Elle n'aura duré guère plus de deux siècles de manière un peu développée/
C'est seulement au XVIe siècle, à partir des premières découvertes astronomiques (par Copernic notamment) qu'a été remise en cause la fixité de la terre.
Et comme elle était considérée jusque là comme le centre de l'univers par l'Eglise dominante, c'est l'idée même d'un Dieu qui s'occupe de nous que certains, déjà pas très chauds vis-à-vis de la religion, commençèrent à douter qu'il y ait un Dieu à l'origine de l'univers.
De fait, il fut progressivement dit et admis- sans preuve scientifique, par pure présomption anticléricale, que l'univers était là de toute éternité, sans commencement ni fin.
A partir des balbutiements des découvertes des lois de la matière et de sa composition, on en vint au XVIIIe siècle a dire que seule existence la matière. C'est-à-dire ce qui se voit, se touche, se mesure, s'observe avec un instrument.
A cette époque on découvre par exemple la cellule comme pièce élémentaire du vivant, qui ne peut être décrite que comme un grain monolithique d'une espèce de gélatine.
Et c'est ainsi que Louis Pasteur, scientifique intègre dans ses recherches et dans sa relation avec Dieu pour le guider, pu dire un siècle plus tard qu"un peu de science éloigne de Dieu, mais que beaucoup y ramène".
Mais la vérité n'est jamais l'ingrédient que nous aimons le plus dans le concert discordant de ce qui est juste et faux et de ce qui est bien er mal.
Aussi jusqu'à nos jours où une doctrine jamais prouvée comme la théorie de l'Evolution est toujours enseignée à l'école comme vérité, la majorité des occidentaux s'est mise à croire qu'il n'y a pas de Dieu créateur, seulement des hasards qui font bouger les choses quand apparaîssent des nécessités.
Cependant depuis le début du XXe siècle cette conception purement matérialiste du monde n'a cessé de perdre de sa force, au fur et à mesure des découvertes, qui toujurs révélent une complexité qui dépasse largment nos entendements.
Si donc les ordres qu'on trouve dans la nature sont ordonnés d'une manière bien plus intelligente que nous ne sommes de le comprendre, comment le hasard, par définition aveugle, tâtonnant, sans intelligence, aurait-il faire le monde tel que nous le voyons et pouvons le mesurer ?
LA ET LES BOMBES (SCIENTIFIQUES) DU XXe siècle
À partir de 1927, c'est la théorie du noyau primitif qu'avance George Lemaître (chanoine comme Copernic !), confirmée par Alexander Friedmann, puis par Hubble, qui établisse que l'univers n'est pas stable, infini et éternel, mais en expansion, ayant eu un commencement et qui aura une fin. C'est le Bing bang dont on parle sans réaliser la révolution que cela aurait du produire.
Mais si la vérité est toujours plus difficile à faire admettre et à dire que les erreurs ou les mensonges dans le monde foncièrement problématique qu'est le nôtre, "Les faits ne cessent pas d'exister parce qu'on es ignore" Aldoux Huxley.
Et Dieu est de cet ordre-là !
Quand notre existence est cassée, comme morte,
on a besoin d'un secours surnaturel,
que seul Dieu peut nous accorder...
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Ne remettons pas à demain, car demain ne nous appartient pas !...
Une chaîne de télévision vient de (re)diffuser une rétrospective animée par Laurent Delahousse de la vie de Michel Delpech (qui a quitté la scène terrestre début 2016).
Cela aurait pu être un mémorial édifiant... si le réalisateur ou la chaîne, n'avait pas choisi d'amputer cette biographie...
