Voulez-vous écouter des Psaumes ?
En cliquant > ici <. Vous avez le choix entre deux voix...
Soyez-béni-e, et priez, aidé par le guide > ici < si vous en ressentez le besoin.
Dieu existe ; il est vivant, et attend que nous venions à lui pour trouver un refuge contre les épreuves... et la vie éternelle.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu."
Évangile selon Jean, chap. 3, vers. 16,18
Pour écouter (casque à gauche du titre) avec le plus grand bénéfice, attendez-vous à rencontrer (lire ou écouter) une parole que Dieu vous adresse, à vous personnellement, selon qu'il vous connaît et veut vous le démontrer.
(En plus de lire ou écouter, vous pouvez accéder aux textes originaux :
cliquez sur le verset, ce qui fait apparaître une fenêtre sur la droite;
cliquez sur Hébreu/Grec,
puis sur le nombre qui suit le mot dont vous voulez connaître le sens le plus complet. Cela ouvre la fenêtre du mot et de sa définition).
Avez-vous entendu dire que "Dieu est amour" ?
Vous m'objecterez : Alors pourquoi les guerres, les malheurs, la souffrance !?
La réponse est simple : A cause de l'usage insensée de la liberté de faire qu'il nous accorde, dont on use sans sagesse... sans lui précisément !
- Et tout ce qui est fait en son nom alors ?
- Usurpation ! Se servir du nom ou de la notion de Dieu pour mal agir est une offense grave à sa personne. C'est un effet d'hommes/femmes religieux, mais pas spirituels - ne pas confondre !
Un autre dira : Moi je crois qu'à ce que je vois !
Là aussi la réponse est simple : Jésus est venu rendre visible Dieu et cet amour qu'il est.
Si vous ne connaissez rien sur la vie de Jésus, cliquez ci-dessous pour lire un ou l'autre des quatre rapports (évangiles) faits de son existence terrestre.
Bien sûr là aussi on peut douter que les textes évangéliques soient fiables, justes, crédibles !
Dans ce cas doutez alors aussi de tout ce que vous savez, de TOUT ce que vous avez appris, par des enseignants, les livres ou autres supports, sur César, Charlemagne, Saint-Louis ou Napoléon ! Quelles preuves de véracité avez-vous ?
Doutez des gaulois, de la bataille d'Alésia, de Charles Martel et de Poitiers, de l'Inquisition, de la guerre de 100 ans ou de 30 ans, de la Révolution française, des deux guerres mondiales, de la Shoah !...
Doutez même des formules mathématiques qu'on vous a fait apprendre par cœur; même que des hommes ont marché sur la lune ou que la terre tourne autour du soleil car vous n'en avez personnellement jamais eu la preuve !
CE PRESQUE INCROYABLE PRINCIPE ET MOTEUR PRIMORDIAL DU VIVANT !
Avez-vous ainsi un jour pris le temps de réaliser que TOUT ce qu'on apprend, ne s'acquiert que... par la foi ! En croyant d'abord !
C'est-à-dire dans une forme de contrat social tacite où vous avez cru que ce qu'on vous enseignait était vrai, crédible, à croire comme argent comptant.
Et donc la foi ou croyance est un principe universel, un des moteurs élémentaires du vivant (l'évolution étant une théorie bien insuffisante pour expliquer ce qu'est la vie)...
Et donc refuser de croire certaine chose possible (voire immédiatement impossible à intégrer à ce qu'on sait déjà) avant d'avoir entendu quelque chose de nouveau, n'est pas une marque d'intelligence, mais un procédé réducteur de nos capacités cognitives, de réflexion et d'acquisition.
LIRE/ENTENDRE POUR SE FAIRE UN JUGEMENT QUI PUISSE TENIR COMPTE DE CE QUI EST VRAI
Aussi je vous invite à choisir ici à lire ou écouter de ce qui a été écrit sur la vie de Jésus - qui est l'amour de Dieu rendu visible au plan terrestre, un temps en chair et en os devant des milliers de personnes, aujourd'hui accessible par des textes... A la suite de quoi il vous appartiendra bien sûr de vous interroger, de réfléchir, de chercher s'il faut croire, ou ne pas croire - ce qui est le second pas qui devrait accompagner nos acquisitions dès lors qu'on a un ou des doutes.
Bonne(s) découverte(s) !
Évangile selon Marc (un des disciples qui n'a pas connu Jésus mais qui a rapporté ce que l'apôtre Pierre notamment lui a transmis) :
Évangile selon Luc (un médecin grec qui n'a pas connu Jésus mais qui a enquêté sur lui - et sur la création de l'Église, auteur donc aussi du livre des Actes des apôtres) ;
Évangile selon Jean (un autre des 12 qui ont vécu plus de trois ans avec Jésus, le temps de son magistère public).
Que ce temps de Noël et fête de fin d'année soit donc pour vous une belle occasion de vous approcher - voire de rencontrer jusque dans votre cœur - l'amour de Dieu. C'est ma prière pour chacun des lecteurs/lectrices qui aura lu jusque là.
Avez-vous déjà suffisamment aperçu que nous sommes, bien plus qu'un corps avec un cerveau,
une âme (aux attributs psychiques subjectifs), voire un esprit (dont l'objectivité écoutée éclaire notre conscience comme nos choix) ?
Mal à avancer !? À comprendre ce qui vous arrive, ce qu'on vit ; à se défaire d'une situation problématique... Allez vers les psaumes !
Une solution aux effets parfois bien surprenants, car Dieu parle, et la Bible est un recueil de Ses Paroles qui peuvent avoir du sens et de l'effet pour n'importe qui d'entre nous, à n'importe quelle époque ou moment de notre existence.
