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20 août 2020 4 20 /08 /août /2020 08:21

On trouve plus facilement
la perfection dans des objets que nous fabriquons, que dans nos fonctionnements individuels.
..

SOUS LE SIGNE DE LA DUALITÉ MAL/BIEN
Notre existence se déroule dans le temps.
Le temps est une dimension d'espace qui permet des mouvements dans les trois dimensions physiques, dans la dimension psychique (des âmes) et dans la dimension spirituelle (de l'Esprit et des esprits... bénéfiques et maléfiques).

Tous les mouvements sont des possibles dans deux sens, positif (du Bien, du Bon, du Beau, de prolongements, développements, améliorations, transformations, lutte contre diverses formes du Mal, ou simplement appréciation bienfaisante de ce qui est), ou négatif (du Mal, de la laideur, de l'horreur, de désorganisations malignes, d'entropies (naturelles ou controuvées), de constructions illusoires, dangereuses, mortifères, jusqu'à de la jouissance tirée du mauvais).

Les mouvements humains vont ainsi de la vie (naissance) à la mort (physique, mais aussi spirituelle et psychique), mais aussi par ce qu'on appelle Rédemption, de la mort (spirituelle et physique) à la Vie plus pleine, éternelle, qui s'obtient par une seconde naissance (spirituelle).

Ainsi nous pouvons chacun vivre des mouvements (du corps ou des pensées, des idées) qui tendent vers la dégradation de (la réalité de) ce qui est, ou qui cherchent une autre réalité à atteindre - comme le bonheur ou un amour durables, des solutions à des difficultés immédiates ou une philosophie ou une idéologie, politique nouvelles...

De fait, rien n'est statique (ni au plan physique, ni au plan psychique, ni au plan spirituel), tout évoluant - qu'on y participe en conscience ou pas - vers un plus (de Bien) ou un moins (plus de mal... dont la mort est l'ultime).
La règle générale, il faut le savoir, c'est que sur notre planète, au premier degré - où l'on voit, entend, ressent... physiquement et psychiquement -, le mal domine naturellement et surnaturellement sur ce qui est bien (comme la paix, le bien-être, l'amour ou la joie véritables, l'harmonie des relations...).

Mais il y a aussi un second degré - où le spirituel, sans s'imposer, avec du recul, en laissant des longueurs de libertés, par touches (incognito ou révélé) contrôle et intervient.
Il conduit vers un retour (holistique, global), qui est une transcendance de la Vie pleine, quiconque parmi nous (vous, toi, moi, l'autre) s'unit à ce mouvement de rédemption. C'est une dynamique "négentropique" (qui renverse le cours dominant du mal), un mouvement de rachat des personnes, de libération des âmes, de sauvetage des créatures toute entières, d'extraction (des forces) du mal, conduit par Dieu le Créateur.* Y a-t-il meilleur idéal à poursuivre, à rejoindre ?

POURSUIVEZ-VOUS UN IDÉAL ?
Je ne m'adresse ici qu'à celles et ceux qui veulent d'un véritable nouveau paradigme, qui soit réellement hors (en marge) des systèmes humains, comme il ressort de la prière que Jésus adressa à son Père avant de quitter la terre : "Je ne te prie pas de les ôter du monde, mais de les préserver du mal.16 Ils ne sont pas du monde, comme moi je ne suis pas du monde."

Les idéaux possibles peuvent être nombreux et variés, comme fonder une famille ou une entreprise, suivre une philosophie, développer une idélogie ou adopter un mode de vie, etc... sans problème.
Un idéal est ce qui doit ou devrait permettre de vivre "sans problème".
C'est donc ce qui devrait être, par rapport à ce qui est, ce qui est étant toujours avec des problèmes.

Autres exemples (sociétaux), dans une recherche d'un idéal de vie (pour soi et pour les autres), le gouvernement crée le concept de Vivre-ensemble. Mais comment atteindre cet idéal alors que nous ne sommes même pas capable, chacun, de vivre bien longtemps en paix, en harmonie, avec les membres de sa propre famille ?

On voudrait vivre sans cette plaie qu'est le racisme. C'est un idéal. Mais comment faire pour changer le coeur de l'homme qui est si naturellement raciste ? En imposant, par une lois, des amendes, des procès... ? Impossible !
Car d'une part les lois n'ont pour force que de nous irriter encore davantage dans la problématique qu'elles voudraient contrôler; et d'autre part cette manière de faire perturbe la liberté au point de repousser par cette perturbation nouvelle l'approche de l'idéal visé.
Certaines femmes ont vu comme un idéal d'être absolument égales aux hommes. Résultat, si cela a débloqué l'accès à des postes à responsabilité à la gente féminine, le rapport entre les gendres et jusque dans l'intimité personnelle des genres se sont terriblement dégradés du fait de la propagande (jusqu'au viol des consciences !?) entreprise.

