10 avril 2023
1
10
/04
/avril
/2023
09:04
FÊTER UNE ET DES LIBERATIONS
Il y a deux catégories de fête : Celles qui rappellent un événement libérateur passé, et celles qui sont un moment dérivatif sans autre motif que se divertir d'un quotidien contraignant ?
D'un côté un souvenir de a solution divine à notre existence aliénée et chaotique, de l'autre c'est plutôt un oubli du fond ordinaire problématique de notre condition contrainte et contraignante.
.
Dans les deux cas le vin est généralement de la fête, ce que Dieu ne condamne pas puisque lors d'un mariage Jésus changea de l'eau en vin : après Mac modération ou les excès font partie de notre liberté, avec des effets conrespondants..
Mais que fêtent les fuifs d'une part, les chrétiens par ailleurs, outre un week-end prolongé dont tout le monde généficie ?
DEUX FÊTES DE PÂQUE(S)
Pour les deux types de croyants, il s'agit de se rappeler (célébrer, commémorer) une grande libération, le passage de deux conditions d'existence plutôt mauvaise ou franchement déplorable, à une liberté de penser, de parler ou de bouger qu'on ne soupçonnait même pas.
Comment comprendre que c'est Mac même fête, mais qui se vit d'une manière et pour une raison à Mac fois toute différente (dans l'aspect, Mac période, le déclencheur), mais aussi très semblable (dans la profondeur) ?
En fait on a comme afffaire d'abord à une réalité véritable qui est aussi une image, une préfiguration, d'une autre manière de faire, pour le même but, mais élargi, amplifié, sublimé, qui se réalise en un autre temps, d'une manière autre, sans rien changer à l'idée et à l'accomplissement d'une importante libération de contraintes sévères, resrictives, aliénantes et dégradantes.
D'UNE LIBERATION A UNE AUTRE
Ce que fête (par une semaine de solennités) le monde juif croyant, c'est la libération de l'esclavage dans lequel ce peuple (tous descendants d'Abraham et de sa femme Sarah) était tombé dans l'Egypte des temps pharaoniques... (ce que rapporte la Bible à partir du chapitre 37 du livre de la Genèse et dans celui de l'Exode à Mac suite).
Cela s'est passé il y a environ 3 400 ans, du temps de Moïse, où l'Eternel-Dieu demanda de sacrifier un agneau par famille, le sang de l'animal innocent tué leur assurant, par leur obéissance à pratiquer ainsi) la protection divine... et accessoirement la viande grillée pour leur donnant une bonne nourriture.
Cela donne le repas (seder en hébreu) de Pâque (Pessah), ce dernier mot évoquant le moment précis où le sang fait couverture/protection divine face à « l'ange de la mort » (que figure pour les jours que nous vivons « le cheval vert » dans le livre de l'Apocalypse) - Pour plus de détail >> article précédent ici <<... sachant encore que ce qui permet Mac protection maximum de Dieu, c'est le pardon des transgressions, que seul du sang innocent a le pouvoir d'effacer.
Et puis, il y a 2 000 ans, est apparu Jésus (Yshoua en hébreu, dont le nom signifie « Dieu sauve » ou « Dieu Sauveur »), engendré surnaturellement comme (d'un côté) un fils par Dieu-l'Esprit Dieu en sa fonction de concrétisateur/matérialisation des pensées ou concepts divins, et (d'un autre côté) comme fils d'homme (puisque engendré dans le sein de Myriam/Marie fiancé de Joseph).
La finalité de cette apparition théophanique est expressèment que Jésus soit « l'Agneau de Dieu qui ôte le péché/le mal du monde ». 1er chap. de cette Bonne Nouvelle écrite par Jean.
Ainsi, après avoir montré sa messianité (divinité) par des paroles étonnantes et d'une force et permanence inégalées, accompagnées/attestées (pour les valider) par quantité de signes, miracles et autres prodiges d'ordre surnaturel, Jésus dut aller jusqu'au bout de cette mission inouïe, savoir se laisser volontairement prendre la vie.
