Alléluia !
C'est le cri de la victoire de Dieu et des chrétiens nés (spirituellement) de lui, sur le mal-dominant et triomphant en dehors de la foi en l'Oeuvre Pascale accomplie par le Messie et Christ Sauveur, Jésus Yeshoua (son nom hébraïque) "l'Agneau de Dieu (sacrifié) pour ôter le péché du monde".
Les preuves de cette résurrection et glorifiaction céleste éternelle, en un faisceau indiscutable, sont innombrables :
-depuis l'envoi du Saint-Esprit Divin lors de la fête de Chavouoth - la Pentecôte " lire ou écouter ici <<
- jusqu'à aujourd'hui où des cents millions de chrétiens nés de cette crucifixion et du Saint-Esprit en témoignent :
EN COLOMBIE
Des témoignages aux effets parfois fulgurants sur nos vies, de nos jours : ici ce qui se passe au coeur des trafics mafieux
«Assurément, cet homme était le Fils de Dieu».
Telles sont les paroles du centurion romain qui glorifia Dieu (Luc 23 :47) alors qu’il venait pourtant de participer à la crucifixion de Jésus. En ce vendredi de Pâques, découvrons comment le miracle de Pâques se vit encore de nos jours en Colombie.
Comme ce centenier, des hommes et des femmes s’en prennent violemment au corps de Christ, puis un jour se tournent vers Lui et reconnaissent Sa divinité et Sa seigneurie. En Colombie, ce sont d'anciens soldats de la guérilla qui sont devenus des pasteurs!
Ils étaient membres de groupes armés et, à un moment de leur vie, ils ont été touchés par le message de l’Évangile. Leur rencontre avec Jésus leur a fait prendre un chemin opposé à celui de la guerre et de la violence. Malgré l'opposition de leurs anciens complices, rien ne peut les faire renoncer à l’Évangile.
Comment des persécuteurs deviennent-ils persécutés?
Pâque ! Jésus meurt fournaise de la croix,
est ressuscité !
Il peut désormais sauver et réunir
les hommes/femmes/enfants de toutes tribus, de toutes langues :
il est le bon lien, possible, unique, entre JE et US (NOUS).
Il vit éternellement, actuellement sur le trône de Dieu,
avant de revenir - bientôt - sur terre...
Superman, Spiderman, Zorro, Goldorak, L'homme qui tombe à pic... Les personnages héroïques ne manquent pas, sauveurs des faibles ou du monde perdu ou menacé. Juste qu'il s'agit de poupées de cire ou de son, d'images colorisées, virtuelles, d'histoires inventées... Alors qu'avec Jésus on est dans le vrai !
On est dans l'authentique, le vécu à son paroxysme
- en puissance (Il a ressuscité des morts, même en décomposition)
- et en faiblesse (apparente et effective, quand on l'arrête et le crucifie).
On est dans la chair vive, sans cuirasse et sans doublure, dans le sensible jusqu'au sang, dans l'angoisse existentielle et cosmique, dans la douleur la plus véritable et sans morphine.
Fait-on plus de cas de Jésus pour autant ? Étonnant, non !?... Qui s'étonne du deux poids deux mesures ?
N'y a-t-il pas déjà là plus qu'un paradoxe, une interrogation absolue !?...
Pourquoi ne présentons-nous pas Jésus à notre progéniture dans la vérité qu'il est et de ce qu'il a fait ? À notre jeunesse en mal de vivre et en manque de repères, nous offrons des héros de papier ou tout numérique : pourquoi ne faisons-nous pas connaître - aussi, d'abord - Jésus avec enthousiasme, comme le seul héros véritable pour l'humanité ? Lui dont le sacrifice fut pour que nous restions globalement libres.
Pourquoi ne savons-nous pas mieux qu'il a empêché, il y a 2 000 ans, que l'humanité ne soit totalement asservie à Satan et à ses démons via un empire qui se serait développé à toute la terre habitée ?*... Ce qui serait arrivé qu'il avait échoué. Quelle conscience avons-nous de cela ?... Et de ce qui encore arrive* ?...
- C'est de la religion, nous dit-on ! - Bah, Jésus c'est religieux ! C'est pas pour moi, je suis athée !...
Suffit-il qu'on entende dire que la vie et la mort et la résurrection de Jésus sont associées à la religion, pour qu'on se détourne ou pour qu'on soit dégoûté de cet essentiel ?
Religion, le mot épouvantail, qui éloigne de Dieu bien plus qu'il n'en rapproche. Parce qu'on ne sait pas ! Parce qu'on ne sait pas ce qu'est la religion dans la pensée de Dieu ! Même parmi les croyants ! Et alors on amalgame, on coagule !
Mais qui crie, ici comme pour d'autres choses, et à cause de la vérité : Padamalgam ! Arrêtons cet amalgame !**
Quelle autorité ou association aimant la vérité, se soucie de ce qu'on amalgame Dieu et religion, comme si l'une représentait l'Autre ? Quelle obscurité donc nous environne, au point où nous ne l'apercevons même pas !?
Noël, avec la crèche et les cadeaux - et victuailles et alcools - ; Pâques, avec les oeufs, cloches ou lapins en chocolat ! Et voilà toute l'histoire de ce que Jésus est venu faire sur la terre ! Voilà toute l'oeuvre du diable, quant à la connaissance du fils de Dieu, en occultation ou négation de tout le bien qui pourrait - qui peut potentiellement - nous revenir de cette crucifixion inimitable ! Tout le bien : immédiat, et compris l'éternisation glorieuse de la personne que je suis, que vous êtes, que tu es !
Pendant longtemps pour moi aussi la naissance de Jésus ou Pâques étaient tout au plus des (occasions de) festoyer... voire de faire pire que d'habitude. Et c'est ainsi chez chacun, tant que le voile de l'incrédulité ou de la religiosité nous masque le Réel tel qu'il est (que ce soit même dans la nature, comme dans sa dimension surnaturelle).
C'est pourquoi il faut une vraie révélation, un mouvement de Dieu en notre faveur, pour que soudain on se mette à voir, à entendre, à comprendre comme cela n'a encore jamais été pour nous. Il faut aussi parfois à certains la grâce d'un retour à Dieu, quand on l'a perdu de vue en cours de chemin, parmi les épines ou pierres tranchantes de notre cheminement. Ainsi, à un carrefour ou dans une halte, l'Esprit de Dieu peut se rendre perceptible, peut révéler Jésus, peut réapparaisse.
Car cette histoire millénaire est loin d'être achevée : d'ailleurs elle est sans fin, puisqu'elle ouvre la vie des hommes sur l'éternité de Dieu.
Lecteur nouveau ou ancien, lectrice de même, êtes-vous déjà en lien - spirituel - avec cette vie de résurrection de Jésus, le Christ pour toutes les nations et Mashiah d'Israël qui veut devenir sauveur personnel de tout un chacun ?
Si oui, réjouissez-vous en ! Si non, c'est bien là qu'il ne faut pas remettre à demain ce qui peut se faire le jour même. Ne permettez pas à Satan de vous détourner par une pensée vaine ou un appel futile...
Lecteur, lectrice, soyez tous individuellement sauvés ! C'est ce que Dieu veut, et c'est ma prière : À ce moment-là, il ne dépend plus que de... Qui ?! Trame de prière
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* C'est ce qu'aurait été l'empire romain si Jésus et ses disciples à la suite ne l'avait pas fait tomber - directement par leur résistance dans la foi, ou par des ennemis extérieurs suscités en représailles de tout le mal fait aux chrétiens...
Mais l'Histoire et cette histoire n'est pas finie, qui va bientôt mal évoluer par l'avènement d'un nouvel empire - appelé déjà nouvel ordre mondial, dont la tête invisible sera de la même espèce...