LA GLOIRE ET LE MAL-ÊTRE - ça va souvent ensemble - L'émission aborde les principaux épisodes-clés de son existence, avec ce mal-être intérieur qu'engendrait sa nouvelle condition de star. Comment être bien quand on devient une idole, c'est-à-dire un simulacre de Dieu - comme Dieu - pour des milliers de personnes ? C'est le problème que rencontrent tous ces jeunes artistes soudain adulés parce qu'ils ont produit un tube ou un album. Et la solution est toujours la même : tenter de se tenir en retrait de la scène publique, de résister aux pressions de toute la machinerie artistico-médiatio-commerciale enclenchée, ou se soumettre comme un citron qui va donner tout son jus sans respect pour la personne. Certains réussissent ce pari de ne pas succomber à l'attrait de la gloire et de l'argent vite gagnés, refusant des contrats, des compromis, des propositions, et restent dans l'ombre qui leur assure de la sérénité. D'autres avancent en franchissant tous les obstacles - moraux notamment, bafouant leur conscience, sourds aux avertissements de leur corps ou de certaines personnes lucides et désintéressées - jusqu'à n'avoir plus pour continuer que le recours à des stimulants médicaux, des stupéfiants, alcool, drogue, plaisirs sexuels dépravés... toutes choses qui ouvrent rapidement la porte à des démons véritables*. On parle alors de "descente aux enfers", de démons ou "vieux démons", mais sans réaliser le contenu réel que renferment ces mots. ____________________________ * Démons : entités spirituelles invisibles capables d'agir sur notre âme, dans nos pensées et jusque sur notre corps dès lors qu'on se livre à des comportements déréglés, acceptent des accords ou liaisons injustes ; présences qui rendent irritables, colériques, exigeants, toujours plus dépendant de la recherche du bien dont elles privent. Certains vont jusqu'à signer des pactes avec Satan, sans s'en cacher, pour obtenir de son pouvoir gloire, succès, argent, biens et plaisirs en tous genres... jusqu'au jour où il faut payer la note ! Ce n'est plus alors en argent, mais par la perte croissante de notre liberté (addiction, dépression, troubles dits psychiatriques), de notre vie corporelle (mort accidentelle), de notre âme (notre moi personnel, le cœur durable de notre personne, alors transporté dans le séjour des morts tenu par le diable). "Et que servira-t-il à un homme de gagner le monde entier, s'il perd son âme ?" avertit Jésus depuis longtemps. ¤
SA QUÊTE D'UNE SOLUTION SPIRITUELLE - bonne mais mal orientée - Et comme bien d'autres, Michel Delpech se perd dans le surmenage, dans l'alcool, la drogue, les mauvais plaisirs (qui n'en sont plus), dans les flots qu'un environnement qui ne le laisse plus en paix. Il sent bien qu'il lui faut trouver un secours supérieur, non frelaté, sans effet secondaire, spirituel donc, pour ne pas succomber, pour tenir.
Il part en Inde - la grande séduction d'alors -, pour trouver des "maîtres", des gourous, pour essayer d'intégrer quelques concepts nouveaux dans son existence... Mais c'est en vain ! Et ça se comprend : si ça marche si mal sur des populations qui partagent (subissent) ces croyances, les laissant dans le dénuement, la misère, la stagnation, comment cela pourrait-il sortir de leurs difficultés des occidentaux, même dans l'opulence ? L'exotisme séducteur et la sérénité artificieuse ne peuvent jouer bien longtemps. Mais la recherche est pourtant bien dans cette dimension de la spiritualité. Il reste à trouver la bonne - car là aussi, il n'en existe des fausses, des simulacres, que parce qu'il y en a une véritable - l'originale - la seule véritablement divine.