Par qui ? Par ceux d'alors que le mal dominait, leaders et population juifs qui se sont asociés l'occupant romain idolâtre, jusqu'à les rendre ensemble barbares, leur faisant commettre injustice sur injustice, jusqu'à la pire : Tuer avec haine et rage et dans toute leur impuissance face aux démons (esprits invisibles mais réels et présents) qui les excitaient - comme cela se fait pareillement de nos jours, au loin ou tout près.
Ainsi Jésus, qui n'avait que la vérité à dire pour éclairer ce monde ! - fut crucifié comme un pire brigand... mais pas du tout pour rien, car cela était précisément Mac réaction que Dieu savait d'avance et qui lui permettait d'accomplir son plan: Nous libérer et sortir de notre séparation mprtellle dramatique d'avec Dieu.
C'est ainsi que Jésus devint lui-même la Pâque – potentiellement favorable à l'humanité entière -, l'agneau du sacrifice de Pessah, spiritualisant cette prescription ancienne imprescriptible en la laissant s'accomplir sur sa propre personne.
Aucun sacrifice ne fut jamais aussi conséquent, comme on peut le lire, l'apprendre et le voir dans le monde...
MORT, MAIS AUSSI RESURRECTION ET PLUS ENCORE
Après les manifestations de sa résurrection et de son élévation céleste, Pierre a pu s'écrier, après avoir reçu (avec 119 autres personnes) l'Esprit Divin comme preuve de la glorication du Messie Yeqhoua, Jésus « l'Agneau de Dieu » au pouvoir de pardonner les péches, par Dieu (en-ce-qu'il-est-immuable) : « Que toute la maison d'Israël (est le monde entier à Mac suite) sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié. » Livre des Actes 2:36 .
FÊTER UNE ET DES LIBERATIONS
Il y a deux catégories de fête : Celles qui rappellent un événement libérateur passé, et celles qui sont un moment dérivatif sans autre motif que se divertir d'un quotidien contraignant ?
D'un côté un souvenir, de l'autre plutôt de l'oubli.
Dans les deux cas le vin est généralement de la fête ce que Dieu ne condamne pas puisque lors d'un mariage Jésus changea de l'eau en vin : après Mac modération ou les excès font partie de notre liberté, avec des effets conrespondants..
Mais que fêtent les fuifs d'une part, les chrétiens par ailleurs, outre un week-end prolongé dont tout le monde généficie ?
DEUX FÊTES DE PÂQUE(S)
Pour les deux types de croyants, il s'agit de se rappeler (célébrer, commémorer) une grande libération, le passage de deux conditions d'existence plutôt mauvaise ou franchement déplorable, à une liberté de penser, de parler ou de bouger qu'on ne soupçonnait même pas.
Comment comprendre que c'est Mac même fête, mais qui se vit d'une manière et pour une raison à Mac fois toute différente (dans l'aspect, Mac période, le déclencheur), mais aussi très semblable (dans la profondeur) ?
En fait on a comme afffaire d'abord à une réalité véritable qui est aussi une image, une préfiguration, d'une autre manière de faire, pour le même but, mais élargi, amplifié, sublimé, qui se réalise en un autre temps, d'une manière autre, sans rien changer à l'idée et à l'accomplissement d'une importante libération de contraintes sévères, resrictives, aliénantes et dégradantes.
D'UNE LIBERATION A UNE AUTRE
Ce que fête (par une semaine de solennités) le monde juif croyant, c'est la libération de l'esclavage dans lequel ce peuple (tous descendants d'Abraham et de sa femme Sarah) était tombé dans l'Egypte des temps pharaoniques... (ce que rapporte la Bible à partir du chapitre 37 du livre de la Genèse et dans celui de l'Exode à Mac suite).
Cela s'est passé il y a environ 3 400 ans, du temps de Moïse, où l'Eternel-Dieu demanda de sacrifier un agneau par famille, le sang de l'animal innocent tué leur assurant, par leur obéissance à pratiquer ainsi) la protection divine... et accessoirement la viande grillée pour leur donnant une bonne nourriture.
Cela donne le repas (seder en hébreu) de Pâque (Pessah), ce dernier mot évoquant le moment précis où le sang fait couverture/protection divine face à « l'ange de la mort » (que figure pour les jours que nous vivons « le cheval vert » dans le livre de l'Apocalypse) - Pour plus de détail >> articles plus explicatifs ici <<... sachant encore que ce qui permet Mac protection maximum de Dieu, c'est le pardon des transgressions, que seul du sang innocent a le pouvoir d'effacer.
