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27 septembre 2023 3 27 /09 /septembre /2023 09:01

Rien que l'ADN suffit à invalider la théorie d'une évolution de la non-vie à la vie par hasard.
Jean Rostand et le Professeur Jérôme Lejeune disait que "la théorie de l'évolution est un conte de fées pour adulte".
A nous de nous dépouiller de ce qui est de l'enfant que certains trouvent intéressant que nous restions !

 

La théorie de l'évolution est de l'ordre d'une mythologie moderne qui ne tient pas face à la réflexion, la logique et autres moyens d'approche scientifiques du réel. Les découvertes scientifiques qui s'accumulent ne font qu'infirmer cette vue initiée par Lamarck et Darwin, et dont on aurait tout intérêt à débarrasser nos écoles si on voulait vraiment les assainir dans le fond.

Je vous invite à suivre une Vidéo, d'un scientifique, qui éclaire ce sujet, ici >> L'évolution des espèces, une théorie à rejeter <<

Bonne quête du sens de la vie !

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11 septembre 2023 1 11 /09 /septembre /2023 19:19

La fin de cette chaîne - qu'on connaît - est plus juste que la première partie qui est de pure imagination, ce que la connaissance et les sciences actuelles infirment.

ÉVOLUTIONNISME, "CONTE DE FÉE POUR ADULTE"

Le grand savant Jean Rostand dit un jour, repris par le Professeur Jérôme Lejeune : "L'évolution est un conte de fées pour adulte."

Issue d'un siècle qui était à peine dans le b-a-ba de la piste scientifique comme moyen de connaître le réel, cette hypothèse de Lamarck reprise par Laplace et autre Darwin, est complétement discréditée aujourd'hui par les découvertes scientifiques qui ont succédé à cette période (XIXe),.

Mais on continue à tromper le monde, des populations entières, pour mieux les tenir en bride politiquement et sociétalement par une adhésion presque obligée à une conception du vivant qui n'est que fabulation.

DEUX VIDÉOS SCIENTIFIQUES

2 vidéos pour qui veut savoir en aimant la vérité plus que les mensonges, par des scientifiques intègres sans langue de bois, qui tiennent à dire la vérité scientifique plus qu'à avoir et conserver un poste rémunéré par le système qui en tient ainsi beaucoup dans la tenaille évolutionniste.
"Malheur, avertit la Bible, à celui/celle qui retient la vérité captive' ! Lettre aux Romains, chap. 1.18

VIDÉO 1 >> L'évolution des espèces, une théorie à rejeter <<

VIDÉO 2 >> Preuves scientifiques au sujet de Adam et Eve (plutôt que des singes ayant évolués) <<

FICELÉ DU DEBUT A LA FIN

De fait le matérialisme athée prive l'humain de son identité première - celle de créature de Dieu - et du même coup de la connaissance et de sa bonne destinée éternelle dans "l'après existence" qui est vie de l'âme après la mort physique.

Qu'on observe un peu comme fruits de cette vue partisane non étayée tous les drames consécutifs à une telle vue purement matérialiste du monde...), avec le sexe comme objet essentiel visé du fait que la vie se perpetue par ce moyen selon des principes divins, ce que contestent les forces démoniaques, sataniques qui veulent parvenir à un contrôle total du genre humain désolidarisé de son Créateur.

Pour se caler ou recaler sur le vrai Dieu, ici >> une page-guide de prières personnalisables efficaces <<

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29 juin 2023 4 29 /06 /juin /2023 10:02

Est-ce une nouvelle nomenclature des forces fondamentales de l'univers ?
Peut-elle nous parler plus justement du Réel tel qu'il est et fonctionne et relationne et peut relationner tous azimuts !

Cette nomenclature exprime une volonté et un moyen de réduire – jusqu’à sa marginalité insignifiante - ce qu’on appelle hasard. Notamment engloutir sous les vérités le Grand Hasard et ses ribambelles de petits érigés à faux comme étant à l’origine de la matière, de ses lois, systèmes et mouvements.

 

Avec les découvertes scientifiques qui se succèdent et réfutent cette théorie évolutionniste, c’est ici une autre manière d’invalider cette hypothèse donc, partie de Lamarck (transformisme via l’hérédité) et de Darwin (évoluton par sélection naturelle ou survivance des plus aptes) en des siècles (XVIIIe et XIXe) pauvres en connaissances scientifiques, et devenue doctrine pseudo-scientifique de l’athéisme… qui est une croyance ou foi mal placée.

 

 

***

 

 

CLASSIFIER CE QUI EST ORDONNÉ

 

 

Par la science, nous avons une nomenclature de l’univers qui pose en une courte liste ce qu’on a découvert comme étant les quatre réalités fondamentales qui paraissent à l’origine de toutes ses interactions – forces, énergies distinctes les unes des autres et complémentaires qu’on nomme Force Forte, Force faible, Force électromagnétique et force de gravitation.

 

Il n’est cependant pas possible d’affirmer qu’il y a là TOUS les éléments de base faisant et l’inivers et ses dynamiques. D’où ma recherche pour dire autrement, de manière plus significative et complète, quelles réalités complémentaires peuvent être vues comme constitutives et moyens des dynamiques de l’univers qui est et dont nous sommes.

 

Plus que de forces aveugles, de l’ordre atomique et nucléaire, il s’agit de considérer ce qui m’est apparu au moyen de quatre autres concepts et mots, notamment après avoir découvert un type et mode générique quaternaire d’organisation qu’on peut appeler le « 3 & 1 font 1 » dans la mesure où on a toujours affaire à un élément plus ou moins dissonant ou à part du reste plus uni, comme est la force gravitationnelle parmi les trois autres.

 

NOUVELLE NOMENCLATURE DES CAUSES PREMIERES DE L’UNIVERS

 

Il s’agit des principes ou lois dynamiques/dynamisants suivants :

- La loi de causalité

- Le principe de potentialité

- Le principe de correspondance

- La loi d’appel à… ou principe de foi.

 

Du point de vue de la vulgarisation, cela apparaît plus représentatif du réel, notamment avec le vivant – qu’il se trouve ici seulement ou encore ailleurs – dont l’univers dans tous les cas est porteur.

 

 

A – LE PRINCIPE CAUSAL

 

A tout effet, il y a une cause. Difficile de sortir de cette loi de causalité, une notion générique largement connue et établie dans de nombreux domaines... avec sans doute encore la nécessité de mettre en lumière davantage de relations causales non-immédiates qui peuvent nous concerner (de près), en vue d’un meilleur rapport à nos environnements et en nous-même.

Comme par exemple on a fini par voir une relation et des effets directs de nos activités, productions et utilisations sur la pérennité des sols, des eaux, de l’air et jusqu’à la strastosphère.

 

On découvre ainsi actuellement et de plus en plus, parfois avec horreur, sidération, et impuissance tant le retard est important pour remédier, l’impact de nos connaissances, de nos développements, de nos manques de discernement, de sagesse, et de choix égoïstes, ignorants ou cupides de comportements sur les équilibres naturels millénaires, compris sur notre propre santé.


