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29 janvier 2018 1 29 /01 /janvier /2018 12:18

Le côté religieux/bigot ne doit pas nous empêcher d'approcher et de connaître les vérités essentielles dont les religions traitent
...dans la quête de vérités justement !


Précédemment > ici, on a vu comment, en tant qu'être humain, nous sommes partie prenante de notre évolution, pour accéder en conscience à notre 3e et décisif commencement. Celui qui fait en nous l'équivalent de ce qui se passe dans une chenille quand elle arrive au point où un processus qui va faire d'elle un papillon est amorcé.
"Car Dieu ne nous a pas destinés à la colère, mais à l'acquisition du salut par notre Seigneur Jésus Christ,10 qui est mort pour nous, afin que, soit que nous veillons, soit que nous dormions, nous vivions ensemble avec lui."

Êtes-vous au clair - au point - avec ce commencement de vie nouvelle, car de lui dépend deux grandes orientations pour notre âme dans lesquelles nos existences vont se prolonger ?...

Avant de passer à l'étape suivante, nous allons ouvrir un paragraphe sur le commencement de nos commencements.

A - NOTRE CONCEPTION DANS LA PENSÉE ET LE CŒUR DE DIEU.
La Bible dit que Dieu a pensé et conçu l'être humain avant la fondation du monde : "En lui (Jésus-Christ), Dieu nous a élus avant la fondation du monde, pour que nous soyons saints et irrépréhensibles devant lui,5 nous ayant prédestinés dans son amour à être ses enfants d'adoption par Jésus Christ, selon le bon plaisir de sa volonté,"

Dieu est en dehors du temps chronologique que nous vivons, comme nous le vivons. Ainsi nous avons déjà existé dans sa pensée et son conseil autrement, dans son éternité. C'est cet aspect de la création qui fait dire que nous "revenons" ou "retournons" à la maison (du Père).

En d'autres termes, Dieu a créé le genre humain en fonction de deux étapes fondamentales à venir et à vivre en conscience (déjà abordé autrement dans la séquence précédente), savoir :
1 - une prise de conscience de soi au cœur d'une durée limitée, d'une sorte de prêt de vie, qui tient de la liberté et encore de la mise à l'épreuve, de la responsabilité de soi !
Ce temps est limité en ce que nous n'avons pas choisi de naître en ce monde et d'y vivre ! C'est pourquoi cette existence ne nous est pas imposée éternellement - même à Adam avant sa chute dans le jardin d'Eden.
C'est devenu - suite à la chute - une existence définitivement  bornée, que conclut une certaine fin qu'est le détachement de l'âme du corps ou mort dite physique.
La possibilité de la chute a été envisagée par Dieu, prévisualisée par Celui qui voit jusqu'aux fins dernières ce qui peut résulter de toutes les libertés prises par ses créatures.

2 - La mort comme moyen d'interrompre que nous vivions dans le mal et dominés par le mal (démons compris) éternellement, libère l'âme de son véhicule matériel, lui donne de réaliser ce qu'elle est vraiment - ce qu'on est vraiment d'essentiel - dans sa dimension - psychique - et encore dans une ou l'autre de deux sphères de dimension spirituelle.

 

E - LA MORT COMME 4e COMMENCEMENT
La mort physique (fin de l'organisation physiologique) est donc en même temps sortie de ce monde pour l'âme, et entrée dans l'une ou l'autre de deux destinations possibles.

Elle apparaît pour un 4ème épisode qui est
- soit une vraie mauvaise découverte, sidérante, grave, si on franchit le cap de séparation corps-âme sans connaissance suffisante de Dieu ;
- soit un passage, une transition quasi imperceptible si on est né de Dieu, sauvé (comme abordé en D -, pour échapper à l'autre situation, psychiquement désastreuse) . En ce sens Jésus a dit à une femme appelée Marthe : "C’est moi qui suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, même s'il meurt ;26 et toute personne qui vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ?"
 

PARADIS ET/OU SÉJOUR DES MORTS
Jésus est donc venu dire ou redire plus explicitement qu'existent au-delà ce cette incarnation le paradis et le séjour des morts.

Le paradis ou Royaume des cieux est destination pour quiconque croit en Dieu et au Christ (ou Messie) Jésus de Nazareth.
De la déclaration même de Jésus, un des deux brigands crucifiés en même temps que lui accéda ce jour-là dans cet espace céleste divin sur la base de sa foi. Cela pour dire que ce n'est pas la noirceur de nos fautes, de notre comportement pendant cette existence qui est l'obstacle à notre salut (ou rédemption), mais le non-pardon - ou pardon non recherché - de nos fautes, c'est-à-dire la non reconnaissance de la vérité qui nous concerne s'agissant du mal qu'on a fait, comme il est encore dit ici, vers. 19 à 21.

Il y a donc là effectivement un commencement nouveau dans la mise en situation, mais pas nouveau dans cette dimension de la vie, qui est indépendante de la mort... sauf quand il y a conversion dans la minute ou les secondes juste avant le décès - ce qu'il ne faut surtout préméditer...

Cela se passe de la sorte, comme Dieu veut et a pu le faire, lorsque nous quittons ce corps étant racheté, déjà uni à Dieu par son esprit reçu et qui nous habite, non contre notre gré puisqu'il s'agit désormais d'éternité, mais dans et par une alliance faite et scellée en conscience.
"Jésus est le médiateur d'une alliance nouvelle : sa mort est intervenue pour le rachat des transgressions commises sous la première alliance afin que ceux qui ont été appelés reçoivent l'héritage éternel promis."

 

D'un autre côté, le séjour des morts est un espace d'ordre psycho-spirituel où les âmes (de ceux) qui meurent sans Dieu (sans Christ, sans Sauveur donc) sont capturées et enfermées en attendant un jugement qu'on appelle "jugement dernier". Ce séjour temporaire n'est pas ce qu'on appelle l'enfer... Il correspond plutôt au concept de purgatoire, mais pas forcément à l'idée que la tradition religieuse en transmet : On ne se rachète pas dans le séjour des morts par nos souffrances, pas plus qu'on ne peut en être racheté par de l'argent**.

Des vidéos existent sur internet, notamment sous les abréviations NDE ou EMI (pour Expérience de Mort Imminente), où des personnes ont expérimenté l'un et l'autre des deux espaces post-mortem en question et en parlent. Une forme (nouvelle, due aux progrès de la médecine comme aussi je crois à la volonté de Dieu de nous aider dans l'activation de la foi salvatrice) d'invitation - comme ce blog  -, à chercher la vérité sur ces dimensions et espaces si totalement différents qui, pour l'âme, suivent la mort.

Attention ! Ce qui est "option" durant le temps qu'on partage là étant dans notre corps vivifié, qui tient d'une connaissance objective et d'une réponse personnelle - c'est-à-dire aussi d'un choix -, devient par la mort une situation arrêtée, figée. "Si un arbre tombe, vers le midi ou vers le nord, à l'endroit où l'arbre sera tombé, là il sera."

Autant de témoignages et d'écritures, de sollicitations bienveillantes, pour que chacun d'entre nous ne reste pas dans l'ignorance et sans chercher par soi-même ce que sont les vérités fondamentales à atteindre concernant ces choses éminemment les plus importantes qui soient.
Et ce n'est là la fin pour personne !...

à suivre ici...

L'ancre de la foi
_____________
** Selon Jésus et toute la Bible, le principe actif unique du salut est toujours la foi associée au sacrifice rédempteur, en l'occurrence quoi d'autre que la personne crucifiée, et ressuscitée de Jésus !?

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11 janvier 2018 4 11 /01 /janvier /2018 10:51

...comme encore le départ (de l'âme) de France Gall ou de Françoise Dorin vient nous le redire...

Peu importe si on ne connaît pas Tennessee William pour savoir ce que chante vraiment Johnny Hallyday ? Peu importe si on écoute ou fredonne toute la journée tant de chansons anglophones dont on ne comprend rien aux paroles !? Et donc sans avoir non plus la moindre idée de à quoi on peut s'unir de bon, ou de néfaste de cette manière !

Car les musiques comme les paroles ne sont pas neutres : cela se fait par "inspiration", et qu'est-ce qu'une inspiration ? D'où cela vient-il !?... Pourquoi la drogue est liée à certaines musiques ? pourquoi la paix ou la joie à d'autres ?...

