Sommes-nous assez attentifs à toutes les merveilles qui nous habitent, dont on a été conçu, des complexités insondables (insondables puisque même la science butte sur plus d'un grand mystère du Réel), systèmes divers qui vivent, travaillent sans cesse ou par intermittence, agissent ou réagissent, entretiennent, réparent, permettent de parler, de penser, de trouver dans ce monde en phase de soins palliatifs (qu'on remplace par des placebos, pas beaux, trompeurs, morfine psychique)... du bonheur cependant, si on le cherche vraiment...
Dans l'Athènes antique, Diogène une lampe allumée en plein jour parcourait les rues en répondant à qui lui demandait ce qu'il faisait ainsi : - Je cherche un homme !
Pourtant les hommes ne manquaient pas alors !
Aujourd'hui les dieux qu'on se donne ne manquent pas non plus, sont multiples : Portables et contacts des réseaux sociaux, idoles de la chanson ou du cinéma, émissions ou séries tv, foot ou autres sports, argent et même sexe...
Mais le Dieu véritable !
Celui qui a fait qu'on ne peut pas bien vivre si on ne trouve pas quelque chose ou quelqu'un de plus grand que nous avec qui relationner, à admirer, à aimer, à intégrer dans notre quotidien !
Or - et c'est mieux que l'or même -, ce Dieu existe !
Qui nous cherche, qui nous attend, qui veut nous faire du bien, nous aider, nous sécuriser, nous consoler, vivre son amour permanent avec nous.
Notre problème, c'est que lorsque Dieu nous cherche, nous ne sommes pas disponibles, trop ou mal occupés ailleurs, distraits ou accaparés par des choses sans importance réelle.
Et encore, lorsqu'on sent un appel, une attirance de son côté, on ne sait pas comment y répondre, on part dans de la philosophie ou de la psychologie (qui séduisent mais ne solutionnent rien vraiment de nos problématiques de fond), ou vers une religion (qui ne peut rien pour nous changer en mieux), dans une secte (où on peut vite se laisser enfermer)...
Bref, au lieu de chercher de partout sans direction, pourquoi ne pas se dire, et dire à Dieu : C'est Toi que je veux trouver ! Je ne sais pas où tu es, mais si tu es un Esprit invisible mais vivant, tu peux te manifester à moi, par des signes compréhensibles ; tu peux me donner la capacité de reconnaître les effets de ta réalité ou de ta présence...
Chercher ainsi, c'est réellement permettre à Dieu de "bouger" en notre faveur, de nous mettre sur la bonne piste de la connaissance pour le rejoindre, d'esprit à Esprit...
C'est le meilleur que je vous souhaite en ce jour et pour tout le reste de votre existence.
Soyez béni-e.
Cherchez, et vous trouverez !
Cette question est SIMPLE :
EXISTE-T-IL UN DIEU CRÉATEUR, OU PAS ?
SIMPLE parce qu'elle n'a que DEUX RÉPONSES POSSIBLES :
Oui ou NON !
Et simple parce qu'une seule des deux est LA BONNE, et l'autre est FAUSSE.
Ce qui fait qu'on NE DOIT PAS rester dans du DOUTE* !
Et du SÉRIEUX avec lequel on s'occupe de cette question FONDAMENTALE, dépend tout LE COURS, LA QUALITÉ et encore LA DURÉE de notre existence !
Enfin cette question simple exige que nous ne soyons pas et restions pas dans l'à peu près, mais que nous parvenions à la CERTITUDE de ce qui est VRAI - ce qui s'appelle une appropriation de vérité par LA FOI.
Car la foi est TOUJOURS notre seul moyen d'acquisition de SAVOIR et d'expansion de CONSCIENCE : Parce que ce n'est qu'en croyant D'ABORD qu'on apprend (à l'école, à faire du vélo, à nager, à conduire, à devenir parent...).
LA FOI est donc formée de LA CONFIANCE et de LA CROYANCE.
Ce n'est qu'APRÈS, que S’ÉPROUVENT la validité, l'exactitude, la justesse, la pertinence de ce qu'on nous a dit, a entendu ou lu...
C'est là que nous POUVONS et DEVONS exercer notre ATTENTION, notre DISCERNEMENT... ce qui n'a de VALEUR seulement SI nous cherchons ce qui est VRAI, JUSTE, LA VÉRITÉ.
CAR tout ce qui est vrai SE VÉRIFIE COMME TEL. Et concernant la vérité sur DIEU, c'est d'autant plus CERTAIN que LUI-MÊME va venir à la rencontre de notre RECHERCHE de réponse.
Car vous l'avez compris, pour moi il s'est RÉVÉLÉ ÊTRE, être VIVANT, EXISTANT, RÉEL,
et dans cette vue, depuis des décennies, il me donne d'EXPÉRIMENTER de diverses manières LA VÉRACITÉ** de ce qu'il EST, me connait, veille sur moi, m'enseigne, etc...
C'est aussi parce qu'après la réponse certaine à cette 1ère question, nous DEVONS AVANCER jusqu'à la seconde, TOUTE AUSSI IMPORTANTE :
QUI EST-IL ?
LEQUEL EST-IL parmi toutes les représentations, parfois contradictoires, qui sont faites et proposées de Lui.
Là encore, c'est LE DÉSIR, L'AMOUR DE LA VÉRITÉ qui nous conduira à la réponse JUSTE.
Bonne quête, bonne EN-QUÊTE, pour une année qui vient dont les temps seront en BÉNÉDICTION à votre existence et vie.
__________________
* Le doute a sa place dans nos interrogations, mais ne doit jamais rester une position sur laquelle on s'établit comme sur une chaise à deux pieds !
Le doute doit amener à plus de recherche pour SAVOIR.
Quand Descartes écrit son "Discours sur la méthode", où il avance le doute et la remise en cause des acquis, religieux ou scientifiques, il précise bien justement que Dieu ne peut être un sujet de doute... dès lors qu'on est parvenu - comme lui - à l'ASSURANCE, la CONVICTION ACQUISE qu'il existe...
Dès lors, si des doutes arrivent sur la réalité de Dieu, notre part est de les rejeter, sachant que la foi en l'existence de Dieu est aussi tributaire d'attaques (par l'incrédulité, la moquerie, la menace ou d'autres croyances)...
