Les guerres !?
Signe criant de la problématique humaine.
"Mais la nuit la plus longue finira bien un jour"...
Revenir tous de cette grande et affreuse guerre
où se coutoyèrent des grandeurs et la misère
Noire, violente, vicieuse, douloureuse, létale,
Comme on rentre chez soi à jamais loin du mal.
En vainqueurs glorieux, légers, le visage irradié
La peau neuve, sans plus de traces du passé ;
Ou en vaincus sombres, humiliés, mais cependant graciés,
Blessés, vivants mais si peu, quand même rescapés, sauvés,
A qui les soins de la guérison seront mis à portée de main
Selon la miséricorde immense du Dieu ouvrant ses lendemains
- Sans fin - à ces descendances humaines dont il s'est fait
une Épouse royale, des amis éternels, des servants zélés,
Un ordre, une hiérarchie toute nouvelle où des derniers
Se retrouvent premiers et les plus humbles sont élevés.
Mieux vaut déjà un heure dans ses parvis que mille ailleurs,
Mieux vaut déjà ici-bas sur les champs de malheurs
Trouver son secours et changer de camp
Plutôt que guerroyer comme des manants
Sans autre espérance qu'en des pensées controuvées,
Dont celle de n'avoir jamais Dieu à rencontrer.
Pourquoi ce tableau
(signé Edvard Munch)
a-t-il été acheté en 2012
au prix inégalé de
120 millions de dollars ?
Peut-être parce qu'il symbolise
mieux que tout l'homme moderne
emporté par sa crise d'angoisse existentielle...
Faute d'avoir pu ou voulu entendre,
devons-nous encore nous boucher les oreilles pour ne pas entendre le mal qui nous poursuit et vient encore ?...
QUE NOUS MANQUE-T-IL ?
Qu'aurions-nous dû entendre depuis longtemps, pour ne pas nous retrouver surpris, dépités, apeurés, atterrés, sans solution post-confinem qui nous redonnerait un vrai moral, qui nous ouvrirait sur le sens et encore des portes qui correspondent à ce que nous sommes et à ce qui nous va le mieux ?
Une crise n'éclate pas du jour au lendemain.
Le corona covid-19 il n'est pas né il y a trois matins.
Le mal-être était caché par le confort, les sorties, les apéros,
Chacun depuis longtemps avait, brefs, des pics hauts
Mais surtout des bas, des débats intérieurs
Et même pas ! Sans plus de réflexion, mais avec des peurs
Des langueurs, des sueurs froides ou des chaleurs,
Tout ces trucs qu'on efface en ouvrant la téloche
En regardant la misère de certains - très moche -
Puis en zappant sur les fêtes paradisiaques milliardaires,
Un film de sang avec, obligé, du sexe, puis une enquête judiciaire
Et on s'endort trop plein de vide, sans envie ou trop ragaillardi
Bref, trêve de rêves en apnée, trêve de rimes et de poésie
Trop de somnifères, de tensions, de fautes, de galères
Au point de ne plus rien comprendre du ciel et de la terre...
C'est qu'on ne nous a pas tout dire. On nous a dit beaucoup de choses et des salades, par feuilles de chou (de Bruxelles ou chinois, de droite ou de gauche), corona compris, et bientôt un vaccin, ze vaccin, pour la meilleure santé possible (financière) au moins de quelques uns.
Alors que nous a-t-on caché ? Quelle info décisive qu'on n'a pas ou plus entendue parce qu'étouffée sous des esbroufes, remplacée par "un conte de fée" comme disait le grand et pieux et lucide professeur Jérôme Lejeune*.
C'EST LES VÉRITÉS SUR DIEU QUE LA FRANCE ET L'EUROPE DEVENANT DARWINIENNES ET MARXISTES NOUS A VOILÉES
Car oui Dieu existe, on peut le rencontrer - en esprit et en vérité.
Le créateur intelligent et bien intentionné de l'univers, d'un point de vue scientifique infiniment plus probable qu'un "hasard" qui se mettrait à créer par des suites de hasards capables de produire parfois (sans foi ni la moindre pensée) de la matière, des énergies, plein de lois, des ordres, des organisations partout et autres relations significatives.
QUE CHOISIR ? THAT IS ZE GOOD QUESTION !
Rien que pour la raison libre (de penser, d'analyser, de soupeser, de conclure...), il n'y a pas photo entre
- d'une part une Intelligence (divine) qui crée un tout dynamique, mécanique et quantique, avec autant de parties bourrés d'intelligence incluse,
- et d'autre part un hasard - qui est quoi en soi ? - qui se met tout à coup en mouvement (Pourquoi ? Comment ?) et produit par des myriades de hasards plus aveugles qu'aléatoires tous les systèmes très divers et très complexes qu'on connait, dont ceux qui sont déjà présents, constituant et agissant, dans les plus simples organismes unicellulaires.
L'ingénierie incluse dans une simple cellule ! Même aujourd'hui avec nos moyens et notre intelligence, on est bien incapable de former un tel corps vivant, ne serait-ce qu'à partir de la matière déjà disponible...
LA LOI DE CAUSALITÉ FAIT QUE LES ARBRES PRODUISENT DES FRUITS À LEUR IMAGE
Et voilà pourquoi au bout d'un moment rien ne va plus ! On est comme un train dont le moteur a été coupé et qui peut encore roulé longtemps et des kilomètres dans sa lancée, mais d'avance il est voué à s'arrêter et à devenir un encombrant sur la voie.
