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28 juin 2022 2 28 /06 /juin /2022 17:25

1 - Cela nous concerne tous, car on ne peut tous être que des croyants - qu'on croit que Dieu existe ou qu'on croit qu'il n'existe pas.

2 - La spiritualité, comme son nom l'indique, se vit par l'esprit : le monde des esprits est une grande réalité (comme il y a bien plus de "matière" ou énergie indétectée dans l'univers qu'il n'y a de réalités physiques perceptibles).
Et l'univers des esprits fait partie de notre nature, qu'il soit absent (éteint) ou présent (plus ou moins éveillé) en nous.

A la différence, la religiosité est la disposition que prend notre âme, en lieu et place de notre esprit, concernant ce qui touche au monde des esprits.

C'est une disposition d'acquisition des connaissances qui a toute sa place chez les enfants : on apprend par nos capacités psychiques (psyché étant l'âme en grec). Une image est la vie scolaire par rapport à la vie professionnelle.
Et plus particulièrement pour ce qui est du domaine des spiritualités, le travail psychique, de l'âme, peut être illustrer par le premier étage d'une fusée, qui sert au lancement.
C'est la véritable fonction bénéfiquede la religion qui enseigne sur Dieu et sur de l'histoire de notre humanité dans laquelle il s'est manifesté.

Mais très vite (le plus vite est le mieux), concernant les choses spirituelles, l'enfant qui grandit doit pouvoir basculer ce qu'il entend sur le monde des esprits (Dieu, Esprit de Dieu, et esprits méchants, dégénérés) dans son esprit, de son intelligence et mémoire dans son esprit qui ainsi se génére.
Le but est alors de passer d'acquisitions entendues à une assimilation qui transforme l'être intérieur et le comportement.
Pour poursuivre l'image de la fusée, notre esprit est alors mis à feu et va pouvoir, dans une dimension (spirituelle) où se vit notre relation avec Dieu, pour faire évoluer vers toujours plus de bien et la dimension d'éternité de Dieu.
Et l'objet précieux que véhiculent ainsi d'abord le 1er étage de la fusée, puis le second, c'est notre conscience, dont la conscience d'être soi, d'avoir une existence propre, est un sommet majeur.

Que ces éléments de base du savoir vous donnent envie de chercher par vous-même, avec le soutien de l'Esprit Divin... et le recours peut-être à des articles de ce blog ou de tout autre sur le net... concernant ce qu'on appelle "La Bonne Nouvelle" ou Evangile de Jésus-Christ, ce qu'est la seconde partie de la Bible ou Nouveau Testament). Et pour comprendre au mieux de quoi il est réellement parlé là, le mieux est de s'adresser directment à Dieu pour que par son Esprit, il nous conduise vers des vérités essentielles permettant notre insertion dans le plan de rachat de nos âmes de la mort par Dieu...

Parmi les articles ou pages ici, vous pouvez vous rendre par ici >> sur un guide pour vous aider à prier Dieu de manière efficace <<. 

Bonne suite...

 

 

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9 juin 2020 2 09 /06 /juin /2020 16:37


C'est une grave erreur que de croire que les pires moments de la terre sont passés... dès lors qu'on ne comprend pas et qu'on ne cherche pas de quoi ce monde est fait, spirituellement comme matériellement.

Une manière de voir que notre humanité est parvenue comme jamais à une fin - la fin du respect de ce qu'elle a et de ce qu'elle est d'humain -, est de considérer la part et l'emprise que la science s'est taillée parmi les forces de domination.

On est partis il y a deux siècles de l'hypothèse que la science valait bien mieux que la religion en ce qui concerne la connaissance de l'homme et les moyens de nous rendre libres et heureux, c'est-à-dire de nous désaliéner.

