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19 juillet 2023 3 19 /07 /juillet /2023 20:25

Une expression de la Théorie du tout...

Voulez-vous lire un article qui donne une synthèse et unification des notions de "Science" et de "Foi", ce qu'on oppose souvent au point de rendre la connaissance des réalités et des vérités qui les forment confuse, artificiellement séparée, ouvrant des voies/xoix mauvaises pour qui s'y laisse(nt) prendre.

 

ici donc l'article aux accents révolutionnaires qui propose une "Nouvelle Nomenclature de l'univers", sous forme de quatre principes premiers fondamentaux qui disent une structuration et les dynamiques universelles de ce monde <<  

Un complément élaboré à la classification par les quatre forces d'interactions fondamentales déjà  admises.

Bien cordialement,

C.T. copyright - Usage complet avec autorisation

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29 juin 2023 4 29 /06 /juin /2023 19:00

 

suite de l'article commencé >> ici <<

 

VOILÉ, LE RÉEL EST BIEN PLUS QUE LE MATÉRIEL


Tout ce qu’il y a de surnaturel, d’organisé, de dynamique, de calculé, de profond, dans chacun de ces quatre principes et dans leur somme, peut orienter pour faire entrevoir le Réel à qui à des yeux et de l’entendement, voire pour révolutionner qui n’en avait pas la moindre idée.
Le Réel nous est fermé par un voile, le voile de la séparation entre le charnel, notre conscience humaine naturelle, et la sphère spirituelle divine. Sous ce voile, nous croyons et pratiquons la foi sans cesse, tout en étant incapables de croire en Dieu ou d’y croire correctement, de manière spirituelle.
Ce voile ne se lève qu’en Dieu, par son Esprit, à l’un des moments qu’il voit les plus propices pour que ses interventions gracieuses paraissent au seuil de notre conscience, venant l’élargir par un ou l’autre des rayons de sa lumière unique et plurielle (voir l’image biblique des sept lampes).


Alors il faut revenir de cette aberration de vue accidentelle et accidentée, anormale et devenue normalité, qui tient du rétrécissement du champ visuel (causé par des éclairages extérieurs aveuglants et une pression interne qui détruit périphériquement les cônes et les bâtonnets formant la rétine).

 

CHANGER DE PARADIGME (COMME ON DIT)

 

C’est se secouer de préjugés, d’opinions, d’aberrasions de vue, du formatage premier par lequel on est introduit dans l’univers de la conscience. Une crise existentielle profonde permit à Dieu de révéler à René Descartes sa méthode, ce qui lui fit écrire : « Pour atteindre la vérité, il faut une fois se défaire de toutes les opinions qu’on a reçues, et faire tout à nouveau le système de ses connaissances. »

Lorsque quelqu’un donc, dit qu’il ne croit qu’à ce qu’il voit, il se leurre lui-même par ignorance du processus de la foi qui fait son fonctionnement quasi permanent. Voit-on l’air que l’on respire, sa qualité et sa nocivité ? Voit-on la terre tourner autour du soleil ou le contraire qui est malgré l’évidence une mauvaise vue ?


De même celui/celle qui dit ne pas croire en Dieu croit mal, d’une part car il faut beaucoup plus de foi pour croire que c’est par un Grand Hasard et ses petits hasards que tout l’univers est apparu et s’est organisé ; d’autre part parce que l’athée est un croyant comme les autres, qui use du principe de foi pour croire qu’il n’y a pas de Dieu ou que Dieu n’existe pas, ce qu’il ne peut de son point de vue ni savoir ni démontrer.

 

Bref, on est tous d’abord et essentiellement des croyants, et chacun sera plus ou moins motivé, de l’intérieur ou par des influences extérieures, pour voir ce que cela donne de partir du postulat que Dieu est, ou de celui qu’il n’y a pas de Dieu connaissable et qui nous connaît.

 

Ainsi cherchons à avancer comme un train sur des rails stabilisés ou comme un bateau dont l’étrave ouvre la mer des vérités pour en tirer des connaissances justes, des expériences indéniables, une foi spirituelle ancrée qui pose en nous des certitudes et produit de bonnes actions, des œuvres selon Dieu.

 

 

BIEN ET MAL, JUSTE ET FAUX, SAVOIR ET/OU CALCULER

 

« Bonnes actions » car nous savons bien que les actions mauvaises ne sont pas que le lot des autres ! C’est-à-dire qu’on doit être comme ce chat que j’ai vu littéralement réfléchir, calculer, supputer, analyser sur plusieurs jours, comment il pourrait bien monter à l’échelle d’un lit gigogne comme il voyait faire.
Comme il était parfois à regarder ce sommet devenu tentant et à sa vue inatteignable, j’ai pensé lui poser les pattes avant sur les premiers barreaux pour qu
il comprenne que lui aussi peut grimper par cette échelle.
Et quelques
jours après, sentant qu’il avait trouvé où et comment poser ses quatre pattes sur les barreaux (étroits et ronds), il réussit du premier coup ! Il avait fait le chemin mental de cette ascension : Extraordinaire !


Alors nous aussi mettons notre foi en action pour des dépassements qu’on ne soupçonne même pas... tant que quelque chose ou quelqu’un ne vienne soulever un coin du voile* : Il avait fallu que je l’amorce, simulant en ce chat de son potentiel, pour que cet accès soit aussi pour lui (et à la suite il ne s’en est pas privé).

Concernant la foi qui doit être activée en vue d’une bonne connaissance de Dieu et des espaces spirituels, je ne saurais que trop vous orienter vers les paroles de Jésus et tout son Evangile qui forme le Nouveau Testament, et plus largement vous inviter dans la foulée à « poser les pattes sur les barreaux étroits et ronds » de toute la Bible.

 

« Car la foi (d’ordre divin) vient de ce qu’on entend, ce qu’on entend de la parole de Christ (l’Évangile ou Nouveau Testament). » Lettre aux Romains chap. 10, vers. 17

 

________________
* Il est intéressant de noter qu’en grec (langue fondatrice avec le latin de notre français) la vérité se dit alétheia. Ce mot vient du mot-racine
lanthano qui signifie voilé, caché, masqué, précédé du a négaitf. La vérité est donc ce que nous avons à rechercher, à mettre en lumière, étant un dévoilement en elle-même.
_______________

 

 

UN MOTEUR PRÉ-PREMIER !