Il faut aller plus avant encore que dans les champs agricoles et une morale écologiste, confrontant tous les points de nos mœurs, ancestraux ou nouveauux à ce qui nous arrive de si grave, jusqu’au coeur de nos relations les plus naturelles et intimes.
Apprendre à mieux se connaître soi-même dans ce qui nous anime et ce qui nous paralyse, dans une quête plus complète de vérités, de causes, des tenants et aboutissants qui nous traversent et nous encadrent.
Voyons plus clair dans nos forces intérieures, les resorts psychologiques de notre âme (en grec le mot psyché désigne l’âme), la réalité de nos besoins et discriminons l’essentiel des superflus étouffants, chronophages, aliénants et mortifères.

 

Au plan strict de la causalité, savoir faire un jardin, trier et composter a certainement plus de coséquences heureuses que de visiter l’épave du Titanic ou de chercher à rendre Mars habitable. Plus que jamais c’est le présent qui doit prendre le pas sur les grands ou longs projets, sur des rêves qui éloignent de la bonne recherche d’opportunités pour ne pas subir les effets cumulés pathologiques ou délétères des développements nano et bio-technologiques, des connexions et des implantations addictives et asservissantes.


Je crois que la qualité de notre devenir et avenir les plus proches (individuel comme collectif) dépend, dans le cadre posé de (ce qui nous reste de) liberté et de notre responsabilité personnelle, de l’extension encore possible de mises en lumière fondamentales, de compréhension venant de l’aveu, de la désocultation, de causes à effets sur lesquelles nous pouvons mieux nous positionner.

 

Mieux connaître le contenu préétabl de cette loi fondamentale fait reculer ce que l’ignorance fait appeler hasard.

C’est donc là un principe universel avec quoi conjuguer de mieux en mieux plutôt que d’en laisser des pans dans quelque part obscure.
On combat mieux les contraintes prédisposés ou artificieuses en apprenant et sachant, parfois se soumettant ou parfois dépassant, par la vertu discriminatoire à connaître qui est dans et avec la vie spirituelle (de l’esprit) associée à celle psychique (de notre âme).
… Ce qui nous amène aussi au principe suivant.

 

 

 

B - PRINCIPE DE POTENTIALITÉ

 

Si nous prenons un exemple basique de l’organisation causale, on va parler de l’action agricole de semer. Mettre en terre un grain, une graine, un noyau, un pépin, un bulbe, un rhizome… a pour effet de produire, avec le temps et divers ingrédients nourriciers, une plante et une récolte.

Le principe de potentialité est nécessaire à bien des mouvements fondés sur la causalité. Dans notre exemple, il précise que si on séme des graines de carottes, de persil, de haricots…, la production sera conforme à l’espèce, une graine de courge ne produira pas une betterave rouge.


C’est là un ordre d’organisation universel qui fait que toutes choses sont des réalités immédiates en elles-mêmes, et encore renferment des possibilités, des ressources, des prédispositions, en l’occurence des germes, qui peuvent se déployer bien au-delà de la chose elle-même : une graine minuscule peut devenir un arbre de plusieurs dizaines de mètres.
Nous sommes constamment devant ce genre de prodiges, souvent la conscience trop appesantie pour réaliser rien que les merveilles du règne végétal...


Au plan de l’inanimé, on trouve du gaz combustible et du pétrole dont l’actualité mondiale nous rappelle quelle nécessité et quelle dépendance nous nous sommes créés à partir de ces produits premiers.
Et puis les pierres précieuses incluses dans des magmas rocheux informes, les métaux vils et précieux extractables, les ondes/particules quantiques et les inventions, transformations et applications technologiques qu’on peut en tirer, l’atome, l’ADN, le bois, le sable, la neige, les feuilles mortes… qu’est-ce qui ne porte pas en soi ou à partir de soi au moins une potentialité, qui s’active par quelque automatisme préréglé ou par nos propres potentialités déclenchées (physiques, psychiques ou spirituelles) !?…

 

L’eau qu’on peut conduire vers un potager ou une turbine ; l’air qu’on peut changer en électricité ou en divers gaz liquides, la terre pleine de toutes sortes de nourritures, prenez le temps vous-même de voir ainsi tout ce qui est contenant et contenu en tout…

 

 

Ce sont nos capacités tellement supérieures pour des apprentissages et acquisitions dès notre première année, découverte, écoute, mémorisation, réflexions, volonté, et par là notre aptitude à insertion intelligente, ou livrée à l’ignorance, aux erreurs ou mensonges, à l’absurde, dans le concert et carrousel de l’immédiat permanent, du présent qui file des probables, des possibles… et des impossibles.

 

 

Ces deux principes incontestables disent déjà, plus que ne le posent la physique, la chimie ou même les mathématiques, la profondeur du réel en tant qu’autre chose que des éléments matériels, bruts et seulement accidentellement juxtaposés.
Voir ainsi, c’est comme passer de la conception primitive de la cellule vue comme un grain de gel(atine) (à la fin du XVIIIe siècle), à celle « d’usine à gaz »… avec ses bureaux de services administratifs, telle que des découvertes successives l’ont montrée et que s’est vulgarisée cette complexité (dont l’ADN même n’est qu’un des éléments).

 

Et comme dit Charles Péguy : « Il faut toujours dire ce que l’on voit. Surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit».

 

 

 

C - PRINCIPE DE CORRESPONDANCE


C’est un principe tout immatériel inclus comme les précédents, bien plus qu’à notre échelle, dans la structuration même de tout l’univers.
Par exemple, la vie et mort des étoiles ne peuvent-elles pas être vues avec justesse comme en correspondance avec schéma selon lequel nous naissons et mourons comme tout ce qui est vivant !?

 

os forces psychiques, mentales ou spirituelles, discernables par leurs effets, ne sont-elles pas comme les forces cosmiques ou telluriques qui sont à la fois invisibles et bien plus puissantes que ne sont même les plus gros corps faits de matière dense !

 

Ce principe connu depuis l’antiquité a été dégradé à partir du XVIIIe siècle car, pas plus que le principe organisé et organisationnel de potentialité, il ne peut s’allier avec une vue et hypothèse seulement matérialistes et aléatoires de ce qui est.
Avoir une conscience éclairée sur ses principes fondamentaux repousse les erreurs et l’ignorance dans quoi sont retenus ceux qui croient et voient superficiellement la matière et refusent le surnaturel débordant que la vraie science, objective, qui est recherche de vérités, révèle sans cesse.

 

DEGRÉS DE REALITÉS, MULTIPLICITÉ D’EMPLOIS


Pourtant tout parle de cette réalité où les choses visibles expriment aussi des choses invisibles, où des réalités matérielles naturelles ne sont pas sans rapport singificatif avec celles plus subtiles de l’ordre du psychisme (de psyché, qui est l’âme en grec) ou spirituel.

Dans le langage par exemple se trouvent à la fois le sens propre des mots ou des phrases et le sens figuré : L’amour nous fait pousser des ailes. En montant cette entreprise je me jette à l’eau. Tu es mon soleil...

 

C’est en ce sens que loin dans l’antiquité, d’anciens sages avaient compris cette loi, comme Hermès-le-Trismégiste qui écrivit dans sa Table d’émeraude « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. »
Ce qui signifie qu’on peut connaître – et qu’il est bon de connaître – qu’il y a une correspondance entre la façon dont les choses sont disposées et se passent sur la terre et la façon dont elles existent dans la dimension spirituelle, et on peut par exemple préciser ici : notamment dans l’existence du bien et du mal, et l’inverse de leur rapport de forces… comme une surface d’eau ou un miroir renvoie une image inversée (de haut en bas ou de droite à gauche)...

