Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
5 octobre 2023 4 05 /10 /octobre /2023 20:25

 Le fait que les mathématiques sous-tendent tout dans l'univers, commande comme avec cette plante grasse l'harmonie qui foisonne dans la nature, cela nous interroge-t-il sur le fait de notre propre présence dans ce monde !?

Le hasard ne peut rien créer de significatif, de consistant, de dynamique.
N'en résulte que des rencontres anodines, des croisements, approchements ou éloignements, aléatoires et sans conséquences de ce seul fait.

Le hasard n'entre pas dans le champ dominant des causalités, des causes à effets.
Ce qui se produit par pur hasard est donc neutre en soi, car dépourvu d'intelligence, de visée, de projection... 
Le et les hasards sont sans vie, sans dynamique propre.
Il ne peut donc être créateur de rien qui ait du sens. Or le sens est une réalité primordiale de tout, qu'on le perçoive ou pas
Les sciences d'ailleurs ne sont que cette quête qui part du fait que les réalités sont gérées par des lois, des principes, et qu'on peut y voir encore plus clair en cherchant et trouvant qu'il y a un sens qui transcende tout : L'ensemble est plus grand que la somme des parties.

Une difficulté vient de ce qu'il y a derrière des hasards et/ou notre ignorance, des forces intelligentes qui, elles, peuvent se servir d'événements hasardeux pour s'en emparer et les faire entrer dans un champ de causalités, suivant une trajectoire qui vise le bien - ce que Dieu peut faire -, ou des trajectoires qui visent le mal - ce que font les esprits maléfiques de la sphère des ténèbres spirituelles - pour en tirer des profits iniques, des oublis, des déviance, des moyens de...
 

Le fait que l'univers soit dynamique, dans son ensemble et dans ses parties, exclut le hasard comme cause première. De même le fait qu'il soit bourré de lois à quoi il répond, d'organisations et de relations déterminées.
Et donc, l'évidence (largement voilée par des fumées aux yeux qui ne veulent nous laisser voir que ce qui est matériel) est que, si on ne peut attribuer l'origine et les organisations du Réel à du et des hasards, il n'y a pas d'autre possibilité qu'il y a (un) Dieu, intelligent, Créateur, qui est l'origine de tout.
Le fait qu'il ne s'impose pas à notre conscience, est une preuve de la réalité de notre liberté. Mais dès lors que nous comprenons et cherchons à le connaître, il fait des pas vers nous pour établir ou rétablir la relation qui a été coupée par le mal entre lui et nous.

Il nous appartient donc, par l'intelligence et autres capacités dont nous sommes pourvues, de chercher qui est le Créateur de l'univers, pourquoi nous sommes si naturellement et dramatiquement séparés de lui, et comment entrer en relation, une relation vivante avec lui.

 

Une vidéo ici >> qui développe la preuve à partir de l'ADN de la réalité historique que l'humanité a bien commencé d'un seul couple <<

 

Un schéma de base "3 et 1 font 1", nous permet d'approcher la structure évolutive de notre condition humaine, en générale et en particulier :

1 – On a tous été créés pour vivre éternellement,

2 – Une fatalité nous a rendus handicapés dans nos fonctions et mortels,

3 – Mais Dieu a révélé (révèle) sa solution à la problématique du Mal - ce qui est tout le sens et l'effet de la venue de Jésus, sa vie, sa mort et sa résurrection,

4 – Il dépend ensuite de nous de le savoir et de le croire... et d'en informer d'autres quand on sait qu'on a trouvé.


C'est ce 4e point qui est différent des trois, en ce que les précédents se présentent comme une organisation préexistante à notre apparition en tant qu'être intelligent, possédant une conscience de soi-même et donc capable de s'insérer – ou pas – dans le point 3. Sinon d'en rester au stade du drame où le mal continue à dominer sur nous. Et cela malgré même toute notre bonne volonté à désirer pour nous ou pour les autres le bien...