Alexandre Soljenitsyne qui a connu le goulag et la cruauté humaine quand les hommes se déterminent à vouloir dessiner eux-mêmes leurs lendemains (sans Celui qui seul connaît ce que sera demain et voit dans l'invisible) a écrit : "Le plus grand drame du XXe siècle : on a oublié Dieu."
Et encore il est réservé dans sa formulation (la peur viscérale contractée pendant des années à toujours craindre d'être surpris en train de penser hors des normes du Parti communiste). Car on peut bien remplacer oublié par occulté, par écarté sciemment et tué délibérément... la liberté de la pensée de Dieu, comme si cela allait rendre Dieu inexistant.
Oui, on ne nous a pas (plus) dit, alors que nous ou nos parents étions enfants, qu'il y a un Dieu réel, vivant, dont on est les créatures, et qu'on peut en expérimenter la réalité si on se tourne vers lui.
Le fruit de cette décision entérinée de croire les penseurs mécréants, athées ou agnostiques du XVIIIe siècle et leurs constructions philosophiques et idéologiques controuvées, a mûri comme un fruit, jusqu'à commencer en nos jours à se décomposer, à sentir la décomposition et la mort. Rien de tel quand il y a un vers dedans ! Ne fusse qu'un virus, avant le covid on sait déjà ce que cela peut produire dans un ordinateur.
On est entrés dans cette décomposition, ce démantèlement (des couples, des familles, des entreprises, sociétés et nations même) au profit de quoi ? de qui ?
D'une mondialisation.
Que voilà un de ces mots qui cachent une forêt !
Un idée, un projet, une volonté qui pourrait sembler bonne... mais qui ne va pouvoir se mettre en place qu'en faisant disparaître l'idée et la réalité démocratique - forcément !
On a compris quand on voit et entend les divergences de vue et de solutions, les argumentations jusqu'à agressives, l'impossibilité pour des gens de même culture, couleur, racine de s'unir jamais lors de tels échanges radio ou télé sur n'importe quel thème.
Et le chômage ? Pas assez de travail pour tous !? Non, la réalité là encore est que Quelqu'un, le Dieu véritable, a tout sous le coude, comme des privilèges qu'il veut bien partager avec tous, dès lors qu'on se confie en lui. J'invite celui/celle que ce point intéresse à lire (ou écouter) ici > le livre de l'Ecclésiaste.
Alors réveillons-nous, la démocratie ne passera pas (même par la guerre civile, car elle n'a pas (assez) d'armes), mais la mondialisation avancera jusqu'à faire plier l'humain sous les programmes... comme en Russie hier, en Chine ou en Corée du nord aujourd'hui.
La phase consensuelle prendra bientôt fin, la lucidité l'emportera encore un peu sur les séductions, manipulations, faux-semblants démasqués, mais la parole sera de plus en plus muselée, la résistance aura fini d'être usée, et soudain ce sera la force, genre traité de Lisbonne, 49-3 état d'urgence, vaccin obligatoire sinon rapt d'enfants ou puce électronique permanente sinon tu es out... Par des contraintes administratives et économiques donc, des interdictions ou obligations drastiques, voire progressivement par des armes de diverses sortes (bactériologiques ou à feux) et beaucoup, beaucoup, beaucoup de morts annonce le livre prophétique de l'Apocalypse.
COMME IL Y A UNE FACE CACHÉE DE LA LUNE...
Mondialisation au profit de qui ? Quelle surprise si vous ne le savez pas encore !
Au profit d'une élite intello-financières ? D'une oligarchie humaine ?
Non, car au-dessus des hommes, de ceux-là comme de tous, de notre humanité entière, sont des esprits - que d'aucuns peuvent imaginer comme des extra-terrestres façon film de science-fiction.
En réalité des esprits méchants, méchants, trompeurs, séducteurs, dénaturés, toujours maléfiques, qui sont initialement des anges de Dieu qui ont pris la liberté de sortir du Bien absolu. Ainsi fut créé le mal, tout ce qui n'est pas (le) bien, tout ce qui ne peut pas rester bien.
Le premier de cette autonomisation fut un ange puissant et brillant comme un astre, devenu dès lors Satan, l'adversaire de tout ce qui est bien véritable, de Dieu et ses anges et de nous humains moins bien pourvus en forces, capacités, pouvoirs.
Des myriades sortirent de leur rang béni à la suite de Satan, anges se transformant alors en démons. Ce sont eux, entités spirituelles invisibles, qui cherchent à s'assurer le contrôle total et durable (éternel comme ils sont) de la terre et de ses habitants (notre humanité et tout le reste). Telle est la réalité occulte qui se cache et manœuvre sous la pensée mondialiste mondialisante.
Des hommes/femmes haut placés qui siègent en oligarques dans des clubs ou sectes croient pouvoir devenir eux-mêmes les maîtres du monde... à partir de divers rapports troubles qu'ils peuvent avoir avec ses esprits satanisés. C'est bien mal connaitre les entités avec lesquelles ils collaborent quelque peu consciemment ou qu'ils prennent pour leurs propres pensées.
S'ils voyaient mieux ils chercheraient vite du côté du vrai Dieu et de Jésus-Christ le secours dont ils ont besoin face ne serait-ce qu'à leur mortalité physique.
Au lieu de croire les mensonges du diable et de ses démons - qui se fait passer à leurs yeux pour une créature bonne (sous le nom de Lucifer en général), ils feraient mieux d'avoir l'humilité de chercher de l'aide pour être sauver. Mais on a chacun à un moment ou à un autre, des plages de liberté où on peut passer des ténèbres de Satan à la lumière de Christ. Mais attention de ne pas remettre au lendemain, car on ne sait jamais si une porte de secours ouverte aujourd'hui, ici et maintenant, le sera encore ce soir, cette nuit ou en d'autres circonstances...