Ainsi on trouve parmi les psaumes des paroles qui nous correspondent, qui peuvent devenir notre prière, être une amorce pour que nous apprenions à mieux nous connaître, à parler à Dieu, à entrer dans une relation de confiance avec lui.
Et cela dans la foi qu'il nous connaît déjà et qu'il nous entend - et même qu'il nous attend. Qu'on a du prix à ses yeux, malgré bien des égarements dont il désire nous libérer.
Alors commencez si vous ne l'avez jamais fait : Parlez au grand Dieu créateur de l'univers ! Dans cette idée modeste et audacieuse à la fois, que si nous le cherchons, si nous cherchons ce qui nous sépare de nous, il envoie sa lumière et se laisse trouver par nous.
Il suffit pour lire ou écouter (en cliquant ensuite sur la gauche) de cliquer sur tel ou tel nombre choisi.
Les psaumes sont souvent des prières, des paroles adressées au Dieu-Éternel qui peuvent devenir les nôtres.
En effet, l'être humain ne change pas, fondamentalement. On a toujours les mêmes problèmes, les mêmes besoins, les mêmes appuis véritables à trouver pour traverser les hauts et surtout les bas du temps et des événements qui participent à notre existence terrestre, et à sa fin.
En faisant nôtres certains de ces textes, nous pouvons nous placer au bénéfice des réponses qui viennent en retour des cieux spirituels. Car Dieu entend les paroles de tous les humains qui s'adressent à lui avec foi, avec intégrité, avec une saine curiosité ou à cause de quelque besoin véritable.
Comme notre propre présent, le passé de nos ascendants n'a certainement pas toujours était nickel ! Et nous en supportons des conséquences parfois bien dramatiques... Alors apprenons à mieux voir ce qui est..
Si les psy ne sont pas sans savoir que peuvent exister des rapports étroits entre des problèmes personnels et l'hérédité, ils n'ont pas pour autant la connaissance (la compétence spirituelle, la liberté intérieure, la foi nécessaire...) pour aller au fond de la question. D'où des solutions bancales, dérivatives... qui peuvent ajouter au mal plutôt que le réduire.
Bien sûr nombre d'incroyants et autres ont pris au message évangélique certains de ses éléments fondamentaux (réformateurs, révolutionnaires il y a 2 000 ans et toujours aussi puissants aujourd'hui), comme la confession (qui est devenue : parler, se dire à l'autre, trouver une oreille qui écoute) ; le pardon (devenu le lâcher-prise pour se libérer) ; la foi (devenue confiance en soi, positiver...) ; etc. Mais sans la vie même (= la personne) qui est à l'origine de la formulation de ces moyens libérateurs, on est comme avec la moitié ou les deux tiers d'un billet de 500 euros ! Qu'est-ce qu'il vaut d'après vous !?...
Ici la question est abordée au fond. À vous de savoir vous reconnaître en quelque chose de sensible et à vous intégrer en conscience dans ce réel jusqu'à trouver dans la foi véritable une vraie et durable libération de votre personne. Prenez soin de noter ce que vous repérez qui vous concerne, car cela vous aidera à en obtenir la délivrance avec le dernier article de la série.
Vous avez pu voir jusque là que je fonde mes affirmations sur les dires bibliques - qui englobent les paroles de Jésus. Ni donc sur une vue personnelle imaginée du Réel, ni sur des écrits (innombrables) qui ne concordent pas suffisant avec le message christique (évangélique) telle que toute la Bible nous le met à disposition.
En science des hommes cherchent une modélisation (représentation, explication, schéma) du réel mesurable. Elle vise à en inclut toutes les lois et mouvements (en laissant le moins possible d'"anomalies" qui ne collent pas avec ses propositions, car ce sont elles qui démontrent l'insuffisance de notre compréhension et modèle imaginé).
De la même manière, il y a, concernant nos dimensions psychique et spirituelle (ce qui touche à ce qu'il y a de plus essentiel de nous-même), des hommes qui ont été au service du Créateur pour recevoir les bases de la compréhension de la vie et de nos existences, ce qui a donné la Bible.
C'est cette somme de données que je prends pour argent comptant, pour valeur sûre, pour transmission sécurisée, pour parole vivifiante, car elle répond mieux que tout autres, avec l'Esprit Divin qui en est l'inspirateur et le révélateur, à mes besoins immédiats de connaissances (essentielles et existentielles), de sens, de paix, de bienveillance, de biens divers, et encore à mes attentes et/ou espérance les plus profondes (pour le présent monde et pour notre devenir sans fin)... sans laisser d'"anomalies" hors de ses lignes directrices.
Si vous préférez un autre ouvrage, une autre idéologie ou trame religieuse, il y a du choix. Mais ne nous contentons pas d'adhérer innocemment à une vue des choses parce que c'est une tradition dont on a héritée ; ou parce que nos parents ou d'autres avant vous ou à côté de vous ont cru ou croient comme ça. Voyez de manière responsable en quoi vous croyez dans ce qui est le plus juste selon ce qui est, et le plus éclairant selon ce qui se déroule jour après jour en nous et alentour, et jusqu'en éternité...
Et voilà qu'ici on est arrivés au point où Jésus vint révéler que nous devons naître de Dieu si nous voulons être de son Royaume et de son éternité...
5 – LA RÉSURRECTION SPIRITUELLE INTÉRIEURE OU "NOUVELLE NAISSANCE"
Lorsqu'on vient à Christ comme au Sauveur, on réalise qu’on a besoin de lui
- pour que nos péchés soient pardonnés,
- pour que notre âme soit délivrée de diverses contraintes (physiques à démoniaques) et
- sauvée au delà de la mort corporelle, en ne vivant pas celle-ci comme un drame mais comme un passage et accès à Dieu.
