Extrême droite extrême gauche sports extrêmes,
Tutoyer les toits du monde ou ses basses fosses
Où les fesses s’exhibent se pénètrent et osent
Se dire se vanter pavaner avec fierté xtrême.
L’existence est devenue si plate quand oisif on a
Toucher à tout, explorer le sublime et l’indécent,
Les froideurs dépressives se scarifiant mortifiant
La chair sous l’effet d’hôtes impurs qu’on a laissés venir là.
Extrêmes ou le centre perd sa gravité, le désir et oscille
Ou bascule comme un vieux rocking chair qui casse
Sous le poids surabondant gras ou maigre et las
De pensées nauséeuses qui fritent sans famille
Jusqu’à déposséder cœur et âme d’équilibre
L’être vivant entier qui finit d’être libre.
C’est vrai plus d’une fois
J’ai été vache ! Il faut du recul
Et de la lumière pour mieux se voir tel qu’on est.
Vache avec parfois une faim de loup
Pour des agnelles, plutôt belles ;
Avec des dents de (petit) requin aussi
Pour prendre sa place au soleil,
Au début jaloux comme un poux
Tirant la couverture à moi dans les échanges
Cherchant chez l’autre ce qui serait bien
Pour moâ !
Tout ça forme un drôle d’animal,
- Un drôle d’oiseau ! -
Comme on dit des pies qui vole ce qui brille
Mais, comme les cygnes fiers et orgueilleux,
Bien incapables de voler
Dans les hauteurs comme l’aigle ou le milan
Majestueux et au regard perçant.
Vache donc et parfois cheval
Qui s’emballe comme un cheval de course
Multiplié par cent sous un capot,
Mais qui n’est qu’un mulet de reconnaissance
Qui ne reconnaît pas vraiment
Le monde dans lequel il vit et se met
Parfois dans des sacs de nœuds,
Dans des nids de poule ou de serpent
D’où l’on ne ressort pas indemne.
C’est ainsi que l’Esprit divin compatissant
Descendit un jour dans ma misère,
D’abord incognito
Puis se faisant connaître,
Pour y mettre son pardon et sa paix,
M’offrant de devenir plutôt un ovidé
A la toison laineuse, qui tient chaud
Et garde des piqûres d’insectes parasites
Qui trouvent plus de peau à percer
Sur les vaches ou sur les chevaux
Les agaçant sans cesse
Leurs queues et leurs oreilles ne suffisant pas
Pour les occire ou les dissuader…
Et puis, plutôt que de vivre en sauvage
- Prétendument sans dieu ni maître -,
C’est aussi un Dieu-berger bienveillant
Que j’ai vu apparaître et que j’ai fini
Par apprendre à comprendre, à écouter,
Car il sait mieux que moi,
Ce qui m’est de bonnes nourritures,
Où sont les plus verts et frais patûrages,
Où se trouvent les meilleures cachettes
Quand ça bombarde autour ou sur nous,
Sous sa houlette, sous son manteau
- Sa houppelande -, m’apprenant
De nouveaux mots, des vérités millénaires
Sans Lui retenues cachées, des valeurs et vertus
Que ce monde impie foule aux pieds
Et remplace par des billevesées nouvelles,
Des concepts controuvés, où le bien avéré
Devient mal, et des maaux nouveaux sont dits bien,
A défendre bec et griffes pour mieux les enchâsser
Dans des cœurs innocents faciles à formater…
Mais à jouer ainsi avec la vie comme avec
Le feu fossile ou nucléaire, et avec la mort,
On active aussi un jour où le Bon Berger
Dans sa colère - comme il a montré
A Jérusalem et dans sa Bonne Nouvelle -
Se fera des fouets de justice sortant de sa bouche
Pour juger les marchands et tous les manquements,
Les travers de nature et les vices ajoutés…
Gare aux vaches !
*¤*
Foorts de ces mots, si donc, lectrice, lecteur, tu veux changer
Ton cœur et jusqu’à ton apparence
Pour être bien (mieux) dans ta peau
De mortel séparé de Dieu et qui va périr un jour
(Ou une sombre nuit),
Regarde à Jésus !
Car il fut mort et ressuscité, désormais vivant
A jamais sur le céleste divin Trône.
Regarde ce Jésus sans faute (que certains détestent
Comme le haïssent les démons),
Lui qui pourtant a tout fait pour les êtres défaits,
Abîmés, amoindris, insufffisants et soufrants
Que nous sommes, et qui encore peut prier et prie
Pour... toâ !
