Ne faisons pas de la poésie une idole d'hier et d'avant-hier, un vestige. Ne voyons pas les poèmes seulement comme des fossiles intéressants. Au XXIe siècle on peut encore avoir à dire la vie présente et le Réel sous forme poétique. Pour moi la poésie est à la vie ce qu'est la tendresse à l'amour... et à la haine.
CORPS À CORPS
En se livrant encor encore A la femme, à son corps, L’homme met en désaccord La soute, la quille, bâbord, tribord.
Les faux-amours font corps à corps Où l’âme se lasse de ces rapports Qui chassent les plus beaux accords Par des moiteurs jusqu’en la mort.
L’intelligence en berne l’homme Ne bâtit plus que de chaume, Ne pense même plus en home Dégénère son génome.
Il et elle ont banni les axiomes, Chenilles ils papillonnent, En résultent des hématomes, Rend impossible le nickel-chrome.
Ainsi se perdent des trésors Chacun ayant sa part de torts, Loin de Dieu la vie s’endort Pour des cauchemars, encore.
On souille tout en somme ! On pourrit tous nos royaumes, On se débat, perce nos paumes, Mais seul Jésus est le surhomme.
Claude Thé - 22 juillet 2018
La Bible, l'Histoire et nos histoires préviennent que la sexualité débridée suscite de mauvais désirs, amène des problèmes relationnels importants (dans les foyers et avec Dieu), des pertes de capacités (dont Samson est une figure), violences, cruautés, chaos, chute des civilisations (Mahagonny de Brecht et Weill)... Et Jésus a annoncé qu'un temps allait venir où il en serait par toute la terre comme au temps de Noé, comme au temps de Sodome.
Qui d'une nation ou d'un souverain nouveau venu est le premier coupable ? Lequel est l'idole ? Ici un poème qui met en scène La France déboussolée et Bonaparte le petit corse intrépide, dont elle fît Napoléon qui toucha, comme tous ceux qui s'élèvent trop vite et trop haut, à l'humiliation plus qu'aux véritables étoiles. Comme Alexandre le grand et, plus près de nous, comme qui encore !?... Apprenons-nous encore que l'Histoire - comme la Bible - est porteuse de leçons édifiantes ?
Ô Corse à cheveux plats ! que ta France était belle Au grand soleil de messidor ! C'était une cavale indomptable et rebelle, Sans frein d'acier ni rênes d'or ; Une jument sauvage à la croupe rustique, Fumante encor du sang des rois, Mais fière, et d'un pied fort heurtant le sol antique, Libre pour la première fois. Jamais aucune main n'avait passé sur elle Pour la flétrir et l'outrager ; Jamais ses larges flancs n'avaient porté la selle Et le harnais de l'étranger ; Tout son poil était vierge, et, belle vagabonde, L'oeil haut, la croupe en mouvement, Sur ses jarrets dressée, elle effrayait le monde Du bruit de son hennissement. Tu parus, et sitôt que tu vis son allure, Ses reins si souples et dispos, Dompteur audacieux tu pris sa chevelure, Tu montas botté sur son dos. Alors, comme elle aimait les rumeurs de la guerre, La poudre, les tambours battants, Pour champ de course, alors tu lui donnas la terre Et des combats pour passe-temps : Alors, plus de repos, plus de nuits, plus de sommes, Toujours l'air, toujours le travail. Toujours comme du sable écraser des corps d'hommes, Toujours du sang jusqu'au poitrail. Quinze ans son dur sabot, dans sa course rapide, Broya les générations; Quinze ans elle passa, fumante, à toute bride, Sur le ventre des nations ; Enfin, lasse d'aller sans finir sa carrière, D'aller sans user son chemin, De pétrir l'univers, et comme une poussière De soulever le genre humain ; Les jarrets épuisés, haletante, sans force Et fléchissant à chaque pas, Elle demanda grâce à son cavalier corse ; Mais, bourreau, tu n'écoutas pas ! Tu la pressas plus fort de ta cuisse nerveuse, Pour étouffer ses cris ardents, Tu retournas le mors dans sa bouche baveuse, De fureur tu brisas ses dents ; Elle se releva : mais un jour de bataille, Ne pouvant plus mordre ses freins, Mourante, elle tomba sur un lit de mitraille Et du coup te cassa les reins.
Dans tous les cas, tout vient en jugement, tantôt les peuples, tantôt les monarques, et toujours l'homme, individuellement.
On peut avoir le meilleur matelas du monde, mais sans pour autant trouver le sommeil. La cause ? Trop de fatigue comme trop de paresse ; la peur d'être visité de nuit par des voleurs, ou encore par des mauvais esprits (des "maris de nuit", etc...) ; des pensées qu'on n'arrive pas ou plus à maîtriser ; un souci ou un mauvais projet qui s'impose, vous ronge et revient sans que vous puissiez leur résister ; trop manger, ou pas assez ; trop de café, ou autre substance énergisante dont on est devenu accro ; un cumul de fautes morales dont la perte de sommeil est un jugement (en vue que nous nous interrogions sur notre couche quant à nos faits d'existence jusque là et autre avenir compromis)...