 

 

C’est ainsi que lorsqu’il indique les principaux points qui peuvent être prier, Jésus fait premièrement référence à cette loi des correspondances lorsqu’il dit : Que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Secondement, outre ce désir que nous sommes invités à exprimer pour voir parmi nous des retenues du mal, des améliorations, des âmes sauvées ou encore le retour du Seigneur Jésus, cette phrase dit aussi que l’analogie est rompue entre le haut et le bas. Le ciel est présenté comme essentiellement le Royaume de Dieu – où la révolte des anges est seulement une poche secondaire dans l’ensemble des cieux, alors qu’ici-bas nous avons affaire au contraire à une large suprématie de Satan et de ses démons.

 

 

CORRESPONDANCES EXISTANTES ET QU’ON PEUT INVENTER

 

Tout le symbolisme, beaucoup de parallèles et autres métaphores viennent de cette manière dont les créations ont été ordonnancées.
Les lettres ou pictogrammes formant les alphabets d’où sort l’écriture, comme encore toute notre signalétique (panneaux de circulation, informations diverses, code-barre, QR code…), tiennent de correspondances dont le principe a été manifestement prédéterminé et encore dont la dynamique est telle qu’on peut nous-mêmes en trouver ou développer entre des choses de deux natures bien distinctes.

 

C’est un précieux moyen pour appréhender le Réel (que j’écris avec un R majuscule pour dire la somme globale (« holystique ») de l’Incréé et du créé). Un moyen simple d’accès ou de mise en relation à deux sorties : D’une part avec du sens non-immédiatement ou difficilement appréhendable que nous pouvons avoir (utilement) à découvrir ; et d’autre part pour dire de manière stylisée, synthétique, résumée, rapide, des idées ou concepts autrement difficiles ou longs à partager.

 

Le poéte ancien Esope – repris notamment par J. de La Fontaine – forma de nombreuses fables où les animaux, dans des situations qui ressemblent aux nôtres, leurs traits de caractères et réactions sont employés à mettre en lumière ce qui fait nos comportements et relations génériques, avantageux ou problématiques.

 

Et pour continuer avec l’exemple des plantes qu’on sème et récolte, qui ne connaît ces parallèles entre des mouvements de la nature et cetains des nôtres : Si tu sèmes des navets, ou des salades (légumes pourvus d’un sens négatif), ne t’étonne pas de récolter des navets, ou des salades. Et qui sème le vent (un vent mauvais) récolte la tempête. Chassez le naturel, il revient au galop...

 

On peut parler de correspondances ou de figures analogiques.

 

DES OUTILS DE CONNAISSANCES ET PÉDAGOGIQUES

 

En ce sens, en bon pédagogue autant que prophète, Jésus forma et utilisa ce qu’on appelle des « paraboles » pour faire comprendre des réalités d’ordre non-matériel à partir de ce que chacun peut voir et comprendre de la nature et de son existence : Parabole du semeur de Paroles et des quatre terrains (où elles tombent, dans le fond de notre âme) – P. du riche insensé – P. du levain qui fait lever la pâte – P. des vierges sages et des vierges folles – P. de la mauvaise herbe ou ivraie parmi le bon blé – P. des noces célestes – P. du filet de pêche – une brebis perdue...

 

 

Dans toute la Bible, on trouve beaucoup d’autres images significatives, par exemple concernant l’Esprit Divin, nous sont donnés l’image de la colombe ; une peau de dauphin ; un chandelier à sept lampes ; un trésor caché ; des eaux vives ; des langues de feu ; un consolateur ; un avocat…

 

Plus encore qu’à partir de la nature et de la vie courante, de nos jours les psy de tous ordres utilisent souvent des correspondances entre d’une part des données mythologiques vues comme archétypales et émergées de la Grèce ancienne, et d’autre part des situations ou attitudes psychologiques de leurs patients et de tout un chacun.

 

Intégrer donc une connaissance vive de ce principe de correspondance est un excellent moyen pour appréhender des réalités importantes, des ordres psychique et spirituel, à partir de figures matérielles qui ainsi deviennent parlantes, découvrent un autre langage.

 

Un principe et concept très riche donc pour connaître le Réel comme des détails qui le composent, avec des mots satellites comme analogie, image, illustration, figure, préfiguration, représentation, métaphore, allégorie, parabole.

 

Il est également dit e Jésus qu’il fut sur la terre un « reflet » de Dieu (grec « Apaugasma » pour dire une brillance, un éclat semblable mais séparée de Dieu) et « l’empreinte » de l’Être Divin (grec Charakter, marque visible, expression ou reproduction exacte).

 

 

 

 

D - LE PRINCIPE D’APPEL À… OU PRINCIPE DE FOI

 

C’est, dans notre fil rouge, l’attitude du semeur qui met en terre des pommes de terre ou des grains de céréales qu’il pourrait manger, les perdant pour un temps dans la foi que, si des tongeurs souterrains, si un mauvais gel ou un printemps pourri, ne viennent pas s’opposer à ce qui l’a fait agir et le fait espérer, il aura une bonne récolte.

 

Peut-être pour beaucoup le plus surprenant des principes premiers !
Et pourtant on va un peu voir que son universalisme est vécu par chacun de nous chaque jour, et même par les animaux, rien du vivant ne pouvant s’en passer !
Comme quoi, à la manière du Monsieur Jourdain de Molière (« Le bourgeois gentilhomme ») qui faisait de la prose sans le savoir, on peu
t pratiquait une activité sans même avoir connaissance de son existence ou du mot qui la désigne.

UN PRINCIPE STARTER, DÉMARREUR, CATALYSEUR

 

Autant la loi causale et celle des potentialités sont dans l’univers comme des dépôts statiques, des inclusions inertes en elles-mêmes, autant ce principe de foi est un démarreur, un piézo et moteur des mouvements. Et des mouvements, il y en a partout !


Il a en commun avec le principe de potentialités d’être tourné vers le futur et d’en produire sans guerre de répit pour faire sans cesse du présent nouveau.

 

Pour situer au mieux de quoi il s’agit, on doit voir la différence, les deux modalités, qu’il y a dans son activation.
Car ce principe est d’abord largement un déterminisme fermé, spécifique (d’espèce), qui joue en dehors de toute conscience et volonté personnelles que son sujet peut en avoir.
D’autre part, c’est une prédisposition qui peut être déclenchée en conscience, par volonté ou par des désirs, qui peuvent être les nôtres ou ceux de tiers.


A l’observation, la frontière entre les deux modes n’est pas celle qui distingue le règne animal et de l’ordre de l’humain, mais se trouve parmi tous les êtres vivants selon un et des curseurs à la fois préréglés et pouvant être déplacés.
En d’autres termes, sous l’effet de stimulis externes, des animaux peuvent dépasser leurs limites naturelles, comme des tigres, des singes ou des orques peuvent être dressés pour jouer dans des spectacles, et chez nous ce genre de dynamique peut s’activer d’elle-même, indépendamment de toute volonté ou désir conscients, comme voler spontanément au secours de quelqu’un ou refuser sans raison apparente une proposition alléchante...