C'est dans cette foi qu'on échappe aussi à la seconde mort dont on a traitée précédemment.
Quand cette démarche est sincère, authentiquement humble (voire se passe dans l’humiliation), on reçoit de Dieu sa vie, c’est-à-dire le don de son Esprit (dans un premier temps sous forme d’arrhes).
Cela s’appelle nouvelle naissance ou naître de nouveau.
Ce qui fait de nous non seulement un croyant, mais en réalité une nouvelle créature – de la même manière qu'un papillon préexistant mais non automatiquement advenu se forme dans une chrysalide à partir d'une chenille. (La chrysalide figure alors le temps qui nous reste à vivre sur terre après notre résurrection intérieure)… Selon cette image on peut dire que tous les êtres naissant comme des chenilles, ne parviendront pas fatalement au stade de papillon...
La nouvelle naissance est une résurrection en ce sens que spirituellement on était mort, et par la foi on reçoit à nouveau de Dieu (de) son Esprit qui est vie éternelle. Par cette alliance, nous devenons enfant de Dieu, pour partager ses biens - dont l'amour permanent (qu'il est et communique) - et son éternité.
Cela n'a rien à voir avec des pratiques religieuses sur lesquelles on s'appuie dans l'espoir d'être méritant pour pouvoir être sauvé, où c'est par notre âme et non par l'Esprit issu de Dieu qu'on s'évertue et qu'on espère - avec plein de fautes, d'injustices, d'insuffisances et/ou de de faussetés - plaire à Dieu. Lire éventuellement EsaÎe 64.6.
Ainsi, aussi simplement que le disait Tertullien au IIe siècle : "On ne naît pas chrétien, on le devient." Et un chrétien n'est pas quelqu'un qui devient religieux pour suivre une règle religieuse ou une autre qui va le sauver à cause de ses forces mises au service de sa nouvelle foi. Mais quelqu'un qui, à partir des écritures bibliques (et ce qui s'accorde avec elles), va suivre Christ en "nouveauté de vie"...
3 – SECONDE DES RÉSURRECTIONS COLLECTIVES (CHRONOLOGIQUEMENT LA DERNIÈRE DE TOUTES)
"Faute de connaissance mon peuple dépérit, dit l’Éternel-Dieu." On a compris que pour avoir choisi de suivre des voies injustes (égoïstes, méchantes, cupides, perverses, pernicieuses...) de leurs propres mauvais penchants et/ou de ceux des démons, les personnes réduites par la mort physique à leur dimension psychique (âmes des défunts) qui n'auront pas été de la 1ère résurrection, sont retenues captives dans le séjour des morts (shéol ou hadès)* tenu par Satan qu'on a laissé par nos existences continuer à être le dominateur de la terre et des existences - alors que Jésus l'a dépouillé de toute sa puissance depuis longtemps par sa mort et sa résurrection affirme Bible : "Il (Jésus) a dépouillé les dominations et les autorités, et les a livrées publiquement en spectacle, en triomphant d'elles par la croix."
Et donc ce n'est que par la foi en ce Christ victorieux pour nous de toutes les forces du mal, que les humains que nous sommes peuvent échapper à une main mise satanique sur nos âmes au delà même de la mort physique.
On comprend la réalité temporaire de cette retenue des âmes désincarnées (qui ne sont pas entrées dans leur possible rédemption) dans le séjour des morts, par divers passages, notamment la parabole de Lazare et du mauvais riche et Apocalypse chap. 20, vers. 13... (On y reviendra).
Cette seconde résurrection collective, c'est qu'à un moment défini par Dieu, chacune de ces âmes est réassociée à son corps ressuscité, misérable, périssable, encore condamnable, c'est-à-dire des corps bien différents et moindres que les corps éternels incorruptibles qu'ont reçu les ressuscités de la première heure.
On lit là que cet événement cosmique sera suivi pour ces ressuscités-là, en vertu de ce que disent ces versets, de deux destinations. a) La prochaine création de Dieu ou Paradis éternel déjà évoqué, pour les personnes dont les noms seront trouvés écrits dans "le livre de vie"... mais qui n'auront pu être de la 1ère résurrection, étant morts après, ou n'ayant pas eu la foi personnelle qui eut été nécessaire pour échapper à ce séjour funeste***...
b) L'autre destination est un "étang ardent de feu et de soufre" (ce qu'on appelle populairement l'enfer), espace initialement conçu par Dieu pour les anges rebelles et impénitents (anges dont la vie éternelle ne peut finir d'elle-même), qui peut devenir la destination finale des humains qui resteront à fonder leur justice (leur justification devant Dieu) sur leurs propres valeurs personnelles et œuvres (ce qui est la façon dont Satan veut nous faire croire que nous pourrons plaire à Dieu). Une illustration (à la fois réalité et préfiguration) sur le fond de cette question se trouve dès les origines avec Abel et Caïn et leurs offrandes.
Mais cette fois encore, ce qui va se passer va dépendre de ce qui précède. Savoir qu'il y a une différence fondamentale entre vouloir se sauver (plaire à Dieu) a) comme Caïn, par soi-même - ce qui est la source de l'humanisme - c'est-à-dire en comptant sur nos propres mérites, par nos œuvres personnelles, notre travail, nos capacités humaines... ou b) plus humblement en réalisant notre misère spirituelle ; que nos œuvres ne sont jamais pures ou assez pures pour nous mettre en relation avec Dieu. En comprenant qu'un Dieu saint ne peut avoir de contact avec un homme ou une femme dont les fautes ne sont pas effacées... Et à partir de cette vue (juste) du Réel selon Dieu, opter pour la foi qui sauve. Celle-ci consistant à croire en Jésus dont - la vie fut une réussite parfaite en notre faveur - au point où il meurt en pouvant dire "Tout est accompli"... pour nous ; - et sa mort fut un sacrifice agréé par Dieu qui dès lors le ressuscita trois jours après. C'est en vertu de cette foi dit la Bible que nous pouvons échapper à la condamnation éternelle qui résulte de notre vie personnelle dont nos actions, paroles et pensées n'auront pas été de valeur suffisante pour nous introduire dans la sphère de la communion avec le Dieu qui est saint...