Mais si on ne peut pas (avoir le temps ou l'intérêt pour) connaître tout ce qui caractérise au fond chacun d'entre nous, ce peut être une vraie bonne recherche que de savoir ce qui caractérise fondamentalement nos tout premiers ancêtres ! puisque les lois de la génétique et psychogénétique nous obligent à leur ressembler : C'est une démarche qui tient de la science comme de la foi - les deux faisant très bon ménage si chacune n'empiète pas à tort dans le domaine de l'autre.

Ainsi au lieu de partir d'une prétendue transition ininterrompue qui va de la vie de l'amibe au tarsier, peut-être en passant par le poisson, puis en évoluant en simien (singe) et jusqu'à nous, partons du fait - plus rationnel et raisonnable - qu'il y a un vrai premier homme et une vraie première femme à notre origine.
Car que ce soit Tennessee, la Charlie's band, Jojo, Jean, France ou encore Jacquot, les chinois et moi et moi et toi, on a tous en nous quelque chose du premier Adam ! Quelque chose de problématique, de taré, de déréglé, de sombre, d'asocial, de tordu*, d'insuffisant, d'anti-heureux... au point où même on est tous mortels (pour ne pas perpétuer sans fin le mal et des maux)

Alors avançons ainsi dans la connaissance brute de décoffrage de soi (et des autres), si du moins comme disait Sempé nous ne voulons pas mourir idiot, et parce qu'il s'agit à partir de là de pouvoir bien mieux se respecter et s'aimer (dans le sens christique du verbe).

PARTIR DU BON ENDROIT
Pour cela à la base, il nous faut donc faire ce choix plutôt drastique, entre
- croire que nous sommes des humains venus du Hasard et de ses satellites Nécessités ; puis qu'on a transmigré jusqu'à la planète des grands singes, pour finir (présentement) dans la sphère des réflexions et élucubrations intellectuelles, et des émotions et sensations à la fois magnifiques et difficilement gérables...

- ou croire que nous venons d'un Dieu créateur supérieurement intelligent et sage, qui a pensé, conçu, formé et doublement vivifié de son souffle cette créature bipède, pensante et susceptible de créer des langages et des applications technologiques, dont nous sommes encore vous et moi des spécimens.**

Dans les deux cas la réalité est qu'on est tous marqués par une ou plusieurs difficultés existentielles, des difficultés qui ne cessent de nous tomber dessus, ce qui donne un mal-être qui se double d'un relatif mal-vivre prégnant, étant tout à la fois mal au point et mal en point.

La seconde manière de voir fait logiquement corps avec ce qu'est notre quotidien, qu'on peut alors mieux expliquer pour mieux le gérer, comme ayant tous en nous quelque chose comme les traces profondes d'un impact traumatique, des pensées puissantes mais peu cohérentes et qui dominent notre besoin de réflexions, des regards troubles et jusqu'à obliques-révolver, soumis de plus à des tentations venant du dehors qui sont de l'ordre... d'attouchements démoniaques !
Ignorer cette dimension du Réel, c'est en être des proies faciles ; au contraire le sachant, on peut se mettre en position de résister et de lutter. "Résister" grava dans la pierre de son cachot Marie Durand, bien avant que ne le chante France Gall.
Mais comment ?

DÉCALÉS EN DÉCALAGE
C'est ainsi fait, qu'on a la liberté de croire au faux comme au vrai, au plagiat des vérités ou à leur contraire tout comme adhérer aux vérités elles-mêmes. Liberté de choisir donc une base primordiale, un socle de connaissances justes ou controuvées, d'où appréhender le Réel (présent et éternel) et s'y insérer au mieux, ou de la pire manière.
Et cela avec 30 ou 85 % de conscience,  ou dans une méconnaissance qui tient de celle de l'animal.
Une base, une assise, sur laquelle mieux on sera dans ou près des vérités essentielles en soi, surtout de soi et de Dieu, mieux on se portera et pourra (se) bâtir dessus, dedans et autour...

Quand on croit en évolutionniste peu soucieux des vérités, c'est-à-dire sans soucis de vérifier les dogmes de sa croyance, on a naturellement tendance à être le centre - intéressé et se voulant intéressant - de son monde. Tendance à vouloir s'approprier des biens (inertes, virtuels ou vivants) et au mieux à viser des progrès sociaux, moyens privilégiés pense-t-on alors, pour s'affranchir par nos capacités (pas toujours) propres de ce qu'il y a ou il y aurait d'animal associable dans notre condition (reconnue aliénée).

Et comme on n'y arrive pas - après encore que la faute de nos difficultés existentielles ait été mise sur le compte de la religion, c'est aujourd'hui la faute à la culture, au colonialisme d'hier, au manque présent de cœur et de moralité - des autres -, aux hommes plus qu'aux femmes, aux rigueurs même des apprentissages scolaires... bref, une évolution et croyance qui - heureusement - va finir par s'auto-détruire tant elle se tape dessus sans vouloir jamais se remettre en cause là où il faudrait. Ce que la Bible dit simplement ainsi :
"Pourquoi l'homme vivant se plaindrait-il ? Que chacun se plaigne de ses propres péchés."

Alors on a beau se barder d'idéologies ou s'enrubanner de beaux mots (positivisme, progressisme, socialisme, communisme, humanisme), ce n'est pas encore que nous sommes prêts d'arrêter nos enlisements. Pire, dans les sables mouvants que sont les erreurs, les demi-vérités, l'ignorance et les mensonges, plus on bouge plus on s'enfonce.

On est donc devenus capables de découvrir des lois de l'univers, des postulats, axiomes et modes de calcul très complexes, des moyens d'assemblages, de séparations et de transformations des élémentaires, au point d'en tirer des applications plus qu'il nous en faut. Mais, MAIS aussi, dans le même temps, en parallèle, on ne sait toujours pas mieux vivre les uns avec les autres ! Et bien sûr avec soi-même !
On est toujours pris - et plus que jamais -, en tant que personne, dans des compressions intérieures et des contraintes extérieures à faire "péter les plombs", disjoncter, de plus en plus de monde. Sur cette pente des progrès et libérations recherchés sans Dieu, les attentats d'aujourd'hui risquent de n'être que des signaux d'alarme sporadiques et spasmodiques du grand chaos qu'on est en train de mettre en place en croyant bien faire...

Parce que chacun, au fond, adamiquement, on est ainsi fait que le mal a plus d'emprise sur nous que le bien véritable.
Quand Albert Einstein découvre la loi de l'énergie (E = mc²), on va pouvoir entrer dans l'ère fantastique de la manipulation des atomes ! Sauf que la première principale application qu'on développe, avant les centrales nucléaires, c'est des bombes atomiques, et c'est Hiroshima et Nagasaki !.. (D'ailleurs les centrales nucléaires ne sont pas forcément non plus une bonne application ou la meilleure de la fission nucléaire puisque (si j'ai bien compris) on ne rend utilisable pour faire de l'électricité que la chaleur résiduelle des réactions atomiques, c'est-à-dire une infime partie de la puissance engagée et dégageable).

D'une façon générale, les recherches et applications des technologies les plus pointues sont premièrement militaires ! Il peut bien sûr en sortir des bienfaits - comme les ordinateurs et autre internet et mobiles*** - mais il en sort d'abord des moyens de surveillance, d'espionnage, de contrôle des personnes, et des armes, de plus en plus lourdes en pouvoir de destruction, et très coûteuses ! Pourquoi ?

Parce que notre existant d'adam accidenté est décalé (vers le rouge sang) de notre origine bénie, et se poursuit en décalages divers, dont celui entre nos capacités d'avancées de productions matérielles - développées même jusqu'à Mars mazette ! - et nos incapacités à nous changer nous-mêmes - bof ! -, ce qui fait qu'on patauge, on stagne ou on s'affole, on grimpe comme Icare, et dans tous les cas on s'enfonce toujours un peu plus dans des complications et difficultés, dans ce qui reste toujours s'appeler... le péché (tout ce qui est mal évident ou bien présumé mais pas sécurisé dont tel effet néfaste fini par venir à la fois dramatiquement mais heureusement au grand jour : vache folle, prothèse mammaire, pollutions de l'air à l'assiette, lait contaminé... ).

