L'univers physique - qui finira un jour - et la vie après l'existence terrestre - qui sera pour une éternité sans fin, non imposée par Dieu, mais qui se choisit en réponse à ce que Dieu nous offre pour passer de notre mortalité à une vie paradisiaque avec Lui...
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Cet article est né d'une recherche approfondie conduite vers la vérité au sujet de la vie après la mort.
Elle s'appuie sur les écrits bibliques que confirment divers types d'expériences d'EMI (Expériences de Mort Imminente), et s'est développée dans ma quête d'une conciliation sensée, raisonnable autant que surnaturelle, de l'amour que Dieu est, avec la justice qu'il est tenu de respecter lui-même et d'exercer.
On peut aussi dire vie après l'existence - dans quoi nous sommes ici provisoirement avant de déloger.
Un sujet capital car personne ne peut s'en exclure, et il vaut mieux savoir que d'avoir à subir bien-bien longtemps les pires effets de l'ignorance entretenue...
Et pour savoir, il est bon de commencer à s'ouvrir à ce qu'on ne connaît plutôt que d'en avoir peur, que de remettre cela à un temps qui ne nous appartient pas.
Il est bon de ne pas s'en tenir à des idées préconçues et autres préjugés superficiels sur quoi on ne s'est jamais interrogé, alors qu'ils ne sont que des apports à notre enfance ou adolescence venus d'un conditionnement sociétal dans lequel on a été orienté à croire de telle ou telle manière (athée ou religieuse).
La première question à résoudre est :
Est-ce qu'il n'existe que de la matière, le cerveau étant alors le siège de ce que nous sommes comme intelligence, volonté, sentiments et émotons, et mémoire ?
Si oui, on meurt en tant que conscience en mêm temps que le corps, et tout est fini de nous à jamais.
C'est la vision matérialiste qui fait les athées, jusqu'aux transhumanistes qui dépensent des fortunes pour collecter de grandes quantités de données pour les mettre dans un ordinateur qui devient le nouveau corps de la personne décédée, à travers quoi elle pourrait continuer à vivre d'une certaine manière !...
Plus sérieusement, la vue spiritualiste du monde permet de dire que l'univers est fait de dimensions :
- physique, avec 4 forces fondamentales d'intersactions ;
- psychique, avec les 4 domaines de l'âme (puisque l'âme en grec c'est la psyché) : notre faculté ntellectuelle, notre affect (avec les émotions et sentiments), notre volonté, et notre capacité de mémoire
- Spirituelle, avec notre conscience morale, l'intuition, de la connaissance infuse, la capacité d'être en connexion avec Dieu.
Si on est un peu observateur, on peut voir que les désirs de l'âme ne sont pas forcément ceux du corps. Si par exemple mon âme aime tellement manger ou boire de l'alcool qu'on en absorbe bien plus que ne le supporte les réglages de capacités de l'estomac, du foie, du pancréas, de l'intention..., le corps va perdre son équilibre de bonne santé, ce que ressent l'âme par une nausée, mal-être, envie de vomir...
Par trop d'irrespect du corps, on peut dépasser les forces de ses immunités et il va tomber malade, voire ne plus pouvoir continuer à lutter contre du mal qui s'est mis à l'habiter... etc...
Cela poser, l'âme meurt-elle avec le corps ?
La réponse spirituelle est Non !
Des multitudes en témoignent par leurs (EMI) Expériences dites de Mort Imminente vécues alors qu'ils ont été déclarés cliniquement (physiologiquement) mort ou dans le coma : ces expérienceurs disent comment ils sont sortis de leur corps, se sont promenés dans des espaces en passant à travers les murs, ont été entraînés dans un tunnel jusqu'à arriver, certains dans un lieu infernal où les souffrances sont continuelles, d'autres dans un paradis baigné d'amour, retouvant des personnes défuntes ou pas, voyant Jésus ou pas...
Jésus et ses disciples qui ont écrit le Nouveau Testament, parlent dans le même sens, que l'être humain - tout comme les animaux d'ailleurs - sont essentiellement une âme dans un corps, avec en plus, ce qui nous distingue plus particulièrement du règne animal, un esprit qui vient de Dieu...
ET DONC LE PURGATOIRE !?
Les EMI révèlent par ceux qui reviennent de l'au-delà, la réalité des sphères ou univers célestes, qu'on appelle le Paradis et l'enfer.
Mais ni les mots enfer et purgatoire n'existent dans la Bible.
Par contre, si on vient à ce livre - qui est la source origienlles de ce que sont les églises dites chrétiennes -, on trouve deux réalités qui parlent de la vie après la mort dans son versant maléfique, pour ceux d'entre nous qui n'ont pas trouvé en Jésus le Sauveur des âmes (que nous sommes, bien plus que des corps).
1 - LE SEJOUR DES MORTS OU HADÈS
Il est décrit par Jésus dans ce passage de >> l'Evangile selon Luc <<.
Très clair n'est-ce pas !
Après la mort il ya d'un côté ce qu'on appelle le Paradis ou encore "Sein d'Abraham" dans la mesure où Abraham est considéré comme "le père de la foi" selon Dieu - la foi qui réconcilie avec Dieu et donne au croyant la paix avec Dieu, par et dans une relation vivante avec lui.
D'autre part, le séjour des morts ou hadès (en grec original), ce que la tradition a transformé en purgatoire, dans la mesure où on peut savoir que cette sphère (psycho-spirituelles) n'est que provisoire : En fait une prison pour les âmes défuntes en dehors de la foi en Christ Jésus (ha Mashiah Yeshoua dans la langue des juifs), prison tenue par Satan et les démons de sa suite (des anges dégradés rebelles à Dieu).
En >> Apocalypse chap. 20 << on apprend que Dieu ouvre cette prison, ressuscite ces âmes - c'est-à-dire leur redonne leur corps charnel - pour un dernier jugement.
Ainsi le séjour des morts, hadès autrement appelé à faux purgatoire, est la conséquence du jugement des humains trouvés coupables par leurs comportements sans foi ou avec une croyance religieuse qui ne satisfait pas Dieu ; un jugement qui accorde la domination des âmes même après la mort physique aux esprits du règne (provisoire et partiel) de Satan.
Mais un jour Dieu redonne vie physique à ces âmes pour exercer son propre jugement, juste et définitif sur chacun de ceux qui sont (actuellement et entre jour après jour dans ce lieu de tourments).
C'et lors de ce dernier jugement, qui va clore la réalité de tout cet univers pour en créer un autre - qui sera enfin le paradis physique éternel, qu'apparaît ce qu'on peut plus particulièrement appelé l'enfer (selon l'iamge courante qu'on en a), où sont emprisonnés sans retour possible dans le Bien selon Dieu Satan et ses démons (qui ne meurent pas), et les êtres humains qui se seront obstinés dans leur refus de la personne de Jésus comme Fils de Dieu Sauveur, "seul médiateur entre Dieu et le genre humain" pour le salut psychique de quiconque croit.
C'est pourquoi il est important de se positionner clairement pour ou contre Dieu, pour ou contre Jésus-Christ, car le chemin de la vie qui se poursuit après la mort physique résultera de la position personnelle adoptée quand on a la liberté de choisir en bonne connaissance et conscience du Réel.
Le mot Être se distingue des mots Exister ou Existence.
2 MOTS POUR 2 RÉALITÉS DIFFÉRENTES
On devrait beaucoup mieux les comprendre et les utiliser, car ils peuvent servir à saisir la différence entre deux réalités possibles bien distinctes : ce que nous vivons en ce moment dans le temps qui s'écoule essentiellement au niveau de notre corps.
on fait avec certitude qu'en principe un jour il va se refroidir et se raidir, parce que la vie qui est attachée et qui forme notre âme va le quitter pour une autre destination que la poussière de la terre ou d'une crmation.
Par et dans ce corps, nous pouvons dire que nous existons, mot dont la racine - exit - signifie hors de, sortir, comme aussi en anglais les mot exit pour sortie ou encore Brexit pour la sortie de l'Europe.
Bien distinct du corps est l'esprit, que la Bible la première en a parlé (déjà par les livres de Moïse qui datent d'environ 3 500 ans). L'esprit est alors la Rouah, le souffle de Dieu en l'homme (seul, les animaux n'ont pas ce souffle-là, on va y venir.
La particularité de la Rouah est d'être un souffle de vie en lui-même éternel, qui se rapporte donc à l'Être, au fait de l'éternité.
Sauf que son attache à nous est un peu comme le parfum pour les fleurs, très volative, d'une nature différente.
Ce qui fait que l'esprit de Dieu en nous peut s'éteindre (si on lui donne l'image d'un feu, qu'il est), peut s'envoler si on prend l'image de la fumée dont le feu est alors ce qui reste de vie en nous, un couple fait du corps et de l'âme.