C'est ainsi, et je le crois. C'est étroit - comme toute vérité -, qui exclut naturellement d'autres résultats (mensonges, demi-vérités ou erreurs). Comme 2 et 3 font 5,00 et rien d'autres (entier ou décimal)...
Et parce qu'il a affronté la mort pour la vaincre - et l'a vaincue, ce qu'est et que prouve sa résurrection -, Jésus a le pouvoir de garder quiconque se confie en lui de ce que la Bible appelle "la seconde mort" ou anéantissement de l'âme - de la conscience - personnelle en enfer.
Ce qu'on appelle communément et parfois bien légèrement l'enfer est donc cette fournaise appelé "étang ardent de feu et de soufre" que figurent très bien à nos yeux et pour notre conscience les volcans en irruption. Imaginez-vous y tombant dedans, être pris dans une coulée de lave incandescente irrépressible !...
Cet étang terrible est en fait l'ultime parade et rempart dressé par Dieu contre "le mal", c'est-à-dire contre tout ce qui refuse obstinément le Bien, avec ses lois-cadres divines, son plan de rédemption (aussi appelée rachat de nos âmes), la trame de ses projets à venir formés pour notre bonheur selon ce qu'il désire partager du meilleur de lui-même et de ses dons : amour, paix, joie, arts, créativité, espaces infinis, éternité, sagesses et toutes sortes de dynamiques de développements sans fin...
Prenez le temps de bien méditer et de vous ouvrir à ces choses pour être persuadé-e qu'on est là face à des vérités capitales, essentielles, immuables, qui vont, comme les lois de la nature commandent les mouvements naturels de l'univers, commander notre - votre - destinée personnelle éternelle. Destinée sur laquelle nous pouvons intervenir par notre attention et foi vis-à-vis de ces choses. Jésus dit un jour - et c'est encore valable aujourd'hui : "Ne craignez pas ceux qui tuent le corps et qui ne peuvent tuer l'âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne* (nom illustrant un peu ce qu'est le séjour des morts)." Et pour être convaincu-e tout personnellement de la véracité des dires bibliques, demandez directement à Dieu, au Créateur du ciel et de la terre, qu'il vous révèle de manière évidente si cela est la vérité ou pas...
4 - LA RÉSURRECTION (UNIQUE) DE JÉSUS
On peut donc savoir à notre tour les vérités concernant Jésus comme la Bible nous les apporte. Tout comme plusieurs centaines de témoins oculaires qui virent Jésus ressuscité. Tout comme par toute la terre des centaines de millions de chrétiens authentiques** en reçurent et reçoivent encore par l’Esprit-Saint l'attestation intérieure, ce qui déclenche la foi même qui sauve.
Une résurrection toute particulière, unique, où Jésus a reçu, en deux temps, un corps tout nouveau, désormais éternel, dans lequel il vit actuellement sur le trône de Dieu... jusqu’au moment (très proche) où il va revenir déclencher l’enlèvement de ses enfants-disciples en même temps que la 1ère résurrection dont on a parlé.
C‘est cette résurrection unique de Jésus qui est garante de la résurrection et de l’enlèvement de tous ceux qui croient en lui pour échapper au filet du séjour des morts*, et aussi de ceux dont le nom sera trouvé dans le livre de vie***...
UN POINT CRUCIAL DONC Il est à la convergence de a) la connaissance de la mort de Jésus en tant que sacrifice volontaire, ce qui en fait le Sauveur potentiel de tous, et b) de la foi personnelle en lui - qui résulte de la vue objective autant que subjective de notre perdition et insuffisance pour subsister devant Dieu sans sa grâce agissante pour nous. Ce point est appelé "nouvelle naissance", ou naissance spirituelle. C'est la forme de résurrection par laquelle je terminerai cet article.
Ainsi Dieu ne veut pas des gens qui croient par croyance religieuse transmise et héritée et/ou par leurs facultés mentales qu'il existe. Mais il cherche à communiquer de sa propre vie en nous - ce qui nous manque du fait de notre nature déchue et de nos comportements mauvais -, s'alliant ainsi à notre existence pour la transcender et l'éterniser... C'est SA manière de voir et de faire ! A nous de nous y conformer si nous voulons être au mieux au bénéfice de ses créations et de ses intentions.
Il reste donc à voir, peut-être de manière plus déterminante encore, en quoi, dans cet ici-maintenant que nous vivons jour après jour, il est dans le plan bienveillant de Dieu de nous ressusciter de manière individuelle afin que nous échappions à la seconde mort. C'est-à-dire de nous sortir de notre mort à lui (mort spirituelle, de l'esprit en nous, qui fait qu'on est séparés de lui, pas en paix et encore moins en amour avec lui) pour nous rendre plus et mieux vivant, plus complet et achevé... et même éternel...
Si déjà vous avez saisi le message, vous pouvez vous mettre en paix avec Dieu dès maintenant en vous aidant de cette prière-guide (qui vise à faciliter une amorce effective avec le Dieu vivant).
Soyez assoiffé-e de connaître - et de vivre - en vérité...