** Une manière facile de chercher Dieu, est de se mettre à lui parler, dans la foi que s'il existe réellement, IL ENTEND, et donc IL RÉPONDRA... Dès lors, restez attentif, car des réponses peuvent arriver de manière étonnante, très vite !
on voit ce qui est naturellement invisible : les anneaux qui représentent les années d'existence avec l'importance de la croissance,
le coeur de l'arbre comme un centre de cible,
la pousse d'une branche au bout de quelques années, qui ressemble ici à un projectile tiré vers une cible...
VOIR AUTREMENT
Bref toute une vue des choses qui nous échappe si on ne s'arrête pas à regarder au delà des apparences.
Et vous avez compris, avec Dieu c'est la même chose : Il est la partie cachée de notre univers - car il ne veut pas s'imposer à nous, mais qu'on le cherche et le découvre dans une liberté qu'il nous a donnée.
Ainsi la nature, les arbres, les fleurs, les mouvements et couleurs du ciel, etc, etc..., tout ce qui nous est familier peut se mettre à nous parler de Celui qui les a conçus et créés...
Pourvu qu'on cherche à voir au coeur de la présence des réalités.
Pourvu qu'on cherche à voir l'invisible que ce qui est visible à la fois cache et révèle, selon la profondeur ou pas de notre désir de comprendre, de trouver du sens.
Comprendre quoi ?
Le monde comme il fonctionne, et aussi comme il ne fonctionne pas bien, et pourquoi ;
Comprendre comme des choses sont belles, et pourquoi aussi des horreurs peuvent soudain apparaître ;
Trouver plein de sens à un univers dans lequel nous naissons (sans avoir rien demandé) et nous allons mourir (sans pouvoir nous y opposer), mais deux événements entre lesquels nous obtenons l'émergence de nous-même, la prise de conscience d'une véritable réalité que nous sommes en soi ; la matière et chair conscientisée pour devenir un être vivant en tant qu'entité personnelle, unique, pensante, réflexive, responsable.
Et donc avec la possibilité d'entendre pourquoi les choses sont ainsi, entre Paradis et Enfer, et comment trouver ce Créateur qui ne s'impose pas mais peut se pressentir et se dévoiler, qui a les solutions à tous les problèmes du monde - que ce soit les covids, la peur, l'argent, les addictions... ou la mort même -.
Un Dieu vivant, qui comme nous entend, voit, réponde si on veut échanger avec Lui, pouvant venir dans l'existence de quiconque veut savoir.
De chacun qui ne se satisfait pas seulement d'apercevoir qu'existent des arbres, mais qui veulent pénétrer
le mystère de leur propre réalité - à la fois temporaire, précaire, et possiblement éternisable - ;
le mystère de leur origine et des origines, et de Celui qui les a pensés et créés avec des foules de variétés et de spécificités quantiques ou génétiques, avec des dynamiques de croissance, d'expansion, de renouvellements... phénoménales...
Ce blog est plein de réponses, à la question de la causalité profonde des choses, des personnes, des comportements, et à bien d'autres, comme la question de Dieu - et la réponse effective qu'on peut trouver, expérimenter -, ou encore la question des crises, des problèmes et de la vie maintenant et après la mort physique, etc...
Réalisez-vous !!! Dieu !?
Le Dieu qui a tout créé ! Celui que Jésus a dé-montré... Pouvoir le connaître, savoir, être sûr de sa réalité !?
Un jour d'avril, alors que je ne croyais à rien (de cet ordre), Dieu est venu dans mon (petit) parc et m'a dé-montré qu'il était ! (voir détails en cliquant sur ACCUEIL).
Voilà ! C'est par expérience(s) qu'on peut savoir !
Mais c'est incompréhensible par qui n'a pas vécu une telle révélation, éveillé ou en EMI/NDE !
Incompréhensible, mais cela doit au moins donné l'envie, le désir, la curiosité (autant de choses à notre portée) pour savoir si c'est vrai, si c'est possible, de vouloir savoir.
Et si on commence à regarder le monde et la nature avec cet arrière-fond, avec cette attention qu'il y a peut-être bien un créateur derrière tout ça, y a bien des chances que quelque chose va se passer... pour vous aussi.
Et dans cette disposition d'ouverture qui peut devenir la nôtre, je vous soumets là deux psaumes* qui nous parlent chacun à sa manière de ce Dieu qui est :
Le 1er parle de Dieu dans sa relation possible ou activée avec nous > Psaume 103 < ici,
et le seconde parle de la manière dont il a organisé des relations avec et parmi ses créations naturelles terrestres > Psaume 104 < ici
________________
* Un des plus grands savants et chrétien attaché à découvrir des vérités a déclaré : "Dieu a écrit deux livres : Celui de la nature et la Bible." Galilée.