On a eu quelque temps en occident l'impression - illusion d'optique - que l'on se libérait, d'une part par des savoirs croissants vulgarisés, d'autre part par un remplacement de l'individu par la machine.
Cependant les conditions de travail en usine (ou à la mine) sont vite devenues infernales... ce qui fut mis (non sans raison) sur le dos des propriétaires fonciers et autres patrons. Le problème et l'éclairage était donc une confirmation qu'on ne change pas le cœur humain par des enrichissements matériels.

Des réflexions et "la raison", autrement appelées "les lumières" du XVIIe, firent émerger le concept d'humanisme - en gros un cocktail béat, lénifié et lénifiant de bourdes et d'hypothèses scientifiques hardies mêlées à des valeurs évangéliques avérées mais saisies sans besoin de recourir à Dieu. La démonstration n'allait pas tarder que ça ne marche pas... pour établir le bien la paix.

Car cette vue philosophique du monde muta assez rapidement en révolutions et conflits armés terribles (à partir de 1789), et bientôt en socialisme, idéologie principalement allemande.
Les deux fruits de cette vue sociale et athée des sociétés parurent à peu près en même temps. D'une part dans une application concrète, de terrain, élargie à l'international : le communisme... avec ses meurtres et déportations de masse, goulags et totalitarisme, en Russie puis en Chine...
Et d'autre part, cantonnée au plan national, la pensée socialiste donna naissance au fürher Hitler, au nazisme démoniaque et la Shoah tout autant satanique (où les sciences de pointe étaient par leurs effets parmi les armes les plus terrifiantes).

Démonstrations étaient faites qu'il n'y a pas que les croyants pour occire le genre humain. Et donc que c'est le cœur humain - en tant que vie intérieure déterminante qui est le problème, et où il importe de comprendre et de vouloir agir.

Hébétés mais réfléchissant, les survivants décidèrent de s'unir pour ne plus s'entretuer.
Des prospérités en découlèrent, notamment par la recherche scientifique qui pénétra de nombreux mystères dont la création est largement pourvue (pour la joie de la découverte et des applications).

Outre les bombes de Hiroshima et de Nagasaki et outre les accidents de Tchernobyl et de Fukushima, nous sommes aujourd'hui parvenus au bénéfice d'applications beaucoup plus personnelles (si on peut dire). avec l'informatique, Internet, les portables, les mobiles.
En rien de temps, ces applications technologiques se sont multipliées, se multiplient, se mettent à jour et deviennent obsolètes. C'est une course en avant, un sprint - pour ne pas être largué - et un marathon qui nous accroche jusqu'à une sweet mais puissante addiction (ce qui s'appelle manipulation, oppression, obsession ou possession quand on voit cette réalité dans sa dimension spirituelle.

Si on reprend la phraséologie ancienne, ce qu'on appelle désormais addiction (aux produitstechnologiques de dernières générations et bien d'autres choses) c'est une aliénation.
Parce qu'on a basculé de la satisfaction prioritaire des besoins réels, à la fabrication de faux besoins.

Ainsi a émergé en quelques décennies une explosion de techniques et technologies, dûe à l'appât de gains matériels, économiques, financiers et à une satisfaction de désirs, d'envies suscités (en jouant sur la vieille perversion qu'est la convoitise).

Cette explosion de biens accessibles au plus grand nombre - même les pauvres, les SDF et autres émigrés sans papiers ont un mobile, voire avec internet) est en train de travailler à changer l'être humain en le déterminant au plan de l'espèce*.
Et qui dit déterminisme d'espèce, ne dit pas progrès, évolution positive, émancipatrice, mais régression à... l'animal - voire pire dans la mesure où les déterminismes inculqués ne sont pas compatibles avec les lois de nature (physiques, morales, psychiques, spirituelles).

C'est ce que produit tout système de gouvernement directement totalitaire, mais aussi une organisation plus subtile, mieux élaborée, qui accepte toutes les opinions et cultures seulement pour mieux les fondre dans une pensée unique qui les chapeaute.

