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4 décembre 2020 5 04 /12 /décembre /2020 20:05

Je vous invite à bien écouter les paroles de ce chant > TOUT MON ESPOIR

C'est une foi solide qui fait chanter ici :
"Tout mon espoir est établi
sur ton amour et ta justice...
Je me confie, m'appuie sur toi
Je tiendrai bon, je compterai sur toi."

La foi authentique se fonde sur cette double particularité du Dieu véritable :
son amour - qui dépasse tout ce qu'on peut imaginer ou en supporter -
ET
sa justice - intraitable mais qui a été accomplie pour nous, à notre place, par Jésus, afin que nos injustices (récurrentes) puissent nous être pardonnées,
à la fois par grâce (comme fait une grâce présidentielle)
ET
en respectant la justice du 3e Ciel, opérée  par Jésus, par le don de sa vie, par sa crucifixion et sa mort
ET aussi
par sa résurrection car il n'était pas juste qu'étant sans péché (sans injustice en lui-même), il meurt. 

- En effet, le prix que coûte le mal que nous faisons (dans la comptabilité juste de Dieu, selon son code pénal) c'est la mort.
La mort étant d'abord une mort spirituelle, toute intérieure, qui fait qu'on se sépare de Dieu ; ensuite une mort physique qui est un jugement retardé pour nous laisser le temps de nous repentir, de pouvoir être divinement pardonné et recevoir de Dieu sa vie éernelle... sinon c'est une autre mort encore qui arrive, après le jugement dernier, de notre âme - c'est-à-dire de ce que nous sommes en tant qu'être psychique conscient. Pour plus de détails, voir > ici l'article "Les 5 types de mort
".

- Mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est pas jugé, mais celui qui ne croit pas est déjà jugé parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.
19 Et voici quel est ce jugement : la lumière est venue dans le monde et les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière parce que leur manière d’agir était mauvaise.20 En effet, toute personne qui fait le mal déteste la lumière, et elle ne vient pas à la lumière pour éviter que ses actes soient dévoilés.21 Mais celui qui agit conformément à la vérité vient à la lumière afin qu'il soit évident que ce qu’il a fait, il l’a fait selon Dieu." Nouveau Testament, Bonne Nouvelle selon Jean, chap. 3, vers. 16,21

Dans cette foi non religieuse, on rejoint ces paroles très fortes du chant de Paul Baloche Tout mon espoir :
"Je tiendrai bon, je compterai sur toi."
Ce qui veut dire
que nous avons à croire et proclamer qu'on tiendra bon dans la foi jusqu'à notre réunion céleste avec Dieu,
mais que
c'est en comptant sur Lui - et non sur notre grande spiritualité, sur nos mérites personnels ou sur nos œuvres bonnes - que nous parviendrons au salut de notre âme, c'est-à-dire à l'éternisation de notre moi (ego), de notre conscience personnelle recyclée.

Soyez encouragé-e et béni-e pour votre suite d'existence et de vie.

> guide pour formuler une prière qui ouvre la relation possible avec Dieu

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8 juin 2020 1 08 /06 /juin /2020 13:47

Le cherche-t-on ? Existe-t-il le bonheur ?
Par nature invisible, parfois cependant il s'aperçoit,
Se fait sentir au plus sensible des cœurs,
Mais déjà Oups, il n'est plus là !... Pourquoi ?

Le bonheur ne dépend pas des richesses,
Le riche le sait mieux que quiconque,
Que l'imprévu peut toujours surprendre,
Qui n'a pas tôt fait d'être en liesse
Qu'il se trouve déjà au fond d'une jonque
Qui prend l'eau ou le fait pendre.

C'est que le bonheur ne dépend pas de ce qu'on a
Si ce n'est des soucis que cela pose,
Il dépend surtout, toujours, de ce qui manque.

Et que manque-t-il toujours quand tout est là
Semble-t-il, pour que tout soit bleu et vert et rose ?
Aux rois, aux beaux, aux princes comme aux saltimbanques
Aux prélats, aux préfets, aux citoyens en gilets jaunes
Aux ados boutonneux, aux séniors et aux vieux vieux,
Il manque Dieu... tant qu'on ne l'a pas trouvé, en vrai,
Tant qu'on ne croit pas ou plus qu'il donne
Le surcroît de vie qui ouvre accès aux cieux
Les plus hauts où tout s'unit en live éternité. 

Le bonheur ne manque pas, là où il se trouve,
Là où il demeure et attend qu'on le rencontre,
Avec l'amour la paix l'enthousiasme le bien
Le bon, éphémères ici parmi nous, qui cependant prouvent
Qu'il faut chercher ailleurs, où il se démontre,
Le Dieu auquel croire plutôt que de ne croire en rien.

Le bonheur ne dépend pas de ce qu'on a
Mais de ce qu'on est quand on a trouvé Dieu,
Quand on est, conscient de nos insuffisances
De nos limites de notre inconsistance d'être iota,
Qui se comble comme un vase devenant précieux
De ce qu'on n'est pas de grâce de bonté de confiance.

C. T. June 2020 @LGDDV

Un après-midi de printemps le ciel m'apparut immense et bleu profond,
quand soudain un voile est levé aux yeux de ma conscience
et je perçois, j'entends, JE SAIS : DIEU est là !

Lire ici à ET SOUDAIN...

Poésie-vie similaire d'un clic ici <

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13 octobre 2018 6 13 /10 /octobre /2018 09:56

suite de l'article qui commence ici...

Dans un curieux dialogue entre une femme cathare du XIVe siècle et un européen lambda d'aujourd'hui, on peut lire :
"- Êtes-vous un honnête homme ?
- Pardon ?
Surpris par la question autant que par le ton grave sur lequel elle l'avait posée, je ne savais trop comment réagir. Mais, comme il se doit, je répondis :
- Disons que oui. Je crois être un honnête homme.
Fabrissa pencha la tête et son regard s'aiguisa.
- Un homme qui sait distinguer la vérité du mensonge..."
K. Mosse, histoire-fiction autour de la persécution des cathares.

¤

On a normalement compris qu'une activité intellectuelle on va dire cogito-réflexive ouvre la porte à des champs d'évasion certains.
Mais tous ne sont pas des champs, des sujets pertinents, des évasions peut-être mais pas forcément de la vraie liberté. Un peu comme un prisonnier échappé qui est en cavale, ne pouvant jamais trouver le fond de repos et la vraie liberté - qui sont des réalités de notre espace intérieur (psychique et spirituel).

Dès lors il nous faut chercher, par un exercice qui ne met pas de côté la pensée, la logique, le bon sens, la réflexion, mais la solliciter autrement, au delà de cet intérieur mouvant dans lequel on ne peut pas franchement avoir confiance - en ce sens je crois à l'homme mais pas en l'homme -, en vue de lui permettre de trouver sa meilleure plage d'action et avec de trouver Celui qui est le centre d'espaces supérieurs qui tiennent de la dynamique de l'esprit et non plus de l'âme.
Mais on va garder l'évasion comme idée et expression de ce besoin fondamental qui est le nôtre - conscient ou bien inconscient -, de trouver la porte par où rejoindre le Divin véritable à partir de ce que nous sommes de plus basique...
¤

IMPORTANCE D'AIMER LA VÉRITÉ
Dans un univers où on peut choisir de marcher avec des mensonges ou en tenant à la vérité, c'est un corollaire qu'il y ait parmi nous des divisions ! Car on ne peut honnêtement pas accorder en nos pensées, toutes les pensées, erreurs et mensonges issus de nos relations, cogitations (bien ou mal intentionnées) et autres démons > sur cette dernière source (démoniaque), n'oublions pas que ce monde, s'il appartient à Dieu, appartient sur le terrain (pour encore un peu de temps) à Satan et à ses troupes invisibles, des anges devenus démons en sortant comme lui de leur rang, aussi réels que l'air qu'on respire. 
Parmi les convaincus de l'importance de la vérité, Einstein a dit : "Le souci de parvenir à la vérité doit primer toutes les autres considérations."

ET DONC POUR S’ÉVADER?
Comme Icare eut du faire : En laissant se calmer et se reposer notre âme. Dont on a compris qu'elle est aussi insuffisante qu'en pauvres effervescences*.
_______________
* abimée, entachée, désorientée, au minimum borgne et sourde au bien objectif, du fait de son égocentrisme pathologique (avec des peurs incrustées, des manques comme sont les trous de mémoire, une vue réduite comme par un glaucome... D'où naissent toutes sortes de désirs irraisonnés, de volontés obscures, de pulsions bientôt irrépressibles, de passions incontrôlables et avilissantes, de la mégalomanie pseudo-déifiante au défaitisme le plus anéantissant.

