre parcelle de conscience réelle, d’émotions, de sentiments, de sagesse. Nous voilà pris plus fort que jamais dans le vortex dénoncé par Rabelais il y a bien longtemps : « Science sans conscience n’est que ruine de l’âme ».
Âme dont cette pseudo-science centrée sur la matière et tout ce qu’on peut lui attribuer, a perdu jusqu’à la notion, attribuant – à tort – au cerveau les capacités et potentialités qui sont de l’ordre psychique (du grec psyché qui désigne l’âme) et de l’esprit.


Avec ce développement informatique*, on va vers une déshumanisation totale (déjà bien avancée partout avec l’internet et les réseaux dits sociaux) des administrations, dans et entre les entreprises et les moindres de nos relations.
Face à des « voix » semblables à celles de personnes réelles, on ne pourra plus discuter, échanger. On ne pourra que suivre des instructions vocales robotisées, qui n’admettent ni questions sorties d’un répertoire fixé, ni incompréhension, ni contestation. On devra subir les chemins balisés par des fonctions mécanisées.

 

Mécanisées et non objectives car les données emmagasinées dans des serveurs et logiciels auront été formatées par la vue de leurs concepteurs. Vue forcément imparfaite, partielle et partiale, à l’à propos limité… bref de la technologie hautement élaborée mais aussi à l’image des humains que nous sommes, où même très intelligents nous sommes insuffisants, dépassés, sur plus d’un point important nous concernant.

 

Après les satellites et relais de transmissions, les derniers éléments physiques existants, tout ne sera qu’ondes et particules en réseaux et connexions informatisés, numériques, déterminés à la manière – mais avec moins de pertinence – dont le Créateur a organisé les plantes et les animaux, avec des routes prédéfinies à suivre… sauf à mourir de non-réponse ou de non-accord ou connivence.

 

DU VIEUX RÊVE AU CAUCHEMAR EN 3D

 

Elon Musk a pu voir le spectre de cet effet totalitariste activé par la machine, évident à la moindre observation et réflexion lucide –, semblable au monstre sans nom créé par Franskenstein et qui lui échappe.
Toujours la vieille histoire de notre condition adamique dégénérée, et du rêve utopiste de s’arranger soi-même via une théorie, une hypothèse,une idéologie, une technique ou même une religion, tout ce qui est bien incapable d’agir bénéfiquement et durablement sur nous.


Rêve eugéniste d’un être humain sans défauts, d’un OGM humain parfait comme un robot à la carte-mère bien imprimée et auto-activable.
Bref, le contraîre de la manière dont Dieu nous a créés – libre –, pour nous laisser entrer – ou pas – dans son dessein bienveillant, pour y participer en conscience, dans une relation d’amour à croire possible et à établir entre Lui et nous.
On se souvient que Nietzsche s’est élevé à cette pensée d’un sur-homme jusqu’à en perdre personnellement la raison (il finit misérablement son existence dans ce qu’on appelait alors « un asile de fous »). Et de cette pensée démoniaque à quoi il s’était soumis, il ouvrit pour Hitler le dramatique concept de « race aryenne », supérieure, souveraine pour décider de la vie de tous.

Et il devint - lui le petit autrichien brun sombre – le porte-voix et lance-flamme haineux tourné contre les juifs jusqu’à désirer (avec d’autres) les faire tous disparaître de la planète.

Voilà bien un" service de nettoyage" manifeste de l’humain quand quelqu'un se soumet aux pensées des démons, ces anges déchus ennemis de Dieu et donc des juifs qui figurent très physiquement son peuple.

 

NOS PLUS GRANDS ET PUISSANTS ENNEMIS SONT LA

 

 

Pour comprendre ce monde corrompu, le mal qui domine et grandit et toutes les souffrances qui en découlent, il ne faut jamais perdre de vue, ou apprendre, que le monde présent est toujours régi non par des êtres humains (politiques, entrepreneurs ou financiers), mais par une gente (junte) spirituelle invisible terrible, des hordes extra-terrestres formées de beaucoup d’anges dégradés, pervertis, déformés, sortis et tombés de leur rang... mais encore puissants. Ils forment dans un ciel spirituel (le second ciel) une sphère ténébreuse, satanique, démoniaque, interagissant parmi nous sur toute la planète.
Comment ?

Via des pensées malignes, des religions, des idéologies, des politiques, des concepts controuvés, notre ignorance, nos coeurs méchants, tordus, trompeurs, égocentriques…, selon des préjugés, peurs, superstitions, idolâtrie, de la fausse-science, une crédulité naïve là où nous devrions être dans la foi** qui vient de la connaissance des vérités fondamentales formant le Réel avec ses tenants et aboutissants.

 

Ainsi, le développement de sciences nano et bio-techonologiques sans Dieu, rejoint le mythe (ou la réalité) de « la boîte de Pandore » ou encore la chambre interdite du château de Barbe-bleue.
La tentation de se donner plus d’aise, plus de connaissance, rejoint pareillement ce qui a été décrit bien avant la Grèce antique, avec le récit de la chute et dégradation traumatique du genre humain par soumission à Satan le chef rusé des anges déchus se présentant sous la forme d’un serpent séduisant. La Bible, livre de la Genèse, chap. 3.

 

DU SERPENT A DEUX « BÊTES »

 

« fortifiez-vous dans le Seigneur, et par sa force toute-puissante. 11 Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. 12 Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. » lettre aux Éphésiens ch. 6,10...

 

Pour le temps de la fin de cette histoire millénaire dominée par les démons invisibles et se matérialisant quelquefois – qui est le temps dans lequel nous sommes –, le livre de l’Apocalypse (le dernier de la Bible) nous fait connaître l’apparition d’une, puis deux « bêtes » (en grec therion, animal sauvage), une qui va être terrible par ses contraintes et violences mortifères, les deux redoutables, ravageuses par la séduction et manipulation.
C'est ce dont on nous parle parfois déjà par le terme "gouvernance mondiale".

