La théorie du ressenti est une terrible négation
de la réalité du bien et du mal, une idolâtrie de la subjectivité... qui arrange bien les détraqués qui s'en réclament et la répandent...
RE-SENTIR
Le ressenti-ment parfois,
Plus souvent que l'on croit,
faisant de nous une proie
naïve, ou méchante, se livrant sans loi
à tous les courants d'air
Venant du ciel ou de la terre
qu'éclairent de blafardes lumières
présentées comme le bréviaire
de la nouvelle religion sans Dieu,
Venue non de plus haut des cieux
mais de délires obscurs et envieux
qui sous-tendent nos vies en creux.
Ainsi vides de Dieu nos âmes en bocaux
se remplissent de sale comme de beau,
s'engraissent et polluent le cerveau,
se parent d'or et souvent d'oripeaux.
Qui nous délivrera des dards menaçants qui volent
en plein jour et dans nos nuits qui s’affolent !?
Qui peut nous soustraire aux vols et à ces viols
qui se répandent sans que nos écoles et nos geôles
puissent contenir le mal et dire une justice
sévère - Et aussi la grâce, face aux vices et sévices,
pour les cœurs repentants qui voient le grand office
de Jésus mis en croix offert en sacrifice
pour le pardon des fautes, pour la libération
des âmes enténébrées dont la transformation
peut toujours advenir même au cœur des prisons
dans un re-ssenti vrai né de la rédemption.
Du ciel viennent la douce chaleur printanière
Qui réchauffe la terre,
Ou des rayons dardants la peau jusqu'au cancer
Si l'on ne prend pas garde en été à ses feux
Qui embrasent et le sec et le vert et sous tourbe
Propagent en filon des mycéliums fourbes
Qui tels des feux follets se jouent de tous nos sens
Devenant sous nos pieds une curieuse essence.
Du ciel viennent les eaux qui doucement
Tombent et donnent à la terre
Sa vigueur nourricière,
Ou soudain la frappent en trombe, en des torrents
Qui emportent des pans de terrains des voitures
Des maisons, comme de frêles barques sans voilure,
Comme des fétus de paille livrés aux ravageurs,
Comme des fœtus d'enfant engloutis avant l'heure.
Du ciel viennent des cieux lumineux éclairants
Qui font jour après jour les couleurs du vivant,
Comme aussi de noires obscurités
Qui cachent les vérités des choses et des êtres,
Les sales réalités comme aussi les plus nobles
Confondant dans des gris et tout les chats-beauté
Et de gros rats ignobles
Qui volent avec quel zèle le pain encore tout frais
De vieillards ou d'enfants qu'on a laissés sortir
Sans l'ombrage bénissant qui aide à bien grandir,
D'un Dieu qui en justice gracie abondamment
Qui lui reste fidèle, l'âme et le cœur confiants.
Oui du ciel et des cieux viennent bon et mauvais,
Selon non leurs caprices mais en effets des nôtres,
Selon les déréglages qu'à l'envi on se crée,
Selon les boues acides dans lesquelles on se vautre,
En des coulées de fiel ou flaques de douceurs
Qui ne respectent rien de la nature pérenne
Ni des lumières orange qui clignotent et qui viennent
Interpeller la conscience cette raison des cœurs.
Oui le dérèglement du ciel climatique
Ne peut rien en lui-même, que suivre
Les mouvements psycho-atmosphériques
De nos sages bateaux ou de nos bateaux ivres...
Magnifiques fleurs de... cactus !
Comme quoi, des épines peuvent sortir des délicatesses...
Les trêves ne sont pas signe de paix.
Qu'on ne s'y trompe pas, qu'on reste éveillé,
Qu'on réalise que la guerre fait rage de partout
Larvaire encore souvent mais poussant jusqu'à bout,
Dans l'air, dans les infos, par de tristes médias
Dans les familles, par et contre les états,
Des virus à la couche d'ozone et plus encore
Dans les consciences, sur les âmes et jusque dans les corps.
QUAND LE SOLEIL
Depuis longtemps les jours sont gris.
Les nuages lourds et sombres comme des péniches pleines
Stationnent ou glissent sans cesse autant de jour que de nuit,
Ancrés comme avant un déluge d'eau et de peines.