LA FONCTION DES ÉPREUVES - jamais gratuites mais effet et aussi cause nouvelle - Et il faut finalement à Michel Delpech, après de surplus un divorce douloureux, un mal plus contraignant encore que beaucoup, pour l'arrêter : un cancer de l'organe qui précisément en fait un chanteur, une idole, un jouisseur et un pantin en même temps. C'est ainsi que nos épreuves ont du sens, bien plus que nous ne sommes enseignés à le voir ! Elles résultent de nos erreurs accumulées, de nos fautes morales ou spirituelles, de nos obstinations, de notre aveuglement ; mais surtout elles sont significatives, des signes* qui veulent parler à notre conscience, pour qu'on se détourne du mal qu'on pratique, dans lequel on est enferré, dans lequel on est... mal forcément ! N'ayons pas peur des mots ! Les épreuves (accident, divorce, mort d'un proche, maladie grave, orpheline, trouble psychique, addictions, licenciement même...) sont des jugements personnels (comme il y a aussi des jugements collectifs sur les groupements humains, dont les nations). Mais en même temps qu'effet de cause, elles sont également positivement cause (à discerner, potentielle) d'un revirement possible de soi, d'une prise de conscience, d'une métanoïa ou conversion (changement total de point de vue, regard soudain tout nouveau). _________________ * Cela a été particulièrement bien perçu quand le sida est apparu à partir de 1981 : c'était évident pour beaucoup qu'on était face à une conséquence directe d'une sexualité problématique. Depuis, cela nous mettant trop personnellement en cause, on a occulté la relation causale, cherchant la solution du problème dans un médicament (au prix de millions d'euros) au lieu d'une remise en cause de la cause. On est tous tellement comme ça, dans un domaine ou dans un autre... et surtout les démons se régalent de nous voir souffrir - alors que dans la foi en Jésus il y a(urait) un remède gratuit et à portée de main à s'approprier. De fait on tourne en rond en s'usant, on souffrant, au lieu de sortir de nos captivités. ¤
QUAND LA TÉLÉ - qui sait très bien exhiber - SE FAIT DRAMATIQUEMENT CENSEUR On sait que les flots d'informations diffusées par les radios ou télévisions manquent d'objectivité (surtout où il en faudrait un minimum). C'est bien sûr déplorable, mais aussi une expression (de plus) du monde dans lequel on vit : un univers tenu par des forces maléfiques - bien autres qu'humaines, bien supérieures et souveraines que même les sectes et autres clubs très spéciaux d'êtres humains qui voudraient gouverner le monde -.
Et voilà donc que cette émission avançant vers sa fin, on passe d'un coup du cancer à la mort du chanteur ! Logique pour quelqu'un qui n'en sait pas plus. Mais réellement indigne d'un support d'informations qui, dans un monde qui prétend à la liberté, devrait transmettre sans parti pris, de manière non partisane. Car entre le travail physique obscur du cancer pour détruire jusqu'à la mort, et cette fin corporelle* advenue, on sait par ailleurs que Michel Delpech a expérimenté une vraie découverte de la foi qui sauve, de la foi au Christ Jésus.
Une conversion tellement vraie qu'en sont sortis deux livres**, et encore une dernière chanson écrite quand il sait que son Dieu et Père va le reprendre. Et cela parce que ce qui importe le plus pour Dieu n'est pas la longueur de notre existence terrestre, avec ses douleurs et ses tentations jusqu'à nous faire renier notre foi salvatrice, mais son parachèvement par la foi. La réussite cardinale de cette existence, aux effets réellement bons et durables comme aucun autre, est celle de notre réconciliation et paix avec Dieu par le pardon de nos fautes. Et cela par la foi qui permet la réception du Saint-Esprit. C'est par ces trois choses principalement (pardon, foi et réception de l'Esprit divin), que nous (en tant qu'âme scellée de l'Esprit, entité consciente qui choisit sa réponse face à l'offre de la grâce pour être éternisée), que nous entrons dans le Divin Royaume éternel, qui d'une part vient en nous, et d'autre part est et sera un prochain cadre de vie, une création consécutive à cet univers, le Paradis véritable sans fin. _______________ * Fin ou mort physique qui n'est pas la fin ou mort de l'âme, mais seulement sa séparation, la sortie de son véhicule. Voir article Les 5 types de mort ** Livres de Michel Delpech : J'ai osé Dieu - Vivre ¤ COMME UN HOLD-UP ! - la vérité pouvant se voler comme d'autres biens - Et donc la poursuite de vie de Michel Delpech - notre poursuite la meilleure possible de vie à tous, sauf preuve contraire ! - a été zappée*, étant rien pour ceux qui se perdent sans foi (ou dans quelque croyance dérivative) et peuvent agir sur des moyens puissants de transmission d'informations. Que Dieu leur pardonne "car ils ne savent pas ce qu'ils font. » ] Ils se partagèrent ses vêtements en tirant au sort."
