Journées uniques parce qu'en même temps
les plus sombres de la Terre
et les plus glorieuses de l'Amour, de la Grâce,
du Grand Pardon Divin
pour nous rouvrir la porte d'une
VIE TOUTE NOUVELLE, PARFAITE ET ETERNELLE :
PASSEZ DU POTENTIEL ACQUIS A SON ACTUALISATION
EN VOUS !
LES PÂQUES (Christique) et/ou LA PÂQUE (juive) :
LA FÊTE LA PLUS IMPORTANTE au sujet de notre relation - SEPARÉE ou RECONCILIÉE - avec DIEU
REMPLACEMENT DES RELIGIONS-SYSTEME PAR LA FOI AU DIEU UNIQUE
La venue de Jésus initia certainement le plus Grand Remplacement de tous les temps !
La première conversion la plus spectaculaire de la religion mosaïque (Loi ou Torah) à la foi en Jésus, en est une illustration des plus parlantes et interpellantes.
Il est un juif religieux vindicatif, grand défenseur de la Loi donnée par Dieu à ses pères : La visitation christique/messianique est si "renversante" que ce Saul (de Tarse) change même son nom et devient l'apôtre Paul. Pour lire ou écouter le récit de cette rencontre foudroyante avec Jésus ressuscité >> clic ici <<.
Expérience déterminante qui lui fit entre autres écrire à son tour : « C'est une parole certaine et entièrement digne d'être reçue, que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier. » 1 Timothée 1:1
C'est ce dont je témoigne aussi (à mon niveau de grâce et de foi) par ce blog (clic sur Accueil ou ici pour le lire), comme le disent aussi tous chrétiens « nés de Dieu » > selon les termes de son plan de rachat de nos âmes et de rédemption/sublimation consécutive des corps :
« C'est la parole de la foi que nous prêchons : Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut, 11 selon ce que dit l'Ecriture : Quiconque croit en lui ne sera point confus. » Livre aux Romains 10.8 - Quelle merveille de savoir et de pouvoir confesser ses péchés pour sortir libéré de leurs effets nocifs...
ORIGINE ET PERMANENCE DE LA VERTU SPIRITUELLE ETERNELE DU SACRIFICE DE JÉSUS
Lorsque le Dieu-qui-ne-change-pas... dit à Moïse d'instituer Pessah, la Pâque en l'honneur de l'Eternel (par l'obéissance des participants), il est en fait en train de rappeler le fondement oublié central qui régit la relation avec Dieu, oublié au fil de 430 ans de séjour au sein de la culture polythéiste/animiste égyptienne qui en a fait des israélites des seclaves.
Un fondement qui est l'unique moyen pour tous les humains et en tous temps, pour établir ou maintenir, trouver ou retrouver, une relation vivante (communion, connexion) avec Dieu (ce qu'on appelle rédemption, réconciliation, rachat, pardon, grâce...).
On trouve l'origine première de ce moyen dans le jardin (dit d'Eden = des Délices) organisé par Dieu comme modèle du champ de l'activité humaine basique, savoir premièrement travailler pour se nourrir par notre propre travail.
On lit dans ce passge une phrase concise mais pleine de signification (comme Dieu en a beaucoup, qui nous invite en même temps qu'elle informe à réfléchir, méditer, chercher à comprendre de quoi il s'agit) : « L'Eternel Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit. ».
Ainsi la chute devant la ruse satanique de ce couple - en qui sont toutes les générations à venir, jusqu'à nous -, ouvre pour la planète « l'ère des sacrifices », à la fois comme conséquence du mal et comme moyen de le réparer.
BASE DE LA JUSTICE DIVINE
Ce principe est expliqué à Moïse, des le 3e livre de la Bible : Adam et sa femme sont morts spirituellement en écoutant et croyant le serpent/Satan.
Pour les restaurer dans leur relation (originelle, spirituelle) avec Dieu, une autre créature, innocente, tiers médiateur, doit mourir : C'est le principe de la justice légale de Dieu qui dit « Oeil pour œil, dent pour dent, mort pour mort, vie pour vie. »
Ainsi eurent lieu en Eden, de la part de Dieu, les sacrifices de deux agneaux, pour couvrir la honte et autres effets des transgresseurs.
Tuer, parce que dit Dieu, « la vie (de l'âme) est (émerge, prend naissance) dans le sang (comme une émanation, de nature psychique) ». De la sorte la mort physique d'un animal se substitue à la mort spirituelle d'un fauteur.
C'est pourquoi à la suite, par toutes les religions par toute la planète, ont été offerts des sacrifices sanglants pour le péché, pour couvrir (effacer) les fautes et leurs conséquences, afin que se rallume, se ranime en nous, l'esprit qui apporte sa divine lumière à l'âme égarée.
Le Dieu-qui-a-de-la-suite-dans-les-idées-et-dans-ses-plans) vient ranimer très régulièrement le souvenir de ce principe de vie, dont l'effet est toujours bénéfiquement agissant pour qui le sait et l'invoque.
A l'opposi ne pas savoir ou abandonner laa mise en oeuvre de ce moyen de restauration de la justice sur nos vies, nous laisse livrer à diverses dynamisations mauvaises (sur le corps ou sur l'âme, par léefet de lois morales ou d'actions démoniaques).
C'est le vrai et on ne peut plus prsent drame pour l'âme individuelle et pour les sociétés humaines ignorantes de cette profondeur de la vie qu'on a reçue.