 

Ces bêtes ne sont donc pas des démons à proprement parlé ; ce sont des organisations de leur cru parmi nous, à partir de quelques-uns d’entre nous à qui ont été donnés du pouvoir et de l’autorité, la première bête tenant les rênes politiques et économiques de la planète, l’autre qui encense sa souveraineté et incite à lui obéir en toute confiance, étant de l’ordre spirito-religieux : une bête fourbe formée par un syncrétisme des religions monothéistes et autres sectes importantes.


On lit un descriptif de ces deux systèmes formant ce qui se veut le prochain gouvernement unique, sans concurrence et contre-pouvoir efficaces possibles, qui vise à soumettre tous à leurs stratégies de domination, au chapitre 6 (les 4 chevaux) puis aux chapitres 13 et suivants du livre de l’Apocalypse...

 

Quelle ignorance et orgueil de chercher encore à s’améliorer individuellement par toutes sortes de techniques de développement de soi – ce qui laisse toujours au moins un domaine du caractère ou des pulsions qui nous échappent –, ou à imaginer un homme parfait qu’on va fabriquer nous-mêmes, du sein de notre imperfection !

 

AVEC LA FOI EN CHRIST, ACCÈS A UNE VIE TOUTE NOUVELLE


Ignorance contre quoi Jésus - et son Evangile - est venu pour ouvrir la voie à une humanité toute nouvelle, créant à la jonction du Divin et de l’humain une race toute nouvelle, un autre Adam qui paraitra un jour (très prochain) au grand jour en des cents millions d’exemplaires, après que ce Jésus fut le premier sorti de la mort comme prémices de cette création qui sera sans fin…

 

Selon le principe créatif de correspondance, l’image de la chenille (par exemple) nous aide à voir que cette vue n’est pas une élucubration hors-sol. Notre première partie d’existence (athée, agnostique ou religieuse par mimétisme) correspond à celle de la chenille ; puis une naissance spirituelle est possible, pouvant nous métamorphoser (lire l’Evangile selon Jean, chap. 3, 1-21), d’abord en une forme genre  chrysalide (une vie nouvelle pas forcément très reluisante et attirante de prime abord, mais qui correspond dans ce monde, pour un peu de temps, à la transformation de notre "psycho-ADN" (ou personnalité), pour un jour paraître dans la prochaine création (Apocalypse ch. 21), comme paraît un papillon sorti de sa chrysalide ou de son cocon.

 

ALORS, MAÎTRE DE QUEL DESTIN !

 

Être maître de son destin serait que tous nos désirs, tous nos projets, nos demandes, nos attentes, aient leurs accomplissements. Sans oublier ce fait patent que nous sommes mortels et sans solution face à cet ultime jugement.
Problématique que Dieu nous invite à dépasser, en trouvant en lui bien plus de vie que ce qu’enseignent (ou voilent) une culture athée ou même la religion…


Quel pouvoir avons-nous réellement sur cette fatalité qu’est la mort et la domination d’un mal ou d’un autre... et sur l’après de notre âme !
Car comme beaucoup de cellules continuent à vivre après la mort avérée (comme les cheveux et les ongles poussent encore), nous sommes une âme dont le corps n’est qu’un véhicule temporaire : Il a servi à son émergence (par le sang notamment dit la Bible et doit pouvoir prouver la science), et un jour il ne lui sert plus, semblable au premier étage d’une fusée qui lance une tête spatiale, une capsule dans le ciel avant de s’en détacher quand sa poussée est terminée...

 

Si vous désirez venir à Dieu pour le connaître d’esprit à Esprit, pour naître spirituellement de lui ; en vue d’être secouru, de trouver sa paix, et de vivre à la suite éternellement, >> ici une page pour vous aider à formuler une ou quelques prières efficaces <<

 

Dans ce blog (et ailleurs) bien d'autres articles pour tout ce qui ne peut pas être développé ici. 
Aussi possibilité d'échange par le bouton Contact sur la droite.

___________________
* dans « information », il y a aussi informe, c’est-à-dire confusion, absence de lumière, car l’information en toutes ses parties sans intelligence transcendante, sans l’intelligence supérieure qui est et que donne l’esprit (humain et de Dieu),

 

*** La foi ou « appel à … (à autre chose d’inconnu) est un principe premier – et pré-premier car Dieu a la foi quand il crée –, quand quoi aucun mouvement du vivant n’existerait.
Ce qui fait qu’objectivement, on doit admettre que nous sommees tous par nature des êtres de croyance, ce qui s’exprime de manière sous-jacente, inonsciente, chez les animaux et dans nos commencements, puis qui s’applique à divers chemins qu’on imagine, entrevoit ou se donne, en fait dans tous les domaines de notre existence, qu’on soit croyant, agnostique ou ou athée… l’athée par exemple croyant que Dieu n’existe pas…
Selon le schéma d’organisation des choses du « 3 et 1 font 1 », dans la connaissance de Dieu il en est comme dans le domaine des dévoilements d’ordre scientifique, on part
- d’une réflexion, intuition, écoute, observation personnelle,
- d’où on émet une hypothèse, un postulat à vérifier,
- on cherche à expérimenter si cela marche, si c’est vrai,
- et on arrive à une conclusion qu'on appelle thèse, théorie, doctrine, certitude) dont l’épreuve a fait la preuve.
Ainsi, dans « l’amour de la vérité », on va trouver des vérités qui nous concernent et intéressent...

 

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8 juin 2023 4 08 /06 /juin /2023 18:03

OÙ SE TIENT LA PAIX ?

Paix des nations et entre elles, paix et sécurité dans les rues et paix dans les cœurs, nous voudrions tous ces bénédictions - sauf certains pour qui la lutte est le seul moteur (intérieur et sociétal) -, mais la bonne volonté ni les bonnes intentions n'y suffisent.

Trop de situations persnnelles peuvent nous dépasser, nous submerger, nous faire couler.
Mais pourquoi donc continuer sans Dieu alors qu'il est là - jamais très loin -, et alors que nous voyons bien que nous n'y arriverons pas plus cette fois que les précédentes !