Depuis longtemps sont allanguies les plaines
Et les roches altières de brumes envahies
Qui cernent et enserrent comme d'humides laines
Des habitants défaits, épuisés ou transis.
Le temps qui nous échappe comme en une prison
S'allonge, on tourne en rond, l'espace se réduit,
Des lois inexorables plombent la raison
Et la foi,espérance et espoirs, tout fond sans bruit.
Les oiseaux ne volent plus, ou les aigles plus haut,
Tout en nuances de gris humilie sans plus exaspérer,
Et l'hiver plus encore aux jours courts et pâlots
N'apporte plus Noël comme le plus beau cadeau,
Les froidures sont tenaces malgré les cheminées.
Se souvient-on encore telles d'un rêve les bribes,
Des couleurs éclatantes, des jaunes tournesols sur fond bleu de ciel,
Des orangés du soir, des verts d'Amazonie ; ou encore des diatribes
Télévisuels qui soutenaient des peuples vidés de l'essentiel
S'emplissant de lumières projetées virevoltantes
Qui donnaient pour un soir l'illusion du bonheur ?
Même ça, avec les magasins de denrées débordantes,
A perdu ses effets, les addictions demeurent.
L'argent est au pouvoir, avec ou sans un Rib,
Les yeux sur des écrans à guetter tous les tweets,
On a cessé de lire les classiques et les scribes,
Les lettres éternelles au profit de clips et de hits.
Mais la nuit la plus longue ne sera pas sans fin
Pas plus qu'il n'est permis, plus qu'il n'est toléré,
Car le ciel reste clair au-dessus des nuées,
Et un cri au milieu de la nuit sans entrain
Réveille les coeurs soudain : Jésus revient.
Ici Vidéo > LA FOURMI BLEUE - nouvelle extraite de CHANGER POUR LE MEILLEUR - 136 pages poétisées réunissant raison et foi, science et spiritualité, connaissance de soi et actualité (sombre)... et solution à notre mal-être, non-sens, questionnement...
Photo de la couverture : Une coccinelle bleue !?
... pour parler du côté surnaturel dont tout ce livre est imprégné. En rapport avec la connaissance de soi, l'actualité, science et foi - fort compatibles -, et comment trouver des solutions à nos problématiques en connaissant Dieu, le vrai, comme dit Blaise Pascal "pas le Dieu des philosophes", ni même celui des religions formées en système qui occulte le Divin plus qu'il ne permet de l'approcher.
Le texte poétique 2 des plus de 50 qui forment (avec un résumé de mon histoire extraordinaire )le corps du livre.
2 – SUBJECTIVITÉS
La subjectivité est élément second du Réel.
Elle nous donne des vues, justes ou fausses,
de ce qui est.
Les lettres, les mots, les sons sont asservis A qui les emploie à qui les écrit et à qui les lit
Tant pour ne rien dire que pour dire, pour unir que pour trahir,
A qui les conjugue à son être épithète au présent ou à venir.
Ils trouvent ou perdent leur force en des arrangements Beaux, subtils, vieillissant mal ou nous revigorant,
Poétique par quelle muse qui séduit, qui amuse ou musèle,
Frêle ou terrible comme une femme sans ailes, Jusqu'à hameçonner de force ou d'illusion Prosélytes, idolâtres, vies en creux ou en rond,
Rejoignant dans nos vides ou troubles entre-deux
Trop d’échos ou aucun, ou les deux.
Les langues de bois nous poussent vers les frontières Qui carapaçonnent sous des fioritures fières Des tonsures et autres tortures lierres.
Alors parfois, des mots de vie trouvent en derniers
Dans tels bas-fonds des paumés derrière des haies
Des perdus des foutus égarés, des relégués des riches désargentés,
Des absurdes aliénés des Nietzsche religieux ou athées, Entr'ouvant le Ciel par la force toujours vive jamais surannée
De la vérité.
Vérité, vérités !
Toujours étroites, « sectaires » (le mot ne fait pas peur)
Comme une ligne fait un vers,
Comme des lois font l'univers
Comme on compte trois moins un font deux Ou encore trois fois un font un... Comme il en est de Dieu.