Pour t’arracher aux relents et goûts de mort
Qui s’accumulent et accélèrent la fin
De ce siècle mauvais (déjà plus que beaucoup).
Car Jésus à l’encontre de ce monde qui ne vise
Que tes biens, ton argent, ta consommation,
Ton sexe ou ton genre et ta vie,
Veut et peut empêcher que tu finisses
Dans l’hadès qui est le shéol
Et le séjour des morts tenu portes ouvertes
Et gardées par le Satan éternel
Qui s’empare des âmes. Qui engrange des « moi-je »
Dévêtus et hagards, comme frappés d’Alzheimer.
Sans avoir donc en couverture double sécurité
Les effets protecteurs de la mort de Christ crucifié
Et de son Esprit saint.
Car rien ne serait mieux à apprendre dans toutes les classes,
Que le sang pur innocent de Jésus, versé sur un bois
De supplices et de mort au Golgotha,
Est l’Effaceur permanent de toutes fautes et iniquités
Et l’encre sympathique qui écrit de ses mains percées
Ta repentance, ta confession, ton pardon et ton nom
Sur le pectoral sacré devenu Livre de Vie ;
Aussi jointe au sang l’eau pure, lustrale, christalline,
Jailli de son côté ouvert par un soldat Romain
(Qui en reçoit la révélation), eau qui lave
Les toisons salies, la conscience souillée dans la marche,
Et irradie celles tondues quand on traverse quelque désert
Aride, froid, givrant ou trop chaud, où il faut s’attendre
- Avec tout le bien qu’il y a à remercier déjà -
A voir paraître un nouvel oasis ;
Et puis le don du Père des lumières immuables
C’est celui de son Esprit facteur d’opérations multiples,
Champion toutes catégories qui habite les cœurs purs,
Rendus purs par la croix et par la foi, qui enseigne
Les vérités et la saine doctrine évangélique,
Qui console les affligés, esseulés, veuves et orphelins,
Qui corrige - et ça on aime moins c’est certain,
Mais c’est utile et juste pour nous faire grandir
En stature intérieure, en confiance, en paix
En amour pour Dieu,
Pour nos proches obligés ou impromptus
Et amour pour nous-même, pour être bien dans sa peau
Nouvelle et tannée au quotidien pour de nouveaux challenges
Quand l’essentiel de l’animal en nous est mort
Et laisse vivre Christ en nous, l’espérance de la Gloire
Qui vient.
Je loue le Hasard
Pour les oranges à la couleur si éclatante
organisées à l’intérieur en quartiers
Qui donnent sous ma main pressante
Jus et vitamines fortifiantes, boisson sucrée…
Je loue le Hasard
Pour le kiwi qui cache sous la banalité
De son vert foncé et velu une harmonie subtile
Qui se découvre une fois coupé, au cœur blanc
Qui rayonne en couronne ses graines noires utiles
Et jusqu’en sa chlorophylle au vert tendre suintant...
Je loue le Hasard
Pour les courges et les tomates aux variétés
Innombrables qui se préservent ou s’hybrident
Pour nous donner des potages ou des plats cuisinés
Dont on laisse gourmands, l’assiette vide…
Je loue le Hasard prodigue
Qui nous nourrit par tant de prodiges
De créativité et d’ingéniosités à partir de la terre
Pourvoyant selon les continents des tiges
De plantes sélectionnées qui captent la lumière
Et transforment des racines profondes
Aux feuilles les plus hautes, en des sèves
Élaborées et des pulpes charnues, des ondes
Des eaux, des minéraux qui les précédent ou les suivent…
Je loue le Hasard et son art
De faire aux fruits des emballages appropriés,
Minutieux, beaux, minces ou résistants
En trois couches différentes imbriquées
Pour la châtaigne, bogue hérissée et deux peaux dedans...
Et les arbres, Dieu et la arbres !