On peut aussi parler de mort spirituelle* quand cette part de vie divine n'est plus en nous, non qu'elle soit morte - car l'esprit est éternel - mais c'est nous qui mourrons dans cette dimension quand nos comportements obligent l'esprit à se retirer de nous.
NOUS SOMMES BIEN PLUS QUE DES ANIMAUX
Si les singes peuvent descendre des arbres, nous, nous ne descendons pas des singes, de cet arbre évolutionniste qui veut nous faire croire qu'il n'y a que des évolutions hasardeuses, aveugles et aléatoires comme moteur du vivant* et comme origine de la vie et des espèces...
On peut savoir, par la Bible et l'Esprit de Dieu qui en témoigne en tous chrétiens authentiques (qui l'ont reçu), que nous sommes essentiellement une âme - ce qui se dit psyché (psuké) en grec, d'où tous les mots en psy... construits sur cette racine.
L'âme est décrite comme une émergence du corps à partir du sang, c'est-à-dire apparaissant dès le sein maternel.
C'est le siège psychique ou psychisme dont le premier sommet de conscience important à atteindre est la conscience de soi : la conscience que nous existons en tant qu'entité individuelle, distincte de tout le reste. Ce qu'on appelle le moi ou ego, qui développe de l'autonomie aux plans subtils de la pensée, des émotions, de la volonté, avec une capacité de mémorisation.
On peut observer que par les fonctions de notre corps (physiologique ou biologique) et de l'âme, nous sommes conformés comme les animaux, ce qu'on appelle à notre sujet la vie charnelle ou animal. Non que nous venions d'évolutions des espèces animales, mais parce que Dieu nous a créés issue de la matière (vivifiable et vivifiée), avec la même organisation de base physiologique (corps et âme) que l'animal.
Et là on arrive au coeur de ce que nous sommes, avec la question de Quelle pérennité a l'âme ?
Et là, ce n'est pas parce qu'on parle de l'âme distincte du corps, qu'on peut conclure à ce qu'elle est immortelle.
Certes, on peut le croire - comme tant d'autres choses, des pires mensonges aux vérités en passant par des erreurs ou des demi-vérités).
Cependant Jésus et d'autres écrivains inspirés de la Bible disent que l'âme humaine aussi est mortelle. Par exemple ici : "28Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l'âme; craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne."Matthieu chap. 10.
QUI ENTRE DANS LA MAISON DE DIEU !?
Le chat du quartier n'a pas le droit d'entrer dans ma maison, car même si je le nourris (dehors), je ne l'ai pas adopté au point qu'il soit chez lui chez moi.
Et Dieu fait de la même manière avec nous : Il fait lever son soleil sur les justes et sur les méchants, sans distinction donc au sujet de certaines bénédictions, mais par ailleurs, il peut, par la dimension spirituelle, donner - ou pas - accès dans sa maison, ou simplement nous laisser exister en-dehors.
Et si cela dépend delui, c'st aussi que cela dépend de nous :
1 - Parce qu'il ne va pas nous obliger à vivre éternellement avec lui si nous ne le voulons pas. Comme si je capturais ce chat, me l'appropriant pour l'enfermer dans mon bien, alors même qu'il me montrerait qu'il ne veut pas.
2 - Par contre, son souhait le plus cher et que nous ne restions pas enfermés hors de sa propriété spécifique qui est immense (un royaume), paradisiaque, baigné de son amour, juste et harmonieuse.
Car dans ce monde, vivant le plus clair ou sombre de notre temps trop éloigné de Dieu, on est comme ce chat qui parfois se trouve en bagarre terrible avec un ou deux autres du même territoire. Il y avait aussi un joli rouquin un moment, et puis un jour, disparu ! Passé sous une voiture ?
Empoisonné (comme j'ai vu, par un voisin dont mon chat allait gratter les semis)...
En ce sens Dieu souhaite nous adopter en pleine propriété, et choisir entre nous appartenir à nous-même, pauvre mortel, ou appartenir à Satan dont les démons attendent notre mort (qui récupère les âmes défuntes séparées de Dieu dans l'hadès ou séjour des morts qui est sa prison spirituo-psychique), ou appartenir à Dieu - le souverain qui est amour, justice, pureté, infinités, est une bonne chose à savoir pour avoir une vraie liberté de choix.
3 - On sait les chats ont été créés propres, sachant recouvrir leurs besoins et ne les faisant pas n'importe où quand on leur donne un lieu pour cela.
Alors pour nous, pourvus d'une intelligence non déterminée comme celle du chat mais libre de faire des choix responsables, en connaissance de cause, c'est la même chose : on doit comprendre que pour entrer dans la maison, il faut vouloir en accepter les règles autant qu'en jouir des biens, de la sécurité, de la paix et d'une liberté intérieure qu'on ne trouvent pas ailleurs.
C'est pourquoi nos saletés passées avec leurs effets qui continuent à déformer notre caractère et nos comportements, on doit vouloir les laisser dehors.
4 - Comme il faut montrer "patte blanche" pour entrer dans des lieux sélect, comme il faut des mot de passe pour entrer sur des sites internet, il faut se présenter propre devant la porte de la maison spirituelle de Dieu, et pour cela il faut connaître le protocole, simple mais stricte.
Que voilà :
"Si nous marchons dans la lumière (sans faux-semblant, sans hypocrisie, sans vanité), comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. 8Si nous disons que nous n'avons pas de péché (de fautes morales, de méchanceté, de culpabilité...), nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous.9Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité.10Si nous disons que nous n'avons pas péché, nous le faisons menteur, et sa parole n'est point en nous." 1ère lettre de l'apôtre Jean, chap. 1
IL NOUS FAUT TOURNER CETTE CLÉ
"Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu." 2e lettre aux Corinthiens chap. 5
"C'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.9Ce n'est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie." Lettre aux Ephésiens, chap. 2
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises.20Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées;21mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont conformes au bien selon Dieu." Evangile selon Jean, chap. 3
"Que faut-il que je fasse pour être sauvé ?31Paul et Silas répondirent : Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille." Livre des Actes des Apôtres, chap. 16
Telle est la clé à tourner pour passer de seulement Exister (une existence temporaire aléatoire livrée à un destin fait de forces aussi méconnues qu'imprévisibles) à Être (être vivant par l'Esprit de Dieu dès maintenant et pour une vie sans fin dans le prochain univers annoncé qui suivra celui-ci).
La Bible, un livre souvent écrit
au cœur des tourmentes, des confinements*, scellée par le sang, la souffrance et la foi victorieuse.
Il devient paroles vivantes, lampe et lumière, semence, nourriture, eaux vives, pluie rafraîchissante, marteau, épée, miroir, feu ou puissance, quand il est ouvert et lu ou écouté. Qu'il soit papier ou numérique, jugez vous-même de ces écritures sans compromis au pouvoir surnaturel.
___________________________ * Confinement du peuple de Jacob devenu jusqu'à Moïse esclave en Égypte - de plusieurs prophètes déportés et exilés en Babylonie ou Assyrie - de la nation israélite occupée par l'Empire romain - de 120 disciples entre Pâques et Pentecôte - des apôtres Paul (prisonnier à Rome) ou Jean (exilé sur l'île de Patmos)...
AVEZ-VOUS UNE IDÉE DE CE QU'EST L'ÉVANGILE ?
Du grec evangelion, qui signifie Bonne nouvelle
L'Évangile est la bonne nouvelle, faite de quatre parties très particulières,
- que Dieu (le seul véritable) s'est incarné en prenant forme humaine,
- que cet homme (Jésus) est mort crucifié,
- qu'il est ressuscité d'entre les morts,
- et qu'il va revenir (selon des promesses).
A chacune de ses étapes, il y a une raison (une cause en amont) et un ou des effets (consécutifs). Tout cela peut (et veut, désire) être en rapport direct (étroit, vivant, intime) avec chacun de nous.
Tel est l'essentiel, tenu en suspens dans le temps depuis presque 2 000 ans... à la manière du pompon d'un manège aux chevaux de bois et au camion de pompiers, agité et à attraper pour gagner un nouveau tour.
Avec Dieu le gain possible c'est un super merveilleux nouveau tour: la vie éternelle (notre éternisation) qui nous sort (de la domination) du mal...
Ce projet (rédempteur) divn, se dit avec des mots et des phrases, des pensées, des rapports, des affirmations et promesses qui sont par essence d'un pays (d'un Royaume) étranger - qui est un peu comme la face cachée de la lune, existant dans un autre versant, invisible mais accessible quand même, de ce monde où ne se voit (de prime abord) que ce qui est matériel.