Parce que l'expansion de conscience et de volonté vers le bien non seulement présumé mais véritable, ne suit pas !  "Seule la bénédiction de l'Eternel n'est suivie d'aucun effet secondaire néfaste."
Et plus on veut sophistiquer cette civilisation post-chrétienne - c'est-à-dire en croyant présomptueusement qu'on peut bien  mieux faire sans Dieu qu'avec lui - le véritable -, plus on fait s'approcher les puissances du faux-dieu de ce monde (Satan). Parce qu'on se trompe sur ce qu'est et vaut vraiment ; sur ce dont on est réellement, pratiquement et utilement capables ; et sur les tenants et aboutissants de ce monde et de nos existences individuelles. On cherche**** à se créer une éternisation, on croit et on investit beaucoup pour se donner une immortalité informatique, sans même entendre ou croire que depuis deux mille ans Jésus nous offre, au seul prix de la reconnaissance et de l'abandon de nos fautes et de la foi en lui, une vraie vie éternelle.

à suivre... et bonne suite pour vous...
______________
* ... que Brassens par exemple interprète ainsi dans une de ses chansons : "Sitôt qu'on est plus de quatre, on est une bande de cons." ...Avec le bémol qu'on peut aussi former de belles équipes à plusieurs, non !?...

** Un peu de réflexions honnêtes à partir d''observations un peu poussées des réalités matérielles visibles et invisibles, des agencements fixes et des ordres en mouvements et interactions, des 4 lois élémentaires et des 23 réglages hyper-pointus qui tiennent tout en des équilibres inouïs… suffisent pour arriver à la conclusion qui ouvre la porte à la foi en des réalités, vérités et causalités (re)liant le physique et la métaphysique (âme et esprits), dont font partie Dieu et ce qui concerne notre vie et santés en relation avec lui.

*** Et par internet et autres portables, on n'a pas non plus créé que des plages de rencontres paradisiaques, exemptes de toutes séductions trompeuses, arnaques et virus, possibilités de manipulations, de trafics et autres indiscrétions visant, via psychologie mal employée et algorithmes fouineurs, à l'exploitation la plus subtile de son prochain.

**** on cherche sur la base fausse que le cerveau (physique, physiologique) c'est l'âme (dont la nature est autre, psychique) ! C'est elle qui transmet la vie au corps et au cerveau - "simple" interface entre le vivant qu'elle est et l'inerte en soi...

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7 décembre 2017 4 07 /12 /décembre /2017 09:05

Idole des jeunes - Bête de scène - Talent fou -
Instinctif - Courage - Engagement - Intelligence de comportement - Combattant -
Homme hors du commun - Invulnérable....... mais aujourd'hui..
un corps mort ! SEULEMENT !?...

Si la mort de Johnny peut avoir pour ceux qui l'ont apprise un effet au moins aussi important que ses chansons ou ses concerts, c'est bien maintenant cela l'ESSENTIEL ! Le comprenez-vous ?

Avec cette croix, ce crucifié qu'il portait en image sur sa poitrine, n'a-t-il pas plus que jamais quelque chose de primordial à interpeler chez nous, à faire réagir en vous ?

Oui on pleure, et j'ai eu en écrivant cette émotion qui monte du fond de moi, le cœur sensible touché. Mais encore ?

Qu'en est-il de nos âmes quand le corps se refroidit, se raidit et bientôt va retourner à la poussière d'où il a été tiré et formé à l'origine par le Créateur ?
Qu'en est-il maintenant que son corps est tombé, de Johnny ?
De son âme qui contient et qui est le plus essentiel, le moi-je Jean-Philippe Smet Johnny Hallyday, cette personne qu'il avait la conscience d'être, le plus réel et durable de lui-même ?

Où est Johnny quand on lui adresse des messages désormais ? Quand Michel Drucker lui dit qu'on se reverra, qu'est-ce que cela signifie ? Que la mort physique n'est pas la fin de la personne ? Qu'ils avaient l'un et l'autre la foi qui sauve* l'âme telle que la Bible en parle ? Si c'est cela, ce n'est malheureusement pas explicite, dit ouvertement ? Ou est-ce une illusion qu'on s'invente en la circonstance pour se consoler ? Ne croyez-vous pas qu'il faut savoir !?

Il ne s'agit pas de croire au Père Noël, cette invention belle mais démoniaque - qui trompe la crédulité des enfants, qui tue en eux la racine du principe de la foi, pour qu'ensuite ils ne croient pas plus à ce qui est vrai qu'à ce qui est faux !?

Il ne s'agit pas de se leurrer comme chantait Michel Polnareff : On ira tous au paradis !
Sur la base de quoi ? De quelle justice divine qui ne saurait être bafouée ?...

Il ne s'agit pas de croire au quotidien en l'évolutionnisme néo-darwinien - cette hypothèse darwinienne devenue doctrine athée dont il n'y a jamais eu aucune preuve scientifique ! -, et puis, quand un être cher disparait, on se met à croire que ça ne peut pas finir comme ça ! D'un coup on passe d'une croyance en des hasards créateurs producteurs de néant, à une croyance en une immortalité qu'ils seraient bien incapables de créer !

Ô que la mort de Johnny serve maintenant à chercher et trouver LA réponse à cette énigme !

Il s'agit de savoir s'il y a réellement une perdition de l'homme, et donc aussi un Dieu qui rachète nos fautes - quand nous les lui confessons, quand nous lui demandons pardon*.

Il s'agit de ne pas avoir qu'un passé ! Qui après nous va seulement alimenter des souvenirs, voire du commerce, ici avec des enregistrements vidéo - déjà préparés depuis quelque temps, tenus sous le coude ! - qui soudain envahissent les écrans ! Seulement un passé qui, quant à nous, quant au défunt, passerait où ?...

Il est plus juste de croire autrement ! Il s'agit de regarder que nous avons tous un avenir, un devenir qui est un mystère terrible tant qu'on n'a pas abordé sérieusement cette question de la mort !
Sommes-nous seulement de la matière qui se décompose ? Pourquoi alors penser, espérer, ressentir, qu'on va retrouver un défunt ? C'est absurde, de cette absurdité dont Sartre a écrit ; "L'univers sans Dieu, sans raison d'être est absurde dans son ensemble et dans ses parties."
C'est tout à fait vrai ! Mais c'est une philosophie de la mort si on en reste là ! Par contre si de là, on reprend la recherche à partir de l'hypothèse qu'il y a un Dieu préalable à tout, alors l'absurde fond, et des perspectives s'ouvrent comme des paysages panoramiques là où il n'y avait que des dunes de désert, des sommets inatteignables, ou des vallées trop sombres. Le sens en nous vient d'abord du postulat accepté qu'il y a un Dieu, existant et à connaître. C'est pourquoi Jésus a dit : "Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus..."

 

Pour moi, ayant été un temps incroyant, du camp des athées-agnostiques, puis touché par Dieu pour que je me mette à regarder ailleurs et autrement, il est devenu évident que tout a du sens - dont je n'ai pas forcément toujours la compréhension -, pourvu que notre croyance en Dieu, en un au-delà de la mort physique, repose sur des connaissances avérées !
Or, il en existe : la pérennité et l'accessibilité quasi universelle de la Bible, les témoignages de millions et de millions de chrétiens l'attestent : On peut savoir plein de choses sur Dieu, sur notre condition de mortel coupé de Dieu, et sur le moyen d'une véritable paix et réconciliation avec ce Dieu qui nous a créés libre et attend de nous des réactions personnelles aux stimuli du Réel - dont la mort n'est pas des moindres.

Aussi cherchez maintenant plus que jamais, si vous ne savez pas encore comment relationner effectivement avec Dieu ! Ce n'est pas toujours facile, mais connaissez-vous quelque chose qui ait quelque valeur qu'il soit facile d'acquérir honnêtement, sans difficulté ?

Ah que la mort de Jojo vous réveille pour trouver vous-même le chemin du ciel non-atmosphérique, du ciel spirituel qui un jour paraitra dans toute son évidence : Pour le moment, c'est par la foi que nous le rejoignons, en esprit... et un jour avec un corps ressuscité**, comme Jésus l'a fait, précédant ceux qui veulent croire comme lui et en lui. Lisez la Bible ! (en commençant peut-être par le Nouveau Testament)..