ÉCHAPPER A LA DICTATURE QUI VIENT
Le livre biblique de l'Apocalypse prédit qu'effectivement, par la soumission des hommes à ces autorités spirituelles trompeuses autant que maléfiques, vient un ordre mondial qui sera une dictature terrible d'origine et de forces sataniques.
L'histoire nous permet de voir plusieurs effets de domination démoniaque derrière les hommes, avec les inquisitions, le massacre de la St-Barthélémy, des croyants brûlés ou décapités par d'autres croyants, le terrorisme sous diverses formes, les massacres ethniques, du vandalisme haineux et tueur...
Et bien sûr avec Hitler, le nazisme et la shoah, on a la figure - récente pour nous montrer que cela n'est pas une vieille histoire moyenâgeuse - réelle et en même temps prophétique, des effets concrets pouvant résulter des capacités et incitables démoniaques quand elles réussissent à tromper des hommes pour en faire les agents de leurs propres objectifs. En ce sens notre propre mal-être comme une convoitise égotique boostée par l'orgueil, peuvent l'un et l'autre devenir le ferment qui permet la greffe d'une entité ou d'une autre démoniaque sur nous.
Ces esprits sont capables de donner des moyens financiers, de l'intelligence pour trouver des solutions (apparemment bénéfiques) aux problèmes des êtres humains ou des sociétés, des voix lors d'élection, des succès divers, des tremplins qui sortent de l'ordinaire, des charismes qui peuvent séduire des foules, entrainer à sa suite indistinctement hommes, femmes ou enfants... Le tout se terminant toujours par de la casse, des brisements, des destructions plus ou moins massives, du chaos, et souvent la mort des instruments utilisés, aussi dramatique ou plus celles de leurs victimes prises sans défense suffisante sous ces influences et forces.
POURQUOI JÉSUS LE SEUL ?
La Bible nous dit que Jésus seul a été capable de résister à Satan au point de ne lui céder aucune place dans sa vie pendant toute son existence semblable à la nôtre, et plus encore il'a vaincu de manière définitive la puissance de tous ces anges déchus. Comment ?
En les laissant volontairement libres de s'en prendre à lui, à partir de son arrestation dans la nuit de Gethsémané.
En a résulté son humiliation, les coups terribles qu'il a reçu de la part de Pilate, et jusqu'à la crucifixion sollicitée par les leaders juifs, ce qui était la plus grande des injustices parues sur la terre.
En effet Jésus était sans faute et sans fraude, saint, irréprochable quant au mal, parfaitement innocent quant à lui-même. Or la mort dit la Bible, apparait comme la conséquence, la sanction, du mal (ou péché) qui nous habite et qu'on peut faire. Et donc cette mise à mort des plus ignominieuses et injustes ne pouvait qu'être comme annulée par Dieu par une résurrection de la victime innocente. Ce qui se produisit au 3e jour après la crucifixion.
Mais ce n'est pas tout. La résurrection n'annule pas tous des souffrances, de l'agonie et de la mort de Jésus. En se laissant prendre, juger et tuer injustement, Jésus en fait acceptait aux yeux de Dieu de prendre la place de coupable que nous sommes tous (par nos fautes), acceptait de supporter ce que mérite chacun de nous.
Pire même, il est mis à mort de la plus horrible manière, comme meurt les criminels, afin que son sacrifice permette aux pires des êtres humains de pouvoir être pardonnés et graciés s'ils se repentent de leurs fautes et croient en lui qui paya à leur place, pour eux, le prix de toutes leurs iniquités.
C'est ce que fit un des deux brigands qui étaient crucifiés pour ses crimes en même temps que Jésus. Sa droiture à ce moment-là lui permit d'entendre Jésus lui annoncer que dès sa mort il serait avec lui dans le paradis (ou royaume de Dieu). Quelle grâce !
Il en est tout autrement pour le second brigand resté dans son arrogance au lieu de s'humilier sous l'effet de la honte que ses actions amenèrent sur sa vie. Il mourut physiquement comme l'autre, mais son âme alors séparée de son corps, au lieu d'entrer dans la présence et sphère divines, descendit au shéol autrement appelé hadès ou séjour des morts (où sont les impies non pardonnés parmi les feux incessants des tourments de l'âme)...
Cela pour dire que Jésus peut sauver du shéol ou séjour des morts, quiconque, à sa fin terrestre, se confie en lui en reconnaissant ses fautes et en croyant en l'innocence - c'est-à-dire la divinité - de Jésus.
Mais avant le passage par la mort physique, on peut trouver à tous moments en Jésus ce sauveur qu'il est.
Il devient possible d'entrer par notre foi au bénéfice de sa protection, comme un enfant qui reste, en lui obéissant, sous la protection de son père ou de sa mère.
Aussi, face à la montée de la mondialisation et de ce qui peut paraitre pour nous soumettre tous, pour notre malheur, aux puissances occultes démoniaques, confions-nous en Dieu par Jésus, son incarnation historique et maintenant éternelle, car "Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné" ...à ce que Satan voudra et pourra imposer pour marquer chacun de nous d'un sceau irrémédiable d'appartenance (sans doute avec une puce électronique dont parle le livre de l'Apocalypse, et qui existent maintenant).
