Une chaîne TV sur internet qui diffuse 24/7 des émissions, des études, des témoignages, du direct avec tchat, des prières peuvent être demandées, des invitations à rencontrer Dieu, à connaître Jésus comme le Sauveur de quiconque croit en lui, des possibilités de délivrances, de guérisons...
Si vous êtes en recherche d'authenticité d'une vie personnelle spirituelle (plus que religieuse), d'un approfondissement de la vie de foi, d'une relation vivante avec le Dieu créateur de l'univers et des vies sur terre..., vous avez là un outil par quoi DIeu peut vous interpeler, se révéler à vous d'une manière ou d'une autre, en rapport de votre ou de vos problèmes...
PLONGÉE DANS UNE PROFONDE CONNAISSANCE DU RÉEL ET DE SOI en écoutant >> cette vidéo (27 mn) <<
Une interview (1987) d'André FROSSARD (journalisme, écrivain, académicien et surtout un témoin par expérience que Dieu existe).
Nota : Ne pas s'arrêter au cadre vieilli et catho de l'enregistrement.
Quand il n'y a plus d'amour
Que les nuits et les jours
Se traînent et que manger
même n'a plus d'attrait.
Quand il n'y a plus d'amour
Que penser devient lourd
Que dormir devient remède
Que rien d'autre nous vient en aide.
Un simple regard pourrait peut-être encore
Rallummer la chaleur de l'âme comme du corps ;
Mais où sont les yeux qui chercheraent les miens
rivés dans des écrans ou au trottoir de leur chemin.
Il fait froid dans ce monde, la guerre y fait rage
Et enrage les passions comme détruit les paysages,
Mutile et fait couler le sang entre dix publicités
Et le long d'informations lâchées sans discontinuer.
Et sans ça le silence abasourdit, suit la complainte
Des malheureux qui paient et ne savent quelle plainte
Déposer comme victime ou comme mal-né,
Qui pourra me renseigner !?
Je me souviens, je me souviens c'est loin...
Je ne souviens avoir entendu parler d'un « Oint »,
On m'avait dit son nom : Jésus, venu pour nous aider
Se chargeant de nos fautes ce qu'ils appelaient « péchés ».
Qu'était ce discours qui me revient comme si c'était hier !?
Que je n'ai pas accepter, faisant le fort faisant le fier
Et me volà parterre... prêt peut-être à écouter
Mais que disait-il de ce Jésus, qu'il était ressuscité...
Qu'il pouvait m'éviter la mort , quelque chose comme ça,
Qu'il était venu pour les perdus... comme je suis là...
Oui de quel livre, ah oui la Bible, m'avait-il dit où sont écrites
Les paroles de la vraie vie... Alors sans pouvoir aller trop vite
J'ai rallumé l'ordinateur, mon forfait était toujours prélevé
Peut-être internet allait pouvoir me dire si j'étais passé à côté...
Et j'apprends que « pécher » c'est passer à côté, hors de la cible
Que Dieu a préparée pour un bonheur qu'il rend à tous accessible.
N'ai-je pas trop attendu !? Mon cœur s'anime et je prends peur,
Qu'à cette porte - si c'est une porte - j'arrive quand ce n'est plus l'heure...
Est-ce que Dieu existe ? Me voit-il, a-t-il un mot que je puisse entendre,
Qu'il dirait et que, comme une bouée, je pourrais prendre
Comme une bonne nouvelle qui donne au cœur un oxygène...
Je tape sur le clavier comme sur un rocher que s'ouvre une veine
Un filon, un espoir, je tape Jésus.... Me sort Jésus de Nazareth ;
Jésus-Christ ; Qui est Jésus ; je suis en route, rien ne m'arrête
Le temps est ailleurs et dans la nuit des mots me sautent aux yeux,
A l'âme, à la conscience, je lis et je relis, est-ce paroles de Dieu :
« Qui a cru à ce qui nous était annoncé ? Qui a reconnu le bras de l’Éternel ? 2 Il s'est élevé devant lui comme une faible plante, Comme un rejeton qui sort d'une terre desséchée; Il n'avait ni beauté, ni éclat pour attirer nos regards, Et son aspect n'avait rien pour nous plaire. 3 Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.
4 Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. 5 Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.
6 Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie; Et l'Eternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous. 7 Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n'a point ouvert la bouche. 8 Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu'il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple ? 9 On a mis son sépulcre parmi les méchants, Son tombeau avec le riche, Quoiqu'il n'eût point commis de violence Et qu'il n'y eût point de fraude dans sa bouche.
10 Il a plu à l'Eternel de le briser par la souffrance... Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, Il verra une postérité et prolongera ses jours; Et l'oeuvre de l'Eternel prospérera entre ses mains. 11 A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards; Par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d'hommes, Et il se chargera de leurs iniquités.
12 C'est pourquoi je lui donnerai sa part avec les grands; Il partagera le butin avec les puissants, Parce qu'il s'est livré lui-même à la mort, Et qu'il a été mis au nombre des malfaiteurs, Parce qu'il a porté les péchés de beaucoup d'hommes, Et qu'il a intercédé pour les coupables. »*
Je marque la page le cœur marqué, touché, plein dans le 1000,
Comme à jamais, en plein dans mon péché, est-ce cela l’Évangile !