à suivre ici... ____________________ * Le séjour des morts, qu'aussi la religion a appelé purgatoire et au sujet duquel des trafics ignobles ont été un temps imaginés. Temporaire, il est à distinguer de l'étang ardent qui est l'enfer aux effets éternels (que Jésus appelle aussi la Géhenne pour mieux le figurer. Mot dérivé de Gé-Hinnom (=vallée de Hinnom), l'une des vallées de Jérusalem. Il est probable que dans cette vallée on a adoré Moloch (2Ro 23:10) et même Thammuz, désigné sous le nom de Baal. (2Ch 28:2, Jer 32:35) Le souvenir de ce culte donna un caractère sinistre à ce lieu, et amena Josias à le souiller pour empêcher le retour de ces rites païens (2Ro 23:4-10). Dès lors, le Gé-Hinnom devient la Géhenne, l'endroit où le feu consume les détritus de la ville, les cadavres d'animaux et les corps des suppliciés. Ainsi Géhenne devient synonyme d'enfer. (cf. Mt 5:29).
** Des témoignages de rencontres avec Jésus ressuscité ici - ou là - ou là...
*** Ces rachetés ultimes des ténèbres et de l'emprise satanique auront certainement personnellement à répondre à ce moment-là par oui ou par non à l'offre de salut qui procède de la personne et du sacrifice de Jésus. Ils seront ensuite dépendants comme il est écrit ici : "Au milieu de la place de la ville et entre les deux bras du fleuve se trouvait l'arbre de vie**** qui produit douze récoltes ; il donne son fruit chaque mois et ses feuilles servent à la guérison des nations." De là il est possible (supposition - mais probable puisqu'on est alors là dans ce qui est éternel !) de penser que, se guérissant par cet arbre des conséquences de leurs péchés et de leur incrédulité, ils s'éterniseront à leur tour. Mais il est clair que même un juif qui refuserait sciemment de croire en Jésus comme en son Mashiah rédempteur en se disant que de toute façon, étant juif, il sera sauvé de la perdition éternelle, prendrait, en rejetant Jésus maintenant sans recherche dans l'amour de la vérité, au minimum le gros risque de passer par le sh'eol...
**** arbre de vie : Au commencement l'homme désobéissant (et nous tous à la suite) fut privé d’accéder à la vie éternelle qui résidait dans un tel arbre (Genèse 3) : à la fin, par la rédemption, il semble qu'un tel arbre va permettre par la vertu de ses feuilles aux derniers rescapés de cette humanité de poursuivre l'aventure sans fin initiée par le Créateur... qui est cohérent dans ses plans, sa justice et sa grâce (son amour)...
Les dernières actualités nous interpellent étrangement au sujet de notre perception (qui peut être réaliste ou controuvée) de la mort.
Il y avait eu l'automne dernier le "spectacle" pour le moins déroutant de Douaumont où des milliers de jeunes ont été mis en scène pour courir pêle-mêle entre les tombes des combattants tombés à Verdun en 1916...
Il y a aujourd'hui cette idée (vieille de 2016) reprise par la maire de Paris, d'un "Printemps des cimetières" où les populations curieuses et/ou festives sont invitées à venir non seulement visiter mais encore écouter de la musique, chanter ou même danser au gré de diverses animations parmi les tombes dans les cimetières de la capitale...
Et puis cette autre idée de fin d'un épisode de l'aventure humaine, qui offre à chacun de pouvoir mourir tout seul, à l'azote liquide, de manière certaine (pas de risque de faire une simple T.S.), directement dans son cercueil (appelé en l'espèce sarcophage - étymologiquement "qui mange la chair") fabriqué par imprimante 3D selon fichier joint... Départ en douceur, mort en 5 mn après avoir composé un code pour montrer qu'on est bien conscient de ce qu'on fait. Suicide pour tous en accès libre et facilité. Réflexion : Mais qu'est-ce que la conscience, et qu'est-ce qu'être conscient ?... Un groupe de musique heavy-metal qui signe un pacte avec Satan est-il "conscient" de ce qu'il fait ?
On n'en est donc plus à vouloir aller "cracher sur vos tombes". Les scandales d'hier sont du pipi de chat aujourd'hui... et les scandales d'aujourd'hui n'en seront plus demain. Mais Boris Vian est mort à 39 ans d'une crise cardiaque - il y a un temps où on disait plus explicitement "d'une attaque". Et demain le mal vengeur sera encore à la mesure de comment on s'enfonce dans l'irrespect des conditions bénéfiques à la vie...
Plusieurs - une minorité quand même - sont lucides sur la gravité de nos évolutions, mais sans solution tant qu'on amalgame l'impiété et les injustices qui vont avec, avec le reste de nos capacités - même les plus pertinentes par ailleurs. On est "bel et bien", c'est-à-dire terriblement, sur la pente savonneuse d'une fin de civilisation. Dont les ingrédients sont connus depuis l'antiquité, et dont la Bible, par Jésus et autres prophètes, prophétise l'arrivée, qui va maintenant se produire en deux temps* : - Bientôt un temps de paix et sécurité formidable proclamé avec force et enthousiasme, notamment au sujet du Moyen-Orient (des relations d'Israël et des populations arabes) -, ce que - presque - tout le monde va prendre pour le commencement d'un nouveau paradigme (paradis) sur terre...., - sauf qu'avant quatre années, les accords et compromis et compromissions ne vont unilatéralement plus être respectés***, déclenchant des conflits de plus en plus cataclysmiques, la montée d'un totalitarisme planétaire inouï, avec des conséquences apocalyptiques comme il est écrit à partir du chapitre 13 du dernier livre de la Bible. A ce moment-là ceux qui auront su mettre au préalable - c'est-à-dire déjà maintenant ! - leur pleine confiance en Dieu par Jésus le Christ pour les nations et Messie d'Israël, auront été mis à part pour être épargnés et pouvoir intervenir à la suite avec leur Héros, le Seigneur Jésus, revenant pour entrer dans son règne terrestre de mille ans...