 

 

Le fait que ce principe d’appel à… ou de foi semble se réduire à une dynamique spécifique aux règnes animal et humain, n’empêche pas qu’on puisse parler d’une force élaborée intelligente universelle pour trois raisons :


1 – LA SUPRÉMATIE DU VIVANT

Parce que le vivant est bien plus important, si ce n’est en quantité du moins en capacité, potentialité, puissance et effets que ce qui fait le monde inerte minéral, pesant, inanimé ou même végétal.

2 – LA NÉCESSITÉ PARLANTE DE TOUT

Le règne végétal avec ses minéraux et ses fonctions dynamiques est une part importante nécessaires des environnements, qui fait la jonction entre les âmes capables de se mouvoir d’elles-mêmes et tout ce qui n’a pas de possibilité de se déplacer soi-même.

 

Plus largement, la Bible enseigne qu’au delà de nos capteurs et sens immédiats limités, les choses inanimées du ciel et de la terre ont des langages dont les signes peuvent nous parler, recevoir une interprétation, perception ou compréhension au plan de la conscience individuelle.

« Les cieux racontent la gloire de Dieu, Et l'étendue manifeste l'oeuvre de ses mains. 3 Le jour en instruit un autre jour, La nuit en donne connaissance à une autre nuit. 4 Ce n'est pas un langage, ce ne sont pas des paroles Dont le son ne soit point entendu : 5 Leur retentissement Parcourt toute la terre, Leurs accents vont aux extrémités du monde... » Psaume 19

 

On sait que des animaux ont des sens bien plus développés ou plus nombreux que nous. Des expériences surnaturelles au-delà de notre monde sensible, ont permis à quantité de personnes de voir des couleurs que nous ne voyons pas en étant dans ce corps, de voir des anges ou Jésus ressuscité, ou encore de sentir la réalité et un peu de l’intensité permanente de l’amour de Dieu (amour qu’il est).

 

On a par exemple découvert une confirmation de la création temporelle de l’univers (dit le Big bang en science), en captant et comprenant que le bruit produit par cet événement se propage encore sous nos yeux ou à nos oreilles, ce qu’on appelle « le fond cosmologique diffus », qui se voit sur des téléviseurs allumés ne diffusant pas d’émissions, sous forme de « neige », ou se capte avec des instruments qui amplifient nos dispositions sensibles ordinaires.

 

3 – DIEU A, EXERCE ET PARTAGE LA FOI

En toute logique et raison bien construite, voire par simple bon sens, on peut admettre que ce principe a été introduit (incrusté, enchassé et scellé) dans l’univers parce qu’il était préalablement dans la nature créatrice de qui ne peut être Hasard et aléatoire, mais est forcément (un) Dieu dont les capacités propres, extérieures et nettement supérieures à tout ce qui est là de visible et d’invisible, unifié et diversifié, ont été dispatchées. Semées avec précision et à la volée, partagées avec sagesse, amour et joie (donne à penser l’Esprit même qui était dès avant les oriines, qui va et qui vient et qui fait).


De la sorte, personne vivante dont nous sommes une infime mais significative représentation, Dieu peut nous instruire, révéler, faire connaître du monde, de nous-même et de Lui, ce qu’il veut quand il veut, qui est caché ou découvert seulement en partie, ce qui est du bien et du mal – cette dualité problématique essentielle à connaître qui tient compte et résulte du jeu des fixités et d’une liberté bien réelle accordée à ses créations supérieures dont nous sommes.

 

Quelle foi de Dieu dans cette liberté consentie une première fois, lors de la création des anges, sans le moindre soupçon qu’ils pourraient trouver en elle un moyen de sortir du Bien (à la fois total et infini) !
« L’amour ne soupçonne pas le mal » (1Corinthiens 13,5).

 

Mais pourrait-on surprendre Dieu deux fois, comme s’il ne tirait pas des leçaons des expériences de la liberté !

 

 

 

PLAN A/B POUR LA TERRE


Alors par la foi et ses autres attributs, il réorganisa la terre dévastée par les anges de la rébellion et nous forma selon tout un plan à deux niveaux.
Un plan où tout était bien et beau et bon – et même très bon –, avec des libertés comprises et sans rien de mal comme cela nous est dit succinctement par les chspitres 1 et 2 du livre de la Genèse.
Et puis, incluse partout, en potentialité – au cas où ! –, la capacité pour cet ordre parfait de basculer dans un désordre générique par l’introduction du mal (existant parmi les anges) au plan de l’âme humaine.
D’un seul coup, par ruse, Satan le créateur du mal, réussit à séduire le genre humain tout entier (potentiellement) compris dans le premier couple créé.
Mais cette fois Dieu avait de l’avance sur les anges déchus ; il avait tout prévu, et non seulement pour faire face à cette éventualité, mais pour réduire à l’impuissance totale les créatures malignes.
C’est pourquoi nous apprenons par le chapitre 3, que Dieu fit des habits de peau pour couvrir d’Adam et de la femme la nudité, résultat de l’extinction soudaine de leur lumière intérieure (l’esprit) et de sa radiation puissante.

Voilà la nouveauté incuse dans la réorganisation terrestre : la mort !
Pour que le mal ait une fin, il fallait inventer la mort ; cela n’avait pas été prévu lors de la création des anges : Ils sont tous et restent des esprits éternels. (Seul un « étang ardent de feu et de soufre » pouvant réduire un jour les porteurs invétérés de mal… Apocalypse 19,20 et 20,10…

 

Voilà pourquoi nous sommes mortels, de trois types de mort bien distinctes, spirituellement, physiquement et psychiquement.
Alors que la partie A du plan aurait pu ouvrir sur une éternisation des humains par l’arbre de la vie (Genèse 3,22-24).

 

A cet endroit la mort – que figure aussi la loi d’entropie parmi les forces fondamentales de l’univers – est entre dans le concert terrestre devenu discordant et létal. Et si ce couple ne meurt pas physiquement sur le champ (mais spirituellement oui), c’est un effet de la prédisposition divine qui accorde aux coupables du temps pour se racheter ou être rachetés de leurs fautes.

 

DESORMAIS LA PLANETE DES SACRIFICES

 

Un sacrifice est une souffrance occasionnée, acceptée ou subie, normalement avec pour résultat de réduire ou faire stopper du mal ou de le changer en un bien nouveau. On parle de rachat ou rédemption.

 

Après le premier sacrifice initié par Dieu en Eden, se sera par la suite et avant un dernier acte typiquement divin, le moyen d’activer sa foi dans la volonté et l’idée de sacrifier une vie – inoocente – pour en sauver une autre – coupable –. C’est un prix à payer.