De la même manière que nous avons du apprendre sur tout le reste, apprenons de Dieu ce qui nous est nécessaire pour vivre au mieux l'existence précaire où jamais rien n'est assuré à partir de nos propres forces.

Croyons, croyez Dieu sur Parole, plus encore que simplement croire qu'il existe et ne rien voir de lui dans nos besoins quotidiens.
Car "'l'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu." La Bible, Mathieu 4.4

Et l'essentiel, le vrai, le bon, durable et digne de confiance sorti de la bouche de Dieu est toute la Bible, avec la seconde partie (le Nouveau Testament) qui accomplit e n la spiritualisant la première (Ancien Testament) - un peu comme un papillon qui devient/sort d'une chanille.

Le sens de nos acquisitions en tous genres, est toujours "Croire pour voir" ou "croire pour savoir". Ce qui veut dire qu'on n'apprend tous que par un principe universel qui est la croyance ou la foi. Ce qu'on peut aussi appelé un "appel à..." rejoindre, à entrer dans, à s'approprier quelque chose qu'on n'a pas ou ne connaît pas.

Ce qui fait que "c'est par la grâce que vous êtes sauvés (mis en relation avec Dieu, en paix avec lui par son pardon), par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. 9 Ce n'est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie." Ephésiens 2.9.

Et cette foi "vient de ce qu'on entend, et particulièrement de ce qu'on entend qui vient de la parole de Christ." Romains 10.17.

CHRIST JESUS, ARTISAN DE LA PAIX PAR SA MORT

"Dieu a voulu par lui (le Christ et Messie Jésus) réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix.
Et vous, qui étiez autrefois étrangers et ennemis par vos pensées et par vos mauvaises oeuvres, il vous a maintenant réconciliés par sa mort dans le corps de sa chair, pour vous faire paraître devant lui saints, irrépréhensibles et sans reproche, si du moins vous demeurez fondés et inébranlables dans la foi, sans vous détourner de l'espérance de l'Evangile que vous avez entendu, qui a été prêché à toute créature sous le ciel, et dont moi Paul, j'ai été fait ministre." Lettre aux Colossiens ch. 1

CRUCIFIXION ET FOI, SEUL MOYEN COMBINÉE DE LA FIN DU... RACISME

Pour ceux qui croient en Jésus le Christ, il est dit : " Maintenant, en Jésus-Christ, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang de Christ.Car il est notre paix, lui qui des deux (des juifs et des autres, les goïm) n'en a fait qu'un, et qui a renversé le mur de séparation, l'inimitié (le sentiment raciste), ayant anéanti par sa chair la loi des ordonnances dans ses prescriptions*, afin de créer en lui-même avec les deux un seul homme nouveau, en établissant la paix, et de les réconcilier, l'un et l'autre en un seul corps, avec Dieu par la croix, en détruisant par elle l'inimitié. Il est venu annoncer la paix à vous qui étiez loin (les non-juifs), et la paix à ceux qui étaient près (les juifs); car par lui nous avons les uns et les autres accès auprès du Père, dans un même Esprit." Ephésiens 2.13..

"Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. 18 Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu." 2e lettre aux Corinthiens 5.17...
 

Par la foi en cette mort par la croix, la force du mal qui nous pousse tous à mal relationner avec les autres, et notamment dans nos relations ethniques faites de couleurs de peau différentes, de cultures et/ou de religions différentes inconciliables, cette force d'inimitié est amoindrie ou érdiquée.
Ce qui avait poussé Caïn à tuer son frère Abel a été pris par Jésus sur son corps en ce qu'il a accepté l'effet meurtrier de cette cette haine contre le bien sur lui.
Il a ainsi
a) absorbé la force du mal pour que le mal habitant chacun qui croirait en lui soit de la sorte crucifié, mis à mort, pour ne plus être une force active de division avec tous les autres. Lire Romains ch. 7, vers. 15,25

b) délivré de l'emprise de leur religion ceux qui souffrent dans leur intégrité, de ne pouvoir obéir correctement à des commandements quià la fois privent de liberté et ne peuvent jamais produire plus de vie en nous - Lire Colossiens 2.13

c) dépouillé de leur force des démons puissants, qui se sont mobilisés pour provoquer la crucifixion si injuste de Jésus en tant qu'homme Lire Colossiens 2.15

Tout ce chapitre 2 de la lettre aux Colossiens explique le bénéfice profond qu'il y a à croire en la mort sacrificielle de Jésus...

Ainsi la foi en la mort expiatoire et propitiatoire du Messie et Christ Jésus rend active cette substitution du (seul) Juste pour la "justification" de tous les injustes (que nous sommes) qui le croient.

Si vous ne l'avez jamais fait, ici >> une page pour se remettre à Dieu par une prière à la fois personnelle et efficace <<

Pour mieux connnaître ce que Jésus a fait pour nous réconciler avec Dieu, ici
>> le film "La Passion du Christ" <<

ou là >> le film "Jésus l'enquête" (d'après un témoignage véridique) <<

__________________________
* En se soumettant parfaitement à la religion divine donnée à et par Moïse, Jésus l'a accomplie pour que ce ne soit plus par la difficile et impossible voie de la religion que nous ayons à tenter d'approcher Dieu ou de lui plaire.
La foi en Lui est donc le moyen universel non seulement de s'approcher de Dieu mais de vivre une relation intime avec lui, nous mis spirituellement en lui et lui en nous. (comme fut Jésus le premier avec son Père -  Jean 14... et voir d'autres articles). On n'est plus alors des gens religieux (ou athées) pas sauvés, mais des êtres spirituels en paix avec Dieu par le don de son Esprit Divin.

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19 mars 2023 7 19 /03 /mars /2023 17:30

 

Des effets d'optique existent,
q
ui peuvent nous montrer
une réalité ou une autre,
selon comment on y regarde :
Un vase ou deux profils, ce qui n'est pas du tout la même chose !