Ecoutez et cherchez si vous n'avez pas encore trouvé en Christ Jésus le sauveur et gardien de votre âme - l'âme étant l'essentiel de notre personne, le siège de notre moi conscient et autres facultés psychiques.
___________________________
* Comment Jérôme Lejeune a-t-il vécu sa première rencontre (expérience) avec Dieu ? Il la décrit à sa femme comme « Un fils retrouvant son Père très aimé, un Père enfin connu, un maître révéré, un cœur très sacré découvert, il y avait de tout cela et beaucoup plus. Comment dirais-je, de la tendresse, de la douceur, de l’affection, de l’amour timide et pourtant décidé, un besoin de faire savoir combien j’étais touché jusqu’au cœur de tant de gentillesse et de tendresse de Sa part, qu’IL voulût bien être là, qu’Il eût accepté que je L’y reconnusse, qu’Il m’eût accueilli si simplement et fraternellement. Comment dire ? Du tendre amour le plus évident. »
Cela ne donne-t-il pas envie de vivre une vraie révélation, toute personnelle, avec ce Dieu saint et aimant qui a déjà tout fait (par le don de Jésus) pour nous en accorder la grâce ?
Le cherche-t-on ? Existe-t-il le bonheur ?
Par nature invisible, parfois cependant il s'aperçoit,
Se fait sentir au plus sensible des cœurs,
Mais déjà Oups, il n'est plus là !... Pourquoi ?
Le bonheur ne dépend pas des richesses,
Le riche le sait mieux que quiconque,
Que l'imprévu peut toujours surprendre,
Qui n'a pas tôt fait d'être en liesse
Qu'il se trouve déjà au fond d'une jonque
Qui prend l'eau ou le fait pendre.
C'est que le bonheur ne dépend pas de ce qu'on a
Si ce n'est des soucis que cela pose,
Il dépend surtout, toujours, de ce qui manque.
Et que manque-t-il toujours quand tout est là
Semble-t-il, pour que tout soit bleu et vert et rose ?
Aux rois, aux beaux, aux princes comme aux saltimbanques
Aux prélats, aux préfets, aux citoyens en gilets jaunes
Aux ados boutonneux, aux séniors et aux vieux vieux,
Il manque Dieu... tant qu'on ne l'a pas trouvé, en vrai,
Tant qu'on ne croit pas ou plus qu'il donne
Le surcroît de vie qui ouvre accès aux cieux
Les plus hauts où tout s'unit en live éternité.
Le bonheur ne manque pas, là où il se trouve,
Là où il demeure et attend qu'on le rencontre,
Avec l'amour la paix l'enthousiasme le bien
Le bon, éphémères ici parmi nous, qui cependant prouvent
Qu'il faut chercher ailleurs, où il se démontre,
Le Dieu auquel croire plutôt que de ne croire en rien.
Le bonheur ne dépend pas de ce qu'on a
Mais de ce qu'on est quand on a trouvé Dieu,
Quand on est, conscient de nos insuffisances
De nos limites de notre inconsistance d'être iota,
Qui se comble comme un vase devenant précieux
De ce qu'on n'est pas de grâce de bonté de confiance.
C. T. June 2020 @LGDDV
Un après-midi de printemps le ciel m'apparut immense et bleu profond,
quand soudain un voile est levé aux yeux de ma conscience
et je perçois, j'entends, JE SAIS : DIEU est là !
La foi en l'homme - en nous-même ou en d'autres - fond.
L'espoir humain est une béquille qui se casse.
Ce temps crépusculaire nous amème
Les jeux sont faits !?
Par nos comportements coupables, arrogants, pervers, anti-Dieu, nous avons mis le comble à nos insolences, et globalement, collectivement,
on a perdu la main.
La folie serait maintenant de croire à un retour à la normale.
Notre normalité civilisationnelle est la cause de la crise planétaire
qui nous englobe.
Nos normalités (économiques, idéologiques, religieuses, morales...) sont devenues un consensus normatif souillé, utopique, chimérique, vulnérable à "l'effet papillon" (loi d'imprévisibilité mise à jour par E. Lorenz), inconduisible.
A vouloir vivre sans Dieu, d'Europe en Chine, on s'est attirés un jugement qui ne laisse plus de place à nos caprices et choix imposés par nos ego.
LES PROPHÉTIES BIBLIQUES S'ACCOMPLISSENT TOUJOURS
Dans la chronologie biblique apocalyptique, il reste une petite fenêtre (de très peu d'années) où un pseudo-sauveur va paraître pour relancer les économies... et les idéologies... comme ce fut dans les années 30 en Allemagne - car l'histoire se répète selon un procédé pédagogique autant que causal -.
Ce sera le pire mal... se présentant comme un bien miraculeux...
On est donc avertis, par l'histoire (ancienne et récente) et par la Bible depuis longtemps. C'est pourquoi il ne faut pas attendre demain une reprise bienheureuse, à l'identique, ou une suite seulement fatale et déprimante,
en restant maintenant laxiste ou impatient.
Le temps est à un positionnement personnel de fond.
Entre les erreurs, les mensonges, l'ignorance, les demi-vérités,
et les vérités vraies, immuables, universellement objectives en elles-mêmes,
un choix déterminant est à opérer. Tout retard pris - comme face au covid - risque de nous coûter (très) cher.
C'est l'amour et la patience de Dieu qui permettent encore ce temps à part.
Qu'on soit membres de corps de métiers hyper-sollicités en première ligne,
des politiques format la seconde ligne, ou des confinés lambda
sur les lignes arrières, ce temps est appel à interrogation.