Et nous avons à entendre, avec la même actualité et nécessité qu’alors, cette information intemporelle que par le sacrifice de la vie pure, parfaite, innocente et donnée de Jésus (comme jadis par la mort d’agneaux, de jeunes taureaux ou de tourterelles) les vies coupables, marquées, souillées, impreignées par le mal, peuvent être purifiées, pardonnées, libérées, sauvées de la mort spirituelle qui déjà est en elles.

 

Ce qui fait écrire l’apôtre Paul à des coupables acquittés : « Vous étiez morts par vos offenses et par vos péchés, 2 dans lesquels vous marchiez autrefois, selon le train de ce monde, selon le prince de la puissance de l'air (Satan), de l'esprit qui agit maintenant dans les fils de la rébellion. Nous tous aussi, nous étions de leur nombre, et nous vivions autrefois selon les convoitises de notre chair, accomplissant les volontés de la chair et de nos pensées, et nous étions par nature des enfants de colère, comme les autres.
Mais Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés, nous qui étions morts par nos offenses, nous a rendus à la vie avec Christ (c'est par grâce que vous êtes sauvés); il nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes, en Jésus-Christ, afin de montrer dans les siècles à venir l'infinie richesse de sa grâce par sa bonté envers nous en Jésus-Christ.

Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu. Ce n'est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie. 10 Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes oeuvres, que Dieu a préparées d'avance, afin que nous les pratiquions. » Ephésiens 2,1…

 

Pour nous donc, et à la suite pour tout cet univers (qu’on autre remplacera), le mal est résolu, prend fin et prendra entièrement fin qu’en vertu du sacrifice de Dieu manifesté en chair.

 

La gloire que Dieu peut tirer de ce plan terrestre et humain aux répercussions cosmiques, vient de ce qu’il n’a pas mis totalement à mort tous les coupables qui le mérit(ai)ent sur le champ, mais il a accordé bien des grâces, bien des sursis et reports de condamnation, secouru même du seul fait de son amour (bonté, compassion, miséricorde, charité) des égarés sans solution pour continuer à vivre.

Au plan de la rébellion angélique, il ne l’a pas matée (mis échec et mat) par sa puissance inégalable qui aurait pu avoir un effet instantanée, mais il a choisi de réduire les forts par les faibles, les très grands et puissants anges malins et méchants par les petits êtres humains.
C’est typiquement l’histoire réelle et préfigurative du petit berger David qui, avec une fronde, un caillou et sa foi terrassa le géant philistin arrogant Goliath (1Samuel 17).

 

C’est d’après sa méthode de lutte contre le mal que le Dieu éternel prophétise dès la chute que la postérité de la femme écrasera la tête du mal – aujourd ’hui nous savons que c’est par Jésus de Nazareth en son temps –, ce qui aussi a été annoncé à une jeune fille d’Israël Myriam, fiancée à un Joseph et qu’on appelle Marie.

 

De fait par le sacrifice dont Jésus s’est laissé faire conformément à une volonté et justice divines, et par la foi de quiconque le croit, la question du mal est résolue depuis près de deux mille ans et jour après jour pour beaucoup… la plus grande partie de la somme des souffrances, conflits, guerres, attentats, barbaries, atrocités et autres perversités planétaires vécus depuis, étant essentiellement des conséquences de la méconnaissance, de l’occultation ou du refus de croire cela, dans un manque navranr d’amour de la vérité.

Voilà pourquoi nous restons et enfonçons plus que jamais dans des situations de tensions, de crises, d’insécurité, de chaos jusqu’à assister à la déconstruction culturelle des sociétés issues du christianisme et à une tentative (ultime) de changer les ordres divins les plus fondamentaux, de les retourner, les confusionner, au profit d’une meilleure empreinte (non pas carbone mais) démoniaque des existences et des mouvements, comme annoncé depuis longtemps dans le Saint-Livre.

 

La victoire sur le mal est dès lors pour chacun-e de nous un effet direct (causalité) et un potentiel accessible à tous moments, saisissable par la foi comme il suffit de prendre d’un livreur un cadeau exceptionnel contre signature.

Ce n’est qu’ainsi que science et foi sont réconciliées, comme nous le sommes avec Dieu en acceptant les vérités essentielles et plus jamais le mensonge, la justice et plus jamais les iniquités, le pardon à la place du péché, du ressentiment et de la vengeance, la justesse et beaucoup moins d’approximations.

 

De la sorte nous serons de la même famille que des Galilée voyant que « Dieu a écrit deux livres, celui de la nature et la bible. », des Newton qui, en perte de mémoire, écrivit : « Si je ne dois me rappeler que deux choses, c’est que je suis un grand pécheur, et Jésus-Christ un grand Sauveur. » C’était là sa plus grande découverte, dit-il.

C’est donc à la lisière de ces deux forêts profondes (matérialité et spiritualité), semblablement à la fois sombres et lumineuses, que j’ai découvert cette manière de dire en quatre points irréductibles et premiers le réel (de l’univers) et le Réel total, « holystique** » qui est la somme de l’Incréé et des créations.

 

 

________________
*
holystique, néologisme formée sur la base du mot holistique (complet, total) avec le mot anglais holy qui signifie sacré, divin, saint ou sanctifié.
_________________________

 

 

 

Grandeur de l’humilité d’apprendre encore, de « remettre l’ouvrage sur le métier », d’en tisser encore la trame, éclairés par l’Esprit divin et son développement « l’amour de la vérité ». La Bible, 2e lettre aux Thessaloniciens, chapitre 2, verset 10.


C’est là que cette étude s’arrête, le lecteur ayant pour sa part à s’insérer dans cette circulation de la vie faite de routes avec leurs panneaux (dont la Bible est le livre de code), des possibles qu’on peut pressentir ou inimaginables, des expériences de tous ordres, des rencontres attendues ou insoupçonnées, des signes dans la nature et dans le surnaturel, des paroles vivifiantes, des probables, des imprévisibles.
Imprévisibles pour nous, mais pour Dieu sans rien qui puisse jamais le dépasser et qu’il ne puisse tourner en bénédiction nouvelle et supérieure aux précédentes.

 

 

***

Annexes

>> le récit des mes premières rencontres décisives avec Dieu <<

>> Un guide pour quelques prières importantes et efficaces <<

Claude T. © Juin 23

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29 juin 2023 4 29 /06 /juin /2023 10:02

Est-ce une nouvelle nomenclature des forces fondamentales de l'univers ?
Peut-elle nous parler plus justement du Réel tel qu'il est et fonctionne et relationne et peut relationner tous azimuts !