Nota : Le départ de Jean d'Ormesson, éclipsé par l'éclat médiatique donné par préférence à la star de la chanson, aurait donné un article sur le fond similaire. Oui, les étoiles humaines meurent comme celles du ciel atmosphérique, pour finir dans des trous noirs aspirant impressionnants pour les plus grosses.
Mais pour quelle destination ? Pour quel recyclage ? C'est là que nous devons apprendre et savoir car "que servira-t-il à un homme de gagner le monde entier, s'il perd son âme ?37 Que donnera un homme en échange de son âme ?38 En effet, dit Jésus, celui qui aura honte de moi et de mes paroles au milieu de cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l'homme aura aussi honte de lui quand il viendra dans la gloire de son Père avec les saints anges." (Bonne Nouvelle ou Évangile de Jésus-Christ).

Faites ce qu'il faut pour être sauvé-e !

(article annexe : les 5 types de mort et encore...
_____________________
* 1 Jean 1
** Versets qui font référence à la destination des croyants élus par leur foi personnelle au Christ.
Mais cela ne se finira pas encore là ! Car la Bible révèle bien d'autres événements consécutifs... dont la disparition de la mort et de tout mal et l'apparition d'une terre et d'un ciel nouveau...

 

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29 novembre 2017 3 29 /11 /novembre /2017 21:48
QU'EST-CE QU'UNE INSTRUCTION MORALE OU ÉDUCATION SUFFISANTE... CAPABLE DE NOUS ÉVITER BEAUCOUP DE DIFFICULTÉS* ?

La sagesse donne l'adresse psychique, comme David a pu être adroit
physiquement avec sa fronde pour atteindre Goliath.
Qui n'a pas quelque Goliath à renverser au plan des pensées,
du mental, de son intellect, bref de notre âme
et de l'ego qui s'y est développé ?...

Entendez-vous souvent parler de SAGESSE dans le monde d'aujourd'hui ?!
A-t-il été dans votre bouche récemment ?
Pourquoi ce mot n'est-il plus à la mode ?...

Parce qu'on l'a perdue !?
Et pourquoi ?...

Parce qu'on s'invente des codes de morale, des normes changeantes, qui s’accommodent à ce que la Bible appelle nos travers, nos penchants problématiques, nos appétits injustes, nos désirs coupables, nos envies préjudiciables irrépressibles... au lieu que nous demandions ou criions à Dieu pour en être délivrés et devenir (seulement) ainsi plus libres !

Donc pourquoi ne parle-t-on plus de sagesse dans un monde en butte à tant de problèmes ? Nous faut-il encore un chargement de plus pour que nous en ayons (physiquement et/ou psychiquement) plein le dos ?
Parce que, répondent de sages écritures, "Le commencement de la sagesse, c'est la crainte respectueuse du Seigneur l"

Si on n'est pas encore au commencement, comment pouvoir aller plus loin ? Si notre foi n' a été mise qu'en des biens, idéologies et concepts matériels, on n'est pas près de trouver la sagesse qui nous est nécessaire ! A moins d'être plus fort que Sartre, qui n'a trouvé au bout de sa recherche existentielle qu'absurdités ! Ou plus fort qu'Onfray, qui ne trouve pour sa part que l’hédonisme (pour ne pas employer un terme... moins philosophique) pour continuer à aimer ou supporter son existence !

Adultes, beaucoup d'européens ont perdu la conscience et le respect de Dieu, et par voie de conséquence les enfants à leur tour n'ont plus eu la conscience et le respect de ce qu'est une autorité, que ce soit les parents, les enseignants, gendarmes ou autres...

"Comment le jeune rendra-t-il pur son sentier ? En se dirigeant d'après ta parole, Seigneur."
"Ta parole, ô Dieu, est une lampe à mes pieds et une lumière sur mon sentier."
Jésus dit : "Le ciel et la terre disparaîtront, mais mes paroles ne disparaîtront pas." Est-il homme-comme-nous pour ne parler que par vantardise ? Pourquoi a-t-il parlé ? Qu'a-t-il dit qui puisse changer la vie, comme des millions en témoignent (par exemple)?
Avez-vous lu le livre toujours le plus traduit, le plus imprimé et lu de la planète ?

Comment Jésus a-t-il pu vivre son existence exceptionnelle ?
Le chap. 11 du livre d'Ésaïe l'annonçait avant que cela n'arrive : "Un rameau sortira du tronc d'Isaï, Et un rejeton naîtra de ses racines.2 L'Esprit de l'Éternel reposera sur lui : Esprit de sagesse et d'intelligence, Esprit de conseil et de force, Esprit de connaissance et de crainte de l'Éternel.3 Il respirera la crainte de l'Éternel ; Il ne jugera point sur l'apparence, Il ne prononcera point sur un ouï-dire."
Tout fils du ciel qu'il fut, c'est cette crainte attentive qui lui permettait de chercher toujours la volonté divine, la pensée ou l’œuvre de Dieu, pour que sa parole soit celle de Dieu, pour que sa foi permette au Saint-Esprit d'opérer des miracles, guérisons, délivrances, résurrections...

Qu'en résulta-t-il ? A ce moment-là, ce qu'on lit dans le Nouveau Testament ; et jusqu'à ce qu'on voit encore aujourd'hui, avec notamment un Occident qui connut des développements fantastiques par rapport au reste du monde***, surtout avec les progrès fabuleusement rapides des États-Unis, de la Confédération Helvétique (la Suisse) et de l'Afrique du Sud (par des hollandais, allemands et français). Trois nations innovantes et prospères parce qu'elles furent fondées sur le contenu**** du réveil spirituel (initié par Luther) du XVIe siècle, et qui confessent encore aujourd'hui plus que tout autre leur foi au Christ ressuscité...

De là il résulte encore que Celui qui vécut pour nous dans la crainte de ne pas faire au mieux la volonté de son céleste Père, a été ressuscité et glorifié dans la dimension toute spirituelle du Réel, et peut nous, vous, dire encore aujourd'hui :
"Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos.29 Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de coeur ; et vous trouverez du repos pour vos âmes.30 Car mon joug est doux, et mon fardeau léger."


La sagesse, les réponses intelligentes, viennent à ceux qui ne le sont pas forcément par eux-mêmes, mais croient et ont déjà expérimenté pour eux, que ces versets, ces paroles,  sont justes.

Voyez-vous en quoi, perdant Dieu de vue, charmés par des illusions de libertés à conquérir pour être heureux, on a cessé de devenir sages ?! On a cessé de voir où sont les vrais problèmes, c'est-à-dire les causes premières de nos maux, nous évertuant à combattre seulement des symptômes (comme Don Quichotte combattait les moulins), "les effets dont on chérit les causes" comme disait Bossuet**. 

Pire, l'homme sans Dieu est capable de développer une sagesse pour lui, toute égocentrée, égoïste, voire égotique (perverse, manipulatrice). Pour amasser par exemple beaucoup d'argent ou faire des conquêtes de pouvoir ou d'emprise sur les âmes ou sur des corps, au détriment des personnes misérablement crédules... et souvent aussi au détriment de son propre bonheur, car plaisirs égocentrés et bonheur font rarement bon ménage (longtemps) ! Il suffit d'entendre comment évoluent les stars du show-biz.
C'est en ce sens que George-Bernard Shaw a pu constater : "Il y a deux tragédies dans ce monde : être riche, et ne pas être riche." Que celui qui manque ne croit pas que la richesse sort de tous les problèmes ! La condition adamique est une constante, et même si on ne naît pas tous de la même façon, nous avons tous un tribut à payer au mal qui se fait...

¤

Il s'agit donc aussi de faire une distinction majeure entre deux types de sagesse, celle d'en-bas, d'ici, dont on voit le développement jusqu'oligarchique, bientôt totalitaire, planétaire... et celle qui vient d'En-haut, par l'Esprit de Dieu, pour la paix (intérieure d'abord), l'équité, les partages,...
Dans le Nouveau Testament, on peut lire avec intérêt, écrit par Jacques (chapitre 3), sur ces deux types de l'intelligence. Une distinction importante si on ne veut pas se trouver intelligent... à (notre) tort !...