Dans le religieux et le spirituel aussi...

 

CAR IL Y A LUMIÈRE ET LUMIÈRE

Si vous êtes devenu-e chrétien-ne, votre existence est passée des ténèbres foetales de ce monde - qui ne permettent de saisir ni les réalités de Dieu, ni des anges, ni des démons, ni du sens de notre incarnation et de notre devenir éternel possible - dans la lumière comme du soleil - du soleil de la justice gracieuse de Dieu -, qui consiste en l'ajout de l'Esprit Divin en nous, en alliance avec notre âme (notre moi ou ego conscient).

MARCHER SUR LA VOIE FAVORISANTE

Mais attention à ne pas déchoir de cette grâce, savoir que la vie chrétienne se marche sur un chemin droit très particulier, qui n'est

- ni l'autoroute vertigineuse de la "mondanité" avec ses flots d'informations abrutissantes, partisanes du matérialisme athée, mêlées d'immoralité, de corruptions, de manipulations, de compromis, de "magouilles", de libéralismes trompeurs...,

- ni le légalisme dominant d'une religion quelconque, où c'est l'obéissance issues de nos propres efforts qui nous permet - peut-être - de plaire à Dieu, de pouvoir un jour - peut-être le rencontrer après la mort physique.

Pour bien saisir ce qu'il en est de la subtilité entre
   - la grâce de Dieu d'une part (qui nous permet de devenir un véritable de Dieu, héritier de ses promesses, et
   - la religion d'autre part,  lisez ou écouter bien >> ici un enseignement capital (G3) <<
Pour bien suivre, notez que dans ce chapitre le terme "la Loi" est synonyme de religion, où "les oeuvres de la Loi" sont les efforts personnels requis pour tacher d'être un bon croyant, une bonne croyante, qui, malgré ses applications à bien faire, ne peut jamais être sûr-e d'être bien reçuèe par Dieu.
Tout cela constitue quelque forme de croyance qui est sans rapport avec ce que Dieu attend des croyants : qu'ils aient accès à Dieu "par la foi". une vraie foi en Dieu, qui vient de Dieu.
C'est au point où les mots Loi (religion) et Foi sont présentés comme antagonistes, incompatibles au fond. 
Bonne lecture ou écoute, toute éclairée par la présence révélatrice de l'Esprit même de ce Dieu qui par la Bible nous enseigne ainsi.

>> ici cet enseignement capital (G3) <<

Pour revenir sur toute la série, c'est >> ici le premier article <<

Et pour prier encore ou pour la première fois, >> ici le guide pour vous piloter dans du contenu de prières personnalisables et efficaces  <<

Ma prière :Mon Dieu, Père de toutes les créatures, je te demande ton nécessaire de Grâce pour qui lit ici.

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9 mars 2023 4 09 /03 /mars /2023 18:30

UNE POSITION (SPIRITUELLE) "EN" DIEU, "EN" CHRIST

Les richesses dont le chrétien/la chrétienne peuvent enrichir leur vie intérieure (et même la santé du corps) sont nombreuses, surnaturelles et très concrètes en même temps, source de vitalité, de compréhension, de paix, de repos, d'assurance, d'espérance...

Quiconque croit selon la Bonne Nouvelle de Christ, n'est plus "extérieur" à Dieu, n'est plus quelqu'un 'du dehors" de Dieu, mais se trouve introduit par Dieu lui-même "dans" la dimension spirtuelle de la sphère (l'univers, le royaume) divine infinie. 

>> lire ou écouter ici ce qu'il en est de certaines de ces richesses qui sont liées à la foi que nous accordons aux paroles et à la personne (unique et multiple) de Dieu (E1) <<   

Prier, c'est parler à Dieu.
Ici >> une page pour aider à formuler quelques prières efficaces... pourvu que vous y mettiez votre coeur <<

Pour mémoire ou complément ici >> le premier article de cette série ici R8 <<

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5 mars 2023 7 05 /03 /mars /2023 17:57

Tout le monde croit quelque chose, ou quelqu'un.
L'important est d'attacher ce qu'on croit aux vérités du Réel,
pour ne pas croire des mensonges qui égarent. (le footballeur Neymar)

- Si on ne croit qu'en la réalité de ce qui est visible ou matériel, on reste ignorant de 96 à 99 % de ce qui est réellement.
La preuve en est scientifique : personne ne sait ce que sont les 95 % de... (matière et/ou énergie sombres ou noires) fomant l'espace de l'univers.

- Si on ne croit pas que l'âme (la psyché en grec) est d'une autre nature que notre corps, on ne peut absolûment pas se connaître soi-même... donc pour l'essentiel se maîtriser nous échappe et les circonstaces nous dominent.

- Si on ne sait pas que nous sommes une âme dans une corps normalement escortée ou co-pilotée par un esprit (qui est originellement un don de l'Esprit Divin), notre connaissance du bien et du mal n'est que celle que la société, la culture (athée ou religieuse) nous inculque pour nous former sans se soucier ni de notre présent aléatoire ni de notre devenir éternel.

Dans ces cas et circonstances, on ne peut que mourir sans savoir où on (l'âme) va, alors même qu'elle ne peut aller que là où il n'y a pas Dieu - qui est tout le Bien -, puisqu'on ne se sera pas soucié de le connaître et de comprendre avec intelligence et objectivité le sens de notre présence ici et le pourquoi des difficultés de notre condition.

Ce genre - très répandu - d'ignorance ou d'indifférence - qui fait de nous des autistes par rapport au Réel dont Dieu fait parti est pour chacun, individuellement, un malheur bien plus important et durable que l'inconduite ou la corruption d'instances dirigeantes, que notre perte de pouvoir d'achat ou la façon inique dont nous sommes taxés (ou assistés).