Voilà ce que rappelle en ce moment-même les fêtes de Pâques, sur deux plans d'effets différents.
A - La première (appelée La Pâque) rappelle aux juifs que leurs ancêtres devenus esclaves en Egypte en furent délivrés par la puissance agissante de Dieu qui permit à plus de deux millions de personnes de traverser la Mer Rouge à pieds secs.
Fête-souvenir qui n'a pas en elle-même l'effet profond d'alors, où le sang versé leur offrait la protection divine et une délivrance en conséquence de leur obéissance (la notion et conscience de péché, de bien et de mal, ne leur avaient pas encore été révélés) : Dieu pardonner par l'obéissance, ce qui est le principe de tout système religieux... et en même un moyen puissant pour convaincre tout homme/femme deêtre infidèles, puisque personne n'a la capacité d'obéir à tout ce que demande une religion...
D'où il ne peut résulter d'un tel système gourverneur de notre existence que de se conduire en hypocrite, en celui/celle qui fait semblant, ou en déprimé, triste, sans vie, tant le poids de la religion qu'on ne peut suivre nous abat... (3e réaction, on abandonne de croire, on apostasie...).
Or, la pratique non rituelle mais effective du sacrifice pour obtenir la grâce de Dieu est toujours de mise. Du moins si on veut aimer Dieu, lui plaire, se sentir bien dans notre relation avec lui.
En d'autres termes, pour rétablir notre relation avec Dieu coupée par une transgression, il y a toujours besoin du sang d'un animal innocent versé comme prix de chaque faute, de chaque « acte manqué » (sens du mot péché) pour en faire « l'expiation » (l'effacement, en être lavé, purifié).
> RELIGION = voie sans issue côté Ciel !
Aussi voilà pourquoi le repas pascal commémoratif du judaïsme (le seder) est surtout plus une image fnatastique (prophétique d'un autre vénement à venir, et venu), qu'une réalité puissante (en joie, en allégresse) par sa commémoration :
CHANGEMENT DE "PARDIGME" OU LA TRANSITION (TOUJOURS) NECESSIRE
Après 4 siècles de relations très houleuses avec leur Dieu (qui a cessé de parler), et par conséquence avec leurs ennemis (les opprimant en jugement de leurs désobéissances), le temps est venu de changer de voie de communication, de réconciliation, de relation spirituelle entre les terrestres que nous sommes et Le Céleste qu'Il est.
Il s'agit d'un meilleur moyen pour bien mieux assurer un effet salutaire à sa solution face à notre séparation (immédiate et éternelle) d'avec lui (qui est la source et le don et le détenteur exclusif du Bien qui ne s'nterrompt pas).
La règle du salut est donc désormais (depuis 2 000 ans pour tous),la délivrance de l'esclave du péché par la foi en la personne de Jésus (Yeshoua en son nom hébreu), Messie oint (Christ) divin, car il a été, et il est toujours,l'« Agneau de Dieu » venu prendre sur lui le péché/le mal du monde.
B - La fête célébrée par les chrétiens est donc appelée PâqueS, car elle englobe la précédente et l'événement qui à hangé la Pâque matérielle en une Pâque spiriuelle, où ce ne sont plus les corps seulement qui sont secourus et seront ressuscités, mais les capacités des âmes (de cognition, de sensibilité, de volonté (mal éclairée...) qui peuvent être reconditioonée pour la paix, l'amour et un bonheur qui n'aura pas de fin.
Ce qui se vit dans une condition comme foetale maintenant sur cette Terre, mais sera pleinement révélé et accompli dans la création célesto-terrestre qui suivra celle-ci...
Pour entrer dans ce plan nouveau des deux millénaires passés, plus bsoin de quantités de pratiques ritualistes, d'efforts insoutenables, de mortifications, de travail de développement sans effet notoire... Mais la foi comme orgne majeur de notre rédemption.
La foi en Celui seul qui a réussi à pbéir en tous points à la religion mosaïque, perfection qui lui a valu la jalousie, la convoitise, la haine des chefs religieux, au point où n'y tenant plus, ils l'ont arrêté et fait exécuter... par d'autres !
Dès lors, le rite des sacrifices d'animaux cessent, et comme les tznants de la religion ne le comprennent pas, Dieu fait détruire leur Temple (de Jérusalem, en 70), où les sacrifices devaient se faire.
Etcen'est pas du tout une nouvelle religion qui paraît, que Dieu donnerait, mais un nouveau chemin pour rejoindre Dieu ("en esprit et en vérité") de la manière la plus sécurisé, simple et accessible au plus grand nombre.
Elle est particulièrement active pour quiconque croit que Jésus est venu s'offrir comme un angneau au sang pur, faisant cesser dès lors toute la nécessité des sacrifices d'animaux, puisqu'il a été fait et péché et sacrtifice toujours actif pour qui le croit :
Rendu semblable aux pécheurs que nous sommes et fait sacrifice sanglant pour supporter à la place de tous – réellement au plan historique et potentiellement au plan spirituel - l'essentiel des souffrances qu'un être humain puisse subir, mort comprise.
Jésus est de la sorte l'accomplissement vivant offert une fois pour toutes,
- du bélier vu par Abraham à Morija, retenu à un buisson par ses cornes (attaché donc par Dieu à ses forces d'obéissance et de rédemption). >>lire ou écouter ce passge où Abraham prophétise en appelant ce lieu « Yawhé Jiré », ce qui signifie « le Dieu-Eternel pourvoira »...