 

C’est cette force intérieure éminemment intelligente, faite d’intelligence dédiée, qui va faire que les oisillons tendent leur bec grand ouvert pour être nourris ; que le bébé cherche et trouve le sein maternel même les yeux fermés, puis cherche à se mettre debout, puis se met à lâcher la main qui le tient et se met à marcher tout seul…

Vous avez dit : Hasard(s) !?
Pour ma part je questionne : N’est-on pas là aussi dans du véritable surnaturel inclus au coeur du naturel, qui ne peut que repousser loin dans une oubliette ou trou noir la bourde magistrale qu’est l’évolutionnisme athée, fondée sur la croyance en la suffisance de quelque hasard actif comme moyen de la création et des organisations de tout l’univers !?

 


C’est par ce principe et la foi qui lui a été attribuée, que l’aigle va, au temps opportun, pousser les aiglons hors du nid et dans le vide, où leurs petites ailes font se mettre à battre et les faire voler.
L’enfant va se lancer (ou être lancé) dans l’eau pour apprendre à y nager ; il va pouvoir jouir de sa capacité/potentialité d’équilibre sur sa première trotinette ou un vélo, et même bientôt trouver intuitivement – voire plus vite qu’un adulte – comment trouver des fonctions d’un ordinateur, avancer dans des jeux de piste très éaborés, créer à son tour des applications nouvelles sophistiquées…

 

LA CAPACITE D’APPRENDRE, DU SURNATUREL PERMANENT

 

C’est par la foi qu’on apprend à l’école ce qui nous est dit – de juste ou de faux ! – ; qu’on va aux examens, à un rendez-vous d’embauche ou amoureux, qu’on a appris à conduire, à rédiger un texte, à s’exprimer par l’oral ou un art.
On va travailler tout un mois avant de toucher sa paye, ou des mois et des années pour devenir un champion sportif national ou international, un virtuose musical, un chanteur ou un acteur plébiscité, un peintre ou sculpteur original (et pas toujours aimé ou compris)…

 

« Beaucoup d’appelés mais peut d’élus » dit aussi Jésus, car les plus grands pas de foi – dans le spirituel comme dans le naturel – tiennent aussi de notre volonté à chercher, à apprendre, à croire ce qui semble incroyable (comme croire à l’opposé du visuel que la terre est ronde et tourne autour du soleil).

On peut même voir aujourd’hui que cette loi de sélection qu’inclut la foi joue à fond dans un utérus après une relation fécondante. On peut s’interroger sur la conscience qu’à un spermatozoïde pour rejoindre une promise potentielle à pénétrer au terme d’un parcours du combattant inouï ! Dans tous les cas trop de science, trop de stratégie, trop de besoins, de paramètres, trop de mécanicité et de combinaisons nécessaires pour croire que cela s’est mis en place incidemment, au petit bonheur la chance !
D’autant que si le système reproductif n’est pas complet dès l’apparition de la moindre cellule vivante, vu la briéveté d’existence de chacune, il ne peut y avoir de vie et d’espèces durables...

 

 

A l’observation, on peut saisir aussi nous concernant en rapport avec ce principe, que quantité de choses ne sont ainsi possibles que pour deux raisons :
- Parce qu’étant créé à l’image de Dieu, nous avons en nous des prédispositions créatives. Cela nous permet d’accéder à des connaissances sur ce qui est, puis à trouver des chemins de développement, des prolongements qui ouvrent des horizons nouveaux ;
- Et puis il apparaît à la réflexion ou à la connaissance, que le Dieu en question n’est pas tributaire du temps comme nous. Il est et il faut qu’il soit éternel, pour explorer dès avant les origines tout comme au fil du temps en continu, , par la pensée, toutes les évolutions et révolutions, toutes les combinaisons, les possibles et les impossibles, vers quoi nous pouvons aller au gré de toutes les générations, cultures, succès, échecs et accidents…, individuealités et groupements sociaux…

 

BASIQUE AUTANT QUE SURNATUREL CE PRINCIPE

 

C’est encore par cette dynamique singulière qu’on va chaque jour manger ce qu’on a achèté... sans être certain que cela ne va pas nous rendre malade ou empoisonner ! Le pain, la viande, les fruits et lédumes, plats cuisinés, conserves, l’eau en bouteille ou du robinet…
Quelle foi rien qu’à ce niveau basique de notre existence !

Par là on fait confiance à quantité de personnes, connues ou parfaitement inconnues.
Les mots foi et confiance (avec foi) ont la même tacine.

 

Confiance à un médecin ou à un chirurgien pour une consultation, un diagnostic ou une opération. Tien de tout cela n’est sans risque.
Plus encore on nous prépare dans le domaine de la santé à faire confiance en des machines pilotées par des programmes, des robots qui sont censés en savoir plus que nous à partir de quelques questions ou tests…

 

De la sorte on est plongé dans cette manière de vivre notre quotidien comme si tout était assurément bien et bon et sécurié, alors qu’on ne peut être sûr de rien, ni d’une personne ni d’un diagnostice ni d’une médicament ni d’une machine. On est là de plus en plus dans un contrat social tacite qui dépasse très largement le raisonnable, le rationnel, l’avéré, en observant et sachant que les valeurs morales qui font la valeur morale des personnes sont globalement en dégringolade sous la pression de centres d’intérêt hautement égocentrés, de l’appât de gains rapides, de la manipulation, de la peur ou de l’insécurité croissantes, en même temps chez nous et chez celles et ceux dont nous dépendons.


Pensons encore à la conduite de tous ceux qui nous croisent sur la route. Sont-ils en état de lucidité suffisante ou d’ébriété ? Et nous-même ? Et trop s’intérroger, prendre peur, devient un problème qui peut être pire que l’exercice irréfléchi du principe d’appel à bouger.

 

Quelle foi face à une personne avec qui on pense s’associer pour fonder une famille ou ouvrir ou reprendre une entreprise !
Un producteur qui envoie une récolte ou un stock fabriqué via un transporteur avant d’être largement payé  ; Celui qui achète en gros de grandes quantités pour revendre au détail. Acheter encore des esaims d’abeille d’un autre continent alors que le varois décime régulièrement les colonies. Faire encore un crédit (côté banque et côté emprunteur), financet le tournage d’un film, gérer son revenu ou son épargne, quitter la ville pour démarrer une nouvelle existence à la campagne ave des chèvres en apprenant à faire des fromages ; miser sur un engagement participatif dans le champ des transitions  ; compter sur un RSA ou autres allocations d’État sans quoi on est incapable de surivre ; organiser un grand voyage ; conclure en accord en se tapant dans la main ou en signant un traité ; construire une nouvelle voiture ou une fusée ; quitter un métier pour une reconversion professionnelle ; écrire un livre ou un scénario avant d’avoir un éditeur,
monter sur une scène, faire de la recherche (journalistique ou scientifique avec ou sans salaire) ; vivre à partir d’appel au don, entrer dans l’occultisme par jeu ou curiosité sans connaître les terribles dangers tapis derrière une belle devanture ; se laisser prendre dans une arnaque par téléphone ou internet ; se lancer sur une intime conviction ou avec un grand doute...

 

TOUS CROYANTS, QU’ON Y CROIT OU PAS !

 

Croire en l’autre, en un produit ou objet et croire en soi, tant dans le quotidien que pour l’aventure, des défis, des appel à… combien de mouvements sensés ou complétment déraisonnés sur la plage immense que bornent d’un côté les peurs, méfiance ou trop la réserve, de l’autre une crédulité naïve, l’irréflexion, des réactions qu’on ne maîtrise pas, la convoitise qui domine la raison, des tentations bien orchestrées par des forces qui ne veulent ni notre bien ni un accès à des connaissances éclairantes, reposantes, à de vérités qui libèrent, à des aides honnêtes et efficace.


« Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. » Mark Twain.
Ou encore : Ils présupposaient que c’était ainsi, alors ils l’ont découvert (comme l’histoire de la découverte du boson de Higgs).

 

 

Par naïveté donc, insouciance ou ignorance, passion, intuition, prédisposition, déterminisme ou réflexion, calculs, comparaison, déduction, extrapolation, chance, « sirendipté », obligation, besoin, erreur, mensonge, illusion, rêve (bon ou muvais), loisir, goût du risque, accident, révélation, songe, vision, signe..., les termes faisant le fond, la catalyse d’une mise en mouvement sont nombreux, comme nous sommes naturellement nombreux à vivre tout cela sans même les rudiments de la connaissance de soi et des tenants et aboutissants du monde et de nos existences... fragiles, temporaires, pas souvent suffisantes là où il faudrait.

On fait ainsi confiance quand on est bin et quand on est mal, à l’alcool ou à une drogue, à une icône ou une idole qu’on affiche sur un mur ; aux orientations que nous donnent publicités et propagandes médiatiques comme on fait confiance au réveil pour se lever à la bonne heure... après s’être couché dans la foi peut-être en un somnifère pour dormir et la foi naturelle qu’on va se réveiller le lendemain matin.


Une dualité de tous les jours en fait, entre une raison fabriquée et une foi déterminée ou volontairement dynamisée. Des mécanicités qu’on s’est données ou qui se sont données, qui sont une bonne chose dans bien des cas, sans quoi on ne pourrait même pas vivre… sauf qu’il ne faut pas s’en contenter. Sauf que notre part de resonsable de soi (et des autres) doit s’étendre dans plus de nos réactions spontanées, dans plus de nos connaissances, réflexions, choix, prises de décisions…

Car faute de connaissance, il peut y avoir du risque autant en traversant une rue sur un passsage piéton où le feu est au vert, qu’on grillant le feu rouge d’un carrefour en deux ou quatre roues. En allant à son travail qu’en faisant du parapente ou en montant dans un avion ou sur un paquebot pour changer de continent…
On peut en écrire des livres...

 

LA FOI INCLUT LE RISQUE, UNE PRIME NCERTITUDE

 

La notion de foi n’est donc pas sans celle de risque et d’incertitude, puisque ce monde est basiquement fait de la sorte : relatif, tributaire du combiné espace-temps et d’un bon nombre de lois déterminantes, incertain et incomplet… ce ui fait du coup que la science comme moyen de connaissance ne peut elle non plus être absolûment certaine, complète et orédictive (voir les 3 et 1 arguments de cette relativité).
D’où un besoin qui apparaît un jour ou l’autre de chercher… Dieu ; s’il existe et lequel il est parmi les diverses représentations, souvent repoussantes, qui s’étalent ici et là. Le chercher et le trouver. Vouloir y croire – s’il existe – avant d’en pbtenir la et des révélations par expérience.


Croire avant de savoir vraiment, d’expérimenter, est donc cette dynamique qui donne de faire un pas dans le vide, un plongeon comme un saut à l’élastique ou à ski – dans un inconnu qui est (comme) inexistant.
Un vide en fait comme celui de l’univers (qui est plein d’énergies) pas si vide que cela puisque tout de ce monde (livré au temps par une vitesse de la lumière telle qu’elle est limitée) est régi de façon pérenne, voire éternelle, par ses lois, prédispositions, vérités immuables et curseurs de régulation d’équilibres, qui ne suivent pas les cprices, modes, innovations géniales ou délires collectifs des sociétés et civilisations.

 

Ce principe est une dynamique qui ne demande qu’à se déployer, à conquérir des espaces nouveaux, à rendre le futur plus attractif et le présent plus riche de sens et d’actions bonnes.
Ce principe invite à des espaces, acquisitions et expériences sans limite, sans frontière entre matériel, psychique et spirituel. Car existent la fixité de cet ordre dynamisant, et son continu possible, des applications qui peuvent courir de la découverte des effets nocifs du déni ou du mensonge jusqu’aux confins quantiques ou astronomiques de l’univers ; de la perception de notre être le plus profond à une communion sans fin avec Dieu.


A nous de mettre en action des moteurs de recherche capables de nous relayer. Au rang de quoi on a l’internet comme étant la plus grande médiathèque du monde, où forcément se trouvent des pistes frayées, le chemin tracé, des mots-clés, des paroles justes à lire ou à écouter, des vidéos porteuses de la saine doctrine venue de ce Dieu, toutes choses que notre coeur et l’amour de la vérité sont capables de reconnaître comme étant ce qui est bon, véridique, juste, possiblement décapant comme agréable et enthousiasmant. Le vivant de toujours.

 

 

TOUS ESSENTIELLEMENT CROYANTS, UNE ÉVIDENCE

 

Ainsi nous pouvons comprendre que sans ce principe « inside » et insigne, originellement intégré au vivant comme les autres principes et lois fondamentales qui régissent l’univers et la moindre de ses parties, il n’y aurait pas le moindre mouvement ayant un objectif défini, existant, connu ou à déouvrir.
C’est ainsi que par le prophète Jérémie, Dieu dit à qui se trouve à la bonne place au moment opportun : « Je connais les projets que j'ai formés sur vous, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance. Vous m'invoquerez, et vous partirez; vous me prierez, et je vous exaucerai. Vous me chercherez, et vous me trouverez, si vous me cherchez de tout votre coeur. Je me laisserai trouver par vous, dit l'Eternel... » Jérémie chapitre 29, 11...

 

Foi de Dieu qui nous laisse libre de faire, penser, dire beaucoup de choses, mauvaises ou bonnes, et foi qu’il attend et veut stimuler en nous pour que s’établisse entre Lui et nous une vraie relation, vivante, d’esprit à Esprit, capable de nous conduire dans toujours plus de vérités, de compréhnsion, de sens, de révélations, d’enthousiasme aussi, de paix surnaturelle, de joie authentique et d’amour (même s’il a été tué en nous).

à suivre N.N.U. 2 : VOILÉ, LE RÉEL EST BIEN PLUS QUE LE MATÉRIEL >> ici <<

Claude T. © Juin 23

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5 février 2023 7 05 /02 /février /2023 17:36

Les grandeurs et merveilles rien que du ciel visible de l'univers
peuvent nous interroger sur ce que peuvent être
les grandeurs et merveilles de son origine
et de cette présence...

Si l'approche scientifique du Réel (entier, holystique) vous intéresse, ici >> un article du blog de l'économiste éclectique Liliane Held-Kahwam sur les 95 % d'éléments de l'univers dont on ne connaît rien.. si ce n'est qu'ils existent <<

+ ma réponse en commentaire, à quoi vous pouvez me répondre : Elle est reprise ici :

"Si je peux me permettre, j'ai cette "théorie" - qui me semble "la réalité du TOUT", que les scientifiques dont la base du réel est seulement matérielle ne peuvent découvrir car le tout est bien plus large que la partie qu'on en voit par des appareils de mesure (même super-électronique).

