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25 mars 2024 1 25 /03 /mars /2024 21:18

 

TEMPS DE FIN,
ET DE RETOURS

 

Dernier bastion des vérités fondamentales,
L’aile évangélique qui lit et qui vole
Avec celle des Écritures hors d’âge
Est tombée.
C’est la fin amorcée et la chute libre

- Mais de quelle liberté ! -
Qui va s’accélèrer avant de s’écraser
Dans des bains de lait, d'eaux sales, de sangs,
De jets spermiques, d’horreur, de glace
Comme de banquises qui disparaissent
Sous des soleils de plomb,
Nucléaire, viraux ou de mitrailles.

 

Tombée comme en ces années 30
De sinistre et pesante mémoire,
Quand l’Église luthérienne d’Allemagne refusa,
Sous prétexte que c’était Satan leur producteur,
Les manifestations vocales des dons de l’Esprit-Saint
Qui tentait une ultime fois d’empêcher le pire,
De changer la trajectoire.

 

Quand la colonne du Temple de la vérité
Se met à pencher plus que de Pise,
Son appui millénaire même risque une nouvelle fois
Les bûchers d’inquisiteurs, qu’ils soient laïcs
Ou religieux.

 

Ce n’est pas la première fois
Que le meilleur des mondes, plus humain même
Que Dieu, veut établir son empire et son emprise
Sur les masse devenues informes à des yeux
Injuectés de sang ou d’un amour fou, violent,
d’Arrogance, d’égoïsme éhonté, de haine
Et de salivantes convoitises
Qui font érection et sécrétion et éructer.

 

Le dernier bastion bascule sous la pression
Des forces hostiles au Divin et à notre genre duo
- Que les anges n’ont pas et que certains envient - ;
Et les faits blessent où des faiblesses déjà sévissent
Car il n’est jamais bon de laisser des blessures
Sans soin, qui s’infectent jusqu’à profusion
De pénétrations sales, d’infusions de toutes sortes
De souillures, de fautes non confessées et pardonnées,
De mal inaperçu ou traité par impiété
Par des « grandes personnes » (dit le Petit Prince)
A la fausse jeunesse frivole.


Et las dès lors s’affaisse la charpente,
Le faîte, le faîtage et les fêtes chantées,
L’adoration est tournée en dérision,
On adore le chocolat, tiramitsu ou baklavas…

 

Mais il se rit de ses adversaire le Dieu vivant !
Le Dieu qui laisse des mystères subsister
Pour qu’on s’exerce à la sagacité
Et qu’on connaisse l’enthousiasme des découvertes,
Des dévoilements, des apocalypses les meilleures.

 

Dieu est l’instituteur des mystères dont il soulève
Lui-même le mur ou le tissu, quand on ne cherche plus,
Quand on n’a pas trouvé, quand on est écrasé
Comme par ce qui vient sur le monde qui
Ne s’en doute pas, ou si peu.

 

A genoux encore humbles et fiers soldats et soldates
Que de rien Dieu fit quelque chose,
Comme des roses qui se voient ou se sentent
Et parfois piquent encore.
Attends chrysalide en chemin
Le grand retour de ton preux Chevalier
Sans peur et sans reproche investi de puissance
Dont l’épée aigüe à double tranchant sort de sa bouche
Pour guérir ou occire, pour renverser encore
Les vindicatifs et les marchands de rêves
Qui s’enrichissent, et restaurer l’ordre
Menacé par un chaos... qui ne l’impressionne pas.

 

C’est un peu hermétique, tout ce qui vient de Dieu,
A la fois simple à croire et impossible à recevoir
Ou à vivre, sans qu’il soit là ;
C’est différent de la ténèbre qui elle est occulte,
Aux symboles troublants autant que séduisants,
Bientôt toute éventée, précipitée et réduite
Singulière et plurielle en trois esprits impurs
Semblables à des grenouilles : telle est la force
Devant Dieu « du Dragon, de la bête et du faux prophète ».

 

Alors sans peur face aux imperfections
Comme face aux tensions, allons !
Car c’est pendant sa marche que le juste
Renouvelle ses forces, et les vieillards même
Rajeunissent comme l’aigle quand les jeunes gens
Attablés jour et nuit à des écrans et à leurs idoles
Se fatiguent à ne plus savoir que faire.

 

« On me crie de Séir : Sentinelle, que dis-tu de la nuit ?
Sentinelle, que dis-tu de la nuit ?