Il pourvoira pour que les fils (et filles) des hommes ne soient pas tués, mis à mort spirituellement, par Satan qui veut déspiritualiser le genre humain pour en faire son bétail, un troupeau marqué par son nombre (666) avec qui il peut faire n'importe quoi... Genèse 22 << ;
- de l'agneau pascal institué sous Moïse à la sortie d'Egypte
- de tous les sacrifices sanglants anciens réclamés originellement par Dieu et encore pratiqués symboliquement de manière religieuse, la Bible appelant ces choses « l'ombre des réalités à venir », savoir le Christ Jésus venu changer le paradigme de la justice divine, ses exigences légales par sa grâce (comme présidentielle).
Grâce en ce que c'est la foi en ce Sauveur qui devient le levier premier, le pivot fondamental de la relation à Dieu, en lieu et place des efforts d'une obéissance religieuse servile qui ne satisfait ni qui cherche à la pratiquer ni Dieu.
La fête de Pâque est donc devenus pour les chrétiens enfants de Dieu (comme écrit au chapitre 3 de La Bonne Nouvelle de l'Evangile délivrée par Jean) une fête complète (groupant les deux catégories de fête, mémoriale et actualisée.
C'est la foi en la vertu permanente – hors du temps, éternelle – du sang du sacrifice (christique/messianique) – qui le rend actif quand il est invoqué.
Et pour donner à cette réalité éminemment spirituelle plus tangible pour lescroyants, Jésus a institué ce qu'on appelle « la sainte-cène »ou « repas du Seigneur »**, où
- le vin figure son sang versé pour le pardon des fautes dont la vertu est de se permettre à la vie spirituelle qu'elles arrêtent de reprendre son cours de Dieu à nous et inversement,
- et le pain rompu pour être partagé représente son corps donné afin que le croyant devient et soi cellule ou pierre vivante d'un édifice spirituel fantastique appelé « le Corps de Christ », qui est son Epouse (mystique éternelle), sa vigne en travail ou encore son Eglise (véritable) en tant que rasemblement vivant unique par Dieu du genre humain qu'il soustrait à la domination de Satan.
«Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu. » 2Corinthiens 5.17
Cela pour que le croyant puisse recevoir de Dieu une portion (les arrhes) de son Esprit : C'est lui qui la vie éternelle qui nous fait sortir de la mort spirituelle, échapper à la mort psychique (de l'âme siège de notre conscience de soi) et va transformer notre corps mortel en un corps nouveau incorruptible, aux capacités bien plus élargies, ce qui se vivra après la fin de ce monde dans une création (un univers) tout nouveau, sans mal et sans fin... >> lire ou écouter ici les 2 dernières chapitres de l'Apocalypse <<
« Car le salaire du péché, c'est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. » Romains 6.23
Pour vous aider si besoin, ici >> une page-guide de prières (efficaces) pour se mettre en ordre et en paix son existence face à Dieu et recevoir sa Grâce <<.
Un contact téléphonique est aussi possible en vous faisant connaître par le bouton Contact, me donnant votre numméro de téléphone et si vous êtes en France (u ailleurs.
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* Cependant toutes les libertés prises ne sont pas forcémnt bonnes, réellement libératrices ; on parle de libertés liberticides.Elles sont un basculement du type « aller de Charybde en Scyla », d'un mal dont on sort pour tomber dans un mal plus grand (plus contraignant encore, jusqu'à un esclavage sévère ou addiction).
** Avec le commadement d'Aimer, comme synthèse de tous les commadements divins, Jésus a simplifié au maximum les obligations à caractère rituel, avec seulement l'obligation du baptême - comme signe physique de l'invisible intérieur qu'est la naissance spirituelle (Jean 1.12, 13 et chap. 3 – 1 Pierre 3:21) - et l'invitation à rappeler par la sainte-cène ou repas du Seigneur la mort du Christ Jésus « jusqu'à ce qu'il (re)vienne » - ce qui approche très vite (1 Corinthiens 11:23 etc...).
Des témoignages des effets parfois fulgurants sur nos vies aujourd'hui :
«Assurément, cet homme était le Fils de Dieu».
Telles sont les paroles du centurion romain qui glorifia Dieu (Luc 23 :47) alors qu’il venait pourtant de participer à la crucifixion de Jésus. En ce vendredi de Pâques, découvrons comment le miracle de Pâques se vit encore de nos jours en Colombie.
Comme ce centenier, des hommes et des femmes s’en prennent violemment au corps de Christ, puis un jour se tournent vers Lui et reconnaissent Sa divinité et Sa seigneurie. En Colombie, ce sont d'anciens soldats de la guérilla qui sont devenus des pasteurs!
Ils étaient membres de groupes armés et, à un moment de leur vie, ils ont été touchés par le message de l’Évangile. Leur rencontre avec Jésus leur a fait prendre un chemin opposé à celui de la guerre et de la violence. Malgré l'opposition de leurs anciens complices, rien ne peut les faire renoncer à l’Évangile.
Comment des persécuteurs deviennent-ils persécutés?
Il y a deux catégories de fête : Celles qui rappellent un événement libérateur passé, et celles qui sont un moment dérivatif sans autre motif que se divertir d'un quotidien contraignant ?