Cette nomenclature exprime une volonté et un moyen de réduire – jusqu’à sa marginalité insignifiante - ce qu’on appelle hasard. Notamment engloutir sous les vérités le Grand Hasard et ses ribambelles de petits érigés à faux comme étant à l’origine de la matière, de ses lois, systèmes et mouvements.

 

Avec les découvertes scientifiques qui se succèdent et réfutent cette théorie évolutionniste, c’est ici une autre manière d’invalider cette hypothèse donc, partie de Lamarck (transformisme via l’hérédité) et de Darwin (évoluton par sélection naturelle ou survivance des plus aptes) en des siècles (XVIIIe et XIXe) pauvres en connaissances scientifiques, et devenue doctrine pseudo-scientifique de l’athéisme… qui est une croyance ou foi mal placée.

 

 

***

 

 

CLASSIFIER CE QUI EST ORDONNÉ

 

 

Par la science, nous avons une nomenclature de l’univers qui pose en une courte liste ce qu’on a découvert comme étant les quatre réalités fondamentales qui paraissent à l’origine de toutes ses interactions – forces, énergies distinctes les unes des autres et complémentaires qu’on nomme Force Forte, Force faible, Force électromagnétique et force de gravitation.

 

Il n’est cependant pas possible d’affirmer qu’il y a là TOUS les éléments de base faisant et l’inivers et ses dynamiques. D’où ma recherche pour dire autrement, de manière plus significative et complète, quelles réalités complémentaires peuvent être vues comme constitutives et moyens des dynamiques de l’univers qui est et dont nous sommes.

 

Plus que de forces aveugles, de l’ordre atomique et nucléaire, il s’agit de considérer ce qui m’est apparu au moyen de quatre autres concepts et mots, notamment après avoir découvert un type et mode générique quaternaire d’organisation qu’on peut appeler le « 3 & 1 font 1 » dans la mesure où on a toujours affaire à un élément plus ou moins dissonant ou à part du reste plus uni, comme est la force gravitationnelle parmi les trois autres.

 

NOUVELLE NOMENCLATURE DES CAUSES PREMIERES DE L’UNIVERS

 

Il s’agit des principes ou lois dynamiques/dynamisants suivants :

- La loi de causalité

- Le principe de potentialité

- Le principe de correspondance

- La loi d’appel à… ou principe de foi.

 

Du point de vue de la vulgarisation, cela apparaît plus représentatif du réel, notamment avec le vivant – qu’il se trouve ici seulement ou encore ailleurs – dont l’univers dans tous les cas est porteur.

 

 

A – LE PRINCIPE CAUSAL

 

A tout effet, il y a une cause. Difficile de sortir de cette loi de causalité, une notion générique largement connue et établie dans de nombreux domaines... avec sans doute encore la nécessité de mettre en lumière davantage de relations causales non-immédiates qui peuvent nous concerner (de près), en vue d’un meilleur rapport à nos environnements et en nous-même.

Comme par exemple on a fini par voir une relation et des effets directs de nos activités, productions et utilisations sur la pérennité des sols, des eaux, de l’air et jusqu’à la strastosphère.

 

On découvre ainsi actuellement et de plus en plus, parfois avec horreur, sidération, et impuissance tant le retard est important pour remédier, l’impact de nos connaissances, de nos développements, de nos manques de discernement, de sagesse, et de choix égoïstes, ignorants ou cupides de comportements sur les équilibres naturels millénaires, compris sur notre propre santé.


Il faut aller plus avant encore que dans les champs agricoles et une morale écologiste, confrontant tous les points de nos mœurs, ancestraux ou nouveauux à ce qui nous arrive de si grave, jusqu’au coeur de nos relations les plus naturelles et intimes.
Apprendre à mieux se connaître soi-même dans ce qui nous anime et ce qui nous paralyse, dans une quête plus complète de vérités, de causes, des tenants et aboutissants qui nous traversent et nous encadrent.
Voyons plus clair dans nos forces intérieures, les resorts psychologiques de notre âme (en grec le mot psyché désigne l’âme), la réalité de nos besoins et discriminons l’essentiel des superflus étouffants, chronophages, aliénants et mortifères.

 

Au plan strict de la causalité, savoir faire un jardin, trier et composter a certainement plus de coséquences heureuses que de visiter l’épave du Titanic ou de chercher à rendre Mars habitable. Plus que jamais c’est le présent qui doit prendre le pas sur les grands ou longs projets, sur des rêves qui éloignent de la bonne recherche d’opportunités pour ne pas subir les effets cumulés pathologiques ou délétères des développements nano et bio-technologiques, des connexions et des implantations addictives et asservissantes.


Je crois que la qualité de notre devenir et avenir les plus proches (individuel comme collectif) dépend, dans le cadre posé de (ce qui nous reste de) liberté et de notre responsabilité personnelle, de l’extension encore possible de mises en lumière fondamentales, de compréhension venant de l’aveu, de la désocultation, de causes à effets sur lesquelles nous pouvons mieux nous positionner.

 

Mieux connaître le contenu préétabl de cette loi fondamentale fait reculer ce que l’ignorance fait appeler hasard.

C’est donc là un principe universel avec quoi conjuguer de mieux en mieux plutôt que d’en laisser des pans dans quelque part obscure.
On combat mieux les contraintes prédisposés ou artificieuses en apprenant et sachant, parfois se soumettant ou parfois dépassant, par la vertu discriminatoire à connaître qui est dans et avec la vie spirituelle (de l’esprit) associée à celle psychique (de notre âme).
… Ce qui nous amène aussi au principe suivant.

 

 

 

B - PRINCIPE DE POTENTIALITÉ

 

Si nous prenons un exemple basique de l’organisation causale, on va parler de l’action agricole de semer. Mettre en terre un grain, une graine, un noyau, un pépin, un bulbe, un rhizome… a pour effet de produire, avec le temps et divers ingrédients nourriciers, une plante et une récolte.

Le principe de potentialité est nécessaire à bien des mouvements fondés sur la causalité. Dans notre exemple, il précise que si on séme des graines de carottes, de persil, de haricots…, la production sera conforme à l’espèce, une graine de courge ne produira pas une betterave rouge.