Alors lisons, écoutons, entendons et saisissons ce que sont ces 4 points qui fondent cette Bonne Nouvelle qu'est l'Évangile du Christ.
(Tous les textes en vert sont de ces paroles du Royaume de Dieu, à la fois permanent et en cours de création. Chacune est en lien: par un clic, vous pouvez les retrouver sur la toile avec leurs références bibliques).
Or Dieu seul est à adorer. Nous n'avons pas à adorer, c'est-à-dire à nous prosterner, à nous mettre à genoux de nous-même, devant aucune créature (et à plus forte raison devant une statue): c'est de l'idolâtrie - ce que Dieu abhorre et condamne (> voir les 2 premiers des 10 commandements).
Voilà donc Jésus décrit comme étant un être humain (pleinement), et comme étant Dieu, juste différemment qu'il ne l'était avant son incarnation.
2 - POURQUOI CET HOMME, JÉSUS, EST-IL MORT ?
Il est évident que Dieu ne peut pas mourir - il est vie éternellement. C'est pourquoi il retire de Jésus son Esprit quand celui-ci prend réellement la place de nous tous (êtres pécheurs, séparés de Dieu), quand il est élevé sur une croix.
Dieu le laisse alors comme un simple être humain (physiologique et psychique, ensemble corps et âme privé de la dimension spirituelle, qui est de Dieu).
EFFET POSSIBLE (POTENTIEL) DE LA MORT DE JÉSUS... PAR (LE MOYEN) DE LA FOI
Au moment d'expirer, Jésus dit: "Tout est accompli".
Du côté de Dieu donc, tout est fait pour que nos péchés puissent être pardonnés, pour que notre âme échappe au diable, au séjour des morts post-mortem, et à la perdition éternelle dans l'étang ardent de feu et de soufre (la géhenne ou enfer).
Pour que cette potentialité qui fit dire à Jean-Baptiste voyant Jésus venir à lui "Voici l'Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde" soit activé dans nos vies à chacun, nous avons à y ajouter la foi, notre foi. Notre part est donc de croire en Dieu et de croire en Jésus en tant que ce don unique de Dieu comme Sauveur sacrifié pour notre sauvetage de tout mal.
L'histoire biblique, l'histoire de Jésus et les nôtres ne s'arrêtent pas à ce commencement de la vie de Jésus et de la naissance de l'Église.
Savez-vous que cela peut maintenant encore s'écrire au plus profond de notre être - du vôtre ?
Comment ? En recevant en nous l'Esprit même de Dieu, qui est la vie éternelle, désireux de nous conduire dès ici et en ce temps, jusque dans le Royaume éternel magnifique du Dieu vivant.
Pour vivre donc déjà une vie avec Dieu (qui change fondamentalement tout), et pour connaître (expérimenter de la bonne manière) ce qu'on va voir ensuite, le retour de Jésus, il convient premièrement d'avoir fait la paix avec Dieu par le regret de notre existence passée (qui n'a pas tenu compte de la réalité de Dieu) et par le pardon de nos péchés.
Ce pardon résulte d'un positionnement personnel devant Dieu, fait de regret du mal fait, de la repentance, de la confession à Dieu, et de la réception en retour de l'Esprit de Dieu en nous.
Ici une aide de prière en lien qui permet de vérifier ou de formaliser une vraie relation avec Dieu.
4 - JÉSUS DOIT REVENIR.... TRÈS BIENTÔT...
Que pouvons-nous savoir du retour de Jésus ?
Le Dieu éternel en sa tri-unité a préparé pour ceux qui acceptent humblement d'être ses enfants par la foi, une seconde création qui ne finira jamais, exempte de tout mal, où l'amour régnera entre tous et où la justice sera automatique (comme l'annonce par exemplel'Apocalypse chap. 21.
Enfin retour, 2e venue de Jésus, "très bientôt". C'est une expression de la Bible qui veut dire que Dieu ne tarde pas dans l'accomplissement de ses promesses, et donc que Jésus reviendra au jour et à l'heure que Dieu décrétera.
"très bientôt" veut plus précisément dire, en ces jours de début du 3e millénaire christique, sans plus beaucoup d'années à attendre. En cela Jésus (et autres prophètes) a donné des repères, indiqué des signes précurseurs de son retour. Une recherche et étude très intéressantes... que je vous invite à faire, dans l'amour de la vérité, en vous aidant des moyens (nombreux) que peuvent fournir les librairies chrétiennes et des sites et blogs de l'internet.
Bonne marche sur le chemin qu'est Christ, qui ne mène peut-être pas à Rome, mais bien certainement jusqu'à la "Jérusalem céleste", capitale de la prochaine création.
De là, le fœtus a grandi, est né Jésus (Yeshoua en hébreu, la langue juive) et sa reconnaissance comme "fils du Dieu vivant" par des multitudes au cours des siècles, a fait les nations les plus civilisées et industrieuses (avant que l'abandon de la foi à grande échelle ne laisse la place à des puissances non-chrétiennes... pour un peu de temps, bref délai qui court défini par le prochain retour de Jésus...
Vous pouvez reprendre l'écriture initiale, voir comment elle s'applique pleinement à la venue et ascension de Jésus... comme, si on le veut, au coronavirus. Pourquoi ?
Parce que les deux sont des événements initiés par la même personne et volonté - le Dieu qui est au dessus de tout -, exerçant avec le minuscule covid-19 un jugement planétaire, et avec une incarnation semblable à celle de tous, un moyen de grâce capable de s'étendre à tous les vivants de tous les temps...
Foi salvatrice en Jésus donc, car s'il a donné sa vie pour nous obtenir le droit d'être pardonné de nos fautes par la foi, il est aussi ressuscité, et donc il n'est pas un Dieu mort, mais un Dieu enrichi d'une humanité désormais éternelle.
Bien plus puissante que l'histoire du corona covid-19, cette histoire de comment Dieu s'est fait "germe", créant un spermatozoïde tout nouveau pour l'implanter dans l'utérus d'une jeune fille juive (Marie chez nous).
Deux moyens de changer les trajectoires dangereuses - pour nous - des vies humaines... avant que l'âme ne se retrouve - Ô combien confinée, dans le séjour des morts (Shéol ou Hadès) tenu par les suppôts de Satan.
Que vous reste-t-il donc à faire (si ce n'est fait) pour être sauvé d'une vie dominée par le mal qui s'impose à vous d'une manière ou d'une autre, sauvé d'une perdition éternelle de votre âme ou psychisme (contenant votre moi conscient qui est le cœur de votre personne) ?...
En cliquant ici, un guide pour prier Dieu de manière efficace pour trouver réconciliation et paix avec lui.
Avez-vous entendu dire que "Dieu est amour" ?
Vous m'objecterez : Alors pourquoi les guerres, les malheurs, la souffrance !?
La réponse est simple : A cause de l'usage insensée de la liberté de faire qu'il nous accorde, dont on use sans sagesse... sans lui précisément !
- Et tout ce qui est fait en son nom alors ?
- Usurpation ! Se servir du nom ou de la notion de Dieu pour mal agir est une offense grave à sa personne. C'est un effet d'hommes/femmes religieux, mais pas spirituels - ne pas confondre !
Un autre dira : Moi je crois qu'à ce que je vois !
Là aussi la réponse est simple : Jésus est venu rendre visible Dieu et cet amour qu'il est.
Si vous ne connaissez rien sur la vie de Jésus, cliquez ci-dessous pour lire un ou l'autre des quatre rapports (évangiles) faits de son existence terrestre.
Bien sûr là aussi on peut douter que les textes évangéliques soient fiables, justes, crédibles !
Dans ce cas doutez alors aussi de tout ce que vous savez, de TOUT ce que vous avez appris, par des enseignants, les livres ou autres supports, sur César, Charlemagne, Saint-Louis ou Napoléon ! Quelles preuves de véracité avez-vous ?
Doutez des gaulois, de la bataille d'Alésia, de Charles Martel et de Poitiers, de l'Inquisition, de la guerre de 100 ans ou de 30 ans, de la Révolution française, des deux guerres mondiales, de la Shoah !...
Doutez même des formules mathématiques qu'on vous a fait apprendre par cœur; même que des hommes ont marché sur la lune ou que la terre tourne autour du soleil car vous n'en avez personnellement jamais eu la preuve !
CE PRESQUE INCROYABLE PRINCIPE ET MOTEUR PRIMORDIAL DU VIVANT !
Avez-vous ainsi un jour pris le temps de réaliser que TOUT ce qu'on apprend, ne s'acquiert que... par la foi ! En croyant d'abord !
C'est-à-dire dans une forme de contrat social tacite où vous avez cru que ce qu'on vous enseignait était vrai, crédible, à croire comme argent comptant.