Poser pour fondement de l'univers seulement les 4 forces d'interactions qu'on connaît (de la Force Forte à la gravité) c'est poser la base d'une partie (physique), en comptant comme zéro que l'univers est aussi fait du vivant - sur la terre bien évidemment, et aussi bien au delà ou autrement (dimension spirituelle).

Et donc ma vue du tout inclut bien évidemment que cet essentiel de la plus grande partie formant cet univers et qui échappe aux tracks nano ou astrotphysique, est d'une autre nature que physique, c'est-à-dire à la fois de l'ordre psychique et spirituel.

J'ai un article ébauché là dessus, et je serai haureux de savoir à qui le transmettre pour le rendre publique et commencer à interroger sérieusement afin de sortir de l'enclave ou prison formé par un fondement du Réel réduit à une doctrine évolutionnisme athéisée (plutôt que questionnée et dépassée).

Bien cordialement"

 

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22 novembre 2022 2 22 /11 /novembre /2022 08:38

Qu'on ait les capacités intellectuelles, cognitives et de réflexion d'un Etienne Klein ou d'un Hubert Reeves* (fort respectables malgré cela), ne permet pas guère mieux que les nôtres, même moindres, de savoir les essentiels de manière certaine puisque nous vivons dans un univers relatif, temporel et incomplet, et parce que leur perception du Créateur est borgne ou aveugle... ce qui est notre condition de départ dans tous les cas.

Sauf qu'à la suite, nous avons aussi la capacité de vouloir aimer la vérité au point de ne pas poser comme préalable à nos savoirs qu'il n'y a pas de Dieu intelligent et connaissable à l'origine de tout.

Pour qui veut connaître (naître avec, naître de lui) ce Dieu qui est, qui a été et qui vient (à qui s'ouvre à lui notamment), >> ici une page pour diriger nos paroles vers lui de manière à être entendu et à recevoir réponse <<

____________________
* Hubert Reeves : "Les scientifiques avouent leur «ignorance la plus totale"

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14 novembre 2022 1 14 /11 /novembre /2022 21:38

L'intérêt qu'on peut trouver dans les crises multiples qui se combinent et nous affectent - non sans raison - est notamment de rompre avec des routines dans lesquelles on s'enlisent, ou encore d'empêcher des projets ou des actions plus problématiques que bons, et donc de réfléchir sur le sens des choses, des événelents, de notre présence ici, et jusqu'à notre devenir... éternel.

Sommes-nous concernés par quoi que ce soit de plus important que notre présent, et notre devenir !...

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3 octobre 2022 1 03 /10 /octobre /2022 09:31

Cette affirmation est une paraphrase de Denis Diderot qui écrivit que "L'oeil, comme l'aile du papillon, nie la négation de Dieu".

Il était alors croyant, avant que la critique anticléricale - justifiée - et l'impiété - difficilement justifiable - de quelques philosophes de son temps (XVIIIe siècle) - ne l'entraîne dans l'apostasie (l'abandon de la foi).
Ce qui lui fera aussi écrire : "La philosophie est le premier pas vers l'incrédulité".

UN RETOUR PROBLEMATIQUE A LA REFLEXION PERSONNELLE

Car en ce siècle quelques dilettantes lettrés ou aisés ont le temps et se mettent à réfléchir par eux-mêmes en jetant "le bébé avec l'eau sale de son bain", c'est-à-dire rejetant Dieu en même temps et indistinctement des religions dévoyées dans leur compréhension du message de Jésus-Christ et dans ses pratiques.

Il y a donc toujours danger à rejeter - très justement - des systèmes religieux qui sont des écrans fumeux entre Dieu et nous, et en même temps Dieu - qui est réel - jusqu'à perdre de vue les beautés de ses créations, de la nature dont les sciences exactes révélent les organisations magnifiques, les complexités inouïes, l'ingéniosité sans pareille.

DESCARTES TRAHI ET RÉCUPÉRÉ PAR LES INCROYANTS

Quelques décennies avant, Descartes avait pourtant reçu de Dieu (par trois songes) comment il fallait faire par rapport à des connaissances acquises pendant l'enfance qui ne donnent pas la paix, ce qui a donné son fameux "Discours sur la méthose", où il prend bien soin de dire que si le doute et la remise en cause des opinions reçues est le moyen de parvenir à la vérité, la réalité de Dieu doit être exclu du doute et de la remise en cause car il est ontologiquement et philosophiquement impossible à prouver et impossible à nier.

Comme souvent, les incrédules et ces philosophes (que j'appelle des philonouces*) ont pris de Descartes ce qui les intéressait, laissant de côté et n'enseignant pas la précision qu'il avait pris soin de faire.

Et quand il écrit, la méthode pour ne pas rester enfermé dans un conditionnement social, c'est un principe actif universel qui est émis, que ce soit face à une instruction et éducation religieuse ou matérialisme.
C'est là qu'il faut savoir penser, ce que signifie son fameux "Je pense, donc je suis."
Non que penser nous fait être, mais, existant, penser nous permet de nous construir non seulement sur la base de ce que d'autres nous ont apporté de leurs propres subjectivités, mais aussi sur des vérifications, acquiescements ou rejets, des données, en vue de nous approcher de la vérité qui est en toutes choses, donc de Dieu compris puisqu'il est à l'origine de ce qui existe et la clé de notre compréhension.

TROIS PAROLES

Trois paroles significatives pour aider qui veut l'être dans cette démarche de faire ce travail personnel de découverte du Réel tel qu'il est, des vérités que des préjugés et autres opinions peuvent cachées, vérités dont la connaissance nous rend libre (dit Jésus) et nous permettent de nous déployer au mieux :
"Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions reçues, et refaire à nouveau le système de ses connaissances." René Descartes

"La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, 19 car ce qu'on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître. 20 En effet, les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité, se voient comme à l'oeil, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages. Ils sont donc inexcusables, 21 puisque ayant connu Dieu, ils ne l'ont point glorifié comme Dieu, et ne lui ont point rendu grâces; mais ils se sont égarés dans leurs pensées, et leur coeur sans intelligence a été plongé dans les ténèbres. 22 Se vantant d'être sages, ils sont devenus fous; 23 et ils ont changé la gloire du Dieu incorruptible en images représentant l'homme corruptible, des oiseaux, des quadrupèdes, et des reptiles**." La Bible, lettre aux Romains, chap. 1.

"...ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés. 11 Aussi Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge, 12 afin que tous ceux qui n'ont pas cru à la vérité, mais qui ont pris plaisir à l'injustice, soient condamnés." 2e lettre aux Thessaloniciens, chap. 2.

Que la lumière incluse dans ce qui est qui se voit ou encore dans le savoir scientifique objectif (mathématique, physique mécanique ou quantique, biologie) vous aide à devenir le plus libre possible par quelque révélation personnelle du Dieu qui est à l'origine de toutes choses et qui veut racheter nos âmes captives des illusions et mensonges des dominants de ce monde qui croient pouvoir le gérer eux-mêmes, Dieu à la fois juste et sévère et amour et miséricorde.

Je prie que Dieu se révèle à vous.
>> Comment il a fait avec moi <<

ici un des articles de fond > Pour mieux comprendre comment opèrent les injustices, la justice et la grâce divines <<

Un guide pour vous aider à prier >> cliquer ici <<

Soyez béni-e à salut et délivrance

______________________
* philonouce, mot formé de des racines philéo qui est l'amitié, l'affection pour..., et noos qui est la capacité d'avoir des pensées et vues personnelles, subjectives et pas forcément en rapport avec les vérités, avec l'objectivité en soi.