C’est là un ordre d’organisation universel qui fait que toutes choses sont des réalités immédiates en elles-mêmes, et encore renferment des possibilités, des ressources, des prédispositions, en l’occurence des germes, qui peuvent se déployer bien au-delà de la chose elle-même : une graine minuscule peut devenir un arbre de plusieurs dizaines de mètres.
Nous sommes constamment devant ce genre de prodiges, souvent la conscience trop appesantie pour réaliser rien que les merveilles du règne végétal...


Au plan de l’inanimé, on trouve du gaz combustible et du pétrole dont l’actualité mondiale nous rappelle quelle nécessité et quelle dépendance nous nous sommes créés à partir de ces produits premiers.
Et puis les pierres précieuses incluses dans des magmas rocheux informes, les métaux vils et précieux extractables, les ondes/particules quantiques et les inventions, transformations et applications technologiques qu’on peut en tirer, l’atome, l’ADN, le bois, le sable, la neige, les feuilles mortes… qu’est-ce qui ne porte pas en soi ou à partir de soi au moins une potentialité, qui s’active par quelque automatisme préréglé ou par nos propres potentialités déclenchées (physiques, psychiques ou spirituelles) !?…

 

L’eau qu’on peut conduire vers un potager ou une turbine ; l’air qu’on peut changer en électricité ou en divers gaz liquides, la terre pleine de toutes sortes de nourritures, prenez le temps vous-même de voir ainsi tout ce qui est contenant et contenu en tout…

 

 

Ce sont nos capacités tellement supérieures pour des apprentissages et acquisitions dès notre première année, découverte, écoute, mémorisation, réflexions, volonté, et par là notre aptitude à insertion intelligente, ou livrée à l’ignorance, aux erreurs ou mensonges, à l’absurde, dans le concert et carrousel de l’immédiat permanent, du présent qui file des probables, des possibles… et des impossibles.

 

 

Ces deux principes incontestables disent déjà, plus que ne le posent la physique, la chimie ou même les mathématiques, la profondeur du réel en tant qu’autre chose que des éléments matériels, bruts et seulement accidentellement juxtaposés.
Voir ainsi, c’est comme passer de la conception primitive de la cellule vue comme un grain de gel(atine) (à la fin du XVIIIe siècle), à celle « d’usine à gaz »… avec ses bureaux de services administratifs, telle que des découvertes successives l’ont montrée et que s’est vulgarisée cette complexité (dont l’ADN même n’est qu’un des éléments).

 

Et comme dit Charles Péguy : « Il faut toujours dire ce que l’on voit. Surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit».

 

 

 

C - PRINCIPE DE CORRESPONDANCE


C’est un principe tout immatériel inclus comme les précédents, bien plus qu’à notre échelle, dans la structuration même de tout l’univers.
Par exemple, la vie et mort des étoiles ne peuvent-elles pas être vues avec justesse comme en correspondance avec schéma selon lequel nous naissons et mourons comme tout ce qui est vivant !?

 

os forces psychiques, mentales ou spirituelles, discernables par leurs effets, ne sont-elles pas comme les forces cosmiques ou telluriques qui sont à la fois invisibles et bien plus puissantes que ne sont même les plus gros corps faits de matière dense !

 

Ce principe connu depuis l’antiquité a été dégradé à partir du XVIIIe siècle car, pas plus que le principe organisé et organisationnel de potentialité, il ne peut s’allier avec une vue et hypothèse seulement matérialistes et aléatoires de ce qui est.
Avoir une conscience éclairée sur ses principes fondamentaux repousse les erreurs et l’ignorance dans quoi sont retenus ceux qui croient et voient superficiellement la matière et refusent le surnaturel débordant que la vraie science, objective, qui est recherche de vérités, révèle sans cesse.

 

DEGRÉS DE REALITÉS, MULTIPLICITÉ D’EMPLOIS


Pourtant tout parle de cette réalité où les choses visibles expriment aussi des choses invisibles, où des réalités matérielles naturelles ne sont pas sans rapport singificatif avec celles plus subtiles de l’ordre du psychisme (de psyché, qui est l’âme en grec) ou spirituel.

Dans le langage par exemple se trouvent à la fois le sens propre des mots ou des phrases et le sens figuré : L’amour nous fait pousser des ailes. En montant cette entreprise je me jette à l’eau. Tu es mon soleil...

 

C’est en ce sens que loin dans l’antiquité, d’anciens sages avaient compris cette loi, comme Hermès-le-Trismégiste qui écrivit dans sa Table d’émeraude « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. »
Ce qui signifie qu’on peut connaître – et qu’il est bon de connaître – qu’il y a une correspondance entre la façon dont les choses sont disposées et se passent sur la terre et la façon dont elles existent dans la dimension spirituelle, et on peut par exemple préciser ici : notamment dans l’existence du bien et du mal, et l’inverse de leur rapport de forces… comme une surface d’eau ou un miroir renvoie une image inversée (de haut en bas ou de droite à gauche)...

 

 

C’est ainsi que lorsqu’il indique les principaux points qui peuvent être prier, Jésus fait premièrement référence à cette loi des correspondances lorsqu’il dit : Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Secondement, outre ce désir que nous sommes invités à exprimer pour voir parmi nous des retenues du mal, des améliorations, des âmes sauvées ou encore le retour du Seigneur Jésus, cette phrase dit aussi que l’analogie est rompue entre le haut et le bas. Le ciel est présenté comme essentiellement le Royaume de Dieu – où la révolte des anges est seulement une poche secondaire dans l’ensemble des cieux, alors qu’ici-bas nous avons affaire au contraire à une large suprématie de Satan et de ses démons.

 

 

CORRESPONDANCES EXISTANTES ET QU’ON PEUT INVENTER

 

Tout le symbolisme, beaucoup de parallèles et autres métaphores viennent de cette manière dont les créations ont été ordonnancées.
Les lettres ou pictogrammes formant les alphabets d’où sort l’écriture, comme encore toute notre signalétique (panneaux de circulation, informations diverses, code-barre, QR code…), tiennent de correspondances dont le principe a été manifestement prédéterminé et encore dont la dynamique est telle qu’on peut nous-mêmes en trouver ou développer entre des choses de deux natures bien distinctes.

 

C’est un précieux moyen pour appréhender le Réel (que j’écris avec un R majuscule pour dire la somme globale (« holystique ») de l’Incréé et du créé). Un moyen simple d’accès ou de mise en relation à deux sorties : D’une part avec du sens non-immédiatement ou difficilement appréhendable que nous pouvons avoir (utilement) à découvrir ; et d’autre part pour dire de manière stylisée, synthétique, résumée, rapide, des idées ou concepts autrement difficiles ou longs à partager.