Avant ces événements d'autant plus certains qu'ils ont été écrits depuis deux et trois millénaires et que beaucoup se sont déjà réalisés, nous sommes dans cette phase de destructuration, démontage, décomposition, d'un ordre ancien, temps trouble et troublé par des avertissements retentissants sporadiques (plus que par les grands jugements des nations qui suivront), avec une redistribution des cartes - on l'a déjà vu, des plus surprenantes et rapides.
Et donc ce qui caractérise cette course folle - vers le bonheur, la liberté de tout pouvoir choisir, la quête effrénée des conditions d'un bien-être jusqu'à la jouissance personnelle illimitée... comme croient les progressistes -, c'est la place que prend la mort, depuis la conception du vivant jusqu'aux blancheurs de la vieillesse. Et ce qu'on voit, c'est un déni - de plus - du Réel. La mort n'est pas la mort, veut-on dire et se dire, en jouant avec, en se donnant la liberté de choisir son heure... comme si cela la rendait moins inéluctable, l'apprivoisait au point où elle n'est plus la mort. Des enfants peuvent ainsi jouer sur un nid de vipères... Et c'est précisément quand la mort est le plus ressenti - de manière persistante mais avec peu de conscience réelle - comme une problématique prégnante, qui s'impose jusque dans nos fibres, qu'on cherche une ou des échappatoires pour s'en divertir comme on a vu au début de cet article. La dérision est un des ultimes moyens réactifs et preuve de notre... impuissance.
DEUX CHEMINS Et la Bible a encore des choses à nous dire à ce sujet. Elle nous parle bien de faire un choix personnel capital en rapport avec la mort. Mais pas le choix de se la donner un soir enfermé dans sa chambre ou devant un coucher de soleil ! Elle parle de choisir entre la vie et la mort ! En disant : Choisis la vie ! Et la vie que nous avons à choisir est celle de Jésus, qui par sa marche avec Dieu devenu son Père, a été ressuscité des morts et vit désormais éternellement - vérité qu'en tant que croyant-e nous pouvons expérimenter. Jésus a du mourir pour plusieurs raisons nous concernant, dont celle de montrer son triomphe de la mort par sa résurrection.
Qui a pu dire comme lui : "Je suis le chemin (pour aller à Dieu), la vérité (à connaître pour être sauvé), la vie (éternelle, qu'il peut donner à qui il veut)" !?
A l'opposé on a la mort. Et pourquoi notre âme, notre conscience, ressent-elle la mort et la peur de la mort jusqu'à l'épouvante parfois, parce que "le salaire du péché (du mal que nous faisons), c'est la mort", dit la Bible. Et la mort en nous est d'abord une mort spirituelle, déjà active et privative de beaucoup de choses bonnes et de vraies libertés.
La suite de cette mort - dans laquelle des foules de plus en plus nombreuses marchent et échangent et se déchirent crescendo, ne se supportent plus, forcément ! -, c'est la mort physique où l'âme se détache du corps pour migrer vers l'une ou l'autre de deux types de régions spirituelles : - la sphère divine ou royaume de Dieu (des cieux), première étape d'un paradis sans fin..., - et la sphère ténébreuse des esprits angéliques déchus (démons) qui engrangent les âmes défuntes (désincarnées) dans ce que la Bible appelle Shéol en hébreu, Hadès en grec, ce qu'on traduit par "Séjour des morts", première étape en direction de l'Enfer (défini en Apocalypse comme un "étang ardent inextinguible de feu et de soufre").
Alors choisir le moment où on va mourir, dans quel but ? Faire cesser des souffrances physiques !? Normalement** oui ! Mais qu'en est-il des souffrances psychiques, puisque l'âme continue à vivre avec ses capacités propres - dont les sensations et la mémoire !?...
Faut-il que nous soyons insensés pour ne pas (mieux) nous soucier, nous inquiéter de ce fait patent que nous sommes mortels ? Car la mort est plus présente que jamais, outre spirituelle, fauchant par le monde plus de cent personnes chaque minute, séparant des corps qui tombent à terre et y retournent les âmes (siège de notre moi conscient et autres fonctions psychiques) qui entrent dans une éternité ou éternisation généralement ignorée ou méconnue... ce qui est le pire qui puisse suivre la mort physique...
Si "la mort m'est un gain" comme le dit l'apôtre Paul, ce n'est pas (seulement) parce qu'il est âgé et usé, mais plutôt parce qu'il est bien certain de rejoindre son Seigneur dans la félicité divine dès son départ de cette tente devenue pour un moment le temple du St-Esprit : C'est l'Esprit de Dieu et ses anges qui entraînent les âmes attachées à Dieu par Jésus dans l'éternité bénie. Sinon le poids des fautes fait descendre dans le séjour des tourments post-mortem dont parlent la Bible et plusieurs qui l'ont expérimenté en état de mort clinique (vois EMI ou NDE sur Youtube par exemple). Et si vous ne le croyez pas (encore) - ce qui est tout à fait naturel quand on est mort spirituellement -, demandez à Dieu qu'il vous le révèle : Il en est capable (si vous êtes sincère)...
Soyez béni-e pour discerner jusque dans l'invisible.
Voir aussi mon étude sur les 5 types de mort. Pourquoi cet article est-il régulièrement le plus lu de mon blog, si ce n'est que la civilisation occidentale glisse dans une culture impie mortifère dont chacun reçoit en lui-même de plus en plus la perception et l'alerte !?
______________ * Comme est la fin des supernovas, avec une brusque et brève immense expansion 'éclatante, lumineuse, joyeuse), immédiatement suivie d'un effondrement sur soi auto-destructeur.