La sentinelle répond : Le matin vient, et la nuit aussi.
Si vous voulez interroger, interrogez; Convertissez-vous,
et revenez. »*

Ce qui ne se fait pas sans notre adhésion,
Consentement et action,
Mobilisation.

 

 

* Ésaïe 21.11,12
 

C.T. mars 24

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12 mars 2024 2 12 /03 /mars /2024 21:04

GAGNER DES GUERRES…

 

Les guerres ne finissent jamais..
Quel est ce mystère qui nous précède
Et nous poursuit,
Ce qui échappe aux Archimède
Malgré des intuitions dans la nuit ?

 

Les guerres ne finissent jamais,
Commencées un jour lumineux
Sous un soleil de justesse radieux
Alors que rien – ou presque – ne laissait présager
La venue d’une ombre, d’un coup de froid glacé…

 

Les guerres ne finissent jamais,
La totalité de la terre habitée
Semblable à un seul continent
Tant le fait est partout, rampant
Comme un serpent dans de hautes herbes
Ou s’exhibant en centre actif comme un verbe…

 

Les guerres ne finissent jamais
Dans le partage des terres vierges ou peuplées,
Des territoires immenses qu’on veut posséder
Sans même savoir pourquoi, ou parce qu’on sait
Les richesses dormant au fond de puits à creuser…

 

Les guerres ne finissent jamais
Parce qu’on ne voit même pas ce qu’on casse
Qu’on devrait aider, protéger, branches basses
Ou élevées…
Les guerres ne finissent jamais
Car elles laissent des places vides


 

 

Les guerres ne finissent jamais,
Depuis le jardin des Senteurs et des Délices
Où le mal s’est invité avec tout son vice,
Séduisant et tuant déjà par la main de Caïn
Le premier berger Abel soudain privé de ses biens ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
De l’information, de la propagande,
Des fake news et des publi-cités marchandes,
De la connaissance repoussant l’ignorance
Hors de son rang, bardée d’outrecuidance ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
Alexandre le grec poussant jusqu’à l’Indus
La plante de ses pieds ses coutumes et ses us,
Bonaparte en Egypte, les prussiens à Solférino
Ou quelque allemand vengeur voyant de haut
La terre ronde qu’il suffit de rouler par blindés
Pour en rejoindre les extrémités ;

 

Les guerres ne finissent jamais
Sous les tempes, dans les âmes ouvertes
Ou trop fermées, où des pensées rouges ou vertes
Se bousculent jusqu’à presser des vies,
Jusqu’à peupler de fantômes des nuits,
De fantasmes, de rêves éveillés
Controuvés ou de souvenirs réels ou arrangés
Doux sucrés ou acidulés, amers aigres acides,
Dépresseurs et somnambules jusqu’à des suicides ;
Les guerres ne finissent jamais
Changeant des vies en images qu’on ne peut plus toucher

 


 

Les guerres ne finissent jamais
Pour la possession des corps,
Depuis les cellules dispersées d’un fœtus mort ;
La douceur caressée de la peau d’un enfant,
Les troubles anxieux qu’on pare de nouveaux vêtements ,
De mode, de codes, de séries, de tics de tocs, d’émissions
De CO
2, de chanteurs, de sueurs (chaudes ou froides), de procurations ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
De politiques comme de religions
Avec des places fortes, des bastions
A conserver, à renforcer, des adversaires
A salir, à occire, à attendre au tournant de leurs faire
De leurs mots, de ce qu’on trouve de mal chez eux
…Qui n’est que le miroir de notre propre jeu ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
Des économies parallèles, de ghettos,
De dealers laborieux, des périphériques ruraux
Ou nouveaux, de criantes asymétries
Entre pauvres toujours plus et riches bien nantis,
Entre autistes et hautains forts de leurs programmes
De leur agenda comme si le temps était leur sésame ;

 

Les guerres ne finissent jamais
De nos intelligences belles mais infirmes
Malades, malignes, qui ignorent mais affirment,
Qui se heurtent à l’autre ou au Réel holyste
Sans trop voir ce qui manque à nos listes,
Ce qui pourrait tout changer, éclairer élargir
La palette duelle du vivre et du mourir ;

 

Les guerres ne finissent jamais
De l’affect, des coeurs, de l’amour vagabond
Qui bondit ou s’écrase sous le râteau d’un con
Ou d’une conne, qu’on avait cru-e… On croit tant de choses
Qu’on prend pour des lauriers ou des roses ;
Les guerres nous ramènent au réel par une chaise vide