 

Le poéte ancien Esope – repris notamment par J. de La Fontaine – forma de nombreuses fables où les animaux, dans des situations qui ressemblent aux nôtres, leurs traits de caractères et réactions sont employés à mettre en lumière ce qui fait nos comportements et relations génériques, avantageux ou problématiques.

 

Et pour continuer avec l’exemple des plantes qu’on sème et récolte, qui ne connaît ces parallèles entre des mouvements de la nature et cetains des nôtres : Si tu sèmes des navets, ou des salades (légumes pourvus d’un sens négatif), ne t’étonne pas de récolter des navets, ou des salades. Et qui sème le vent (un vent mauvais) récolte la tempête. Chassez le naturel, il revient au galop...

 

On peut parler de correspondances ou de figures analogiques.

 

DES OUTILS DE CONNAISSANCES ET PÉDAGOGIQUES

 

En ce sens, en bon pédagogue autant que prophète, Jésus forma et utilisa ce qu’on appelle des « paraboles » pour faire comprendre des réalités d’ordre non-matériel à partir de ce que chacun peut voir et comprendre de la nature et de son existence : Parabole du semeur de Paroles et des quatre terrains (où elles tombent, dans le fond de notre âme) – P. du riche insensé – P. du levain qui fait lever la pâte – P. des vierges sages et des vierges folles – P. de la mauvaise herbe ou ivraie parmi le bon blé – P. des noces célestes – P. du filet de pêche – une brebis perdue...

 

 

Dans toute la Bible, on trouve beaucoup d’autres images significatives, par exemple concernant l’Esprit Divin, nous sont donnés l’image de la colombe ; une peau de dauphin ; un chandelier à sept lampes ; un trésor caché ; des eaux vives ; des langues de feu ; un consolateur ; un avocat…

 

Plus encore qu’à partir de la nature et de la vie courante, de nos jours les psy de tous ordres utilisent souvent des correspondances entre d’une part des données mythologiques vues comme archétypales et émergées de la Grèce ancienne, et d’autre part des situations ou attitudes psychologiques de leurs patients et de tout un chacun.

 

Intégrer donc une connaissance vive de ce principe de correspondance est un excellent moyen pour appréhender des réalités importantes, des ordres psychique et spirituel, à partir de figures matérielles qui ainsi deviennent parlantes, découvrent un autre langage.

 

Un principe et concept très riche donc pour connaître le Réel comme des détails qui le composent, avec des mots satellites comme analogie, image, illustration, figure, préfiguration, représentation, métaphore, allégorie, parabole.

 

Il est également dit e Jésus qu’il fut sur la terre un « reflet » de Dieu (grec « Apaugasma » pour dire une brillance, un éclat semblable mais séparée de Dieu) et « l’empreinte » de l’Être Divin (grec Charakter, marque visible, expression ou reproduction exacte).

 

 

 

 

D - LE PRINCIPE D’APPEL À… OU PRINCIPE DE FOI

 

C’est, dans notre fil rouge, l’attitude du semeur qui met en terre des pommes de terre ou des grains de céréales qu’il pourrait manger, les perdant pour un temps dans la foi que, si des tongeurs souterrains, si un mauvais gel ou un printemps pourri, ne viennent pas s’opposer à ce qui l’a fait agir et le fait espérer, il aura une bonne récolte.

 

Peut-être pour beaucoup le plus surprenant des principes premiers !
Et pourtant on va un peu voir que son universalisme est vécu par chacun de nous chaque jour, et même par les animaux, rien du vivant ne pouvant s’en passer !
Comme quoi, à la manière du Monsieur Jourdain de Molière (« Le bourgeois gentilhomme ») qui faisait de la prose sans le savoir, on peu
t pratiquait une activité sans même avoir connaissance de son existence ou du mot qui la désigne.

UN PRINCIPE STARTER, DÉMARREUR, CATALYSEUR

 

Autant la loi causale et celle des potentialités sont dans l’univers comme des dépôts statiques, des inclusions inertes en elles-mêmes, autant ce principe de foi est un démarreur, un piézo et moteur des mouvements. Et des mouvements, il y en a partout !


Il a en commun avec le principe de potentialités d’être tourné vers le futur et d’en produire sans guerre de répit pour faire sans cesse du présent nouveau.

 

Pour situer au mieux de quoi il s’agit, on doit voir la différence, les deux modalités, qu’il y a dans son activation.
Car ce principe est d’abord largement un déterminisme fermé, spécifique (d’espèce), qui joue en dehors de toute conscience et volonté personnelles que son sujet peut en avoir.
D’autre part, c’est une prédisposition qui peut être déclenchée en conscience, par volonté ou par des désirs, qui peuvent être les nôtres ou ceux de tiers.


A l’observation, la frontière entre les deux modes n’est pas celle qui distingue le règne animal et de l’ordre de l’humain, mais se trouve parmi tous les êtres vivants selon un et des curseurs à la fois préréglés et pouvant être déplacés.
En d’autres termes, sous l’effet de stimulis externes, des animaux peuvent dépasser leurs limites naturelles, comme des tigres, des singes ou des orques peuvent être dressés pour jouer dans des spectacles, et chez nous ce genre de dynamique peut s’activer d’elle-même, indépendamment de toute volonté ou désir conscients, comme voler spontanément au secours de quelqu’un ou refuser sans raison apparente une proposition alléchante...

 

C’est cette force intérieure éminemment intelligente, faite d’intelligence dédiée, qui va faire que les oisillons tendent leur bec grand ouvert pour être nourris ; que le bébé cherche et trouve le sein maternel même les yeux fermés, puis cherche à se mettre debout, puis se met à lâcher la main qui le tient et se met à marcher tout seul…

Vous avez dit : Hasard(s) !?
Pour ma part je questionne : N’est-on pas là aussi dans du véritable surnaturel inclus au coeur du naturel, qui ne peut que repousser loin dans une oubliette ou trou noir la bourde magistrale qu’est l’évolutionnisme athée, fondée sur la croyance en la suffisance de quelque hasard actif comme moyen de la création et des organisations de tout l’univers !?

