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29 juin 2023 4 29 /06 /juin /2023 19:00

 

suite de l'article commencé >> ici <<

 

VOILÉ, LE RÉEL EST BIEN PLUS QUE LE MATÉRIEL


Tout ce qu’il y a de surnaturel, d’organisé, de dynamique, de calculé, de profond, dans chacun de ces quatre principes et dans leur somme, peut orienter pour faire entrevoir le Réel à qui à des yeux et de l’entendement, voire pour révolutionner qui n’en avait pas la moindre idée.
Le Réel nous est fermé par un voile, le voile de la séparation entre le charnel, notre conscience humaine naturelle, et la sphère spirituelle divine. Sous ce voile, nous croyons et pratiquons la foi sans cesse, tout en étant incapables de croire en Dieu ou d’y croire correctement, de manière spirituelle.
Ce voile ne se lève qu’en Dieu, par son Esprit, à l’un des moments qu’il voit les plus propices pour que ses interventions gracieuses paraissent au seuil de notre conscience, venant l’élargir par un ou l’autre des rayons de sa lumière unique et plurielle (voir l’image biblique des sept lampes).


Alors il faut revenir de cette aberration de vue accidentelle et accidentée, anormale et devenue normalité, qui tient du rétrécissement du champ visuel (causé par des éclairages extérieurs aveuglants et une pression interne qui détruit périphériquement les cônes et les bâtonnets formant la rétine).

 

CHANGER DE PARADIGME (COMME ON DIT)

 

C’est se secouer de préjugés, d’opinions, d’aberrasions de vue, du formatage premier par lequel on est introduit dans l’univers de la conscience. Une crise existentielle profonde permit à Dieu de révéler à René Descartes sa méthode, ce qui lui fit écrire : « Pour atteindre la vérité, il faut une fois se défaire de toutes les opinions qu’on a reçues, et faire tout à nouveau le système de ses connaissances. »

Lorsque quelqu’un donc, dit qu’il ne croit qu’à ce qu’il voit, il se leurre lui-même par ignorance du processus de la foi qui fait son fonctionnement quasi permanent. Voit-on l’air que l’on respire, sa qualité et sa nocivité ? Voit-on la terre tourner autour du soleil ou le contraire qui est malgré l’évidence une mauvaise vue ?


De même celui/celle qui dit ne pas croire en Dieu croit mal, d’une part car il faut beaucoup plus de foi pour croire que c’est par un Grand Hasard et ses petits hasards que tout l’univers est apparu et s’est organisé ; d’autre part parce que l’athée est un croyant comme les autres, qui use du principe de foi pour croire qu’il n’y a pas de Dieu ou que Dieu n’existe pas, ce qu’il ne peut de son point de vue ni savoir ni démontrer.

 

Bref, on est tous d’abord et essentiellement des croyants, et chacun sera plus ou moins motivé, de l’intérieur ou par des influences extérieures, pour voir ce que cela donne de partir du postulat que Dieu est, ou de celui qu’il n’y a pas de Dieu connaissable et qui nous connaît.

 

Ainsi cherchons à avancer comme un train sur des rails stabilisés ou comme un bateau dont l’étrave ouvre la mer des vérités pour en tirer des connaissances justes, des expériences indéniables, une foi spirituelle ancrée qui pose en nous des certitudes et produit de bonnes actions, des œuvres selon Dieu.

 

 

BIEN ET MAL, JUSTE ET FAUX, SAVOIR ET/OU CALCULER

 

« Bonnes actions » car nous savons bien que les actions mauvaises ne sont pas que le lot des autres ! C’est-à-dire qu’on doit être comme ce chat que j’ai vu littéralement réfléchir, calculer, supputer, analyser sur plusieurs jours, comment il pourrait bien monter à l’échelle d’un lit gigogne comme il voyait faire.
Comme il était parfois à regarder ce sommet devenu tentant et à sa vue inatteignable, j’ai pensé lui poser les pattes avant sur les premiers barreaux pour qu
il comprenne que lui aussi peut grimper par cette échelle.
Et quelques
jours après, sentant qu’il avait trouvé où et comment poser ses quatre pattes sur les barreaux (étroits et ronds), il réussit du premier coup ! Il avait fait le chemin mental de cette ascension : Extraordinaire !


Alors nous aussi mettons notre foi en action pour des dépassements qu’on ne soupçonne même pas... tant que quelque chose ou quelqu’un ne vienne soulever un coin du voile* : Il avait fallu que je l’amorce, simulant en ce chat de son potentiel, pour que cet accès soit aussi pour lui (et à la suite il ne s’en est pas privé).