Et donc la foi ou croyance est un principe universel, un des moteurs élémentaires du vivant (l'évolution étant une théorie bien insuffisante pour expliquer ce qu'est la vie)...
Et donc refuser de croire certaine chose possible (voire immédiatement impossible à intégrer à ce qu'on sait déjà) avant d'avoir entendu quelque chose de nouveau, n'est pas une marque d'intelligence, mais un procédé réducteur de nos capacités cognitives, de réflexion et d'acquisition.
LIRE/ENTENDRE POUR SE FAIRE UN JUGEMENT QUI PUISSE TENIR COMPTE DE CE QUI EST VRAI
Aussi je vous invite à choisir ici à lire ou écouter de ce qui a été écrit sur la vie de Jésus - qui est l'amour de Dieu rendu visible au plan terrestre, un temps en chair et en os devant des milliers de personnes, aujourd'hui accessible par des textes... A la suite de quoi il vous appartiendra bien sûr de vous interroger, de réfléchir, de chercher s'il faut croire, ou ne pas croire - ce qui est le second pas qui devrait accompagner nos acquisitions dès lors qu'on a un ou des doutes.
Bonne(s) découverte(s) !
Évangile selon Marc (un des disciples qui n'a pas connu Jésus mais qui a rapporté ce que l'apôtre Pierre notamment lui a transmis) :
Évangile selon Luc (un médecin grec qui n'a pas connu Jésus mais qui a enquêté sur lui - et sur la création de l'Église, auteur donc aussi du livre des Actes des apôtres) ;
Évangile selon Jean (un autre des 12 qui ont vécu plus de trois ans avec Jésus, le temps de son magistère public).
Que ce temps de Noël et fête de fin d'année soit donc pour vous une belle occasion de vous approcher - voire de rencontrer jusque dans votre cœur - l'amour de Dieu. C'est ma prière pour chacun des lecteurs/lectrices qui aura lu jusque là.
On peut vivre longtemps sans une connaissance qui permette une véritable relation avec Dieu.
Ce matin j'ai eu une image: Notre existence sans (le seul vrai) Dieu, c'est comme une machine à écrire du siècle dernier - que ce soit la machine dont les bras se lèvent pour frapper les lettres sur le papier (via un ruban) ou une machine électrique à boules. Alors que l'Existence avec Dieu, c'est comme un ordinateur.
La différence est assez énorme !
C'est en ce sens que l’Évangile nous dit que si nous sommes réellement réconciliés et en paix avec Dieu, nous sommes devenus une "nouvelle créature", une nouvelle "création" de Dieu.
Cela ne vient pas de nous, mais de Dieu, qui a le POUVOIR de faire d'une machine à écrire ancienne un ordinateur plein de capacités nouvelles.
Vous POUVEZ par de telles paroles de la "nouvelle alliance" (conçue, accomplie et offerte par Dieu), comprendre qu'avec Jésus il n'est plus question que la religion soit le moyen qui permette d'entrer en contact avec Dieu - aucune religion ne le permet jamais à cause de notre cœur abîmé, mauvais, impur... -, mais il est question d'être transformé par Dieu - comme d'une chenille il a prévu de pouvoir faire un papillon.
Alors le POUVOIR est à DIEU !?
Bien évidemment, ne serait-ce que par la mort qui est toujours là pour nous convaincre de nos propres limites.
Mais aussi le VOULOIR de notre part, si nous désirons accéder au meilleur pour lequel nous avons été conçus et créés originellement et engendrés un jour.
De la sorte, si nous VOULONS pour nous (par la foi) le bénéfice de la valeur du sacrifice de Jésus - qui est Parole de Dieu incarnée pour nous obtenir auprès de Dieu son Père par sa mort le pardon de nos péchés -, celui-ci va nous donner de son POUVOIR: celui de DEVENIR un enfant adopté, adoptif de Dieu. (lire ou écouter Évangile selon Jean, chap. 1, versets 12 et 13).
Le Dieu créateur des cieux et de la terre le VEUT et le PEUT !
De vous - de notre réponse à chacun - dépend que vous soyez pardonné-e (ou pas) de toutes vos fautes, que vous deveniez (ou pas) fils/fille pour son Royaume éternel (qui est et qui vient).
La Pentecôte arrive ce week-end et lundi prochain.
Comment allez-vous la vivre ? En étranger désintéressé, ou en curieux désireux d'enrichir sa vie par les meilleures connaissances qu'on puisse avoir du Réel ?
La fête de la Pentecôte arrive 50 jours (du grec penta = 5) après la fête de(s) Pâque(s) juive et chrétienne.
De quoi est-on censés se souvenir à ces occasions calendaires ?
A l'origine la Pentecôte s'appelait Chavouoth (en hébreu semaines).
Avec Pessa'h ("la Pâque") et Souccot (qui signifie cabanes ou tabernacles), c'était les 3 principales fêtes instituées par le Dieu de la Bible... l'inventeur du jour de repos hebdomadaire et des jours fériés (jour de vacances, de réjouissances) !
Pensez qu'après plus de 400 années passées en esclavage, le peuple hébreu (israélites ou juifs c'est tout pareil) avait de quoi apprécier que le Dieu de leurs pères génétiques (Abraham, Isaac et Jacob) leur offre un jour de repos par semaine et en plus au total 7 fêtes annuelles ! Rien de plus humain et social en cette époque primitive de civilisation !
Et donc la 1ère de toute les fêtes annuelles était Pessa'h, ce qu'on traduit par la Pâque.
RAPPEL HISTORIQUE SUR L'ORIGINE DE LA PÂQUE
L'apparition de la Pâque est liée à cette fin et sortie de l’esclavage d’Égypte justement.
Pour ce faire, l’Éternel-Dieu avait demandé à chaque famille descendante de Jacob, de badigeonner les montants de leur porte d'entrée de sang pour les garder de l'ange de la mort qui une certaine nuit descendit faire mourir (à cause de l'obstination du Pharaon qui voulait tenir tête à Dieu) tous les petits-nés des humains et des animaux.
La vertu du sang nous apprend la bible, est dans le fait que cette substance est le support physique de l'âme (le moyen de son attache au corps), et que, pour que l'âme d'un coupable ne meurt pas (ne soit pas séparée de son corps, ce qui provoque la mort physique), il faut qu'une autre âme meurt à sa place - en l'occurrence on sacrifiait alors un animal innocent, au sang pur.
Et comme tous les israélites avaient pu ainsi être épargnés puis libérés, dès qu'ils furent hors d’Égypte, Dieu leur dit de faire dès cette libération accomplie un mémorial, une fête du souvenir, qui reprenne ce moyen de protection et de donc de pardon pour quiconque se l'appliqua, que fut le sacrifice d'animaux innocents (on lit ici dans le livre de l'Exode ch. 12).
Cette méthode et ce rituel se perpétuèrent pendant environ 1 400 ans, temps où Jésus paraît comme étant "L'agneau de Dieu qui ôte le péché (le mal) du monde"(Jean 1.29).
Après avoir démontré sa singularité par ses paroles, des guérisons et autres miracles tout à fait inusités, Jésus a effectivement, comme annoncé par avance, l'agneau dans la force de l'âge qu'on mène à la boucherie afin que son sang soit versé pour la rémission (l'expiation, l'effacement, le pardon) des péchés (du mal fait aux autres et des offenses envers Dieu).
Sur les annonces prophétiques qui rendent la crucifixion de Jésus pleine de justice et de sens, on peut lire par exemple Ésaïe ch. 53, le psaume 22, Zacharie 11. 12,13.
Ainsi la fête de la Pâque fut accomplie une toute dernière fois, spiritualisée par Dieu lui-même en la personne de Jésus livré en sacrifice pour le rachat (possible, potentiel) de tous de la main du démon Satan qui, depuis le premier couple humain, s'était rendu souverain de la terre. (Hébreux ch. 2)
RAPPEL HISTORIQUE SUR LA PENTECÔTE
la fête de de la Pentecôte arrive au terme des semaines qui contribuent à la pousse des céréales jusqu'au moment joyeux de la moisson.
Par la suite, la tradition rabbinique a aussi fait judicieusement coïncider cette fête avec le don de la Torah (fondement du judaïsme) à Moïse sur le mont Sinaï.
La Torah ou Loi étant l'ensemble des (613) articles de lois qui forment une véritable Constitution par quoi régler les vies personnelles et en société. Loi dont les 10 commandements ou Paroles sont le noyau central dur, gravés dans la pierre du doigt de Dieu...