Censure donc sur sa foi chrétienne, et aucun écho sur son dernier chant La fin du chemin. Un dernier chant quand même, de quelqu'un qui sait qu'il va en finir avec le lot pesant de ce monde !? N'est-ce pas un testament à respecter, un message - public en l'espèce - à laisser décacheté ? Le témoignage digne de foi d'un homme connu qui, même si c'est difficile dans cette circonstance de manifester la joie du salut, dit, chante, sa foi et son espérance que tout ne s'arrête pas ici-bas. ______________ * Je me souviens d'un rapt pareil dans une émission sur les personnes qui continuaient à vivre dans la zone irradiée mortelle de Tchernobyl. Lors de la première diffusion ces gens qui ramassaient régulièrement des champignons pour les manger - et n'en mourraient pas ! - disaient au journaliste qu'ils avaient la foi en Dieu et que Dieu les garder des radiations. Lors d'une rediffusion un an ou deux après, ce court passage avaient été coupé. ¤
C'est tellement vrai qu'on ne peut ainsi retirer ne serait-ce que du répertoire de Michel Delpech son dernier chant sans sortir du cadre même de la laïcité - qui s'est posée comme la gardienne de la liberté des expressions religieuses comme des autres ! Sinon ce qu'on appelle laïcité n'est qu'un athéisme déguisé, une idéologie partisane qui veut s'imposer alors qu'elle ne peut se prouver comme étant LA vérité quant à la connaissance du Réel tel qu'il est, dans toutes ses dimensions. Cela dit pour ne pas se laisser duper, abuser voire endormir ou subtiliser par un organe puissant de communication ou tout autre chose les vérités les plus essentielles de l'univers, celles dont notre destination éternelle personnelle dépend.
Soyez gardé-e pour avoir la liberté de laisser le vrai Dieu se faire connaître à vous et/ou vous instruire "dans toute la vérité".
Un coucher de soleil, mais aussi des créatures humaines, des oiseaux, le jeu du soleil et des nuages, des mers, des plages... (photo d'œuvres divines).
UNE QUESTION D'INTELLIGENCE La nature est malmenée par l'homme... intelligent. La faune dépérit et se raréfie et tout ce que nous mangeons tiré de la terre est traité nocivement par des compositions chimiques artificieuses pour parvenir à pousser et être présentable. C'est dire qu'avec le meilleur de nos capacités intellectuelles et des fruits de nos recherches et découvertes, nous savons moins que la nature ce qui est bien et bon pour l'entretien, les développements et la pérennité de ce qui fait notre environnement. En d'autres mots, l'intelligence enfermée dans tout ce qui est vivant et qui régit les relations entre les règnes minéral, végétal, animal et humain est prodigieusement plus élevée que la somme de nos intelligences les plus cultivées !
Et à l'encontre de toutes les découvertes qui n'en finissent pas de révéler les glorieux ordres et équilibres qui font l'univers céleste et terrestre (et leurs relations), on va continuer à nous faire croire - et chacun à croire ce qu'on nous raconte -, que c'est seulement par des hasards aveugles (hors de toute intelligence active) et des nécessités successives innombrables que la vie est apparue et s'est déployée comme on le voit aujourd'hui !?