** "Normalement" car un corps sans vie ne ressent plus rien. Mais dans l'autre sens, il n'est pas vraiment certain que l'âme - qui elle ne meurt pas ! - ne conserve pas le souvenir de douleurs corporelles !? Ce qui me fait penser ainsi, c'est que nous pouvons parfois ressentir, après la perte d'un membre, des douleurs comme s'il était encore là...
*** scénario non inédit puisque déjà déployé via Hitler qui signa des accords avec la Russie par exemple, pour l'envahir par surprise peu de temps après.
Car les musiques comme les paroles ne sont pas neutres : cela se fait par "inspiration", et qu'est-ce qu'une inspiration ? D'où cela vient-il !?... Pourquoi la drogue est liée à certaines musiques ? pourquoi la paix ou la joie à d'autres ?...
Mais si on ne peut pas (avoir le temps ou l'intérêt pour) connaître tout ce qui caractérise au fond chacun d'entre nous, ce peut être une vraie bonne recherche que de savoir ce qui caractérise fondamentalement nos tout premiers ancêtres ! puisque les lois de la génétique et psychogénétique nous obligent à leur ressembler : C'est une démarche qui tient de la science comme de la foi - les deux faisant très bon ménage si chacune n'empiète pas à tort dans le domaine de l'autre.
Ainsi au lieu de partir d'une prétendue transition ininterrompue qui va de la vie de l'amibe au tarsier, peut-être en passant par le poisson, puis en évoluant en simien (singe) et jusqu'à nous, partons du fait - plus rationnel et raisonnable - qu'il y a un vrai premier homme et une vraie première femme à notre origine. Car que ce soit Tennessee, la Charlie's band, Jojo, Jean, France ou encore Jacquot, les chinois et moi et moi et toi, on a tous en nous quelque chose du premier Adam ! Quelque chose de problématique, de taré, de déréglé, de sombre, d'asocial, de tordu*, d'insuffisant, d'anti-heureux... au point où même on est tous mortels (pour ne pas perpétuer sans fin le mal et des maux)
Alors avançons ainsi dans la connaissance brute de décoffrage de soi (et des autres), si du moins comme disait Sempé nous ne voulons pas mourir idiot, et parce qu'il s'agit à partir de là de pouvoir bien mieux se respecter et s'aimer (dans le sens christique du verbe).
PARTIR DU BON ENDROIT Pour cela à la base, il nous faut donc faire ce choix plutôt drastique, entre - croire que nous sommes des humains venus du Hasard et de ses satellites Nécessités ; puis qu'on a transmigré jusqu'à la planète des grands singes, pour finir (présentement) dans la sphère des réflexions et élucubrations intellectuelles, et des émotions et sensations à la fois magnifiques et difficilement gérables...
- ou croire que nous venons d'un Dieu créateur supérieurement intelligent et sage, qui a pensé, conçu, formé et doublement vivifié de son souffle cette créature bipède, pensante et susceptible de créer des langages et des applications technologiques, dont nous sommes encore vous et moi des spécimens.**
Dans les deux cas la réalité est qu'on est tous marqués par une ou plusieurs difficultés existentielles, des difficultés qui ne cessent de nous tomber dessus, ce qui donne un mal-être qui se double d'un relatif mal-vivre prégnant, étant tout à la fois mal au point et mal en point.
La seconde manière de voir fait logiquement corps avec ce qu'est notre quotidien, qu'on peut alors mieux expliquer pour mieux le gérer, comme ayant tous en nous quelque chose comme les traces profondes d'un impact traumatique, des pensées puissantes mais peu cohérentes et qui dominent notre besoin de réflexions, des regards troubles et jusqu'à obliques-révolver, soumis de plus à des tentations venant du dehors qui sont de l'ordre... d'attouchements démoniaques ! Ignorer cette dimension du Réel, c'est en être des proies faciles ; au contraire le sachant, on peut se mettre en position de résister et de lutter. "Résister" grava dans la pierre de son cachot Marie Durand, bien avant que ne le chante France Gall. Mais comment ?
DÉCALÉS EN DÉCALAGE C'est ainsi fait, qu'on a la liberté de croire au faux comme au vrai, au plagiat des vérités ou à leur contraire tout comme adhérer aux vérités elles-mêmes. Liberté de choisir donc une base primordiale, un socle de connaissances justes ou controuvées, d'où appréhender le Réel (présent et éternel) et s'y insérer au mieux, ou de la pire manière. Et cela avec 30 ou 85 % de conscience, ou dans une méconnaissance qui tient de celle de l'animal. Une base, une assise, sur laquelle mieux on sera dans ou près des vérités essentielles en soi, surtout de soi et de Dieu, mieux on se portera et pourra (se) bâtir dessus, dedans et autour...
Quand on croit en évolutionniste peu soucieux des vérités, c'est-à-dire sans soucis de vérifier les dogmes de sa croyance, on a naturellement tendance à être le centre - intéressé et se voulant intéressant - de son monde. Tendance à vouloir s'approprier des biens (inertes, virtuels ou vivants) et au mieux à viser des progrès sociaux, moyens privilégiés pense-t-on alors, pour s'affranchir par nos capacités (pas toujours) propres de ce qu'il y a ou il y aurait d'animal associable dans notre condition (reconnue aliénée).
Et comme on n'y arrive pas - après encore que la faute de nos difficultés existentielles ait été mise sur le compte de la religion, c'est aujourd'hui la faute à la culture, au colonialisme d'hier, au manque présent de cœur et de moralité - des autres -, aux hommes plus qu'aux femmes, aux rigueurs même des apprentissages scolaires... bref, une évolution et croyance qui - heureusement - va finir par s'auto-détruire tant elle se tape dessus sans vouloir jamais se remettre en cause là où il faudrait. Ce que la Bible dit simplement ainsi : "Pourquoi l'homme vivant se plaindrait-il ? Que chacun se plaigne de ses propres péchés."