Confiez-vous en l’Éternel-Dieu qui a compassion des pécheurs que nous sommes... pourvu que nous le reconnaissions. Il ne nous cache pas toujours sa face, sa présence et le sentiment qu'on peut en avoir, ce qui manque à notre cœur. Que Jésus vous bénisse du trône céleste d'où il agit encore et patiente ... jusqu'aux jours (bien proches) de son retour en gloire...
Un mur aux jointements qui interrogent (Machu Picchu, ancienne cité inca au Pérou) ! "Soyons impossible, demandons le Réel !" Alexandre Koyré Est-ce à dire qu'on peut chercher Dieu comme on cherche et trouve dans le domaine de la physique ?...
Il est évident que nous vivons dans un univers ouvert (qui tient de l'infini - sans en être) qui nous est largement fermé, mais s'ouvre par notre implication à le pénétrer. Et d'autant nous savons qu'il est issu de Dieu, d'autant nous sommes portés, par l'enthousiasme de l'esprit, par la curiosité, la soif de savoir, à le dé-couvrir.
"La physique, c'est pas la bureaucratie des apparences... En fait, il faut trouver des stratagèmes intellectuels, pour que le réel dé-coïncide de ce qu'il montre." Étienne Klein. Exemple le plus évident : la course du soleil...
"Faire de la physique, c'est penser contre son cerveau" Gaston Bachelard. En termes plus précis, c'est dépasser ou sortir des bornes acquises de notre capacité intellectuelle (raison rigide, préjugés, savoir scientifique partiel ou du moment, voire idéologie) par des capacités comme l'intuition, l'extrapolation, la transcendance de l'esprit, voire le secours divin par révélation ou "hasard conduit" (sérendipté - que je trouve une meilleure traduction auditive que sérendipité).
En parallèle donc, dans un Univers ou Réel (réel Total) qu'on peut entrevoir par la foi comme étant d'une hyper-unité, pourquoi les réalités (incréées) de Dieu et autres esprits de l'ordre angélique (créés) ne pourraient-ils pas se découvrir selon la même affirmation : "Faire de la spiritualité, c'est penser contre son cerveau" !?
Regardez et écoutez Étienne Klein, la structure fondamentale de la matière*... et rien qu'à partir de là, réfléchissez si la théorie de l'évolution - qui fait des hasards aveugles et sans intelligence et des nécessités aléatoires le créateur un-pluriel de la matière et du reste qu'on a sous les yeux - peut-être (encore) prise au sérieux !? Ensuite, à partir de cette vidéo et approche intelligente des réalités (visibles et bien cachées) - qui dit notamment que le Réel s'explique par l'impossible (Alexandre Koyré) -, comprenez que la connaissance ou découverte de la réalité de Dieu en tant qu'auteur de la matière et de ses dispositions, peut aussi passer par ces mêmes processus d'approche... compris la révélation qu'il peut initier en votre faveur (comme il fit à partir d'un certain jour pour moi qui ne le cherchais même pas).
Soyez béni-e...
à suivre... ________________ * Ce n'est pas que je comprenne tout comme pour me vanter que je propose cette vidéo, mais parce que la pensée véhiculée peut donner à notre âme l'idée (très en vogue par ailleurs...) d'un lâcher-prise qui permette à la dimension et au contenu de l'esprit de trouver sa place - son nid...
Les vestiges ne manquent pas sur la terre qui témoignent que le surnaturel autant que le naturel est constitutif de notre univers...
Le Réel (au minimum l'univers visible) est à la fois apparent, disponible, accessible, mais aussi invisible, voilé, à chercher, pénétrer, percer, pour en amener des réalités et vérités dans la lumière de nos consciences. - C'est devenu manifeste concernant les dimensions physiques ; - C'est vrai au plan des psychiques (que ce soit dans l'ordre animal ou humain) dont s'occupent différentes catégories de psy : - Et c'est tout aussi exact au plan des réalités spirituelles (peut-être plus subtiles que les autres, mais aussi réelles que les électrons, les quarks ou les bosons auxquels on croit sans que personne n'en ait jamais vu) dont témoignent tous les croyants spirituels (nés spirituellement), la Bible et quantité de livres chrétiens...
Et donc à nous, dotés de liberté(s) là où les animaux sont déterminés, de chercher encore, notamment ce qui nous concerne au plus près : le sens de notre existence et encore de sa fin physique globalement programmée, en accédant à la dimension (potentielle en nous) que constitue la vie de l'Esprit divin.
DES VESTIGES D'UN PASSÉ SURNATUREL ENGLOUTI Plusieurs vestiges physiques extraordinaires témoignent d'un passé étonnant : - les statues de l'Île de Pâques ; - les pyramides d’Égypte ; - les restes architecturaux d'anciennes civilisations d'Asie ou d'Amérique du sud ; - des squelettes humains mesurant 3 ou 6 mètres et plus ; - des passages bibliques qui parlent de races de géants ; - diverses mythologies qui se recoupent et rapportent forcément des éléments de vérités anciennes participant à la trame de nos origines ; - etc, etc...