¤

Dès lors qu'on se voit comme dans un miroir non déformant, on n'a plus qu'à (oser) demander son secours à Dieu. Le fait qu'il y ait des religions oblige à préciser : le Dieu véritable, Celui sans qui il n'y aurait ni univers ni nous-même ; Celui qui se tient en retrait à cause de la liberté qu'il nous a accordée et de nos injustices non vues, reconnues et pardonnées ; mais qui aussi se révèle, parle réellement au cœur de manière à être reconnu... et re-vient sous peu.

SE MOBILISER, D'ABORD, POUR LA PREMIÈRE DE TOUTES LES CAUSES
Désirer, vouloir et demander à ce Dieu unique (imité mais jamais égalé) un bon accès aux fondamentaux du Réel (vérités premières), me concernant et le concernant. Car c'est dans cette connaissance objectivée ou ré-objectivée que se produit la rencontre entre le Ciel qu'il est et la terre que nous sommes.

Cesser - quand c'est notre cas - de viser le monde des pensées ! Il existe, comme existe l'univers imaginé et imaginatif d'internet, avec intranet et autre...
Il est haut, et peut être beau et fort appréciable par notre âme (ce qu'on vit en écrivant ou en lisant un livre, en réfléchissant ou expérimentant scientifiquement, artistiquement ou philosophiquement sur les choses... Monde des pensées haut, beau, mais pas assez pour être stable, béatifiant ou simplement source de notre victoire sur les adversités !
Il fait partie de ces choses qui nous dépassent et dont il n'est pas besoin pour vivre bien de connaître les arcanes - qui ne peuvent que conduire à Dieu (si on est honnête) ou à la folie (si on est trop ambigu, comme par exemple Icare) !
La paix et/ou un bien-être stabilité ne viennent pas plus de cette hauteur que de se livrer aux bassesses psycho-somatisées. J'ai trouvé/reçu* (comme quand même pas mal d'autres) qu'on ne peut être apaisé que par notre réception/acceptation* de Dieu en tant que Dieu rédempteur qui nous (r)achète aux forces du mal, qui nous sauve de la mort comprise (le nom Jésus, Yeshoua en hébreu, c'est "Dieu sauve" !).

Et dans cette foi "Il n'y a donc maintenant aucune condamnation pour ceux qui sont en Jésus Christ.2 En effet, la loi de l'esprit de vie en Jésus Christ m'a affranchi de la loi du péché et de la mort.3 Car- chose impossible à la loi (la religion et notre piété religieuse) parce que la chair (faire de notre corps et de notre âme) la rendait sans force -, Dieu a condamné le péché dans la chair, en envoyant, à cause du péché, son propre Fils dans une chair semblable à celle du péché,4 et cela afin que la justice de la loi fût accomplie en nous, qui marchons, non selon la chair, mais selon l'esprit.5 Ceux, en effet, qui vivent selon la chair, s'affectionnent aux choses de la chair, tandis que ceux qui vivent selon l'esprit s'affectionnent aux choses de l'esprit.6 Et l'affection de la chair (qu'il s'agisse de l'âme ou du corps quand c'est dominant), c'est la mort, tandis que l'affection de l'esprit, c'est la vie et la paix ;7 car l'affection de la chair est inimitié contre Dieu, parce qu'elle ne se soumet pas à la loi de Dieu, et qu'elle ne le peut même pas.8 Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu."

"Or, les oeuvres de la chair sont manifestes, ce sont l'impudicité, l'impureté, la dissolution,20 l'idolâtrie, la magie, les inimitiés, les querelles, les jalousies, les animosités, les disputes, les divisions, les sectes,21 l'envie, l'ivrognerie, les excès de table, et les choses semblables. Je vous dis d'avance, comme je l'ai déjà dit, que ceux qui commettent de telles choses n'hériteront point le royaume de Dieu.22 Mais le fruit de l'Esprit, c'est l'amour, la joie, la paix, la patience, la bonté, la bénignité, la fidélité, la douceur, la tempérance ;23 la loi n'est pas contre ces choses.24 Ceux qui sont à Jésus Christ ont crucifié la chair avec ses passions et ses désirs."

Voilà LE choix (primordial, central, existentiel comme essentiel, crucial, final) de toute vie ! Laisser la philosophie et d'autres quêtes de second rang, démontrée(s) depuis le temps, par l'histoire et la masse considérable des écrits tâtonnants, contradictoires, rivaux, compliqués, empoussiérés, et toujours harassants (à écrire ou à lire), et concrètement stérile face à la mort et mortifère face à la vie. Car s'il s'agit de l'âme et de ses développements pour l'existence matérielle, il ne s'agit que de l'esprit pour ce qui est haut et durable, a priori (objectif) et à connecter (à notre sujet) donc.

Laisser le champ de l'esprit et du Divin à son Esprit, pour qu'il nous/vous conduise lui-même progressivement ou mieux de manière révolutionnaire, dans la révélation de l'autre versant du Réel.
Pas seulement l'occulte maléfique dont se voit tant les effets terrestres, mais conduit là où la lumière est et d'où elle vient, éclairante et réchauffante (réconfortante, consolante, vivifiante, enthousiasmante), par la présence divine même, la connaissance juste et à propos, et bien sûr l'amour qui y habitent.

Car oui les connaissances a priori existent, hors de nous - la gnose l'appelaient les grecs anciens... réalité inouïe avec quoi j'ai été mis à son contact. Elle est le monde du savoir vrai, de la connaissance sans erreur ou mensonge. De l'intelligence des choses (connaissance intelligible) en tant que relation éclairée entre les réalités en soi (qui nous précède, ce qui fait l'objectivité permanente du Réel) et le sens qui peut nous en être donné (subjectivité qui se construit, bien ou mal, bénéfique jusqu'à notre éternisation, ou maléfique jusqu'au nihilisme et annihilation alzheimérique).

LE DA VINCI CODE ! SOURCE VÉRITABLE
(S')enfoncer, captif comme Dédale et Icare, dans le champ des pensées et idées, c'est n'arriver tout au plus qu'aux abstractions premières sans mode de décodage ; peut-être aux chiffres magiques, aux proportions et formes comme principes, dont Satan peut donner des clés, et non pas Dieu ! C'est ce qui ressort du cheminement de Léonard de Vinci. Où la religion et religiosité humaine hors-Écritures ou plus précisément hors-Évangile tourne à une mystique qui est d'autant moins lumière qu'elle le semble. Voir le déroutage tout aussi subtil du juif Spinoza et de combien d'autres qui prirent des vessies pour des lumières ! Ou la folie démoniaque développant l'Inquisition, l'opiniâtreté barbare d'un Duc de Guise qui enflamme tout Paris (hécatombe de la St-Barthélémy), d'un cardinal de Richelieu, et encore sous nos yeux la cruauté sanguinaire de l'idée de califat (Daesh) ou encore des accouplements coupables qui se veulent hiérogamiques....

Au mieux, c'est comme on arrive par nos sciences et nos télescopes à voir presque-presque l'instant T de la création céleste physique, mais pas Qui l'a déclenché... parce qu'on n'y croit pas !
Ou à faire des modélisations cosmologiques qui n'ont rien à voir avec la réalité (même Einstein avec sa vision première de l'univers statique et éternel).
Et, sans doute pire, comme Darwin qui, en croyant à sa façon (sa généalogie est unitarienne, qui nie la tri-unité divine et divinité de Jésus) et peut-être en croyant bien faire, croit voir dans des ressemblances de formes animales une évolution, en réalité aberrante, des espèces. Ce qui va donner la théorie de l'évolution qui deviendra rapidement (évolution oblige !) néo-darwinisme, la doctrine pseudo-scientifique"de l'athéisme, qui s'enseigne toujours un peu partout, avec les applications directes destructrices qu'on connaît et qui continue à se développer de manière de plus en plus discutable...

Trop de savoir, trop vouloir voler haut, revient à ne plus rien savoir (comme chanta Gabin). Pire, à savoir par l'âme on sait de travers, on croit le contraire de ce qu'il faudrait, on arrive à prendre le mal pour du bien, et bientôt le bien pour du mal.
Faute d'avoir voulu chercher et trouver (ou de s'en être tenu à ce qui est vrai dans la foi), on devient enfant surdoué de Satan !

Et jusqu'à la paix mondiale, comme le bonheur avec nos proches, peut s'y perdre massivement et/ou profondément.
Et donc ne convient-il pas de s'arrêter où Gabin était arrivé et chanté à 60 ans (à moins que ce soit plutôt l'auteur du chant Harry Philip Green, alors âgé de 63 ans), mais de cheminer encore... pour savoir  ! Comme un jour : J'AI SU ! Où JE SAVAIS (désormais, dans le sens de la plus sûre conviction) que Dieu existe ! C'est pourquoi j'écris encore là, plus de 40 ans après.