Je me vois sale et lavé aussi, je me vois, à travers des larmes maintenant
Qui coulent chaudes, abondantes, ô bienfaisance, Il a payé je le sens
Je le sais ! Quelle merveille, je vois Jésus en croix, son amour débordant
De ses souffrances, qu'il affronte d'un front percé mais d'airain, supportant
Tout avec une détermination ! Une détermination que je n'ai jamais eu
Pour faire le bien, pour résister au mal... ma honte, ma vie perdue,
Mes faillites, ma noirceur, mon égoïsme, mon orgueil, ma misère,
il les a pris, Il a tout pris, le mal de moi sur lui, frappé par son Père
Ensemble entendus pour accomplir la divine justice, pour payer le prix
Par son sang innocent et par la mort infâme... mais qui redonne vie.
Car il fallait passer par ce supplice pour engloutir le mal et Satan...
Ah, voilà qu'il existe bien ce Démon ! Un ange devenu vicieux, méchant,
Ennemi de Dieu et de notre genre, jaloux, haineux, sans limite dans le mal,
Capable de nous soumettre en nous rendant pire que le pire animal.
Et il n'est pas seul ce cruel ! J'apprends qu'i séduisit un tiers des anges
Les changeant en démons, en esprits maléfiques qui s'arrangent
Pour agir sans qu'on s'en donne, forts d'être rusés et invisibles
Pour que ce soit entre nous qu'on se batte, nous trompant toujours de cible.
Maintenant je vois ! Je réalise, je comprends. Que s'est-il donc passé
Que mes yeux soient ouverts, que mon âme soit tellement apaisée,
Que je me sente si léger, si bien, comme un pays en guerre est libéré !?
J'apprends alors ce que Dieu a fait : De lui je suis né !
L'amour est là ! L'amour, la paix – la vraie – intérieure, du cœur
Est là, la joie même qui fait rire et pleurer à la fois, d'un bonheur
Que je ne connaissais pas – qu'on ne connaît pas naturellement,
Il y faut le vrai Dieu, son amour et la foi notre âme rencontrant.
« Car Dieu a tant aimé le monde que nous formons
Qu'il a livré au mal son Fils unique, Jésus, en rançon,
Afin que n'importe qui d'entre nous qui croit en son sacrifice
Ne périsse pas et échappe à beaucoup de vices et de sévices
… Et de plus on reçoit, en soi, de par son Esprit venu des cieux
De pouvoir vivre éternellement en amour et en paix avec Dieu**,
Non seulement dans ce monde déchu et qui va disparaître
Mais surtout dans un autre univers où n'y aura que la joie d'être***.
_____________________
* Chapitre 53 du livre biblique du prophète d'Israël Yeshayahou - Esaïe.
** Evangile écrit par le disciple Jean, chapitre 3, versets 1-21.
Le fait que les mathématiques sous-tendent tout dans l'univers, commande comme avec cette plante grasse l'harmonie qui foisonne dans la nature, cela nous interroge-t-il sur le fait de notre propre présence dans ce monde !?
Le hasard ne peut rien créer de significatif, de consistant, de dynamique.
N'en résulte que des rencontres anodines, des croisements, approchements ou éloignements, aléatoires et sans conséquences de ce seul fait.
Le hasard n'entre pas dans le champ dominant des causalités, des causes à effets.
Ce qui se produit par pur hasard est donc neutre en soi, car dépourvu d'intelligence, de visée, de projection...
Le et les hasards sont sans vie, sans dynamique propre.
Il ne peut donc être créateur de rien qui ait du sens. Or le sens est une réalité primordiale de tout, qu'on le perçoive ou pas
Les sciences d'ailleurs ne sont que cette quête qui part du fait que les réalités sont gérées par des lois, des principes, et qu'on peut y voir encore plus clair en cherchant et trouvant qu'il y a un sens qui transcende tout : L'ensemble est plus grand que la somme des parties.
Une difficulté vient de ce qu'il y a derrière des hasards et/ou notre ignorance, des forces intelligentes qui, elles, peuvent se servir d'événements hasardeux pour s'en emparer et les faire entrer dans un champ de causalités, suivant une trajectoire qui vise le bien - ce que Dieu peut faire -, ou des trajectoires qui visent le mal - ce que font les esprits maléfiques de la sphère des ténèbres spirituelles - pour en tirer des profits iniques, des oublis, des déviance, des moyens de...
Le fait que l'univers soit dynamique, dans son ensemble et dans ses parties, exclut le hasard comme cause première. De même le fait qu'il soit bourré de lois à quoi il répond, d'organisations et de relations déterminées.
Et donc, l'évidence (largement voilée par des fumées aux yeux qui ne veulent nous laisser voir que ce qui est matériel) est que, si on ne peut attribuer l'origine et les organisations du Réel à du et des hasards, il n'y a pas d'autre possibilité qu'il y a (un) Dieu, intelligent, Créateur, qui est l'origine de tout.
Le fait qu'il ne s'impose pas à notre conscience, est une preuve de la réalité de notre liberté. Mais dès lors que nous comprenons et cherchons à le connaître, il fait des pas vers nous pour établir ou rétablir la relation qui a été coupée par le mal entre lui et nous.
Il nous appartient donc, par l'intelligence et autres capacités dont nous sommes pourvues, de chercher qui est le Créateur de l'univers, pourquoi nous sommes si naturellement et dramatiquement séparés de lui, et comment entrer en relation, une relation vivante avec lui.