De même dans notre être profond se trouve encore des vestiges, des relents, des effluves - et de là des aspirations ou des nostalgies - d'un passé merveilleux qui nous est perdu : - Quand on a un peu cheminé et face à nos difficultés ou échecs, remonte souvent un lancinant sentiment que c'était mieux avant, comme si l'histoire avançait à reculons, du meilleur vers le pire ; - Distants des passions, on est généralement habités par un désir de paix, de relations pacifiques, heureuses, d'harmonisation ou de retour à la nature ; - la pensée de l'éternité se trouve également écrite dans beaucoup de cœurs, curieusement confrontée à cette réalité antagoniste qu'est la mort physique, le retrait de l'âme consciente de cette terre des vivants ; C'est en ce sens que certains milliardaires font congeler leur corps mort en vue d'une résurrection ultérieur quand la science le permettra.... ou encore que le patron de Google - qui peut tout avoir bien au delà de ses besoins et envies et caprices - mais pas la vie éternelle ! -, cherche à s'immortaliser en entrant des données dans un ordinateur... - un désir d'amélioration de la condition humaine jugée aliénée... sans qu'on voit clair sur la et les vraies causes de notre aliénation, de nos entraves, de nos insatisfactions ; - notre attachement naturel à ce qu'on aime, et les souffrances qu'occasionnent beaucoup de ruptures, de fins de relations, dont la mort bien entendu ; - et l'amour !? qui transcende l'ordinaire de tous quand il vient se mettre à brûler comme un feu dans notre cœur spirituel. Amour merveilleux et révolutionnaire (qu'il ne faut pas confondre avec une séduction maligne aux effets déplorables) qui est une émanation du cœur de Dieu - car Dieu est amour - qui peut toujours nous tomber dessus à l'improviste... mais qui s'envole aussi plus facilement qu'on ne sait le préserver, le construire et le conserver...
Ainsi sommes-nous chacun prit dans un dilemme, une dualité, voire une tenaille, entre ce qui n'est effectivement pas (pour nous ou en nous) et ce qu'on désirerait plus que tout. - Si on est animés par un complexe de supériorité, nous dépassons ou couvrons notre souffrance en se lançant dans des entreprises, des conquêtes... qui ne sont pas sans contraintes, sans adversités, sans irritations, et de toutes façons bientôt ne satisfont plus... - Si c'est un complexe d'infériorité qui fait notre déséquilibre, on est réduits à subir, silencieusement ou par des réactions violentes sporadiques, à supporter, à être morose, sans espérance, défaitiste, dépressif, etc... - Entre deux, on ne va tenir dans un équilibre bien précaire que par de la superficialité, des dérivatifs, diversions ou dérision, tout ce qu'on appelle "la fête"* - qui ne l'est qu'artificiellement, en rapport de l'argent qu'on peut y consacrer et par l'alcool (désinhibiteur) ou autres produits-béquilles plus ou moins stupéfiants qu'on peut se procurer... en vue d'une abondance de plaisirs ou de joie (de débauches) éphémères et qui s'amenuisent d'autant qu'on en use et abuse.
IL RÉSULTE INDÉNIABLEMENT DE CES FAITS - PASSÉS ET PRÉSENTS... a) que nous sommes des êtres tombés, par rapport à une condition initiale plus démunie mais d'autant plus plus haute. Que ce soit des vestiges historiques ou des sentiments, des aspirations, à l'intérieur de nous, tout va dans le sens d'une perte, d'un amoindrissement.
La Bible comme toutes les cosmogonies témoignent - de la réalité de dieux - qui n'en sont pas vraiment, en fait des anges déchus, devenus les démons, qui s'immiscèrent de manière dramatique dans la vie de notre race, jusqu'à procréer des "demi-dieux", des géants ; - également d'un déluge - dont des traces se signalent un peu partout sur la terre (en Ardèche on trouve encore dans une grotte en altitude des dents de requins fossilisées) ; - partout et toujours la croyance en des réalités spirituelles invisibles mais bien réelles (actives, visibles par leurs effets) perdure malgré que la culture laïc-athée cherche à éradiquer ce genre de foi par une confiscation de nombreuses données (voire évidences)...
b) que la théorie de l'évolution est seulement une fausse doctrine en fait, maintenue uniquement pour asseoir l'incrédulité de ses défenseurs. Jamais elle ne put être validée scientifiquement, au point où plus personne ne parle de la fameuse preuve que certains espérèrent un temps d'un fameux chaînon manquant (Wiki) entre le singe et l'homme - qui d'ailleurs ne suffirait en rien (v. Wikipédia). Plusieurs supercheries furent déjouées (dont celle de Lucy, de L'homme de Piltdown, de L'homme du Nébraska, Le pithécanthrope...)