La banalisation de la mort - des corbillards, des assassinats, des attentats, de l'omerta sur la vie après la mort physique, les législations qui permettent de tuer ce qui est de dimension physique sans souci de ce que la vie est psychique et spirituelle, des croyances religieuses contradictoires... -, tout est organisé pour que le travail besogneux ou le divertissement ("du pain et des jeux" comme dans l'antiquité) occupent suffisamment la conscience pour qu'on ne s'interroge pas.

Seules, parfois, ce sont des épreuves - des jugements sévères sur nos comportements (toutes formes de ruptures, accident, maladie, perte d'emploi, divorce, deuil... - qui parviennent à nous arrêter suffisamment pour... qu'on s'interroge - et encore -, ou pour permettre à Dieu de nous éclairer, de se révéler, de faire sentir sa réalité, de nous accorder un secours même pas attendu (lire le cas échéant mon témoignage 'Accidenté mais pas pour rien" en cliquant sur "Accueil").

LIBRE D'ENTENDRE, D'ECOUTER, DE CROIRE UNE CHOSE OU UNE AUTRE

Exemples à travers le chapitre 17 des Actes des Apôtres (Paul de Tarse en Grèce et parmi les philosophes d'Athênes) >> lire ou écouter ici pour ouvrir ou amplifier (si ce n'est déjà fait) la conscience à la dimension spirituelle du Réel, c'est-à-dire à une "connais-sens" accessible de Dieu <<

Si encore dans l'illumination de votre conscience, vous voulez prier le vrai Dieu (lui parler pour qu'il vous éoute), >> ici une page pour vous aider à formuler une ou des prières efficaces <<

Soyez béni-e pour toujours

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3 mars 2023 5 03 /03 /mars /2023 14:11

 

L’être humain ne s’améliore pas.
Ni par les siècles qui passent, ni par nos efforts à devenir meilleur, ni par des idées ou une culture nouvelles, ni par les religions ou le mysticisme : l’histoire, nos histoires personnelles et l’actualitémondiale le démontrent.

 

C’est à tel point que des vérités sur l’homme/la femme, vieilles de milliers d’années, ont toujours la même pertinence et force pour nous aider à nous voir au plus juste de ce que nous sommes : La Bible reste le livre par excellence de la connaissance de soi (et du Réel).

 

MIEUX NOUS NOUS CONNAISSONS, MIEUX NOUS POUVONS NOUS PORTER

 

Ainsi >> vous pouvez lire ici << ou bien >> Ecouter là << un passage significatif de la Bible : les QUATRE premiers chapitres de la lettre initialement adressée « aux Romains »...

 

 

ALORS, POUR ÉCHAPPER AUX EMPRISES DU MAL !

 

Il n’y a toujours que deux moyens pour être changé au point d’échapper à une ou plusieurs formes de domination du mal :
- subir des épreuves sévères, amoindrissantes, qui sont TOUJOURS des effets conséquents de NOS choix et comportements (et, éventuellement, collatéralement des choix et comportements de certains autres) ;
- ou inviter l’Esprit de Dieu à purifier notre intérieur en nous pardonnant du mal que nous avons fait ; à nous libérer du mal qui a triomphé de nous ; à venir prendre en nous sa place divine, ce qui produit « une nouvelle naissance », toute spirituelle, comme >> il est écrit ici <<.

 

Pour vous aider à trouver ainsi en Dieu, avec lui, le secours nécessaire pour échapper aux effets funestes présents et éternels du mal en vous, autour de vous et contre vous, ici >> un guide ici pour formuler une ou des prières efficaces (efficaces en soi par leurs mots et par la conviction avec laquelle vous les direz) <<.

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8 janvier 2023 7 08 /01 /janvier /2023 17:30

Le nom de Jésus en hébreu : Y'shoua,
ce qui signifie "Dieu sauve" ou "Dieu sauveur"

Cet article est la suite et fin dont >> le début est ici <<

 

G – « Je suis le bon berger »

Outre qu'il est la porte par laquelle le pécheur égaré entre en une relation apaisée et de filiation avec Dieu, Jésus se déclare comme étant le bon berger di psaume :
« Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis.
12 Mais le mercenaire, qui n'est pas le berger, et à qui n'appartiennent pas les brebis, voit venir le loup, abandonne les brebis, et prend la fuite; et le loup les ravit et les disperse. 13 Le mercenaire s'enfuit, parce qu'il est mercenaire, et qu'il ne se met point en peine des brebis. 14 Je suis le bon berger. Je connais mes brebis, et elles me connaissent, 15 comme le Père me connaît et comme je connais le Père; et je donne ma vie pour mes brebis. 16 J'ai encore d'autres brebis, qui ne sont pas de cette bergerie; celles-là, il faut que je les amène; elles entendront ma voix, et il y aura un seul troupeau, un seul berger. 17 Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre. 18 Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père. »

 


Un berger supervise les brebis entrées sous son secours et sa garde : il les nourrit en les conduisant vers de la nourriture riche et abondante :
Psaume 23 « Cantique de David. L'Eternel est mon berger : je ne manquerai de rien.

2 Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles. 3 Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom.

4 Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi: Ta houlette et ton bâton me rassurent. 5 Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires; Tu oins d'huile ma tête, Et ma coupe déborde.

6 Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront Tous les jours de ma vie, Et j'habiterai dans la maison de l'Eternel Jusqu'à la fin de mes jours. » 

 

Si les brebis et autres agneaux ou béliers mangent de l'herbe, en tant que membres du Corps vivant, mystique, de ce Sauveur, nous mangeons du pain, que Jésus est en lui-même
La foi doit apprendre à se nourrir des paroles de Dieu et de ce fils engendré en tant que race humaine. Sur ce plan Jésus a donné sa vie comme du pain...

 

 

H - « Je suis le pain de vie »

 

C'est une autre des paroles qui ont le plus subjugué les gens de la foule, de ses disciples même et des religieux qui l'entendirent.
« - Que devons-nous faire, pour faire les oeuvres de Dieu ?
29 Jésus leur répondit : L'oeuvre de Dieu, c'est que vous croyiez en celui qu'il a envoyé. 30 Quel miracle fais-tu donc, lui dirent-ils, afin que nous le voyions, et que nous croyions en toi ? Que fais-tu ? 31 Nos pères ont mangé la manne dans le désert, selon ce qui est écrit : Il leur donna le pain du ciel à manger.