DIEU AU DELÀ DE TOUT, MAIS CONNAISSABLE !
Parce que comme il est au delà d'un big-bang quelconque (création de l'univers ou accident grave, EMI, cancer, rupture sentimentale, AVC, maladie orpheline...), Dieu est au delà du champ de la pensée, structuration psychique et contenu qui seront toujours partiels chez nous ; champ particulier mais complet seulement chez Lui.
Pour notre part, c'est comme si, aveugle, on n'avait accès à un éléphant seulement en touchant sa trompe, une patte ou une oreille !
Comprendre donc que chercher "Comment ça marche là-dedans" comme s'il s'agissait d'un élément physique de la matière (ou même de l'anatomie des vies terrestres), c'est se mettre le doigt dans l’œil ! Hormis Dieu toutes choses a des limites.
"Car mes pensées ne sont pas vos pensées, Et vos voies ne sont pas mes voies, Dit l'Éternel.9 Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, Autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, Et mes pensées au-dessus de vos pensées."

Et donc la vraie connaissance, qui est limpide et réjouissante, est celle qui va permettre "d'aimer Dieu" ! Comme Jésus l'a révélé (en le disant et en le démontrant). En quoi il convient d'arrêter - de vouloir suspendre - la cogitation mécanisé (et notre agitation en mouvements de surface) qui se fait à partir de "rien", de beaucoup de vanités (de vain, que sont la plupart de nos acquisitions transmises jamais méditées (ruminées, soupesées, discernées) ou de soi (base de connaissances largement faite de préjugés, de partiellité et de partialité, fluctuante, marées-cageuses).

D'arrêter de s'enfoncer par l'âme dans cette sphère du connaissable, car ce ne sera jamais une évasion de l'aliénation de fond, mais une démarche à la force centripète, qui ferme aux autres champs à intégrer, via leur Source, voire rend solitaire et associable.
Il ne s'agit pas là de dire "Ô temps, suspends ton vol", mais à nous de suspendre des choses par quoi on se laisse occuper.

à suivre ici où il est question de l'amour comme préférable à une dynamique de pensée mal employée et mal maîtrisée (voire malmenée, tyrannique, incessante)...

Bénédictions en attendant.

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23 novembre 2017 4 23 /11 /novembre /2017 17:20

Le texte est en Pages (sur la droite) ou cliquez ici

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3 juillet 2017 1 03 /07 /juillet /2017 07:52

 

 

 

 

 

 

Après une longue gestation en bouton, deux fleurs de cactus
qui brillent... un seul jour ! Image de l'éphémère de nos existences...

 

 

 

 

C'est le propre de l'homme de porter des jugements critiques sur les autres.
Pour en changer, on peut apprendre à se voir dans ce miroir qu'est l'autre que je critique : on y découvrir de manière étonnante - et bénéfique - tout ce qui demande une vraie réformation en nous-même.
 

 

Faut-il qu'on soit ignorant pour confondre nature et Dieu, créature et Créateur !?
Cela s'appelle panthéisme, athéisme ou agnosticisme. Des mots bien savants pour une vue du Réel si étonnamment simpliste.
Chercher Dieu, le vrai, le trouver par relation, change notre design le plus intérieur...
 

S'il y a une seule bonne "chose" qu'on puisse emporter
avec nous suite à notre existence incarnée, c'est bien celle-ci !
Faut-il qu'on soit si mal qu'on ne le réalise même pas !?
(une ancienne mine de charbon de l'Est de la France : il en reste un corps mort ; sa part vivante s'en est allée... ailleurs)

Le vrai Dieu et son message christique s'inscrivent parfaitement
dans notre mal-vivre, pour y remédier, et dans notre environnement, pour que nous y trouvions toujours plus de sens.

L'essentiel de ce qui se fait comme mouvements dans les règnes
végétal, animal et humain, résulte du principe de foi...
Juste que chez nous, par exception aux autres règnes,
ce n'est pas seulement du déterminisme...
 

Quel est le but générique de vos courses ? Le bonheur ? Le bien-être physique ? L'amour ? Vous dépasser ? Dominer ? Gagner ? Quoi ?...
Quand on sait que tout cela se trouve regroupés dans le gain surnaturel de l'éternisation de notre âme, quel but désormais peut-on se donner
qui mérite notre principal engagement ?
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Réflexion ouverte...

 

Soyez béni-e.

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22 mai 2017 1 22 /05 /mai /2017 20:45



Croire Dieu sur Parole
est plus déterminant de réussites que seulement croire qu'il existe.
"Faute de connaissance, mon peuple dépérit." Livre du prophète Osée

Suite de 1/2 ici
On est comme en temps de guerre où les maisons peuvent soudain s'écrouler - à côté de nous, ou sur nous. Où quelque chose peut nous péter dans la tête ou au coeur avant qu'on ait réalisé ce qui nous arrive.
A-t-on été averti du danger ou de l'imminence d'une attaque ou d'une autre ? Certainement, mais on n'y a pas fait attention. Pourtant cela a été dit et répéter : On EST en guerre ! cf. encore l'état d'urgence !...

Mais jusque-là on n'a pas cru que les avertissements existent, parce qu'on ne croit plus selon le fil intelligent des causalités. Rendus hagards par l'athéisme prégnant, on croit seulement un peu en l'homme mortel et au non-sens de notre existence. On croit comme Sartre, d'autant plus absurdement qu'on ne sait pas,
- que tout n'est qu'existences aléatoires, chanceuses ou pas,
- et ensuite, quant à l'essence, qu'il s'agit de ce qui est possiblement imaginable (comme sens, concept ou solution), à inventer donc...

Or aujourd'hui, par la raison ou les sciences, il est bien plus que probable que le contraire, qu'il y a un Dieu aux origines de l'univers, et encore qui en suit les mouvements. Pour beaucoup de gens honnêtes qui en font l'expérience, comme c'est mon cas, il est clair que Dieu EST.
Dans ce sens-là, on peut observer que l'essence (le sens, la raison, la cause, l'information du pourquoi des choses organisées, complexes et fonctionnelles) précède leur existence (réalisation).
Le sens relie l'essence (la pensée conceptrice) à l'existence (qu'on voit ou entend). Si on inverse, on perd le sens, et notre emprise essentielle sur le monde...

La connectique nous enseigne l'importance du link, des liens, parmi et sur la réalité et les mouvements des choses ou de nos personnes... Et c'est ainsi que Dieu aussi parle : Sa (ses) Parole(s) sont du lien essenCiel entre lui et nous (comme on a découvert "la singularité initiale" entre l'acte appelé Big-bang et son Concepteur). Par la pensée, par l'intuition, par des écritures, des songes, visions... Dieu enseigne et/ou avertit.

Et Dieu n'avertit pas pour qu'on ait peur et qu'on s'affole, qu'on se suicide. Mais pour que nous cherchions comment nous mettre sous sa protection. Ne nous leurrons pas sur ce que de nouveaux ministres peuvent faire pour nous. Sauf qu'ils voient soudain qui est le véritable ennemi qui nous secoue, nous ébranle et met en guerre, qui nous combat tous - non pas le chômage ou l'immigration, ni le FN ou François Fillon... Non, l'ennemi bicéphale que nous avons chacun à combattre ! La Bible les dénonce ici et . Seulement nos politiques - comme nous-mêmes - lisent-ils ce Livre... comme leurs pères européens ou américains l'ont fait ?

Par exemple
Jean Jaurès (XIX-XXe, avant qu'il laisse sa foi être absorbée par le socialisme) "La Bible est le livre qui fait bondir la tête et le coeur des hommes, tressaillir les collines. C’est le livre des sursauts, des images grandioses et tragiques."

William Gladstone (1er ministre britannique de la fin du XIXe) "J’ai connu 95 des plus grands hommes du monde de mon époque, et 87 d’entre eux étaient attachés à la Bible. La Bible est frappée d’un sceau de garantie d’origine. Tout le bien du Sauveur du monde nous est communiqué par ce livre."

Robert Kemp (académicien XXe) "L’importance de la Bible est évidente. Son ignorance creuse un abîme dans la culture... Je veux la Bible pour tout homme désireux d’étendre ses connaissances, de réfléchir sur sa condition et de goûter la beauté des pensées de Jésus."

Comte Axel Oxenstierna (homme d’Etat suédois du XVIIe) "J’ai fait beaucoup d’expériences dans ce monde et jouit de bien des heures agréables; mais en vérité, je n’ai appris que maintenant ce que c’est d’être heureux et joyeux. Je remercie mon Dieu qui m’accorde encore du temps pour apprendre à Le connaître et à me connaître moi-même. La connaissance de l’amour de Dieu par la lecture de ce merveilleux livre a plus de valeur pour mon coeur que tout ce que le monde peut m’offrir."