...Exactement comme eut à faire le fils prodigue d'une parabole qui n'a pas fini de nous parler (ne manquez pas de la lire ou écouter ici).
Interrogation, entrée en soi-même, en vue de prendre une grande décision:
Dans ce monde que dominent les injustices, les contraintes, les extravagances faussement prometteuses et novices, soit nos restons coincés ensemble, insécurisés ensemble, à l'étroit dans nos situations personnelles
et dans la vue des choses;
soit nous venons, chacun pour sa part, ou revenons (non physiquement mais en associant raison, foi et espérance) en contact avec "la maison du Père" (avec le Dieu réel dans les dimensions psychique, spirituelle, transversale, de son royaume, avec ses grâces*, sa bienveillance, ses protections, sa justice).
La consigne sanitaire, solidaire et salutaire est claire:
Ne pas rester où on est tombé, où la vie ne nous satisfait plus - ou nous séduit trop (par une addiction ou une autre) -, là où "les esprits méchants dans les lieux célestes" nous veulent sous leur pouvoir, nous aident à nous y mettre, nous foulent ensuite aux pieds et, à un moment qui peut être le leur, arrachent les âmes des corps pour les jeter dans le shéol ou Séjour des morts
(qui est les prémices de l'enfer terminal.
QUAND LE CHEMIN SE PERD
Quand le chemin se perd
De nos vies, de nos entreprises, de la compréhension,
Quand on ne sait plus rien de comment la gestion
Du temps, de l'espace, des organisations,
Du conjoint, des enfants, des parents, de la raison,
Où trouver le secours, à qui regarder de fiable,
Sur quel rebord s'appuyer qui soit convenable,
Vers quel patron, vers quel chef capable,
Vers quel saint se tourner qui nous rendra vivable
Le présent arrêté ?
Quand les chemins se perdent qui étaient mal assurés,
Sur quoi on avançait sans soucis d'où cela menait,
Quelle folie que d'aller sans voir et regarder
Où on met ses pieds, à quelle fin arriver !
Et nous voilà défaits, pantelants, interdits.
Nous voilà face au Réel tel qu'il est écrit
Sinon à écrire... peut-être encore, suspendu
En dessous du vide de notre coeur rendu
A une extrêmité. Comme face à une savane,
A quel bush, quelle jungle remplie de lianes,
Impraticable comme sont tant de pensées lourdes
Ou volatiles, toutes possiblement des bourdes,
Voies sans issue, impasses, autant de culs-de-sac...
Mais points de départ possibles !? Entre l'adret et l'ubac
Comme en Tolkien, jeux vidéo, où une Terre du Juste Milieu
Existe, est à trouver qui touche aux cieux,
Pour enfin pour de vrai les toucher,
Et y gagner.
Quand le chemin se perd... une voix comme d'un désert,
Comme d'un rivage pas si lointain, sonne claire:
- Venez enfants, j'ai du pain et des poissons cuits !
Vous n'avez rien pris de votre nuit ?
Mais laissez là vos barques et vos soucis, moi je suis
Le chemin, la vérité et la vie.
C'est ce que Jésus dit encore aujourd'hui
Pour sauver ce qui est perdu, malade, sans toit ou sans abri
Spirituel, sans Dieu dans ce monde où les malédictions
Sévissent, font payer des tributs, démolissent les maisons.
- Croyez en Dieu et croyez en moi ! Croyez que je suis
La lumière de ce monde et que devant moi s'enfuient
L'ombre de la mort, tous les plus forts que vous, les raisons
Insensées... Parce que j'ai payé pour votre rançon
Par mon corps livré, fait péché, mal vivant crucifié,
Payé par tout mon sang versé pour le pardon de vos méfaits.
Car Dieu mon Père a tant aimé chacun de nous de ce monde déchu
Qu'il a donné son bien-aimé fils Jésus,
Pour que l'âme de quiconque croit en lui ne périsse pas
Mais qu'il reçoive en lui la vie divine qui le guidera pas à pas.
Par la prière on devient son enfant
Dès ce moment, et éternellement.
Écritures incluses dans le poème : Romains chap. 3.11,12 - Matthieu chap. 21.4,14 - 18.11 - Évangile selon Jean chap. 14.1-6 - Hébreux 2.14,15 - Jean chap. 3.16... - chap. 1.12,13 - chap. 8.12...
___________________
* Les grâces = faveurs imméritées, que Dieu peut nous accorder par la médiation de Jésus mort pour nous et ressuscité sont multiples.
Les plus fondamentales sont qu'il ajoute en nous, comme force contre le mal, la vie - éternelle - de son Esprit. Il élargit dans une dimension de profondeur, notre vue des réalités, visibles et invisibles, des tenants et des aboutissants de notre existence ici-maintenant. Il nous assure de sa protection et de son assistance face à ce que nous n'avons pas (enore, assez) la force de voir par nous-même qui nous serez préjudiciable. Il est une force, qui s'exerce dans notre foi, face aux esprits méchants, aux démons, qui nous tentent et veulent mettre la main sur nous pour nous faire faire toutes sortes de mauvaises choses...
Par tous nos instants la vie nous est prêtée
Qui fait notre existence, nos mouvements
Des paroles des pensées des projets...
Mais c'est le divin dessein qui en son temps
S'impose - faute que nous sachions nous-même
Ce qui est bon pour nous comme ce qui est à craindre,
Faute de savoir qu'au fond un Dieu réel nous aime
Qu'on ne connait et qu'on ne sait dépeindre
Mais qui vit et avec reproches s'approche
En ce moment.