Un schéma de base "3 et 1 font 1", nous permet d'approcher la structure évolutive de notre condition humaine, en générale et en particulier :
1 – On a tous été créés pour vivre éternellement,
2 – Une fatalité nous a rendus handicapés dans nos fonctions et mortels,
3 – Mais Dieu a révélé (révèle) sa solution à la problématique du Mal - ce qui est tout le sens et l'effet de la venue de Jésus, sa vie, sa mort et sa résurrection,
4 – Il dépend ensuite de nous de le savoir et de le croire... et d'en informer d'autres quand on sait qu'on a trouvé.
C'est ce 4e point qui est différent des trois, en ce que les précédents se présentent comme une organisation préexistante à notre apparition en tant qu'être intelligent, possédant une conscience de soi-même et donc capable de s'insérer – ou pas – dans le point 3. Sinon d'en rester au stade du drame où le mal continue à dominer sur nous. Et cela malgré même toute notre bonne volonté à désirer pour nous ou pour les autres le bien...
C'est dans cette liberté que je vous laisse là, où vous avez été conduit-e jusque là, et où cela devient votre part de pouvoir échapper à la fatalité de certaines souffrances et d'une mort* qui n'est vaincu que par notre foi placée au bon endroit, sur la bonne personne – le Dieu véritable et Sauveur dont la Bible nous rapporte les meilleures informations.
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* La mort est une réalité et concept plurielle, qui se décline en mort physique – celle qui nous permet de voir et de croire en cette fataité. Elle est une figure de notre mort spirituelle, celle qui fait notre séparation et ignorance de Dieu en tant que pouvant relationner avec nous, de son Esprit à notre esprit –.
Nous risquons aussi, sans implication personnelle dans la manière dont Dieu peut et veur nous donner en partage son éternité, la mort psychique (du grec psyché qui désigne l'âme, cette part essentielle de notre personne où siège la conscience que nous avons de nous-même et d'exister).
Pour une étude détaillée ici >> article Les 5 types de mort <
Que ce Dieu merveilleux, amour mais aussi Dieu tenu par la justice et par sa sainteté (pureté), vous aide à trouver en lui le secours qui vous est le plus nécessaire.
La fin de cette chaîne - qu'on connaît - est plus juste que la première partie qui est de pure imagination, ce que la connaissance et les sciences actuelles infirment.
ÉVOLUTIONNISME, "CONTE DE FÉE POUR ADULTE"
Le grand savant Jean Rostand dit un jour, repris par le Professeur Jérôme Lejeune : "L'évolution est un conte de fées pour adulte."
Issue d'un siècle qui était à peine dans le b-a-ba de la piste scientifique comme moyen de connaître le réel, cette hypothèse de Lamarck reprise par Laplace et autre Darwin, est complétement discréditée aujourd'hui par les découvertes scientifiques qui ont succédé à cette période (XIXe),.
Mais on continue à tromper le monde, des populations entières, pour mieux les tenir en bride politiquement et sociétalement par une adhésion presque obligée à une conception du vivant qui n'est que fabulation.
DEUX VIDÉOS SCIENTIFIQUES
2 vidéos pour qui veut savoir en aimant la vérité plus que les mensonges, par des scientifiques intègres sans langue de bois, qui tiennent à dire la vérité scientifique plus qu'à avoir et conserver un poste rémunéré par le système qui en tient ainsi beaucoup dans la tenaille évolutionniste.
"Malheur, avertit la Bible, à celui/celle qui retient la vérité captive' ! Lettre aux Romains, chap. 1.18
De fait le matérialisme athée prive l'humain de son identité première - celle de créature de Dieu - et du même coup de la connaissance et de sa bonne destinée éternelle dans "l'après existence" qui est vie de l'âme après la mort physique.
Qu'on observe un peu comme fruits de cette vue partisane non étayée tous les drames consécutifs à une telle vue purement matérialiste du monde...), avec le sexe comme objet essentiel visé du fait que la vie se perpetue par ce moyen selon des principes divins, ce que contestent les forces démoniaques, sataniques qui veulent parvenir à un contrôle total du genre humain désolidarisé de son Créateur.
Je veux parler là de deux niveaux d’illusion.
Le premier, basique, sesitue au niveau de notre existence ordinaire qui est essentiellement un formatage psychique produit par l’école d’une culture laïco-athée (enseignement orienté, partisan, insuffisant et rapports avec les autres), les réseaux sociaux et médias, films… et tout ce qui fait nos environnements les plus immédiats : On devient là ce que notre immersion socio-culturel nous fait, habité par toutes sortes de questions pas posées et de problèmes pas réglés.
Il en résulte dans quasiment tous les cas, au moins un problème grave, une difficulté ou deux plus grosses que toutes les autres, qui nous atteint en plein coeur et/ou en pleine raison, nous laissant désarçonné, dans l’incompréhension du sens de ce qui nous arrive et de la vie ici-bas en général.
Ce genre de difficultés (trahison, rejet, divorce, accident, maladie grave, licenciement, agression…) produit une rupture, une cassure ou une fin, dans notre continuum ordinaire jamais interrogé, constitue en fait un jugement, une sanction, sur notre mode de vie et comportement.