** cette référence aux animaux élevés à la place de Dieu, parle des dieux mythologiques souvent figurés par des animaux, donc de l'idolâtrie, injuste, qu'on peut développer des animaux et plus généralement de la nature créée en lieu et place du Créateur, jusqu'à la théorie holistique que veut être l'évolutionnisme, notamment "néo-darwinien athée" comme c'est enseigné dans les écoles laïques ou sous contrat, où de la bactérie aux mammifères les animaux se génèrent eux-m^mes, ce qui est une modélisation du vivant jamais validée par par de justes réflexions ni par les sciences et leurs découvertes successives...

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2 octobre 2022 7 02 /10 /octobre /2022 18:17

Pour comprendre, je vous invite à voir et écouter >> cette vidéo époustouflante très explicite sur votre origine via la mise en contact de votre père et de votre mère et par votre fécondation  - 5 mn 42 (en anglais avec sous-titrage français) <<

... Ensuite pouvez-vous répondre en toute objectivité à cette question capitale :

- Est-ce le et des hasards successifs (ce que prône la théorie évolutionniste néo-darwinienne athée) qui ont pu créer cela ?

Et si la réponse s'impose quasiment d'elle-même à notre conscience, il ne reste plus qu'à croire à un Dieu créateur super-intelligent, qui a pensé, élaboré et matérialisé ce processus reproducteur d'une complexité qui dépasse très largement nos proches capacités inventives.

Un processus notamment nécessaire en bon état de marche dès les premiers moments où la vie et chaque espèce apparaissent sur terre (sans même parler des millions d'autres systèmes et lois associés qui régissent l'univers de ses dimensions astronomiques à ses dimensions subatomiques (quantiques).

En tant que créature née de principes premiers intelligents et de diverses organisations (géniales) divines, je vous invite, si vous avez été formaté-e par le système culturel occidental impie - ou même par un système religieux qui ne vous permet pas de vivre un relationnel vivant avec Dieu, je vous invite à vous tourner vers ce Dieu réel dont nous sommes un effet victorieux, créés (à l'origine) à sa ressemblance : intelligent, aimant, créatif, sensible, altruiste... pour ne pas en rester là de son projet - éternel - envers nous : l'éternisation prodigieuse de notre âme requalifiée pour recevoir un jour un corps nouveau, éternel, incorruptible, amplifié, voué à l'amour et au bonheur...

Tel est l'offre et la promesse de Dieu, et on peut être certain que Dieu n'est pas homme pour mentir et faire des promesses qu'il ne pourra pas tenir.
La foi agréée et éefficace est en ce sens bien plus croire Dieu - ce qu'il dit - que croire en Dieu.

Un guide pour vous aider à prier >> cliquer ici <<

Un chant magnifique >> ici << qui permet d'exprimer sa reconnaissance et son admiration envers ce Dieu qui est l'origine des origines, par les beautés et merveilles de ses créations.

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25 août 2022 4 25 /08 /août /2022 18:42

Le futur certain appartient à qui !?

 

1 - DE MANIÈRE ANECDOTIQUE : LA MÉTÉO

Par définition la météo(rologie) est la connaissance des lois et mouvements, températures, événements célestes (et terrestres) qui font le climat et permettent de prédire comment il évoluera d'heure en heure.

Tout cela est très scientifique avec des satellites, des sondes, des ordinateurs surpuissants qui consomment en concertation des énergies importantes (et réchauffantes !) pour des calculs fantastiques qui disent jour après jour, parfois heure après heure, le temps qu'il fait... chez nous ! ou de l'autre côté de la terre.

Et donc l'intérêt de la météo se trouve dans les projections qui sont faites des mesures du moment, dans le futur, un futur jamais très lointain, et surtout un futur dans lequel de cette manière on ne peut jamais être sûr de rien.

DIFFÉRENCE ENTRE LE CERTAIN ET L'INCERTAIN

Les loupés sur les inondations surprises terribles survenues dans le Var et en région parisienne ces derniers jours sont symptomatiques de ce côté aléatoire des prévisions.

Ainsi, même si l'on peut tirer des leçons de ces ratés dans les alertes ou dans le sens des vents, il faut aussi que nous ayons l'humilité de rester humain tel que nous sommes.

C'est admettre les limites et la faillibilité des sciences, et  de plus que Dieu seul, étant hors du temps tel qu'il s'écoule dans ce monde, sait tout de demain et après.

Les preuves que nous en avons sont multiples. Cette prescience et surscience ont été établies à notre entendement depuis longtemps par des centaines de prophéties - des prévisions ou prédictions donc -, qui se sont accomplies, parfois à des millénaires de distance de leur annonce.

Et là, on peut déjà dire, vu les quantités et probabilités, que rien des événements majeurs, déterminants pour l'histoire ou pour nos existences au quotidien, n'est aléatoire, seulement des fruits de hasard(s). Scientifiquement impossible !

POURQUOI PARFOIS DES PRÉVISIONS FANTAISISTES !

Là aussi la chose a été entérinée comme vérité, qu'à aucun moment la science météorologique ne peut et ne pourra jamais dire avec exactitude le temps qu'il va faire demain ou même dans une heure. Pourquoi ? C'est simple.

C'est précisément un météorologue, Edward Lorenz, qui a découvert une loi qui depuis (1964) est nommée "Théorie du chaos".
On l'appelle encore de manière imagée "l'effet papillon". Cela dit que tout est relié dans l'univers, d'une manière plus ou moins subtile - et en tout cas guère prévisible en ses combinaisons -, dans les interactions possibles en tout, jusqu'à constituer des enchaînements de causes et d'effets quasi-illimités.
Lorentz a illustré cela par l'hypothèse d'un battement d'aile d'un papillon en Asie qui active divers mouvements en son environnement et de fil en aiguille finit par provoquer une tempête de l'autre côté de la planète. 
C'est bien ce que déclare cette loi.

Il l'a aussi illustré comme cela a beaucoup été montré il y vingt ou trente ans,  par une grande quantité de dominos alignés de telle manière qu'en pousser un seul peut en faire tomber autant qu'il y en a qui peuvent être pris dans cette chute, même s'il ne se touche pas directement.

L'image du scientifique qui a fait sensation dans la communauté scientifique est précisément celle du battement d'aile d'un papillon qui, de cause(s) en effet(s) qui devient une nouvelle cause...) peut - mais peut-être pas ! -  provoquer un cataclysme à des milliers de kilomètres de l'insecte !
En d'autre terme on parle de loi d'imprévisibilité.

C'est extrême, mais cela ne doit cependant pas nous empêcher d'éternuer quand l'envie irrésistible nous en vient !

Par contre concrètement, on comprend que j'ai beau avoir pris la précaution de m'informer et d'apprendre que demain je peux sortir sans parapluie et sans être mouillé, rien n'est moins sûr même malgré les apparences. C'est une des raisons des catastrophes qui frappent ici et là, et très localement.

2 - UNE AUGMENTATION DE L'IMPRÉVISIBILITÉ ET DONC DE L'INSÉCURITÉ ?

Et cela risque de devenir de plus en plus aléatoire, de plus en plus fréquent. Pourquoi ?