Voici quelques paroles pour vous, pour tout de suite ou dont vous vous rappellerez au bon moment : Psaume "De David... (34 : 2) Je bénirai l'Éternel en tout temps ; Sa louange sera toujours dans ma bouche. (34 : 3) Que mon âme se glorifie en l'Éternel ! Que les malheureux écoutent et se réjouissent !  (34 : 4) Exaltez avec moi l'Éternel ! Célébrons tous son nom ! (34 : 5) J'ai cherché l'Éternel, et il m'a répondu ; Il m'a délivré de toutes mes frayeurs. 5 (34 : 6) Quand on tourne vers lui les regards, on est rayonnant de joie, Et le visage ne se couvre pas de honte. (34 : 7) Quand un malheureux crie, l'Éternel entend, Et il le sauve de toutes ses détresses. (34 : 8) L'ange de l'Éternel campe autour de ceux qui le craignent, Et il les arrache au danger. (34 : 9) Sentez et voyez combien l'Éternel est bon ! Heureux l'homme qui cherche en lui son refuge ! (34 : 10) Craignez l'Éternel, vous ses saints ! Car rien ne manque à ceux qui le craignent. (34 : 11) Les lionceaux éprouvent la disette et la faim, Mais ceux qui cherchent l'Éternel ne sont privés d'aucun bien. (34 : 12) Venez, mes fils, écoutez-moi ! Je vous enseignerai la crainte de l'Éternel.
(34 : 14) Préserve ta langue du mal, Et tes lèvres des paroles trompeuses ;
(34 : 15) Éloigne-toi du mal, et fais le bien ; Recherche et poursuis la paix.
(34 : 16) Les yeux de l'Éternel sont sur les justes, Et ses oreilles sont attentives à leurs cris.
(34 : 17) L'Éternel tourne sa face contre les méchants, Pour retrancher de la terre leur souvenir. (34 : 18) Quand les justes crient, l'Éternel entend, Et il les délivre de toutes leurs détresses ; (34 : 19) L'Éternel est près de ceux qui ont le coeur brisé, Et il sauve ceux qui ont l'esprit dans l'abattement. (34 : 20) Tout ce qui est mal atteint souvent le juste, Mais l'Éternel l'en délivre toujours. (34 : 21) Il garde tous ses os, Aucun d'eux n'est brisé. (34 : 22) Le malheur tue le méchant, Et les ennemis du juste sont châtiés.  (34 : 23) L'Éternel délivre l'âme de ses serviteurs, Et tous ceux qui l'ont pour refuge échappent au châtiment."

Quand vous avez un moment, calme, tranquille, ouvert comme est le réel sur le surnaturel et le Divin, écoutez en cliquant ici puis en choisissant la voix 1 ou 2.

Bénédictions partagées.

Vos commentaires ne sont pas publiés mais sont lus et j'y réponds... Bienvenue aux deux derniers nouveaux abonnés. Que le Dieu vivant et bon se révèle à vous.
__________________
* A l'heure des difficultés, il ne faut pas craindre de remettre en cause notre lot et système de pensées et notre vue du monde pour une autre, peut-être contestée mais qu'il nous appartient d'éprouver nous-même : C'est le vrai cartésianisme, et la foi en même temps...

** “Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.” Jacques-Bénigne Bossuet

*** Les progrès des deux derniers siècles, au moment où le christianisme se fossilise en religions sans spiritualité ni puissance, n'ont pu se faire qu'à partir des fruits de la foi vivante libérée dans toute l'Europe aux XVIe et XVIIe. De même les progrès spectaculaires des nations orientales ne sont que le résultat des technologies, de l'intelligence et de la culture occidentale, chrétienne et post-chrétienne...

**** Ce  réveil ne fut rien d'autre qu'un mouvement de l'Esprit de Dieu - comme il désire que nous lui permettions de le faire - qui amena ou ramena notamment les populations d'Allemagne, Angleterre, Hollande, France, pays scandinaves, à la connaissance des écritures évangéliques (Nouveau Testament) alors rendues accessibles par l'invention de l'imprimerie à caractères mobiles par le chrétien zélé que fut Jean Gutenberg (La Bible fut le 1er des livres imprimés).

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23 novembre 2017 4 23 /11 /novembre /2017 17:20

Le texte est en Pages (sur la droite) ou cliquez ici

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13 novembre 2017 1 13 /11 /novembre /2017 13:50

S'éveiller ou se réveiller à la Connaissance !?
Aux vérités qui ne changent pas
et ne passent pas...

Suite de l'article ici

"La foi vient de ce qu'on écoute qui nous vient de paroles vivantes (grec rhematos, différent de logos) de Christ."* assure la Bible.

Dans la mesure où nous ne pouvons acquérir de la connaissance qu'en croyant ce qu'on nous dit (que ce soit le nom des couleurs -par convention-, les formules mathématiques -postulats, axiomes, théorèmes-, la théorie de l'évolution -!?-, ce qui est bien et ce qui est mal, les lois du pays, ou des paroles sur Dieu et prétendues de Dieu, pourquoi ne pas oser entendre ce que la Bible transmet, et l'éprouver, comme tout le reste aussi a été ou devrait être éprouvé...

William Arthur Ward a écrit :
"C'est impossible, dit la Fierté ;
C'est risqué, dit l'Expérience ;
C'est sans issue, dit la Raison ;
Essayons, murmure le coeur."

Essayons est précisément la suggestion de l'Esprit faite à la Raison et à la Fierté en vue de l'Expérimentation de la réalité divine.
C'est à la fois tenter une ascension - vers ce qui est très haut-dessus de nous, au-delà même du "toit du monde" - et oser une descente - vers ce qu'on est véritablement face à un tel Dieu, face à la mort, face à l'éternité, et même face à nos difficultés et ce qui nous est obligé au quotidien.

Essayer, c'est oser laisser la paire de lunettes dont on a été pourvu par une culture donnée (ambiante ou plus communautaire) pour voir le monde, les choses et les personnes d'une certaine manière - qui n'est pas obligatoirement une manière certaine -.
Depuis que j'ai pu (apprendre à) regarder le monde par l'Esprit de Dieu et à travers le prisme biblique, c'est clair que j'ai pu entrer dans beaucoup plus de sens et un bien meilleur positionnement, avec une liberté accrue - pas celles de faire n'importe quoi, mais celle qui nous met au large à l'intérieur, qu'on sent comme un bon vent - une clim' !, rafraîchissante quand on est dans une fournaise, et chaleureuse quand ce qui nous entoure devient trop froid ou nous rend, faute d'amour, solitaire.

¤

La finalité selon Dieu, pour notre existence individualisée, est donc de nous permettre que d'un néant de (conscience de) nous-même, nous évoluions jusqu'à entrer conscient - de soi et de Dieu - dans la vie bien plus pleine, significative, cohérente et sans fin, qu'est la vie éternelle de Dieu.

La foi véritable et cette vie éternelle se trouvent en (la personne de) Jésus-Christ. C'est ainsi ! Et cela s'expérimente. La foi et Jésus sont les moyens du passage de la brève portée sur quoi nous avançons (comme écrivant note après note, la partition d'un prélude) à un jeu effectif du morceau appelé à se développer en des symphonies et concerts illimités.
D'un coup, de notes plus ou moins mal tracées, brouillonnes, sur un support papier, notre existence va être sublimée pour devenir déjà un élève musicien de la prochaine création artistique, scientifique, intellectuelle... du Dieu no limit.
Et même aussi un jour un instrument nouveau, par une résurrection physique en un corps tout nouveau : le plan de Dieu est loin de s'arrêter à cette seule création...

Devenez, devenons, explorateur, exploratrice, du Réel grand format, 360°, pour mieux saisir déjà les particularités des reliefs de notre âme, de celle du monde (anima mundi !?...), et celles, bénéfique autant que révolutionnaire, de l'acquisition de notre (re)mise en Dieu sans fin.
Qu'y a-t-il de plus grand, de plus urgent, de plus libérateur par où continuer sa route ici-bas ? Car "Que sert-il à un être humain de gagner le monde, s'il perd son âme" ? C'est si simple à comprendre ! Tant qu'on n'a pas la clé de notre devenir face à la mort, tout ce qu'on vit en vain, "vanité des vanités, dit le sage, et poursuites du vent."