Comprendre cette notion de jugement qui tombe sur notre existence est un premier pas important pour sortir de notre illusion d’un univers où on peut faire impunément tout ce qu’on pense et tout ce qu’on veut.
A ce point, on peut avoir besoin de soins physiques, pour des blessures corporelles, mais dans tous les cas on a besoin d’une aide psychologique (du grec psyché qui désigne notre âme) au plan de notre compréhension basique. C’est là qu’on entend parler de « consulter » un-e psy ou de « cellule psychologique ».
… Ce qui peut être un accompagnement positif pour nous faire saisir quelques notions en vue d’un apaisement émotionnel, mais pas encore une aide substantielle tant que la dimension spirituelle de notre être et de nos environnements n’est pas abordée.
Cat si nous sommes des êtres physiques et psychiques, comme sont les animaux, à leur différence nous sommes des êtres qui devrions aussi avoir en nous -même une dimension esprit, par distinction avec l’âme que nous sommes. Or l’esprit en nous est le plus souvent une place vide – « un vide en forme de Dieu », disait Pascal –. que des apports seulement psychologiques (pour le soutien de l’âme) ne peuvent combler.
Et c’est là le seconde niveau des illusions : que nous croyons qu’on va résoudre nos difficultés existentielles et essentielles seulement en administrant quelques conseils (voire des médicaments!) : c’est comme mettre du plâtre là où il faut mettre du ciment ou mettre du polystyrène là où il faudrait du bois.
LA BOURDE DE LA PSYCHOLOGIE ORDINAIRE
Dans plusieurs domaines scientifiques, des bourdes n’ont pas manqué… ce qui nous aide à garder du recul – c’est-à-dire de notre liberté – face à la psychologie. Car si un psy n’a rien de mieux à dire que la solution de votre problème (la souffrance, le trouble, l’insécurité, la peur, la paralysie...) est en vous, dépend de vous, de vos choix, de votre force à mettre en œuvre pour…., vous risquez de poursuivre dans l’illusion quant à la connaissance de soi et à l’approche d’une solution pertinente et pérenne.
Pour éviter un tel écueil (qui peut vou faire perdre encore des années dominées par des tâtonnements d’aveugle), il est important de bien voir qu’on n’est pas aussi bon et gentil et honnête qu’on veut bien (se) le faire croire, et que c’est pas encore de nous que la solution va sortir.
Certes, on va y être pour quelque chose, mais surtout en plaidant d’abord coupable pour notre existence conduite de nos propres mains jusque là, et particulièrement jusqu’à ce clash qui nous a surpris par sa soudaineté ou sa force destructive.
Cat tout ce qui nous arrive, notamment de grave, ne tient pas du hasard, de « la faute à pas de chance », mais de nous ! Même si nous n’avons que 15 ou 20 % de responsabilité dans ce qui nous arrive, que ce soit un divorce, un accident, ina maladie grave, un viol ou le fait d’être battu…
C’est le genre de vérité difficile à dire et à admettre, mais sans vérité on reste dans le leurre, et dans une part d’illusion sur nous-même, on ne peut pas compter obtenir un changement sensible, vraiment et durablement bénéfique.
Nous sommes donc tous des coupables, pour un part minimum ou pour beaucoup dans ce qui nous arrive. Et c’est en plaidant coupable qu’on va pouvoir entendre la bonne voie à suivre pour passer de(s) échec(s) à un succès encore jamais atteint.
L’autre chose à voir si on veut recevoir du bien, du bonus (même immérité), est que nous sommes tous des êtres faits de manques. Aucun de nous n’est complet en lui-même. Pas plus que nous serions que quelqu’un de bien, nous ne sommes sans avoir besoin de manière permanente d’autre que nous-même pour être (la relation est la quattrième roue de notre charrette, avec notre corps, notre âme et l’esprit). Pour la bonne est unique raison que Dieu nous conçus et créés ainsi – ce qu’aucun hasard par ailleurs n’aurait pu faire apparaître…).
Et dans cette vue que nous sommes au départ des créatures de Dieu, nous pouvons avancer vers un secours véritable.. ; qui sera le sien !
Car si nous avons besoin d’air pour respirer, de verdure, d’eau, poisson ou viande pour grandir ou nous sustenter, de dormir pour nous recharger, de bonnes relations pour bien vivre… dont une relation vivante avec Dieu, sans quoi notre esprit dépérit et nous avec.
Malgré l’invisibilité immédiate de Dieu – comme celle de l’air, des forces électromagnétique, telluriques, cosmiques ou quantiques –, il est tout aussi raisonnable que surnaturel de croire en Dieu et de s’dresser à lui pour trouver par lui une plénitude de notre être que rien d’autre ne peut assurer.
Et pour connaître Dieu, écoutons comme des enseignants et expérienceurs authentiques et fiables ceux qu’il a sélectionnés pour nous donner par leurs écrits la Bible (premièrement, et bien d’autres ouvrages ou sites complémentaires).