De la sorte la science s'est adroitement substituée à la force brute, physique, armée, pour mettre en place un système impérialiste comme Satan et les démons cherchent sans cesse depuis la nuit des hommes à établir sur le genre humain.
On se comprend bien ! Ce n'est pas la science en tant qu'approche du réel qui est un problème, une mauvaise voie; c'est le fait que les humains que nous sommes, ceux qui utilisent les acquis de la science gagnés sur l'ignorance ou l'erreur, qui soit la pervertissent par une interprétation subjective (comme avec l'évolutionnisme), soit en tirent des applications malignes du fait notamment de l'appât de gains possibles, de peurs ou d'orgueil, et encore de soif de pouvoir.

Dire comme Rousseau que l'homme est bon mais c'est la société qui le corrompt, c'est du même ordre que dire que les scientifiques sont bons mais c'est la science qui les pervertit. Il est bien évident que, malgré le succès qu'on accorde encore à Rousseau ou à certaines marques de produits technologiques, c'est bien le contraire qui est vrai. C'est bien l'être humain individuellement, en soi, qui est corrompu en son être intérieur profond (qu'on peut appeler l'âme ou le coeur), habité et mu par une force problématique que la Bible nomme "le loi du péché et de la mort" (de la mort en ce qu'elle est l'aboutissement de cet égocentrisme dégénéré qu'est le péché.
De cela nous n'avons pas même à conclure qu'on doit être amélioré (individuellement), mais plutôt réformé (re-formé), transformer, régénéré. 
Pour être clair, il n'est pas question que nous devenions meilleurs comme une chenille serait une meilleure créature en se faisant pousser des ailes, mais ce que la Bible annonce et propose c'est que la chenille que nous sommes s'efface en reconnaissant ses misérables limites, pour que Dieu la transforme en un papillon tout autre. C'est bien toujours la même créature, mais tout en étant devenu bien autre chose... Ce qui est appelé la rédemption.
 

CONSEIL SCIENTIFIQUE !?

On peut observer le phénomène qu'on va appeler scientiste*** plutôt que scientifique, émergé suite à l'apparition du dernier coronavirus, où tout à coup un "Conseil scientifique" décide de ce qu'est le bien (faire) et le mal (faire) alors qu'il est évident qu'il n'a même pas les données nécessaires qui lui permettraient d'analyser avec objectivement la situation, en vue de proposer effectivement des réponses pertinentes où l'individu est largement pris en compte.
Dès lors sous couvert scientifique et à partir de ce bien précieux qu'est la santé, voilà que des normes apparaissent, qui n'ont pas forcément la vérité pour fondement.
C'est d'autant plus vrai qu'on sait depuis maintenant bientôt un siècle qu'il n'y a aucune science exacte... et dès lors sans doute pas davantage, voire bien moins, d'applications justes.****

C'est pourquoi cette pandémie n'a pas pu être prévue, d'où les manques, la panique, les communiqués et les démentis, les tâtonnements et certainement plus d'une affirmation qui donne l'impression qu'on sait, alors qu'on ne sait pas.

LE BIEN CHANGÉ EN MAL
La voie scientifique est un bien pour tous. Mais elle ne sera jamais suffisante en elle-même. Il faut y adjoindre une autre rationalité pour un maximum de justesse, notamment morale... et certainement économique comme c'est le cas aujourd'hui.
C'est une autre loi-cadre qui se vérifie) de l'organisation humaine terrestre, que tout bien mis en œuvre sans Celui qui sait tout (parce qu'il est hors système, et notamment hors du temps) est voué à mal tourner ! C'est un principe universelle irrépressible - sauf par Dieu lui-même et par une foi intègre.

Ainsi la rationalité scientifique technique, d'ordre informatique et médicale, est et devient la rationalité de la domination même. Elle se déploie comme un moyen coercitif de la société aliénée... qu'elle enfonce encore au lieu de la faire triompher. Pourquoi ?
Entre autre parce qu'elle n'a pour connaissance et frontière du bien et du mal que les vues humaines limitées, changeantes, partielles et souvent partiales de ceux qui l'apportent.