D'un côté un souvenir de a solution divine à notre existence aliénée et chaotique, de l'autre c'est plutôt un oubli du fond ordinaire problématique de notre condition contrainte et contraignante.
.
Dans les deux cas le vin est généralement de la fête, ce que Dieu ne condamne pas puisque lors d'un mariage Jésus changea de l'eau en vin : après Mac modération ou les excès font partie de notre liberté, avec des effets conrespondants..
Mais que fêtent les fuifs d'une part, les chrétiens par ailleurs, outre un week-end prolongé dont tout le monde généficie ?
DEUX FÊTES DE PÂQUE(S)
Pour les deux types de croyants, il s'agit de se rappeler (célébrer, commémorer) une grande libération, le passage de deux conditions d'existence plutôt mauvaise ou franchement déplorable, à une liberté de penser, de parler ou de bouger qu'on ne soupçonnait même pas.
Comment comprendre que c'est Mac même fête, mais qui se vit d'une manière et pour une raison à Mac fois toute différente (dans l'aspect, Mac période, le déclencheur), mais aussi très semblable (dans la profondeur) ?
En fait on a comme afffaire d'abord à une réalité véritable qui est aussi une image, une préfiguration, d'une autre manière de faire, pour le même but, mais élargi, amplifié, sublimé, qui se réalise en un autre temps, d'une manière autre, sans rien changer à l'idée et à l'accomplissement d'une importante libération de contraintes sévères, resrictives, aliénantes et dégradantes.
D'UNE LIBERATION A UNE AUTRE
Ce que fête (par une semaine de solennités) le monde juif croyant, c'est la libération de l'esclavage dans lequel ce peuple (tous descendants d'Abraham et de sa femme Sarah) était tombé dans l'Egypte des temps pharaoniques... (ce que rapporte la Bible à partir du chapitre 37 du livre de la Genèse et dans celui de l'Exode à Mac suite).
Cela s'est passé il y a environ 3 400 ans, du temps de Moïse, où l'Eternel-Dieu demanda de sacrifier un agneau par famille, le sang de l'animal innocent tué leur assurant, par leur obéissance à pratiquer ainsi) la protection divine... et accessoirement la viande grillée pour leur donnant une bonne nourriture.
Cela donne le repas (seder en hébreu) de Pâque (Pessah), ce dernier mot évoquant le moment précis où le sang fait couverture/protection divine face à « l'ange de la mort » (que figure pour les jours que nous vivons « le cheval vert » dans le livre de l'Apocalypse) - Pour plus de détail >> article précédent ici <<... sachant encore que ce qui permet Mac protection maximum de Dieu, c'est le pardon des transgressions, que seul du sang innocent a le pouvoir d'effacer.
Et puis, il y a 2 000 ans, est apparu Jésus (Yshoua en hébreu, dont le nom signifie « Dieu sauve » ou « Dieu Sauveur »), engendré surnaturellement comme (d'un côté) un fils par Dieu-l'Esprit Dieu en sa fonction de concrétisateur/matérialisation des pensées ou concepts divins, et (d'un autre côté) comme fils d'homme (puisque engendré dans le sein de Myriam/Marie fiancé de Joseph).
La finalité de cette apparition théophanique est expressèment que Jésus soit « l'Agneau de Dieu qui ôte le péché/le mal du monde ». 1er chap. de cette Bonne Nouvelle écrite par Jean.
Ainsi, après avoir montré sa messianité (divinité) par des paroles étonnantes et d'une force et permanence inégalées, accompagnées/attestées (pour les valider) par quantité de signes, miracles et autres prodiges d'ordre surnaturel, Jésus dut aller jusqu'au bout de cette mission inouïe, savoir se laisser volontairement prendre la vie.
Par qui ? Par ceux d'alors que le mal dominait, leaders et population juifs qui se sont asociés l'occupant romain idolâtre, jusqu'à les rendre ensemble barbares, leur faisant commettre injustice sur injustice, jusqu'à la pire : Tuer avec haine et rage et dans toute leur impuissance face aux démons (esprits invisibles mais réels et présents) qui les excitaient - comme cela se fait pareillement de nos jours, au loin ou tout près.
Ainsi Jésus, qui n'avait que la vérité à dire pour éclairer ce monde ! - fut crucifié comme un pire brigand... mais pas du tout pour rien, car cela était précisément Mac réaction que Dieu savait d'avance et qui lui permettait d'accomplir son plan: Nous libérer et sortir de notre séparation mprtellle dramatique d'avec Dieu.
C'est ainsi que Jésus devint lui-même la Pâque – potentiellementfavorable à l'humanité entière -, l'agneau du sacrifice de Pessah, spiritualisant cette prescription ancienne imprescriptible en la laissant s'accomplir sur sa propre personne.
Aucun sacrifice ne fut jamais aussi conséquent, comme on peut le lire, l'apprendre et le voir dans le monde...
MORT, MAIS AUSSI RESURRECTION ET PLUS ENCORE
Après les manifestations de sa résurrection et de son élévation céleste, Pierre a pu s'écrier, après avoir reçu (avec 119 autres personnes) l'Esprit Divin comme preuve de la glorication du Messie Yeqhoua, Jésus « l'Agneau de Dieu » au pouvoir de pardonner les péches, par Dieu (en-ce-qu'il-est-immuable) : « Que toute la maison d'Israël (est le monde entier à Mac suite) sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié. » Livre des Actes 2:36 .