32 Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, Moïse ne vous a pas donné le pain du ciel, mais mon Père vous donne le vrai pain du ciel; 33 car le pain de Dieu, c'est celui qui descend du ciel et qui donne la vie au monde. 34 Ils lui dirent : Seigneur, donne-nous toujours ce pain.

35 Jésus leur dit : Je suis le pain de vie. Celui qui vient à moi n'aura jamais faim, et celui qui croit en moi n'aura jamais soif. 36 Mais, je vous l'ai dit, vous m'avez vu, et vous ne croyez point. 37 Tous ceux que le Père me donne viendront à moi, et je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi; 38 car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m'a envoyé. 39 Or, la volonté de celui qui m'a envoyé, c'est que je ne perde rien de tout ce qu'il m'a donné, mais que je le ressuscite au dernier jour. 40 La volonté de mon Père, c'est que quiconque voit le Fils et croit en lui ait la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour.

41 Les Juifs murmuraient à son sujet, parce qu'il avait dit : Je suis le pain qui est descendu du ciel. 42 Et ils disaient : N'est-ce pas là Jésus, le fils de Joseph, celui dont nous connaissons le père et la mère ? Comment donc dit-il : Je suis descendu du ciel ? 43 Jésus leur répondit : Ne murmurez pas entre vous. 44 Nul ne peut venir à moi, si le Père qui m'a envoyé ne l'attire; et je le ressusciterai au dernier jour. 45 Il est écrit dans les prophètes : Ils seront tous enseignés de Dieu. Ainsi quiconque a entendu le Père et a reçu son enseignement vient à moi. 46 C'est que nul n'a vu le Père, sinon celui qui vient de Dieu; celui-là a vu le Père. 47 En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle. 48 Je suis le pain de vie. 49 Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts. 50 C'est ici le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point. 51 Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.

52 Là-dessus, les Juifs disputaient entre eux, disant : Comment peut-il nous donner sa chair à manger ? 53 Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'avez point la vie en vous-mêmes. 54 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle; et je le ressusciterai au dernier jour. 55 Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage. 56 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi, et je demeure en lui. 57 Comme le Père qui est vivant m'a envoyé, et que je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi. 58 C'est ici le pain qui est descendu du ciel. Il n'en est pas comme de vos pères qui ont mangé la manne et qui sont morts : celui qui mange ce pain vivra éternellement. » Jean 8.28...
 

Un long texte à la mesure de l'importance de son contenun tout spirituel, qui parle d'un Dieu qui se donne, et non d'une religion ou système religieux qui réclame certes de la croyance (religiosité de l'âme), mais pas forcément d'une foi typiquement spirituelle, de et par l'esprit.

 

Cette image de Jésus en tant que nourrissant l'âme, la foi et la vie éternisée, est si importante qu'avec celle du sang – versé sur la croix en tant que prix de la justice qui justifie celui qui croit –, Jésus a institué « la Sainte-Cène » ou « repas du Seigneur » comme mémorial à renouveler quand l'Esprit le met à cœur aux anciens ou membres de l'Eglise. (1Corinthiens 11.2326 – 10.16,17).

 

 

I - « JE SUIS »

Dans une nouvelle confrontation avec les religieux gardiens de l'orthodoxie de la religion fondée sur les Paroles de Dieu délivrées par Moïse, on entend Jésus dirent les paroles uivantes dont on comprend ce qu'elles produisirent sur eux :

«En vérité, en vérité, je vous le dis, si quelqu'un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. 52 Maintenant, lui dirent les Juifs, nous connaissons que tu as un démon. Abraham est mort, les prophètes aussi, et tu dis : Si quelqu'un garde ma parole, il ne verra jamais la mort. 53 Es-tu plus grand que notre père Abraham, qui est mort ? Les prophètes aussi sont morts. Qui prétends-tu être ?

54 Jésus répondit : Si je me glorifie moi-même, ma gloire n'est rien. C'est mon Père qui me glorifie, lui que vous dites être votre Dieu, 55 et que vous ne connaissez pas. Pour moi, je le connais; et, si je disais que je ne le connais pas, je serais semblable à vous, un menteur. Mais je le connais, et je garde sa parole. 56 Abraham, votre père, a tressailli de joie de ce qu'il verrait mon jour : il l'a vu, et il s'est réjoui. 57 Les Juifs lui dirent : Tu n'as pas encore cinquante ans, et tu as vu Abraham ! 58 Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, avant qu'Abraham fût, je suis.

59 Là-dessus, ils prirent des pierres pour les jeter contre lui; mais Jésus se cacha, et il sortit du temple.  » Jean 8.51...

 

Là Jésus se déclare être Dieu lui-même ! Il place ses paroles à la hauteur de celles prononcées par Dieu sur le Mont Sinaï, concluant qu'il est qui il est depuis avant l'existence d'Abraham qui véçut près de deux mille en arrière.


La formule « Je suis » prends ici une signification absolue, parce qu'elle est la réplique de ce que Dieu dit à Moïse quand il se présenta à lui sur la même montagne alors qu'il n'était encore qu'un berger :
«L'ange de l'Eternel lui apparut dans une flamme de feu, au milieu d'un buisson. Moïse regarda; et voici, le buisson était tout en feu, et le buisson ne se consumait point.

3 Moïse dit : Je veux me détourner pour voir quelle est cette grande vision, et pourquoi le buisson ne se consume point. 4 L'Eternel vit qu'il se détournait pour voir; et Dieu l'appela du milieu du buisson, et dit : Moïse ! Moïse ! Et il répondit : Me voici! 5 Dieu dit : N'approche pas d'ici, ôte tes souliers de tes pieds, car le lieu sur lequel tu te tiens est une terre sainte. 6 Et il ajouta : Je suis le Dieu de ton père, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob. Moïse se cacha le visage, car il craignait de regarder Dieu.