Comme David, le berger devenu roi par sa vaillance, son intelligence, son sens artistique et sa foi, approchons-nous de Dieu en nous unissant à ses paroles dans la droiture de notre propre coeur :
«Psaume de David. 2 Lorsque Nathan, le prophète, vint à lui, après que David fut allé vers Bath-Schéba. 3 O Dieu ! aie pitié de moi dans ta bonté; Selon ta grande miséricorde, efface mes transgressions; 4 Lave-moi complètement de mon iniquité, Et purifie-moi de mon péché. 5 Car je reconnais mes transgressions, Et mon péché est constamment devant moi. 6 J'ai péché contre toi seul, Et j'ai fait ce qui est mal à tes yeux, En sorte que tu seras juste dans ta sentence, Sans reproche dans ton jugement. 7 Voici, je suis né dans l'iniquité, Et ma mère m'a conçu dans le péché. 8 Mais tu veux que la vérité soit au fond du coeur : Fais donc pénétrer la sagesse au dedans de moi! 9 Purifie-moi avec l'hysope, et je serai pur; Lave-moi, et je serai plus blanc que la neige. 10 Annonce-moi l'allégresse et la joie, Et les os que tu as brisés se réjouiront. 11 Détourne ton regard de mes péchés, Efface toutes mes iniquités. 12 O Dieu ! crée en moi un coeur pur, Renouvelle en moi un esprit bien disposé. 13 Ne me rejette Pas loin de ta face, Ne me retire pas ton esprit saint. 14 Rends-moi la joie de ton salut, Et qu'un esprit de bonne volonté me soutienne ! 15 J'enseignerai tes voies à ceux qui les transgressent, Et les pécheurs reviendront à toi. 16 O Dieu, Dieu de mon salut ! délivre-moi du sang versé, Et ma langue célébrera ta miséricorde. 17 Seigneur ! ouvre mes lèvres, Et ma bouche Publiera ta louange. 18 Si tu eusses voulu des sacrifices (des pratiques rituelles de religion), je t'en aurais offert; Mais tu ne prends point plaisir aux holocaustes. 19 Les sacrifices qui sont agréables à Dieu, c'est un esprit brisé : O Dieu ! tu ne dédaignes Pas un coeur brisé et contrit... » (Psaume 51).
Si vous avez la même disposition de coeur que David écrivant ces parols, vous serez entendu comme lui du même Dieu éternel dont Jésus fut l’émanation majeure en vue de ce pardon dibin si nécessaire de nos fautes, afin que nous soyons réconcilieés et en paix avec le Bien et l’éternité bénie :
« il y eut un homme d'entre les pharisiens, nommé Nicodème, un chef des Juifs, qui vint, lui, auprès de Jésus, de nuit, et lui dit : Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n'est avec lui.
Jésus lui répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu.
Nicodème lui dit : Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître ?
Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l'Esprit est esprit. Ne t'étonne pas que je t'aie dit : Il faut que vous naissiez de nouveau.
Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d'où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l'Esprit.
Nicodème lui dit : Comment cela peut-il se faire ?
Jésus lui répondit : Tu es le docteur d'Israël, et tu ne sais pas ces choses ! En vérité, en vérité, je te le dis, nous disons ce que nous savons, et nous rendons témoignage de ce que nous avons vu; et vous ne recevez pas notre témoignage. Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses célestes ? 13 Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel. 14 Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé (crucifié), afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle. Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées; 21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites selon Dieu. » Evangile selon Jean, chap. 3.
Si vous désirez prier pour vous confier en Dieu le Créateur et Sauveur de nos âmes mortellles, ici >> accès à une aide de prières <<
Il y a deux catégories de fête : Celles qui rappellent un événement libérateur passé, et celles qui sont un moment dérivatif sans autre motif que se divertir d'un quotidien contraignant ?
D'un côté un souvenir de a solution divine à notre existence aliénée et chaotique, de l'autre c'est plutôt un oubli du fond ordinaire problématique de notre condition contrainte et contraignante.
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Dans les deux cas le vin est généralement de la fête, ce que Dieu ne condamne pas puisque lors d'un mariage Jésus changea de l'eau en vin : après Mac modération ou les excès font partie de notre liberté, avec des effets conrespondants..
Mais que fêtent les fuifs d'une part, les chrétiens par ailleurs, outre un week-end prolongé dont tout le monde généficie ?
DEUX FÊTES DE PÂQUE(S)
Pour les deux types de croyants, il s'agit de se rappeler (célébrer, commémorer) une grande libération, le passage de deux conditions d'existence plutôt mauvaise ou franchement déplorable, à une liberté de penser, de parler ou de bouger qu'on ne soupçonnait même pas.
Comment comprendre que c'est Mac même fête, mais qui se vit d'une manière et pour une raison à Mac fois toute différente (dans l'aspect, Mac période, le déclencheur), mais aussi très semblable (dans la profondeur) ?
En fait on a comme afffaire d'abord à une réalité véritable qui est aussi une image, une préfiguration, d'une autre manière de faire, pour le même but, mais élargi, amplifié, sublimé, qui se réalise en un autre temps, d'une manière autre, sans rien changer à l'idée et à l'accomplissement d'une importante libération de contraintes sévères, resrictives, aliénantes et dégradantes.
D'UNE LIBERATION A UNE AUTRE
Ce que fête (par une semaine de solennités) le monde juif croyant, c'est la libération de l'esclavage dans lequel ce peuple (tous descendants d'Abraham et de sa femme Sarah) était tombé dans l'Egypte des temps pharaoniques... (ce que rapporte la Bible à partir du chapitre 37 du livre de la Genèse et dans celui de l'Exode à Mac suite).