** Jésus n'a de rapport avec la religion que
- pour engloutir lui-même dans sa mort l'aspect légaliste et ritualiste de la religion - même la plus parfaite -, ce côté système qui en fait un joug pesant et sans efficacité contre le mal qui habite le coeur de tous ;
- pour mettre à jour ce qui nous habite tous : quand on est religieux surtout l'hypocrisie ; quand on est militaire ou soumis à des pressions, la méchanceté, la cruauté, l'ingratitude et autres perversions...
D'une réalité unique (comme cette image), on peut souvent voir de plus d'une manière.
Que contient-elle, qu'en voyez-vous ?*
Idem de Pâques...
Les bienfaits que nous pouvons tirer annuellement de la fête de Pâques - jour férié, pont, vacance scolaire, retrouvaille familiale (mais pas cette année !), consommation de chocolat (Muuh)... - sont bien peu de choses par rapport à la portée de l'événement qu'elle rappelle.
Il serait vraiment dommage d'entendre parler de Pâques sans jamais rencontrer le sens de cet effroyable et formidable événement aux effets planétaires inachevés !
REMPLACEMENT DES RELIGIONS-SYSTEME PAR LA FOI AU DIEU UNIQUE MORT ET RESSUSCITÉ
La première conversion la plus spectaculaire de la religion mosaïque (Loi ou Torah), est celle d'un juif religieux vindicatif, grand défenseur de la Loi donnée par Dieu à ses pères : Saul, devenu l'apôtre Paul par sa rencontre foudroyante avec Jésus ressuscité >> lire ou écouter ce récit ici <<.
Ce qui lui fit écrire à son tour : « C'est une parole certaine et entièrement digne d'être reçue, que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier. » 1 Timothée 1:1
C'est ce dont je témoigne aussi par ce blog (clic sur Accueil pour le lire), comme le disent aussi tous chrétiens « nés de Dieu » > selon les trermes de son plan de rachat des âmes et de rédemption/sublimation consécutive des corps :
« C'est la parole de la foi que nous prêchons : Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut, 11 selon ce que dit l'Ecriture : Quiconque croit en lui ne sera point confus. » Livre aux Romains 10.8
ORIGINE ET PERMANENCE DE LA VERTU SPIRITUELLE ETERNELLE DU SACRIFICE (anthropologie holistique)
Lorsque le Dieu-qui-ne-change-pas... dit à Moïse d'instituer Pessah, la Pâque en l'honneur de l'Eternel (par l'obéissance des participants), il est en fait en train de rappeler le fondement oublié, par 430 ans de séjour au sein de la culture polythéiste égyptienne,
Un fondement qui est l'unique moyen pour tous les humains pour établir ou maintenir, trouver ou retrouver une relation vivante (communion, connexion) avec Dieu (ce qu'on appelle rédemption, réconcliation, rachat, pardon, grâce...).
On trouve l'origine première de ce moyen dans le jardin (dit d'Eden, ce qui signifie Délices) fait par Dieu comme modèle du champ de l'activité humaine basique, savoir premièrement travailer pour se nourrir >> principe permanent redit ici <<.
On lit dans ce passge une phrase concise mais pleine de signification (comme Dieu en a beaucoup, qui nous invite en même temps qu'elle informe à réfléchir, méditer, chercher à comprendre de quoi il s'agit) : « L'Eternel Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit. ».
Ainsi la chute devant la ruse satanique place par ce couple - en qui sont toutes les générations à venir, jusqu'à nous -, ouvre pour la planète « l'ère des sacrifices », à la fois comme conséquence du mal et comme moyen de le réparer.
BASE DE LA JUSTICE DIVINE
Le principe est expliqué à Moïse, des le 3e livre de la Bible : Adam et sa femme sont morts spirituellement* en écoutant le serpent/Satan. Pour les restaurer dans leur relation (originelle, spirituelle) avec Dieu qui est essentiellement Esprit), une autre créature, innocente, doit mourir : C'est le principe de la justice légale de Dieu qui dit « Oeil pour œil, dent pour dent, vie pour vie. »
Ainsi eurent lieu en Eden les sacrifices de deux agneaux, pour couvrir la honte des transgresseurs. Tuer parce que dit Dieu, « la vie (de l'âme) est (émerge, prend naissance) dans le sang (comme une émanation, de nature psychique) ».
C'est pouquoi à la suite, par toutes les religions par toute la planète, ont été offerts des acrifices sanglants pour le péché, pour couvrir (effacer) les fautes et leurs conséquences, afin que se rallume, ranime en nous, l'esprit qui apporte sa divine lumière à l'âme égarée.
Ainsi le Dieu-qui-a-de-la-suite-dans-les-idées-et-dans-ses-plans vient ranimer très régulièrement le souvenir de ce principe de vie, dont l'effet est toujours bénéfiquement agissant pour qui le sait et l'invoque.
Pratique dont l'ignorance ou absence de considération est un vrai drame pour l'âme individuelle et pour les sociétés humaines qui ne connaissent pas cette profondeur anthropologique utile à "la vie pleine".
Voilà ce que rappelle en ce moment-même les fêtes de Pâques.
A - La première (appelée La Pâque) rappelle aux juifs que leurs ancêtres devenus esclaves en Egypte en furent délivrés par la puissance agissante de Dieu qui permit à plus de deux millions de personnes de traverser la Mer Rouge à pieds secs.
Fête-souvenir d'un événement ancien qui n'a pas en elle-même l'effet profond d'alors, où le sang versé leur offrait la protection divine et une délivrance par le pardon de leurs péchés confessés et, en conséuence, la purification (bonne santé) de leurs corps ; effet perdu puisqu'ils ne mettent plus en pratique ce commandement fondamental de leur Loi (religion) qui dit que chaque faute nécessite une vértable offrande sanglante.
En d'autres termes, pour rétablir notre relation avec Dieu coupée par une transgression, il y atoujours besoin du sang d'un animal innocent versé comme prix de chaque faute, de chaque « acte manqué » (sens du mot péché) pour en faire « l'expiation » (l'effacement, en être lavé, purifié, libéré de l'effet malin qui autrement en résulte).
Faute de sacrifier encore régulièrement au Temple de Jérusalem selon leur Loi, les juifs religieux disent que cela est remplacé par les prières... ce qui ne saurait
d'une part satisfaire les lois de la justice immuable du Dieu trois fois saint,
et d'autre part leur accorder une protection et une paix stable que Satan peut leur contester sans cesse (individuellement et collectivement).
Ainsi le repas commémoratif du judaïsme (le seder) est une image plus qu'une réalité, d'un fait passé qui a eu lieu, et image prophétique, préfigurative par son symbolisme de ce qui devait venir : la délivrance de l'esclave du péché par la foi en la personne de Jésus (Yeshoua en son nom hébreu), Messie oint (Christ) divin, fait « Agneau de Dieu » venu prendre sur lui le péché/le mal du monde.
B - L'autre fête célébrée par les chrétiens est appelée Pâques, car elle englobe la précédente. Elle est particulièrement active pour quiconque croit que Jésus est venu s'offrir comme un angneau au sang pur, faisant cesser dès lors toute la nécessité des sacrifices d'animaux, puisqu'il a été fait et péché et sacrtifice toujours actif pour qui le croit :
Rendu semblable aux pécheurs que nous sommes et fait sacrifice sanglant pour supporter à la place de tous – réellement au plan historique et potentiellement au plan spirituel - l'essentiel des souffrances qu'un être humain puisse subir, mort comprise.