Et d'autant plus l'individu se soumet à ce conseil supérieur, d'autant moins va-t-il chercher la solution propre qui lui convient, s'il accepte qu'une norme universelle prend le pas sur les parts subjectives des uns et des autres.
Et à ce pas, bien qu'en habits et activités civils, on est tous conduits à marcher au pas comme des militaires que nous ne sommes pas.

________________
* Il y a déjà 6 ans, j'ai été étonné de rencontrer une jeune femme dans une case sans électricité, perdue au bout de dizaines de km de chemins de terre, en plein bush d'Afrique du sud, un mobile à la main.

*** Ce qui est digne d'être appelé scientifique s'appuie sur des savoirs acquis et avérés. Par scientisme je parle d'extrapolations, d'hypothèses hasardeuses qu'on tire pour les besoins d'une cause, de certaines vérités scientifiques établies mais dont on s'éloigne en disant ce qui ne se sait pas, en donnant comme un savoir véritable ce qui n'en est pas.
Si faire des hypothèses, avancer des modélisations inédites est une bonne chose de manière théorique, dès lors qu'elles sont proposées pour être soumises à étude et validation (ou invalidation). Mais user de cette méthode pour apporter des réponses justes nécessaires à un moment donné où on ne les possède pas, c'est jouer aux apprentis-sorciers, c'est prendre la place de Dieu - qui seule sait tout et possède toutes les réponses à tous les problèmes. C'est non seulement risquer de se tromper, mais c'est en tromper d'autres, et c'est risquer d'être abaisser de manière significative (selon que celui qui s'élève sera abaissé)...

**** Pour rappel ici, on a de la part de Heisenberg la mise à jour du principe d'incertitude ou indétermination, par Gödel deux théorèmes qui disent la loi d'incomplétude, et par Ed. Lorenz le principe d'imprévisibilité ou théorie du chaos (illustrée par "l'effet papillon"... dont le trouble créé par le covid-19 est une expression réelle totale).

Ainsi la science s'avère déjà et toujours plus un dieu dangereux, qui, au lieu d'aider l'humain en nous, d'élargir nos espaces de bien-être et libertés intérieurs et relationnels, nous enserre dans des normes - des dogmes - qu'elle (se) donne - que les êtres humains forment - dont le but n'est pas le bien commun, mais le contrôle de tous, on l'a maintenant plus que jamais bien compris.
C'est qu'on ne peut pas ériger en dieu surnos existences n'importe quoi et n'importe qui, là où il n'y a que le seul vrai Dieu qui puisse être notre allié et notre souverain bien.
Alors que faire ?

LE SALUT, LE SECOURS EST INDIVIDUEL
A chacun de chercher, parmi les chemins supra-matérialistes, religions de traditions ou spiritualités adaptées à notre époque, Le chemin le meilleur, celui qui pas seulement pose des règles, des commandements et des interdits, mais qui porte avec lui, en lui, la force de faire échapper des chaos (KO) qui sont là et qui viennent, celui, celle qui sentira le vrai danger (multiforme) présent et voudra ne pas se laisser enfermer dans ses filets... en voyant honnêtement en son propre cœur des mouvements certains du mal semblables à ceux qui sévissent alentour chez d'autres et dans les systèmes.

"Après avoir entendu ce discours, ils eurent le coeur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres : Hommes frères, que ferons-nous ?"
Si vous en êtes là, lisez ici > la réponse qui ne change pas.

Accès ici > à un guide de prière pour commencer à matérialiser une vraie approche de Dieu (venue ou retour).

Soyez béni-e et sauvé-e.

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25 mai 2020 1 25 /05 /mai /2020 17:39

Dans cette courte vidéo, le Prix Nobel de la Paix Denis Mukwege fait un parallèle instructif entre cette tempête du Coronavirus covid-19 et une autre survenue en mer dont l'apôtre Paul fut le témoin et que nous rapporte le médecin grec Luc.