Jean Gutenberg (XVe - inventeur de l’imprimerie à cause de la Bible, 1er de tous les livres imprimés) "Dieu souffre parce qu’une grande multitude ne peut être atteinte par la Parole Sacrée; la vérité est captive dans un petit nombre de manuscrits qui renferment des trésors. Brisons le sceau qui les lie, donnons des ailes à la vérité. Qu’ils ne soient plus manuscrits à grands frais, par des mains qui se fatiguent, mais qu’ils volent, multipliés par une machine infatigable, et qu’ils atteignent tous les hommes !"

Victor Hugo (XIXe, écrivain et homme politiquee) "Sachez que le livre le plus philosophique, le plus populaire, le plus éternel, c’est l’Ecriture Sainte. Ensemencez les campagnes d’Evangiles! Une Bible par cabane !"

Alphonse de Lamartine (XIXe, homme politique et poète)
Pour les poètes, un poème sur la création

Etc, etc...

ALORS MAINTENANT ENCORE DES NOUVELLES RÉFORMES !?
Moi Président, je parlerai sur

> LA MORALISATION DE LA VIE POLITIQUE... ET LA MORALE PERSONNELLE !
Pour un retour (ou une vraie avancée pour ceux qui n'ont jamais connu) à la Morale Objective. Parce que le Créateur de toutes choses a posé une fois pour toutes (il y a déjà 3 500 ans) 10 points (appelés Les 10 Commandements) comme socle bénéfique de nos existences et à nos relations :
- Aimer Dieu - lui-même et non quelques images ou représentations religieuses qui nous en sont proposées - ;
- Ne pas parler de Lui pour ne rien dire (Galilée "C'est notre grande maladie de parler pour ne rien voir.") ;
- Se reposer un jour par semaine - pour un vrai break et pour s'approcher de Dieu - ;
-
Honorer son père et sa mère afin que nos jours se prolongent et qu'on sois heureux ;
- Ne pas commettre de meurtre ;
- Ne pas commettre d'adultère ;
- Ne pas voler ;
- Ne pas faire de faux-témoignages ;
- Ne pas convoiter la femme et tous les biens de son prochain. Mais désirer son bien.

On peut ajouter, Arrêter de trafiquer avec tout ce qui est occulte (esprits, revenants, apparitions, spiritisme...) - car vous ne réalisez même pas qu'on se met ainsi inévitablement à la portée des démons trompeurs et méchants qui veulent votre perte éternelle.

> LE TRAVAIL
Président je dirais que le chômage doit questionner aussi notre responsabilité personnelle ! Car les crises et toutes sortes de malheurs sévères nous arrivent-ils seulement par hasard ? Par la faute à Pas-de-chance !? Pourquoi je suis au mauvais endroit au mauvais moment (comme ce fut le cas pour mon accident) ?

Un peu de rationalité ! pour ne plus voir seulement globalement la problématique du travail comme une calamité sans cause, mais comme résultant, au cas par cas, de nos propres fautes de comportements qui s'additionnent. D'où jugement qui tombent par exemple sur des patrons cupides ou des gérants peu capables ou vertueux, tels exploiteurs plus qu'humains, ou d'autres trop "humains" quand il s'agit d'évoquer ou solliciter la sexualité...
Et donc peut-être bien aussi des malveillances similaires chez les salariés ! Avec l'employé-e qui sort des fournitures de bureau ; l'ouvrier qui soustrait du matériel ou des produits de sa boîte. Cela s'appelle vol, rapine, larcin, abus, traitrise... ce qu'enseignent les bonnes vieilles fables morales - qu'on a cessé de nous apprendre à l'école : Qui vole un oeuf vole un boeuf !
Profit indu de la sécu ou d'autres choses (ça peut être fraude, arrêt abusif, fausse déclaration, mensonge, détournement...). Avec encore peut-être l'entretien d'un esprit de contradiction ou du mécontentement permanent (participant-e et soumis-e mais à contre-coeur). Soit des relations professionnelles troubles, polluées, tendues, qui nuisent à notre santé et à tout ce qui touche à "notre" entreprise, et jusque dans nos familles et jusqu'à rendre visible la gangrène au plan sociétal.

(Nous) a-t-on appris à être satisfaction d'avoir un emploi, à être reconnaissant, à trouver du plaisir même dans ce qu'on nous dit être des "sots métiers" : "Il n'y a pas de sots métiers" ! Etc, etc...
Est-ce que je parle d'une vue de l'esprit théorique, ou de faits que vous connaissez au plus près de vous ?...

Le roi Salomon (dit l'Ecclésiaste) écrivit "Voici ce que j'ai vu : c'est pour l'homme une chose bonne et belle de manger et de boire, et de jouir du bien-être au milieu de tout le travail qu'il fait sous le soleil, pendant le nombre des jours de vie que Dieu lui a donnés ; car c'est là sa part.19 Mais, si Dieu a donné à un homme des richesses et des biens, s'il l'a rendu maître d'en manger, d'en prendre sa part, et de se réjouir au milieu de son travail, c'est là un don de Dieu."

Dieu ne refuse jamais ses bienfaits sans raison. S'il est l'initiateur du bonheur par le - et dans le - travail (Prov. 12), il "suffit" de chercher pourquoi cette loi parfois cesse de jouer.
Un médecin ne fait normalement pas d'ordonnances avant ou sans diagnostics corrects ! Sinon on va mettre de la pommade contre un cancer, ou opérer une tête agacée par des poux !...
C'est pourquoi aussi il est écrit "C'est une grande source de gain que la piété avec le contentement." et encore "Quand il n'y a pas de révélation, le peuple est sans frein ; Heureux s'il observe la loi !" - Job 12.

SUJET SENSIBLE !?
Vus sous cette angle - pas "en étant dans la lune" mais du plus haut des Cieux -, le chômage et le travail deviennent un sujet plus sensible encore. Et quand on n'a pas le Concepteur des choses et des êtres, et ses lumières avec nous, le traitement des sujets sensibles n'a guère de chances de succès. Quinquennat confirme !

Et donc, quand finalement résultent d'un cumul de fautes (morales plus que professionnelles) des maux de dos ou de tête lancinants à insupportables, des nausées, pressions et tensions à péter les plombs, pénurie de travail, grèves récurrentes, délocalisations, accident ou maladie, licenciements, liquidations d'entreprises pandémiques, révoltes, casses, crises... ne laissent pas en paix. Mais ce "syndrome de ruptures" activé réveille-t-il pour autant - un peu, beaucoup... pas du tout !?... Attention de ne pas en arriver là !

Alors, les bonnes solutions ?
- l'appel à) la repentance,
- la confession des fautes avec demande de pardon,
- le renoncement à nos avantages injustes,
- la volonté d'une existence qui plaise à Dieu...****

Concernant nos décisions et comportements, l'impertinence (dans les 2 sens du mot) est un de ces graves effets qui viennent,
- d'un étage au-dessus, de l'idéologie-évolutionniste-néo-darwinienne prise pour socle de la connaissance du Réel,
     - qui réduit le monde à ce qui se mesure, se compte, est matériel ;
     - qui substitue à Dieu et aux causalités véritables les concepts non-scientifiques (absurdes !?) de hasards infinis, de sélections naturelles (sophisme) ou encore de mutations positives (inexistantes),
- et d'un étage encore plus haut, de démons malins que nous écoutons bien trop souvent, ne serait-ce que parce qu'on n'a pas appris qu'il y a 4 sources d'où proviennent toutes nos pensées, intuitions, nouveautés, concepts, slogans...

Président ou ministre, je repousserais donc cette couverture d'ignorance et de méconnaissance du Réel qui plombent notre entendement, notre paix intérieure et notre bien-vivre ensemble, si ce n'est encore nos allées et venues.
Car toutes nos injustices - qu'on voit plus facilement chez les autres qu'on a envie de les considérer chez nous -, conduisent à nous diviser - ou mal assembler - ; à nous avilir - ou élever dans une gloire factice éphémère - ; et à nous déresponsabiliser dramatiquement - tout en nous culpabilisant - pour, au final, mieux s'approprier nos personnes et après la mort physique nos âmes...

 > ÉDUCATION : Comment être content-e et rayonnant-e (sans produits, sans béquilles), quand on est (subtilement, à notre insu) fondé (conditionné et animé)
- comme si on était seulement vie animale (ce que défend l'évolutionnisme), c'est-à-dire seulement fait d'un corps et d'une âme ?... alors que Dieu nous a créés, par exception, à son  image, réalité unique tri-unitaire, faite d'un corps, une âme et un esprit !
"Connais-toi toi-même et tu connaitras l'univers" disait Socrate. Faute d'une juste connaissance de soi, on centre de plus en plus l'enfant sur son corps, son look... et jusqu'à de "drôles de plaisirs" qu'on veut les aider à expérimenter !!!