UN ACCOMPLISSEMENT "HOLYTIQUE"
Jésus est de la sorte l'accomplissement vivant offert une fois pour toutes en sacrifice pour le péché (contre le mal). Il accomplit les réalités prophétiques
a - du bélier vu par Abraham à Morija, retenu à un buisson par ses cornes (attaché donc par Dieu à ses forces d'obéissance et de rédemption). >>lire ou écouter ce passge où Abraham prophétise en appelant ce lieu « Yawhé Jiré », ce qui signifie « le Dieu-Eternel pourvoira »...
Il pourvoira pour que les fils (et filles) des hommes ne soient pas tués, mis à mort spirituellement, par Satan qui veut déspiritualiser le genre humain pour en faire son bétail, un troupeau marqué par son nombre (666) avec qui il peut faire n'importe quoi... >> Genèse 22 << ;
b - de l'agneau pascal institué sous Moïse à la sortie d'Egypte.
c - et de tous les sacrifices sanglants anciens réclamés originellement par Dieu et encore pratiqués symboliquement de manière religieuse ici ou pas, la Bible appelant ces choses « l'ombre des réalités à venir », savoir essentiellement la réalité du Messie et Christ Jésus venu changer le paradigme de la justice divine, ses exigences légales par sa grâce (comme fait une grâce présidentielle).
Grâce en ce que la foi en ce Sauveur devient le levier premier, le pivot fondamental de la relation à Dieu, en lieu et place des efforts d'une obéissance religieuse servile qui ne satisfait ni qui cherche à la pratiquer ni Dieu.
La fête de Pâque est donc devenue pour les chrétiens enfants que Dieu adopte dans cette foi, une fête complète, figurant le sacrifice de la Pâque ancienne et Le sacrifice final demandé par Dieu pour la couverture des transgressions et contre la mort spirituelle éternelle desâmes...
C'est la foi en la vertu permanente – hors du temps – du sang du sacrifice (christique/messianique) – qui le rend toujours actif quand il est invoqué.
Et pour donner à cette réalité éminemment toute spirituelle un support matériel (mnémotechnique !), Jésus a institué ce qu'on appelle « la sainte-cène » ou « repas du Seigneur »**, où
a - le vin figure son sang versé pour le pardon des fautes dont la vertu est de se permettre à la vie spirituelle qu'elles arrêtent de reprendre son cours de Dieu à nous et inversement,
- et le pain rompu pour être partagé représente son corps donné afin que le croyant devient et soi cellule ou pierre vivante d'un édifice spirituel fantastique appelé « le Corps de Christ » ou encore, pour figurer l'amour qui préside à tout cela, son Epouse (mystique éternelle). : un rassemblement unique, transcendent, d'une "race" nouvelle d'humanité - les vrais extra-terrestres sont là ! - ou Eglise véritable... que Jésus va bientôt venir chercher pour la soustraire aux dernières expressions terribles de la domination du mal conduite par Satan et ses hordes de démons >> sur cet événement inouï qui arrive <<.
CHENILLE DEVENANT PAPILLON
«Si quelqu'un est en Christ, il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées; voici, toutes choses sont devenues nouvelles. Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation. Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu. » 2Corinthiens 5.17
Cela pour que le croyant puisse recevoir de Dieu une portion (les arrhes) de son Esprit : C'est lui qui la vie éternelle qui nous fait sortir de la mort spirituelle, échapper à la mort psychique (de l'âme siège de notre conscience de soi) et va transformer notre corps mortel en un corps nouveau incorruptible, aux capacités bien plus élargies, ce qui se vivra après la fin de ce monde dans une création (un univers) tout nouveau, sans mal et sans fin... >> lire ou écouter ici les 2 derniers chapitres de l'Apocalypse <<
« Car le salaire du péché, c'est la mort; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur. » Romains 6.23
Pas besoin d'attendre les machines à Intelligence Artifificielle sur quoi travaillent les leaders du transhumanisme, destinées à prolonger les existences - les consciences individuelles - en animant par des applications leurs données personnelles en un simulacre de vie ! La vie éternelle et déjà là, à portée de conscience et de l'activation dans le bon champ d'exporation du principe de vie qu'est la foi...
Le tombeau vide du corps de Jésus mort crucifié est-il seulement une réalité historique ?
Non ! Comme beaucoup de choses importantes, Dieu se sert aussi d'un tombeau laissé vide après la résurrection de Jésus, et cela selon le "principe de correspondance" ou d'analogie*.
Le signe prophétique que j'ai vu/reçu se trouve du côté du mouvement de la grosse pierre qui fut roulée pour fermer le tombeau sur la mort avérée, et qui fut ensuite roulée pour le rouvrir et le montrer vidé, sublimé par la vie.
J'ai vu un rapprochement de ces deux mouvements de la pierre déplacée, avec la manière dont la Bible est formée, en deux mouvements contraires, antagonistes.
RAPPORT DE LA RELIGION ET DE LA MORT
Ainsi lLa première partie, le Tanak pour les juifs (l'Ancien Testament biblique) forme à lui seul une religion (la Loi ou Torah), c'est-à-dire un système de lois, prescriptions et rites, qui réclament beaucoup d'efforts personnels pour y être fidèle.
C'est au point où, en toute sincérité, on ne peut qu'observer que vouloir suivre à la règle les termes essentiels d'une religion (quelconque), conduit... à la mort, et non à la vie.
C'est le sens de la pierre roulée sur Jésus qui à la fois a obéi comme personne à la religion de ses ancêtres physiques et pourtant a été mis à mort, et qui plus est, mis à mort par les défenseurs de la même religion qui ne rend jamais personne paisible, aimant et heureux.
Peut-être étonnant pour vous, mais c'est ce que Dieu fait savoir à qui aime la vérité, et c'est ce que montrent tant des lieux religieux plombés par une pesanteur qui n'a rien à voir avec la vie, que les guerres et attentats au nom d'un dieu... qui n'est certainement pas le véritable...
Dieu fait savoir en ce sens depuis longtemps que la religion
- produit la colère (des plus zélés) - Lettre aux Romains chap. 4:15
- et en deux ou trois générations après une ferveur collective, c'est l'abandon (apostasie) qui se généralise (voir livre des Juges dans le Tanak ou A.T.), avec des chefs qui visent les biens de ce monde (argent, pouvoir, sexualité inique) et non ce qui est spirituel...
En d'autres termes, les adeptes de quelque religion que ce soit meurent spirituellement, au profit de leur âme qui devient religieuse - ce qui n'est pas dans ses attributs originelles... Lettre aux Galates chap. 3
Et là on note que cette partie de la Bible a été écrite en hébreu, avec des lettres qui s'écrivent de droite à gauche.
Ce qu'on rapproche du sens dans lequel la pierre qui vint sceller le tombeau, de droite à gauche (c'est ce qui apparaît le plus souvent en illustration), en marque que la mort est bien séparation de la vie, que la religion vise à soumettre les egos à une obéissance servile (qui ne nous convient pas) et tue - spirituellement, voire physiquement...
CHANGEMENT DE SENS, ET DE DIRECTEUR DE CONSCIENCE
Si on ne le sait pas ici, le Nouveau Testament nous a - curieusement - était transmis en grec, avec ses lettres qui s'écrivent de gauche à droite.
C'est le mouvement de la pierre roulée qui retrouve sa place première sur la droite du tombeau. La résurrection surnaturelle de Jésus a conduit les anges à desceller et rouler cette énorme pierre pour montrer le tombeau vide, le triompje de la vie sur la mort, en la personne de Jésus. Une résurrection qui n'est que le point de départ d'une ère toute nouvelle, où tout ce qui est mal a été vaincu par le Messie et Christ Jésus, "l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde" par le pardon des péchés qui s'accorde et s'obtient par la foi en cette mort sanglante unique et accomplie une fois pour toutes.