Les Trésors De La Foi Et toi, Salomon, mon fils, connais le Dieu de ton père, et sers-le avec intégrité de coeur et une âme empressée; car l'Éternel sonde tous les coeurs, et discerne tout dessein des pensées. Si tu le cherches, il se fera trouver de toi; mais si tu l'abandonnes, il te rejettera pour toujours 1 Chroniques 28:9 Si tu cherches, tu trouveras Nous avons besoin de notre Dieu, et en le cherchant, nous le trouverons, car il ne se reniera pas lui-même en se dérobant à celui qui cherche sa face. Cela t'arrivera, non pas si tu t'en montre digne, ou si tu gagnes sa faveur, mais simplement si tu le cherches. Toi qui déjà connais le Seigneur, tu dois continuer à chercher sa face par la prière, en le servant diligemment, et dans une sainte gratitude. Il ne te refusera pas sa faveur et son amitié. Que ceux qui ne le connaissent pas encore pour le repos de leur coeur, commencent aussitôt à le chercher, jusqu'à ce qu'ils l'aient trouvé comme leur Sauveur, leur Ami, leur Père, leur Dieu. Quelle ferme assurance donne à celui qui le cherche ainsi cette promesse: "Celui qui cherche trouve." Toi, oui, toi, si tu cherches ton Dieu, tu le trouveras. En le trouvant, tu trouveras le pardon, la vie, la sainteté, la gloire. Cherche donc avec persévérance, puisque ce n'est pas en vain. Fais-le sans tarder; c'est ici le lieu, et maintenant le temps favorable. Plis ton roide genou et ton cou plus roide encore, et crie à Dieu, au Dieu vivant! Au nom de Jésus demande la purification et la justification. Elles ne te seront pas refusées. C'est le témoignage de David à son fils Salomon et l'expérience personnelle de l'auteur. Crois et agis pour l'amour de Christ. - Lire plus ici : https://chretien.news/meditations-bibliques/?t=3
Les Trésors De La Foi Et toi, Salomon, mon fils, connais le Dieu de ton père, et sers-le avec intégrité de coeur et une âme empressée; car l'Éternel sonde tous les coeurs, et discerne tout dessein des pensées. Si tu le cherches, il se fera trouver de toi; mais si tu l'abandonnes, il te rejettera pour toujours 1 Chroniques 28:9 Si tu cherches, tu trouveras Nous avons besoin de notre Dieu, et en le cherchant, nous le trouverons, car il ne se reniera pas lui-même en se dérobant à celui qui cherche sa face. Cela t'arrivera, non pas si tu t'en montre digne, ou si tu gagnes sa faveur, mais simplement si tu le cherches. Toi qui déjà connais le Seigneur, tu dois continuer à chercher sa face par la prière, en le servant diligemment, et dans une sainte gratitude. Il ne te refusera pas sa faveur et son amitié. Que ceux qui ne le connaissent pas encore pour le repos de leur coeur, commencent aussitôt à le chercher, jusqu'à ce qu'ils l'aient trouvé comme leur Sauveur, leur Ami, leur Père, leur Dieu. Quelle ferme assurance donne à celui qui le cherche ainsi cette promesse: "Celui qui cherche trouve." Toi, oui, toi, si tu cherches ton Dieu, tu le trouveras. En le trouvant, tu trouveras le pardon, la vie, la sainteté, la gloire. Cherche donc avec persévérance, puisque ce n'est pas en vain. Fais-le sans tarder; c'est ici le lieu, et maintenant le temps favorable. Plis ton roide genou et ton cou plus roide encore, et crie à Dieu, au Dieu vivant! Au nom de Jésus demande la purification et la justification. Elles ne te seront pas refusées. C'est le témoignage de David à son fils Salomon et l'expérience personnelle de l'auteur. Crois et agis pour l'amour de Christ. - Lire plus ici : https://chretien.news/meditations-bibliques/?t=3
Les Trésors De La Foi Et toi, Salomon, mon fils, connais le Dieu de ton père, et sers-le avec intégrité de coeur et une âme empressée; car l'Éternel sonde tous les coeurs, et discerne tout dessein des pensées. Si tu le cherches, il se fera trouver de toi; mais si tu l'abandonnes, il te rejettera pour toujours 1 Chroniques 28:9 Si tu cherches, tu trouveras Nous avons besoin de notre Dieu, et en le cherchant, nous le trouverons, car il ne se reniera pas lui-même en se dérobant à celui qui cherche sa face. Cela t'arrivera, non pas si tu t'en montre digne, ou si tu gagnes sa faveur, mais simplement si tu le cherches. Toi qui déjà connais le Seigneur, tu dois continuer à chercher sa face par la prière, en le servant diligemment, et dans une sainte gratitude. Il ne te refusera pas sa faveur et son amitié. Que ceux qui ne le connaissent pas encore pour le repos de leur coeur, commencent aussitôt à le chercher, jusqu'à ce qu'ils l'aient trouvé comme leur Sauveur, leur Ami, leur Père, leur Dieu. Quelle ferme assurance donne à celui qui le cherche ainsi cette promesse: "Celui qui cherche trouve." Toi, oui, toi, si tu cherches ton Dieu, tu le trouveras. En le trouvant, tu trouveras le pardon, la vie, la sainteté, la gloire. Cherche donc avec persévérance, puisque ce n'est pas en vain. Fais-le sans tarder; c'est ici le lieu, et maintenant le temps favorable. Plis ton roide genou et ton cou plus roide encore, et crie à Dieu, au Dieu vivant! Au nom de Jésus demande la purification et la justification. Elles ne te seront pas refusées. C'est le témoignage de David à son fils Salomon et l'expérience personnelle de l'auteur. Crois et agis pour l'amour de Christ. - Lire plus ici : https://chretien.news/meditations-bibliques/?t=3
Les Trésors De La Foi Et toi, Salomon, mon fils, connais le Dieu de ton père, et sers-le avec intégrité de coeur et une âme empressée; car l'Éternel sonde tous les coeurs, et discerne tout dessein des pensées. Si tu le cherches, il se fera trouver de toi; mais si tu l'abandonnes, il te rejettera pour toujours 1 Chroniques 28:9 Si tu cherches, tu trouveras Nous avons besoin de notre Dieu, et en le cherchant, nous le trouverons, car il ne se reniera pas lui-même en se dérobant à celui qui cherche sa face. Cela t'arrivera, non pas si tu t'en montre digne, ou si tu gagnes sa faveur, mais simplement si tu le cherches. Toi qui déjà connais le Seigneur, tu dois continuer à chercher sa face par la prière, en le servant diligemment, et dans une sainte gratitude. Il ne te refusera pas sa faveur et son amitié. Que ceux qui ne le connaissent pas encore pour le repos de leur coeur, commencent aussitôt à le chercher, jusqu'à ce qu'ils l'aient trouvé comme leur Sauveur, leur Ami, leur Père, leur Dieu. Quelle ferme assurance donne à celui qui le cherche ainsi cette promesse: "Celui qui cherche trouve." Toi, oui, toi, si tu cherches ton Dieu, tu le trouveras. En le trouvant, tu trouveras le pardon, la vie, la sainteté, la gloire. Cherche donc avec persévérance, puisque ce n'est pas en vain. Fais-le sans tarder; c'est ici le lieu, et maintenant le temps favorable. Plis ton roide genou et ton cou plus roide encore, et crie à Dieu, au Dieu vivant! Au nom de Jésus demande la purification et la justification. Elles ne te seront pas refusées. C'est le témoignage de David à son fils Salomon et l'expérience personnelle de l'auteur. Crois et agis pour l'amour de Christ. - Lire plus ici : https://chretien.news/meditations-bibliques/?t=3
Quelle différence y a-t-il entre celles et ceux qui souffrent et meurent en ce moment du coronavirus covid-19, et celles et ceux qui sont ou semblent ne pas être atteints ?
C'est la vieille question de la responsabilité personnelle qui est la nôtre, qui est celle de chacun et de tous les autres, quand un groupe de personnes est soudain entraîné dans la mort (ou une même sanction grave).
CHERCHER UNE RÉPONSE JUSTE ET UTILE
Pour être sûr d'avoir une réponse pertinente, on peut revenir, comme à une situation archétypale, à cette épisode de la vie de Jésus où il est interrogé par ses disciples au sujet de deux accidents collectifs mortels qui viennent d'arriver.