Je loue le Hasard glorieux
Qui de graines minuscules bourrées de potentialités
Font s’élancer vers le ciel des bois inouïs,
Des branches, des essences aromatisées
De feuilles oblondes au vert terne ou qui luit,
Aux bords lisses ou dentelés, palmées en folioles
Uniiques ou multiples… Que de mots pour décrire
Tant de richesses dont on tire pour des fioles
Des onguents, des nards qui portent l’âme jusqu’au délire,
Ou des nectars, des gommes arabiques, élastiques,
Du liège… toutes choses très utiles dont naissent, capables,
Des menuisiers, d’habiles ébénistes et sculptures artistiques,
Des commodes, des bahuts et des lits, des sièges et des tables,
Des violons, des cure-dents, des pianos, des bûches à brûler
Pour se chauffer, des flûtes, des charpentes, des chalets suisses,
Des cadres de tableaux, des clôtures, et dressés bien fichés
En terre des poteaux de tortures, pour faire payer crime et sévices,
Recevant en traverse formant croix un patibulum
Où les romains clouaient par leurs mains pleines de sang
Des coupables, des maudits, forçats du mal, des hommes
Mauvais... parmi lesquels fut un jour percé et pendu un innocent...
Je loue le Grand Hasard
Pour toutes ses bonnes choses qui se mangent ou se sèment
Et que même notre génie humain peut arranger autrement,
Développer, prolonger avec grâce en rapport de ce qu’on aime
Et on s’aime, en renonçant au mal ambiant et nous imprégnant…
Je loue le Hasard Souverain,
Un Dieu à qui rien n’échappe peut-on dire quand on voit
Tant de merveilles achevées si parfaites, fécondantes
Sans fin, dont le mal il est vrai pose question… Mais qui de bonne foi
S’en soucient et cherchent l’origine, compréhension satisfaisante ! !?
Bref, rejoignant ce que dit Albert Einstein - qui ne fut pas le dernier
Des savants intégres et réfléchissants – de pertinent sur le hasard ,
On peut entendre et croire que c’est un des noms cryptés que le Dieu vrai
Se laisse donner quand il veut échapper à nos premiers regards,
Rester incognito, en raison de la liberté dont il nous a pourvus
Pour chercher, pour trouver, parmi tant de réalités d’abord cachées
Avec le bonheur de découvrir, de faire monter dans la lumière crue
Révolutionnaire notre conscience, qu’on désire vivre amplifiée…
C. T. @LGDDV Mars 24
A. Einstein : « Le hasard c’est Dieu qui se promène incognito. »
Un jour l’illustre savant se trouve confronté à Niels Bohr spécialiste de la mécanique quantique aux règles incompatibles avec celles de la physique ordonaire, à qui il dit : »Dieu ne joue pas aux dés ». Le danois lui répond du tact au tac : « Et qui êtes-vous pour dire à Dieu ce qu’il doit faire ! »
Oui, qui sommes-nous, ne serait-ce que face au Végétal ?
Rien n’est impossible à Dieu,
Il fait tout ce qu’il veut,
Mais s’il n’en fait pas mieux
Pour nous, c’est que parmi ce qu’il veut
Se trouve le désir qu’à notre tour
Nous voulions et désirons jour après jour
Le considérer dans son Être qui est Amour
Afin de le partager avec nous toujours.
Car Dieu se partage
Comme un bon pain, comme un bon vin,
Comme une richesse qui n’a pas d’âge,
Accessible hier aujourd’hui et demain.
Mais voilà que nous avons d’autres dieux !
Du moins quelques réalités dont on attend mieux,
Plus de satisfaction, d’émotions, de merveilleux,
Venant de la terre en tous lieux.
Pour toi est-ce d’abord le dieu Mammon ?
Tout l’argent et l’or qui donnent du pouvoir
D’achat de friandises, ou d’une grosse maison
Avec piscine et vue sur mer, en banque un avoir
Qui fait des petits et devient gros, des restos
Sans compter, des voyages à tourner en rond
Tout autour de la Terre, des chaussures haut
De gamme, des games à s’endormir dans le salon…
Ou bien appelles-tu ton dieu Hasard ?
Pas intelligent mais fort au point d’avoir créé
L’univers, les galaxies, les trous noirs et les pulsars,
Des systèmes et la vie dans ses inouïes complexités,
Le sentiment amoureux, les genres, les multiplications…
Avec qui on est libre d’ajouter nos idées comme on veut,
Comme un dieu auto-apprenti de l’imagination
Que la morale embête et qu’on enterre à qui mieux mieux.