En effet, comment, selon cette théorie qui ne comprend aucune finalité, aucun sens pré-tracé, aucune réponse prévue avant l'apparition d'événements nouveaux, peut-il y avoir des aspirations dans le coeur de l'homme ? Comment pouvons-nous avoir très vite - et notamment les enfants ! - les capacités nécessaires pour entrer par exemple dans la maitrise des technologies très complexes qui se succèdent depuis ces dernières décennies ? Comment pouvons-nous avoir plus de capacité de mémoire que nous en avons eu besoin jusque là, pour intégrer en quelques mois ou années des sommes considérables de connaissances nouvelles ? La théorie évolutive ne peut rien concevoir de plus que ce que des nécessités obligent à paraître comme réponses satisfaisantes ; des réponses que créent par suite d'infinités de tâtonnements dépourvus de toute ligne directrice, de toute intelligence, une mystérieuse dynamique - qui est là forcément par avance, pour répondre aux tout premiers besoins !? - et s'enclenche à la sollicitation !...
Également, contre la théorie que l'homme évolue globalement d'une animalité primitive vers une emprise intelligente croissante sur son univers, le fait de plus en plus patent que l'homme se fait le principal ennemi de son cadre de vie. Plus il s'immisce dans la vie naturelle (arbres, flore, faune), plus il la dégrade, pollue, appauvrit, tue ! Une expression manifeste de plus que ça ne tourne pas rond dans l'homme, ses capacités et potentialités réelles importantes ne bénéficiant pas - plus ! - d'un organe sensible (qu'avaient assurément des populations de divers continents des siècles précédents) de jugement, de protection, d'anticipation, d'intuition, de respect... Un argument qui s'ajoute en faveur de la vision du genre humain tombé, déchu, accidenté, handicapé, dégénéré, déséquilibré et incapable de gérer ses puissances et potentialités internes bien réelles...
UNE CIVILISATION (OCCIDENTALE, POST-CHRÉTIENNE) QUI TOUCHE DÉJÀ À SA FIN - Les décompositions de structures aux plans politique ou économique et des familles, - la pourriture insinuée dans toutes les relations (couple, famille, entreprises, associations...) à cause de concepts controuvés pris pour argent comptant, de slogans trompeurs crus comme vérité, ou d'une justice rendue impuissante du fait de l'iniquité (corruption) qui sévit ici et là de haut en bas de l'échelle sociale, des zones de non-droit aux demeures les plus cossus, - le recours croissant à des thérapies, médications, à des pratiques visant à apaiser... ou toujours plus extrêmes (quasiment suicidaires), - des solitudes parfois profondes, qui résultent le plus souvent de ruptures douloureuses qui font perdre tout sens et toute motivation (conjoints ou ascendants abandonnés, enfants placés ou écartelés entre parents disjoints, accidents handicapants, maladies invalidantes...), - les (bouffées d')angoisses, les dépressions longue durée, la bipolarité, le burn-out (2 par jour avoue un médecin d'une ville de 15 000 habitants), - l'environnement naturel qui se délite en rapport des traitements insensés qu'on lui applique (terres arables, forêts, eaux douces, mers et océans, air des grandes villes), - la mort qui frappe à tout âge - suicides compris -, dont on se fait une alliée (terrible) dans une recherche d'un mieux-vivre perso... qu'on éloigne d'autant plus que notre quête est égoïste, - la présence invisible, mais discernable par leurs effets, de démons, dont la foi chrétienne et les jugements des deux dernières guerres mondiales avaient débarrassés la terre, mais qui reviennent en rapport de ce qu'on se soumet à leurs influences au lieu de tenir dans l'obéissance aux lois du Créateur et de la création... tout cela s'ajoute en un faisceau symptomatique qui témoigne d'un double mal lié déjà profond et globalement incurable au plan de toute la planète, qui s'appelle génériquement péché et jugement sur le péché.
Le développement des cancers, sida ou vih, Alzheimer..., l'apparition de maladies ou épidémies nouvelles (orphelines), le retour de maladies qu'on croyait éradiquées (comme la tuberculose), sont bien sûr de ces signes autant que des réalités capables d'interpeler les consciences... au moins de quelques-uns dont il est bon que nous soyons...
TOUT DANS L'UNIVERS NE FONCTIONNANT QUE SELON DES LOIS... Et pendant qu'il y a encore (un peu ou un semblant) de vie, parmi les lois qui s'appliquent à nos existences (qu'on le veuille ou non, qu'on croit en Dieu ou en rien... que soi), la Bible nous dit que l'orgueil (complexe de supériorité) précède la ruine ou la chute (une rupture sévère), alors que l'humilité (à quoi aide parfois un complexe d'infériorité ou une rupture) précède la gloire. Dit autrement - non plus en vertu de lois établies par le Créateur mais en le considérant lui-même -, Dieu déclare qu'il abaisse les orgueilleux mais fait grâce aux humbles, restaure les cœurs brisés, soutient le faible...
LE MONDE VA MAL, MAIS DIEU SE PORTE BIEN Si le monde va mal, Dieu se porte (toujours) bien (nonobstant le fait que nos égarements l'attristent) ! Si les individus comme les corps sociaux courent à leurs pertes, ceux qui craignent respectueusement Dieu et ses lois et lui font confiance trouvent ou gardent la paix : ils ne sont pas forcément épargnés par des adversités - car nul n'est parfait en soi ni dans sa marche avec Dieu -, mais l'Esprit de Dieu - Christ en nous - communique sa force vivifiante et qui empêche parfois de couler.