Que comprendre par ce texte, qui ait un sens et soit une réponse utile, révélatrice, à propos de la pandémie qui est à toutes nos portes ?
A - UN MÊME SORT POUR TOUS
On lit qu'il s'agit dans les deux cas rapportés, de la mort de toutes les personnes concernées.
On n'est pas là dans un autre cas de figure (qu'on va voir ensuite, en B -) où se trouvent mêlés dans un même drame collectif des morts et des blessés.
Ici la réponse est générique et sans ambiguïté, qui signifie : vous, les êtres humains, êtes tous des coupables devant Dieu, méritant la mort qui est comme une épée de Damoclès au-dessus de chaque tête.
Cela signifie - et rappelle - qu'on est tous en sursis de mort. (Pour les intellectuels ou littéraires, rappel de l'excellent livre de Kafka Le procès, dont c'est le thème... codé).
C'est ainsi qu'un peu après Jésus, c'est l'apôtre Paul qui va être chargé de formaliser en enseignement cette vérité essentielle, écrivant dans sa lettre aux Romains (que nous rapporte la Bible) : "Car tous ont péché et sont privés de la glorieuse présence de Dieu..." Présence de Dieu qui est la vie éternelle et sa source unique.
Plus loin il explique le fondement de la justice divine : "Car le salaire du péché, c'est la mort...", le péché étant tout ce qui est injuste en rapport des lois et enseignements divins, tout ce qui se fait, se pense, se dit à partir de nos travers et subjectivités partielles, changeantes et toujours insuffisantes, ce que produit nos égoïsmes, orgueil ou lâcheté, actions, paroles ou pensées mauvaises, méchantes ou trompeuses.
Mais le message évangélique n'est pas pour nous laisser livrés à ce seul constat général, autant affligeant et culpabilisant qu'affirmatif et réprobateur.
Voilà ! Il y a une solution pour passer d'une mort certaine - que figure autant qu'est en soi la mort physique - à une vie éternelle, par une vie - divine, spirituelle - surajoutée à la nôtre - physique et psychique - jusqu'à pouvoir nous éviter de voir la mort comme une épouvante - qu'elle est naturellement -, en nous donnant l'assurance de pouvoir un jour vivre éternellement à partir d'une résurrection glorieuse qui donne au croyant un corps tout nouveau. (Lire ou écouter le développement en cliquant ici > 1ère lettre aux Corinthiens, tout le chapitre 15)*
QUO VADIS ? OÙ VAS-TU ? OÙ VA-T-ON, LES UNS ET LES AUTRES ?
A partir de là, il nous reste à nous arrêter - ce que le confinement favorise ! - pour nous interroger : Où en sommes-nous au sujet de notre culpabilité indéniable dans la manière dont on fait de la terre un chaos ? Dont on a (et dont on) défait encore tous les équilibres naturels, écologiques et moraux ?
Comment passer pour innocent devant Dieu ? Un Dieu juste et saint, pur, généreux parce qu'il est amour, mais aussi juge parce que garant de la justice ?
Dès lors il dépend de nous que nous rencontrions de force Dieu dans les effets de sa justice quand elle se met en marche, avec de justes et sévères jugements; ou que nous le rencontrions dans l'humilité et la paix en reconnaissant son amour qu'il a manifesté comme jamais en la personne, parole et actions de Jésus sa personne et son envoyé incarnés.
CHOISIR DE PASSER DE SOUS UNE JUSTICE (QUI NE PEUT QUE NOUS TUER) À UNE JUSTICE QUI NOUS FAIT GRÂCE (AFIN QUE NOUS VIVIONS)
En fait donc, cela signifie que face au fait qu'on est mortel, on a tous à demander pardon à Dieu pour qu'il efface nos fautes, nos offenses, toutes nos injustices.
Cela s'appelle sa Rédemption.
La base de ce pardon, de cette grâce, c'est le don de sa vie par Jésus, qui s'est offert à Dieu pour nous, subissant, par ce fait de se mettre à notre place (de s'identifier à notre condition de misérables), les pires souffrances et la mort qui peuvent à tous moments nous atteindre tous.
Tout l'Évangile, qui constitue la seconde partie du Nouveau Testament, est cette Bonne nouvelle de la grâce que Dieu peut accorder aux pécheurs/pécheresses qui veulent croire.
Il s'agit en fait de la rencontre fécondante, productrice d'une vie nouvelle, spirituelle, en nous, de deux causes déterminantes.
D'une part la mort sacrificielle (volontairement sacrifiée) de Jésus pour nous. Une mort injuste pour lui dont l'existence fut un parfait sans faute, mais qui constitue aussi un salaire, un du à la justice divine, payé au prix le plus fort pour (nous) racheter (de) nos fautes;
D'autre part il faut notre foi, toute personnelle, placée en la personne de Jésus-Christ et en son sacrifice où il est crucifié parce que prenant notre place pour nous éviter les pires effets du mal que nous avons commis (activement ou par passivité).
Dès lors ne dites jamais que vous ne savez pas ! Surtout entrer dès maintenant au bénéfice de ce secours hautement immérité... si ce n'est par les mérites uniques du Christ et Messie Jésus (Yeshoua en hébreu, Issa en arabe...). Et quand vous savez être vous-même sauvé-e, partagez cette merveilleuse nouvelle...
______________
* Je prends ici chaque fois la Bible comme étant le support majeur, immuable, avéré au fil des siècles, des plus importantes vérités que nous avons besoin de connaître.
Sinon quoi ? Croire quelques philosophes - dont Sartre qui a poussé la réflexion humaine logique jusqu'à son terme où il doit admettre que "L'univers sans Dieu, sans raison d'être, est absurde dans son ensemble et dans ses parties".
Croire les idéologues ?... dont Marx est le plus suivi, qui prône la violence, les luttes, pour imposer une vue des choses dont on a les preuves qu'elle est maléfique et mortifère.
Croire nos propres opinions, "nos vérités", faites de bric et de broc, sans aucune valeur en soi pour la simple raison logique qu'il est impossible que les grandes vérités puissent se croire et se dire par des idées multiples différentes et antagonistes.
Une des réalités les plus étonnantes est que la foi est un principe moteur universel de tout ce qui vit.
Un déterminisme dynamique et dynamisant que nous possédons tous et actionnons chacun depuis notre plus tendre enfance !