Alors on a beau se barder d'idéologies ou s'enrubanner de beaux mots (positivisme, progressisme, socialisme, communisme, humanisme), ce n'est pas encore que nous sommes prêts d'arrêter nos enlisements. Pire, dans les sables mouvants que sont les erreurs, les demi-vérités, l'ignorance et les mensonges, plus on bouge plus on s'enfonce.
On est donc devenus capables de découvrir des lois de l'univers, des postulats, axiomes et modes de calcul très complexes, des moyens d'assemblages, de séparations et de transformations des élémentaires, au point d'en tirer des applications plus qu'il nous en faut. Mais, MAIS aussi, dans le même temps, en parallèle, on ne sait toujours pas mieux vivre les uns avec les autres ! Et bien sûr avec soi-même ! On est toujours pris - et plus que jamais -, en tant que personne, dans des compressions intérieures et des contraintes extérieures à faire "péter les plombs", disjoncter, de plus en plus de monde. Sur cette pente des progrès et libérations recherchés sans Dieu, les attentats d'aujourd'hui risquent de n'être que des signaux d'alarme sporadiques et spasmodiques du grand chaos qu'on est en train de mettre en place en croyant bien faire...
Parce que chacun, au fond, adamiquement, on est ainsi fait que le mal a plus d'emprise sur nous que le bien véritable. Quand Albert Einstein découvre la loi de l'énergie (E = mc²), on va pouvoir entrer dans l'ère fantastique de la manipulation des atomes ! Sauf que la première principale application qu'on développe, avant les centrales nucléaires, c'est des bombes atomiques, et c'est Hiroshima et Nagasaki !.. (D'ailleurs les centrales nucléaires ne sont pas forcément non plus une bonne application ou la meilleure de la fission nucléaire puisque (si j'ai bien compris) on ne rend utilisable pour faire de l'électricité que la chaleur résiduelle des réactions atomiques, c'est-à-dire une infime partie de la puissance engagée et dégageable).
D'une façon générale, les recherches et applications des technologies les plus pointues sont premièrement militaires ! Il peut bien sûr en sortir des bienfaits - comme les ordinateurs et autre internet et mobiles*** - mais il en sort d'abord des moyens de surveillance, d'espionnage, de contrôle des personnes, et des armes, de plus en plus lourdes en pouvoir de destruction, et très coûteuses ! Pourquoi ?
Parce que notre existant d'adam accidenté est décalé (vers le rouge sang) de notre origine bénie, et se poursuit en décalages divers, dont celui entre nos capacités d'avancées de productions matérielles - développées même jusqu'à Mars mazette ! - et nos incapacités à nous changer nous-mêmes - bof ! -, ce qui fait qu'on patauge, on stagne ou on s'affole, on grimpe comme Icare, et dans tous les cas on s'enfonce toujours un peu plus dans des complications et difficultés, dans ce qui reste toujours s'appeler... le péché (tout ce qui est mal évident ou bien présumé mais pas sécurisé dont tel effet néfaste fini par venir à la fois dramatiquement mais heureusement au grand jour : vache folle, prothèse mammaire, pollutions de l'air à l'assiette, lait contaminé... ).
Parce que l'expansion de conscience et de volonté vers le bien non seulement présumé mais véritable, ne suit pas ! "Seule la bénédiction de l'Eternel n'est suivie d'aucun effet secondaire néfaste." Et plus on veut sophistiquer cette civilisation post-chrétienne - c'est-à-dire en croyant présomptueusement qu'on peut bien mieux faire sans Dieu qu'avec lui - le véritable -, plus on fait s'approcher les puissances du faux-dieu de ce monde (Satan). Parce qu'on se trompe sur ce qu'est et vaut vraiment ; sur ce dont on est réellement, pratiquement et utilement capables ; et sur les tenants et aboutissants de ce monde et de nos existences individuelles. On cherche**** à se créer une éternisation, on croit et on investit beaucoup pour se donner une immortalité informatique, sans même entendre ou croire que depuis deux mille ans Jésus nous offre, au seul prix de la reconnaissance et de l'abandon de nos fautes et de la foi en lui, une vraie vie éternelle.
à suivre... et bonne suite pour vous... ______________ * ... que Brassens par exemple interprète ainsi dans une de ses chansons : "Sitôt qu'on est plus de quatre, on est une bande de cons." ...Avec le bémol qu'on peut aussi former de belles équipes à plusieurs, non !?...
** Un peu de réflexions honnêtes à partir d''observations un peu poussées des réalités matérielles visibles et invisibles, des agencements fixes et des ordres en mouvements et interactions, des 4 lois élémentaires et des 23 réglages hyper-pointus qui tiennent tout en des équilibres inouïs… suffisent pour arriver à la conclusion qui ouvre la porte à la foi en des réalités, vérités et causalités (re)liant le physique et la métaphysique (âme et esprits), dont font partie Dieu et ce qui concerne notre vie et santés en relation avec lui.
*** Et par internet et autres portables, on n'a pas non plus créé que des plages de rencontres paradisiaques, exemptes de toutes séductions trompeuses, arnaques et virus, possibilités de manipulations, de trafics et autres indiscrétions visant, via psychologie mal employée et algorithmes fouineurs, à l'exploitation la plus subtile de son prochain.
**** on cherche sur la base fausse que le cerveau (physique, physiologique) c'est l'âme (dont la nature est autre, psychique) ! C'est elle qui transmet la vie au corps et au cerveau - "simple" interface entre le vivant qu'elle est et l'inerte en soi...
:
Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.