Quand des incrédules ont commencé à penser ainsi, la cellule (élément basique du vivant) était vue comme un peu de gelée ou gélatine uniforme (monobloc) ! Depuis, on a mis à jour l'extraordinaire usine qu'est la moindre cellule - chacune avec son organisation digestive, respiratoire, son besoin de se nourrir par son environnement, d'excréter et de se reproduire (pour le moins) !
Et donc êtes-vous branché-e superficialité et satisfait-e des apports cognitifs que répand une culture qui ne croit qu'à ce qu'elle voit (ou veut voir) et peut mesurer ou définir par un instrument de mesure ? Ou bien branché-e désir de connaître en vérité, sans en rester à des concepts frelatés ou controuvés, jamais prouvés, comme la théorie ringarde (pour beaucoup de scientifiques de pointe) de l'évolution... que quelques heures de réflexions objectives sur le vivant met parterre...
Outre ses organisations techniques, mathématiques, physiques, chimiques.. dans le très petit ou dans le très grand, la beauté des choses existantes - avec le fait qu'existe un regard quasi-universel, objectif, sur beaucoup de réalités naturelles qui nous apparaissent belles en soi - devrait nous interroger à la fois quant à son origine ! Et encore quant à notre insensibilité assez généralisée au Beau et au Réel... (Avant de devenir croyant, je ne voyais qu'à peine des bribes des beautés naturelles. Aujourd'hui, certaines fois, elles contribuent à me mettre plus sensiblement en communion avec le Créateur de tout cela).
Dans et par sa foi Galilée a pu percevoir la nature de telle manière qu'il put d'écrire : "Dieu a écrit deux livres : celui de la nature, et la Bible". Au delà de ce qu'il fut poète (le précurseur du Romantisme en poésie), William Cowper a écrit : "La nature n'est qu'un effet dont Dieu est la cause."
DES ORDRES ET DÉSORDRES A l'inverse, comme partagé dans des articles précédents*, les dérèglements climatiques - qui sont une autre forme grave des effets du comportement des hommes sur leur environnement - sont là (comme encore les pollutions...) pour nous interpeller sur les conséquences de nos actes, pour nous amener à réaliser combien il est grave, dangereux, mortel, de jouer les apprentis-sorciers en ne voulant pas entrer ou demeurer dans les règles divines (morales comprises) posées comme conditions de bon fonctionnement de sa et ses créations - nous compris.
Alors oui, nous avons encore à chercher Dieu, pour expérimenter qu'il est réel. Car c'est encore par la foi - c'est-à-dire dans notre liberté (où nous pouvons ou pas croire avant de voir) - que nous pouvons être réconcilié avec le Créateur et rattaché à son éternité en conscience et librement. Un jour qui approche très vite, cela sera rendu impossible, Dieu, Jésus et son Esprit passant à une autre étape de son plan vis-à-vis de nous et des démons, se manifestant au point où tout le monde ne pourra que voir et savoir, à la confusion de chacun qui n'aura pas cru que le Dieu invisible qui ne s'impose pas était (est) bien réel...
CUMUL DE SIGNES, DE PROBLÈMES... La nature, les relations humaines, les concepts culturels anti-naturels, les rapports politiques et politico-religieux toujours tendus et antagonistes, nous disent que ça ne va pas pouvoir continuer très longtemps. Tous les rapprochements qui s'opèrent ne se font que dans l'illusion de pouvoir encore se sauver d'une guerre qui est déjà perdue. Et plus nous persistons sans Dieu dans notre barque (que ce soit au plan des individus que nous sommes ou des nations qui se délitent), plus nous redonnons de forces à Satan et à ses démons comme conducteurs de nos propres vies et encore des oligarchies qui se croient déjà maîtres du monde... alors qu'elles ne sont qu'instruments de plus forts que celles et ceux, mortels et un jour jugés, qui les forment.