Beauté des formes, beauté des fonctionnalités, merveilles des interactions... moyens d'interpellation...
Pourquoi ne voit-on que des fleurs achevées, que des plantes fonctionnelles qui se reproduisent depuis des millénaires ?
Pourquoi n'y a-t-il pas parmi nous des animaux tout bizarres, des espèces en cours d'évolution avec des fonctionnalités non terminées, avec des membres inachevés ou manquants ou en trop, avec des yeux au bout des doigts ou des orteils... ?
L'évolution darwinienne aurait-elle atteint un aboutissement physique, physiologique, biologique généralisé depuis... on ne sait pas quand, en tout cas depuis avant les plus vieux témoignages connus et transmis de la vie sur la terre, car à part la disparition des dodos de l'île Maurice et l'imagination de Charles Darwin on n'a très curieusement aucune trace d'espèces intermédiaires qui auraient existé entre celles que l'on connaît actuellement !?... Que ce soit entre les singes et l'homme ou entre chaque espèce animale...
Et si on réfléchissait un peu, plutôt que de se faire le maillon inconscient et irraisonné d'une hypothèse jamais validée expérimentalement !...
Profitez peut-être des vacances pour considérer comment des hasards ont pu élaborer l'usine à gaz qu'est rien qu'un brin d'herbe avec la photosynthèse ? Ou comment ont pu être créés chez beaucoup d'espèces animales les poumons au stade fœtal (où ils ne servent encore à rien), en vue de la vie prochaine à l'air libre... compte tenu que l'hypothèse évolutionniste s'oppose à l'idée et à la réalité qu'une chose quelconque encore inexistante (organe et/ou fonction dans ce cas) apparaisse sans une nécessité immédiate qui provoquerait sa recherche et, des décennies ou des millénaires après, son état achevé !? Ou comment le système reproducteur (notamment avec des éléments mâle et femelle séparés) a pu être opérationnel (différent selon des espèces) avant que ne meurent les corps vivants non encore pourvus !?... Etc, etc...
Et si on remarquait que tout ce qui nous a précédés depuis les Big-bangs de la vie et a perduré pendant des millénaires sans détériorations notoires, était des créations nées d'une intelligence au minimum bien supérieure à la nôtre !? La nôtre qui, malgré son niveau et ses capacités novatrices (de découvertes, de calculs, d'invention, de technologies) n'arrive en moins de deux siècles qu'à faire disparaître toujours plus d'espèces ! "Depuis 1900, les disparitions d’espèces ont été multipliées par 100, soit un rythme sans équivalent depuis l’extinction des dinosaures." (Wikipédia).
Bref, choisissez n'importe quelles généralités ou détails d'une ou l'autre des réalités naturelles innombrables qui vous entourent, et entrez dans une vraie observation et réflexion personnelles (avec possiblement les dernières données des connaissances scientifiques établies sur le sujet), et concluez vous-même si cela a été créé fonctionnellement tout fini, ou a résulté de milliards de milliards de tâtonnements aveugles avant de parvenir au résultat que nous connaissons.
Bonne quête du Réel et de ses vérités fondamentales et bonne appréciation des données, car si en leur temps Galilée et d'autres ont du résister face aux traditions et dogmes de religion (sans rapport avec une spiritalité véritable), si la théorie du Big-bang (c'est-à-dire d'un commencement de l'univers) a pu bousculer il n'y a pas si longtemps (années 1950) les tenants de la science d'alors qui disaient (croyaient) que l'univers était immuable de toute éternité, il est de même possible que nous ayons à ne pas nous laisser arrêter aux dires (croyances) évolutionnistes (jamais avérés).
L'être humain cherche toujours à toucher au Ciel - à l'éternité - par de la connaissance - qu'il se donne ou reçoit d'esprits obscurs comme s'il s'agissait de Dieu ! ...Alors que la connaissance typiquement divine accessible à tous, non ésotérique, n'a jamais été aussi proche. Qui serait assez sot pour s'en priver !
Ne voudriez-vous que tout ce qu'il peut y avoir de bon, de bien, de beau dans cette existence (l'amour, la joie, la liberté, la fraternité, la paix...) - et plus encore - soit votre partage sans fin - éternellement !?...
Savez-vous que le mot Évangile - qui vient du grec evangelion - signifie en réalité Bonne Nouvelle ? Bonne Nouvelle et pas religion (comme on le croit généralement, par traditions et mauvais préjugé).
C'est pourquoi, comme l'eau d'un fleuve est bien plus claire et bonne à sa source qu'après avoir parcouru de longues distances au cours desquelles elles se chargent de pollution, je vous invite là à revenir au texte biblique qui est le fondement de la transmission évangélique - dont l'accès nous est aujourd'hui encore largement ouvert (par la page imprimée, internet et autres supports récents de communication ).