Mais comprendre même, à ces plans-là, n'est pas forcément accessible à notre réflexion ! Il est bon que celle-ci (et notre raison de manière globale) nous mène déjà à une telle frontière infranchissable, au fond de notre existence sans issue, au bout de notre route qui n'est plus ni visible ni construite après un certain point.

C'est là que nous mènent, faute de connaissances suffisantes, nos épreuves les plus accablantes, cassantes ou "stoppantes". Quand le mal-retour nous atteint - le mal étant comme une graine qu'on plante, comme un vent qu'on fait se lever, comme un boomerang qui nous revient... d'autant que nous sommes maladroits (ignorants des lois de la "physique psychique", livrés à nos sens mal éduqués...).

Avec la réflexion, l'important est l'interrogation. Si on est honnête, la réflexion ne peut nous mener ailleurs. Parce que les réponses qui nous manquent souvent encore le plus, nous sont extérieures, et il faut les trouver, les rejoindre et/ou les recevoir quand elles nous arrivent.
Par exemple réfléchissez sur la Théorie de l'évolution. Vous en viendrez à vous interroger vraiment, car vous ne tarderez pas à voir dans le réel, par les réalités du vivant, que ce n'est qu'une hypothèse insoutenable, seulement le support d'idéologies athées... dévastatrices...
Certes il y a une dynamique évolutive dans ce qui vit et se vit, mais pas seulement, c'est évident.... Qu'on regarde à l'origine de la vie, ou à ce qui vit sous nos yeux aujourd'hui... L'évolution n'est qu'un des moteurs du vivant, et faire d'un élément le tout, c'est changer la vérité en mensonge, et ouvrir la porte à des égarements, souvent mortifères... dont l'athéisme. (Darwin était chrétien, mais il fut un croyant trop et mal zélé)**.

Et donc bientôt, dans une conduite de notre âme en aveugle, sans l'Esprit divin, doit arriver un mur ! Et encore, même croyant, on se prend un mur dès lors qu'on cherche quelque justification de mauvaises voies (religieuses comme scientifiques ou philosophiques).
On peut encore essayer des portes ici ou là, à un endroit ou à un autre. Il n'est pas interdit de chercher à trouver ! Mais allez jusqu'au bout pour trouver... LA VÉRITÉ. Si on la cherche, on la trouve, dit Jésus.

Et donc concernant Dieu comme le reste des réalités immédiatement voilées***, c'est la même chose. Et les ordres de la vie et la réalité de Dieu sont si vivants - forcément -, que nous pouvons, que vous pourrez, voir que de l'autre côté d'où nous sommes, que ce soit de la nature ou de Dieu lui-même, du surnaturel peut nous/vous apparaître, venant à nous !...

Pour comprendre (notamment l'essentiel en vérité) comme pour trouver, je peux dire qu'il faut étudier (observer, interroger le réel, comparer des propositions antagonistes, anciennes et nouvelles, regarder les effets selon qu'on juge un arbre à ses fruits...). Et en même temps être comme un petit-enfant, qui a confiance en son père, bien plus qu'en lui-même et qu'en des choses qui le dépassent : il faut interroger, demander à Dieu ses réponses, les réponses selon la vérité.
Un chrétien qui travaillait au CNRS (sur la dynamique des fluides) raconte qu'il était depuis plusieurs jours sur une équation qu'il ne parvenait pas à résoudre. Il avait épuisé ses capacités personnelles. Il réagit alors, disant : - Ô Dieu mon père, toi tu sais ! Ce n'est pas un problème pour toi. Donne-moi de tordre le cou à cette équation !
Et là il se remet sur son travail et tout se déroule autrement dans ses calculs... jusqu'à la solution. A Dieu soit la gloire et à nous la joie !
Ainsi est le Dieu de la Bible : il veut être un père - adoptif - pour des êtres humains (re)mis à leur juste hauteur par les difficultés qui nous confrontent. Le Petit Prince dit qu'il nous faut cesser de nous prendre pour des "grandes personnes" !...


Remarquez bien encore : "Heureux celui qui croit sans voir", dit Jésus à Thomas. Mais, comme Thomas est absent lors de la première apparition de Jésus ressuscité à ses disciples, le Maître revient pour lui ! une semaine plus tard. Parce qu'il sait si bien de quoi nous sommes faits et avons besoin, si pauvres en spiritualité...
Il n'est pas venu pour secourir des bien-portants psychiques et spirituels, mais des pécheurs, des êtres marqués plus qu'on ne le réalise par le traumatisme de la chute initiale (dite adamique) et des pertes consécutives de capacités, de droits et de potentialités.
Et la foi est ainsi : Crois et tu verras !

"Jésus appela un petit enfant, le plaça au milieu d'eux3 et dit : « Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez pas et si vous ne devenez pas comme les petits enfants, vous n'entrerez pas dans le royaume des cieux.4 C'est pourquoi, celui qui se rendra humble comme ce petit enfant sera le plus grand dans le royaume des cieux,"

Soyez béni/e et éclairé/e d’en-haut, du plus haut des Cieux.

un chant ou un autre

__________________
* Christ dans le sens de Envoyé et de Oint de Dieu, c'est-à-dire Dieu lui-même en son incarnation, le St-Esprit, ou encore tout être humain que l'Esprit de Dieu habite et/ou peut inspirer. "Ainsi la foi vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ.18 Mais je dis : N'ont-ils pas entendu ? Au contraire leur voix est allée par toute la terre, Et leurs paroles jusqu'aux extrémités du monde."

** On peut trouver un intérêt dans la tentative de Darwin, en ce que tout ce genre de propositions à la frontière du vrai et du faux, ou du bien et du mal, nous place personnellement en situation de choisir... soit ce qui semble tout à coup à notre conscience être vrai - et cela à l'encontre de ce qu'on a cru jusque là ; soit ce qui nous semble faux, pareillement à l'encontre de notre conviction jusque là...

*** une piste des plus directes pour rejoindre Dieu : Esaïe 59 + Esaïe 1 + Esaïe 53

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11 novembre 2017 6 11 /11 /novembre /2017 17:51

Je crois qu'on confond souvent Pensée et Réflexion !
Les pensées sont essentiellement un quasi-automatisme
-au point où nous ne sommes pas si facilement maître
de leurs apparitions et effets-
alors que la réflexion tient de notre temps et main-mise sur un sujet
pour conforter ou dépasser
le stade de compréhension où on en est à ce moment-là...

Est-ce que vous aviez une bonne vue de la réalité de tout ce qui est, quand vous viviez et croissiez dans l'enceinte obscure de l'utérus de votre mère ?
Ce temps a bien été une part effective de votre existence, n'est-ce pas !? C'est bien vous qui étiez là, dans cette situation, pendant des mois ? Moi aussi j'ai connu ça ! *:) Heureux


Maintenant pensez que si ce temps que fut la grossesse de votre mère, était aussi une image de ce qu'est notre existence présente (limitée, coincée, difficile, sous la lumière d'un soleil certes mais si restreinte par rapport aux lumières éternelles que sont Dieu et ce que Jésus appelle le Royaume des cieux) ?...

Autrement dit, ce qu'on voit aujourd'hui pourrait très bien n'être, essentiellement, qu'un temps de formation de nous-même en tant que réalité consciente d'exister et capable de faire des choix personnels déterminants !? Temps très éphémère qui précède un possible accès - acceptée et choisie en conscience - dans une réalité et des dimensions autres : divines !
Une mutation de soi donc (dont parle la Bible) de l'ordre de la différence qu'il y a entre la vie utérine par où on a commencé, et la vie dans la lumière du jour qu'on connaît aujourd'hui, pour la bonne raison que notre existence présente, nous ne l'avons ni voulue, ni choisie, alors que la suivante, par une greffe divine sur celle-ci, dépend de notre adhésion et implication conscientes personnelles. Dans quoi ?

Dans une seconde tranche de développements qui tient du travail de la vie adulte par rapport à l'école des enfants. Ainsi, après la sortie de cette existence, peut-on poursuivre dans le commencement tout autre d'un projet grandiose de Dieu qui intègre certaines de ses créatures dans sa propre réalité et ses dimensions éternelles...

DEUX AUTRES IMAGES
Faites de notes hautes ou de notes graves, nos existences s'écrivent comme une musique sur une portée. Sur ou entre des lignes qui s'étagent comme de la haute-montagne de la présence de Dieu à des gorges étroites et  sombres de solitude, à des abimes de dépression ou aux bas-fonds des addictions.