Pour voir l'humain comme Rousseau ("L'homme est naturellement bon, c'est seulement son environnement qui le corrompt" - rousseauisme), on n'éduque plus les enfants, on les laisse livrés à leurs instincts, à leur héritage psychique (adamique, c'est-à-dire dénaturé, problématique), qui, il est vrai existent, puisqu'on n'a pas besoin d'apprentissage pour commencer à se battre, pour mentir, envier, voler...
Pas étonnant qu'on arrive naturellement très vite et en masse à des ego intraitables, difficilement enseignables, qui se plaisent dans la confrontation, in fine c'est la lutte fratricide des classes ou/avec des fêtes désinhibées) !

S'il faut une réforme de l'Éducation - ah que oui ! -, il faut peut-être donner à lire aux lycéens*** le petit livre de Maurice DRUON (résistant, écrivain, ministre, académicien...) "La France aux ordres d'un cadavre" (disponible déjà depuis 2000, mais peu popularisé - et pourquoi, malgré qui est l'auteur ?...).

Et bien sûr pour une vraie réforme, redonner à la Bible - dont les enseignements fondamentaux sont intemporels - la place qu'elle avait dans les écoles encore au XIXe siècle... Parce qu'avec sa disparition
- a disparu au minimum la Leçon de morale qui ouvrait la journée de classe,
- puis s'est perdu du sens, pour diverses abstractions, souvent absurdes, ubuesques plus qu'instructives de ce qu'est la vie et de comment se bâtir en société,
- et de détricotage en détricotage, on est arrivés à plus aucun respect des autorités (parents, gendarmes, enseignants, police, juge, gouvernement, pays...).
Et certes, "On récolte ce qu'on sème", et parfois semer de l'ivraie au lieu du bon blé, ou semer de mauvais vents, c'est s'exposer à récolter des tempêtes.

Et si ce nouveau gouvernement Edouard Philippe sera comme les autres sur les raisons de nos problématiques majeures, on n'est pas encore empêchés de donner à nos enfants ou petits-enfants - quand ce n'est pas aussi à nous-même - un fondement qui leur permettra de traverser les temps difficiles qui sont déjà et arrivent vite, en étant le mieux ancrés possible.
"Tout bon arbre porte de bons fruits, mais le mauvais arbre porte de mauvais fruits.18 Un bon arbre ne peut porter de mauvais fruits, ni un mauvais arbre porter de bons fruits.19 Tout arbre qui ne porte pas de bons fruits est coupé et jeté au feu.20 C'est donc à leurs fruits que vous les reconnaîtrez.21 Ceux qui me disent : Seigneur, Seigneur ! n'entreront pas tous dans le royaume des cieux, mais celui-là seul qui fait la volonté de mon Père qui est dans les cieux.22 Plusieurs me diront en ce jour-là : Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé par ton nom ? n'avons-nous pas chassé des démons par ton nom ? et n'avons-nous pas fait beaucoup de miracles par ton nom ?23 Alors je leur dirai ouvertement : Je ne vous ai jamais connus, retirez-vous de moi, vous qui commettez l'iniquité.24 C'est pourquoi, quiconque entend ces paroles que je dis et les met en pratique, sera semblable à un homme prudent qui a bâti sa maison sur le roc.25 La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et se sont jetés contre cette maison : elle n'est point tombée, parce qu'elle était fondée sur le roc.26 Mais quiconque entend ces paroles que je dis, et ne les met pas en pratique, sera semblable à un homme insensé qui a bâti sa maison sur le sable.27 La pluie est tombée, les torrents sont venus, les vents ont soufflé et ont battu cette maison : elle est tombée, et sa ruine a été grande.28 Après que Jésus eut achevé ces discours, la foule fut frappée de sa doctrine ;29 car il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme leurs scribes.

Liberté - Égalité- Fraternité sont des idéaux très imprécis et ne peuvent être des valeurs... Espérons que de plus en plus s'en rendent compte pour chercher à intégrer les vraies valeurs pour le soi et pour le nous.

Voyez, ce n'est pas difficile en fait de trouver non seulement où le bât blesse - et salit, et casse, et désorganise, et tue... mais aussi comment y remédier : car avec la connaissance des éléments de la loi morale permanente telle que nous la livre le livre le plus imprimé et accessible au monde (la Bible), Dieu nous offre aussi le moyen de remédier à nos fautes, à nos égarements, à nos déviances, à nos insuffisances... : Sa grâce, en lieu et place de ses jugements, obtenue et saisissable par la foi en Jésus le Christ.
"Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. 20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

D'où la Bonne Nouvelle dont peuvent bénéficier ceux qui croient ainsi :
"Dieu, qui est riche en miséricorde, à cause du grand amour dont il nous a aimés,5 nous qui étions morts (spirituellement) par nos offenses, nous a rendus à la vie avec Christ (c'est par grâce que vous êtes sauvés) ;6 il nous a ressuscités ensemble, et nous a fait asseoir ensemble dans les lieux célestes, en Jésus Christ,7 afin de montrer dans les siècles à venir l'infinie richesse de sa grâce par sa bonté envers nous en Jésus Christ.8 Car c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu.9 Ce n'est point par les oeuvres, afin que personne ne se glorifie."

À QUAND LE DERNIER TOUR DE LA DÉMOCRATIE !?
S'il ne reste plus en juin assez de votants en état de résistance face à l'orientation mondialiste qui veut s'imposer aux gouvernements des hommes les plus influents, on sera tous démocratiquement rendus plus que jamais des sans-dents - ou des méchants qui ne comprennent rien à la fête qui arrive -, qui ne savent pas mordre, à cause de caries réactionnaires, à pleines incisives dans le progrès universel... 

"Jésus leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie."

"La lumière se lève dans les ténèbres pour les hommes droits, Pour celui qui est miséricordieux, compatissant et juste."

Psychiquement (dans notre compréhension du monde réel), on peut être en marche sous un soleil qui éclaire nos pensées et nos choix, comme on peut aussi agir étant dans la nuit : ténèbres de notre ignorance des fondamentaux
- dont Dieu,
- la domination du péché et encore des mauvais esprits (c'est en corrélation),
- et la rédemption qui réveille d'entre les morts et insère dans le Réel ici maintenant et éternellement, de la meilleure manière possible.

Soyez béni-e, effectivement, de Dieu.
_______________
*** Le mot lycée viendrait du gymnase situé au nord-est d'Athènes où enseignait Aristote, dans un coin où rodaient des lycos ou lyceon (des loups).  

**** La Bible emploie le mot "péché" pour dire ce qui est mal. Étymologiquement, il signifie "manquer la cible"... du bien. Passer à côté du meilleur pour nous, donc.
Le Dieu de la Bible ne distingue pas entre les fautes, "Car quiconque observe toute la loi, mais pèche contre un seul commandement, devient coupable de tous.", cela à cause de sa Sainteté (la moindre faute nous séparant de lui), et parce que dans tous les cas il peut et veut toujours accorder son pardon aux coeurs repentants. Quelle grâce de le savoir, et de savoir en bénéficier. C'est de l'ordre du surendettement : car ajouter fautes à péchés, offenses à injustices, sans jamais remettre le compteur à zéro, c'est s'alourdir l'existence de manière insensée - alors que Jésus a tout payé ! (lisez ce chapitre si vous ne le savez pas).

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7 avril 2017 5 07 /04 /avril /2017 11:07

Savez-vous que, pour prendre une image cinématographique intéressante, le synopsis de l'avenir planétaire des hommes, avec ses séquences principales, est déjà écrit ?

Concrètement, sur le terrain de tournage France, en ce printemps 2017, l'élection présidentielle va dire ce qu'est majoritairement la moralité du peuple français. C'est-à-dire va révéler, à l'aune (en rapport) de la morale définie par Dieu, la valeur véritable de ce qui fonde la vie (individuelle et sociétale) de la majorité victorieuse électoralement, des votants.

Ainsi notre démocratie se donne à chaque fois - dans le sens de : ce qu'elle mérite -, par la majorité qui l'emporte, un chef national selon ce qu'il vaut. On a les chefs qu'on se donne, qui nous ressemblent, et dont on a besoin - selon, pour nous bénir ou pour nous presser !