FÊTER UNE ET DES LIBERATIONS
Il y a deux catégories de fête : Celles qui rappellent un événement libérateur passé, et celles qui sont un moment dérivatif sans autre motif que se divertir d'un quotidien contraignant ?
D'un côté un souvenir, de l'autre plutôt de l'oubli.
Dans les deux cas le vin est généralement de la fête ce que Dieu ne condamne pas puisque lors d'un mariage Jésus changea de l'eau en vin : après Mac modération ou les excès font partie de notre liberté, avec des effets conrespondants..
Mais que fêtent les fuifs d'une part, les chrétiens par ailleurs, outre un week-end prolongé dont tout le monde généficie ?
DEUX FÊTES DE PÂQUE(S)
Pour les deux types de croyants, il s'agit de se rappeler (célébrer, commémorer) une grande libération, le passage de deux conditions d'existence plutôt mauvaise ou franchement déplorable, à une liberté de penser, de parler ou de bouger qu'on ne soupçonnait même pas.
Comment comprendre que c'est Mac même fête, mais qui se vit d'une manière et pour une raison à Mac fois toute différente (dans l'aspect, Mac période, le déclencheur), mais aussi très semblable (dans la profondeur) ?
En fait on a comme afffaire d'abord à une réalité véritable qui est aussi une image, une préfiguration, d'une autre manière de faire, pour le même but, mais élargi, amplifié, sublimé, qui se réalise en un autre temps, d'une manière autre, sans rien changer à l'idée et à l'accomplissement d'une importante libération de contraintes sévères, resrictives, aliénantes et dégradantes.
D'UNE LIBERATION A UNE AUTRE
Ce que fête (par une semaine de solennités) le monde juif croyant, c'est la libération de l'esclavage dans lequel ce peuple (tous descendants d'Abraham et de sa femme Sarah) était tombé dans l'Egypte des temps pharaoniques... (ce que rapporte la Bible à partir du chapitre 37 du livre de la Genèse et dans celui de l'Exode à Mac suite).
Cela s'est passé il y a environ 3 400 ans, du temps de Moïse, où l'Eternel-Dieu demanda de sacrifier un agneau par famille, le sang de l'animal innocent tué leur assurant, par leur obéissance à pratiquer ainsi) la protection divine... et accessoirement la viande grillée pour leur donnant une bonne nourriture.
Cela donne le repas (seder en hébreu) de Pâque (Pessah), ce dernier mot évoquant le moment précis où le sang fait couverture/protection divine face à « l'ange de la mort » (que figure pour les jours que nous vivons « le cheval vert » dans le livre de l'Apocalypse) - Pour plus de détail >> articles plus explicatifs ici <<... sachant encore que ce qui permet Mac protection maximum de Dieu, c'est le pardon des transgressions, que seul du sang innocent a le pouvoir d'effacer.
Et puis, il y a 2 000 ans, est apparu Jésus (Yshoua en hébreu, dont le nom signifie « Dieu sauve » ou « Dieu Sauveur »), engendré surnaturellement comme (d'un côté) un fils par Dieu-l'Esprit Dieu en sa fonction de concrétisateur/matérialisation des pensées ou concepts divins, et (d'un autre côté) comme fils d'homme (puisque engendré dans le sein de Myriam/Marie fiancé de Joseph).
La finalité de cette apparition théophanique est expressèment que Jésus soit « l'Agneau de Dieu qui ôte le péché/le mal du monde ». 1er chap. de cette Bonne Nouvelle écrite par Jean.
Ainsi, après avoir montré sa messianité (divinité) par des paroles étonnantes et d'une force et permanence inégalées, accompagnées/attestées (pour les valider) par quantité de signes, miracles et autres prodiges d'ordre surnaturel, Jésus dut aller jusqu'au bout de cette mission inouïe, savoir se laisser volontairement prendre la vie.
Par qui ? Par ceux d'alors que le mal dominait, leaders et population juifs qui se sont asociés l'occupant romain idolâtre, jusqu'à les rendre ensemble barbares, leur faisant commettre injustice sur injustice, jusqu'à la pire : Tuer avec haine et rage et dans toute leur impuissance face aux démons (esprits invisibles mais réels et présents) qui les excitaient - comme cela se fait pareillement de nos jours, au loin ou tout près.
Ainsi Jésus, qui n'avait que la vérité à dire pour éclairer ce monde ! - fut crucifié comme un pire brigand... mais pas du tout pour rien, car cela était précisément Mac réaction que Dieu savait d'avance et qui lui permettait d'accomplir son plan: Nous libérer et sortir de notre séparation mprtellle dramatique d'avec Dieu.
C'est ainsi que Jésus devint lui-même la Pâque – potentiellementfavorable à l'humanité entière -, l'agneau du sacrifice de Pessah, spiritualisant cette prescription ancienne imprescriptible en la laissant s'accomplir sur sa propre personne.
Aucun sacrifice ne fut jamais aussi conséquent, comme on peut le lire, l'apprendre et le voir dans le monde...