La Bonne Nouvelle de Jésus-Christ, c'est celle - de sa venue, - de son message original, accessible à tous et qui n'a pas vieilli, - de sa puissance divine manifestée pour confirmer la véracité (vérité) de ses paroles, - de sa mort comme sacrifice sanglant ultime de la Loi judaïque et de la Pâque, bénéfique une fois pour toutes pour nous, suivie de sa résurrection, - puis de son ascension et glorification célestes attestées par l'envoi de l'Esprit de Dieu vers nous le jour de la fête juive de Chavouot ou Pentecôte... - en vue que nous le recevions - Jésus et son Esprit - individuellement, pour notre réconciliation et paix avec Dieu par le pardon de nos fautes et notre éternisation en lui.
Prenez ici moins de 20 minutes pour entendre, de manière des plus surprenantes, un lien surnaturel entre le fait historique de la crucifixion de Jésus (qui date de bientôt 2 000 ans) et nous vivants aujourd'hui ! Une (autre) preuve que notre temps est un déroulement (dit chronologique) alors que l'éternité selon Dieu est un présent (permanent) qui peut contenir à tous moments la somme des passés et des avenirs.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle". Évangile (Bonne Nouvelle) selon Jean, chap. 3, vers. 16.
Trame de prière en vue d'être sauvé-e (réconcilié-e et en paix avec Dieu, (r)établi-e dans une relation vivante avec lui, éternisé-e pour le meilleur devenir possible).
Comment se diriger quand la lumière des consciences se retire, quand la perte de repères liés à la connaissance du vrai Dieu laisse la terre livrée aux forces psychiques et spirituelles entropiques (chaotiques, déconstructives, source de douleurs et de souffrances) ? >I<
Quand notre température personnelle monte, on parle de fièvre et de quelque mal sous-jacent qui couve ou sévit déjà. Et quand notre corps est malade par suite d'un problème psychologique, on parle de psycho-somatisation. Psycho venant du grec psyché ou psuké qui désigne l'âme. Cela signifie que dans l'ordre général des lois régissant notre monde, des lois de l'ordre moral (psychique), selon leur respect ou qu'on les transgresse, commandent sur les organisations de l'ordre physique...
Quand la température sociétale monte (revendications, grèves, affrontements, délinquance, zones de non-droits, arrêts maladie, bref relationnel social et humain de plus en plus difficiles, tendus, cloisonnés, hermétiques...), le corps social exprime bien souvent à sa manière que ça va mal dans les pensées, projets, vues, desseins, compréhensions, calculs, gestions de celles et ceux qui ont brigué des postes d'autorité au niveau de l’État, mais aussi d'une commune. On parle de sociologie, alors qu'un mot commençant par psycho (-socialité, - sociabilité, -socialisation...) serait plus juste et parlant...
Et donc quand ce sont les grandes nations - c'est-à-dire l'âme dirigeante de la terre (oligarchies politico-financières) - qui commencent à prendre feu, il ne faut pas perdre pied mais comprendre qu'à cet endroit le climat - comme l'appauvrissement des sols et la pollution des eaux - peut traduire le mal psychique de la somme hiérarchisée de celles et ceux qui ont le contrôle globale de la terre habitée.
Ainsi, localement et à l'échelle des nations (quand des intempéries pèsent jusque sur l'économie du pays), les perturbations météo, c'est-à-dire des anomalies notables par rapport aux événements des cycles saisonniers, sont à la fois des jugements et des alertes - appelant à se reprendre ! - sur les temps que nous vivons en rapport de ce que nous faisons : Lors de sa venue, Jésus a montré que les lois physiques peuvent être positivement pliées aux lois (commandements) spirituelles...
ET L'HISTOIRE SE RÉPÈTE Jésus a aussi dit qu'un temps viendrait où sur la terre il en sera comme au temps de Noé et des villes de Sodome et Gomorrhe. Au temps de Noé (livre de la Genèse chap. 6 et suiv.), le règne humain est caractérisé par toutes sortes de violences et méchancetés directement liées à l'immixtion des démons (appelés "fils de Dieu" ou géants, aujourd'hui on dirait extra-terrestres, qui alors avaient encore la capacité de se matérialiser sur terre) qui avaient des relations sexuelles fécondes avec les "filles des hommes"*. En a résulté un jugement planétaire, par l'eau : le déluge, dont les signes sont encore nombreux ici et là... Après, c'est à chacun de nous de faire le lien entre des paroles prophétiques, des faits d'actualité - surtout sortant de l'ordinaire - et encore l'histoire - toujours porteuse de leçons pour qui veut apprendre et comprendre... sachant que Dieu ne veut pas notre malheur, mais que nous changions de vie afin que notre existence soit bénie et non plus maudite : "Si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s'humilie, prie, et cherche ma face, et s'il se détourne de ses mauvaises voies, -je l'exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays."
DIEU VEUT TOUJOURS FAIRE GRÂCE Dans la trilogie être humain - mal et démons - et Dieu, ce dernier impose ou doit laisser agir des jugements contre le mal, toujours dans la vue de nous ramener dans une relation avec lui, dans sa paix et son amour. Car loin de Dieu et hors de lui après la mort physique, c'est une éternité où il n'y a plus rien de bien (que ce soit dans le séjour des morts ou dans l'étang final ardent de feu et de soufre - ou enfer).