Dans les deux cas, on a affaire à une situation de crise et de transition. L'apôtre Paul a été arrêté comme un malfaiteur (qu'il n'est pas) et traverse en bateau, sous escorte romaine, la Méditerranée en vue de rejoindre Rome...

Pour sauver la situation, l'apôtre a reçu par révélation divine que pour échapper au désastre - et au salut des vies -, il faut sacrifier la cargaison, les biens, les provisions, tous les encombrants utiles comme superflus, voire le bateau lui-même.

Et parce que finalement (...), quand le cas devient désespéré, le capitaine du bateau écoute et suit les conseils de Paul, effectivement personne ne meurt... et même tous vont assister en direct (en live, de visu) à un miracle...
On peut lire ce rapport de l'événement  à partir d'ici <

On a compris qu'avec ce coronaviral l'économie mondiale a été crucifiée ! Ce qui n'est pas un mal, vu les fondements iniques et bien peu moraux qui président de plus en plus à une croissance commerciale et technologique qui s'avère avilissante (polluante et corruptrice, réductrice des êtres humains globalement à des fonctions de consommations et surconsommations - alimentaire (obésité, maladies), financière (surendettement), sexuelle (addiction jusqu'à l'impuissance ou la répulsion).
Et pour une minorité de capitalisants extrêmes, cela conduit à une concentration et une main tenue sur les richesses, un poids de pouvoir quasi sans bornes - dont chacun aura individuellement à rendre compte au Créateur... sauf déjà à Lui, pour avertir, d'intervenir comme en témoigne ce covid.

Ainsi y a-t-il toujours deux manières par lesquelles on va tous un jour ou une nuit rencontrer Dieu.
Devant son trône de grâce (ou tribunal de Christ) quand on a reçu un vrai et plein pardon de nos fautes, et où il ne s'agit plus que de recevoir de Lui des bénédictions en rapport de notre foi et marche avec Lui. 
Ou devant les trônes du jugement dernier avec, à proximité, "l'étang ardent de feu et de soufre" qu'on appelle généralement enfer.

ET DONC ?
Pour que le Dieu de l'apôtre Paul qui est le créateur des cieux et de la terre et le Sauveur, puisse être avec nous ici maintenant comme il fut avec Paul pendant son naufrage, il nous appartient de savoir ce qu'il veut que nous fassions pour être sauvés - sauvetage qui comprend notre dimension psychique (le salut éternel de notre âme qui, sans cela, est premièrement engloutie dans le "séjour (temporel) des morts" (le shéol ou hadès), contrôlé par les anges déchus devenus démons.

Si vous ne savez pas ou ne croyez pas, faite par exemple une recherche sur le net ou en médiathèque sous la rubrique EMI/NDE : des milliers de témoignages rapportent sans conteste qu'il y a une vie de l'âme au delà de la mort physique, et que cette vie de notre personne, de notre moi-je conscient, se poursuit possiblement dans un cadre éminemment paradisiaque du fait de l'amour qui y règne, sinon dans le cadre terrible de tourments ininterrompus de l'âme.

Quelles que soient les assauts
des couronnes qui veulent faire
pression sur nous - du covid-19 ou
des gouvernements de ce monde -,
on peut rester tranquille,
comme au cœur d'un cyclone,
quand on a trouvé en Dieu son refuge,
en Jésus son sauveur. 

vidéo de Denis Mukwege Prix Nobel de la Paix

ici Guide de prière(s) pour qui veut faire la paix avec Dieu dès maintenant et pour l'éternité.

 

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6 décembre 2019 5 06 /12 /décembre /2019 14:49

C'est la question que posa un jour un catholique à son curé après qu'il eut démissionné de sa fonction de prêtre de cette institution... pour mieux suivre le Christ son Sauveur.
Voici sa réponse, rapportée dans son livre "Du DOGME catholique à la FOI biblique"

(nota: Où il est écrit mahométans, on lit aujourd'hui musulmans - Toutes les écritures en vert sont cliquables pour rejoindre leur source)

                                                                                         signé L. Vogel

Voilà qui peut être rassurant pour un-e catholique !... Mais qui ne doit pas laisser en l'état des connaissances seulement.