Car Dieu, le Créateur qui nous laisse des libertés de manoeuvres, veille et aussi nous alerte sur la dangerosité de certains comportements qu'on adoptent comme si tout était bon pour nous, et par liaison causale établie, dans notre proximité et de loin en loin dans tout notre environnement planétaire.
Car on a compris que la loi d'imprévisibilité est aussi une loi fondée sur la causalité, avec des effets directs ou indirects, visibles ou invisibles, que personne parmi nous n'a et n'aura jamais la capacité d'appréhender : Ainsi ce monde nous dépasse, et d'autant plus le mal.
Et même si des hommes ou femmes voient dans les crises des moyens à leur avantage de solutionner des problèmes (comme la démographie galpante par exemple), la loi d'imprévisibilité s'impose aussi à eux, et tous les calculs qui peuvent être faits par quelques-uns par exemple pour prendre un contrôle et un gouvernement planétaire sur la terre habitée s'avèreront forcément à un moment ou à un autre faux.
Des Alexandre, Néron, Hitler, Staline et d'autres en ont toujours fait les frais, et personne ne peut y échapper car Dieu existe, et il a ainsi créer l'univers et ses organisations pour que ce soient des systèmes ouverts/fermés...
C'est-à-dire dont LUI seul reste le maître ; c'est lui qui peut mettre un grain de sable dans n'importe quelle mécanique bien pensée et faire basculer un projet qui a l'air sûr à 100 %. Les exemple ne manquent pas pour que personne ne soit assez insensé pour croire pouvoir mener à terme un projet qui ne vise essentiellement qu'à des intérêts privés.
Que celui/celle qui a des oreilles entende.

En est-on assez convaincu : C'est que Dieu seul peut dominer tout des événements, tout des liaisons causales, changer des vents, dérouter des ouragans ou des tempêtes, en provoquer qui étaient insoupçonnables.
He serait-ce que pour nous garder à notre place de créatures relatives ; et aussi parce qu'il y a des prières de croyants authentiques - ceux qui croient à la force de la prière - qui montent vers Dieu, qu'Il entend et à quoi il peut répondre de manière à changer des cours.

En ce sens, il nous est toujours préférable de mêler Dieu à notre quotidien pour qu'il y intervienne, que de se conformer seulement à des pensées, des projets et autres prédictions météo humaines. 

Bref, écoutez la météo mais attachez-vous aussi à savoir et à connaître qu'il y a des bulletins de Théo(Dieu en grec) dont il est bon de prendre connaissance des enseignements jour après jour.

Si vous passiez seulement l'équivalent du temps que vous passez par jour à suivre des bulletins météo, à lire ou écouter des instructions divines pour un comportement de vie qui évite bien des aléas, vous seriez rapidement moins stressé-e, comprenant mieux le monde, et faisant avec Dieu des expériences inouïes de sa réalité vivante, de sa présence ou de ses réponses...


Que ce soit avec les sciences ou du côté de Dieu, on est dans des extrêmes. Mais le fait que rien n'est prévisible avec certitude est réel, comme celui à l'inverse qu'il y a un Dieu à qui rien ne va échapper d'essentiel.

Que cela ne nous empêche pas d'éternuer quand ça vient !
Mais nous garde aussi de faire n'importe quoi de cette existence qui est pour un temps seulement à notre disposition... tant que nous ne sommes pas entrés dans l'immense projet divin d'une alliance visant à nous communiquer la vie éternelle même de Dieu, pour se déployer ultérieurement dans le Bien seulement, et rien que pour du bien...

Article annexe sur le rapport Science et Foi

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16 juillet 2022 6 16 /07 /juillet /2022 18:05

Rien de vivant n'est complet en soi, sauf Dieu qui est l'Incréé absolu.
Comment le sait-on ?
Par son Esprit qui révèle ce ui n'est pas immédiatement accessible à notre conscience, nous faisant grandir de prise de conscience en prise de conscience jusqu'à pénètrer toujours plus des vérités célestes, universelleles et/ou éternelles.

C'est en ce sens que par AAlbert Einstein ou d'autres, nous sommes parvenus à saisir que tout ici-bas est relatif, Dieu seul étant un absolu, une complétude en soi.

ET PLUS ENCORE !

Dieu est complet et plus encore...
Qu'est-ce que cela signifie ?

On le comprend pas le nom qu'il se donne face à Moïse qui veut savoir qui il est, ce Dieu qui lui apparaît un jour dans un désert et dans sa vie de berger.

Ce nom est appelé "le tétragramme" car il est formé de 4 'tétra) lettres (graphes). Et c'est 4 lettres sont en fait seulement 3 lettres différentes qui figurent les trois "faces" ou personnes distinctes de Dieu :
- Lumière stable immuable, inacessible dans sa globalité de puissance, mais dont il peut nous éclairer en réglant, adaptant sa force (bien supérieure à celle des soleils de l'univers) à notre capacité de perception.

C'est cette lumière (psychique et spirituelle) qui onçoit et devient "Père" quand il forme ou reforme des cratures à son image, à sa ressemblance, tel l'humain que nous sommes...

- Dieu est aussi Parole éternelle qui dit par des mots et phrases ce que Dieu pense, en direction notamment de ce qui lui est extérieur. C'est cette Parole divine qui se donne elle-même et devient Jésus, une création faite d'Incréé et de création (Myriam/Marie en l'occurrence), le fils unique de Dieu et fils de l'humain...

- Dieu est aussi plus spécifiquement  un Esprit, composé de 7 esprits ou 7 faces complémentaires, qui a la capacité de réaliser, de concrétiser des paroles créatrices. De donner corps à des créations, qui vont des éléments fondamentaux de la matière (formant le champ de la physique quantique) jusqu'à la création d'anges immenses et très puissants... et nous entre deux...

- Il reste le 4e élément de la Divinité. Il s'agit des créations psychiques et matérielles du vivant tels les anges et nous-mêmes dans lesquelles l'Esprit de Dieu se donne, s'inclut, peut vivre son éternité unique.

LE TÉTRAGRAMME OU NOM ETERNEL DE DIEU

4 lettres qui disent la nature plurielle de DieuIci écrit en hébreu, langue dans laquelle Dieu se révéla à Moïse il y a environ 3 500 ans.
Ce nom se lit de droite à gauche,

avec les lettres
- Yod aui figure le Dieu infini, jamais accessible, toujours hors de saes créations,

- la lettre Hé qui figure l'Esprit Divin, une fois en tant que réalité en lui-mêm, et une fois, en dernier, en tant qu'incorporé à ses créations, ce qui fait que le Dieu infini, absolu, est en même temps capable de s'ajouter à lui-même...

- et puis la lettre vav qui fait la liaison entre le Yod et le Hé, entre les pensées et conceptoions divines et leurs réalisations hors de lui. Ce qu'on trouve dans les premiers versets du premier livre de la bible (La Gen_se) : "Dieu dit... et la chose dite est produite).

RIEN A VOIR AVEC DE LA RELIGIOSITÉ

A connaître Dieu, on approche souvent plus des sciences que de la religion, de la physique, chimie ou des mathématiques, car ce qui est vrai se vérifie scientifiquement après qu'on les ait saisies par l'intuition, par révélation directe ou par la foi.

Et si vous avez envie de connaître un tel Dieu, venez à lui tel-le que vous êtes, et il s'approchera de vous.

>> ici un guide pour aider à prier si vous en ressentez le besoin << 

 

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  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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