Que ce Dieu éternel unique de la Bible (à la fois fondamentalement Un mais aussi essentiellement trois en lui-même) devienne le nôtre, tout personnellement. C'est mon vœu et ma prière. __________ * ici un article pour le moins intéressant au sujet des enfants (géants) nés de la relation des démons et des êtres humains...
Les dernières actualités nous interpellent étrangement au sujet de notre perception (qui peut être réaliste ou controuvée) de la mort.
Il y avait eu l'automne dernier le "spectacle" pour le moins déroutant de Douaumont où des milliers de jeunes ont été mis en scène pour courir pêle-mêle entre les tombes des combattants tombés à Verdun en 1916...
Il y a aujourd'hui cette idée (vieille de 2016) reprise par la maire de Paris, d'un "Printemps des cimetières" où les populations curieuses et/ou festives sont invitées à venir non seulement visiter mais encore écouter de la musique, chanter ou même danser au gré de diverses animations parmi les tombes dans les cimetières de la capitale...
Et puis cette autre idée de fin d'un épisode de l'aventure humaine, qui offre à chacun de pouvoir mourir tout seul, à l'azote liquide, de manière certaine (pas de risque de faire une simple T.S.), directement dans son cercueil (appelé en l'espèce sarcophage - étymologiquement "qui mange la chair") fabriqué par imprimante 3D selon fichier joint... Départ en douceur, mort en 5 mn après avoir composé un code pour montrer qu'on est bien conscient de ce qu'on fait. Suicide pour tous en accès libre et facilité. Réflexion : Mais qu'est-ce que la conscience, et qu'est-ce qu'être conscient ?... Un groupe de musique heavy-metal qui signe un pacte avec Satan est-il "conscient" de ce qu'il fait ?
On n'en est donc plus à vouloir aller "cracher sur vos tombes". Les scandales d'hier sont du pipi de chat aujourd'hui... et les scandales d'aujourd'hui n'en seront plus demain. Mais Boris Vian est mort à 39 ans d'une crise cardiaque - il y a un temps où on disait plus explicitement "d'une attaque". Et demain le mal vengeur sera encore à la mesure de comment on s'enfonce dans l'irrespect des conditions bénéfiques à la vie...
Plusieurs - une minorité quand même - sont lucides sur la gravité de nos évolutions, mais sans solution tant qu'on amalgame l'impiété et les injustices qui vont avec, avec le reste de nos capacités - même les plus pertinentes par ailleurs. On est "bel et bien", c'est-à-dire terriblement, sur la pente savonneuse d'une fin de civilisation. Dont les ingrédients sont connus depuis l'antiquité, et dont la Bible, par Jésus et autres prophètes, prophétise l'arrivée, qui va maintenant se produire en deux temps* : - Bientôt un temps de paix et sécurité formidable proclamé avec force et enthousiasme, notamment au sujet du Moyen-Orient (des relations d'Israël et des populations arabes) -, ce que - presque - tout le monde va prendre pour le commencement d'un nouveau paradigme (paradis) sur terre...., - sauf qu'avant quatre années, les accords et compromis et compromissions ne vont unilatéralement plus être respectés***, déclenchant des conflits de plus en plus cataclysmiques, la montée d'un totalitarisme planétaire inouï, avec des conséquences apocalyptiques comme il est écrit à partir du chapitre 13 du dernier livre de la Bible. A ce moment-là ceux qui auront su mettre au préalable - c'est-à-dire déjà maintenant ! - leur pleine confiance en Dieu par Jésus le Christ pour les nations et Messie d'Israël, auront été mis à part pour être épargnés et pouvoir intervenir à la suite avec leur Héros, le Seigneur Jésus, revenant pour entrer dans son règne terrestre de mille ans...
Avant ces événements d'autant plus certains qu'ils ont été écrits depuis deux et trois millénaires et que beaucoup se sont déjà réalisés, nous sommes dans cette phase de destructuration, démontage, décomposition, d'un ordre ancien, temps trouble et troublé par des avertissements retentissants sporadiques (plus que par les grands jugements des nations qui suivront), avec une redistribution des cartes - on l'a déjà vu, des plus surprenantes et rapides.
Et donc ce qui caractérise cette course folle - vers le bonheur, la liberté de tout pouvoir choisir, la quête effrénée des conditions d'un bien-être jusqu'à la jouissance personnelle illimitée... comme croient les progressistes -, c'est la place que prend la mort, depuis la conception du vivant jusqu'aux blancheurs de la vieillesse. Et ce qu'on voit, c'est un déni - de plus - du Réel. La mort n'est pas la mort, veut-on dire et se dire, en jouant avec, en se donnant la liberté de choisir son heure... comme si cela la rendait moins inéluctable, l'apprivoisait au point où elle n'est plus la mort. Des enfants peuvent ainsi jouer sur un nid de vipères... Et c'est précisément quand la mort est le plus ressenti - de manière persistante mais avec peu de conscience réelle - comme une problématique prégnante, qui s'impose jusque dans nos fibres, qu'on cherche une ou des échappatoires pour s'en divertir comme on a vu au début de cet article. La dérision est un des ultimes moyens réactifs et preuve de notre... impuissance.