MORT, MAIS AUSSI RESURRECTION ET PLUS ENCORE
Après les manifestations de sa résurrection et de son élévation céleste, Pierre a pu s'écrier, après avoir reçu (avec 119 autres personnes) l'Esprit Divin comme preuve de la glorication du Messie Yeqhoua, Jésus « l'Agneau de Dieu » au pouvoir de pardonner les péches, par Dieu (en-ce-qu'il-est-immuable) : « Que toute la maison d'Israël (est le monde entier à Mac suite) sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié. » Livre des Actes 2:36 .
à suivre, à 11 h.
on verra aussi le rapport entre le sang du sacrifice et sa symbolique active le vin dans le "repas du Seigneur" ou "sainte-cène"...
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* Cependant toutes les libertés prises ne sont pas forcémnt bonnes, réellement libératrices ; on parle de libertés liberticides.Elles sont un basculement du type « aller de Charybde en Scyla », d'un mal dont on sort pour tomber dans un mal plus grand (plus contraignant encore, jusqu'à un esclavage sévère ou addiction).
** Avec le commandement d'Aimer, comme synthèse de tous les commandements divins, Jésus a simplifié au maximum les obligations à caractère rituel, avec seulement l'obligation du baptême - comme signe physique de l'invisible intérieur qu'est la naissance spirituelle (Jean 1.12, 13 et chap. 3 – 1 Pierre 3:21) - et l'invitation à rappeler par la sainte-cène ou repas du Seigneur la mort du Christ Jésus « jusqu'à ce qu'il (re)vienne » - ce qui approche très vite (1 Corinthiens 11:23 etc...).
Jérusalem - Canaan, Terre Promise à Abraham devenue Province romaine de Palestine - 3e décennie de notre ère. Jésus, né 33 ans avant, sait que l'heure est venue où, selon le plan (B) de Dieu envers l'humanité, il doit mourir. Il se laisse arrêter dans le jardin de Gethsémané. Dernier épisode d'une longue et dramatique histoire d'amour contrarié entre Dieu et nous les hommes.
1er acte : Chute humaine et couverture divine (se lit dans Genèse ch. 3). Jésus est arrêté dans un jardin, comme ce fut dans un jardin qu'à l'origine du Plan Divin A, le 1er couple du genre humain fut arrêté et sombra tout à coup sous la domination d'un ange (invisible) déchu (Satan, le diable, séducteur-trompeur et usurpateur) qui s'était servi d'un serpent pour ce faire. Le plan A capote, non parce qu'il n'est pas bon - la terre est un paradis -, mais parce que nous avons été créés LIBRE (d'aller hors du Bien, de suivre les voies des démons plutôt que celles du Divin).
On note dès ce commencement du mal sur la terre, que pour couvrir la nudité de l'homme et de la femme (dévoilée par le retrait de leur débordante lumière intérieure), l'Éternel-Dieu tue un, ou plus certainement deux animaux. C'est le premier sacrifice, le premier sang innocent versé à cause du péché - de la désobéissance à l'instruction divine, faute ici originelle - qui nous fait, à tous à la suite : manquer le but (c'est étymologiquement le sens du mot qu'on traduit par péché). C'est manquer le but du Plan A, qui était que nous neutralisions Satan et ses démons et devenions tous sur une terre paradisiaque éternels par et dans l'amour de Dieu, sans devoir expérimenter la mort. N'y étant pas parvenus, Adam et Eve sont atteints, abimés, traumatisés, dénaturés, par une force maléfique qu'ils transmettent génétiquement et psycho-génétiquement à toutes leurs descendances. C'est pour cela aussi qu'on doit mourir, pour ne pas être éternellement soumis à la loi du mal en nous et parmi nous. Tout est donc cohérent et a du sens (le vieillissement qui nous diminue progressivement compris).
C'est ainsi qu'on voit bientôt Caïn premier fils de la terre, tuer Abel son frère, sous la pression de Satan à qui il ne peut résister parce qu'il n'a pas obéi à Dieu qui a donné le sacrifice sanglant (on va voir pourquoi plus loin), et non une offrande des fruits de la terre, comme seul moyen de paix avec Dieu et de couverture spirituelle. (Genèse 4).*
On note encore ici qu'il s'agit - et s'agira toujours - du sacrifice d'une victime innocente, càd du versement d'un sang pur, ce que Dieu peut seul agréer pour que sa justice envers nous soit faite : c'est-à-dire pour qu'on soit rendu innocent nous-même après avoir fauté... Et donc pourquoi faut-il du sang versé jusqu'à la mort de la victime ? - Parce que dans notre ordre des choses, le sang est l'indispensable de la vie, le support de notre vie psychique (âme). Lévitique ch. 17. - Parce que la loi juste veut qu'on paie "oeil pour oeil, dent pour dent, vie pour vie". Ainsi est-il du a) réparation (quand c'est possible) vis-à-vis de la ou des personnes envers qui on s'est rendu coupable, et b) réparation envers Dieu - qui, dans tous les cas, est offensé par tout ce qu'on fait de mal dans/contre sa création. Envers lui, le prix de l'offense, c'est toujours une vie innocente pour prix d'une faute. Que la faute soit un mensonge, un vol ou un meurtre, le principe de justice est une mort pour chaque faute, quelle qu'elle soit. (C'est juste la richesse ou pas du coupable qui fait une différence, le sacrifice nécessaire pour couvrir une faute pouvant être soit une tourterelle, soit un animal de petit ou de gros bétail). la raison de ce principe de justice (on le redira) est simple : la moindre de nos fautes nous fait mourir dans notre relation à Dieu (mort spirituelle). Comme on coupe une fleur...