C'est ainsi que si l'Ancien Testament - testament disant la mort du système qui en est le fond - est très riche et intéressant en enseignements de haut niveau car véridiques, en histoire, en trame de prières ou autres prophéties...,il ne s'en ferme pas moins sur la mort (spirituelle) dans laquelle les humains restent scellés, seulement avec l'interstice d'une espérance, d'une aube où l'espérance sera changée un jour en réalité.
Et Jésus fut cette réalité, pour les juifs, pour les grecs, et pour les âmes de la terre entièr depuis deux mille ans.
EN VIS-A-VIS
Le Nouveau Testament commence donc par la vie qui sort de la mort même la plus scellée, selon la volonté de grâce du Dieu qui ne change pas.
Il change juste le système de mise en relation avec lui, non pertinent via la médiation d'une religion - ce qu'il savait d'avance -, par un médiateur vivant qui de plus va envoyer, après son départ céleste, pour relever l'humanité son Esprit, l'Esprit de Dieu...
(Il faut lire tout l'Evangile sous la lumière qu'en donne le Saint-Esprit pour en saisir les richesses et le sens fantastiques qui visent notre réunificcation pour une éternité paradisiaque avec le Créateur...
Où est la pierre de votre coeur spirituel personnel ?
Vous sentez-vous vivant ou (encore) mort spirituellement ?
Avez-vous fait l'expérience de devenir "enfant de Dieu", né-e de Dieu ?...
>> lire ou écouter éventuellement un passage intéressant ici <<
Soyez béni-e par ce Dieu sans égal.
Contact téléphonique possible par bouton "Contact" sur la droite
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* un principe que le Créateur a conçu et posé comme fondement de la construction de tout notre univers. Il permet, indépendamment du temps, un double langage, propre et figuré, réel et symbolique, ce qui montre la transcendance divine sur le temps chronologique).
** C'était l'espérance magnifique et symbolique des vieux Siméon et Anne qui virent de leurs yeux le salut de Dieu arriver sous la forme - si improbable ! - d'un enfant nouveau-né amené au Temple par ses parents pour sa présentation au Dieu d'Israël - lire ou écouter Luc 2:22-38
Cela ne fait aucun doute pour beaucoup: ce Covid-19 est un jugement de Dieu.
On le sait parce qu'après ses premières apparitions à Colmar dès fin 2019 (>voir ce témoignage), il est surtout tombé sur "la maison de Dieu", l'église La Porte Ouverte chrétienne de Mulhouse.
Pourquoi cette assemblée ?
Parce qu'elle est le plus important rassemblement local régulier évangélique de France, voire d'Europe, et de plus à ce moment-là des croyants venus de toute la France y étaient réunis (comme chaque année).
Elle apparait donc de manière emblèmatique, comme un symbole fort de "l'église du Dieu vivant" qui se met à juger la terre entière, en concordance avec ce que l'apôtre Pierre a dit dans sa 1ère lettre (chap. 4, vers.17) ; "Car c'est le moment où le jugement va commencer par la maison de Dieu. Or, si c'est par nous qu'il commence, quelle sera la fin de ceux qui n'obéissent pas à l'Evangile de Dieu ?"*
Il n'y a donc aucun hasard à cet événement, pas plus ici qu'en Chine d'où le corona nouveau a jailli comme le son sourd d'une trompette (plus précisément d'un shofar selon le terme hébreu).
Plus largement, le covid-19 est la base d'un jugement pour toute "la terre habitée".
Un jugement dont il dépend de la réaction globale de l'Eglise du Dieu vivant (sa sanctification*) et des leaders politiques principaux qu'il s'arrête sans autre effet négatif, ou qu'il ne soit que les prémices (le commencement) d'événements plus sévères à la suite.
ENTENDEZ-VOUS L'APPEL ?
Covid et confinement forment un son de trompette grave, rappel pour certains et interpellation pour d'autres qui ne savent pas, que Dieu juge (toujours au final) les nations comme les personnes. Leurs organisations sociétales (économiques, politiques, idéologiques), les choix de leurs leaders et nantis, selon que dans tous les cas "tous sont pécheur/pécheresse, c'est-à-dire fondamentalement coupables par toutes sortes de fautes morales (non confessées et pardonnées). Il en est ainsi de cupidité, la duplicité, l'exploitation des uns par d'autres et autres méchancetés, les manipulations psychologiques et autres perversités et commerces charnels, l'orgueil, l'arrogance, les corruptions... tout comportements, paroles ou pensées qui sèment le mal des uns aux autres (ce que montre la contamination et propagation virale) et séparent toujours plus la terre du Ciel divin, privant de la glorieuse présence de Dieu".
Rester chez soi pour entrer en soi et pour se tourner vers Dieu.
Que trouve-t-on en soi ? Du vide le plus souvent ! ce qui fit dire à Blaise Pascal "Il y a dans le coeur de l'homme un vide... en forme de Dieu."
Ce qui se traduit par un manque de paix, de suite dans les pensées; des angoisses, de l'étouffement (une grande caractéristique liée à ce mal). Du non sens, des envies d'évasion, d'occupationnel, de l'irritation, des colères surprenantes, des disputes choquantes, de l'endurcissement... des insuffisances...
Mais la grandeur d'un jugement divin est qu'il apporte avec la sanction aussi la solution. (Si vous êtes curieux, on voit cela notamment lors de la plus grave faute humaine (par ses conséquences durables) en lisant ici du verset 1 au verset 21).
ET PÂQUE(S) QUI ARRIVE... À POINT !?
Cet à propos du retour de la fête de Pâques pendant ce confinement a dépendu de Dieu seul (le maître des temps et des circonstances), et pour la suite dépend... de nous - de chacun pour sa part et selon sa zone d'influence.
Mais que savons-nous de Pâques ?
On en a entendu le mot, mais bien moins souvent la réalité vraie. Et l'effet que peut produire cet événement - central de l'histoire humaine -, quand on le met en lien direct avec nous-même est tragiquement si méconnu, inexpérimenté.
De quoi s'agit-il donc ?
De regarder à une croix. Non pas à l'image seulement, mais à la personne qui agonise, des heures durant, blessée à mort, sous le soleil ardent puis sous une pluie battante, environnée de mouches qui sucent son sang; d'une foule vociférante, hystérique, démonisée, qui aussi tout à coup s'est tue, et regarde, sidérée, sans comprendre.
Un juste qui meurt dans des conditions aussi épouvantables, entre de vrais brigands, après avoir été humilié par des soldats moqueurs et cruels, frappé de coups de fouet qui ont labouré son dos, ses flancs, les mains et les pieds percés à grands coups de marteau, pour le fixer, paralyser, sur cette croix, instrument de supplice, de torture, d'humiliation (on y meurt nu aussi), de mort (par arrêt cardiaque ou asphyxie).
C'est cela la Pâque.
Un événement historique et spirituel dont
ne pas détourner les yeux sans avoir compris.
Un sacrifice humain inouï,
volontaire, incomparable,
à jamais unique,
où le Juste prend la place
des coupables
- que nous sommes tous
aux yeux de Dieu -
pour les sauver.
C'est-à-dire pour les sortir
- pour nous sortir -
de la séparation éternelle
d'avec Dieu
...Dans la mesure où on le croit.
Mais "toutes choses sont-elles déjà devenues nouvelles" pour VOUS !? Avez-vous déjà vu Jésus ensanglanté comme le Sauveur, comme le sacrifice qui accomplit la justice de Dieu et apaise tout ceux qui en bénéficient.