Pris dans le filet des passions et incertitudes
Soumis à des lois qu'on prend pour de purs hasards
On avance en aveugle et la vie devient rude
Absurde trou noir ou mur blanc cauchemars,
Quand des vagues submergent notre simple raison
De peurs d'angoisses de sidération,
Quand l'impropable surgit d'on ne sait quelle maison
Et roule tout ensemble peuples et nations
Grands cachés nantis petits,
En un même temps.
Car le moment vient toujours
Où le surnaturel sort pour nous réveiller
Où la nuit même se change en nouveau jour
Où les causes premières sont dévoilées
Pour qui reste petit ou pour qui veut savoir,
Dieu puissant et démons à l'oeuvre sous nos yeux
Lançant sur notre terre chacun ses huiles et feux,
Coupes douces et amères qu'on ne peut plus que boire
Qui croyants et impies hagards séparent,
C'est le moment.
C'est le temps favorable pour se voir nu-e
Démuni-e incertain-e sans chemin assuré
Avec ou sans masque dérisoire saugrenu-e
Vivant-e encore, mais pour quelle destinée ?
C'est le temps de savoir sans les ombres du doute
Qu'hors espace et sans temps que des infinités
Est un Dieu bien vivant qui voit nos banques-routes,
Qui pèse nos faux-semblants vices et iniquités
Qui aussi des fausses routes déroute
En son temps.
D'un vrai retour à Dieu c'est le moment propice
Le moment opportun pour entendre sa voix
Découvrir les valeurs qu'apporte le sacrifice
De l'amour de ce Père et de ce Fils en croix.
Regarde lève les yeux sur cet homme cloué
Qui de Dieu est venu pour prendre nos péchés
Qu'il suffit d'apporter repentant à ses pieds
Pour être pardonné selon qu'il s'est donné
En payant de sa vie le prix
Pour cet instant.
Donc oui rentre en toi-même et cherche la lumière
Qui à jamais gravée dans un livre sans âge
Qu'on appelle la Bible comme braise en tourbière
Sommeille en attendant la vue de nos visages
De nos yeux grand ouverts enfin orientés
Pour lire et boire la vie qui appartient au Ciel
Descendue par l'Esprit sur la terre habitée
Pour qu'en lui par la foi on devienne éternels
Pécheur ou pécheresse en liesse,
Dès ce temps.
L'important, c'est la rose, chantèrent Ronsard, Bécaud ou encore Françoise Hardy.
Pour nous parler de la fuite du temps, de la vanité de beaucoup de nos mouvements, et d'une fin inévitable.
Alors quand on est arrêtés, voyons la chance (au lieu de regimber) de se trouver face à soi-même, de se découvrir quand on est seul-e, au fond si désemparé-e, si vide, si perdu-e, face à l'imprévisible comme face à la mort (jamais vacante) et jusqu'à face à un Dieu réel, si méconnu, inconsciemment voilé ou sciemment occulté (par soi ou par les sociétés athéisées).
C'est en ce temps précieux qui est à vous seul, et qui ici vous est restitué par la crise du covid-19 - un vrai jugement pour toute la terre habitée - que ce poème (et autres articles de ce blog) est venu et cherche à vous rencontrer pour, surtout, que vous-même fassiez une réelle rencontre et paix avec Dieu.
À LA RECHERCHE DU TEMPS ET DU DIEU PERDUS
Quand au fil tendu des jours on n'entend plus
Que la rose nous dit - Tu es si peu de chose...
Quand on se perd en vanités et qu'on ose
Braver de Dieu les lois comme s'il n'existe plus,
Ô oui on s'expose aux coronas vilains
Pouvant sortir des ombres et changer nos choses,
Nos systèmes, nos ordres, nos illusions roses,
De nos vies fébriles arrêtant les trains.
Car où courons-nous sans destination
Orphelins du Ciel par nos homicides,
Coupables et mortels redit ce covid
...Dont le bon côté qui tarit nos fêtes
Est que seul-e au monde, par un tête à tête,
On revienne à Dieu par sa rédemption.
Ce 20 mars 2020, dans un temps passé devant mon Dieu, soudain est montée l'amorce de ce poème, livré sur mon blog en live, tout chaud, le matin même, et repris ici.
Je souhaite et je prie le vrai Dieu, qui n'est pas loin de loin, qu'il vous aide à sortir du pire des confinements, celui de notre psyché, celui de l'âme, veuve et orpheline de la vie de l'Esprit.
MAIS OÙ VA TON ÂME ?
Notre existence a tout d'une flamme
D'un feu de cheminée ou d'une bougie,
Elle doit s'alimenter, elle se nourrit
Entre un départ et un dernier drame.
Mais où va ton âme ?
On craint et on a raison les amalgames,
Il faut distinguer, discriminer les sons, les pousses,
Ne pas croire que la mort est la même fin pour tous
Car pour finir du bon côté il faut connaître le sésame.
Où va ton âme ?
On peut ne pas le croire, choisir de notre vie la trame
De fond, les pensées, les comportements,
Faire comme s'il n'y a pas de Dieu... un temps,
Mais bien vite arrive des chaos et la fin du programme,
Alors où va ton âme ?
Tu ne le sauras jamais que trop tard
Si tu ne veux croire que les discours ambiants,
Alors que Jésus est venu parler et priant
Pour que chacun ne meure pas au hasard,
Sans savoir où l'âme part.