L'autorité donc qui sortira des urnes sera alors possiblement soit
a) patriote - une vraie qualité -, qui va arrêter la décomposition nationale et la vente en morceaux du pays, en reprenant en mains une certaine souveraineté territoriale,
soit
b) mercenaire - qui travaille sans souci ou discernement que des causes à défendre ou à représenter soient justes ou mauvaises -. C'est celui qui va continuer à livrer à divers ennemis (de tous les hommes, avec ou sans dents) les organisations qu'il reste encore à démembrer pour assurer une suprématie accrue aux puissances qui ne veulent ni ne respectent les commandements et conseils divins : Forces de ténèbres psychiques et spirituelles, occultes, maléfiques, accaparatrices, qui suivent et interférent dans nos affaires - pas vu pas pris -, de plus près qu'on ne peut l'imaginer (vue du Réel que l'Esprit de Dieu révèle à ses serviteurs).

En d'autres termes, la démocratie n'est ni une bonne ni une mauvaise chose.
C'est un concept neutre en soi.
Une élection est faite de trois constituantes :
- la situation, dans son ensemble et dans ses parties, de la nation et du pays - situation de crises généralisées actuellement ;
- le panel de candidats entre lesquels définir son vote ; et 
- les votants, avec quelques réflexions - mieux il y en a mieux c''est -, et les informations et influences justes ou manipulatrices qui sont activées - notamment du balcon et des coulisses.

Dès lors il va émerger une des deux réponses possibles :
a) Avec un peuple essentiellement mu par des intérêts matérialistes et/ou jouissifs égoïstes ET seulement quelques bonnes intentions sans discernement, la démocratie donne(ra-it) à Satan un avantage dans l'avancement de son projet de contrôle mondial du genre humain.
L'histoire et l'actualité donnent moultes exemples de telles défaites démocratiques...

b) Si par contre le peuple possède encore majoritairement dans son corps actif - votant -, un fond de bon sens, de lucidité, des valeurs qui incluent un minimum de vraie morale - c'est-à-dire une moralité dans le sens noble -, on peut offrir au pays - et donc se donner pour nous-mêmes - un coup d'arrêt aux désorganisations organiques (institutionnelles, administratives) et cellulaires (familiales et par là économiques).

Entre pire et meilleur, il faut choisir !
Et pour ne pas se tromper, il ne suffit pas de jouer aux dés ou d'écouter toutes les opinions (notamment médiatisées). Il faut vivre son quotidien en citoyen paisible et responsable, humble plus qu'orgueilleux, plutôt satisfait de son sort que vindicatif pour ce qui lui manque - il manquera toujours quelque chose, ce qui empêche de voir ce qu'il y a déjà dans le verre, vous connaissez !? -

Ainsi doit-on séparer dans notre vue des choses la démocratie en tant que concept de participation politique, de ce que sont les peuples qui peuvent avoir accès à cet outil.

D'autre part, il est aujourd'hui plus que jamais nécessaire de profiter de ce principe de démocratie et sans subir les manipulations et séductions médiatiques et/ou des candidats, qui veulent votre vote plus que l'éclairage dont vous avez besoin.

Ainsi a-t-on à voter :
a) bien sûr en conscience - car  "celui qui a des doutes au sujet de ce qu'il (fait) est condamné, parce qu'il n'agit pas par conviction. Tout ce qui n'est pas le produit d'une conviction est péché." ; mais encore

b) dans une conscience éclairée, réfléchie, supputée, attentive, désireuse de vérités plus que d'artifices, voire heureusement éclairée par la prière - car Dieu n'est pas étranger à nos affaires, si on lui en parle ;

c) et pour un vote utile bien sûr, car dans un système assurément abîmé, gâté voire pire - comme est le coeur de tout homme et de toute femme -, il ne faut pas rêver d'un idéal soudain parachutable par quoi être miraculeusement et collectivement sauvés*, mais il faut rester terre-à-terre et pratique... sauf à s'élever dans notre relation avec Dieu pour lui permettre de faire bouger quelques lignes ici ou là pour un meilleur pour tous.

à suivre
Bénédictions.

___________
* Dans l'histoire récente, un de ces fanatiques s'est levé,  haranguant les foules qui le prirent et acclamèrent comme un sauveur : Adolphe Hitler. Il faut savoir que Satan qui ne désarme pas, en cherche encore un autre... Ce n'est qu'en liant ces deux pans du Réel qu'on entre dans la compréhension de notre histoire (collective et individuelle).

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10 mars 2017 5 10 /03 /mars /2017 12:29

sans interdits notre liberté ne se prouverait pas !...
Celle de tout faire nous enferme. Le voyons-nous ?...

Il est essentiel - pour chacun - que nous soyons mis face à nous-même, c'est-à-dire que nous puissions nous voir - nous découvrir - comme nous sommes en réalité. Et ce qui peut nous permettre de nous voir de la manière qui va le mieux nous aider pour bien intégrer cette existence et interagir avec nos environnements, c'est ce que Dieu dit de nous ici ou là dans la Bible...

Dans cette idée, ce qui définit bien, en peu de mots, notre condition* humaine - individuelle et universelle - a été écrit par un homme à qui Dieu s'est révélé... comme il peut aussi et encore se révéler (d'une manière ou d'une autre) à chacun de nous. Il dit : "Je ne fais pas le bien que je veux, mais je pratique le mal que je ne veux pas."
Ce déterminisme puissant qu'il est bon de découvrir en nous, s'appelle "loi du péché et de la mort". Ce n'est pas un déterminisme originel - mis en nous par Dieu - mais une loi du mal survenue, venue habiter le genre humain à partir d'une première faute... (aussi Genèse ch. 3...).
Loi du péché signifie que nous sommes poussés, à l'encontre de notre conscience, connaissance et volonté, à faire des choses mauvaises, ou à être empêchés d'en faire d'autres qui seraient bonnes. Pécher signifie "manquer la cible" du Bien.
C'est aussi une loi de mort, car lorsque nous manquons la cible du bien en péchant, nous rendons active en nous cette loi à la place de la loi de l'amour et de la justice qui elle est originelle et contribue à la vie dans sa dimension spirituelle en nous. De fait on meurt spirituellement ; à l'intérieur de nous une part de notre force de vie s'éteint, ce qui se manifeste par divers symptômes :
- peur ou angoisse, dont la peur de Dieu ;
- ou perte de conscience de Dieu (plus ou moins totale) ;
- Diminution à perte de conscience morale, où la frontière du bien et du mal s'estompe jusqu'à inversion des pôles ;
- On a du mal à comprendre ce que peut être le Réel avec ses principaux tenants et aboutissants, avec dans l'invisible Dieu d'un côté et des anges déchus ou démons en opposition et actifs parmi nous ;
- Nos relations sont difficiles, se détériorent, avec des clashes, la paix ne peut durer, les pensées sont confuses, débridées, perturbées
- On cherche des solutions dans toutes sortes d'appui, par toutes sortes de béquilles, religieuse mais aussi - de plus en plus - psychologiques ou dans de mauvaises spiritualités, avec des psychotropes, pratiques physiques érigées en dogmes ou diverses recherches paranormales (dangereuses).

Parmi notre fonctionnement soumis à cette condition de notre humanité, on peut aussi repérer plus précisément diverses caractéristiques de notre comportement, qui nuisent à notre équilibre et déploiement personnels :

- des regrets ou le remord face à la survivance lancinante ou résurgence décourageante de mes erreurs passées...
- le besoin d'avoir raison, même si je sens bien que j'ai tort...
- les paroles négatives contre moi-même...
- le sentiment dépressif d'être désolé de ce que je suis...
- à l'inverse un sentiment orgueilleux qui me fait croire que je vais toujours gérer...
- le besoin d'impressionner les autres, voire un sentiment mégalomane de toute-puissance...
- le besoin de plaire, de séduire, d'être vu-e, approuvé-e...
- les rumeurs et médisances, voire calomnies dont je me fais l'écho...
- les "certitudes" qui me limitent, des clichés, préjugés, connaissances... ce paquetage culturel (religieux ou athée) qui m'a fait d'une certaine façon au fond insatisfaisante...
- les plaintes du présent....
- les inquiétudes à propos de mon avenir...

Ainsi est-on fait de manques et de dissonances, comme dit F. Vareillon : "tout un univers de difformités intérieures revêtues de grâces mondaines". Une dualité interne difficile à vivre, doublée des difficultés de la relation aux autres et plus largement aux institutions et aux conséquences sensibles (physiques, psychiques ou spirituelles) naturellement irréductibles de nos fautes...