C'est là que notre liberté - la vôtre - est cruciale, c'est-à-dire qu'elle a permis que vous arriviez à cette intersection majeure, décisive dès maintenant et pour l'éternité, où soit vous croyez que Jésus a été crucifié pour vous obtenir la possibilité de recevoir par la foi en lui le pardon de tous vos péchés, soit vous restez "mort (spirituellement) dans vos offenses", vous restez séparé-e de Dieu et éternellement perdu-e, comme vous crucifiant vous-même.
L'éternité d'une vie consciente, dans la conscience que nous avons maintenantn de nous-même et que Dieu est Dieu, n'est pas un automatisme du tout (genre "On ira tous au paradis").
Ce n'est pas non plus le résultat de nos efforts humains, religieux ou humanistes, visant à ce que nous soyons une bonne personne, à faire plus de bien que de mal, à compenser le mal par du bien.
Non, le seul moyen de plaire à Dieu, d'entrer dans une réconciliation et paix avec lui, dans la sphère de son éternité (le Royaume de Dieu ou Paradis), c'est croire en ce que lui, Dieu, en tant que Père et en tant que Fils, a fait par cette mort terrible pour effacer nos fautes et nous offrir sa vie éternelle.
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* On peut aussi rapprocher cet événement de l'incendie de la cathédrale de Paris (également proche de la fête pascale, donc reliée à la pensée de Pâques), comme symbole de la catholicité que Dieu commence à sanctifier. Sanctifier, c'est à la fois épurer (encore, les coeurs des fidèles) et séparer (distancer de "l'esprit du monde" qui est essentiellement idolâtre, c'est-à-dire mettant toutes sortes de choses, inertes ou vivantes, à la place de Dieu dans nos coeurs).
** Les Pâques chrétiennes font référence à La Pâque juive initiale, où le moyen de paix avec Dieu, de purification du corps (pour conserver la santé physique) est le sacrifice d'animaux innocents.
Cet acte rituel fort a été absorbé dans la mort du Christ Jésus innocent - le Messie mal reconnu d'Israël -, qui s'est offert comme sacrifice parfait, total, définitif, une fois pur toutes pour tous les êtres humains.
La fête de la Pâque ou Pessach, juive et chrétienne, )
et la fête de Pâques (catholique, orthodoxe, voire laïque...)
commémorent toutes deux, qu'on l'ignore ou pas,
un sacrifice
qui n'a pas fini d'avoir des effets et du sens.
LA NAISSANCE DE JÉSUS, UNE IMAGE VENUE DU CIEL
Jésus est né en une période indéfinie dans une étable.
Une étable n'est rien d'autre qu'une écurie mal-odorante avec des mouches et des animaux qui dorment ou qui ruminent et font leurs autres besoins sur leur litière.
Comme image idyllique on peut trouver mieux !
Comme vérité, on est au cœur de la problématique humaine: Jésus est mis dans une crèche, c'est-à-dire dans une mangeoire, pour que les "bestiaux" que nous sommes puissent le manger !
C'est une image, mais particuli-rement significative.
La réponse, lors d'une fête de la Pâque, c'est la croix!
CRUCIFIE ! CRUCIFIE ! VIOLE, CASSE, TUE ! Jésus se laisse arrêter, prendre sa vie jusqu'à cette crucifixion barbare, ignoble, horrible, qui met en lumière cette bestialité du cœur humain, que ce soit celui de soldats endurcis, de membres d'une foule excitée ou de religieux bien-pensants.
Par là on peut comprendre que de gentils gilets jaunes, de braves paroissiens ou employés et encore des détenteurs de pouvoir puissent, aujourd'hui encore, surprendre par leurs délits ou crimes et faire l'actualité...
Pourquoi?
Parce que l'être humain sans relation vivante avec le vrai Dieu (homme ou femme à égalité!?), rempli de l'intolérance de l'athéisme ou avec des croyances idolâtres quelconques, est toujours potentiellement la proie de démons quand ils trouvent en lui des pratiques iniques (mensonge, tromperie, vol, injustice, perversion, occultisme...).
Et donc, comment sortir de ce manque, de cette absence de spiritualité divine en nous? Car sans l'Esprit de Dieu nous habitant, nous sommes chacun réduits à un corps qui porte une âme, tout comme sont les animaux!
Avec le plus de nos capacités qui peut se traduire par un plus d'amplitude dans le déploiement du mal ;
Selon que les comportements des animaux sont essentiellement tenus par des déterminismes (selon leurs espèces), alors que nous, nous sommes pourvus d'une vaste plage de liberté(s), seulement (re)tenus par une socialisation/éducation... qui peut laisser libre cours au pire de nos instincts dénaturés!
Telle est notre condition de chute adamique, avec ses conséquences malignes perdurantes dans quoi tous et chacun nous nous débattons (nous battons, souffrons, nous agitons ou nous laissons couler).
Connaissance de soi trop peu admise et transmise parmi nous par les détenteurs du pouvoir sociétal, au point où le gain est davantage pour ceux qui vivent à partir des souffrances que pour les lambda qui n'ont pas les capacités, temps ou moyen financier pour se procurer de la connaissance correspondant au Réel comme il est ; et par là s'enrichir des vérités qui fondent le bien (bien-être, mieux-vivre, paix intérieure, récupération, sommeil...).
PÂQUE (PESSACH) ou PÂQUES COMMÉMORENT LE SACRIFICE D'INNOCENTS
Les juifs sont restés au souvenir du sacrifice animal, de l'agneau pascal (animal doux et innocent par nature), institué par l'Eternel-Dieu, via Moïse, à l'occasion de la sortie d’Égypte où la descendance d'Abraham et de Sarah avait été progressivement rendue captive.
Sa mort est là un accomplissement parfait de ce besoin d'un sacrifice que Dieu avait fait connaître dès la chute du premier couple coupable, en tuant lui-même des animaux pour couvrir leur faute et la vue de leur nudité qui en découla.
Les serpents ce sont les péchés, nos fautes morales, nos mécontentements comme toutes autres formes d'injustice, qui nous tuent spirituellement (= qui font mourir Dieu en nous en obligeant son Esprit (saint, pur, qui ne peut cohabiter avec le mal) à se retirer de notre corps).
LA CRUCIFIXION, LE SACRIFICE QUI SAUVE
Ainsi entre la crèche et la croix, Jésus a grandi, puis s'est montré puissant en œuvres bonnes pour qu'on voit ce qu'il était réellement, avant d'aller au bout de sa mission de sauvetage des âmes - ce qu'on appelle la rédemption, le salut, le rachat ou grâce divine - en prenant sur lui pour nous sauver les conséquences, le jugement final de nos fautes:
Le nom de Jésus en hébreu, c'est Y'shoua, ce qui veut dire salut, Dieu sauve.
C'est pourquoi il est écrit, regardant Jésus crucifié comme l'Agneau pascal offert par Dieu pour que nous puissions chacun individuellement, selon notre foi, être pardonnés de nos fautes, que "Celui ou celle qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné." (Evang. Marc 16).
SAUVÉ-E DE QUOI? ET CONDAMNÉ À QUOI?
Sauvé de la perte absolue de notre personnalité par anéantissement final de notre âme - qui est le siège de notre ego, de cette conscience de soi qui nous fait dire Je ou Moi-je.
Sauvé dès après la mort physique du tunnel noir qui débouche (comme en témoignent plusieurs personnes revenues d'une EMI le dire) sur les tourments de l'enfer.
L'enfer est un terme non biblique par lequel en fait est désigné la plupart du temps le shéol (en hébreu) ou hadès (en grec), ce qu'on traduit en français par "séjour des morts"*, une immense "bulle" psychique temporelle faite de toutes les âmes devenues et restées captives des esprits satanisés (anges devenus des démons).