7 L'Eternel dit : J'ai vu la souffrance de mon peuple qui est en Egypte, et j'ai entendu les cris que lui font pousser ses oppresseurs, car je connais ses douleurs. 8 Je suis descendu pour le délivrer de la main des Egyptiens, et pour le faire monter de ce pays dans un bon et vaste pays, dans un pays où coulent le lait et le miel, dans les lieux qu'habitent les Cananéens, les Héthiens, les Amoréens, les Phéréziens, les Héviens et les Jébusiens. 9 Voici, les cris d'Israël sont venus jusqu'à moi, et j'ai vu l'oppression que leur font souffrir les Egyptiens. 10 Maintenant, va, je t'enverrai auprès de Pharaon, et tu feras sortir d'Egypte mon peuple, les enfants d'Israël.

11 Moïse dit à Dieu : Qui suis-je, pour aller vers Pharaon, et pour faire sortir d'Egypte les enfants d'Israël ? 12 Dieu dit : Je serai avec toi; et ceci sera pour toi le signe que c'est moi qui t'envoie : quand tu auras fait sortir d'Egypte le peuple, vous servirez Dieu sur cette montagne.

13 Moïse dit à Dieu : J'irai donc vers les enfants d'Israël, et je leur dirai : Le Dieu de vos pères m'envoie vers vous. Mais, s'ils me demandent quel est son nom, que leur répondrai-je? 14 Dieu dit à Moïse : Je suis celui qui suis. Et il ajouta : C'est ainsi que tu répondras aux enfants d'Israël : Celui qui s'appelle "je suis " m'a envoyé vers vous. 15 Dieu dit encore à Moïse : Tu parleras ainsi aux enfants d'Israël : L'Eternel, le Dieu de vos pères, le Dieu d'Abraham, le Dieu d'Isaac et le Dieu de Jacob, m'envoie vers vous. Voilà mon nom pour l'éternité, voilà mon nom de génération en génération. 16 Va, rassemble les anciens d'Israël, et dis-leur: L'Eternel, le Dieu de vos pères, m'est apparu, le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. »

 

A ce moment, le Dieu qqui s'est révélé à Abram déclare en hébreu « Hayah » (un vocable de quatre lettres, un premier tétragramme), ce qui signifie « Je suis qui je suis » ou « Je suis celui qui est ».
On ne peut pas dire qu'il s'agit d'un nom propre, mais plutôt qu'une affirmation de ce qu'il est éternellement, par opposition à tout le reste, qui a un commencement.

 

On voit d'autant plus qu'il s'agit d'un verbe – le verbe Être –, qu'au verset 15, reprenant cette définition essentielle de sa personne, ce Dieu l'emploie à la troisième personne quan il dit à Moïse comment parler de lui : Tu leur diras « Yawhé », en hébreu un autre tétragramme verbal qui exprime la même idée d'éternité absolue et en même temps de dynamique en rapport de l'écoulement du temps, qu'on traduit par la formule « Celui qui est, qui était et qui vient ».

 

Et c'est précisément l'expression que Jésus emploie face aux religieux, déclarant par là qu'il est à la fois cet « ange de l'Eternel » du verset 2 (de l'ébreu malak qui peut se traduire par ange, messager ou envoyé), et l'Eternel lui-même comme il en est ensuite parlé.
On parle pour ce genre d'apparition de Dieu sous forme matérialisée ou humaine de théophanie (du grec
théos : Dieu, et phaïnesthaï « se montrer »).

 

Dans l'épître du Nouveau Testament adressée aux Hébreux, il est écrit au sujet de l'apparition de Jésus : «Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, 2 dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde, 3 et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s'est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts, 4 devenu d'autant supérieur aux anges qu'il a hérité d'un nom plus excellent que le leur. 5 Car auquel des anges Dieu a-t-il jamais dit : Tu es mon Fils, Je t'ai engendré aujourd'hui ? Et encore : Je serai pour lui un père, et il sera pour moi un fils ? 6 Et lorsqu'il introduit de nouveau dans le monde le premier-né, il dit : Que tous les anges de Dieu l'adorent !7 De plus, il dit des anges : Celui qui fait de ses anges des vents, Et de ses serviteurs une flamme de feu. 8 Mais il a dit au Fils : Ton trône, ô Dieu, est éternel; Le sceptre de ton règne est un sceptre d'équité; 9 Tu as aimé la justice, tu as haï l'iniquité; C'est pourquoi, ô Dieu, ton Dieu t'a oint D'une huile de joie au-dessus de tes égaux. 10 Et encore : Toi, Seigneur, tu as au commencement fondé la terre, Et les cieux sont l'ouvrage de tes mains; 11 Ils périront, mais tu subsistes; Ils vieilliront tous comme un vêtement, 12 Tu les rouleras comme un manteau et ils seront changés; Mais toi, tu restes le même, Et tes années ne finiront point. ».

 

Pus tard, après sa glorification, Jésus fait monter l'apôtre Jean jusqu'à son trône céleste d'où il ui révèle par sept visions ce qui va devenir le livre de l'Apocalypse (du grec apocalupsis, qui veut dire révélation).
Et Jean rapportant ce qu'il a vu, écrit : « Jean aux sept Eglises qui sont en Asie : que la grâce et la paix vous soient données de la part de celui qui est, qui était, et qui vient, et de la part des sept esprits qui sont devant son trône,
5 et de la part de Jésus-Christ, le témoin fidèle, le premier-né des morts, et le prince des rois de la terre ! A celui qui nous aime, qui nous a délivrés de nos péchés par son sang, 6 et qui a fait de nous un royaume, des sacrificateurs pour Dieu son Père, à lui soient la gloire et la puissance, aux siècles des siècles ! Amen !