Alors comment sortir de cette domination du mal-existant, du mal-être, du mal-vivre, du "plus fort que nous" ?
Le religieux vindicatif (terroriste !) Saul devenu l'apôtre Paul nous livre le fruit de sa compréhension de la nature humaine et de la solution surnaturelle qu'il a découvert au point où toute sa vie - du moment et éternelle - en a été transformée :
"Nous savons, en effet, que la loi (comme notre conscience morale)** est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché.15 Car ce que j’accomplis, je ne le comprends pas. Ce que je veux, je ne le pratique pas, mais ce que je hais, voilà ce que je fais.16 Si ce que je ne veux pas, je le fais, je déclare, d’accord avec la loi, qu’elle est bonne.17 Maintenant, ce n’est plus moi qui accomplis cela, mais le péché qui habite en moi.18 Car je le sais : ce qui est bon n’habite pas en moi, c’est-à-dire dans ma chair. Car je suis à même de vouloir, mais non pas d’accomplir le bien.19 Je ne fais pas le bien que je veux, mais je pratique le mal que je ne veux pas.20 Si je fais ce que je ne veux pas, ce n’est plus moi qui l’accomplis, mais le péché qui habite en moi.21 Je trouve donc cette loi pour moi qui veux faire le bien : le mal est présent à côté de moi.22 Car je prends plaisir à la loi de Dieu, dans mon for intérieur,23 mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon intelligence et qui me rend captif de la loi du péché qui est dans mes membres.24 Malheureux que je suis ! Qui me délivrera de ce corps de mort ?"

Et suit en un trait la réponse significative de ce qu'il expérimenta comme moyen de transcender ce dilemme éprouvant pour quiconque se veut honnête, intégre, sans duplicité : "25 Grâces soient rendues à Dieu par Jésus-Christ notre Seigneur !."

"Maintenant, étant affranchis du péché et devenus esclaves de Dieu, vous avez pour fruit la sainteté et pour fin la vie éternelle.23 Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur."
Jean 3.16 et suivants

Prière de confession pour (re)trouver la paix avec Dieu

Soyez béni-e par la lumière de tout ce qui est vrai et vérité.

___________
* condition = conditionnement, formatage socio-culturel
** par loi il entend les commandements moraux de la religion (v. les 10 commandements). A quoi on peut aussi ajouter, pour ceux qui n'ont pas été élevés avec une loi religieuse morale, la loi morale incluse en tout être humain au plan de notre conscience (excepté soumis à un conditionnement démoniaque, on en a tous au moins un peu, plus ou moins). Sans religion; nos choix moraux résultent du rapport (obéissance ou insoumission) entre ces 3 réalités en nous : notre conscience (lumière relative quant au bien et au mal), notre volonté (liberté de choisir les voies de la mort ou les voies de la vie), et la loi du péché et de la mort qui tapit le fond de notre être et sur laquelle les démons peuvent venir jouer par diverses tentations.

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17 février 2017 5 17 /02 /février /2017 16:19

Les relations se construisent...

On n'est chacun des êtres complets QUE par nos relations (notre 4e dimension... semi-personnelle)...

Les relations sont un espace inter-personnel vide et non vide, que nous remplissons, bien ou mal, par nos actions et réactions (paroles, pensées)...

Nous produisons ainsi entre personnes des espaces attractifs ou répulsifs, à partir de notre subjectivité (intérieure) face à un ou d'autres (vus d'abord extérieurement).

Chaque relation est une rencontre de fondements psychiques (intellectuel, moral, émotionnel, spiritualisé ou pas) de qui émanent (surtout via la vue ou l'ouïe) des ressentis qui forment le tissu de la relation : indifférence méprisante, amour, convoitise, pitié, haine, ouverture ou fermeture... confiance ou crainte.

Ce sentiment entre-deux peut aussi être encouragé, orienté, affecté, provoqué, abimé... par des tiers, des entités qui se font médianes - d'où le mot média -, sympathisants ou pas bien intentionnés, tributaires eux-mêmes de ce qu'ils sont... devenus.

Nous sommes pandémiquement plongés par naissance dans une méconnaissance globale terrible de ce genre de mécanismes psychiques pourtant simples, psychologiques et spirituels. Et sait-on seulement l'existence et la différence entre notre âme et notre esprit ? Ne serions-nous pas concernés pour ne pas avoir à savoir ? La réalité est qu'"on" veut - des entités parties prenantes à nos relations veulent - de plus en plus induire en nous des comportements déroutés, toujours d'abord égocentrés.
Tout cela dans une ignorance immense des tenants et des aboutissants du Réel tel qu'il est.

Dans ce bain sociétal et international de méconnaissance - qui tient d'une grave cécité -, certains voudraient par un effet de baguette magique qu'on vive tous bien ensemble - Faut-qu'on - y-a-ka - zavé-ka -... - alors même que d'autres trouvent le territoire trop étroit pour leur vue - une autre vue - des choses.
Et avec ça on va construire ? Et avec ça on va trouver la paix sociale et intérieure ? On a compris qu'il faut un seul référentiel fondamental pour vivre en paix. Pour certains c'est la laïcité, pour d'autres c'est leur religion, et les leaders des 3-4 camps (idéologiques) les plus lourds (en individus ou en finance) cherchent, tout en se faisant des risettes, à assimiler ou réduire l'autre à un résidu sans force réactive. Rien n'a changé sur le fond depuis la dernière tentative impérialiste d'il y a bientôt 80 ans maintenant (à ce moment les visés étant les juifs et accessoirement les non-aryens). Alors on veut toujours expatrier sa culture, tout en se lamentant de problèmes récurrents nés ou prétendument nés des colonisations (qui tiennent de la même volonté)... 

On trouve là et on va de plus en plus trouver (au plan de la France mais aussi de la planète) que ce qui se passe tient de la cocotte-minute sur un feu : des agitations - non moléculaires mais psychiques, puis physiques - des tensions, des pressions, que pas plus les ripostes violentes que les compromis ne suffiront à calmer ou à mater. Sans Dieu dans la société comme dans notre vie, le chaudron à ciel ouvert qu'était la vie commune d'antan est changé en une cocotte au couvercle vissé et à la soupape de sécurité bouchée !

Jésus est l'initiateur de l'amour comme fondement de construction de nos relations et sociétés. Qui, depuis, a pu apporter une meilleure voie ?
Mais vouloir du concept (amour, compassion, charité) sans Celui qui a pu le manifester parce qu'il l'est en lui-même, c'est comme être un bon conducteur sans permis et qui n'a jamais ouvert un livre de code. C'est comme se vouloir un être moral sans aucune définition du bien et du mal.

Et c'est précisément dans cette méconnaissance terrible de ce qui est le bien et de ce qui est le mal, qu'"on" est en train de pousser les populaces (parce que quand on pousse les personnes sans respecter un référendum ou sans permettre le droit de penser autrement, c'est les considérer comme de la populace, des mains sales) à accepter comme étant (le) bien, des nouveautés élaborées au "pifomètre" Ce dont la Bible avertit depuis longtemps : "Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, Qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, Qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume !21 Malheur à ceux qui sont sages à leurs yeux, Et qui se croient intelligents !22 Malheur à ceux qui ont de la bravoure pour boire du vin, Et de la vaillance pour mêler des liqueurs fortes ;23 Qui justifient le coupable pour un présent, Et enlèvent aux innocents leurs droits !"

On est culturellement entrés, depuis plus de trois décennies avec une courbe exponentielle, dans une déliquescence* des forces morales personnelles et des rapports inter-personnels : tout un travail de sape qui fait peupler notre univers psychique et physique d'entités maléfiques** dont "on" a voulu nous faire croire qu'elles n'existaient pas (anges déchus devenus démons et Satan). Qu'y a-t-il de mieux pour un ennemi que de faire croire qu'il n'est pas là ou qu'il n'existe pas ?Des milliards de croyants de toutes confessions croient aux esprits (les djins), au diable (le Shatan), à tout cet univers maléfique ; mais qui en tient compte, y croit réellement, sait comment combattre à ce niveau ? Pourtant la Bible est clair : "Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. 12 Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. 13 C'est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu***, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté."
Cette parole est à peu près accessible et compréhensible par tous. Que de guerres et de barbaries et de morts et de souffrances auraient été évitées rien qu'en connaissant et tenant compte de cette parole !
Alors les démons ricanent (car ils sont des personnes, comme nous, juste sans corps dont Dieu les a dépourvus). Du versant séduction-manipulation au versant violence-peur, ils font leur lois !
Si on ouvre les yeux pour voir autrement, les signes (effets) sont innombrables et manifestes, chaque fois qu'on voit le mal sous des formes extrêmes, pour arnaquer, pour obtenir par ruse, tromperie, ou par toutes sortes de violences. L'essentiel des maux trouve leur source à ce niveau de la spiritualité déchue mais puissante, d'une sphère au-delà des psychismes humains qui s'y asservissent d'autant qu'ils ne savent pas. D'où cette parole de Jésus envers les hommes quand il donne sa vie pour nous sauver d'eux et de la mort : "Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font."