Où va ton âme, c'est où vas-tu toi être conscient
Quand le corps tombe, comme on laisse sa voiture
Qui ne roule plus, coque de noix sans voilure
Que ne pousse qu'une loi inexorable officiant,
Âme pleurant ou riant.
Tu sais, rien n'est compliqué - si ce n'est nous-même
Et tout ce qu'on veut faire de grand
Qui nous embarrasse, qui nous cache le présent
Et le futur, et aussi que Dieu nous aime,
Oui, nous aime.
- Ce sont vos péchés nous crie-t-il encore,
Qui font écran entre vous et moi vous aimant,
M'obligeant à vous juger, vous sanctionnant,
Alors que je n'aspire pour vos âmes et vos corps
Qu'à pardonner encore.
Revenez à Moi, dit Dieu qui ne veut pas
Que nos libertés vécues en irresponsable
Nous imposent les fers et un enfer épouvantable,
Vous donnant ici maintenant de faire le pas
De votre rachat.
Car c'est Satan qui tient le monde et frappe
Parfois précis parfois aveugle exécutant
Une justice à sa façon sur tous les habitants,
Mais Dieu n'est jamais loin et il rattrape
Ceux qui voient la trappe,
Ceux qui, subissant les serpents brûlants,
Les effets de leurs mauvaises causes,
Pour le pardon de leurs fautes osent
Regarder à Jésus mis en croix mourant,
Et par là nous sauvant.
Car Dieu a tant aimé notre monde mortel
Qu'il a donné crucifié son bien-aimé, Jésus,
Pour que n'importe qui, âme se voyant perdue
Qui regarde à ce sacrifice étonnant perpétuel
Ait la vie éternelle.
Claude T. @LGDDV 20 mars 2020 (passage de l'Hiver au Printemps)
Si vous voulez prier en vue d'être mis en ordre avec Dieu, réconcilié-e, en paix intérieure et avec lui, une aide en cliquez ici.
Sur les reliefs de la terre ronde
Par des chemins ou sur des ondes
Sur la trame du temps qui avance
J’imprime ma vie. J’en fais une existence
Qui court trop vite ou à tâtons
En mode essai, en mode brouillon.
Elle se transmet dans tous les rangs
La vie qui vient et que l’on prend
Comme le chien sa pâté
Comme on ouvre la télé
Comme la chatte a ses chaleurs
Le perroquet ses couleurs.
En mode essai je m’suis planté
Mon cœur deux fois fut brisé,
Ça se répare mais pas vraiment
Comme quand on s’casse une dent
Ou qu’on s’abîme la figure,
Les fêlures ont la vie dure.
Et puis Jésus est venu !
Me délivrer de mes verrues,
Jetant au feu tous mes brouillons,
Brûlant mon cœur de sa passion
Et transformant le laid en beau
Pour que j’imprime en mode photo.
Il n’y a de mode standard,
Pas plus qu’il n’y a de hasards
Qui gouvernent les univers.
Qu’on l’écrive en rouge ou vert
En sépia, rose fluo ou terre de sienne
La vie donnée qu’on se fait sienne
N’est encore rien sans le bleu ciel
Qui vient d’En-haut riche en pixels,
Pour nous donner en mode photo
Lumière d’appoint, cadre nouveau,
Ombre éclairée en équilibre
Et vérités qui rendent libre.
Quand Jésus vient Révolution !
Par lui arrivent les meilleurs dons,
La grâce du Ciel par le pardon,
Le repos dans nos excursions,
Son Esprit-Saint écrit nos noms
Au livre de sa rédemption
Et nous conduit par vaux et monts
À La Maison.
Ne reste pas en mode confus
Dont les formats nous laissent perdus
Loin de la paix, hors du réel
Dont l’essentiel est éternel.
Avec Jésus y a pas photo,
Il retouche tout là où il faut.
Le laisseras-tu te reformer
Pour vivre en Dieu l'éternité ?
Un homme avance derrière moi dans la nuit
Ses pas s'approchent je suis seule que me veut-il
Je suis femme et je sais bien ce qu'il convoite
Dois-je courir, m'enfuir ou bien l'affronter
J'ai pris des coups ai-je encore du ressort
Je suis lasse et j'ai envie de tout laisser tomber
De cette vie de mes emmerdes de mon passé.
Je suis marquée par quelle malédiction
Qui me poursuit comme je sens cet homme qui me suit
Que faire crier avant ouvrir mon chemisier
Comme ces Femen qui pensent ainsi le mâle exorciser ?
Il me dépasse ça va très vite le voilà face à moi
Il ne me fait pas peur s'il me parle sur quel ton je répondrais
S'il me touche je ne sais pas ce que je ferai
C'est curieux j'ai envie de m'abandonner - sur sa poitrine
Il semble doux mais j'en ai vu de ces marlous
de ses loups déguisés pour manger du Chaperon
Je sens que je glisse que je vais encore me faire avoir
Qu'il va me prendre même ce que je n'ai plus
Pourquoi ne dit-il rien attend-il que je le regarde droit dans les yeux
Pour mieux m'hypnotiser et jouir de ma peur ou de mon abandon ?
Ô ces yeux ,si doux, qui m'aiment, j'en ai jamais rencontré de semblables
J'en suis tremblante je l'aime déjà je vais me faire avoir
Qui es-tu je sais ce que tu veux de moi mais c'est pas juste !
Je fonds en larmes sans défense devant tant d'amour
Je me retiens de tomber dans ses bras
Et quand je vais fléchir il dit mon prénom !