On se donne ainsi des multitudes de dieux
Qui nous font collectionneurs ou trafiquants
D’énergies, de corps, de chair, d’envieux
Qu’on arnaque, de produits vains ou stupéfiants,
Où le sexe même devient un dieu qu’on débarrasse
De ses « scories » comme on blanchit plus blanc que blanc
Des acquis fraudés, des deals, des notes salasses,
Car même si l’on veut bien faire, c’est toujours le dégradant
Qui finit par triompher, le déconsistant par un virus,
Une maladie soudaine qui n’était pas au programme,
Qui change nos agendas, le vol d’un Boeing ou d’un Airbus,
Une fête en deuil, une joie assurée en drame.
Et j’en passe, de ces dieux qu’on se donne
Sans même la conscience qu’on devient esclave
De ce qui s’impose à nous, même d’une chose bonne
Qu’on déplace où il ne fallait pas, qui nous enclave
Dans un mauvais endroit à un mauvais moment
Sans moyen de retour, car tombent aussi des jugements
Sur des pratiques, sur des comportements et événements
Quand le dieu réel mauvais de ce monde appelé Satan
Peut nous atteindre comme il fit avec Caïn
Qu’il poussa à tuer Abel et exila sur un sol aride ;
Comme ce fut avec Jonas fuyant loin du chemin
Prévu par Dieu quand il se montra craintif et acide
Contre Ninive, et se trouva jeté à la mer pour ôter ce poison,
Ce mal vivant de la terre… Dieu seul ayant alors pitié
- A qui rien n’est impossible –, envoyant un gros poisson
Pour le sauver, accordant finalement à Ninive la cruelle d’écouter
L’appel de Dieu à la repentance, le roi par son abaissement
Obtenant son pardon… Et qui ne connaît l’histoire singulière
Et édifiante de Job que Dieu montre à l’ange rebelle Satan
Comme preuve qu’on peut marcher de manière régulière
Avec Dieu, en devenir très riche et apprécié plutôt que détesté.
Mais le diable ne saisit pas l’occasion offerte de revenir dans le camp
Du Bien, de la paix, de la bonté, et déclenche une guerre pour montrer
A Dieu que ce n’est pas l’amour et la foi qui motivent ce vétéran
De la lutte contre le mal, mais son propre intérêt. Alors il lance ses traits,
Il frappe, il tue, il décime, il dépèce, trop content de pouvoir assouvir
Sa haine contre un tel croyant et sa communauté jusque là protégée.
Il persiste dans sa perte que Dieu voudrait lui éviter qui un jour va s’ouvrir
Sur une éternité de maux, de souffrances, ce qu’il ne croit pas. Difficile pour nous à comprendre cette compassion encore vive de Dieu
Envers ses anges grands et resplendissants devenus des démons ingrats
Et barbares qui persécutent hommes femmes enfants, puis il se sert d’eux
Pour frapper à leur tour des coupables et des innocents, des bébés même
Abandonnés par leurs parents, pour en tirer le sang comme de sacrifices
Qui leur donneraient de la vitalité, vie éternelle et pouvoirs extrêmes…
Mais Dieu veile et ne permet aucun mal dans avoir après de tels sévices
Et meurtres et injustices, quelque bénédiction toujours plus ample,
Inattendue, voire inimaginable, vengeresse et plus que justificative,
Comme Job reçut, qui nous saide par son épreuve et sa fin d’exemple
Et de moyen par quoi Dieu reprend la main en justice et rend l’initiative
A qui s’attache à lui et malgré la faiblesse de notre condition
Peut s’attendre à ce que Dieu au final peut tourner tout mal en bien.
C’est par la réalité du mal, avec la liberté que nous héritons,
Qu’on peut faire de vrais choix, existentiels et essentiels, aux effets certains,
Éternels, bénéfiques qui s’acquièrent par la foi
Et non par des efforts religieux ou forcede la pensée,
Ou des effets maléfiques si ce que l'on croit
Exclut Dieu et Jésus, l'Esprit-Saint dont on renaît...
Cette foi vient de ce qu'on entend, qui nous vient de paroles de Dieu.
Par elles il créa les cieux et la terre et tout ce qu’elle renferme,
Par elles il guérit et ressuscite des morts, chasse les démons impétueux…
Paroles qu’encore on peut lire pour tenir dans le Dieu Sauveur d'une foi ferme.
Extrême droite extrême gauche sports extrêmes,
Tutoyer les toits du monde ou ses basses fosses
Où les fesses s’exhibent se pénètrent et osent
Se dire se vanter pavaner avec fierté xtrême.