Par la suite, là aussi quand le temps en fut venu, une manifestation de Dieu dans la chair humaine (à distinguer d'une manifestation divine en chair de Dieu ou théophanie) la fête de la Pentecôte a été activée par Jésus (Dieu fait homme né de la chair) et spiritualisée pour l’avènement d'une ère et humanité vraiment nouvelles, celle-ci ayant obtenue la vie éternelle de Dieu (éternisation de l'âme par réconciliation et alliance spirituelle avec Dieu).
Ainsi Jésus fut glorifié après sa résurrection et élevé par une ascension céleste, 40 jours après sa mort. Là, partageant le trône éternel de Dieu, il a présidé dans son nouveau corps au don du Saint-Esprit aux hommes. Celui-ci se répandit parmi le genre humain, descendant notamment comme des langues de feu sur 120 disciples de Jésus demeurés dans l'attente de l'accomplissement de cette promesse. (Actes des Apôtres ch. 2)
IMPUISSANCE DES LOIS RELIGIEUSES CONTRE FORCE DU PÉCHÉ
Ainsi ce don qui figure le nouveau mode (d'appropriation) de la justice de Dieu - ce qu'on appelle la grâce, la rédemption, le salut, le rachat... - vint se substituer très favorablement à ce qu'exigeait la Torah ou Loi écrite, c'est-à-dire une obéissance par la force de notre âme (pécheresse, amoindrie, détraquée, imparfaite) à une loi parfaite.
A cette mission impossible, imposée par Dieu pour que chacun se juge objectivement et se trouve immanquablement pécheur/pécheresse, perdu-e car incapable jamais de plaire à Dieu par lui-même, Jésus seul à pu répondre parfaitement pendant tout le temps de son périple terrestre. Par son obéissance parfaite, il a pu nous délivrer des commandements en tant que force extérieure à nous à laquelle il faudrait sans cesse veiller d'obéir, ou sacrifier (des animaux) pour effacer nos fautes.
Ce qui me fait dire qu'aucune religion n'a le pouvoir de faire de nous des gens-bons, car aucune n'a le pouvoir de tuer le cochon... qui est en nous ! Ce que la Bible appelle "la loi du péché".
C'est ainsi que la Nouveau Testament est venu s'ajouter au Tanak (la Bible juive) qui devint l'Ancien Testament. Un lieu d'écritures qui demeure de référence à plus d'un titre, mais qui n'est pas - qui n'a jamais été - le moyen pour obtenir la paix avec Dieu et avec tous nos concitoyens.
Car depuis maintenant bientôt 2 000 ans, c'est seulement par la foi au Fils unique de Dieu vivant, en sa mort sacrificielle, en sa résurrection et en sa capacité de nous sauver d'une perdition psychique éternelle par son Esprit qu'un retour à Dieu s'opère véritablement. Ce qu'on appelle aussi à partir du grec l’Évangile, ce qui signifie "bonne nouvelle" de Jésus-Christ.
UN DÉTAIL CAPITAL
on peut chacun bénéficier de jours fériés ou d'un pont par la grâce des fêtes judéo-chrétiennes. Mais ce n'est là comme bénéfice qu'un verre d'eau d'une rivière ! Dieu a tellement mieux en réserve pour nous. "Le ruisseau de Dieu est plein d'eau" !
Mais il ne nous veut pas seulement des spectateurs d'une scène heureusement vécu par d'autres. Il ne veut pas que nous soyons ce genre d'assistés profiteurs qui veulent bien prendre ou recevoir mais sans jamais s'investir, donner en retour : ils auraient un tellement meilleur bénéfice s'ils entraient dans la dynamique du partage réciproque, des échanges mutuels !
Bref, ici il est question de la vie spirituelle, qui est de la nature ou essence même de Dieu. C'est la vie jusque dans sa dimension éternelle, par opposition à ce qu'on est en tant que corps et âme, doublement mortel : Une première fois dans notre dimension physiologique, quand l'âme se détache du corps. Et une autre fois, si nous ne sommes pas réconciliés avec Dieu, lorsqu'il n'y aura plus pour circonscrire tout ce qui sera resté malqu'un ardent étang de feu et de soufre. Ce qui est "la seconde mort" est-il dit dans l'Apocalypse. La part dernière de ceux qui n'auront pas voulu entrer selon la règle dans le bénéfice de la justice de Dieu. La règle étant de réaliser qu'on a besoin d'être pardonné de nos fautes, de demander ce pardon qui s'obtient par la foi en Celui qui l'a mis à notre portée : Jésus.
Dieu crée ainsi de sa bouche, par son souffle exprimant les paroles de ce qu'il a conçu et de ce que veut sa volonté.
Ce souffle de Jésus est doublé de ce qu'il dit : il est ainsi décomposé en deux temps et réalités pour qu'on comprenne mieux ce qui se fait.
Ce souffle est créateur d'une nouvelle structure de vie en l'homme condamné à mourir à cause du péché. En grec il était parlé par les anciens du logos spermatikos (on pourrait traduire par parole séminale, fécondante). Et dans le Tanak (Bible des juifs) le Messie (pour eux à venir, pour nous déjà venu) est appelé "le germe", c'est-à-dire le cœur d'une semence.
Ainsi Dieu sème, ensemence, engendre en mettant, en enterrant sa vie dans l'humain... qui se réconcilie avec lui. C'est ce que Jésus appelle par ailleurs "naître de nouveau", naître une seconde fois, cette fois-ci par une naissance comme intra-utérine, dans ce monde, pour une manifestation qui ne paraîtra qu'au delà de cette matérialité. Quand ?
Après la fin de ce corps mortel, en rapport avec et pour la création tout autre qui va suivre la fin de celle-ci : le Paradis véritable, qui n'a encore jamais été.
Ainsi Dieu crée encore des êtres humains d'une race totalement à part de ce que produit la naissance physique. Il crée comme on greffe un sillon d'un arbre qu'on veut voir grandir sur un tronc plus vieux d'une autre espèce qui, de ce qu'il est, va devenir tout autre chose.
On fait ainsi par exemple produire un plant de tomate et des tomates à (sur, à la suite)d'un pied d'aubergine.
Le parallèle avec la façon dont la terre est organisée par la médiation des mots prononcés par Dieu est clair (pour qui veut voir - relire Genèse chap. 1). "Car il dit, et la chose arrive ; Il ordonne, et elle existe." Psaume 33.
ÊTES-VOUS NÉ-E DE DIEU ?
C'est la principale question, après la conscience que Dieu existe et que Jésus a été sur la terre ce que la Bible en dit, la plus conséquente de tout votre présent et devenir éternel.
Il faut que vous soyez au clair à ce sujet. Si vous ne voulez pas que toute cette parenthèse d'existence - qui aura essentiellement servi à ce que vous soyez formé-e en tant qu'entité individuelle, qu'un moi, un ego conscient de lui-même - sombre dans une perdition (déconscientisation ou mort sans retour en tant que personne) à jamais.
à suivre...
Prière-guide ici si vous voulez maintenant venir à Dieu pour entrer dans son alliance de paix véritable
3 – SECONDE DES RÉSURRECTIONS COLLECTIVES (CHRONOLOGIQUEMENT LA DERNIÈRE DE TOUTES)
"Faute de connaissance mon peuple dépérit, dit l’Éternel-Dieu." On a compris que pour avoir choisi de suivre des voies injustes (égoïstes, méchantes, cupides, perverses, pernicieuses...) de leurs propres mauvais penchants et/ou de ceux des démons, les personnes réduites par la mort physique à leur dimension psychique (âmes des défunts) qui n'auront pas été de la 1ère résurrection, sont retenues captives dans le séjour des morts (shéol ou hadès)* tenu par Satan qu'on a laissé par nos existences continuer à être le dominateur de la terre et des existences - alors que Jésus l'a dépouillé de toute sa puissance depuis longtemps par sa mort et sa résurrection affirme Bible : "Il (Jésus) a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d'elles par la croix."
Et donc ce n'est que par la foi en ce Christ victorieux pour nous de toutes les forces du mal, que les humains que nous sommes peuvent échapper à une main mise satanique sur nos âmes au delà même de la mort physique.
On comprend la réalité temporaire de cette retenue des âmes désincarnées (qui ne sont pas entrées dans leur possible rédemption) dans le séjour des morts, par divers passages, notamment la parabole de Lazare et du mauvais riche et Apocalypse chap. 20, vers. 13... (On y reviendra).
Cette seconde résurrection collective, c'est qu'à un moment défini par Dieu, chacune de ces âmes est réassociée à son corps ressuscité, misérable, périssable, encore condamnable, c'est-à-dire des corps bien différents et moindres que les corps éternels incorruptibles qu'ont reçu les ressuscités de la première heure.