Il me connait d'où de quand par quoi
Je défaille Dieu je suis si bien Dites moi qui êtes-vous
D'où on se connaît j'ai du oublier
Vous me faites tant de bien sans rien faire
Sans rien dire juste en étant là
Que je ne comprends pas
Un tel amour jamais vu jamais connu
M'inonde qui passe par vagues de toi à moi
Cette paix pourquoi venu d'où c'est quoi ?
Il me montre alors une main.
Elle est percée le sang rouge vif et brillant en sort
Mais ne coule pas. Quelle belle et vilaine plaie
Qui t'a blessé, dis-moi ?
- Toi.
- Moi, mais quoi, comment, que dites-vous ?
J'ai soudain de nouveau peur un détraqué !?
- Non je t'aime et j'ai payé.
Et là je vois d'un coup ma vie défiler vertigineuse
De fautes de méchanceté de jalousie de vices
Une horreur que je n'avais jamais vue je m'effondre
M'accrochant à son vêtement perdue vaincue
Mais pas battue.
Il dit alors - Pour tout ce que tu as fait j'ai payé
Je tourne la page par ma main, par mon corps transpercé
Je t'ai rachetée tu es pardonnée.
Aussi simple que ça qu'ai-je fais de bien pour mériter !?...
- Rien.
Tu es... tu es Jésus c'est toi !?
Dans ma nuit jusque là tu m'as suivie ?
Dans mes questions se trouvent les réponses
Je fonds d'amour d'un tel amour il me fait don
Je trouve un homme enfin suffisant pour porter
Ma misère mon insolence mes troubles mes blessures
Pour combler mes manques et mon cœur dépité
Je veux être à toi j'ai besoin de toi
Qui d'autre pourrais-je trouver dans ce monde ?
Il semble vouloir partir est-ce un mirage j'en ai tant vus
Faut-il que je supplie pour qu'il reste
Pour qu'il me prenne d'une manière jusque là inconnue avec lui
Pour lui sans sexe sans moiteur sans violence ou mépris
Pareil amour est-il possible
Moi entière dans son âme dans ses yeux dans son cœur ?
- Je suis à toi si tu te donnes comme j'ai donné ma vie pour toi.
Pouvais-je dire autre chose que Je suis à toi moi aussi je suis à toi
Tant l'amour vrai souhaite contient réclame un don total.
Tout cela allait très vite et doucement en même temps
Hors du temps mais c'était solide comme jamais auparavant
Je le savais sans pouvoir me tromper.
- Tu seras vulnérable
Tu seras ma défense mon bouclier
- Tu deviendras plus petite
Tu seras ma puissante moitié ma fierté
- Tu me seras infidèle
NON ! Je te jure
- Ne jure pas si tu tombes je t'aiderai à revenir à remonter
Et tu deviendras forte jusqu'à crucifier avec moi le mal.
Je t'aime ô que je t'aime fais que je t'aime sans faillir
- Je te scelle dans une alliance pacte d'amour par mon sang.
Tu es bon tu es doux tu es le plus beau de tous les fils des hommes
Tes yeux me charment ton sang me lave et purifie
- Tu es la plus belle des femmes j'aime ton nouveau parfum
On s'enivrera de toutes les beautés ma bien-aimée
Déjà un peu ici et sans fin dans mon royaume.
Rien que de l'amour je veux et te suivre et t'écouter
Volontaire bienheureuse nos deux cœurs vibrant du même souffle.
- Ce sera difficile
Tu vaincras encore pour moi
- Il faut à l'amour justice, vérité, pardonner, humilité
En une grappe comme frères et sœurs enfants d'un même Père
Écoute écoute car c'est par manque de tout cela qu'il y a si peu d'alliances sûres
Tant de ruptures les mauvais coups tous les trafics
Rien n'est durable sans moi et sans amour.
Je veux ton ciel maintenant et toujours
- Je te le donne ma douce ma mie crois seulement
L'amour est fragile mais fort plus que la mort
On peut vivre unis l’Éternel présent si tu le veux comme je le désire
Prenons-nous par le cœur promenons-nous sous ce bois
Où je fus agressé pour que la vie et l'amour vrai triomphent
Maintenant
Et en dernier lieu.
Entre les cimes et les abimes
On court, on parcourt, on bat la campagne,
On longue des vallées peu éclairées, encaissées
Ou verts tendres, on traverse des champs de blé
Parfois teintés de coquelicots et de bleuets ;
Aux prés fleurissent la primevère et pissenlits
Mais le bonheur est-il ici ? Paul Fort de son talent l'a cherché, l'a cherché
Ce bonheur coquin rouquin malin qui peut poindre,
Sans le rejoindre : Il a filé !
Mais voilà que la colombe sortant de la tombe
Blanche, vient nous dire et prescrire : Il est ici,
Il n'est pas parti ! Le bonheur est dans la vie,
En son cœur, en Jésus-Christ.
C'est Lui qui l'a remis à portée d'âme comme flamme
Devant brûler en nous de son huile odoriférante
Allumée à la torche du Sacrifice qui prit nos vices
Nos errances mortelles coupant du Ciel,
Sur Lui.
Alors cours moins, cours mieux, et crois !
Crois et fais croître sans cloître ta foi dans la liberté
Et les vérités que Jésus-Christ ressuscité accorde ;
Crois en sa croix, foi qui s'éveille, s'anime, et trouve
En sa mort encore le port du Ciel,
La paix du cœur, le bonheur
D'être aimé, reçu, sauvé
Ici maintenant
Et jusque dans l'éternité.
:
Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.