Ce qui sera plus précisément l'enfer comme on le pense, vient bien plus tard, comme jugement dernier irrévocable des fautes (de Satan, des anges dévoyés à sa suite, et de quiconque n'a pas reçu Christ comme son Sauveur).
REVENIR A DIEU PAR LA FOI EN UI, ET EN LA CROIX !
La crucifixion de Jésus est un événement et travail inouïs de Dieu le Père et de son divin Fils, qui a des vertus salvatrices en elle-même et en potentialité, substitutive, expiatoire, propitiatoire, guérissante, libératrice, de rachat (comme les esclaves pouvaient être rachetés de mauvais maîtres).
C'est le sens du dernier repas de Jésus, qu'on appelle encore la Sainte-cène (le Saint-repas, que l'eucharistie catholique ne représente pas vraiment), qui est réellement et prophétiquement le repas de la Pâque où l'agneau sacrifié pour couvrir les péchés était mangé comme il fut ordonné à Moïse de l'instituer.
Institution qui fut respectée jusqu'au changement que produisit la venue de Jésus. C'est aussi pourquoi les juifs sont mal partout où ils se trouvent, dès lors qu'ils n'offrent plus de sacrifices sanglants selon leur Loi - la Torah, dont le livre du Lévitique, explicite, ne peut être retiré sans être remplacé par une réalité supérieure.
LE GRAND REMPLACEMENT
Sans reconnaître Jésus comme "L'agneau de Dieu" qui fait cesser en les remplaçant tous les sacrifices sanglants nécessaires pour obtenir la paix avec Dieu.
Aujourd'hui encore cette expression de l'amour de Dieu se donnant pour nous secourir, est rappelée car sans cela, nous mourrons encore dans nos péchés, loin de Dieu, sans Dieu, après notre mort comme avant.
FÊTER PÂQUE(S) SANS OUBLIER, SANS CACHER!...
Une fête sous forme de jeu de piste à la recherche d’œufs et de lapins en chocolat est organisée pour des enfants.
Je demande à une animatrice s'il va être parlé aux enfants de Jésus et ce qui est à l'origine de ce temps et de ce jeu. - Non, c'est laïque ici!
- Mais la laïcité c'est la liberté d'expression, concernant ce qui est religieux ou spirituel comme le reste.
- On peut pas!
Idem qu'avec Noël! Drame de l'occultation des réalités fondamentales, en fait de l'athéisme (militant, réducteur du Réel) qui s'impose à la laïcité (qui devrait rester ouverte)!... Silence qui se paie un jour ou l'autre, d'une manière ou d'une autre. Car si on ne sait pas, et si on ne met pas les souffrances et la mort de Jésus, son sacrifice pour nous, à sa place dans et pour notre propre existence, ce sont d'autres souffrances, et une mort terrible, qui viennent, qu'il veut nous éviter, qui viendront à nous et dont nous n'aurons pas assez de moyens pour échapper à la plupart!
Pâque(s) donc, sans oublier que si la mort de Jésus est à saisir comme l'extraordinaire moyen du pardon de nos fautes et de l'éternisation de notre âme (éternisation toute personnelle, de vous, de moi), c'est aussi parce qu'il est RESSUSCITÉ et vit pour toujours que tout cela peut devenir possible, opérationnel, par l'envoi gracieux de son Esprit-Saint jusqu'en nous.
Ainsi par cette spiritualisation de la première fête, qui fit dire à Jésus expirant "Tout est accompli", chacun par toute la terre (juifs compris) peut vivre un jour pour la toute première fois (puis régulièrement) cet événement et ses effets comme lui étant particulièrement destinés.
Que Dieu y pourvoit pour vous, c'est mon vœu et ma prière.
Pâques ! Vous avez du entendre parler des œufs (ou des lapins) en chocolat, de la transhumance pascale (par les routes, le rail...), ou encore du lundi férié - ça c'est de la fête ! Mais avez-vous entendu parler par les médias dont sa reine la télévision, du sujet principal de ce long week-end : de Jésus crucifié ? Les grands médias vous ont-ils informés sur le sens réel de cet événement et son lien avec nous ? Savez-vous ce qu'en dit la Bible - puisque c'est par la Bible qu'on connaît ce centre très particulier de l'histoire humaine et son explication ? Quel pouvoir bénéfique est encore possible aujourd'hui ,de cette mort et de cette résurrection, pour changer nos vies, pour participer à la résolution de nos problèmes perso et relationnels parmi les plus importants immédiats et futurs?
Certes on peut exister sans savoir que Jésus est mort un jour, ni pourquoi et ni pour quoi. Comme on peut vivre tout en restant illettré, en ayant un niveau de 3e ou un niveau universitaire. Ou comme on peut avoir de l'eau par un puits situé à 5 kms de chez nous, une fontaine sur la place publique ou un robinet qu'il suffit de tourner dans sa cuisine ou sa salle-de-bains. C'est une question de qualité profonde de vie (essentiellement psychique, de ce centre qu'est notre âme).
Aussi je vous invite encore à revenir à Jésus pour mieux savoir ce qu'il en fut et ce qu'il en est du rapport de sa mort à notre vie... et encore à notre propre mort !. Car c'est en comprenant sa mort, que sa résurrection prend son sens et peut atteindre son but, qui est de devenir notre partage personnel, individuel, à la fois immédiat et éternel...
_____________ * Jésus a aussi dit : "Le salut vient des juifs". D'abord par lui, ensuite par ses apôtres, à Jérusalem, en Samarie et jusqu'aux extrémités de la terre à partir des milliers de premiers disciples, relayés par "les gentils et les barbares", les païens des nations (les goïm, étrangers à la descendance abrahamique).
Yerushaláyim (Jérusalem), fin de la troisième décennie de notre ère. 6ème jour (jour où Dieu créa l'homme).