7 Voici, il vient avec les nuées. Et tout oeil le verra, même ceux qui l'ont percé; et toutes les tribus de la terre se lamenteront à cause de lui. Oui. Amen ! 8 Je suis l'alpha et l'oméga, dit le Seigneur Dieu, celui qui est, qui était, et qui vient, le Tout-Puissant. »

 

 

On a encore là des expressions de la divinité absolue de Jésus en ce qu'il a été, est et sera de toute éternité la Parole de Dieu « la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. » (Jean 1.1), capable de se montrer (même pour figurer la trinité de Dieu aux yeux d'Abraham (Genèse???), et finalement capable de s'incarner pour former un fils à la fois de Dieu et de l'homme, devenu par sa mort, résurrection et glorification, Dieu-homme ou Homme-Dieu.

 

C'est en cela que la Bible dit encore que le nom de Jésus (qui se décline sous de nombreuses formes selon les langues) est le nom le plus haut qui soit prononçable !
« Sachez-le tous, et que tout le peuple d'Israël le sache! C'est par le nom de Jésus-Christ de Nazareth, que vous avez crucifié, et que Dieu a ressuscité des morts, c'est par lui que cet homme se présente en pleine santé devant vous.
11 Jésus est La pierre rejetée par vous qui bâtissez, Et qui est devenue la principale de l'angle. 12 Il n'y a de salut en aucun autre; car il n'y a sous le ciel aucun autre nom qui ait été donné parmi les hommes, par lequel nous devions être sauvés. » Livre des Actes, 4.10...

 

Puisse cette vue et vie de Jésus changer votre existence et vie temporaires par une compréhension éclairée et acceptée de qui est Dieu, par exception avec toutes les réalités invisibles ou visibles qu'il a créées. Car c'est ainsi, par une foi toute personnelle, qu'on est joint à Dieu dans sa divinité et éternité...

 

 

Les 9 et 12 « Je suis » (eimi dans la langue du Nouveau Testament) sont en résonnance profonde avec qui est Dieu en lui-même, et en quoi les mots qui apparaissent ainsi expriment en quoi consiste ses faces dynamiques.

En plus de ces affirmations, le nom même de Jésus est porteur de sens. Dans la langue hébraïque de son pays, c'est Yeshoua, ce qui veut dire Salut ou Dieu sauve.

______________________
 * Toutess ces paroles se trouvent dans le Nouveau Testament, dans la Bonne Nouvelle selon Jean : ch. 4. 25,26 – 6.35 – 8.12 – 8.58 – 10.9 – 10.11 – 11.25 – 14.6 – 15.1

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28 novembre 2022 1 28 /11 /novembre /2022 18:05

Que pouvait-il faire de plus que de venir en chair et mourir crucifié 
- pour nous montrer combien nos fautes - qu'il prend alors sur lui - ont des conséquences terribles : les souffrances, le non sens, et la mort ;

- pour nous sauver de la puissance addictive du mal sur chacun de nous et d'une mort spirituelle plus grave encore que la mort physique ;

- pour qu'on puisse recevoir son Esprit comme force pour nous éclairer, pour nous convaincre de ce qui est vrai, pour nous enseigner en vérité l'histoire du monde et la connaissance de soi, et encore comme la vie même éternelle de Dieu qu'il partage avec nous...

La Bible, 1 Jean 4 : "La crainte n'est pas dans l'amour, mais l'amour parfait bannit la crainte; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n'est pas parfait dans l'amour. 19Pour nous, nous l'aimons, parce qu'il nous a aimés le premier. 20Si quelqu'un dit: J'aime Dieu, et qu'il haïsse son frère, c'est un menteur; car celui qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il ne voit pas ?…"

"Car, lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies. 7 A peine mourrait-on pour un juste; quelqu'un peut-être mourrait-il pour un homme de bien. 8 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous. 9 A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère. 10 Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie. 11 Et non seulement cela, mais encore nous nous glorifions en Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ, par qui maintenant nous avons obtenu la réconciliation.

12 C'est pourquoi, comme par un seul homme le péché est entré dans le monde, et par le péché la mort, et qu'ainsi la mort s'est étendue sur tous les hommes, parce que tous ont péché,. 13 car jusqu'à la loi le péché était dans le monde. Or, le péché n'est pas imputé, quand il n'y a point de loi. 14 Cependant la mort a régné depuis Adam jusqu'à Moïse, même sur ceux qui n'avaient pas péché par une transgression semblable à celle d'Adam, lequel est la figure de celui qui devait venir. 15 Mais il n'en est pas du don gratuit comme de l'offense; car, si par l'offense d'un seul il en est beaucoup qui sont morts, à plus forte raison la grâce de Dieu et le don de la grâce venant d'un seul homme, Jésus-Christ, ont-ils été abondamment répandus sur beaucoup. 16 Et il n'en est pas du don comme de ce qui est arrivé par un seul qui a péché; car c'est après une seule offense que le jugement est devenu condamnation, tandis que le don gratuit devient justification après plusieurs offenses. 17 Si par l'offense d'un seul la mort a régné par lui seul, à plus forte raison ceux qui reçoivent l'abondance de la grâce et du don de la justice régneront-ils dans la vie par Jésus-Christ lui seul. 

Ainsi donc, comme par une seule offense la condamnation a atteint tous les hommes, de même par un seul acte de justice la justification qui donne la vie s'étend à tous les hommes. 19 Car, comme par la désobéissance d'un seul homme beaucoup ont été rendus pécheurs, de même par l'obéissance d'un seul beaucoup seront rendus justes. 20 Or, la loi est intervenue pour que l'offense abondât, mais là où le péché a abondé, la grâce a surabondé, 21 afin que, comme le péché a régné par la mort, ainsi la grâce régnât par la justice pour la vie éternelle, par Jésus-Christ notre Seigneur." Lettre biblique aux Romains chap. 5.

Ainsi,"Crois au Seigneur Jésus, et u seras sauvé-e, toi et ta famille".

Pour entrer dans une relation vivante avec Dieu, épurée de vos fautes et de tout mal, >> ici une page pour guider dans une ou des prières efficaces <<

Soyez maintenant touché-e par la Grâce divine !

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