Concernant la foi qui doit être activée en vue d’une bonne connaissance de Dieu et des espaces spirituels, je ne saurais que trop vous orienter vers les paroles de Jésus et tout son Evangile qui forme le Nouveau Testament, et plus largement vous inviter dans la foulée à « poser les pattes sur les barreaux étroits et ronds » de toute la Bible.

 

« Car la foi (d’ordre divin) vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la parole de Christ (l’Évangile ou Nouveau Testament). » Lettre aux Romains chap. 10, vers. 17

 

________________
* Il est intéressant de noter qu’en grec (langue fondatrice avec le latin de notre français) la vérité se dit alétheia. Ce mot vient du mot-racine
lanthano qui signifie voilé, caché, masqué, précédé du a négaitf. La vérité est donc ce que nous avons à rechercher, à mettre en lumière, étant un dévoilement en elle-même.
_______________

 

 

UN MOTEUR PRÉ-PREMIER !

 

 

Le fait que ce principe d’appel à… ou de foi semble se réduire à une dynamique spécifique aux règnes animal et humain, n’empêche pas qu’on puisse parler d’une force élaborée intelligente universelle pour trois raisons :


1 – LA SUPRÉMATIE DU VIVANT

Parce que le vivant est bien plus important, si ce n’est en quantité du moins en capacité, potentialité, puissance et effets que ce qui fait le monde inerte minéral, pesant, inanimé ou même végétal.

2 – LA NÉCESSITÉ PARLANTE DE TOUT

Le règne végétal avec ses minéraux et ses fonctions dynamiques est une part importante nécessaires des environnements, qui fait la jonction entre les âmes capables de se mouvoir d’elles-mêmes et tout ce qui n’a pas de possibilité de se déplacer soi-même.

 

Plus largement, la Bible enseigne qu’au delà de nos capteurs et sens immédiats limités, les choses inanimées du ciel et de la terre ont des langages dont les signes peuvent nous parler, recevoir une interprétation, perception ou compréhension au plan de la conscience individuelle.

« Les cieux racontent la gloire de Dieu, Et l'étendue manifeste l'oeuvre de ses mains. 3 Le jour en instruit un autre jour, La nuit en donne connaissance à une autre nuit. 4 Ce n'est pas un langage, ce ne sont pas des paroles Dont le son ne soit point entendu : 5 Leur retentissement Parcourt toute la terre, Leurs accents vont aux extrémités du monde... » Psaume 19

 

On sait que des animaux ont des sens bien plus développés ou plus nombreux que nous. Des expériences surnaturelles au-delà de notre monde sensible, ont permis à quantité de personnes de voir des couleurs que nous ne voyons pas en étant dans ce corps, de voir des anges ou Jésus ressuscité, ou encore de sentir la réalité et un peu de l’intensité permanente de l’amour de Dieu (amour qu’il est).

 

On a par exemple découvert une confirmation de la création temporelle de l’univers (dit le Big bang en science), en captant et comprenant que le bruit produit par cet événement se propage encore sous nos yeux ou à nos oreilles, ce qu’on appelle « le fond cosmologique diffus », qui se voit sur des téléviseurs allumés ne diffusant pas d’émissions, sous forme de « neige », ou se capte avec des instruments qui amplifient nos dispositions sensibles ordinaires.

 

3 – DIEU A, EXERCE ET PARTAGE LA FOI

En toute logique et raison bien construite, voire par simple bon sens, on peut admettre que ce principe a été introduit (incrusté, enchassé et scellé) dans l’univers parce qu’il était préalablement dans la nature créatrice de qui ne peut être Hasard et aléatoire, mais est forcément (un) Dieu dont les capacités propres, extérieures et nettement supérieures à tout ce qui est là de visible et d’invisible, unifié et diversifié, ont été dispatchées. Semées avec précision et à la volée, partagées avec sagesse, amour et joie (donne à penser l’Esprit même qui était dès avant les oriines, qui va et qui vient et qui fait).


De la sorte, personne vivante dont nous sommes une infime mais significative représentation, Dieu peut nous instruire, révéler, faire connaître du monde, de nous-même et de Lui, ce qu’il veut quand il veut, qui est caché ou découvert seulement en partie, ce qui est du bien et du mal – cette dualité problématique essentielle à connaître qui tient compte et résulte du jeu des fixités et d’une liberté bien réelle accordée à ses créations supérieures dont nous sommes.

 

Quelle foi de Dieu dans cette liberté consentie une première fois, lors de la création des anges, sans le moindre soupçon qu’ils pourraient trouver en elle un moyen de sortir du Bien (à la fois total et infini) !
« L’amour ne soupçonne pas le mal » (1Corinthiens 13,5).