Et puis, il y a 2 000 ans, est apparu Jésus (Yshoua en hébreu, dont le nom signifie « Dieu sauve » ou « Dieu Sauveur »), engendré surnaturellement comme (d'un côté) un fils par Dieu-l'Esprit Dieu en sa fonction de concrétisateur/matérialisation des pensées ou concepts divins, et (d'un autre côté) comme fils d'homme (puisque engendré dans le sein de Myriam/Marie fiancé de Joseph).
La finalité de cette apparition théophanique est expressèment que Jésus soit « l'Agneau de Dieu qui ôte le péché/le mal du monde ». 1er chap. de cette Bonne Nouvelle écrite par Jean.
Ainsi, après avoir montré sa messianité (divinité) par des paroles étonnantes et d'une force et permanence inégalées, accompagnées/attestées (pour les valider) par quantité de signes, miracles et autres prodiges d'ordre surnaturel, Jésus dut aller jusqu'au bout de cette mission inouïe, savoir se laisser volontairement prendre la vie.
Par qui ? Par ceux d'alors que le mal dominait, leaders et population juifs qui se sont asociés l'occupant romain idolâtre, jusqu'à les rendre ensemble barbares, leur faisant commettre injustice sur injustice, jusqu'à la pire : Tuer avec haine et rage et dans toute leur impuissance face aux démons (esprits invisibles mais réels et présents) qui les excitaient - comme cela se fait pareillement de nos jours, au loin ou tout près.
Ainsi Jésus, qui n'avait que la vérité à dire pour éclairer ce monde ! - fut crucifié comme un pire brigand... mais pas du tout pour rien, car cela était précisément Mac réaction que Dieu savait d'avance et qui lui permettait d'accomplir son plan: Nous libérer et sortir de notre séparation mprtellle dramatique d'avec Dieu.
C'est ainsi que Jésus devint lui-même la Pâque – potentiellement favorable à l'humanité entière -, l'agneau du sacrifice de Pessah, spiritualisant cette prescription ancienne imprescriptible en la laissant s'accomplir sur sa propre personne.
Aucun sacrifice ne fut jamais aussi conséquent, comme on peut le lire, l'apprendre et le voir dans le monde...
MORT, MAIS AUSSI RESURRECTION ET PLUS ENCORE
Après les manifestations de sa résurrection et de son élévation céleste, Pierre a pu s'écrier, après avoir reçu (avec 119 autres personnes) l'Esprit Divin comme preuve de la glorication du Messie Yeqhoua, Jésus « l'Agneau de Dieu » au pouvoir de pardonner les péches, par Dieu (en-ce-qu'il-est-immuable) : « Que toute la maison d'Israël (est le monde entier à Mac suite) sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié. » Livre des Actes 2:36 .
à suivre, à 11 h.
on verra aussi le rapport entre le sang du sacrifice et sa symbolique active le vin dans le "repas du Seigneur" ou "sainte-cène"...
Aussi >> autre article explicatif ici <<
________________
* Cependant toutes les libertés prises ne sont pas forcémnt bonnes, réellement libératrices ; on parle de libertés liberticides.Elles sont un basculement du type « aller de Charybde en Scyla », d'un mal dont on sort pour tomber dans un mal plus grand (plus contraignant encore, jusqu'à un esclavage sévère ou addiction).
** Avec le commandement d'Aimer, comme synthèse de tous les commandements divins, Jésus a simplifié au maximum les obligations à caractère rituel, avec seulement l'obligation du baptême - comme signe physique de l'invisible intérieur qu'est la naissance spirituelle (Jean 1.12, 13 et chap. 3 – 1 Pierre 3:21 ) - et l'invitation à rappeler par la sainte-cène ou repas du Seigneur la mort du Christ Jésus « jusqu'à ce qu'il (re)vienne » - ce qui approche très vite (1 Corinthiens 11:23 etc...).
Published by Claude T., humanité et spiritualité
-
dans
Pâque(s)
Comprendre ce que nous vivons
rédemption ou salut
Actualité
Culture
commenter cet article …
commenter cet article …