Oui la foi !
Dont se servent les scientifiques rationalistes, cartésiens comme les autres, principe qu'ils réduisent bien pauvrement (comme nous réduisons beaucoup de choses) à l'intuition ou à la simple curiosité.
Mais qu'est-ce que la curiosité qui nous fait avancer ?
Si cela ne vous a jamais sauté aux yeux, découvrez vous-même, cherchant à savoir ce qu'il en est en vérité, en toute objectivité, en quoi la foi vous habite depuis toujours, en quoi elle est un principe dynamique fondamental, universel, inhérent au vivant (animaux compris) et particulièrement développable chez et par l'être humain.
DES EXEMPLES À LA PELLE !
Comment apprend-on à nager ? Par la foi ! On dépasse ainsi les limites du naturel ! On se développe dans une projection qui nous élargit en capacité et en pouvoir, voire en plaisir nouveau, en joie naturelle, en bonheur simple
Comment a-t-on appris à marcher ? Par la foi.
Pour se lancer ainsi dans le "vide" sans le soutien de personne, on a fait preuve... de foi. Inconsciemment on a cru que c'était possible, et on a marché !
On a même pu hésiter, ce qui montre l'extraordinaire travail intérieur (inconscient) que met en œuvre l'activation de ce moteur.
Une foi certes non conscientisée, mais une foi réelle, un principe dynamique qui fait partie de notre organisation psychisme, en tant que déterminisme à la fois actif en lui-même et actionnable à la suite par notre volonté.
C'est l'existence et l'activation de ce principe qui nous conduit à prendre confiance en soi, à se lancer. Il est à la base de notre élan élémentaire de survie, puis de nos mouvements de déploiement.
Regardez bien : Comment a-t-on appris tout ce que nous savons ? D'abord par la foi. C'est-à-dire en croyant, sans preuve, ce qu'on nous disait ou montrait.
Certes, on a pu être trompés, bernés, égarés - c'est la responsabilité de ceux qui ont transmis - , mais cela n'enlève rien au fait, à la valeur et à la nécessité de cet élément essentiel de notre existence et de tous ses développements (physiques, psychiques ou spirituels).
Comment recevons-nous que la terre tourne autour du soleil ? Et cela à 100 000 km/h, et sur elle-même à 700/800 km/h ?
On comprend déjà qu'on ne pourra jamais tout savoir avec certitude, si ce n'est qu'en le croyant. Dans tous les domaines, basiques ou "border-line", touchant à la métaphysique ou à la physique quantique, à la pensée, l'âme, la conscience, l'esprit, les sentiments, les anges, Dieu, le matériel et l'immatériel.
EXTENSION DES DOMAINES DE LA FOI
Comment apprenons-nous à sauter en hauteur en dorsal ou à la perche ?
A lire, écrire, compter, à conduire, à devenir médecin ou facteur, informaticien ?...
Comment pouvons-nous monter dans un avion malgré tout le surnaturel du vol et les appréhensions que cela peut générer ?
Comment se développe un projet d'entreprise ; une association de personnes, un grand groupe économique ; un projet de vie qui est (normalement) un engagement durable comme le mariage ?
D'où vient l'élan pour fonder une famille ?... dont on sait qu'il y aura immanquablement des épreuves et qu'il faudra tenir ferme pour ne pas céder à ce qui viendra la casser et disperser ?
Comment des sportifs, un pianiste, une cantatrice... avancent-ils dans l’arène où ils se produisent pour en sortir sous les applaudissements ?
Rien de tout cela ne se met en mouvement sans le jeu, même totalement inconscient, du principe vital qu'est la foi en ce qu'on ne voit pas encore et à quoi on veut croire ; en ce qu'on ne peut pas savoir par avance, avec certitude, mais on y croit !
Dans certains cas il s'agit de croire essentiellement en nous-même. Dans d'autres cas de croire en quelque chose (un hélicoptère, un télésiège, un immeuble, la Tour de Pise ou la chaise sur laquelle on s’assoit !... Ou de croire en quelqu'un (une ou plusieurs personnes).
C'est vrai pour un aveugle conduit par un chien qui le guide, et nous devons comprendre - croire ! - que c'est au départ exactement la même chose concernant Dieu !...
PLUS ENCORE...
Quel moteur laissez-vous s'activer quand vous achetez de quoi manger ici et là ?
Quand vous mordez à pleine dent dans du pain, un pâté végétal ou un morceau de viande ?
Quand vous buvez l'eau du robinet ou un cocktail dans une fête ?
Quand vous prenez un médicament ?
Certains ont été gravement intoxiqués par des absorptions avérées problématiques ; d'autres en sont morts !
Faire confiance à son boulanger ou à un primeur sur le marché, à un restaurateur... c'est faire preuve de ?...
La notion de risque est indissociable de notre monde, et donc de tout ce qu'on fait dans la croyance ou foi.
Comme au jeu, on peut calculer, supputer, faire des calculs de probabilités, mais sans jamais être sûr à 100 % de ce qui va suivre une décision, dans le futur de notre décision ou engagement...
Le doute est permis, mais dans tous les cas si on ne veut rien faire sans voir (au préalable), on ne bouge plus et on meurt !
AU SUJET DES DOUTES
Du fait qu'on vit dans un monde "dualisé" (fait accidentellement du bien et du mal), i y en a de deux sortes :
Les doutes qui appellent un questionnement pour savoir ; pour passer d'une chose qui ne nous est pas évidente - mais qui peut être évidente pour d'autres - à la réponse (la plus) juste, qui permet de savoir ce qu'il en est effectivement.
Ce genre de doute est bon. C'est celui dont parle Descartes dans sa méthode d'approche des vérités.
Et il y a le doute sur Dieu. Est-ce qu'il existe ou pas ?
On entend parfois "Moi je suis comme Thomas, je crois qu'à ce que je vois !"
C'est oublier qu'avant cette parole, Thomas a tout quitter de sa condition sociale pour suivre Jésus dans l'aventure de sa foi. Alors ayez "seulement" la foi de Thomas et pas de doute, Dieu se révélera à vous ! (car Jésus est revenu 8 jours après cette parole pour lui ; pour lui montrer comme aux autres disciples qu'il était bien ressuscité).
Et pour reparler ici de Descartes, si vous lisez son Discours de la méthode, vous verrez que pour lui qui aimait et cherchait la vérité, la foi en l'existence de Dieu était tel qu'il dit (plusieurs fois) qu'il n'y a pas à douter quant à lui.