On lit là que cet événement cosmique sera suivi pour ces ressuscités-là, en vertu de ce que disent ces versets, de deux destinations. a) La prochaine création de Dieu ou Paradis éternel déjà évoqué, pour les personnes dont les noms seront trouvés écrits dans "le livre de vie"... mais qui n'auront pu être de la 1ère résurrection, étant morts après, ou n'ayant pas eu la foi personnelle qui eut été nécessaire pour échapper à ce séjour funeste***...
b) L'autre destination est un "étang ardent de feu et de soufre" (ce qu'on appelle populairement l'enfer), espace initialement conçu par Dieu pour les anges rebelles et impénitents (anges dont la vie éternelle ne peut finir d'elle-même), qui peut devenir la destination finale des humains qui resteront à fonder leur justice (leur justification devant Dieu) sur leurs propres valeurs personnelles et œuvres (ce qui est la façon dont Satan veut nous faire croire que nous pourrons plaire à Dieu). Une illustration (à la fois réalité et préfiguration) sur le fond de cette question se trouve dès les origines avec Abel et Caïn et leurs offrandes.
Mais cette fois encore, ce qui va se passer va dépendre de ce qui précède. Savoir qu'il y a une différence fondamentale entre vouloir se sauver (plaire à Dieu) a) comme Caïn, par soi-même - ce qui est la source de l'humanisme - c'est-à-dire en comptant sur nos propres mérites, par nos œuvres personnelles, notre travail, nos capacités humaines... ou b) plus humblement en réalisant notre misère spirituelle ; que nos œuvres ne sont jamais pures ou assez pures pour nous mettre en relation avec Dieu. En comprenant qu'un Dieu saint ne peut avoir de contact avec un homme ou une femme dont les fautes ne sont pas effacées... Et à partir de cette vue (juste) du Réel selon Dieu, opter pour la foi qui sauve. Celle-ci consistant à croire en Jésus dont - la vie fut une réussite parfaite en notre faveur - au point où il meurt en pouvant dire "Tout est accompli"... pour nous ; - et sa mort fut un sacrifice agréé par Dieu qui dès lors le ressuscita trois jours après. C'est en vertu de cette foi dit la Bible que nous pouvons échapper à la condamnation éternelle qui résulte de notre vie personnelle dont nos actions, paroles et pensées n'auront pas été de valeur suffisante pour nous introduire dans la sphère de la communion avec le Dieu qui est saint...
C'est ainsi, et je le crois. C'est étroit - comme toute vérité -, qui exclut naturellement d'autres résultats (mensonges, demi-vérités ou erreurs). Comme 2 et 3 font 5,00 et rien d'autres (entier ou décimal)...
Et parce qu'il a affronté la mort pour la vaincre - et l'a vaincue, ce qu'est et que prouve sa résurrection -, Jésus a le pouvoir de garder quiconque se confie en lui de ce que la Bible appelle "la seconde mort" ou anéantissement de l'âme - de la conscience - personnelle en enfer.
Ce qu'on appelle communément et parfois bien légèrement l'enfer est donc cette fournaise appelé "étang ardent de feu et de soufre" que figurent très bien à nos yeux et pour notre conscience les volcans en irruption. Imaginez-vous y tombant dedans, être pris dans une coulée de lave incandescente irrépressible !...
Cet étang terrible est en fait l'ultime parade et rempart dressé par Dieu contre "le mal", c'est-à-dire contre tout ce qui refuse obstinément le Bien, avec ses lois-cadres divines, son plan de rédemption (aussi appelée rachat de nos âmes), la trame de ses projets à venir formés pour notre bonheur selon ce qu'il désire partager du meilleur de lui-même et de ses dons : amour, paix, joie, arts, créativité, espaces infinis, éternité, sagesses et toutes sortes de dynamiques de développements sans fin...
Prenez le temps de bien méditer et de vous ouvrir à ces choses pour être persuadé-e qu'on est là face à des vérités capitales, essentielles, immuables, qui vont, comme les lois de la nature commandent les mouvements naturels de l'univers, commander notre - votre - destinée personnelle éternelle. Destinée sur laquelle nous pouvons intervenir par notre attention et foi vis-à-vis de ces choses. Jésus dit un jour - et c'est encore valable aujourd'hui : "Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l'âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne* (nom illustrant un peu ce qu'est le séjour des morts)." Et pour être convaincu-e tout personnellement de la véracité des dires bibliques, demandez directement à Dieu, au Créateur du ciel et de la terre, qu'il vous révèle de manière évidente si cela est la vérité ou pas...
4 - LA RÉSURRECTION (UNIQUE) DE JÉSUS
On peut donc savoir à notre tour les vérités concernant Jésus comme la Bible nous les apporte. Tout comme plusieurs centaines de témoins oculaires qui virent Jésus ressuscité. Tout comme par toute la terre des centaines de millions de chrétiens authentiques** en reçurent et reçoivent encore par l’Esprit-Saint l'attestation intérieure, ce qui déclenche la foi même qui sauve.
Une résurrection toute particulière, unique, où Jésus a reçu, en deux temps, un corps tout nouveau, désormais éternel, dans lequel il vit actuellement sur le trône de Dieu... jusqu’au moment (très proche) où il va revenir déclencher l’enlèvement de ses enfants-disciples en même temps que la 1ère résurrection dont on a parlé.
C‘est cette résurrection unique de Jésus qui est garante de la résurrection et de l’enlèvement de tous ceux qui croient en lui pour échapper au filet du séjour des morts*, et aussi de ceux dont le nom sera trouvé dans le livre de vie***...
UN POINT CRUCIAL DONC Il est à la convergence de a) la connaissance de la mort de Jésus en tant que sacrifice volontaire, ce qui en fait le Sauveur potentiel de tous, et b) de la foi personnelle en lui - qui résulte de la vue objective autant que subjective de notre perdition et insuffisance pour subsister devant Dieu sans sa grâce agissante pour nous. Ce point est appelé "nouvelle naissance", ou naissance spirituelle. C'est la forme de résurrection par laquelle je terminerai cet article.
Ainsi Dieu ne veut pas des gens qui croient par croyance religieuse transmise et héritée et/ou par leurs facultés mentales qu'il existe. Mais il cherche à communiquer de sa propre vie en nous - ce qui nous manque du fait de notre nature déchue et de nos comportements mauvais -, s'alliant ainsi à notre existence pour la transcender et l'éterniser... C'est SA manière de voir et de faire ! A nous de nous y conformer si nous voulons être au mieux au bénéfice de ses créations et de ses intentions.
Il reste donc à voir, peut-être de manière plus déterminante encore, en quoi, dans cet ici-maintenant que nous vivons jour après jour, il est dans le plan bienveillant de Dieu de nous ressusciter de manière individuelle afin que nous échappions à la seconde mort. C'est-à-dire de nous sortir de notre mort à lui (mort spirituelle, de l'esprit en nous, qui fait qu'on est séparés de lui, pas en paix et encore moins en amour avec lui) pour nous rendre plus et mieux vivant, plus complet et achevé... et même éternel...
Si déjà vous avez saisi le message, vous pouvez vous mettre en paix avec Dieu dès maintenant en vous aidant de cette prière-guide (qui vise à faciliter une amorce effective avec le Dieu vivant).
Soyez assoiffé-e de connaître - et de vivre - en vérité...
à suivre ici... ____________________ * Le séjour des morts, qu'aussi la religion a appelé purgatoire et au sujet duquel des trafics ignobles ont été un temps imaginés. Temporaire, il est à distinguer de l'étang ardent qui est l'enfer aux effets éternels (que Jésus appelle aussi la Géhenne pour mieux le figurer. Mot dérivé de Gé-Hinnom (=vallée de Hinnom), l'une des vallées de Jérusalem. Il est probable que dans cette vallée on a adoré Moloch (2Ro 23:10) et même Thammuz, désigné sous le nom de Baal. (2Ch 28:2, Jer 32:35) Le souvenir de ce culte donna un caractère sinistre à ce lieu, et amena Josias à le souiller pour empêcher le retour de ces rites païens (2Ro 23:4-10). Dès lors, le Gé-Hinnom devient la Géhenne, l'endroit où le feu consume les détritus de la ville, les cadavres d'animaux et les corps des suppliciés. Ainsi Géhenne devient synonyme d'enfer. (cf. Mt 5:29).
** Des témoignages de rencontres avec Jésus ressuscité ici - ou là - ou là...
*** Ces rachetés ultimes des ténèbres et de l'emprise satanique auront certainement personnellement à répondre à ce moment-là par oui ou par non à l'offre de salut qui procède de la personne et du sacrifice de Jésus. Ils seront ensuite dépendants comme il est écrit ici : "Au milieu de la place de la ville et entre les deux bras du fleuve se trouvait l'arbre de vie**** qui produit douze récoltes ; il donne son fruit chaque mois et ses feuilles servent à la guérison des nations." De là il est possible (supposition - mais probable puisqu'on est alors là dans ce qui est éternel !) de penser que, se guérissant par cet arbre des conséquences de leurs péchés et de leur incrédulité, ils s'éterniseront à leur tour. Mais il est clair que même un juif qui refuserait sciemment de croire en Jésus comme en son Mashiah rédempteur en se disant que de toute façon, étant juif, il sera sauvé de la perdition éternelle, prendrait, en rejetant Jésus maintenant sans recherche dans l'amour de la vérité, au minimum le gros risque de passer par le sh'eol...