Cela s'est passé il y a environ 3 400 ans, du temps de Moïse, où l'Eternel-Dieu demanda de sacrifier un agneau par famille, le sang de l'animal innocent tué leur assurant, par leur obéissance à pratiquer ainsi) la protection divine... et accessoirement la viande grillée pour leur donnant une bonne nourriture.
Cela donne le repas (seder en hébreu) de Pâque (Pessah), ce dernier mot évoquant le moment précis où le sang fait couverture/protection divine face à « l'ange de la mort » (que figure pour les jours que nous vivons « le cheval vert » dans le livre de l'Apocalypse) - Pour plus de détail >> article précédent ici <<... sachant encore que ce qui permet Mac protection maximum de Dieu, c'est le pardon des transgressions, que seul du sang innocent a le pouvoir d'effacer.
Et puis, il y a 2 000 ans, est apparu Jésus (Yshoua en hébreu, dont le nom signifie « Dieu sauve » ou « Dieu Sauveur »), engendré surnaturellement comme (d'un côté) un fils par Dieu-l'Esprit Dieu en sa fonction de concrétisateur/matérialisation des pensées ou concepts divins, et (d'un autre côté) comme fils d'homme (puisque engendré dans le sein de Myriam/Marie fiancé de Joseph).
La finalité de cette apparition théophanique est expressèment que Jésus soit « l'Agneau de Dieu qui ôte le péché/le mal du monde ». 1er chap. de cette Bonne Nouvelle écrite par Jean.
Ainsi, après avoir montré sa messianité (divinité) par des paroles étonnantes et d'une force et permanence inégalées, accompagnées/attestées (pour les valider) par quantité de signes, miracles et autres prodiges d'ordre surnaturel, Jésus dut aller jusqu'au bout de cette mission inouïe, savoir se laisser volontairement prendre la vie.
Par qui ? Par ceux d'alors que le mal dominait, leaders et population juifs qui se sont asociés l'occupant romain idolâtre, jusqu'à les rendre ensemble barbares, leur faisant commettre injustice sur injustice, jusqu'à la pire : Tuer avec haine et rage et dans toute leur impuissance face aux démons (esprits invisibles mais réels et présents) qui les excitaient - comme cela se fait pareillement de nos jours, au loin ou tout près.
Ainsi Jésus, qui n'avait que la vérité à dire pour éclairer ce monde ! - fut crucifié comme un pire brigand... mais pas du tout pour rien, car cela était précisément Mac réaction que Dieu savait d'avance et qui lui permettait d'accomplir son plan: Nous libérer et sortir de notre séparation mprtellle dramatique d'avec Dieu.
C'est ainsi que Jésus devint lui-même la Pâque – potentiellementfavorable à l'humanité entière -, l'agneau du sacrifice de Pessah, spiritualisant cette prescription ancienne imprescriptible en la laissant s'accomplir sur sa propre personne.
Aucun sacrifice ne fut jamais aussi conséquent, comme on peut le lire, l'apprendre et le voir dans le monde...
MORT, MAIS AUSSI RESURRECTION ET PLUS ENCORE
Après les manifestations de sa résurrection et de son élévation céleste, Pierre a pu s'écrier, après avoir reçu (avec 119 autres personnes) l'Esprit Divin comme preuve de la glorication du Messie Yeqhoua, Jésus « l'Agneau de Dieu » au pouvoir de pardonner les péches, par Dieu (en-ce-qu'il-est-immuable) : « Que toute la maison d'Israël (est le monde entier à Mac suite) sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié. » Livre des Actes 2:36 .
FÊTER UNE ET DES LIBERATIONS
Il y a deux catégories de fête : Celles qui rappellent un événement libérateur passé, et celles qui sont un moment dérivatif sans autre motif que se divertir d'un quotidien contraignant ?
D'un côté un souvenir, de l'autre plutôt de l'oubli.
Dans les deux cas le vin est généralement de la fête ce que Dieu ne condamne pas puisque lors d'un mariage Jésus changea de l'eau en vin : après Mac modération ou les excès font partie de notre liberté, avec des effets conrespondants..
Mais que fêtent les fuifs d'une part, les chrétiens par ailleurs, outre un week-end prolongé dont tout le monde généficie ?
DEUX FÊTES DE PÂQUE(S)
Pour les deux types de croyants, il s'agit de se rappeler (célébrer, commémorer) une grande libération, le passage de deux conditions d'existence plutôt mauvaise ou franchement déplorable, à une liberté de penser, de parler ou de bouger qu'on ne soupçonnait même pas.
Comment comprendre que c'est Mac même fête, mais qui se vit d'une manière et pour une raison à Mac fois toute différente (dans l'aspect, Mac période, le déclencheur), mais aussi très semblable (dans la profondeur) ?
En fait on a comme afffaire d'abord à une réalité véritable qui est aussi une image, une préfiguration, d'une autre manière de faire, pour le même but, mais élargi, amplifié, sublimé, qui se réalise en un autre temps, d'une manière autre, sans rien changer à l'idée et à l'accomplissement d'une importante libération de contraintes sévères, resrictives, aliénantes et dégradantes.