Ce qui veut dire qu'on n'a pas de temps à perdre sur cette question, et je rajoute qu'il est donc bien préférable et utile de chercher ce qu'il est réellement, ce qu'il fait et comment il agit, et comment, si ce n'est pas encore fait, être réconcilié-e, en paix et sauvé-e par lui...
S'il y a quelque chose cependant à rajouter sur le doute concernant Dieu, il n'est pas impossible, et il est même impossible qu'il n'en vienne pas (car le doute fait là partie de la dynamique du mal, de l'incrédulité).
Ainsi, on peut avoir des doutes sur Est-ce que Dieu entend toujours mes prières ? Puisque je n'ai pas toujours ses réponses. Il nous faut alors comprendre qu'un silence est un moyen de réponse ! Qui peut laisser la conviction qu'on a se développer en action (pas d'obstacles) ; ou qui exprime son désaccord avec une demande et démarche qu'on voulait entreprendre...
SELON LES ÉPOQUES ET CULTURES
Tout au cours de l'histoire les impies (ceux qui ne croient pas en Dieu) étaient de deux sortes : les pauvres, n'ayant pu recevoir aucune éducation et instruction (dits manants ou mécréants), et quelques élites riches, cultivées et oisives et libertaires... l'oisiveté étant (avec la richesse ou l'ignorance) "la mère de tous les vices".
Aujourd'hui c'est la culture laïque (de ce mot détourné de son sens qu'on devrait avoir l'honnêteté de remplacer par athée ou agnostique) qui produit des citoyen-nes départis-es de la vie de l'Esprit.
Mais regardez encore s'il faut vous en persuader : Quand vous vous couchez le soir (ou au petit matin), quelle assurance avez-vous de vous réveiller et lever quelques heures plus tard ? Celle de la foi qui vous détermine pour vous tenir hors d'une angoisse toujours possible (comme il en monte chez de plus en plus de monde à partir de la fin du jour).
Quand vous désirez avoir un enfant ou le garder malgré des pressions qui vous poussent à changer d'avis pour une raison qui n'est pas la vôtre ?
Quand vous montez sur la moto d'un copain pour ressentir des sensations ? Sur un cheval lancé au grand galop dans un sous-bois ?
Quand vous montez sur une table d'opération et que plus rien ne va dépendre de vous ? Qu'on vous fait signer au préalable une fiche d'acceptation des risques encourues, avec une longue liste d'effets secondaires possibles ?
Quand vous vous engagez sur 20 ans à remboursement le prêt qui vous permet d'acheter une maison sur la base de votre emploi actuel ?
Quand vous travaillez tout un mois avant d'être payé ?
3 DOMAINES OÙ LA FOI S'EMPLOIE
On peut remarquer que ce moteur inhérent à notre nature de vivant, s'active de trois manières.
De façon naturelle, dans notre inconscience de cette dynamique, la foi joue comme un déterminisme.
De façon culturelle, elle se met à jouer, plus ou moins en conscience, selon ce qu'on va oser ou pas, accepter ou refuser, prendre position ou pas, sur quantité de circonstances, rencontres et situations.
Ce qui amène ou devrait amener dans toujours plus de personnalisation des décisions vues comme des actes de foi, jusqu'au passage à la foi dans la dimension spirituelle du Réel, en ne se laissant pas arrêter par quelque préjugé ou parti pris non analysé, non éprouvé objectivement.
Entre la foi agissant dans le matériel et celle qui rejoint et soutient la dimension spirituelle, se trouve, culturellement, l’acquisition de savoirs religieux, qui sont et ne peuvent être que pont entre ce qui est de l'âme et ce qui est de l'esprit, un échafaudage provisoire qui vise ou devrait viser à notre construction intérieure, à entrer pour y travailler dans notre jardin intérieur tel qu'il existe, tel qu'il peut être agencé et gardé.
En troisième lieu, la foi s'active spirituellement, afin que nous entrions et nous développions dans les dimensions de l'Esprit, c'est-à-dire du Divin.
Ce sont alors des acquisitions de connaissances de nature spirituelle - qui s'acquiert tout pareillement que les autres au départ, puis avec lesquelles nous avons à œuvrer pour donner à ce qui est de l'Esprit sa juste et profitable place en nous et avec nous.
La Bible parle de recevoir "Christ en nous, l'espérance de la gloire"...
Ainsi la foi est toujours un don initial de Dieu, (comme la vie et tous dons ou talents innés).
Dans le cas spécifique de la foi en Dieu, elle peut résulter d'une vraie mise à feu déclenchée par l'Esprit-Saint ; comme aussi elle est susceptible d'être développée, travaillée en profondeur, appliquée jusqu'en des zones nouvelles, dans notre quotidien comme dans le surnaturel spirituel...
FOI CHALLENGE
Ce principe est aussi liée au risque, et donc fait appel au courage. A la détermination, à la volonté, à la persévérance, voire à l'audace, avec et après exercice de discernement et avec connaissance de cause suffisante.
Plus on veut avancer par la foi, plus il peut s'agir de challenge, de relever des défis, de dépassements.
Par exemple j'étais incapable d'aimer ma belle-mère, maintenant je peux !
J'avais une maladie chronique ; avec la foi d'autres chrétiens s'associant à la mienne, j'ai été guérie !
J'ai postulé à un poste dont je n'étais pas certain d'avoir les compétences attendues et je l'ai eu et j'y réussis bien.
De fait, un bon aperçu (de la place) de ce principe nous aide à mieux regarder ce qu'on peut faire - ou pas -, donc aiguise le sens de notre responsabilité personnelle (que ce soit vis-à-vis des autres, de la société, ou de nous-même).
ET LA FOI DE JÉSUS
On entend bien Jésus au sujet de la foi : il déclare, stimule, excite, provoque ses disciples pour qu'ils veuillent faire de la foi un vrai moteur approprié de conquête pour l'agrandissement de leur existence et de celles d'autres.
Conquête sur le naturel et le surnaturel, pour subvenir aux besoins matériels immédiats ( ), pour faire confiance à Dieu ( ), pour guérir les malades et chasser les démons (Marc ch. 16, vers. 17-20), pour annoncer la dimension nouvelle qu'il est venu ouvrir dans l'ordre spirituel du Réel total.