**** arbre de vie : Au commencement l'homme désobéissant (et nous tous à la suite) fut privé d’accéder à la vie éternelle qui résidait dans un tel arbre (Genèse 3) : à la fin, par la rédemption, il semble qu'un tel arbre va permettre par la vertu de ses feuilles aux derniers rescapés de cette humanité de poursuivre l'aventure sans fin initiée par le Créateur... qui est cohérent dans ses plans, sa justice et sa grâce (son amour)...
Yerushaláyim (Jérusalem), fin de la troisième décennie de notre ère. 6ème jour (jour où Dieu créa l'homme).
Salmon – Tu as entendu ce qui se passe du côté de Golgotha !? David – Shalom Salmon ! Qu'est-ce qui se passe à Golgotha ? Salmon – Les romains sont en train de crucifier des brigands. David – Rien de bien nouveau ! Salmon – Quand même ! On arrive à un grand shabbat et les chefs du Sanhédrin (tribunal religieux) seraient à l'origine d'une des mises à mort ! Et ça avait l'air urgent de chez urgent d'après ce que j'ai entendu. Étonnant non !? David – Pour dépendre les corps avant le commencement de la fête. Arrive Moshé tout excité : - Eh David, shalom, il paraît que c'est Jésus qu'on veut crucifier ! Tu sais, celui qui fait des miracles et a de bonnes paroles pour les pauvres. David – Non !? Celui qu'on a vu guérir un paralytique à la piscine de Bethesda ? Moshé – Oui et entends comment ça rouspète du côté de chez Pilate ! Arrive Josh – Jésus a été arrêté cette nuit. Il paraît qu'on est en train de lui donner les 40 coups moins 1 quelque part dans Antonia (Palais du gouverneur romain). Salmon – Aïe ! C'est dur mais au moins il ne sera pas crucifié ! Qu'est-ce qu'il a bien pu faire pour mériter ça ? Moshé – Il n'a pas été tendre avec les prêtres ! Je l'ai entendu les traiter de race de vipères ! David – Le racisme est-il une faute que condamne la Torah (la Loi ou Écritures qui fondent la religion juive) ?! D'ailleurs c'est même pas du raciste ! C'est comme quand il leur aurait dit que leur père c'est le diable. Il paraît qu'il y avait de l'orage dans l'air ce jour-là ! Moshé – Ça a toujours été chaud entre lui et tous ces religieux qui font les beaux par devant, mais dans le fond on ne sait pas tout ce qui se passe !... Salmon – Si tu veux mon avis, c'est tous des hypocrites ; alors que Jésus, je l'ai vu et entendu une fois, c'est un parfait. Il guérit, il chasse les démons, et ses paroles - je sais pas comment dire... elles coulaient dans mon âme comme un miel liquide descend dans la gorge. Un délice ! Josh – Moi j'ai compris pourquoi il était si dur avec les prêtres et les lévites ! Parce qu'en fait ils se donnent pour justice uniquement les articles de la Torah, sans la moindre miséricorde. Et en fait, ils les transgressent, peut-être autant que nous (malgré toute notre bonne volonté). Alors Jésus les traite comme ils font eux-mêmes avec nous, selon la même loi, œil pour œil. Dureté pour dureté. A la différence d'avec ceux qui le suivent, à qui il manifeste de l'attention, de la compréhension... une gentillesse comme j'ai jamais vue. Moshé - Ça ne veut pas dire qu'il méprise la Loi et que pour lui tout le monde il est beau, tout le monde il ira au Paradis ! Moi je l'ai entendu dire à la femme adultère - qu'il a sauvée de la lapidation : Va, et ne pèche plus ! David - Sinon la condition devient pire. Forcément ! Salmon – Tu as raison Josh, et toi aussi Mosh ; je comprends mieux maintenant… Je suis sûr qu'on n'imagine même pas la moitié du quart du sens de ce qu'il dit. Moshé – Moi je connais un peu un apôtre - Jean il s'appelle -, je lui demanderai encore des choses. Salmon – Hey, c'est quoi cette clameur !... Moi j'y vais, je sens qu'il se passe vraiment de drôles de choses ici ce matin…
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Face au mont Golgotha (autrement appelé Lieu du crâne), au nord-ouest de Jérusalem.
Élisée – Il parait que c'est Jésus. Barthélémy – Oui. On le reconnaît même pas tellement ils l'ont massacré. Quels ss… (Il retient sa colère). L'horreur comme j'ai jamais vu… Comment des hommes peuvent-ils faire ça à un autre homme !?... Moi je comprends plus rien. Élisée – Pour comprendre déjà, il faut voir Satan et les démons qui sont derrière tout ça ! Barthélémy - Au fait, je cherchais Pierre ! Tu l'as pas vu ? - Non, pas vu.
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Jésus a été cloué sur le patibulum comme certains clouent une peau de bête sur une porte pour se protéger des mauvais esprits. Une fois les deux bras ficelés, il a été monté en l'air jusqu'à ce que la pièce de bois prenne sa place - dans un sursaut terrible, sur le poteau de la condamnation et du supplice. Jean à Philippe : - Tu crois qu'il nous voit ? - Je sais pas... Je sais pas ce qu'on a fait de mal pour en être arrivé là !?... A côté d'eux Nicodème qui les a entendus cite la parole du prophète Isaïe : - "Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié."
Jean et Philippe ont d'abord sursauté. Philippe a eu un mouvement de recul, presque de répulsion en découvrant à son habit qu'il s'agit d'un des prêtres du Temple. Celui-ci le regarde droit dans les yeux et poursuit sa lecture : - "Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris." - Mais attends Maître, l'interrompt Jean. Que dis-tu là !? D'où tiens-tu ces paroles ? Tu es prophète ? - C'est Isaïe qui a prophétisé il y a 700 ans : "Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie; Et l’Éternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous. Il a été maltraité et opprimé, Et il n’a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, à une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n’a point ouvert la bouche." Les yeux et les oreilles grand ouverts quelques hommes présents ont écouté, comme magnétisés par ces paroles étrangement nouvelles. - Mais, mais j'ai jamais entendu cette écriture dans la synagogue, réagit Philippe ! Tu es sûr ? Et pourquoi n'es-tu pas avec les autres du Sanhédrin, là-bas ? - L’Éternel Adonaï notre Dieu sépara le premier jour la lumière d'avec les ténèbres, après qu'il l'eut prononcé. La lumière est venue mais ils ne l'ont pas reçue. Ils ont préféré rester attachés à leurs œuvres sombres, cachées, que pourtant lui est venu nous rendre visibles, plus encore que les paroles de notre Loi. Jean – Et toi tu as cru que Jésus…!? - Est l'oint de l’Éternel, le fils du Psaume deuxième. Peut-être celui-là même que le prophète annonça encore comme devant naître d'une jeune fille vierge… On le saura bientôt.
- Il a dit quelque chose ! Il a dit quelque chose ! Comme une vague qui roule, un murmure sourd parcourt les rangs épars. - Quoi, quoi ? - Il a dit "Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font." Nicodème – Alors c'est bien lui. Parce qu'instantanément il s'est souvenu de la fin de cette prophétie : " il a intercédé pour les coupables." - Hashem soit loué ! C'est lui ! Son cœur se gonfle comme la voile d'une embarcation qui prend le meilleur des vents. Il n'a jamais été aussi heureux de toute son existence.
Au bout d'un moment où chacun reste tendu vers la croix dans l'attente d'une autre parole, Jean ajoute : - Je le crois aussi… Pierre avait été inspiré par la Rouah du Très-haut quand il avait dit sans la moindre réflexion : - Tu es le fils du Dieu vivant ! Nicodème – C'est cela. On y est les enfants ! C'est notre Mashiah. C'est le Messie de notre peuple. - Mais Maître, réagit Philippe, il est en train de mourir là !? Au même moment une pensée pleine de vie le traverse et il ajoute sur un tout autre ton : - Il va ressusciter ! C'est ça, on va le voir ressusciter !? Comme il a fait avec Lazare à Béthanie ! Oh oui ça va être glorieux ; pour fermer la bouche à tous ces religieux qui n'ont eu que l'endurcissement comme réponse à ses lumières. Pour mettre dehors ses romains qui nous prennent pour des esclaves. - Chuuut ! fait Nicodème. Attendons, et ne risquons pas d'attirer l'attention au détriment du plan de Dieu.