D'UNE LIBERATION A UNE AUTRE
Ce que fête (par une semaine de solennités) le monde juif croyant, c'est la libération de l'esclavage dans lequel ce peuple (tous descendants d'Abraham et de sa femme Sarah) était tombé dans l'Egypte des temps pharaoniques... (ce que rapporte la Bible à partir du chapitre 37 du livre de la Genèse et dans celui de l'Exode à Mac suite).
Cela s'est passé il y a environ 3 400 ans, du temps de Moïse, où l'Eternel-Dieu demanda de sacrifier un agneau par famille, le sang de l'animal innocent tué leur assurant, par leur obéissance à pratiquer ainsi) la protection divine... et accessoirement la viande grillée pour leur donnant une bonne nourriture.
Cela donne le repas (seder en hébreu) de Pâque (Pessah), ce dernier mot évoquant le moment précis où le sang fait couverture/protection divine face à « l'ange de la mort » (que figure pour les jours que nous vivons « le cheval vert » dans le livre de l'Apocalypse) - Pour plus de détail >> articles plus explicatifs ici <<... sachant encore que ce qui permet Mac protection maximum de Dieu, c'est le pardon des transgressions, que seul du sang innocent a le pouvoir d'effacer.
Et puis, il y a 2 000 ans, est apparu Jésus (Yshoua en hébreu, dont le nom signifie « Dieu sauve » ou « Dieu Sauveur »), engendré surnaturellement comme (d'un côté) un fils par Dieu-l'Esprit Dieu en sa fonction de concrétisateur/matérialisation des pensées ou concepts divins, et (d'un autre côté) comme fils d'homme (puisque engendré dans le sein de Myriam/Marie fiancé de Joseph).
La finalité de cette apparition théophanique est expressèment que Jésus soit « l'Agneau de Dieu qui ôte le péché/le mal du monde ». 1er chap. de cette Bonne Nouvelle écrite par Jean.
Ainsi, après avoir montré sa messianité (divinité) par des paroles étonnantes et d'une force et permanence inégalées, accompagnées/attestées (pour les valider) par quantité de signes, miracles et autres prodiges d'ordre surnaturel, Jésus dut aller jusqu'au bout de cette mission inouïe, savoir se laisser volontairement prendre la vie.
Par qui ? Par ceux d'alors que le mal dominait, leaders et population juifs qui se sont asociés l'occupant romain idolâtre, jusqu'à les rendre ensemble barbares, leur faisant commettre injustice sur injustice, jusqu'à la pire : Tuer avec haine et rage et dans toute leur impuissance face aux démons (esprits invisibles mais réels et présents) qui les excitaient - comme cela se fait pareillement de nos jours, au loin ou tout près.
Ainsi Jésus, qui n'avait que la vérité à dire pour éclairer ce monde ! - fut crucifié comme un pire brigand... mais pas du tout pour rien, car cela était précisément Mac réaction que Dieu savait d'avance et qui lui permettait d'accomplir son plan: Nous libérer et sortir de notre séparation mprtellle dramatique d'avec Dieu.
C'est ainsi que Jésus devint lui-même la Pâque – potentiellementfavorable à l'humanité entière -, l'agneau du sacrifice de Pessah, spiritualisant cette prescription ancienne imprescriptible en la laissant s'accomplir sur sa propre personne.
Aucun sacrifice ne fut jamais aussi conséquent, comme on peut le lire, l'apprendre et le voir dans le monde...
MORT, MAIS AUSSI RESURRECTION ET PLUS ENCORE
Après les manifestations de sa résurrection et de son élévation céleste, Pierre a pu s'écrier, après avoir reçu (avec 119 autres personnes) l'Esprit Divin comme preuve de la glorication du Messie Yeqhoua, Jésus « l'Agneau de Dieu » au pouvoir de pardonner les péches, par Dieu (en-ce-qu'il-est-immuable) : « Que toute la maison d'Israël (est le monde entier à Mac suite) sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié. » Livre des Actes 2:36 .
à suivre, à 11 h.
on verra aussi le rapport entre le sang du sacrifice et sa symbolique active le vin dans le "repas du Seigneur" ou "sainte-cène"...
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* Cependant toutes les libertés prises ne sont pas forcémnt bonnes, réellement libératrices ; on parle de libertés liberticides.Elles sont un basculement du type « aller de Charybde en Scyla », d'un mal dont on sort pour tomber dans un mal plus grand (plus contraignant encore, jusqu'à un esclavage sévère ou addiction).
** Avec le commandement d'Aimer, comme synthèse de tous les commandements divins, Jésus a simplifié au maximum les obligations à caractère rituel, avec seulement l'obligation du baptême - comme signe physique de l'invisible intérieur qu'est la naissance spirituelle (Jean 1.12, 13 et chap. 3 – 1 Pierre 3:21) - et l'invitation à rappeler par la sainte-cène ou repas du Seigneur la mort du Christ Jésus « jusqu'à ce qu'il (re)vienne » - ce qui approche très vite (1 Corinthiens 11:23 etc...).
Position de l'être humain
entre sa naissance physique et l'éternité
Tout ce qu'on a appris, a été appris en croyant ce qu'on entendait, lisait ou nous disait.
Chaque jour, chaque heure, on fonctionne par ce principe "d'appel à bouger" (croire que..., croire en... foi en...), parfois avec de la maîtrise ou du recul pour trier, et parfois on n'y pense même pas avant de faire un faux-pas dangereux, un mauvais choix dramatique...