 

Mais pourrait-on surprendre Dieu deux fois, comme s’il ne tirait pas des leçaons des expériences de la liberté !

 

 

 

PLAN A/B POUR LA TERRE


Alors par la foi et ses autres attributs, il réorganisa la terre dévastée par les anges de la rébellion et nous forma selon tout un plan à deux niveaux.
Un plan où tout était bien et beau et bon – et même très bon –, avec des libertés comprises et sans rien de mal comme cela nous est dit succinctement par les chspitres 1 et 2 du livre de la Genèse.
Et puis, incluse partout, en potentialité – au cas où ! –, la capacité pour cet ordre parfait de basculer dans un désordre générique par l’introduction du mal (existant parmi les anges) au plan de l’âme humaine.
D’un seul coup, par ruse, Satan le créateur du mal, réussit à séduire le genre humain tout entier (potentiellement) compris dans le premier couple créé.
Mais cette fois Dieu avait de l’avance sur les anges déchus ; il avait tout prévu, et non seulement pour faire face à cette éventualité, mais pour réduire à l’impuissance totale les créatures malignes.
C’est pourquoi nous apprenons par le chapitre 3, que Dieu fit des habits de peau pour couvrir d’Adam et de la femme la nudité, résultat de l’extinction soudaine de leur lumière intérieure (l’esprit) et de sa radiation puissante.

Voilà la nouveauté incuse dans la réorganisation terrestre : la mort !
Pour que le mal ait une fin, il fallait inventer la mort ; cela n’avait pas été prévu lors de la création des anges : Ils sont tous et restent des esprits éternels. (Seul un « étang ardent de feu et de soufre » pouvant réduire un jour les porteurs invétérés de mal… Apocalypse 19,20 et 20,10…

 

Voilà pourquoi nous sommes mortels, de trois types de mort bien distinctes, spirituellement, physiquement et psychiquement.
Alors que la partie A du plan aurait pu ouvrir sur une éternisation des humains par l’arbre de la vie (Genèse 3,22-24).

 

A cet endroit la mort – que figure aussi la loi d’entropie parmi les forces fondamentales de l’univers – est entre dans le concert terrestre devenu discordant et létal. Et si ce couple ne meurt pas physiquement sur le champ (mais spirituellement oui), c’est un effet de la prédisposition divine qui accorde aux coupables du temps pour se racheter ou être rachetés de leurs fautes.

 

DESORMAIS LA PLANETE DES SACRIFICES

 

Un sacrifice est une souffrance occasionnée, acceptée ou subie, normalement avec pour résultat de réduire ou faire stopper du mal ou de le changer en un bien nouveau. On parle de rachat ou rédemption.

 

Après le premier sacrifice initié par Dieu en Eden, se sera par la suite et avant un dernier acte typiquement divin, le moyen d’activer sa foi dans la volonté et l’idée de sacrifier une vie – inoocente – pour en sauver une autre – coupable –. C’est un prix à payer.


Et nous avons à entendre, avec la même actualité et nécessité qu’alors, cette information intemporelle que par le sacrifice de la vie pure, parfaite, innocente et donnée de Jésus (comme jadis par la mort d’agneaux, de jeunes taureaux ou de tourterelles) les vies coupables, marquées, souillées, impreignées par le mal, peuvent être purifiées, pardonnées, libérées, sauvées de la mort spirituelle qui déjà est en elles.

 

Ce qui fait écrire l’apôtre Paul à des coupables acquittés : « Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés, 2 dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l'air (Satan), de l'esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion. Nous tous aussi, nous étions de leur nombre, et nous vivions autrefois selon les convoitises de notre chair, accomplissant les volontés de la chair et de nos pensées, et nous étions par nature des enfants de colère, comme les autres.
Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts par nos offenses, nous a rendus à la vie avec Christ (c'est par grâce que vous êtes sauvés); il nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes, en Jésus-Christ, afin de montrer dans les siècles à venir l'infinie richesse de sa grâce par sa bonté envers nous en Jésus-Christ.

Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie. 10 Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes oeuvres, que Dieu a préparées d'avance, afin que nous les pratiquions. » Ephésiens 2,1…

 

Pour nous donc, et à la suite pour tout cet univers (qu’on autre remplacera), le mal est résolu, prend fin et prendra entièrement fin qu’en vertu du sacrifice de Dieu manifesté en chair.