2e acte : L'épreuve d'Abraham, et sa signification Lecture de ce récit : Genèse, chap. 22. Dieu nous montre là, en l'enseignant à Abraham qui le pratique, que le sacrifice animal n'est pas un moyen qui durera toujours pour résoudre notre problème de pécheur/pécheresse face à Dieu. Le moyen définitif, qui réponde le mieux à la pleine justice, est celui de la mort d'un homme pour les fautes d'un ou plusieurs autres. Mais de quel homme ? D'Isaac comme sacrifice d'un fils 'innocent) pour les fautes de la maison d'Abraham ? De quel homme si pur que Dieu pourra accepter sa mort comme prix des fautes à pardonner ?
Le Dieu de toujours annonce là - qu'il se pourvoira lui-même, c'est-à-dire qu'il se donnera lui-même, un jour, à la place des animaux, l'homme nécessaire pour la couverture des fautes commises... Et encore - que c'est par la foi en lui - puisqu'il paiera tout lui-même à notre place - qu'on sera pardonné et rendu juste devant Dieu... C'est-à-dire qu'on échappera à la mort spirituelle qui forme séparation immédiate et éternelle d'avec Dieu. (événement illustratif prophétique des "serpents brûlants").
3e acte : Dieu fait sortir d'Égypte une branche de la descendance d'Abraham - Lecture Exode ch. 12 Les hébreux ou israélites ayant communautairement abandonné le Dieu de leurs ancêtres Abraham et Sarah, étaient devenus esclaves en Égypte. Entendant leurs cris et voyant leur misère, ce Dieu de leur père (le Dieu créateur venu au secours d'Adam et d'Eve), leur envoie Moïse (et Aaron) comme instrument(s) de sa libération.
C'est lors de cette délivrance des hébreux que Dieu donne à Moïse le rite de la Pâque, qui va se confirmer être le moyen par lequel Dieu couvre (pardonne) les fautes des pécheurs (des manqueurs de cible) que nous sommes, et par là peut nous délivrer. Il faut donc aux israélites revenir à la pratique du sacrifice initial : Cela prend un nom : Pessah en hébreu.
A partir de là, la bête "sans défaut et sans taches" immolée pour protéger l'homme devient - le mémorial de la nuit terrible où "l'Ange exterminateur" chargé de tuer tous les enfants premiers-nés d'Égypte fut obligé de passer au-dessus* des maisons des hébreux/israëlites dès lors que le linteau et les montants de leur porte avaient été aspergés de sang. (Exode ch. 11 et 12) ; - le rappel de la nécessité de sacrifier pour être en ordre, Dieu étant apaisé envers nous et nos fautes, et nous étant apaisé en nous-même et avec les autres ; - et, avec tout le reste de ce que Moïse va recevoir à écrire, c'est la codification de ce rite expiatoire et propitiatoire** - qui est à vivre comme une loi, une obligation de faire, mais surtout avec à propos et avec le coeur... (Lecture Exode ch. 12).
4e acte : Jésus, "l'Agneau qui ôte le péché du monde." Voilà un Dieu qui a de la suite dans les idées : Environ 4 000 ans après Adam et Éve, et 1 500 ans après Moïse, parait Jésus que le prophète Jean dit le-baptiste présente de cette curieuse manière : "Voici l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde". Dieu accomplit sa promesse et prophétie dite il y a bien longtemps à Abraham : Il se fait homme lui-même, par un spermatozoïde parfait qui le figure parfaitement, qu'il dépose surnaturellement dans l'utérus d'une jeune fille vierge, Myriam (Marie chez nous) : Voilà la Parole de Dieu faite Jésus dans un corps humain. Il aura donc les deux natures et identités, de fils d'homme et de fils de Dieu.
- Comme fils de Dieu il va montrer qui il est par la puissance de l'Esprit qui lui est accordé sans mesure. Il va guérir, délivrer de démons et manifester d'autres signes miraculeux de sa divinité (résurrections de morts). Surtout, il dit qu'il a lui, le pouvoir de pardonner les péchés... parce que bientôt il va faire "le nécessaire" pour que son pardon ne soit pas une injustice, mais le bénéfice d'une justice absolue. Quand c'est l'heure de la Pâque, il va se réduire à n'être plus qu'homme seulement. Pourquoi ?
- Comme fils d'homme, comme l'un d'entre nous, de chair et de sang, - il va devoir obéir en tout aux commandements et prescriptions de la religion mosaïque (judaïsme) de ses pères charnels, afin de délivrer de tous les jougs de religiosité quiconque croira qu'il a ainsi pris sur lui le poids terrible que posent, par des rites et des devoirs, toutes les religions sur leurs fidèles. (Matthieu 5). - et il va "faire le nécessaire" pour cela, en devenant "l'Agneau de Dieu" - la réalité incarnée que figurait le bélier qu'Abraham voit à Morija comme substitut de son fils Isaac.
L'arrestation de Jésus se passe dans le jardin des souffrances (Gethsémané veut dire "pressoir à huile", là où la tentation de renoncer est la plus forte. Il lui faut cadenasser là le puissant effet sur tout le genre humain (passé, présent et à venir) de la chute d'Adam survenue dans le 1er jardin (d'Eden, "des délices"). Jésus subit un jugement sans justice, qui le condamne à mourir comme un des meurtriers de la terre. Il est cloué nu sur la pièce de bois qu'il a porté jusqu'au lieu de son supplice, ce qui forme une croix sur laquelle sont aussi cloués ses pieds. Golgotha (le "mont du crâne", lieu de cette exécution) se substitue à Morija (où Abraham aurait eu à sacrifier son fils). (Il n'est pas impossible que ce soit le même endroit...).