Ici, permettez-moi de vous inviter à lire ou entendre des paroles parmi les plus révolutonnaires, bénéfiques, authentiques de vérité, et croyables ! qui peuvent vous donner un tonus, un enthousiasme ou un espoir comme vous n'avez peut-être jamais eu.
Des paroles qui disent ce qu'est un après, quand on a compris que vivre sans connaître Dieu est notre plus grand drame, par ses effets, dont les crises qui s'additionnent et d'amplifient sont le résultat et jugement.
LA PLUS PERTINENTE TRANSITION HUMAINE
Vous savez comme tout un chacun, par expériences et informations, ce qu'il en est de votre vie présente : mal-être, mal de vivre, insatisfaction, échec, catastrophe, difficulté à relationner sans accrocs, pensées ou pulsions indomptables, sentiment d'insécurité, culpabilité...).
Si vous ne connaissez pas Dieu, est l'AVANT d'une relation vivante avec Lui ;
Découvrez donc maintenant (si cela n'a jamais été) ce qu'il en est possiblement pour vous d'un APRÈS, d'un statut nouveau, d'une existence augmentée par et avec Dieu.
SACHEZ, ET CROYEZ
Pour vous en faire une idée juste, je vous invite à >> écouter en cliquant ici <<, et/ou à lire directement ci-après :
"Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus-Christ. (1ère Lettre ou épître biblique)
En effet, la loi de l'esprit de vie (quand on a reçu cet Espit de Dieu en nous...) en Jésus-Christ m'a affranchi de la loi du péché et de la mort (déterminisme du mal dominant notre volonté même). Car chose impossible à la loi, parce que la chair la rendait sans force,-Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché, et cela afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'esprit.
Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l'esprit s'affectionnent aux choses de l'esprit. Et l'affection de la chair, c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la paix ; car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu'elle ne le peut même pas. Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu.
Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l'esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient pas. Et si Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l'esprit est vie à cause de la justice. Et si l'Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d'entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d'entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous.
Ainsi donc, frères, nous ne sommes point redevables à la chair, pour vivre selon la chair. Si vous vivez selon la chair, vous mourrez; mais si par l'Esprit vous faites mourir les actions du corps, vous vivrez, car tous ceux qui sont conduits par l'Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Et vous n'avez point reçu un esprit de servitude, pour être encore dans la crainte; mais vous avez reçu un Esprit d'adoption, par lequel nous crions : Abba ! Père ! L'Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d'être glorifiés avec lui.
J'estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous. Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. Car la création a été soumise à la vanité,-non de son gré, mais à cause de celui qui l'y a soumise, avec l'espérance qu'elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu. Or, nous savons que, jusqu'à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l'enfantement. Et ce n'est pas elle seulement; mais nous aussi, qui avons les prémices de l'Esprit, nous aussi nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l'adoption, la rédemption de notre corps. Car c'est en espérance que nous sommes sauvés. Or, l'espérance qu'on voit n'est plus espérance : ce qu'on voit, peut-on l'espérer encore ? Mais si nous espérons ce que nous ne voyons pas, nous l'attendons avec persévérance.
De même aussi l'Esprit nous aide dans notre faiblesse, car nous ne savons pas ce qu'il nous convient de demander dans nos prières. Mais l'Esprit lui-même intercède par des soupirs inexprimables; et celui qui sonde les coeurs connaît quelle est la pensée de l'Esprit, parce que c'est selon Dieu qu'il intercède en faveur des saints.
Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. 29 Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères. Et ceux qu'il a prédestinés, il les a aussi appelés; et ceux qu'il a appelés, il les a aussi justifiés; et ceux qu'il a justifiés, il les a aussi glorifiés.
Que dirons-nous donc à l'égard de ces choses ? Si Dieu est pour nous, qui sera contre nous ? Lui, qui n'a point épargné son propre Fils, mais qui l'a livré pour nous tous, comment ne nous donnera-t-il pas aussi toutes choses avec lui ? Qui accusera les élus de Dieu ? C'est Dieu qui justifie ! Qui les condamnera ? Christ est mort; bien plus, il est ressuscité, il est à la droite de Dieu, et il intercède pour nous ! Qui nous séparera de l'amour de Christ ? Sera-ce la tribulation, ou l'angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l'épée ? selon qu'il est écrit : C'est à cause de toi qu'on nous met à mort tout le jour, Qu'on nous regarde comme des brebis destinées à la boucherie. Mais dans toutes ces choses nous sommes plus que vainqueurs par celui qui nous a aimés.
Car j'ai l'assurance que ni la mort ni la vie, ni les anges ni les dominations, ni les choses présentes ni les choses à venir, ni les puissances, ni la hauteur, ni la profondeur, ni aucune autre créature ne pourra nous séparer de l'amour de Dieu manifesté en Jésus-Christ notre Seigneur." (1ère lettre biblique dite Aux Romains, chap. 8)
La colombe
qu'on a réduite à symbole de paix,
alors qu'elle est surtout le symbole de l'Esprit Divin, qui connaît les temps par rapport à ce qui est bien et ce qui est mauvais (c'est son origine, au temps de Noé), et qui communique la force de Dieu à qui veut le croire et le suivre (illustration de ce renouveau avec son retour* au moment du baptême de Jésus)
:
Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.