C'est dans cette liberté que je vous laisse là, où vous avez été conduit-e jusque là, et où cela devient votre part de pouvoir échapper à la fatalité de certaines souffrances et d'une mort* qui n'est vaincu que par notre foi placée au bon endroit, sur la bonne personne – le Dieu véritable et Sauveur dont la Bible nous rapporte les meilleures informations.

_____________________
* La mort est une réalité et concept plurielle, qui se décline en mort physique – celle qui nous permet de voir et de croire en cette fataité. Elle est une figure de notre mort spirituelle, celle qui fait notre séparation et ignorance de Dieu en tant que pouvant relationner avec nous, de son Esprit à notre esprit –.

Nous risquons aussi, sans implication personnelle dans la manière dont Dieu peut et veur nous donner en partage son éternité, la mort psychique (du grec psyché qui désigne l'âme, cette part essentielle de notre personne où siège la conscience que nous avons de nous-même et d'exister).
Pour une étude détaillée ici >> article Les 5 types de mort <

Aussi ici >> un guide de prière pour se mettre ou remettre en ordre avec Dieu <<

Que ce Dieu merveilleux, amour mais aussi Dieu tenu par la justice et par sa sainteté (pureté), vous aide à trouver en lui le secours qui vous est le plus nécessaire.

Partager cet article
Repost0
6 juin 2021 7 06 /06 /juin /2021 15:31

Les EMI ou NDE ne se rapportent pas à l'univers céleste matériel, mais se produisent dans des cieux d'une autre nature, car entièrement de l'ordre psychique et spirituel.

suite de l'article commencé ici <, en complément du chapitre 5 sur "LA ET LES PETITES MORTS"

Dans la mesure où ce type d'expériences de mort imminente - ou plus justement de mort dépassée ou de vie post mortem - a été catégorisé dans l'article précédent; avec le sommeil, comme une "petite mort", il convient ici d'approfondir ce qui concerne, si ce n'est le contenu des expériences (dont chacun peut prendre largement connaissance sur le net), en tous cas ce qui en est dit après le retour d'expérience.

NE PAS AMALGAMER L’EXPÉRIENCE ET LA CONCLUSION QU'ON PEUT EN TIRER

Suite à l'audition ou à l'audio-vision de vidéos sur une ou des EMI ou NDE, on doit toujours distinguer deux choses :

1 - le rapport objectif  des faits : globalement il est significatif de deux "lieux" (sphères, espaces typiquement psychique et spirituel), qui correspondent parfaitement à ce qui est connu depuis l'antiquité et qu'on appelle communément - sans suffisamment de précisions - le paradis et l'ender ;

- L'interprétation subjective de l'expérience qui se fait essentiellement à partir de la connaissance que les personnes ont acquis avant cet événement. Ce qui est toujours une connaissance partielle, avec ses préjugés.
   > C'est le cas où l'opinion préalable est complétement inexistante sur le sujet (cas de personnes jusque-là athée par exemple).
   > La connaissance antérieure peut aussi comprendre une vue spiritualiste erronée, l'expérience étant alors donnée pour redresser la vue non conforme au Réel.
   > l'expérience peut aussi venir conforter une croyance à peu près exacte, la confirmant, complétant, scellant (comme Dieu le fait d'une manière ou d'une autre) dans sa vérité.

D'UNE EXPÉRIENCE AVÉRÉE A SA TRANSMISSION... ALÉATOIRE

De cet état de fait des acquis subjectifs de chacun, justes ou erronés rn tout ou partie, des expérimenteurs, on se trouve rapidement face à deux risques de dommage, pouvant suivre un retour de EMI :

     - Du fait que des extrapolations, des déviations dans la conclusion tirée de ce vécu d'un autre ordre, peuvent déformer le rapport qui en est fait, dans sa conclusion notamment ;

Cela vient du fait que les personnes revenues d'une EMI ne cherchent le plus souvent pas ce qu'on peut savoir par ailleurs (et depuis longtemps) sur la question, et notamment les "vérités", précises, significatives, réellement instructives sur le sujet. On en parle sans savoir assez ce qui est pertinent à dire au delà de l'expérience qui a été a) toute personnelle, et b) unique.
Cela permet bien évidemment d'en témoigner - c'est une des raisons du retour -, mais cela être nourri par une quête de sens de l'expérience, et de l'après mort en général.