 


C’est par ce principe et la foi qui lui a été attribuée, que l’aigle va, au temps opportun, pousser les aiglons hors du nid et dans le vide, où leurs petites ailes font se mettre à battre et les faire voler.
L’enfant va se lancer (ou être lancé) dans l’eau pour apprendre à y nager ; il va pouvoir jouir de sa capacité/potentialité d’équilibre sur sa première trotinette ou un vélo, et même bientôt trouver intuitivement – voire plus vite qu’un adulte – comment trouver des fonctions d’un ordinateur, avancer dans des jeux de piste très éaborés, créer à son tour des applications nouvelles sophistiquées…

 

LA CAPACITE D’APPRENDRE, DU SURNATUREL PERMANENT

 

C’est par la foi qu’on apprend à l’école ce qui nous est dit – de juste ou de faux ! – ; qu’on va aux examens, à un rendez-vous d’embauche ou amoureux, qu’on a appris à conduire, à rédiger un texte, à s’exprimer par l’oral ou un art.
On va travailler tout un mois avant de toucher sa paye, ou des mois et des années pour devenir un champion sportif national ou international, un virtuose musical, un chanteur ou un acteur plébiscité, un peintre ou sculpteur original (et pas toujours aimé ou compris)…

 

« Beaucoup d’appelés mais peut d’élus » dit aussi Jésus, car les plus grands pas de foi – dans le spirituel comme dans le naturel – tiennent aussi de notre volonté à chercher, à apprendre, à croire ce qui semble incroyable (comme croire à l’opposé du visuel que la terre est ronde et tourne autour du soleil).

On peut même voir aujourd’hui que cette loi de sélection qu’inclut la foi joue à fond dans un utérus après une relation fécondante. On peut s’interroger sur la conscience qu’à un spermatozoïde pour rejoindre une promise potentielle à pénétrer au terme d’un parcours du combattant inouï ! Dans tous les cas trop de science, trop de stratégie, trop de besoins, de paramètres, trop de mécanicité et de combinaisons nécessaires pour croire que cela s’est mis en place incidemment, au petit bonheur la chance !
D’autant que si le système reproductif n’est pas complet dès l’apparition de la moindre cellule vivante, vu la briéveté d’existence de chacune, il ne peut y avoir de vie et d’espèces durables...

 

 

A l’observation, on peut saisir aussi nous concernant en rapport avec ce principe, que quantité de choses ne sont ainsi possibles que pour deux raisons :
- Parce qu’étant créé à l’image de Dieu, nous avons en nous des prédispositions créatives. Cela nous permet d’accéder à des connaissances sur ce qui est, puis à trouver des chemins de développement, des prolongements qui ouvrent des horizons nouveaux ;
- Et puis il apparaît à la réflexion ou à la connaissance, que le Dieu en question n’est pas tributaire du temps comme nous. Il est et il faut qu’il soit éternel, pour explorer dès avant les origines tout comme au fil du temps en continu, , par la pensée, toutes les évolutions et révolutions, toutes les combinaisons, les possibles et les impossibles, vers quoi nous pouvons aller au gré de toutes les générations, cultures, succès, échecs et accidents…, individuealités et groupements sociaux…

 

BASIQUE AUTANT QUE SURNATUREL CE PRINCIPE

 

C’est encore par cette dynamique singulière qu’on va chaque jour manger ce qu’on a achèté... sans être certain que cela ne va pas nous rendre malade ou empoisonner ! Le pain, la viande, les fruits et lédumes, plats cuisinés, conserves, l’eau en bouteille ou du robinet…
Quelle foi rien qu’à ce niveau basique de notre existence !

Par là on fait confiance à quantité de personnes, connues ou parfaitement inconnues.
Les mots foi et confiance (avec foi) ont la même tacine.

 

Confiance à un médecin ou à un chirurgien pour une consultation, un diagnostic ou une opération. Tien de tout cela n’est sans risque.
Plus encore on nous prépare dans le domaine de la santé à faire confiance en des machines pilotées par des programmes, des robots qui sont censés en savoir plus que nous à partir de quelques questions ou tests…

 

De la sorte on est plongé dans cette manière de vivre notre quotidien comme si tout était assurément bien et bon et sécurié, alors qu’on ne peut être sûr de rien, ni d’une personne ni d’un diagnostice ni d’une médicament ni d’une machine. On est là de plus en plus dans un contrat social tacite qui dépasse très largement le raisonnable, le rationnel, l’avéré, en observant et sachant que les valeurs morales qui font la valeur morale des personnes sont globalement en dégringolade sous la pression de centres d’intérêt hautement égocentrés, de l’appât de gains rapides, de la manipulation, de la peur ou de l’insécurité croissantes, en même temps chez nous et chez celles et ceux dont nous dépendons.


Pensons encore à la conduite de tous ceux qui nous croisent sur la route. Sont-ils en état de lucidité suffisante ou d’ébriété ? Et nous-même ? Et trop s’intérroger, prendre peur, devient un problème qui peut être pire que l’exercice irréfléchi du principe d’appel à bouger.

 

Quelle foi face à une personne avec qui on pense s’associer pour fonder une famille ou ouvrir ou reprendre une entreprise !
Un producteur qui envoie une récolte ou un stock fabriqué via un transporteur avant d’être largement payé  ; Celui qui achète en gros de grandes quantités pour revendre au détail. Acheter encore des esaims d’abeille d’un autre continent alors que le varois décime régulièrement les colonies. Faire encore un crédit (côté banque et côté emprunteur), financet le tournage d’un film, gérer son revenu ou son épargne, quitter la ville pour démarrer une nouvelle existence à la campagne ave des chèvres en apprenant à faire des fromages ; miser sur un engagement participatif dans le champ des transitions  ; compter sur un RSA ou autres allocations d’État sans quoi on est incapable de surivre ; organiser un grand voyage ; conclure en accord en se tapant dans la main ou en signant un traité ; construire une nouvelle voiture ou une fusée ; quitter un métier pour une reconversion professionnelle ; écrire un livre ou un scénario avant d’avoir un éditeur,
monter sur une scène, faire de la recherche (journalistique ou scientifique avec ou sans salaire) ; vivre à partir d’appel au don, entrer dans l’occultisme par jeu ou curiosité sans connaître les terribles dangers tapis derrière une belle devanture ; se laisser prendre dans une arnaque par téléphone ou internet ; se lancer sur une intime conviction ou avec un grand doute...

 

TOUS CROYANTS, QU’ON Y CROIT OU PAS !