C'est que l'homme connaît la suite du chapitre 53ème d'Isaïe dont il se dit intérieurement la suite : "Il a été enlevé par l’angoisse et le châtiment ; et parmi ceux de sa génération, qui a cru qu’il était retranché de la terre des vivants, et frappé pour les péchés de mon peuple ? On a mis son sépulcre parmi les méchants, son tombeau avec le riche. Quoi qu’il n’eût point commis de violence et qu’il n’y eût point de fraude dans sa bouche. Il a plu à l’Éternel de le briser par la souffrance… Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, Il verra une postérité et prolongera ses jours; et l’œuvre de l’Éternel prospérera entre ses mains. A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards. Par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d’hommes, et il se chargera de leurs iniquités. C’est pourquoi je lui donnerai sa part avec les grands; il partagera le butin avec les puissants. Parce qu’il s’est livré lui-même à la mort, et qu’il a été mis au nombre des malfaiteurs; parce qu’il a porté les péchés de beaucoup d’hommes, et qu’il a intercédé pour les coupables."
Sur la croix, délaissé comme un simple - ou le pire - homme pécheur, Jésus parle à son céleste père : - "Je suis un ver et non un homme, l’opprobre des hommes et le méprisé du peuple. Tous ceux qui me voient se moquent de moi. Ils ouvrent la bouche, secouent la tête : - Recommande-toi à l’Éternel, disent-ils partagés en deux entre la haine et la crainte ! L’Éternel le sauvera, Il le délivrera, puisqu’il l’aime !"
Jésus lutte contre les pensées qui tourbillonnent et s'agitent au-dedans de lui. Il veut revenir à son père. Il veut ne pas se laisser esseulé, enfermé dans la souffrance et l'hystérie qui sévissent jusqu'à perdre le sens de qui il est. Ne pas lâcher la main perdue du père, dont il ne perçoit absolument plus rien : - "Dès le sein maternel j’ai été sous ta garde: dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu. Ne t’éloigne pas de moi quand la détresse est proche, quand personne ne vient à mon secours! De nombreux taureaux sont autour de moi, des taureaux de Basan m’environnent. Ils ouvrent contre moi leur gueule, semblables au lion qui déchire et rugit. Je suis comme de l’eau qui s’écoule, et tous mes os se séparent. Mon cœur est comme de la cire, Il se fond dans mes entrailles. Ma force se dessèche comme l’argile, et ma langue s’attache à mon palais. Tu me réduis à la poussière de la mort. Car des chiens m’environnent, une bande de scélérats rôdent autour de moi. Ils ont percé mes mains et mes pieds. Je pourrais compter tous mes os. Eux, ils observent, ils me regardent; ils se partagent mes vêtements, ils tirent au sort ma tunique."
Que de paroles, d'injustices (dont l'infidélité, les mensonges), de comportements qui sabordent un couple pourtant initialement uni, parfois avec des enfants, et tout qui peut s'enchaîner : perte d'emploi ou faillite d'une entreprise (démotivation, déprime), plus de logement... ! Drame avec quelqu'un qu'on voudrait aimer, mais qui le rend impossible par ce qu'il ou elle est, ou parce que faisant sans cesse ce qui est trop injuste. Ou encore à l'inverse, quelqu'un qui a voulu nous aimer mais a dû abandonner à cause de notre fichu caractère ou de telle lubie dont on ne veut ou peut se départir !...
Alors, est-ce qu'on va continuer encore et encore, sans intelligence, sans vraie réflexion, sans chercher la bonne solution... ou en la refusant encore si on en a déjà entendu parler ?
Il s'agit que nous devenions des êtres libres ! Pas comme les idoles construites pour nous faire rêver de travers et tomber comme elles tombent ! Elles ne sont pas libres, mais plutôt forçats oui (d'emploi du temps, trop vide ou trop bien rempli, qu'ils ne maîtrisent pas, de la facilité d'accès aux sexes, et à l'alcool ou à la drogue, de médicaments...). Mais voilà ! Pour devenir libre et apaisé le mieux possible, sont nécessaires une connaissance minimale de Dieu, de ses pouvoirs et des rapports mutuels qui peuvent s'établir entre lui et nous. Il faut savoir en quoi Jésus s'est fait, en pleine conscience, "forçat de l'amour" de Dieu ! En quoi il a choisi comme personne de "mourir d'amour enchaîné" !
JÉSUS, FORÇAT DE L'AMOUR, ESCLAVE DE LA JUSTICE. Avez-vous déjà vu la vie et la mort de Jésus de cette manière-là ? Rien n'est plus juste, et rien n'est plus haut en matière d'amour et de don de soi. Bien sûr qu'on ne parle pas là d'amour en tant que jouissance (physique ou même psychique) qu'on cherche à se donner, qu'on prend, voire qu'on vole, qu'on arrache, pour soi-même ! S'agissant de l'amour altruiste qui est le propre de la nature de Dieu, je parle là maintenant de l'amour manifesté par Dieu et par Jésus en notre faveur, à notre avantage.
Cela s'est passé quand l'humanité est parvenue à un stade de non-retour, il y a 2 000 ans. L'empire romain s'était alors déjà étendu au point où plus rien sur la terre ne pouvait et ne pourrait l'empêcher de devenir au fil du temps le premier gouvernement mondial ! Les israélites (juifs) en tant que peuple unique mis à part par Dieu pour contrer les puissances démoniaques et Satan, étaient tombés sous cette botte romaine à cause de leurs fautes non pardonnées (injustices, idolâtrie, désobéissances...). Derrière cet empire et les césars qui vont se succéder, Satan et ses légions d'anges déchus. Leur finalité : parvenir à un contrôle sans fin (éternel si l'humanité se perpétue éternellement) de tout le genre humain. Souveraineté que Dieu devra leur consentir si effectivement un jour plus aucun humain ne se soucie plus du Dieu véritable et de ses paroles, directives, conseils... On est là commeau temps de Noé, où l'humanité qui s'était corrompue avec les démons (appelés aussi fils de Dieu) est condamnée, qui ne sera sauvée que par le concours de Noé et sa famille, en tout huit personnes.
Il y a 2 000 ans donc, à l'exception d'une poignée de personnes sans force... que leur foi, tous se sont soumis à des faux-dieux - César s'est imposé comme Dieu sur terre - ; à d'autres idoles de bois, de pierre ou de fer ; à des trafics où la valeur de l'argent l'emporte sur l'équité et le respect des personnes. Les responsables de la religion donnée aux israélites sur le mont Sinaï sont des orgueilleux et des fourbes privés de discernement spirituel, dont "le père est le diable", leur dira Jésus.
La Bible nous révèle qu'à cette heure, il y a par toute la terre, fidèles à Dieu, capables de l'entendre parler et d'obéir à sa voix, au moins quatre personnes ! Un vieil homme nommé Siméon, une très vieille veuve nommée Anne, une jeune fille nommée Marie, et son fiancé qui va suivre le mouvement : Joseph. Un mince cordon tressé de vies attachées par la foi à Dieu, dont il sait bien qu'il ne peut rien attendre de durable. Sauf, sauf à lui permettre de jouer une carte unique, son ultime carte, son va-tout, qui consiste à s'incarner lui-même dans un corps pleinement humain !
Ainsi paraît Jésus, qui grandit jusqu'à pouvoir affronter dans un désert, et ne pas succomber à Satan, le diable en personne, alors qu'il a 30 ans. A partir de là, il peut déployer sa force divine auprès de ses désormais semblables qu'il trouve en piteux état sous la puissance de maux divers. Dans son amour pour le genre humain qu'il vient défendre, il touche des lépreux pour les purifier, il rappelle des morts à cette vie. Et puis, dans la force et volonté de cet amour, il va jusqu'à donner sa vie pour le sauvetage du genre humain... sans que personne ne s'en doute. Sans ce sacrifice, tous les vivants seraient et resteraient aujourd'hui encore esclaves absolus de la puissance angélique dévoyée... si encore l'humanité n'avait pas déjà été anéantie.
JÉSUS MEURT D'AMOUR ENCHAINÉ Jésus a donc choisi et décidé de se laisser faire prisonnier de l'amour et de la justice de Dieu, celle-ci réclamant la vie d'un juste pour payer à la place de tous les coupables qui n'ont pas les moyens pour se sauver eux-mêmes. C'est toute la terrible et Bonne Nouvelle qu'est l’Évangile ou venue et œuvre rédemptrices opérées par Jésus, devenu ainsi Seigneur sans égal. Lisons dans la Bible :
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.