Entre les extrêmes, se trouvent des vallées plus ou moins douces ou trop humides, des plateaux ou moyennes montagnes, plus frais en été, plus froids en hiver, des collines, des déserts pas si déserts que cela (Moïse et Jésus y rencontrèrent des serpents)...
Les images ou paraboles (ici des notes de musique ou des reliefs de la terre) nous permettent de visualiser, réfléchir et comprendre des réalités moins tangibles (ici notre contexte d'existence personnelle)...

Mais ne nous leurrons pas, la réflexion ne permettra jamais d'atteindre Dieu en tant que vivant et expérimentable... ce dans quoi il m'a permis d'entrer... par grâce, et non par réflexion... 

¤

Evguéni Vinokourov a écrit sur le XXe siècle : "Ceux qui ont subi les horreurs de la guerre ont constaté qu'il est facile d'être bête ou dieu, mais qu'il est difficile d'être humain." (in "L'honneur d'être un homme"). Il précise qu'il n'a pas perdu la foi pour autant. Il en est d'autres qui la perdent pour bien moins que cela. Il faut aussi choisir ses modèles !..

La foi, c'est d'abord comme un fœtus :
- on peut en faire une fausse-couche qui ne verra pas personnellement la lumière (ce n'était qu'un semblant, comme sont beaucoup de croyances).
- Certains peuvent nous l'avorter (comme fit avec moi un prof de philo).
- Ou encore elle peut devenir une vie avec Dieu en conscience, utile à notre existence matérielle, psychique et encore spirituelle. entrée dans la véritable lumière.

La foi, cela s'ose aussi...

(à suivre)

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30 septembre 2017 6 30 /09 /septembre /2017 21:59

Les dimanches matin (à partir de 9h 30), en direct de Mulhouse, le live d'une église vivante au delà de ses murs et de l'hexagone : ici pour rejoindre.

Belle journée quel que soit le temps...

Et demain je vais vous parler d'un BIG anniversaire...

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18 septembre 2017 1 18 /09 /septembre /2017 14:09

Et gagner le match... de la vie !?...
 

Tout le monde ne peut pas se vendre des millions d'euros comme certains champions ou acteurs ! Ces personnes se louent en fait, se font mercenaires ou serviteurs d'un projet, car on ne les achète qu'un certain temps de leur existence, pour quelques mois ou quelques années.
Mais combien vaut la vie d'un être humain ?

Pour un pur matérialiste, elle a été évaluée à moins d'1 euro si on la résume à un corps fait de quelques dizaines de litres d'eau sale et quelques autres éléments chimiques.
Maintenant, c'est oublier qu'on est bien plus que de la matière organisée : on est aussi et principalement âme, et potentiellement esprit... autres composantes subtiles qui ne sont pas mesurables avec nos instruments.

Quel est donc le poids d'une âme - en fait de toi, de moi, de nous, dans ce qu'on est de plus conscient -, son prix pour Celui qui a tout créé ?
Ce qui veut dire : À quel prix devons-nous nous estimer ?
Comme quantité négligeable, même comme pouvant se supprimer (de la surface de la terre) ? Ou comme une réalité irremplaçable ?
Comme si c'était peu de choses qu'on puisse faire et laisser faire n'importe quoi avec notre corps et/ou avec nos pensées ?...

Certes il faut "gagner sa vie", vendre de son temps pour manger, mais pas à n'importe quelles conditions. Et "gagner sa vie", ce n'est pas la perdre ! Ce que Jésus a dit d'un homme qui ne pensait qu'aux réalités et à la prospérité matérielles :
"Que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perd son âme ?37 Que donnerait un homme en échange de son âme ?"

Il y a 2 000 ans un autre homme - pourtant cupide mais certainement qui n'avait pas voulu se laisser éclairer - a estimé que la vie de Jésus valait 30 pièces d'argent. Après qu'il ait eu touché cet argent les yeux de Judas se sont ouverts : il a réalisé ce qu'il avait fait en le "balançant", et dès lors il estima sa propre vie n'être plus rien : Il se suicida.

Aujourd'hui encore parmi nous, la vie des autres ne vaut souvent
- pas grand-chose : le prix de vente d'un organe soustrait au corps vivant d'un enfant... pour en sauver un autre !?...
- ou rien : quand on a les yeux ouverts (comme il faudrait toujours), on voit combien on tue sans conscience, en créant des guerres, sur les champs de bataille ou devant des écrans, et encore jusque dans ce qui devrait nous être de plus cher...

Quel est donc le prix D'UNE VIE, DE N'IMPORTE QUELLE VIE ?
Je ne dis pas d'années échangées contre de l'argent ou autres recherches de gloire, d'honneur, de plaisirs ou de pouvoir ? Non, je parle de ce qu'on est réellement, "D'UNE VIE" voulant dire du temps d'une existence ici-bas ET ENCORE de ce qui va suivre cette existence temporaire... après que nous - en tant que moi psychique, qu'âme - soyons séparés de notre corps ! Car c'est bien de cela qu'il s'agit. Il suffit d'y réfléchir, de s'interroger vraiment sur le sens de la vie, de chercher, pour parvenir à cette conclusion...

Alors sortons des critères de mesure que ce monde utilise envers hommes et femmes et enfants, pour arriver à une vraie et plus juste mesure de ce que nous valons, ce qu'est notre vrai prix SELON le DIEU qui nous a conçus.
Et là ne nous trompons pas encore ! Ne nous faisons pas d'illusion, en pensant que nous avons beaucoup de valeur aux yeux de Dieu à cause de nos mérites personnels, de nos bonnes œuvres et précieux travaux, fussent-ils altruistes, humanistes, religieux ou spirituels !
En réalité nous valons pour Dieu... encore bien plus que cela !

Tellement plus que cela, que pour nous permettre de poursuivre notre existence éternellement avec lui (synonyme de Paradis, de vie nouvelle qui se poursuivra dans une prochaine création...), tous nos mérites sont à voir comme... ZÉRO ! Ne peuvent être apportés à la place ou en plus de l'unique prix que Dieu a mis dans la balance et agrée en notre faveur.

En effet Dieu a montré et nous a fait savoir que le vrai prix d'un être humain, de quiconque - de toi comme de moi - c’est Dieu qui se fait homme pour mourir à notre place !
Car un jour Dieu se sépara de lui-même, le Père (infini immuable...), la Parole Divine (qui dit hors de Dieu, médiatrice...) et le Saint-Esprit (mobile, mouvant, applicateur...) décidant d’un commun accord :

  • que la Parole de Dieu soit changée en un être humain, ce qui fit la personne de Jésus (Philippiens 2.5-8). Voici une partie du passage adapté pour vous : "Mais Jésus-Christ s'est dépouillé lui-même, en prenant une forme de serviteur, en devenant semblable aux hommes, semblable à... toi."

  • de venir ainsi pour payer une rançon, pour payer un prix… celui de notre liberté et de notre victoire sur la mort. (1 Timothée 2.5-6) "Car il y a un seul Dieu, et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, Jésus-Christ homme, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous, donc en rançon pour... toi !"

Le prix du rachat de votre corps et de votre âme, c’est le sacrifice de Jésus sur la croix, c’est sa mort. Votre prix est incalculable - rien qu'en quantité de souffrances pour amoindrir les nôtres -, vous avez exactement cette valeur immense : le don, à 33 ans, de sa vie par Jésus.

Pourquoi besoin d'une rançon ?
Parce que nous sommes visiblement mortels à cause de la force du mal qui nous habite, et, moins évidemment mais tout aussi certainement, parce qu'au lieu d'exister sous la souveraineté bienfaisante et protection de Dieu, nous vivons sous l'autorité maléfique de Satan - un ange de Dieu sorti orgueilleusement de son rang et qui a réussi à séduire le genre humain et à le mettre très très très largement sous sa botte !
Il suffit de regarder le monde (les actus, les films, les jeux...) sans se leurrer pour le VOIR ! (Bien des causes se voient indirectement, par/à travers leurs effets ; ici maléfices, malfaisances, dysfonctionnements, horreurs, destructions... via violences, perversions, peurs, vols, injustices, manipulations, déstabilisations, exploitations...