DEUX CHEMINS Et la Bible a encore des choses à nous dire à ce sujet. Elle nous parle bien de faire un choix personnel capital en rapport avec la mort. Mais pas le choix de se la donner un soir enfermé dans sa chambre ou devant un coucher de soleil ! Elle parle de choisir entre la vie et la mort ! En disant : Choisis la vie ! Et la vie que nous avons à choisir est celle de Jésus, qui par sa marche avec Dieu devenu son Père, a été ressuscité des morts et vit désormais éternellement - vérité qu'en tant que croyant-e nous pouvons expérimenter. Jésus a du mourir pour plusieurs raisons nous concernant, dont celle de montrer son triomphe de la mort par sa résurrection.
Qui a pu dire comme lui : "Je suis le chemin (pour aller à Dieu), la vérité (à connaître pour être sauvé), la vie (éternelle, qu'il peut donner à qui il veut)" !?
A l'opposé on a la mort. Et pourquoi notre âme, notre conscience, ressent-elle la mort et la peur de la mort jusqu'à l'épouvante parfois, parce que "le salaire du péché (du mal que nous faisons), c'est la mort", dit la Bible. Et la mort en nous est d'abord une mort spirituelle, déjà active et privative de beaucoup de choses bonnes et de vraies libertés.
La suite de cette mort - dans laquelle des foules de plus en plus nombreuses marchent et échangent et se déchirent crescendo, ne se supportent plus, forcément ! -, c'est la mort physique où l'âme se détache du corps pour migrer vers l'une ou l'autre de deux types de régions spirituelles : - la sphère divine ou royaume de Dieu (des cieux), première étape d'un paradis sans fin..., - et la sphère ténébreuse des esprits angéliques déchus (démons) qui engrangent les âmes défuntes (désincarnées) dans ce que la Bible appelle Shéol en hébreu, Hadès en grec, ce qu'on traduit par "Séjour des morts", première étape en direction de l'Enfer (défini en Apocalypse comme un "étang ardent inextinguible de feu et de soufre").
Alors choisir le moment où on va mourir, dans quel but ? Faire cesser des souffrances physiques !? Normalement** oui ! Mais qu'en est-il des souffrances psychiques, puisque l'âme continue à vivre avec ses capacités propres - dont les sensations et la mémoire !?...
Faut-il que nous soyons insensés pour ne pas (mieux) nous soucier, nous inquiéter de ce fait patent que nous sommes mortels ? Car la mort est plus présente que jamais, outre spirituelle, fauchant par le monde plus de cent personnes chaque minute, séparant des corps qui tombent à terre et y retournent les âmes (siège de notre moi conscient et autres fonctions psychiques) qui entrent dans une éternité ou éternisation généralement ignorée ou méconnue... ce qui est le pire qui puisse suivre la mort physique...
Si "la mort m'est un gain" comme le dit l'apôtre Paul, ce n'est pas (seulement) parce qu'il est âgé et usé, mais plutôt parce qu'il est bien certain de rejoindre son Seigneur dans la félicité divine dès son départ de cette tente devenue pour un moment le temple du St-Esprit : C'est l'Esprit de Dieu et ses anges qui entraînent les âmes attachées à Dieu par Jésus dans l'éternité bénie. Sinon le poids des fautes fait descendre dans le séjour des tourments post-mortem dont parlent la Bible et plusieurs qui l'ont expérimenté en état de mort clinique (vois EMI ou NDE sur Youtube par exemple). Et si vous ne le croyez pas (encore) - ce qui est tout à fait naturel quand on est mort spirituellement -, demandez à Dieu qu'il vous le révèle : Il en est capable (si vous êtes sincère)...
Soyez béni-e pour discerner jusque dans l'invisible.
Voir aussi mon étude sur les 5 types de mort. Pourquoi cet article est-il régulièrement le plus lu de mon blog, si ce n'est que la civilisation occidentale glisse dans une culture impie mortifère dont chacun reçoit en lui-même de plus en plus la perception et l'alerte !?
______________ * Comme est la fin des supernovas, avec une brusque et brève immense expansion 'éclatante, lumineuse, joyeuse), immédiatement suivie d'un effondrement sur soi auto-destructeur.
** "Normalement" car un corps sans vie ne ressent plus rien. Mais dans l'autre sens, il n'est pas vraiment certain que l'âme - qui elle ne meurt pas ! - ne conserve pas le souvenir de douleurs corporelles !? Ce qui me fait penser ainsi, c'est que nous pouvons parfois ressentir, après la perte d'un membre, des douleurs comme s'il était encore là...
*** scénario non inédit puisque déjà déployé via Hitler qui signa des accords avec la Russie par exemple, pour l'envahir par surprise peu de temps après.
:
Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.