Il ne s'agit jamais de combattre contre des hommes (Éphésiens ch. 6, vers. 12), mais contre des circonstances, des situations (Luc ch. 8, v. 22-25), les esprits démonisés des lieux célestes qui viennent faire des ravages parmi nous (Matthieu ch. 8, v. 28-34).
Oui, la foi de Jésus ! Croire qu'en ouvrant sa bouche pour dire trois mots à un mort il va (le) ressusciter ! Croire qu'en commandant à des démons qui allaient mettre en débandade tout un grand troupeau de porcs, ils se soumettraient ; Croire que d'une simple phrase prononcée devant les plus puissants dirigeants de son pays, il allait les faire reculer dans leurs intentions et partir ;
Croire que sans rien écrire lui-même, d'un coin perdu d'une petite nation du Moyen-orient annexée à la domination barbare et polythéiste du terrible Empire romain, et à partir d'une poignée de pécheurs, péager et autres marginaux insatisfaits de leur vie quotidienne, peu ou pas cultivés, croire que son message, le récit de sa vie exemplaire, de sa mort pour nous sauver et de sa résurrection, allaient traverser les continents, les couches de société et les siècles ! Changeant le rapport de force entre les hommes et les démons, changeant par là la face de l'Occident, amenant l’avènement de la personne humaine par la dignité dont le Saint-Esprit la revêt...
A l'inverse de par la foi et la sagesse en action, c'est par manque de courage ou peur, par incrédulité spirituelle, qu'on peut ne pas faire des pas de foi. On peut même abandonner la vraie foi (ce qui s'appelle apostasie) !
On cède alors la place à choisir de croire autrement ; en la seule réalité et valeur de ce qui se touche, matériel ou charnel, de ce qui s'empoche, se prend par la facilité, la tromperie ou l'immoralité.
Ce qui est tout le drame de nos jours, croulant sous les Trop (de biens et d'informations inutiles, de déchets et pollutions, de technologies vouées à la capitalisation et non plus au bonheur, de chaleur climatique et passionnée, de crédulité mal placée, de manipulations...).
RÉSUMÉ
Quelle étonnante réalité que ce moteur de la foi, si peu perceptible et pourtant combien usitée, qui permet de saisir ce vers quoi on la dirige, et qui donne de croire que... ou de croire que...
Elle est a la fois, en deux modes complémentaires, foi s'appliquant et foi s'étendant. A la fois déterminisme fini (qui joue hors conscience) et déterminisme développable (par le jeu de la conscience).
Jusqu'où ?...
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LE SURNATUREL DEVANT ET JUSQUE DANS NOS PORTES
Il est des faits extrêmement étonnants, qui apparaissent avec l'aura de leur surnaturel, quand on a les yeux (intérieurs, de la conscience) ouverts.
Rien de plus banal en effet par exemple que de croire, aujourd'hui, que la terre tourne autour du soleil, alors qu'on le voit nous tourner autour ! On doit bien lâcher là la vue pour la croyance !
Bien étonnant de respirer un air parfaitement invisible à nos yeux et de dire en même temps qu'on ne croit qu'à ce qu'on voit ! Mais s'en rend-on compte ?
Rien de surprenant à découvrir et admettre comment est constituée la moindre cellule du vivant ou comment l'ADN est enroulé et composé !...
C'est dire combien nous vivons sur et sous une couche de poussière immatérielle produite par l'habitude... et d'autre(s) cause(s) qu'il serait bon de mettre à jour si on veut retrouver l'émerveillement, l'enthousiasme liée à la (vraie) vie,. Si on veut que soient suscitées en nous tant de choses et vues extraordinaires de notre ordinaire.
Le mot enthousiasme est formé sur la racine grecque thou ou théo qui désigne Dieu.
C'est que la grave crise de foi dans laquelle nous sommes rend tout plat, inerte ou faussement animé, incapable de nous atteindre par et dans le fabuleux dont il s'agit. Notre âme est appesantie. On se crée alors des fictions, des séries, une mythologie contemporaine... une couche de plus d'inanition.
Pire encore, sans la foi mise en ce Dieu qui est à l'origine de toutes choses, tout ce qu'il a créé avec vocation à procurer du plaisir est mal utilisé, jusqu'à annihiler ce plaisir.
Ainsi peut-on manger sans plaisir par exemple en pensant à tout autre chose, vidant une assiette en une minute sans s'en être aperçu.
En vrac, idem avec l'amour physique, on peut le faire en perdant tout de sa valeur, voire du plaisir lié à cet acte.
Pareil avec un bon salaire qu'on n'apprécie même plus tant c'est banal chaque mois. Et les congés payés !?.
Et la conduite d'une voiture, d'une moto, d'un bateau... La possibilité de regarder la télévision et choisir des chaînes ; de se téléphoner ; de voir un bébé venu au monde, la beauté des arbres, des fleurs, des animaux, des cieux...
De fait, perdant la saveur, le parfum, le subtil, la profondeur, le sens esthétique, le plaisir qui émane de tout ce qui nous est besoin véritable, l'essence ou la quintessence des créations divines, on se dégoûte de tout (anorexie), ou au contraire on devient addict de n'importe quoi (boulimie).
C'est que les dons divins sans le Donateur, ne peuvent durer longtemps, s'évaporent d'autant qu'on en use mal.
C'est que Dieu a fait sa création ouverte, libre, mais aussi fermée, avec des frontières et des dynamiques réversibles.
APPORT INOUÏ DES SCIENCES
En fait tout est surnaturel ! C'est-à-dire dépasse largement ce qu'on appelle la raison - qui de fait à souvent tort, parce qu'elle dort ou rêvasse (ou cauchemardise), bordée par quelques concepts artificieux, réductionnistes, étroitisants, d'ailleurs qu'ils soient progressistes ou réactionnaires !
Par exemple, quelle ignorance ou quelle léthargie nous laisse-t-elle de bois, alors que notre corps vibre de ses dizaines de milliers de milliards de cellules !? Qui sans cesse meurent et se remplacent sans que nous n'en percevions rien (chaque seconde près de 2000 cellules changent ainsi d'état chez un adulte, soit 50 à 70 milliards par jour !?).
Notre corps est colonisé par quelque 30 à 40 000 milliards de bactéries ! qui y travaillent (normalement) pour notre bien !
Pas besoin de regarder au télescope le ciel avec ses milliards de milliards d'étoiles pour trouver des nombres faramineux.
Et les mystères des mathématiques, avec des nombres étranges, "irrationnels" (hors de raison !?).