Sectaires les voies mathématiques, Sectaires combinaisons chimiques, Sectaires les règlesdans les affaires, Sectaire un travail, sa valeur, ses horaires,
Sectaires les poids justes et la balance,
Sectaires les hiérarchies et les équivalences,
Sectaires les talents les prédispositons les dons, Sectaire la mort qui signe la fin du pardon
L'entérinant pour toujours ou le fermant.
Sectaire l'objectivité de ce qui est,
Qui doit prévaloir sur nos subjectivités,
Sectaires beaucoup de choses – bonnes,
Comme le bonheur quand on donne,
Et rien d'étonnant que soit détonante, Sectaire aussi la voie de Dieu.
« Entrez par la porte étroite.
Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent
à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là.
Mais étroite est la porte, resserré le chemin, qui mènent
à la vie, et il y en a peu qui les trouvent. » Évangile selon Matthieu, ch. 7, vers. 13,14
La vie ici-bas est ainsi disposée
Qu'on fait tous des déchets.
On a tous besoin d'une poubelle
Ou d'un lieu où jeter nos habituels
Ou occasionnels ordures, débris, balayures.
On peut recycler soi-même certains déchets,
Composter, rendre à la terre ce qu'elle a donné...
Mais pas tout. On a aussi besoin d'un ramassage
Ou d'emmener loin de nous, pour d'autres recyclages,
Ce qui va être détruit, brûlé ou enfoui, désossé, réduit, anéanti,
Ou transformé, pour en faire sortir une nouvelle vie.
Alors maintenant voyez ! Au plan de votre âme,
Comment sont traités les déchets, des drames,
Des blessures les infections, des gangrènes :
Regrets, remords, soucis, amertume, rancœur, haine ?
Les pensées mauvaises qu'on garde dans un coin
Du cœur, qui l'affectent et d'aimer nous tiennent loin ;
Et les mots durs et méchants qui se sont construits
Et tapissent notre fond jusqu'au jour (ou la nuit)
Où ils jaillissent et éclaboussent un autre cœur,
Par sms ou par la bouche cassent une relation,
Arrête une entreprise, enraye une belle organisation !
Pense-t-on souvent, ou jamais, à se laver
L'âme comme le corps, souillée, chargée, malade, encombrée,
Ayant besoin de trouver un refraîchissement
Tout intérieur, sans mettre toujours injustement
Sur le dos des autres, la cause de nos heurts,
De nos déboires, insatisfactions, malheurs !?
Est-ce seulement possible, qu'on se purifie soi-même,
Qu'on puisse trouver en nous la solution à tous problèmes ?
Faut pas rêver ! Faut plus rêver ni occulter
Nos insuffisances, nos manques, nos trop, nos difficultés,
Nos peines perdues face aux adversités
Irréductibles et toujours renouvelées.
Il faut trouver ce qui manque à notre billet
Pour qu'il soit entier et qu'on puisse gagner
Le gros lot immérité, qui nous mettrait en liberté,
En joie, en paix, pour aujourd'hui et pour... l'éternité !?
Alors voici une poubelle ! Un dépotoir, une décharge,
A nul autre pareil ; un trou noir, terrestre et cosmique,
Qui s'ouvrit béant en un corps-âme-esprit qui se charge
De tous les déchets du monde, des épaves critiques
Des tissus usées et déchirées, des identités aliénées,
Des pensées trompées trompeuses, des fautes morales,
De la cruauté des cœurs, des plus injustes iniquités,
De l'orgueil, hypocrisie... de tout ce qui s'appelle mal.
Regardez ! C'est Jésus mis en croix.
Voilà la poubelle pour le monde habité, dérouté,
Pour l'humanité déshumanisée et condamnée
A souffrir et à mort par la justice, par la Loi.
Entendez, regardez, ce trublion fils de Dieu – parait-il,
Flagellé, déchiré, percé, en conséquence de tous nos péchés,
Pour prix de tous les délits et crimes des continents et des îles,
Des fraudes, des vices, perversions, scories, impuretés,
Cloué sur un bois sans impartialité, en toute illégalité,
Seulement parce qu'il a laissé les forces terrestres
Et célestes les plus fortes – hors Dieu – s'exprimer
Et faire. Substitution voulue, désirée, mise en orchestre
Par Dieu Père invariable et Parole et Esprit qui en sortent
Pour assurer aux humains que le mal domine un salut éternel.