L’existence est devenue si plate quand oisif on a
Toucher à tout, explorer le sublime et l’indécent,
Les froideurs dépressives se scarifiant mortifiant
La chair sous l’effet d’hôtes impurs qu’on a laissés venir là.
Extrêmes ou le centre perd sa gravité, le désir et oscille
Ou bascule comme un vieux rocking chair qui casse
Sous le poids surabondant gras ou maigre et las
De pensées nauséeuses qui fritent sans famille
Jusqu’à déposséder cœur et âme d’équilibre
L’être vivant entier qui finit d’être libre.
¤
Xtrêm hors sonnet et premier de cet ordre
Le don de sa vie par Jésus accomplissant
La justice divine. Quelle étrangeté que ce désordre
D’un peuple excité et de leaders l’excitant
Pour pousser une armée à tuer un des leurs
Simplement parce qu’il dit toujours des vérités
Et témoigne par sa vie à ses contracteurs
Combien ils ne sont pas ce qu’ils voudraient montrer.
Extrême la violence des cœurs que la lumière éclaire
Perdant et le sourire et le contrôle des rôles,
Dieu voulant de la sorte nous aider à voir clair
Au prix éclaboussant du sacrifice sanglant
Qui prive le Dieu qui parle de sa sainte parole,
Mais ouvre accès au ciel à tous cœurs repentants.
Faut-il qu'on soit 16 – 13 et 3 –
Pour n'avoir pas de Dieu une meilleure vue,
Pour se battre en religion comme des verrues ;
De ce qu'on peut même vivre sans foi,
Comme un enfant né d'aucun parent,
Sans voir que partout sont des cimetières
Qui devraient nous être des lumières
Sur ce qu'est jour après jour notre présent.
Faut-il que l'on soit 16 – au moins –
Pour faire une équipe qui gagne,
Pour décrocher d'un mât de cocagne
Quelques gros lots ou des grelots oints
Quand on ne cultive plus la guède
Pour faire le bleu des teinturiers,
Quand on cueille les fruits trop faits
Ou trop verts en intermède.
13 et 3 le regard qui ne voit pas de Dieu
La puissance dans ses œuvres,
La nature chlorophyllienne ou la pieuvre,
Les abîmes et la profondeur des cieux.
Car Dieu est, comme sont toutes les ondes
Qui partout portent des sons et des couleurs ;
Comme l'air qui se voit par sa moiteur
Ou ses bourrasques qui répondent
A l'appel de l'automne où les pluies fécondent
Les semailles, où les marmottes hibernent,
Où le peintre à l'oeil ouvert cerne
Comment tracer une Joconde.
Et comme en math où 2 et 1 font toujours 3,
Le Dieu vivant a 1 et 3 chemin
Qui a parlé et par où on le rejoint
Dans l'éternel présent par son sang et par la foi,
- Oui sans les mâles dit une certaine femme !
- Sans les femmes dit un homme qui en a connu des méfaits.
- Sans ses pauvres qu'il faut traîner dit un riche exacerbé !
- Sans les riches qui n'ont pas d'altruisme et de pitié.
- Sans ces pluies folles qui noient encore notre dernier salon ;
- Sans cette sécheresse surtout, qui asphyxie mes récoltes.
- Plutôt sans les religions dit l'athée qui veut se désaliéner,
qui cherche une paix intérieure sans encore la trouver ;
- Sans ces mécréants qui vivent du vice comme des sangsues
dit un croyant qui s'astreint à la morale, sans pour autant le devenir.
- Sans cet acnès sur mon visage dit la jeune fille qui fleurit mal,
et ces garçons qui nous harcèlent à Sarcelles à Hollywood et ailleurs ;
- Sans ces filles aux beaux cheveux qui nous excitent disent le garçon
et l'émigré solitaire qui avait cru que...
- Sans ces émigrés justement, dit l'indigène qu'ils gênent
et l'autochtone qui perd de sa culture les us et les repères.
- Sans ces transgéniques qui ne pensent qu'à faire progresser
les espèces, végétales animales et pourquoi pas humaine ;
- Sans ces naturalistes qui ne veulent que du bio kacher hallal ;
- Sans ces écolos de bureaux qui nous bassinent
Contre les nôtres dit l'agriculteur, contre l'éolien
et le nucléaire et qui marchent à l'électrique ;
- Sans ces chercheurs de profits à tous prix, qui pillent la planète
sans penser à nos enfants, dit encore l'écolo qui transitionne.
se fait homosapiens sapiens ruralis.