     - En second, l'expérimenteur qui revient d'une EMI déduit très souvent de manière totalement naturelle (à notre constitution psychique abîmée) mais non pertinente, que ce qu'il a vécu est ce qui attend tout le monde après la mort.
Ce qui est une extrapolation trompeuse, des plus dangereuses.
        - Ceux qui reviennent qu'un tel "voyage" dans des zones infernales, ont moins tendance à dire cela - ce qui se comprend parfaitement, leur souci devant surtout être personnel, de savoir comment remédier à ce qui leur est ainsi montré.

De là déjà, on peut réfléchir que l'expérience n'est pas un jugement arrêté, ce qui va arriver de manière absolue au moment de la mort plus définitive.
C'est un vrai jugement qui est tombé, mais aussi seulement une image de où nous conduit la trajectoire de vie qu'on s'est mise à suivre depuis un certain temps. C'est là un avertissement solennel de la part du Divin.

        - D'autres sont portés, en tant qu'âmes conscientes, libérées des contraintes charnelles, dans quelque espace paradisiaque régi par le Divin, selon qu'"Il y a de très nombreuses demeures dans la maison du Père (ou Royaume de Dieu)", enseigne Jésus - évangile de Jean ch. 14.1.

Pour ceux-là, généralement, la conclusion est que là où ils ont été, est une réalité merveilleuse, qui baigne dans un amour inouï, où ils retourneront au moment de quitter plus définitivement la terre, et où tout le monde ira, comme de plein droit.
Ce qui est pour l'essentiel en contradiction avec la pensée et les vérités de l’Évangile - Et on sait (ou on devrait savoir) que même une demi-vérité peut avoir des effets aussi néfastes qu'un mensonge évident.

ATTENTION AUX CONCLUSIONS HÂTIVES INFONDÉES, ET DANGEREUSES

Car "le salut" des âmes, qui est notre réconciliation et entrée éternelle en Dieu, n'est pas un automatisme pour tous.
Sinon, ce serait
a) une négation de l'essentiel qu'est un libre-arbitre ou liberté réelle de choix ! Si nous n'avons pas eu le choix de notre naissance, Dieu a fait les choses de manière à ce qu'on ait un choix essentiel, celui de choisir si nous voulons de ma possibilité de vivre éternellement avec lui, dans son giron, dans son univers, ou pas.
Dieu ne s'imposera jamais à personne de manière éternelle et sans retour.

b) une négation de la foi personnelle comme moyen de ce salut ou rédemption ou ré-harmonisation avec Dieu. Une telle vue détruit le fondement de l'alliance proposée par Dieu par la médiation de Jésus qui, sauf preuve du contraire, est la seule qui permet le pardon de nos fautes sans bafouer la justice divine.


Penser ainsi - On ira tous au Paradis ! - est une aberration de vue grave de la part de quelqu'un qui a vécu une EMI. Car on oublie alors qu'avant de vivre cette expérience dans sa forme qui nous révèle un Dieu d'amour, on a été victime d'un jugement sévère à très sévère, qui a été une expression de la justice de Dieu. Car celle-ci doit s'exercer en sanction de comportements récurrents mauvais qu'on n'a changés même après des alertes ou avertissement (voir mon propre accident en page Accueil).

L'AMOUR DE DIEU NE PEUT ÊTRE INCONDITIONNEL !

Ainsi, il est aberrant de séparer l'amour de Dieu de sa justice !**** C'estde la sorte une erreur grave de parler sans discernement de "l'amour inconditionnel de Dieu".
C'est confondre - et semer la confusion - par un amalgame trompeur de deux vérités :

   - la 1ère est qu'effectivement, en lui-même, Dieu est amour. C'est son essence, sa nature, et cela s'expérimente dans sa sphère céleste où règne en maître souverain son amour.
On peut aussi expérimenter certaines degrés de cet amour en étant dans ce corps mortel, quand il décide de nous visiter (occasionnellement, ce que je connais par expériences).