Salmon – Tu as entendu ce qui se passe du côté de Golgotha !? David – Shalom Salmon ! Qu'est-ce qui se passe à Golgotha ? Salmon – Les romains sont en train de crucifier des brigands. David – Rien de bien nouveau ! Salmon – Quand même ! On arrive à un grand shabbat et les chefs du Sanhédrin (tribunal religieux) seraient à l'origine d'une des mises à mort ! Et ça avait l'air urgent de chez urgent d'après ce que j'ai entendu. Étonnant non !? David – Pour dépendre les corps avant le commencement de la fête. Arrive Moshé tout excité : - Eh David, shalom, il paraît que c'est Jésus qu'on veut crucifier ! Tu sais, celui qui fait des miracles et a de bonnes paroles pour les pauvres. David – Non !? Celui qu'on a vu guérir un paralytique à la piscine de Bethesda ? Moshé – Oui et entends comment ça rouspète du côté de chez Pilate ! Arrive Josh – Jésus a été arrêté cette nuit. Il paraît qu'on est en train de lui donner les 40 coups moins 1 quelque part dans Antonia (Palais du gouverneur romain). Salmon – Aïe ! C'est dur mais au moins il ne sera pas crucifié ! Qu'est-ce qu'il a bien pu faire pour mériter ça ? Moshé – Il n'a pas été tendre avec les prêtres ! Je l'ai entendu les traiter de race de vipères ! David – Le racisme est-il une faute que condamne la Torah (la Loi ou Écritures qui fondent la religion juive) ?! D'ailleurs c'est même pas du raciste ! C'est comme quand il leur aurait dit que leur père c'est le diable. Il paraît qu'il y avait de l'orage dans l'air ce jour-là ! Moshé – Ça a toujours été chaud entre lui et tous ces religieux qui font les beaux par devant, mais dans le fond on ne sait pas tout ce qui se passe !... Salmon – Si tu veux mon avis, c'est tous des hypocrites ; alors que Jésus, je l'ai vu et entendu une fois, c'est un parfait. Il guérit, il chasse les démons, et ses paroles - je sais pas comment dire... elles coulaient dans mon âme comme un miel liquide descend dans la gorge. Un délice ! Josh – Moi j'ai compris pourquoi il était si dur avec les prêtres et les lévites ! Parce qu'en fait ils se donnent pour justice uniquement les articles de la Torah, sans la moindre miséricorde. Et en fait, ils les transgressent, peut-être autant que nous (malgré toute notre bonne volonté). Alors Jésus les traite comme ils font eux-mêmes avec nous, selon la même loi, œil pour œil. Dureté pour dureté. A la différence d'avec ceux qui le suivent, à qui il manifeste de l'attention, de la compréhension... une gentillesse comme j'ai jamais vue. Moshé - Ça ne veut pas dire qu'il méprise la Loi et que pour lui tout le monde il est beau, tout le monde il ira au Paradis ! Moi je l'ai entendu dire à la femme adultère - qu'il a sauvée de la lapidation : Va, et ne pèche plus ! David - Sinon la condition devient pire. Forcément ! Salmon – Tu as raison Josh, et toi aussi Mosh ; je comprends mieux maintenant… Je suis sûr qu'on n'imagine même pas la moitié du quart du sens de ce qu'il dit. Moshé – Moi je connais un peu un apôtre - Jean il s'appelle -, je lui demanderai encore des choses. Salmon – Hey, c'est quoi cette clameur !... Moi j'y vais, je sens qu'il se passe vraiment de drôles de choses ici ce matin…
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Face au mont Golgotha (autrement appelé Lieu du crâne), au nord-ouest de Jérusalem.
Élisée – Il parait que c'est Jésus. Barthélémy – Oui. On le reconnaît même pas tellement ils l'ont massacré. Quels ss… (Il retient sa colère). L'horreur comme j'ai jamais vu… Comment des hommes peuvent-ils faire ça à un autre homme !?... Moi je comprends plus rien. Élisée – Pour comprendre déjà, il faut voir Satan et les démons qui sont derrière tout ça ! Barthélémy - Au fait, je cherchais Pierre ! Tu l'as pas vu ? - Non, pas vu.
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Jésus a été cloué sur le patibulum comme certains clouent une peau de bête sur une porte pour se protéger des mauvais esprits. Une fois les deux bras ficelés, il a été monté en l'air jusqu'à ce que la pièce de bois prenne sa place - dans un sursaut terrible, sur le poteau de la condamnation et du supplice. Jean à Philippe : - Tu crois qu'il nous voit ? - Je sais pas... Je sais pas ce qu'on a fait de mal pour en être arrivé là !?... A côté d'eux Nicodème qui les a entendus cite la parole du prophète Isaïe : - "Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié."
Jean et Philippe ont d'abord sursauté. Philippe a eu un mouvement de recul, presque de répulsion en découvrant à son habit qu'il s'agit d'un des prêtres du Temple. Celui-ci le regarde droit dans les yeux et poursuit sa lecture : - "Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris." - Mais attends Maître, l'interrompt Jean. Que dis-tu là !? D'où tiens-tu ces paroles ? Tu es prophète ? - C'est Isaïe qui a prophétisé il y a 700 ans : "Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie; Et l’Éternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous. Il a été maltraité et opprimé, Et il n’a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, à une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n’a point ouvert la bouche." Les yeux et les oreilles grand ouverts quelques hommes présents ont écouté, comme magnétisés par ces paroles étrangement nouvelles. - Mais, mais j'ai jamais entendu cette écriture dans la synagogue, réagit Philippe ! Tu es sûr ? Et pourquoi n'es-tu pas avec les autres du Sanhédrin, là-bas ? - L’Éternel Adonaï notre Dieu sépara le premier jour la lumière d'avec les ténèbres, après qu'il l'eut prononcé. La lumière est venue mais ils ne l'ont pas reçue. Ils ont préféré rester attachés à leurs œuvres sombres, cachées, que pourtant lui est venu nous rendre visibles, plus encore que les paroles de notre Loi. Jean – Et toi tu as cru que Jésus…!? - Est l'oint de l’Éternel, le fils du Psaume deuxième. Peut-être celui-là même que le prophète annonça encore comme devant naître d'une jeune fille vierge… On le saura bientôt.
- Il a dit quelque chose ! Il a dit quelque chose ! Comme une vague qui roule, un murmure sourd parcourt les rangs épars. - Quoi, quoi ? - Il a dit "Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font." Nicodème – Alors c'est bien lui. Parce qu'instantanément il s'est souvenu de la fin de cette prophétie : " il a intercédé pour les coupables." - Hashem soit loué ! C'est lui ! Son cœur se gonfle comme la voile d'une embarcation qui prend le meilleur des vents. Il n'a jamais été aussi heureux de toute son existence.
Au bout d'un moment où chacun reste tendu vers la croix dans l'attente d'une autre parole, Jean ajoute : - Je le crois aussi… Pierre avait été inspiré par la Rouah du Très-haut quand il avait dit sans la moindre réflexion : - Tu es le fils du Dieu vivant ! Nicodème – C'est cela. On y est les enfants ! C'est notre Mashiah. C'est le Messie de notre peuple. - Mais Maître, réagit Philippe, il est en train de mourir là !? Au même moment une pensée pleine de vie le traverse et il ajoute sur un tout autre ton : - Il va ressusciter ! C'est ça, on va le voir ressusciter !? Comme il a fait avec Lazare à Béthanie ! Oh oui ça va être glorieux ; pour fermer la bouche à tous ces religieux qui n'ont eu que l'endurcissement comme réponse à ses lumières. Pour mettre dehors ses romains qui nous prennent pour des esclaves. - Chuuut ! fait Nicodème. Attendons, et ne risquons pas d'attirer l'attention au détriment du plan de Dieu.
C'est que l'homme connaît la suite du chapitre 53ème d'Isaïe dont il se dit intérieurement la suite : "Il a été enlevé par l’angoisse et le châtiment ; et parmi ceux de sa génération, qui a cru qu’il était retranché de la terre des vivants, et frappé pour les péchés de mon peuple ? On a mis son sépulcre parmi les méchants, son tombeau avec le riche. Quoi qu’il n’eût point commis de violence et qu’il n’y eût point de fraude dans sa bouche. Il a plu à l’Éternel de le briser par la souffrance… Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, Il verra une postérité et prolongera ses jours; et l’œuvre de l’Éternel prospérera entre ses mains. A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards. Par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d’hommes, et il se chargera de leurs iniquités. C’est pourquoi je lui donnerai sa part avec les grands; il partagera le butin avec les puissants. Parce qu’il s’est livré lui-même à la mort, et qu’il a été mis au nombre des malfaiteurs; parce qu’il a porté les péchés de beaucoup d’hommes, et qu’il a intercédé pour les coupables."
Sur la croix, délaissé comme un simple - ou le pire - homme pécheur, Jésus parle à son céleste père : - "Je suis un ver et non un homme, l’opprobre des hommes et le méprisé du peuple. Tous ceux qui me voient se moquent de moi. Ils ouvrent la bouche, secouent la tête : - Recommande-toi à l’Éternel, disent-ils partagés en deux entre la haine et la crainte ! L’Éternel le sauvera, Il le délivrera, puisqu’il l’aime !"