- Sans ces politiques et lobbistes et pédagogistes invertébrés
disent des raisonnables départis des centres et des bords
que trouble le wokisme sans frein accélérateur bloqué.
- Sans ces patrons qui ne pensent que pognon dit le travailleur
excité par le syndicat verrue du communisme guerrier dit le patron
qui travaille lui aussi sans se mettre en maladie quand ça n'va pas.
Oui la vie pourrait être comme une femme non grimée et vertueuse
qui trouve dans sa maison et des enfants le mieux à faire, le mieux à vivre
dans une société où la convoitise ne serait pas sans cesse attisée
par dieux Médias et Publicités, où la jalousie serait vue comme un fléau,
Et le contentement avec moins serait un précieux gain dit le sage.
- Sans ces faux-sages qui rêvent de vertus en se privant du plaisir dit l'hédoniste ;
ou qui rêvent d'un paradis sans rien oser bouger dit le social-utopiste.
- Sans le péché dit encore une voix à demi étouffée,
ce mal à plusieurs têtes qui fait manquer les buts nobles et bons, le bien
et la paix la plus véritable, du cœur, le repos dans l'action ;
- Plutôt sans ces concepts périmés comme Prosper dit le philonoosseur
qui voit l'absurde partout dehors dans l'enfer que sont et engendrent les autres.
- Sans le mal insiste le vrai laïc - non religieux qui croit en Dieu -,
qui ne veut pas jeter « le bébé avec les eaux sales de ses bains »
pour sombrer dans l'inconscience du matérialiste qu'il a été.
- Et donc, dis-nous; toi seul contres tous dit l'agnostique aiguillonné,
explique ta solution ! Que proposes-tu si tu ouvres encore la bouche ?
- Je dis qu'on a à se repentir, à revenir de la fable évolutionniste
qui nous réduit à l'animal et nous rend pire que tous ; Je dis revenir
des luttes ntestines insufflées par Satan dans la tête des Marx,
des Nietzsche..., plaidant coupable chacun pour ses propres méfaits,
pour son orgueil, pour cette folie d'avoir érigé le hasard en dieu
et de vouloir encore tomber en Scylla avec l'Intelligence Artificielle ;
Demander – demandez ! - pardon pour le mal fait sans même s'en apercevoir
tant l'aveuglement peut changer le mal en bien et le bien en mal.
Et je mérite, parlant ainsi, aux yeux de plusieurs l'internement ou la mort
si je persiste à croire encore et dire qu'existe un Dieu réel Créateur de tout
- et de nous ; des mains duquel dans notre liberté on s'est échappés,
comme Satan et d'autres anges l'ont fait : Et séduits plus qu'on croit, on les suit,
depuis nos plus anciens parents jusqu'à nos enfants élevés sans quelque saine piété.
- Suffit ! Tais-toi, dégage, s'unissent à crier l'impie et le religieux de toujours,
les mêmes qui mirent Jésus en croix pour l'arrêter et le faire taire.
Mais la vie de la vérité triomphera encore, contre l'hypocrisie, l'égarement,
le mensonge, et toutes les formes d'iniquités, parce qu'il a dit, inébranlable :
- Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font.
Et le Père pardonnera, tous les fauteurs repentants.
Mais celle et celui qui restent avec la boite noire pleine
de leur passé, de leurs péchés, des fautes morales et contacts occultes,
ceux-là devraient s'arrêter d'eux-mêmes avant que ne se casse
par la contrainte, le jugement, leur continuum mortel qui entraîne l'âme
vers un post mortem que les guerres et les viols et les totalitarismes
montrent déjà.
Alors oui, repens-toi !
Le hasard, c’est comme le café,
Certains ne le connaissent pas
Tant leur religion fait croire à la fatalité
De la naissance jusqu’au trépas, et au-delà.
Le hasard n’apparaît pas tel quel,
Comme le café qui est brûlé, grillé, torréfié,
Libérant un arôme que le feu appelle,
Puis il faudra qu’il soit bien dosé
Dans le temps, pour que tu ne perdes pas le sens,
Parce que si tu deviens dépendant addict accro,
Le bien est changé en mal et ta connaissance
Aliénée s’éloigne du vrai, du bien, du bon, du beau.
Ainsi je joue de l’hasardeux, un peu,
Dans des jeux de mots, de formes, de couleurs
Ou de sons qui paraissent, parfois heureux,
Sinon il faut pallier aux manques de faveur.