Que Jésus vous bénisse par l'effet de ses blessures mortelles, acceptées et supportées pour que le châtiment qui plane sur le monde et sur toutes les têtes qui ne l'ont pas trouvé comme Sauveur vous soit, cher lecteur, lectrice, épargné.

à suivre

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* Étymologiquement, pour un corps solide c'est passer à l'état liquide (liquéfaction) en absorbant l'humidité de l'air. L'humidité de notre air psychique c'est la présence de plus en plus dense de démons libérés par des comportements impies abandonnés à la priorité du plaisir : "Mangeons et buvons, car demain nous mourrons".
** La pollution de l'air des grandes villes en est autant une image qu'une conséquence. Plus on vit loin (des voies) de Dieu, plus on produit de déchets qui ne se résorbent pas : image là aussi du mal que nous faisons, fautes morales, péchés, qui pourraient être pardonnés mais ne le sont pas...
*** Les armes de Dieu, c'est essentiellement (tenir dans) la vérité (bannir tout mensonge), la justice, la foi (dans la Bible, pour pratiquer ce qui est bien, et pour croire que par elle on a déjà la vie éternelle), les prières (pas par coeur mais du coeur)...  Tout cela nécessitant qu'on ait préalablement été remis en position confortable avec Dieu, introduit dans son alliance la plus excellente.

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19 décembre 2016 1 19 /12 /décembre /2016 13:54

Aimer - si nous voulons que ce soit de manière durable, c'est-à-dire sans les souffrances personnelles et co-latérales inévitablement causées par les querelles et autres ruptures -  revient au plus profond à se voir comme ayant besoin d'être changé : car personne n'est en état et capacité d'aimer et de défendre son amour contre tout ce qui veut le détruire. (voir aussi article sur les ennemis de l'amour)

1/ Changement par la maîtrise de soi
Bouddha s'est centré sur la non-souffrance et paix a obtenir pour et par soi-même. Une quête plutôt étonnante quand dans le même temps chacun de nous est sensé être dieu/Dieu en lui-même !... Comment cet intérieur divin immanent - s'il existait - pourrait-il être inférieur à notre ego, à nos forces personnelles dégénérées ?...*
De là c'est davantage une non-vie, sans envie, sans désir, sans plaisir, qui devient l'objet ou sujet final de l'existence... sans pour autant l'emporter sur le mal, avec ses virulences et forces annihilantes. Dieu utilise cette philo-spiritualité pour que celui/celle qui veut s'y soumettre réalise son impuissance à laisser un divin potentiel s'illuminer en lui par suite de nos efforts et astreintes, et ne se contente pas du botter en touche cynique qu'est la réincarnation.
A la suite de Bouddha, de nombreux mouvements (que j'ai connus) qui forment ce qu'on appelle le New-âge (une sorte d'auberge espagnole du spirituel), invite à cette démarche du changement (purificateur) à partir de nos propres efforts (de méditation, de pratiques mentales ou physiques, de postures, respiration, alimentation...).

2/ Changement par la pratique plus typiquement religieuse
Les transmetteurs de religion - comme Moïse, Mahomet et d'autres - pour leur part ont été chargés de mettre l'homme sous le joug d'une liste de préceptes sans fin en vue d'un comportement maîtrisé qui devrait permettre une meilleure socialisation et un rapprochement avec le Divin.
En fait, Dieu utilise cette rude et oppressive discipline pour que le pratiquant en arrive à se découvrir inintelligent - en regard de ce qu'on arrive par là à lui faire faire mécaniquement... - et bien insuffisant par rapport à une fidélité demandée qui ne devrait pas tolérer de manquements ou de transgressions - sauf au prix, pour les fautes, d'un auto-rachat coûteux, d'une expiation basée sur notre propre souffrance, restant dans tous les cas toujours sous un joug de culpabilité, coupable au minimum devant Dieu et sans réel secours accessible pour s'en sortir durablement.
Ce genre de moyen légaliste n'est pas fait pour nous mettre d'humeur à aimer ni Dieu ni notre prochain obligé. Dès lors hypocrisie et conduite coupable envers tel ou tel interdit deviennent la règle...

3/ Libération (changement !?) par l'hédonisme.
Là pour l'essentiel on confond l'amour et le plaisir, la sexualité et l'amour. Dans cette confusion, ce qui pourrait être heureusement complémentaire devient un tort pour l'amour. Parce que ce n'est pas se donner toutes les libertés qu'on peut, qui permet que nous aimions sans souffrances, sans accidents, sans déchirements... sans culpabilité. Il ne suffit pas que l'homme change des lois de sa vie en société par en obtenir un gain, dès lors que le changement va à l'encontre des lois divines qui ne se rabotent pas aussi facilement et durablement dans les consciences et dans les corps...  


Ici et là le plus génériquement pas question d'amour qui puisse durer, se suffire à lui-même... même en opérant une récupération des paroles, des valeurs et/ou du fondement de l'Evangile. Il ne suffit pas de se donner des formes du bien telles que l'Evangile les montre ou les annonce, pour que ça fonctionne ! Aucune valeur véritable n'a de consistance en soi, sans Celui qui en est l'initiateur : le Dieu Créateur. C'est comme une flamme sans le bois ou l'huile d'où elle émane.

En parlant d'amour et en manifestant le sien pour nous jusqu'au don de sa vie, Jésus a aussi parlé en vérité du coeur de notre problématique existentielle et essentielle : notre séparation naturelle et surnaturelle d'avec Dieu. Car lui seul est ce qui alimente (le souffle, la force, la vie) de manière permanente ce que sont les forces bonnes, et notamment l'amour.
Dans sa 1ère lettre, Jean apôtre de l'amour, écrit - et moi avec lui : "Pour nous, nous l'aimons, parce qu'il nous a aimés le premier.20 Si quelqu'un dit : J'aime Dieu, et qu'il haïsse son frère, c'est un menteur ; car celui qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il ne voit pas ?21 Et nous avons de lui ce commandement : que celui qui aime Dieu aime aussi son frère."

Mais encore écrire sur l'amour comme ici, ce n'est pas automatiquement pouvoir le faire vivre chez le lecteur. C'est cependant donner envie ; susciter le désir de croire que le chemin - qui donne l'amour, qui nous fait rejoindre Dieu - est aussi possible pour lui. Et c'est vrai !

1Jean ch. 4 "Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres ; car l'amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu.8 Celui qui n'aime pas n'a pas connu Dieu, car Dieu est amour.9 L'amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui.10 Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu'il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés.11 Bien-aimés, si Dieu nous a ainsi aimés, nous devons aussi nous aimer les uns les autres.12 Personne n'a jamais vu Dieu ; si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour est parfait en nous.13 Nous connaissons que nous demeurons en lui, et qu'il demeure en nous, en ce qu'il nous a donné de son Esprit.14 Et nous, nous avons vu et nous attestons que le Père a envoyé le Fils comme Sauveur du monde.15 Celui qui confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu.16 Et nous, nous avons connu l'amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour ; et celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui."

Un idéal impossible au seul plan de nos capacités naturelles, mais dans lequel l'Esprit de Dieu peut nous donner d'entrer et de vivre, en soi et vis-à-vis des autres, dans la mesure et vérité que Dieu est (un de ces noms-attributs en hébreu dans la Bible) Yawhé Yireh : Celui-qui-est qui pourvoit. Voir éventuellement le parallèle significatif entre Genèse ch. 22, vers. 2 à 14 et Jean ch. 1, vers. 29.


 

Jésus n'a pas seulement eu des paroles pour les hommes, il a aussi donner sa vie, paraissant une 1ère fois comme un Agneau - à sacrifier -, et revenant bientôt comme un Lion - pour gouverner -. Il n'a pas dit expressément qu'il nous aimait, mais il l'a fait, il nous a aimés jusqu'au don de sa vie, et ce sont ses disciples - moi compris - qui disent que Jésus nous a aimés et veut encore nous manifester son amour...

"Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus Christ,2 à qui nous devons d'avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l'espérance de la gloire de Dieu.3 Bien plus, nous nous glorifions même des afflictions, sachant que l'affliction produit la persévérance,4 la persévérance la victoire dans l'épreuve, et cette victoire l'espérance.5 Or, l'espérance ne trompe point, parce que l'amour de Dieu est répandu dans nos coeurs par le Saint Esprit qui nous a été donné."
Moins que l'intelligence, ou à la suite de l'intelligence, cherchons l'amour.
A la suite de l'humanisme bien-pensant mais peu juste, cherchons le Dieu qui intrinsèquement est amour. Ce qu'il a prouvé.
Qu'il vous bénisse jusqu'à une connaissance-expérience dans la fusion de son amour.

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* A partir de là la question de l'immanence est à (re)poser...

 

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