Après que Dieu m'ait soulevé le voile qui me séparait de sa réalité immuable, il m'a conduit à rencontrer la musique chrétienne contemporaine : Quel étonnement bienheureux ! J'avais tellement dans l'idée (un de ces préjugés trompeurs) que Dieu était seulement relié à une "musique religieuse d'église", que ce fut une autre révolution que la découverte des chants chrétiens du moment, assez semblables dans la forme, les tempos et autres dynamiques aux chants que les radios et autres MP3 infusent dans les âmes par les ondes.
Différence majeure cependant ! Il y avait là des paroles qui étaient - qui sont - l'essentiel des compositions, avec de la profondeur, des vérités si nouvelles, autant que de la fraîcheur dont mon âme en train d'être libérée avait besoin...
Et encore - autre différence majeure -, ce n'est plus là les chanteurs, auteur ou interprète, qui sont l'essentiel des prestations, mais : Qui est chanté ; A qui on chante des louanges, pour ce qu'il est, pour ce qu'il a fait et fait pour nous, pour dire notre foi, pour remercier, pour nous émerveiller dans sa présence...
Et donc quand on chante là, on chante à Dieu, en communion ou en recherche de communion avec lui, ce qui est une tout autre démarche que de se connecter sur les ondes d'une idole (certes peut-être talentueuse mais) de chair et d'os, sans avenir pour me secourir ou porter longtemps, et qui souvent sombre dans les tentations et pires désastres - malgré gloire et argent - pour sa propre existence...
C'est ma prière que Dieu parle à votre cœur par l'une ou l'autre de ses preuves composées et chantées de la foi vivante possible en un Dieu... plus vivant encore.
Idole des jeunes - Bête de scène - Talent fou - Instinctif - Courage - Engagement - Intelligence de comportement - Combattant - Homme hors du commun - Invulnérable....... mais aujourd'hui.. un corps mort ! SEULEMENT !?...
Si la mort de Johnny peut avoir pour ceux qui l'ont apprise un effet au moins aussi important que ses chansons ou ses concerts, c'est bien maintenant cela l'ESSENTIEL ! Le comprenez-vous ?
Avec cette croix, ce crucifié qu'il portait en image sur sa poitrine, n'a-t-il pas plus que jamais quelque chose de primordial à interpeler chez nous, à faire réagir en vous ?
Oui on pleure, et j'ai eu en écrivant cette émotion qui monte du fond de moi, le cœur sensible touché. Mais encore ?
Qu'en est-il de nos âmes quand le corps se refroidit, se raidit et bientôt va retourner à la poussière d'où il a été tiré et formé à l'origine par le Créateur ? Qu'en est-il maintenant que son corps est tombé, de Johnny ? De son âme qui contient et qui est le plus essentiel, le moi-je Jean-Philippe Smet Johnny Hallyday, cette personne qu'il avait la conscience d'être, le plus réel et durable de lui-même ?
Où est Johnny quand on lui adresse des messages désormais ? Quand Michel Drucker lui dit qu'on se reverra, qu'est-ce que cela signifie ? Que la mort physique n'est pas la fin de la personne ? Qu'ils avaient l'un et l'autre la foi qui sauve* l'âme telle que la Bible en parle ? Si c'est cela, ce n'est malheureusement pas explicite, dit ouvertement ? Ou est-ce une illusion qu'on s'invente en la circonstance pour se consoler ? Ne croyez-vous pas qu'il faut savoir !?
Il ne s'agit pas de croire au Père Noël, cette invention belle mais démoniaque - qui trompe la crédulité des enfants, qui tue en eux la racine du principe de la foi, pour qu'ensuite ils ne croient pas plus à ce qui est vrai qu'à ce qui est faux !?
Il ne s'agit pas de se leurrer comme chantait Michel Polnareff : On ira tous au paradis ! Sur la base de quoi ? De quelle justice divine qui ne saurait être bafouée ?...