 

 

Les guerres ne finissent jamais
Car Satan pugnace adversaire ancien et éternel
Ne cesse de lutter pour se donner un ciel
Une sphère aussi haute que celle du Créateur
Dont personne jamais ne sera le vainqueur
Malgré sa retenue, malgré les libertés
Qu’il permet et qui portent en leurs seins dénudés
Les murs et les bâtons qui limitent ou écrasent
Les mutins qui voudraient jouir par table rase ;

 

Les guerres ne finissent jamais,
En Afrique en Europe aux U.S. en Russie
En Ukraine à Gaza Israël Éthiopie pays arabes dissidents ou unis ;
Chez les noirs chez les blancs chez les gris ou créoles,
Chez les jaunes, racisés, dans les rues, hôpitaux, à l’école...

 

Les guerres ne finissent jamais,
maintenant entre genre - sublime écosystème
Qui fait jaillir des cœurs les plus profonds « Je t’aime » -.
Guerre ancienne qui pollue tout notre intérieur,
Le dehors, les dessus les dessous les meilleurs,
Accordant aux anges malfaisants des droits à nous frapper
De plaies de divisions de scandales comme il leur plaît.



Les guerres ne finissent jamais
Que du ciel Dieu illustre comme étant jugements
Sur les actions des hommes, sur nos dérèglements,
Notre impiété, ingratitude, égoïsme corrompu, corrupteur
Disruptif, orgueil méprisant qui fait fuir le bonheur,
Oublieux du vrai Dieu comme un ado prodigue
Qui un jour ne trouve plus que des feuilles de figues.

 

Les guerres ne finissent jamais
Car elles ne sont pas des choses des objets,
Mais alles sont de la vie mal développée
Comme des virus, des brins de molécules
Capables d’infecter les plus saines cellules,
De les tromper, de semer la panique et l’insécurité
Pour mieux gouverner les esprits, les étendues volées,
L’or, le sel, le lithium, le sable, la pierre, l’argent
Et s’il était possible le principe du vivant.
Les guerres qui laissent un lit froid

 

 

Les guerres ne finissent jamais
Qui laissent des blessures, des handicaps, des remords,
Des vêtements pliés dont on ne sait plus rien du sort,
Les garder, les donner, portés par quel corps chaud inconnu,
Des objets qui vivent plus que jamais, eux, comme retenus
Par le temps qui s’est quelque part arrêté comme un poids lourd
D’horloge bourguignonne aux sons devenus sourds ;

 

Les guerres ne finissent jamais
Dont les générations suivantes depuis la première
Sont marquées au pointeau qui perça la lumière,
Dont personne ne se remet vraiment malgré les apparences
La mort étant écrite en nous parallèle aux souffrances
Parsemant de déserts, de cris, de grimaces et de malices,
Jusqu’à perdre l’espoir qu’existe un oasis ;


 

Les guerres ne finissent jamais
D’elles-mêmes ; mais Dieu arrête, à son comble, le mal,
Roulant même un jour cet univers comme un vêtement sale
Qui aura fait son temps et d’où sortirons bienheureux,
Couronnés de diadèmes de lumière tels des dieux,
Les réprouvés de la terre, les martyrs, les rachetés
Enfants du Père, frères et sœurs et épouse bien-aimée
De Jésus, le seul Champion du mal, des violences et des vices,
Par son unique et merveilleux sacrifice.

 

Les guerres ne finissent jamais
Mais l’amour déjà en a triomphé
Qu’il s’agit de choisir comme on choisit son camp
En sachant qu’il n’y a de choix qu’entre deux :
La mort et Satan qui nous attendent, ou la vie avec Dieu.

 

Choisis la foi et choisis la vie !

C.T. fév. 24 @LGDDV

« Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et courbés sous un lourd fardeau, et je vous donnerai du repos. Acceptez mes directives et laissez-vous instruire par moi, car je suis doux et humble de coeur, et vous trouverez le repos pour votre âme. En effet, mes instructions sont bonnes et mon fardeau léger.» (Evangile selon Matthieu, chap. 11, vers. 27-30

« Si vous m'aimez, gardez mes commandements. Et moi, je prierai le Père, et il vous donnera un autre consolateur, afin qu'il demeure éternellement avec vous, l'Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu'il ne le voit point et ne le connaît point; mais vous, vous le connaissez, car il demeure avec vous, et il sera en vous. » Jean 14.15-17

 

Ici >> guide si vous désirez adresser à Dieu une prière personnelle pour obtenir la paix en vous-même et avec Lui. <<

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4 mars 2024 1 04 /03 /mars /2024 20:57

 

Une chrysalide,
entre la chenille
et le papillon

 

 

 

SANS DIEU ON NE VA PAS LOIN...
 