C'est là l'amour qu'est Dieu, sans condition bien sûr vis-à-vis de lui-même, et de tout ce qui vit (des myriades d'anges) près ou loin de lui, en respect et en fidélité dans les ordres et organisations ouvertes qui fondent tout ce qui est divin.

Mais un ange vient-il à sortir des lois-cadres des créations, et d'un coup il sort de l'amour de Dieu, du bien, de la lumière, du beau, sombrant dans tout ce qui n'est pas Dieu.
C'est un jugement sur un mauvais usage de la liberté, usage présomptueux, orgueilleux, motivé par une faute de subjectivité qui veut élever au-dessus de règles infra-structurantes inviolables sans conséquences... ce qui devrait nous amener à mieux réflméchir quand on provoque ou adhère à des réformes législatives qui touchent aux bases des créations de Dieu...

En amont de l'humaine humaine, la Bible nous dit que cela est arrivé, chez les anges et dans notre humanité, ce qui est la cause première de la condition humaine telle que nous la vivons, la subissons, en souffrons...

Ainsi, nous sommes dans la preuve que la vie des créations de Dieu est parfaitement libre,mais d'une  liberté qui peut se perdre par une sortie intempestive des conditions générales de vie (On parle souvent de nos jours de ce genre de liberté liberticide). ;

- La seconde chose, est que sur la terre, nous vivons tous dans la sortie dramatique, la séparation effective d'avec Dieu, d'avec le bien qu'est sa présence, et son amour donc. D'où le mot exister, de la même racine qu'exil, exit en anglais.

Si l'amour de Dieu était inconditionnel sur la terre, pourquoi en serions-nous séparés ? Pourquoi ne le ressentirions-nous que lorsque qu'un jugement sévère nous atteint - c'est-à-dire comme une grâce exceptionnelle, comme une compensation qui vient nous permettre de sortir du schéma de compréhension (du conditionnement psychologique) qui dit seulement deux choses (fausses)  :

     - Soit il y a pas de Dieu, tout est hasard, absurde, sans causalité (hérésie de l'incrédulité, agnostique ou athée) ;

     - Soit Dieu existe mais ce n'est qu'un père fouettard, qui semble bien se plaire à nous faire mal, à nous blesser ou tuer même. Ce qui est une confusion grave entre les personnes du Dieu véritable, "le bon Dieu", et celle du Méchant, le faux dieu de notre monde, cet ange sorti de son rang et s'ayant acquis par la ruse un droit souverain sur le genre humain). Lire le récit du chap. 3 du livre de la Genèse qui explique mieux que tout la terrible origine qui fait toute l’ambiguïté de la condition de notre humanité.

     - Et donc, il nous reste à voir selon une troisième voie, médiane, qui dit que Dieu est amour et justice et sainteté, et que la seule conciliation possible de sa justice - qui doit sanctionner les fautes, sans quoi ce n'est plus de la justice - et son amour (qu'il veut que nous connaissions et dont il veut nous remplir) a dû passer par la crucifixion de Jésus - seul moyen - CONDITION absolument nécessaire ! - par laquelle nous puissions recevoir le pardon de nos fautes qui nous rend pur, saint, comme Dieu est saint.

LA VOIE ET VOIX DE L’ÉVANGILE

Pour la connaître, l'entendre, il faut lire ou écouter les pages formant Le Nouveau Testament (2e partie de la Bible) > lien ici où l'on peut lire ou écouter sur le net.

Que le Dieu véritable vous rencontre dans cette approche des vérités essentielles.

____________
**** L'amour de Dieu sans sa justice est une séduction trompeuse, tout comme considérer la justice de Dieu sans son amour, est un légalisme meurtrier.

Si quelqu'un veut prier pour se remettre à Dieu, ici > une aide

Ici > un film qui parcourt tout l’Évangile

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
  • Contact

Recherche