Jésus lutte contre les pensées qui tourbillonnent et s'agitent au-dedans de lui. Il veut revenir à son père. Il veut ne pas se laisser esseulé, enfermé dans la souffrance et l'hystérie qui sévissent jusqu'à perdre le sens de qui il est. Ne pas lâcher la main perdue du père, dont il ne perçoit absolument plus rien : - "Dès le sein maternel j’ai été sous ta garde: dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu. Ne t’éloigne pas de moi quand la détresse est proche, quand personne ne vient à mon secours! De nombreux taureaux sont autour de moi, des taureaux de Basan m’environnent. Ils ouvrent contre moi leur gueule, semblables au lion qui déchire et rugit. Je suis comme de l’eau qui s’écoule, et tous mes os se séparent. Mon cœur est comme de la cire, Il se fond dans mes entrailles. Ma force se dessèche comme l’argile, et ma langue s’attache à mon palais. Tu me réduis à la poussière de la mort. Car des chiens m’environnent, une bande de scélérats rôdent autour de moi. Ils ont percé mes mains et mes pieds. Je pourrais compter tous mes os. Eux, ils observent, ils me regardent; ils se partagent mes vêtements, ils tirent au sort ma tunique."
"C'est une histoire de fou,
Celle d'un Père qui donne beaucoup,
Celle d'un Fils qui paye le prix de son courroux.
Et la vôtre, celle d’une personne qui reçoit tout."
La Pâque, juive, c'est Pessah - qui signifie en hébreu le passage que fut notamment la traversée de la Mer Rouge quand les israélites conduit par Moïse sont sortis de l’Égypte où ils étaient devenus esclaves. C'est surtout l'agneau qu'ils ont été appelés à sacrifier et à manger pendant la nuit immédiatement avant leur départ (Livre de l'Exode ch. 11).
La Pâques, chrétienne, - avec un s pour la distinguer de la première -, c'est l'accomplissement parfait, ou passage au plan spirituel, de la Pâque initié au temps de Moïse : Il ne s'agit plus du fait historique unique ancien, mais de la sortie (psychique) de l'esclavage des forces mauvaises (qui sont en nous-même et démoniaques) et de la mort. (Dont le séjour - séjour des morts, shéol ou hadès - est tenu jusque là par Satan, le diable, via un démon puissant - que l'Apocalypse figure sous la forme d'un cavalier monté sur un cheval vert. Apo ch. 6).
Comme Israël fut jadis physiquement arraché à la captivité dès lors qu'il crut qu'il fallait écouter et suivre Moïse, de la même manière depuis la venue et mort et résurrection de Jésus, celui quiconque (vous, moi) de n'importe quelle ethnie et nation de la Terre croit que Jésus a été cet agneau de la délivrance, change psychiquement et spirituellement de territoire pour être établi - déjà en esprit - dans le Royaume éternel de Dieu.
"Le lendemain, Jean le Baptiste vit Jésus venant à lui, et il dit : Voici l'Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde. Jean 1.29.
On a compris que la croix, la crucifixion, a été le moyen de ce sacrifice (dit expiatoire et propitiatoire) nécessaire pour la réconciliation des hommes avec Dieu - c'est-à-dire pour notre éternisation personnelle (dès lors rendue possible).
Cela avait été de plusieurs manières prophétisé des siècles auparavant, notamment quand Abraham appelé à sacrifié son fils est arrêté par l'ange parce que Dieu a la solution véritable à la question du péché et de notre nature pècheresse :
"l'Ange de l’Éternel lui cria des cieux en disant : Abraham, Abraham ! Il répondit : Me voici.12 Et il lui dit : Ne mets point ta main sur l'enfant, et ne lui fais rien ; car maintenant j'ai connu que tu crains Dieu, puisque tu n'as point épargné pour moi ton fils, ton unique.13 Et Abraham levant ses yeux regarda, et voilà derrière [lui] un bélier, qui était retenu à un buisson par ses cornes ; et Abraham alla prendre le bélier, et l'offrit en holocauste au lieu de son fils.14 Et Abraham appela le nom de ce lieu-là, l'Eternel y pourvoira..." Genèse 22. Et il y a pourvu ! Alléluia !
"Lorsque vous étiez esclaves du péché, vous étiez libres à l'égard de la justice.21 Quels fruits portiez-vous alors ? Des fruits dont vous rougissez aujourd'hui. Car la fin de ces choses, c'est la mort.22 Mais maintenant, étant affranchis du péché et devenus esclaves de Dieu, vous avez pour fruit la sainteté et pour fin la vie éternelle.23 Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur." Romains ch. 6.
"Celui qui était innocent de tout péché, Dieu l’a chargé pour nous de tous les péchés du monde ; il est devenu comme une incarnation du péché pour que, dans sa communion, nous puissions être agréés, étant revêtus de la justice de Dieu." 2Corintiens ch. 5.21.
"Les Juifs demandent des miracles et les Grecs cherchent la sagesse :23 nous, nous prêchons Christ crucifié ; scandale pour les Juifs et folie pour les païens,24 mais puissance de Dieu et sagesse de Dieu pour ceux qui sont appelés, tant Juifs que Grecs.25 Car la folie de Dieu est plus sage que les hommes, et la faiblesse de Dieu est plus forte que les hommes." 1Corinthiens ch. 1.
Un sacrifice, une substitution inouïe, aussi prophétisé par Esaïe (ch. 53) "Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l'Éternel ?2 Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée ; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire.3 Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.4 Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.5 Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.6 Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie ; Et l'Éternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous.7 Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent ; Il n'a point ouvert la bouche.8 Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment ; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu'il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple ?9 On a mis son sépulcre parmi les méchants, Son tombeau avec le riche, Quoiqu'il n'eût point commis de violence Et qu'il n'y eût point de fraude dans sa bouche.10 Il a plu à l'Éternel de le briser par la souffrance... Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, Il verra une postérité et prolongera ses jours ; Et l'oeuvre de l'Éternel prospérera entre ses mains.11 A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards ; Par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d'hommes, Et il se chargera de leurs iniquités.12 C'est pourquoi je lui donnerai sa part avec les grands ; Il partagera le butin avec les puissants, Parce qu'il s'est livré lui-même à la mort, Et qu'il a été mis au nombre des malfaiteurs, Parce qu'il a porté les péchés de beaucoup d'hommes, Et qu'il a intercédé pour les coupables."
"Voici, mon serviteur prospérera ; Il montera, il s'élèvera, il s'élèvera bien haut.14 De même qu'il a été pour plusieurs un sujet d'effroi, -Tant son visage était défiguré, Tant son aspect différait de celui des fils de l'homme, -15 De même il sera pour beaucoup de peuples un sujet de joie ; Devant lui des rois fermeront la bouche ; Car ils verront ce qui ne leur avait point été raconté, Ils apprendront ce qu'ils n'avaient point entendu." Esaïe ch. 52.
Croyez-vous, en ce mémorial de la Pâque accomplie par Jésus, qu'il est mort à ce moment-là : pour VOUS !? Pouvez-vous confesser - càd dire devant Dieu, devant le monde des ténèbres démoniaques, peut-être devant quelqu'un des hommes : Oui, Jésus-Christ a donné sa vie pour moi ; à cause de moi pécheur/pècheresse, pour me racheter de mes fautes/ Pour m'arracher aux forces du péché, aux esprits méchants et séducteurs, et me rendre libre de la mort même !
Si vous pouvez le dire, le sacrifice de Jésus entre (ou est entré) dans sa dynamique de pouvoir envers vous. Sinon, il demeure stérile, infructueux, comme une graine effectivement tombée en terre mais qui est restée sèche et dure. C'est à nous, par notre foi, a activé tout le potentiel fabuleux inclus, caché, dans la mort unique du Christ Jésus.
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.