Il importe à l’humain de rester
Ou de devenir maître, si ce n’est de tout
Du moins du goût qu’aura l’éternité,
Trouvant le sens clair dans le flou.
Comme il faut du feu et de l’eau pour le café,
Peut-être un peu sucré ou pur tassé,
Les hasards ne doivent pas nous trouver endormis la journée
Et à rester dans des nuits longues sans sommeil, éveillés.
Car il faut comprendre que ce monde, inversé, est trompeur
Comme l’absinthe. Le café ne peut être à lui seul tes repas
Et conduire tes pas. Pas plus qu’il n’est créateur et moteur :
Juste des interstices, couleur café, ou chocolat.
4 septembre 23 C.T.
"Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre coeur." Jérémie 29:13
"Et moi, je vous dis, dit Jésus : Demandez, et l'on vous donnera; cherchez, et vous trouverez; frappez, et l'on vous ouvrira." Luc 11:9
La théorie du ressenti est une terrible négation
de la réalité du bien et du mal, une idolâtrie de la subjectivité... qui arrange bien les détraqués qui s'en réclament et la répandent...
RE-SENTIR
Le ressenti-ment parfois,
Plus souvent que l'on croit,
faisant de nous une proie
naïve, ou méchante, se livrant sans loi
à tous les courants d'air
Venant du ciel ou de la terre
qu'éclairent de blafardes lumières
présentées comme le bréviaire
de la nouvelle religion sans Dieu,
Venue non de plus haut des cieux
mais de délires obscurs et envieux
qui sous-tendent nos vies en creux.
Ainsi vides de Dieu nos âmes en bocaux
se remplissent de sale comme de beau,
s'engraissent et polluent le cerveau,
se parent d'or et souvent d'oripeaux.
Qui nous délivrera des dards menaçants qui volent
en plein jour et dans nos nuits qui s’affolent !?
Qui peut nous soustraire aux vols et à ces viols
qui se répandent sans que nos écoles et nos geôles
puissent contenir le mal et dire une justice
sévère - Et aussi la grâce, face aux vices et sévices,
pour les cœurs repentants qui voient le grand office
de Jésus mis en croix offert en sacrifice
pour le pardon des fautes, pour la libération
des âmes enténébrées dont la transformation
peut toujours advenir même au cœur des prisons
dans un re-ssenti vrai né de la rédemption.
Du ciel viennent la douce chaleur printanière
Qui réchauffe la terre,
Ou des rayons dardants la peau jusqu'au cancer
Si l'on ne prend pas garde en été à ses feux
Qui embrasent et le sec et le vert et sous tourbe
Propagent en filon des mycéliums fourbes
Qui tels des feux follets se jouent de tous nos sens
Devenant sous nos pieds une curieuse essence.
Du ciel viennent les eaux qui doucement
Tombent et donnent à la terre
Sa vigueur nourricière,
Ou soudain la frappent en trombe, en des torrents
Qui emportent des pans de terrains des voitures
Des maisons, comme de frêles barques sans voilure,
Comme des fétus de paille livrés aux ravageurs,
Comme des fœtus d'enfant engloutis avant l'heure.
Du ciel viennent des cieux lumineux éclairants
Qui font jour après jour les couleurs du vivant,
Comme aussi de noires obscurités
Qui cachent les vérités des choses et des êtres,
Les sales réalités comme aussi les plus nobles
Confondant dans des gris et tout les chats-beauté
Et de gros rats ignobles
Qui volent avec quel zèle le pain encore tout frais
De vieillards ou d'enfants qu'on a laissés sortir
Sans l'ombrage bénissant qui aide à bien grandir,
D'un Dieu qui en justice gracie abondamment
Qui lui reste fidèle, l'âme et le cœur confiants.
Oui du ciel et des cieux viennent bon et mauvais,
Selon non leurs caprices mais en effets des nôtres,
Selon les déréglages qu'à l'envi on se crée,
Selon les boues acides dans lesquelles on se vautre,
En des coulées de fiel ou flaques de douceurs
Qui ne respectent rien de la nature pérenne
Ni des lumières orange qui clignotent et qui viennent
Interpeller la conscience cette raison des cœurs.
Oui le dérèglement du ciel climatique
Ne peut rien en lui-même, que suivre
Les mouvements psycho-atmosphériques
De nos sages bateaux ou de nos bateaux ivres...
:
Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.