Sans Dieu on ne va pas loin
Même si tu vis jusqu’à soixante ou cent ans,

Sans Dieu on ne va pas loin.

 

Tu peux faire vingt fois le tour de la terre,
Sans Dieu tu tournes en rond
Et le mal s’accroît visible ou en sourdine
A chaque spire de tes périples
Sans Dieu on ne va pas loin.

 

Sans Dieu on ne va pas loin
Car sans morale on ne voit pas le mal
Et même avec quelques valeurs
On est loin du bonheur.

 

Aussi jeune je suis entré dans une carrière
Que m’ouvrait l’existence
Comme on se jette à l’eau par défaut
Sans savoir ni ramer ni nager.

 

Sans Dieu on ne va pas loin
Même à plusieurs dans l’océan,
Ce monde est plus profond que large
Et nous aspire vers ses bas-fonds
Où la lumière d’en haut ne descend pas.

 

Oh sans Dieu on peut en faire
Des brasses, des kilomètres,
Des exploits, des réussites
En solitaire ou en conférences,
Mais on ne va toujours pas loin
Pas haut, on ne quitte pas la circonférence
De la terre qui nous reste plate,
Dont les reliefs comme peau d’orange
sont ceux des choux pour les chenilles,
Des herbes hautes pour les rampants.

 

Je suis monté sur des sommets
De ce niveau qui donne des tournis
Bien vite des vertiges sans bastingages
Où s’accrocher, je n’ai pas voulu ramper
Mais le mal en retour de manivelle
m’a sonné.

 

Sans Dieu on ne va pas loin
Et il faut des coups d’arrêt
Pour entrer dans cette grâce de le savoir,
De se voir tel que l'on est, de découvrir
Le mal tapi derrière nos mouvements
Ou dessus, ou dedans, qui empêche
Qu’on aille bien loin.

 

Car entre le ciel fermé
Et la fosse qui se creuse à notre insu
Sans Dieu on ne va pas loin.

Entre le centre souterrain
De la planète, de matière incandescente,
Aux chaleurs suffocantes qu’on approche,
Aux chaleurs insupportables qui demeurent,

Et le ciel aux infinies beautés,
A la douceur plus qu’angevine
A la paix féconde et l‘amour fort et tendre,
je suis, tu es, on est, nous sommes
En conjuguaison, en conjonction, en conspiration,
Déjà partie sur des bûchers que les vents mauvais
Du souffle des démons attisent
Sous nos pieds ou dans nos mains ;
Dans nos seins, sur nos reins, dans les têtes
Et nos fêtes bientôt ne servent de rien

 


Car sans Dieu on ne jouit pas bien
Et même s’il nous semble qu’on va loin
C’est illusoire, effet d’optique, miroirs déformants
Comme il y a dans des cirques
Et dans le nôtre.

 

Alors il faut une fusée, déjà construite,
Pour échapper à l’attraction puissante
Gravitationnelle, grave et universelle du mal
Qui ici-bas habite comme en un fief avec son chef
Imprégnant, tachant, souillant tout
Et empêchant qu’on ailleurs, plus haut
Où l’air pour l’âme est respirable,
Rafraîchissant ou chauffant quand il le faut,
Dans l’à propos.

 

Sans Dieu on ne va pas loin,
Si tu l’a découvert, si tu le vis,
Heureux déjà es-tu – même si
Parfois ça sent le roussi –,
Regarde et vois encore dans l’invisible
Où sont les plus grandes forces

De l’univers, de Satan et de Dieu,
De Jésus blessé devenu le vainqueur
De la mort, des mauvaises ondes,
Des champs fleuris trompeurs
Et des champs dévastés, capable
Comme personne de nous élever,
Régénérer, compléter, aimer
Au point de partager plus que sa couche
Son trône, les gains de sa rédemption
Son éternelle vie de ressuscité.

 

Jésus est de la fusée du Ciel de Dieu
Le premier étage, et le second est notre foi
En lui, qui porte toi et moi et quiconque croit
En orbite dans la sphère du Dieu vivant
Où sa grâce est éternelle.