 

La gloire que Dieu peut tirer de ce plan terrestre et humain aux répercussions cosmiques, vient de ce qu’il n’a pas mis totalement à mort tous les coupables qui le mérit(ai)ent sur le champ, mais il a accordé bien des grâces, bien des sursis et reports de condamnation, secouru même du seul fait de son amour (bonté, compassion, miséricorde, charité) des égarés sans solution pour continuer à vivre.

Au plan de la rébellion angélique, il ne l’a pas matée (mis échec et mat) par sa puissance inégalable qui aurait pu avoir un effet instantanée, mais il a choisi de réduire les forts par les faibles, les très grands et puissants anges malins et méchants par les petits êtres humains.
C’est typiquement l’histoire réelle et préfigurative du petit berger David qui, avec une fronde, un caillou et sa foi terrassa le géant philistin arrogant Goliath (1Samuel 17).

 

C’est d’après sa méthode de lutte contre le mal que le Dieu éternel prophétise dès la chute que la postérité de la femme écrasera la tête du mal – aujourd ’hui nous savons que c’est par Jésus de Nazareth en son temps –, ce qui aussi a été annoncé à une jeune fille d’Israël Myriam, fiancée à un Joseph et qu’on appelle Marie.

 

De fait par le sacrifice dont Jésus s’est laissé faire conformément à une volonté et justice divines, et par la foi de quiconque le croit, la question du mal est résolue depuis près de deux mille ans et jour après jour pour beaucoup… la plus grande partie de la somme des souffrances, conflits, guerres, attentats, barbaries, atrocités et autres perversités planétaires vécus depuis, étant essentiellement des conséquences de la méconnaissance, de l’occultation ou du refus de croire cela, dans un manque navranr d’amour de la vérité.

Voilà pourquoi nous restons et enfonçons plus que jamais dans des situations de tensions, de crises, d’insécurité, de chaos jusqu’à assister à la déconstruction culturelle des sociétés issues du christianisme et à une tentative (ultime) de changer les ordres divins les plus fondamentaux, de les retourner, les confusionner, au profit d’une meilleure empreinte (non pas carbone mais) démoniaque des existences et des mouvements, comme annoncé depuis longtemps dans le Saint-Livre.

 

La victoire sur le mal est dès lors pour chacun-e de nous un effet direct (causalité) et un potentiel accessible à tous moments, saisissable par la foi comme il suffit de prendre d’un livreur un cadeau exceptionnel contre signature.

Ce n’est qu’ainsi que science et foi sont réconciliées, comme nous le sommes avec Dieu en acceptant les vérités essentielles et plus jamais le mensonge, la justice et plus jamais les iniquités, le pardon à la place du péché, du ressentiment et de la vengeance, la justesse et beaucoup moins d’approximations.

 

De la sorte nous serons de la même famille que des Galilée voyant que « Dieu a écrit deux livres, celui de la nature et la bible. », des Newton qui, en perte de mémoire, écrivit : « Si je ne dois me rappeler que deux choses, c’est que je suis un grand pécheur, et Jésus-Christ un grand Sauveur. » C’était là sa plus grande découverte, dit-il.

C’est donc à la lisière de ces deux forêts profondes (matérialité et spiritualité), semblablement à la fois sombres et lumineuses, que j’ai découvert cette manière de dire en quatre points irréductibles et premiers le réel (de l’univers) et le Réel total, « holystique** » qui est la somme de l’Incréé et des créations.

 

 

________________
*
holystique, néologisme formée sur la base du mot holistique (complet, total) avec le mot anglais holy qui signifie sacré, divin, saint ou sanctifié.
_________________________

 

 

 

Grandeur de l’humilité d’apprendre encore, de « remettre l’ouvrage sur le métier », d’en tisser encore la trame, éclairés par l’Esprit divin et son développement « l’amour de la vérité ». La Bible, 2e lettre aux Thessaloniciens, chapitre 2, verset 10.


C’est là que cette étude s’arrête, le lecteur ayant pour sa part à s’insérer dans cette circulation de la vie faite de routes avec leurs panneaux (dont la Bible est le livre de code), des possibles qu’on peut pressentir ou inimaginables, des expériences de tous ordres, des rencontres attendues ou insoupçonnées, des signes dans la nature et dans le surnaturel, des paroles vivifiantes, des probables, des imprévisibles.
Imprévisibles pour nous, mais pour Dieu sans rien qui puisse jamais le dépasser et qu’il ne puisse tourner en bénédiction nouvelle et supérieure aux précédentes.

 

 

***

Annexes

>> le récit des mes premières rencontres décisives avec Dieu <<

>> Un guide pour quelques prières importantes et efficaces <<

Claude T. © Juin 23

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