Et donc dans ce RACHAT ou ACHAT de notre personne par Dieu, contre le prix versé par lui-même sous forme de la vie sacrifiée de Jésus,
1/ il y a qu'un jour notre corps corrompu, habité par le mal et mortel, sera changé en un corps nouveau, bien plus puissant, incorruptible et éternel (lire ce chapitre).

2/ Et en attendant, le rachat par Jésus de quiconque croit à ce moyen initié par Dieu pour changer fondamentalement notre existence (insuffisante et brève), s'opère sur notre âme*, dès lors que nous croyons en lui comme nous sauvant, produisant dès lors une et des transformations significatives (en bien !) : Nous recevons sur le champ le secours immédiat de Dieu sous la forme du don (de sa part) et de la réception en nous (de notre part) de son Esprit éternel.
Par cela, au moment de la mort physiologique (physique), quand l'âme sort du corps, celle-ci ne descend pas au "séjour des morts" - qui appartient à Satan et ses démons -, mais rejoint la sphère divine et Dieu en qui l'on a cru de la bonne manière. C'est la Rédemption telle que la Bible l'enseigne.  

Vous valez donc beaucoup plus que ce qu'en disent les autres, ou que ce que vous vous-même pourriez imaginer. Oui, vous avez du prix aux yeux de Dieu, vous avez une valeur qu’on ne peut pas calculer, tellement elle est grande.
Ne laissez pas votre apparence, vos handicaps ou vos faiblesses vous faire croire que vous n’avez pas de valeur.
Ne laissez pas non plus l'orgueil, une propre suffisance qui ne peut que vous être préjudiciable, vous faire mépriser ou éviter ou détourner du don de Dieu.
Devenez par la foi un-e enfant bien-aimé-e de Dieu, pour redressez (sans arrogance) la tête et voir la réalité de vous-même et de ce monde, tout autrement, bien plus justement. Et marchez dés lors en vainqueur !

Tout au long de cette journée et des jours qui viennent, laissez Dieu vous rappeler quelle importance vous avez à ses yeux ; et invitez-le à prendre votre vie entre ses mains pour que le prix versé par Jésus, son sang et sa mort, soit mis à votre crédit personnel, afin que vous ne craigniez plus la mort, et ne la verrez pas.

(Guide de prière éventuel).

Bonus : Une radio nouvelle à découvrir ici...

Et toujours des chants magnifiques, de force et de vie véritable ;
chant 1 - chant 2 - chant 3...
Soyez béni-e.

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21 juillet 2017 5 21 /07 /juillet /2017 05:55

Connaissez-vous Frédéric Bastiat ?

C'est un français de réflexion du XIXe siècle qui a observé dans sa partie (l'économie), et dit cette chose intéressante - largement généralisable - dans son dernier livre "Ce qui se voit et ce qui ne se voit pas" (1850) :

« Dans la sphère économique, un acte, une habitude, une institution, une loi n’engendrent pas seulement un effet, mais une série d’effets. De ces effets, le premier seul est immédiat ; il se manifeste simultanément avec sa cause, on le voit. Les autres ne se déroulent que successivement, on ne les voit pas ; heureux si on les prévoit.
Entre un mauvais et un bon économiste, voici toute la différence : l’un s’en tient à l’effet visible ; l’autre tient compte et de l’effet qu’on voit et de ceux qu’il faut prévoir.
Mais cette différence est énorme, car il arrive presque toujours que, lorsque la conséquence immédiate est favorable, les conséquences ultérieures sont funestes, et vice versa. D’où il suit que le mauvais économiste poursuit un petit bien actuel qui sera suivi d’un grand mal à venir, tandis que le vrai économiste poursuit un grand bien à venir, au risque d’une petit mal actuel
Du reste, il en est ainsi en hygiène, en morale. Souvent, plus le premier fruit d’une habitude est doux, plus les autres sont amers. Témoin : la débauche, la paresse, la prodigalité. Lors donc qu’un homme, frappé de l’effet qu’on voit, n’a pas encore appris à discer­ner ceux qu’on ne voit pas, il s’abandonne à des habitudes funestes, non-seulement par penchant, mais par calcul.
Ceci explique l’évolution fatalement douloureuse de l’humanité. L’ignorance entoure son berceau ; donc elle se détermine dans ses actes par leurs premières conséquences, les seules, à son origine, qu’elle puisse voir. »

Ainsi on va "se faire réparer" par un guérisseur/magnétiseur et quelques mois plus tard notre couple qui allait bien en arrive au divorce !...
On s'amuse à invoquer des esprits en faisant tourner une table ou en questionnant un verre, et bientôt on sent des présences qui nous font peur dans notre appart, ou bien on fait des cauchemars horribles, ou des objets suspendus tombent du mur, la télé implose !...

Il m'a fallu être éclairé sur des causalités de cet ordre. Soit que l'effet n'est pas immédiat, soit qu'il est dans un domaine si éloigné de celui de sa cause, combien nous restons globalement aveugles sur des causalités essentielles, qui seraient à connaître avant bien d'autres choses.

Pourquoi la Bible enseigne-t-elle que, selon toute logique, "on récolte ce qu'on sème"... si ce n'est pour attirer notre attention sur la causalité ? Si je sème du mal autour de moi, dans le coeur de quelqu'un, un jour ou l'autre je vais récolter un mal en retour. Parfois exactement la même situation, inversée.

Il est encore dit que "Qui sème le vent, récolte la tempête" ! C'est qu'il peut y avoir un effet puissant face à un geste ou une parole qui nous a semblé anodin-e. J'ai de la sorte compris un jour que mon accident avait sa source dans un acte commis quelques mois avant, alors jugé sans conséquence (autre que la satisfaction d'un confort personnel). Mais quand nos yeux s'ouvrent selon la manière dont Dieu voit, d'un coup c'est une révolution, un éclairage qui change tout. Et s'il nous mène le plus souvent à la contrition, à des larmes de repentance, à un puissant regret, c'est là l'essentiel de ce que nous pouvons expérimenter de l'éclairage divin dans ce monde.

Parce que voir de la bonne manière après que nous ayons quitté notre corps, ne peut plus rien changer à la direction dans laquelle, comme un arbre abattu, nous sommes tombé.
Mais si nous voyons, ici et aujourd'hui, notre péché, nos fautes, le mal tel qu'on l'a fait, c'est le mieux qui peut nous arriver... si on connait la solution de rattrapage préparée par Dieu dans son amour envers nous : "Si nous disons que nous n’avons pas de péché, nous nous trompons nous-mêmes et la vérité n'est pas en nous. 9 Si nous reconnaissons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et pour nous purifier de tout mal. 10 Si nous disons que nous n’avons pas péché, nous faisons de Dieu un menteur, et sa parole n'est pas en nous."

"Quant à vous, vous (êtes ou) étiez morts(spirituellement) à cause de vos fautes et de vos péchés, 2 que vous pratiquiez autrefois conformément à la façon de vivre de ce monde, conformément au prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui est actuellement à l’œuvre parmi les hommes rebelles. 3 Nous tous aussi, nous étions de leur nombre : notre conduite était dictée par les désirs de notre nature propre, puisque nous accomplissions les volontés de la nature humaine et de nos pensées, et nous étions, par notre condition même, destinés à la colère, tout comme les autres. 4 Mais Dieu est riche en compassion. A cause du grand amour dont il nous a aimés, 5 nous qui étions morts en raison de nos fautes, il nous a rendus à la vie avec Christ – c’est par grâce que vous êtes sauvés –, 6 il nous a ressuscités et fait asseoir avec lui dans les lieux célestes, en Jésus-Christ. 7 Il a fait cela afin de montrer dans les temps à venir l'infinie richesse de sa grâce par la bonté qu’il a manifestée envers nous en Jésus-Christ. 8 En effet, c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. 9 Ce n'est pas par les œuvres, afin que personne ne puisse se vanter."

Si vous le sentez bon à faire, ici une prière pour vous guider dans un retour (ou une première venue) à Dieu par Jésus-Christ, selon que Jésus dit "C’est moi qui suis le chemin, la vérité et la vie. On ne vient au Père qu’en passant par moi.7 Si vous me connaissiez, vous connaîtriez aussi mon Père."

Soyez béni-e. Un chant ici

 

 

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  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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