 

Avec Dieu donc on ira, ici tout près
Ou infiniment loin, avec d’autres notions,
D’autres ordres transcendents et ouverts,
Des ailes, de la vraie liberté,
Fraternité égalité et des différences heureuses
Avec du zèle au coeur, le peps de l’amour,
De l’amour, de l’amour, dont les rayons
Nous feront des habits purs colorés de lumière.

 

C.T. 4 mars 24

Pour entrer, si ce n'est fait, dans cette relation possible, immédiate, bénie et sans fin, avec le Dieu véritable, >> ici une page pour aider à d'efficaces prières <<

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27 février 2024 2 27 /02 /février /2024 20:37
QUELQUES MOTS SUR LE MAL

 

Le mal ne fait pas toujours mal
de suite,
Il est traître alors à qui ne le connaît pas,
et c’est sa poursuite
qui fait fondre ses fastes et ses apparats.

 

 

Le mal ne fait pas toujours mal
de suite,
quand il est mal de l’âme
qui a une fuite,
qui croit vivre d'une sereine flamme
sans voir encore que c’est un drame
qui couve sous roche, sous un plaisir
un effet qui se veut sans sa cause
qu’on ignore ou laisse choir pour finir
- inattendu - parmi les épines des roses.

 

Le mal ne fait pas toujours mal
de suite,
et parfois la distance est si longue
entre notre conduite
et le son fatal de son gong,
qu’il faut de grosses épreuves pour nous arrêter
dans une trajectoire létale qu’on a soi-même lancée.

 

Le mal ne fait pas toujours mal
de suite,
c’est pourquoi il nous faut vite
apprendre où est la frontière, universelle,
entre bien et mal, telle que la Bible nous l’a dite,
pour que nous ne passions pas à côté de l’essentiel
qui est la vie éternelle.


Ne voudrez-vous pas vivre sans fin, sans plus de souffrances, de larmes, de coups (de face ou par derrrière), de violences, de manipulation, d'égoïsme ?...

C'est possible,
Car Dieu nous a tant aimés
qu’il a donné, pour nous éviter
les tourments de l’hadès satanique,
Jésus son fils bien-aimé rt unique
livré aux supplices d’une crucifixion
Dans le but que nous y voyons par substitution
expiatoire et propitiatoire, notre rédemption
et que, croyant à ce moyen pour obtenir notre pardon,
nous ne finissions pas comme et avec les démons
et Satan dans l’étang rugissant de feu et de soufre
mais plutôt qu’on souffre
une vraie repentance, un repentir sans camouflage
qui permette à Dieu de nous faire - à n’importe quel âge -
Grâce, mettant en nous des arrhes de son Esprit
qui est éternité de bien, et de vie.


S'il suffit de croire cela pour vivre ensuite éternellement
- et jamais Dieu ne ment - ,
pourquoi croire encore des fables matérialistes,
évolutionniste,
progressiste, marxiste, wokiste
ou de religion qui n'ont que la mort pour moyen privilégié

et pour fin, aléatoire ou programmée ? 
 

C.T. Fév. 24 @LGDDV

 

La Bible, Evangile selon Jean, chap. 3, vers. 1 à 21

 

Pour prier, >> une aide ici <<

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7 mai 2016 6 07 /05 /mai /2016 05:29
POÈME DE CIRCONSTANCE : MON TAMARIS ET MOI

J'ai un beau mais vieux tamaris
Qui se couronne encore du rose
De ses mille fleurs minuscules
Qu'il dispose aujourd'hui encore
Ancestralement en grappe.

Il a besoin que je le défende
Des offenses faites à son âge,
A son tronc qu'habitent quelques vides
Et que des champignons avides viennent sucer
Quand l'humidité le leur permet.
Il y a aussi ces lierres jeunes tels des alpinistes
Qui s'agrippent à ses basques en vue de ses cimes,
Et ses propres rejetons inutiles gloutons
Qui l'épuisent sans vergogne au mépris de toute existence,
Puisant eux aussi dans ce qu'il élabore encore
A partir de la Terre et du ciel
Par de grandes pompes qu'il ne montre pas.

Et moi, je deviens son Dieu rédempteur.

© Claude Thé 3 mai 16 - ALGDDV

Soyez béni-e.
Un chant à la gloire du créateur (lent)

Un autre plus dynamique

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Présentation

  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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