" Débat de haute-voltage entre Terre et Ciel ;
- Terre envahie - par l'immigration, l'islamisation, le woke et, dit plus globalement, par de vrais démons - sur laquelle Eric Zemmour et Michel Onfray (pas plus que nous) ne veulent mettre les pieds ;
- et Ciel rendu comme inexistant, réduit à un néant mythique inhabité par le voile de l'incrédulité, toujours prompte à réduire, sans recul (nécessaire, par rapport à la culture laïco-athée dont ils sont l'un et l'autre un produit), sans réflexion (de bon sens ou scientifique), incrédulité qui laisse
- l'univers créé (puisque "création" confirmée par le Big bang)comme résultant seulement de quelque(s) hasard(s) sans intelligence (mais ingénieux bien plus qu'aléatoire et absurde) et sans finalité (alors que toutes ses potentialités témoignent qu'il est surnaturellement empreint de devenirs et de sens) ;
- incrédulité envers la Source de l'univers (bien évidemment Divine pour peu qu'on ouvre les yeux ne serait-ce que sur les organisations de la nature et du vivant) et encore manque de lumière et de perspective envers nous dans l'univers et dans cette France (de plus en plus mal) dirigée et envahie.
Parce que bien sûr sans Dieu existant (dans notre perception du monde et notre système de pensée), il n'existe pas de jugement ! Seulement des "crises" qui, étonnamment, se cumulent du plus haut de nos atmosphères (physique, psychique et spirituelle) jusqu'au plus bas de la terre (que ce soit par les banlieues ou par l'appauvrissement et les pollutions des terres et des eaux). Et ce mot "crise" pourtant peut nous renvoyer à son origine, grecque, à "crisis" qui précisément porte l'idée de jugement.
Cela pour dire qu'il ne suffit pas de faire un diagnostic, un bilan de santé (même détaillé), pour s'avérer être un médecin qui possède aussi la connaissance des remèdes existants et capable par là, par eux, de provoquer un chagement notoire face au mal installé, et qui encore menace de s'étendre.
Ce grand débat a un an : Quel progrès dans le sens du bien sur le mal peut-on honnêtement proclamer ?
- On a augmenté le nombre de convaincus qu'il faut se mobiliser et faire quelque chose ! Mais aussi on a été désavoué, malgré la pertinence des vues qui téémoigne d'une (certaine) lucidité, par le vote et l'apathie des français
- Mais on ne s'interroge pas plus que cela, on ne creuse pas où il faudrait, où le bât blesse, où il manque un essentiel...
A l'inverse, la machine animée par la pression des esprits occultes qui agitent sur sur les hautes sphères humaines (du plan spirituel, financier, politique et encore des lobbies) a-t-elle été griffée, s'est-elle ralentie ?
Alors devenons plus sérieux, bien plus sérieux, cessant de jouer les dieux (impuissants, suffisants) de la farce, et voyons - ouvrons les yeux intérieurs comme physiques) - que dans les données débattues, il manque métaphoriquement une constante cosmologique, comme le boson que Higgs présumait (à l'encontre de toute la communauté scientifique) et qui finalement a bien été aperçu.
Et donc sans cette constante ou ce boson manquant qu'est Dieu - Celui qui a créé les cieux et la terre, celui de (notre) Pascal qui, le rencontrant en esprit une certaine nuit de révélation, reçut que c'est le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, pas le dieu des philosophes... Ni même celui des religions puisque le Messie et Christ Jésus vint démontrer par sa crucifixion et sa mort que même la Loi religieuse parfaite - la Torah - produit la mort, et non le surcroit de vie qu'il nous manque à tous : savoir la vie de Dieu en nous qui se reçoit dans la lucidité et l'humilité de l'imparfait et peu signifiant (pécheur, péchresse) que nous sommes chacun.
Car il apparaît bien que même malgré l'imperfection et les travers malins des hommes, la France (et l'Europe), la vie sociale et sociétale du temps où la culture était imprégnée de l'essence du christianisme était tout autre.
Parce que les gens étaient plus riches, plus intelligents ? Non mais parce que l'Esprit du Dieu vivant pouvait alors se mouvoir dans les cœurs, dans les institutions et entre les personnes couvrant les territoires où il avait été reçu par la foi.
Cette hauteur ayant été balayée par l'orgueil et la force communiquée à des idéologues et politiciens athées agités par des souffles spirituels mauvais, la place laissée vide par le retrait (respectueux) du Dieu qui ne s'impose pas face à la liberté dont il nous a pourvus, a bien vite était remplie par tout ce qu'on découvre d'abyssal qui s'ajoute chaque jour un peu plus, de désordres, désorganisations, décompositions, inepties, injustice, égotisme, violences, impiété et autre religiosité physiquement conquérante.
Et donc comment revenir à du relationnel empreint de la spiritualité divine comme cela fit apparaître une "France chrétienne" - disons plutôt christianisée -, sans revenir à Celui qui en est la Source et l'Artisan !?
Saurez-vous ouvrir l'oreille, ou resterez-vous enclos, intelligents mais aussi ahuris dans l'impuissance qui est dans quelque système que ce soit (philosophique, faussement moral, idéologique (de marxiste, nietzschéen à écologiste), hédonisme jusqu'à sodomite, ou religieux) qui se vivent dans "la séparation" d'avec le vrai Dieu !?
Qu'est-on à côté de Jésus, qui mérite sans doute une plus réelle attention de notre et votre part, par sa personne et ce qui a résulté et résulte encore de sa venue, de sa mort et de sa résurrection.
Cela pour dire : Ayez la curiosité de revenir à Son Évangile (du grec euaggelion qui signifie Heureuse Nouvelle), qui n'a rien de religieux ni d'athée, vous mettant à lire ou relire ce fruit écrit qu'est le Nouveau Testament , avec objectivité, dans une quête de vérité, de lumière, dans l'amorce de foi que si ce qui est rapporté là est vrai, juste et bon - de Dieu - , cela sera attesté à votre être intérieur le plus objectif.
Car ce chemin qu'est l’Évangile est différent de tous les autres systèmes de réflexion ou de connaissance en ce que qu'il permet d'entrer en contact avec Dieu, de sortir de la séparation problématique (qui nous est devenue si malheureusement naturelle) par une réconciliation magnifique qui passe de son Esprit à notre esprit (régénéré). Ainsi passe-t-on de la "mort spirituelle" à la vie dans toutes ses dimensions (livre aux Éphésiens chap. 2.1)
Bonne suite de vie dans cette quête d'un grand rétablissement qui vise à des améliorations ou transformations ou retournements collectifs, ce qui ne peut toujours commencer que par une vraie révolution... en nous !
De Descartes on peut garder cette phrase synthèse (des trois songes par lesquels il reçut la révélation de "la méthode") qui peut s'appliquer à chacun né et formé dans un système socio-culturel quelconque : "Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues et construire de nouveau tout le système de ses connaissances."
Bien cordialement, (toucherlalumiere.info)"
Votre propre réaction à ces éléments relatifs à une problématique holiste (occidentale et planétaire) qui nous touche tous !?
Vous pouvez aussi liker mon commentaire si vous le jugez pertinent...