En ce jour funeste, la torture dure des heures, sous le soleil, les injures et les moqueries de tous, sous la sueur et le sang qui ruissellent, piquent les yeux, font cuire les plaies, attirent les mouches, collent les poussières comme la langue au palais. "Il n'a plus l'apparence d'un homme". Il est la poubelle du monde, le réceptacle de tous les maux et de toutes les souffrances... "Il est fait malédiction... pour nous !" - Par Satan et ses démons qui tournent autour de lui et excitent la foule dans une hystérie collective comme il en parait par moment. - Par Dieu qui se sert des méchants - il suffit qu'il se retire de nous pour qu'on puisse tous en devenir - pour exécuter de cette manière inouïe son Plan B.
Sur la croix Jésus les bras grand ouverts est fait rempart entre la justice de Dieu avec ses justes jugements et nous pécheurs, pécheresses, qui méritons de les subir à un moment ou à un autre. Il meurt physiquement parce que nous sommes mortels. Et son Père céleste par l'Esprit-Saint va le ressusciter, pour que nous aussi qui croirons le surnaturel absolu de cet événement soyons de la même manière ressuscités. (Il y aura deux résurrections distinctes, d'abord celle des justifiés par leur foi, et bien plus tard celle des méchants, des incrédules, en vue de leur jugement sur la base de leurs oeuvres)...
Pâque ! Jésus est en croix. Il a 7 paroles, dont celle-ci, qui dépasse tout : "Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu'ils font." Qui pourrait pardonner en pareille circonstance !?... Le 3e Ciel montre sa colère : celui de la terre devient noir, des éclairs claquent, une pluie soudaine, la stupeur, l'angoisse, la sidération parmi les "acteurs/spectateurs" : des morts vont bientôt sortir des tombeaux...
C'est la nouvelle Pâque, juive et universelle ! Celle commencée au temps de Moïse selon une alliance avec Dieu scellée sur le Mont-Sinaï. Ici Jésus est fait - Péché, à notre place - serpent brûlant -, "le salaire du péché, c'est la la mort."... - Il est fait Pâque, par son sang qui va pouvoir interdire à l'Ange exterminateur (Satan et ses démons) de toucher à ceux qui se réfugient sous ce sacrifice.
C'est pourquoi depuis, les sacrifices animaux ont cessé en Israël et parmi les israélites/juifs. En sont-ils interrogés ? Ce devrait être la moindre des choses ! Comme aussi pourquoi ne comprennent-ils pas leurs Écritures, comme par exemple à la lecture du chapitre 53 du livre de leur prophète Isaïe ! Satan aveugle toujours l'homme qui ne se repent pas, qui trône dans son système controuvé et dans son orgueil.
5e acte : Quand la mort de Jésus et son sang nous purifie de tous péchés Comment tout se mit en mouvement pour le bénéfice de toute la terre : Actes des apôtres ch. 2
A mon tour un jour j'ai été atteint par ce message et touché par ce Dieu qui est le Créateur, le Dieu d'Abraham, de Moïse... de Pascal... Sa grâce ouvrit le ciel à sa présence. Il m'a fallu du temps avant que je n'arrive au pied de cette croix sanglante, infâme, ignominieuse, barbare et salvatrice à la fois, moi pécheur ayant besoin d'être soustrait à l'emprise du diable (à cause de pratiques malveillantes et occultes, d'écritures mal inspirées...). Et le Sauveur potentiel de tout le monde est devenu celui qui ME sauve, celui qui est meurt pour MOI ! À cause de moi (de mes fautes), autant que pour moi (pour que je puisse en être pardonné et poursuivre la route dans une relation avec lui qui sera sans fin). Dieu est un Dieu personnel : à découvrir personnellement ; et avec qui relationner sans intermédiaire - que Jésus qui est à la fois Dieu et médiateur du fait de son incarnation.
Connaissez-vous déjà Dieu ainsi ? Créateur et Sauveur, chez qui depuis 2 000 ans son amour a surpassé sa justice, sa grâce ayant englouti notre condamnation.
__________ * le nom de Pâque en hébreu est Pessah (prononcer Pessar), qui signifie "passer au-dessus". On le retrouve dans le nom chrétien de la Pâque en anglais : Passover (le nom anglais profane étant Easter).
**On peut ici comprendre que le sacrifice sanglant initié par Dieu et qui est mis en oeuvre de façon satisfaisante par Abel, n'a cependant pas été suffisamment compris par lui - comme on le voit encore parmi nous dans les religions dites chrétiennes -. Ce sacrifice en effet est - substitutif - la bête est sacrifiée à notre place pour que nous n'ayons pas nous-même à mourir pour prix de notre faute, - propitiatoire - càd qu'il est vu par Dieu comme une offrande qui nous le ren propice, favorable, - et expiatoire - ce qui veut dire que l'animal expie, càd paye pour nos fautes, à notre place. (Sur cette base de compréhension, on peut saisir ce qu'est véritablement la mort de Jésus sur une croix...
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.