Si donc vous n'avez pas de Bible ou un Nouveau Testament, procurez-vous en un (ou demandez m'en un), et si vous avez ce qu'il faut sous la main, lisez-en les Paroles* selon que  "Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice..."

"C'est l'esprit qui vivifie, dit Jésus ; la chair ne sert de rien. Les paroles que je vous ai dites sont esprit et vie. Mais il en est parmi vous quelques-uns qui ne croient point."

"Jésus leur dit (et nous dit) : Vous êtes d'en bas ; moi, je suis d'en haut. Vous êtes de ce monde ; moi, je ne suis pas de ce monde. C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés ; car si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés. Qui es-tu ? lui dirent-ils. Jésus leur répondit : Ce que je vous dis dès le commencement. J'ai beaucoup de choses à dire de vous et à juger en vous ; mais celui qui m'a envoyé est vrai, et ce que j'ai entendu de lui, je le dis au monde. Ils ne comprirent point qu'il leur parlait du Père. Jésus donc leur dit : Quand vous aurez élevé le Fils de l'homme, alors vous connaîtrez ce que je suis, et que je ne fais rien de moi-même, mais que je parle selon ce que le Père m'a enseigné. Celui qui m'a envoyé est avec moi ; il ne m'a pas laissé seul, parce que je fais toujours ce qui lui est agréable. Comme Jésus parlait ainsi, plusieurs crurent en lui. Et il dit aux Juifs qui avaient cru en lui : Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra livre."

Ne laissez donc pas des dogmes, des instructions humaines ou même inspirées par des démons ou Shatan, prendre le dessus sur vous; mais pour être et demeurer sauvé-e cherchez la foi directe en Dieu de qui on obtient la grâce (le pardon de nos fautes) par Jésus crucifié pour nous et ressuscité pour que nous recevions son Esprit-Saint qui est la vie éternelle.

"Le témoignage de Dieu consiste en ce qu'il a rendu témoignage à son Fils. Celui qui croit au Fils de Dieu a ce témoignage en lui-même ; celui qui ne croit pas Dieu le fait menteur, puisqu'il ne croit pas au témoignage que Dieu a rendu à son Fils. Et voici ce témoignage, c'est que Dieu nous a donné la vie éternelle, et que cette vie est dans son Fils. Celui qui a le Fils a la vie ; celui qui n'a pas le Fils de Dieu n'a pas la vie. Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu. Nous avons auprès de lui cette assurance, que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute."

Soyez sauvé-e. La vraie foi croit !
Elle s'empare des vérités divines afin de les rendre agissantes en nous. Ainsi "le juste vivra par sa foi", non pas s'appuyant sur ses efforts de sanctification ou ses œuvres propres (c'est-à-dire sur nos propres mérites), ni même sur des prières de demande de choses que Dieu nous a déjà accordées en Jésus-Christ. Selon que "c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.9 Ce n'est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie."

__________________
* Si vous n'êtes pas familiarisé-e avec la Bible, je vous conseille de lire d'abord les 3 premiers chapitres du 1er livre (la Genèse), puis un ou l'autre des 4 évangiles qui rapporte l'essentiel de ce que furent la vie, les messages, la mort et la résurrection du Christ et Messie Jésus de Nazareth, en lisant (et priant) ici ou là parmi les Psaumes (32 - 51 - 1...).

Et si vous sentez déjà un réel besoin du pardon de Dieu, d'être libéré-e d'une culpabilité, d'une angoisse, d'une addiction... cliquez là pour une prière de foi dont vous pouvez vous inspirer pour parler librement de votre coeur au Dieu Éternel et au Seigneur Jésus-Christ.  

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  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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