Car Dieu nous a tant aimé qu'il a livé son fils Jésus de telle sorte
Que quiconque croit en lui vive à jamais, de sa vie éternelle,
Délivré des forces qui font manquer ce but,
Déchet visible par le corps qui meurt et se décompose
Mais possiblement aussi âme lavée, rachetée, de perdue
Retrouvée, adoptée et bientôt nouvels être et cause,
Redistribuée pour les concerts sans fin
De la création qui est et qui vient.
C'est le premier livre de ma nouvelle vague (la première, c'était... au siècle dernier).
Il sort ici en tirage privé, sans prix fixé : on donne ce qu'on veut compte tenu des indications suivantes :
Contenu spiritualiste (chrétien) avec des poèmes, nouvelle, témoignage et autres pensées éparses joignant foi et raison, spiritualité et science, actualité et texte biblique...
CHANGER POUR 2 BON
- Poétique et Transition du 3e Millénaire -
2021
148
15,5*22
Couverture souple
brillant
blanc 90 g
4e de couverture :
"Chacun de nous est unique on le sait, mais il est bon de se l'entendre dire... pourvu premièrement que nous soyons intéressé à vouloir mieux connaître ce "moi" - pas toujours bien, imparfait, que je suis : Pourquoi ça ne tourne pas rond chez moi, comme chez les autres, partout ! Ensuite il nous faut croire qu'il y a de justes solutions à nos problématiques, qui ont la simplicité et la pertinence des plantes médicinales, ou de bons médicaments pas forcément chers, bons pourvu qu'on se les administre."
Livre étonnant, détonnant, décalé (vers le bleu !?) mais réaliste, réacteur, qui mêle intimisme et holisme ("holystique"), poétique et métaphysique, foi et raison, spiritualité (non religieuse) et science, histoire (la grande et les nôtres), interrogations et réponses sur et pour soi-même, sur l'existence et sur la vie, sur l'actualité et sur la mort... et après ?... Un défi à notre primo-formatage socio-culturel (occidental post-chrétien mais pas que...) qui n'a pas fini de nous amener des problèmes.
Parce qu'il n'est pas bon de rester toute son existence la/le même et parce que le culte matérialiste va arriver très vite au bout de ses mainmises réductrices et aliénantes sur les personnes, les relations et environnements, il est préférable d'accéder à certains savoirs de fond maintenant, pour avoir une vraie liberté de choix, sans report.
Claude Trouiller a été photographe du sport automobile avant qu'un grave accident professionnel lui « permette » de vivre de ces expériences surnaturelles (du genre des EMI/NDE) qui provoquent une expansion de conscience et ouvrent sur plus de sens des réalités et sur la finalité de notre présence ici."
Si vous êtes intéressé-e, merci de me le faire savoir par commentaire ou par Contact de la page d'accueil.
Tout est bon en équilibre.
Le vrai repos est dans des équilibres.
Dans équilibre il y a libre... mais pas forcément cheval.
Passer de droite à gauche ou de gauche à droite est par foi bien difficile.
Mais tenir le centre est plus difficile encore. Surtout quand le centre est pris par l'ego, un gros ego qui ne supporte pas d'égaux.
PENSÉES ÉPARSES NÉES EN HIVER
C'est beau une éolienne, je trouve,
Mais si on ne leur met pas un frein,
Par gros vents elles s'emballent et cassent.
On met aussi un frein à l'âne, au cheval,
Ce qui s'appelle un mors, et parfois des oeillères,
Aux chiens une muselière,
Et pourquoi ne pas mettre au même endroit et pour les mêmes raisons
Aux humains qui, en perdition se prennent pour des simiens,
Des masques de leur tragédie.
¤
Chez nous tout ce qui est cassant est un jour ou l'autre cassé.
Il vaut mieux être cool comme Raoult
Souple comme le roseau qui, même s'il pense moins que le chêne
Résiste mieux aux intempéries et contrepètries tragiques de la vie.
¤
L'amour vrai et durable
Comme le bonheur paisible profitable
Est dans le près,
Auprès de Dieu.
:
Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.