Ou encore ces trois choses étonnantes que sont
- le nombre d'or ou divine proportion : 1, 6180339887 souvent appliqué par les artistes pour proportionner leur composition ;
- le nombre PI π - un 3 suivi de millions de décimales non périodiques (qui en fait un nombre irrationnel et "transcendant") ;
- la suite de Fibonaccisur laquelle par exemple est construite la coquille des escargots, comme sont disposées les graines qui forment les grosses fleurs de tournesol ou encore comme est enroulée une feuille de fougère avant qu'elle ne s'ouvre !...
N'est-ce pas intrigant ?...
En buvant un verre d'eau, combien buvez-vous de molécules, sachant qu'il y en a plus dans une seule goutte d'eau qu'on a de cellules qui forment notre corps ?...
C'est au point où depuis la première moitié du XXe siècle, avec la découverte de la dimension subatomique ou quantique de la matière, la raison humaine chancelle... comme la théorie de l’Évolution du coup !
Parce que le comportement des particules élémentaires ne correspond pas à tout ce qu'on avait préalablement découvert comme lois et monté comme équations définissant tout l'univers.
DES ORDRES ET COMPLEXITÉS AU HASARD !?
Plus on en apprend, moins on a de certitude (c'est le principe d'indétermination mis en évidence par Heisenberg).
Penser savoir et prévoir certainement est remis en cause par la théorie du chaos (ou d'imprévisibilité) mis en lumière par Edward Lorenz...
Et cependant on en sait suffisamment dans les grands domaines du mesurable, de l'observable (physique(s), mathématique(s), biologie(s) pour dire que le fait de la complexité - dont des complexités originelles irréductibles - témoigne à elle seule d'un "auteur" de tout cela dont l'intelligence est sans commune mesure avec la nôtre.
Le nier aujourd'hui c'est ne pas savoir... ou c'est se leurrer soi-même.
Comment le hasard peut-il être hasard (sans intelligence, sans logique, inerte, sans vie...) et tout à coup une dynamique hyper rapide qui se met à chercher, un moteur de recherche donc en fait, qui se met à la demande (d'une nécessité) au travail, en aveugle, pour créer à partir de rien une solution à un problème ?
C'est une ineptie monumentale !
Bien plus fort que ce qu'ont produit les intelligences combinées de Larry Page et Sergey Brin pour créer le moteur de recherche Google !!!
C'est au point où aujourd'hui les scientifiques devraient crier au monde entier - et pourraient être crus, bien plus que les religions ! - que Oui Dieu existe !
Parce qu'il se déduit comme automatiquement - voire se démontre - par les œuvres inouïes et les lois de l'univers qui ne peut être que création divine, partout empreint d'intelligence, d'ordre, de grandeur, d'interactions non aléatoires, de mathématiques, de générosité, de complexités, de beautés, de potentialités, de devenir sans fin.
Aparté
Notons là qu'on touche un point significatif de la problématique humaine.
C'est que, découvrant par et dans ce qui est mesurable, raisonnablement tangible, de l'infiniment petit à l'infiniment grand, tant d'indices d'intelligence, de génie créatif, de sagesse dédiée, d'organisations internes et de relations... les artisans de pointe de la science devraient avoir l'honnêteté - et le courage s'il en faut - de dire aux communs des mortels la conclusion qui s'impose dorénavant : Tout cela ne peut venir du hasard ! C'est forcément Divin !
Un calcul de probabilité fait dire à l'astrophysicien Trinh Xuan Thuan « La probabilité que notre univers soit issu du hasard est comparable à celle d'un archer réussissant à planter sa flèche au milieu d'une cible carrée de 1 cm de côté et située à l'autre bout de l'univers. » La physique des relativités et la physique quantique, les mathématiques et la biologie moléculaire corroborent ce qui est un fait : Il a fallu une intelligence prodigieuse, pour que ce qu'on voit et découvre ait été et soit !
Croire au hasard maître décideur du tout ou en Dieu est totalement la même démarche. On croit que... Alors pourquoi être si réticent à croire et à dire ce qu'il en est qui est infiniment probable ?
LE CHALLENGE DES SCIENTIFIQUES ET DES SCIENTISTES
Croire et oser dire que tout cela est l’œuvre insigne et les œuvres gigantesques d'un créateur divin immense, qu'il importe maintenant de chercher chacun pour sa part, et pour l'éveil de tous.
Or là c'est silence radio et vidéo !
Preuve de la profondeur de notre problématique intérieure, de notre incohérence maligne.
D'un côté on dit vouloir ne se fier qu'en ce qui est certain, indéniable, que la science va révéler avec force de mesures, de calculs et d'expériences vérifiées.
Et d'autre part quand on est arrivés à découvrir scientifiquement que le Hasard avec ses concubines Nécessité et Sélection naturelle ne peut être le géniteur, l'origine de tout (ni de l'univers ni de la vie), on se garde de le faire savoir au plus grand nombre qui ne croit - comme on lui l'a appris - que ce que la science fait connaître !??? Une honte... répréhensible ! Un crime contre l'humanité !?...
Ici comme ailleurs donc, même la bonne volonté pour chercher en vérité - quoi, pourquoi ? -, même les connaissances les plus avérées, ne suffisent pas à libérer l'être humain au point qu'il tienne dans l'amour et la recherche des vérités (jusqu'au bout) ; au point qu'il veuille maintenant - depuis déjà bien plus d'un demi-siècle quand même ! -, en conscience, amener la question de la réalité de Dieu sur l'avant de la scène mondiale.
Si notre intelligence n'est pas capable de tenir dans sa propre raison, d'admettre qu'on s'est trompés et de corriger le tir (pécher, c'est "manquer le but"), que vaut cette intelligence ?
Allez-vous pour votre part en rester là ?
La suite : LA FOI, PRINCIPE UNIVERSEL DU VIVANT... qui balaie la théorie foireuse de l’Évolution...
Soyez béni-e pour chercher... et trouver ________________
* Il a fallu attendre les années 50 avant que la science puisse dire que l'univers a été crée ! Or la Bible le dit depuis 3 500 ans !
Si donc, dans l'humilité, les chercheurs étaient partis de ce qu'indique le livre de la Genèse, au lieu de dire - c'est-à-dire au lieu de vouloir croire - systématiquement le contraire, il y a certainement longtemps que la science aurait rejoint les Écritures inspirées par l'Esprit de Dieu pour des déploiements victorieux sur l'emprise (l'Empire) du mal !
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.