Il ne s'agit pas de croire au quotidien en l'évolutionnisme néo-darwinien - cette hypothèse darwinienne devenue doctrine athée dont il n'y a jamais eu aucune preuve scientifique ! -, et puis, quand un être cher disparait, on se met à croire que ça ne peut pas finir comme ça ! D'un coup on passe d'une croyance en des hasards créateurs producteurs de néant, à une croyance en une immortalité qu'ils seraient bien incapables de créer !
Ô que la mort de Johnny serve maintenant à chercher et trouver LA réponse à cette énigme !
Il s'agit de savoir s'il y a réellement une perdition de l'homme, et donc aussi un Dieu qui rachète nos fautes - quand nous les lui confessons, quand nous lui demandons pardon*.
Il s'agit de ne pas avoir qu'un passé ! Qui après nous va seulement alimenter des souvenirs, voire du commerce, ici avec des enregistrements vidéo - déjà préparés depuis quelque temps, tenus sous le coude ! - qui soudain envahissent les écrans ! Seulement un passé qui, quant à nous, quant au défunt, passerait où ?...
Il est plus juste de croire autrement ! Il s'agit de regarder que nous avons tous un avenir, un devenir qui est un mystère terrible tant qu'on n'a pas abordé sérieusement cette question de la mort ! Sommes-nous seulement de la matière qui se décompose ? Pourquoi alors penser, espérer, ressentir, qu'on va retrouver un défunt ? C'est absurde, de cette absurdité dont Sartre a écrit ; "L'univers sans Dieu, sans raison d'être est absurde dans son ensemble et dans ses parties." C'est tout à fait vrai ! Mais c'est une philosophie de la mort si on en reste là ! Par contre si de là, on reprend la recherche à partir de l'hypothèse qu'il y a un Dieu préalable à tout, alors l'absurde fond, et des perspectives s'ouvrent comme des paysages panoramiques là où il n'y avait que des dunes de désert, des sommets inatteignables, ou des vallées trop sombres. Le sens en nous vient d'abord du postulat accepté qu'il y a un Dieu, existant et à connaître. C'est pourquoi Jésus a dit : "Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus..."
Pour moi, ayant été un temps incroyant, du camp des athées-agnostiques, puis touché par Dieu pour que je me mette à regarder ailleurs et autrement, il est devenu évident que tout a du sens - dont je n'ai pas forcément toujours la compréhension -, pourvu que notre croyance en Dieu, en un au-delà de la mort physique, repose sur des connaissances avérées ! Or, il en existe : la pérennité et l'accessibilité quasi universelle de la Bible, les témoignages de millions et de millions de chrétiens l'attestent : On peut savoir plein de choses sur Dieu, sur notre condition de mortel coupé de Dieu, et sur le moyen d'une véritable paix et réconciliation avec ce Dieu qui nous a créés libre et attend de nous des réactions personnelles aux stimuli du Réel - dont la mort n'est pas des moindres.
Aussi cherchez maintenant plus que jamais, si vous ne savez pas encore comment relationner effectivement avec Dieu ! Ce n'est pas toujours facile, mais connaissez-vous quelque chose qui ait quelque valeur qu'il soit facile d'acquérir honnêtement, sans difficulté ?
Ah que la mort de Jojo vous réveille pour trouver vous-même le chemin du ciel non-atmosphérique, du ciel spirituel qui un jour paraitra dans toute son évidence : Pour le moment, c'est par la foi que nous le rejoignons, en esprit... et un jour avec un corps ressuscité**, comme Jésus l'a fait, précédant ceux qui veulent croire comme lui et en lui. Lisez la Bible ! (en commençant peut-être par le Nouveau Testament)..
(article annexe : les 5 types de mort et encore... _____________________ * 1 Jean 1 ** Versets qui font référence à la destination des croyants élus par leur foi personnelle au Christ. Mais cela ne se finira pas encore là ! Car la Bible révèle bien d'autres événements consécutifs... dont la disparition de la mort et de tout mal et l'apparition d'une terre et d'un ciel nouveau...
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.