 

Croire en l’autre, en un produit ou objet et croire en soi, tant dans le quotidien que pour l’aventure, des défis, des appel à… combien de mouvements sensés ou complétment déraisonnés sur la plage immense que bornent d’un côté les peurs, méfiance ou trop la réserve, de l’autre une crédulité naïve, l’irréflexion, des réactions qu’on ne maîtrise pas, la convoitise qui domine la raison, des tentations bien orchestrées par des forces qui ne veulent ni notre bien ni un accès à des connaissances éclairantes, reposantes, à de vérités qui libèrent, à des aides honnêtes et efficace.


« Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. » Mark Twain.
Ou encore : Ils présupposaient que c’était ainsi, alors ils l’ont découvert (comme l’histoire de la découverte du boson de Higgs).

 

 

Par naïveté donc, insouciance ou ignorance, passion, intuition, prédisposition, déterminisme ou réflexion, calculs, comparaison, déduction, extrapolation, chance, « sirendipté », obligation, besoin, erreur, mensonge, illusion, rêve (bon ou muvais), loisir, goût du risque, accident, révélation, songe, vision, signe..., les termes faisant le fond, la catalyse d’une mise en mouvement sont nombreux, comme nous sommes naturellement nombreux à vivre tout cela sans même les rudiments de la connaissance de soi et des tenants et aboutissants du monde et de nos existences... fragiles, temporaires, pas souvent suffisantes là où il faudrait.

On fait ainsi confiance quand on est bin et quand on est mal, à l’alcool ou à une drogue, à une icône ou une idole qu’on affiche sur un mur ; aux orientations que nous donnent publicités et propagandes médiatiques comme on fait confiance au réveil pour se lever à la bonne heure... après s’être couché dans la foi peut-être en un somnifère pour dormir et la foi naturelle qu’on va se réveiller le lendemain matin.


Une dualité de tous les jours en fait, entre une raison fabriquée et une foi déterminée ou volontairement dynamisée. Des mécanicités qu’on s’est données ou qui se sont données, qui sont une bonne chose dans bien des cas, sans quoi on ne pourrait même pas vivre… sauf qu’il ne faut pas s’en contenter. Sauf que notre part de resonsable de soi (et des autres) doit s’étendre dans plus de nos réactions spontanées, dans plus de nos connaissances, réflexions, choix, prises de décisions…

Car faute de connaissance, il peut y avoir du risque autant en traversant une rue sur un passsage piéton où le feu est au vert, qu’on grillant le feu rouge d’un carrefour en deux ou quatre roues. En allant à son travail qu’en faisant du parapente ou en montant dans un avion ou sur un paquebot pour changer de continent…
On peut en écrire des livres...

 

LA FOI INCLUT LE RISQUE, UNE PRIME NCERTITUDE

 

La notion de foi n’est donc pas sans celle de risque et d’incertitude, puisque ce monde est basiquement fait de la sorte : relatif, tributaire du combiné espace-temps et d’un bon nombre de lois déterminantes, incertain et incomplet… ce ui fait du coup que la science comme moyen de connaissance ne peut elle non plus être absolûment certaine, complète et orédictive (voir les 3 et 1 arguments de cette relativité).
D’où un besoin qui apparaît un jour ou l’autre de chercher… Dieu ; s’il existe et lequel il est parmi les diverses représentations, souvent repoussantes, qui s’étalent ici et là. Le chercher et le trouver. Vouloir y croire – s’il existe – avant d’en pbtenir la et des révélations par expérience.


Croire avant de savoir vraiment, d’expérimenter, est donc cette dynamique qui donne de faire un pas dans le vide, un plongeon comme un saut à l’élastique ou à ski – dans un inconnu qui est (comme) inexistant.
Un vide en fait comme celui de l’univers (qui est plein d’énergies) pas si vide que cela puisque tout de ce monde (livré au temps par une vitesse de la lumière telle qu’elle est limitée) est régi de façon pérenne, voire éternelle, par ses lois, prédispositions, vérités immuables et curseurs de régulation d’équilibres, qui ne suivent pas les cprices, modes, innovations géniales ou délires collectifs des sociétés et civilisations.

 

Ce principe est une dynamique qui ne demande qu’à se déployer, à conquérir des espaces nouveaux, à rendre le futur plus attractif et le présent plus riche de sens et d’actions bonnes.
Ce principe invite à des espaces, acquisitions et expériences sans limite, sans frontière entre matériel, psychique et spirituel. Car existent la fixité de cet ordre dynamisant, et son continu possible, des applications qui peuvent courir de la découverte des effets nocifs du déni ou du mensonge jusqu’aux confins quantiques ou astronomiques de l’univers ; de la perception de notre être le plus profond à une communion sans fin avec Dieu.


A nous de mettre en action des moteurs de recherche capables de nous relayer. Au rang de quoi on a l’internet comme étant la plus grande médiathèque du monde, où forcément se trouvent des pistes frayées, le chemin tracé, des mots-clés, des paroles justes à lire ou à écouter, des vidéos porteuses de la saine doctrine venue de ce Dieu, toutes choses que notre coeur et l’amour de la vérité sont capables de reconnaître comme étant ce qui est bon, véridique, juste, possiblement décapant comme agréable et enthousiasmant. Le vivant de toujours.

 

 

TOUS ESSENTIELLEMENT CROYANTS, UNE ÉVIDENCE

 

Ainsi nous pouvons comprendre que sans ce principe « inside » et insigne, originellement intégré au vivant comme les autres principes et lois fondamentales qui régissent l’univers et la moindre de ses parties, il n’y aurait pas le moindre mouvement ayant un objectif défini, existant, connu ou à déouvrir.
C’est ainsi que par le prophète Jérémie, Dieu dit à qui se trouve à la bonne place au moment opportun : « Je connais les projets que j'ai formés sur vous, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance. Vous m'invoquerez, et vous partirez; vous me prierez, et je vous exaucerai. Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre coeur. Je me laisserai trouver par vous, dit l'Eternel... » Jérémie chapitre 29, 11...

 

Foi de Dieu qui nous laisse libre de faire, penser, dire beaucoup de choses, mauvaises ou bonnes, et foi qu’il attend et veut stimuler en nous pour que s’établisse entre Lui et nous une vraie relation, vivante, d’esprit à Esprit, capable de nous conduire dans toujours plus de vérités, de compréhnsion, de sens, de révélations, d’enthousiasme aussi, de paix surnaturelle, de joie authentique et d’amour (même s’il a été tué en nous).

à suivre N.N.U. 2 : VOILÉ, LE RÉEL EST BIEN PLUS QUE LE MATÉRIEL >> ici <<

Claude T. © Juin 23

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