QUEL IDÉAL ALORS PEUT-ON REJOINDRE ?
Autrement dit, un idéal, qui est en quelque sorte une perfection globale, est-il accessible à des êtres aussi imparfaits que nous ?
L'idéal humaniste mis en œuvre à partir du siècle dit des lumières (XVIIIe) a-t-il était atteint, 300 ans plus tard, après que l'on ait mis sur la touche ce qui semblait l'empêcher, la/les religion/s et autres tabous comme des réserves ou limitations sur la pratique sexuelle ?
Bien sûr que non !

Hitler avait un idéal, qu'il a appelé le IIIe Reich. Il s'agissait pour loin de réussir là où ses ancêtres germaniques avaient échoué (1er et 2e Reich).
Reich signifie règne, le rêve étant pour lui d'établir sur la terre un règne de 1 000 ans ! (Curieusement, ce que la Bible annonce que Jésus va venir établir à partir du moment où il revient de la dimension spirituelle (céleste) sur la terre).
Le résultat, on le connaît.

IDÉAL, IDÉAUX, FACE À UN MUR !

Ce que nous avons tous à comprendre, c'est qu'un idéal que nous voulons nous donner, dont on voudrait trouver la formule magique et l'application bienheureuse, va toujours devenir un danger, tourner à des effets contraires que ceux que l'idéaliste escomptait.

C'est une loi qui s'impose à toutes nos forces d'intelligence, de persuasion, d'organisation, de volonté. Toute l'histoire en témoigne... comme nos propres existences. Tout simplement parce que des êtres imparfaits, au cœur plus ou moins mais toujours habité par le mal (qui s'exprime toujours d'une manière ou d'une autre), ne peuvent rien construire de parfait, d'idéal.

EST-ON CONDAMNÉ AUX SOUFFRANCES (IMMÉDIATES, VOIRE PERPÉTUELLES) DUES À  L'IMPERFECTION (AU PÉCHÉ EN SOMME) ?
En fait, pourquoi aspirer à un mieux, à un idéal, si ce monde était seulement le produit aléatoire de hasards et de nécessités comme prône la doctrine évolutionniste athée ?
Pour imaginer qu'un idéal de vie bien supérieur aux mouvements chaotiques que nous connaissons, il faut deux choses (séparées, complémentaires ou pas). Une aspiration à un idéal, ce qu'une évolution seulement physique, matérielle, matérialiste du vivant, n'aurait pu produire (car ce n'est pas une nécessité).

Autre chose, l'orientation de notre être vers un idéal ou même une amélioration de soi, vient d'un manque.
Un manque profond, inconscient, ressenti, d'une condition humaine antérieure meilleure. Ce que le défilement des ans, des décennies, des siècles et des millénaires montre comme une réalité, le temps passé devenant souvent "le bon vieux temps".
Même si on ne peut se contenter de cette vue que le meilleur c'était avant (car avant il y avait aussi eu des guerres, des perte de libertés), il y a là une marque et réalité certaines que nous avons perdu un paradis, un état de perfection (comme le rapporte notamment la Bible), une condition humaine privilégiée antérieure même à ce que d'antiques générations sont devenues de bassement primitives, comme conséquence de cette (d'une véritable) déchéance originelle.

C'est donc en toute logique et selon les meilleures probabilités, que je retiens cette vue d'une humanité déchue, ayant perdu un ordre intérieur et environnemental, une qualité de vie et de relations, que je m'oriente à partir d'elle vers les meilleures approches, compréhensions et connexions avec le Réel..

POUR DIRE QUOI EN DÉFINITIVE ?

Qu'il existe forcément, si on prend en compte un Dieu créateur - parfait lui-même et ne pouvant créer des imperfections -, une organisation de la vie - des vies, des existences - qui fut originellement parfaite, un idéal donc, tant dans les espèces qu'entre elles. 
Soit dit en passant, pour qu'il y ait aspiration à, tentative et imitation de quelque chose de bon, juste, agréable, bénéfique..., il faut que cette chose désirée existe au préalable.

Par exemple, quand Nietzsche imagine un surhomme - qu'Hitler va vouloir créer sous le nom de race aryenne -, ce n'est que parce que Jésus est préalablement paru, se montrant dans une perfection inégalée pour faire le bien et dire des vérités essentielles nous concernant et concernant Dieu (lire les évangiles pour s'en convaincre).
Pourquoi aujourd'hui encore, une forme d'eugénisme est réapparue, forme nouvelle seulement par les moyens technologiques qui ont évolués, peuvant permettre des modifications d'ADN, des tris et congélation de gamètes et autres moyens de fertilisation des femmes ou de leurs ovules ?

D'une part, parce que nous nous trouvons bien imparfaits,dotés d'un ego ou moi-je problématique, et aspirons désespérément à vivre heureux alors que cela ne nous est pas possible.
D'autre part, parce que l'être humain a connu dans son lointain passé cette perfection de l'être - ce que nous portons chacun psycho-génétiquement dans un plan sous la conscience (ce qui comprend aussi la pensée de vivre éternellement) et parce que Jésus a été montré par Dieu comme un modèle nouveau de l'être humain pouvant échapper à des mille facettes du mal, et notamment à la mort spirituelle et psychique qui sont ce qu'il y a de plus dramatique (comme le pilote et le co-pilote d'une voiture de rallye sont plus importants que la voiture elle-même, qui figure le corps).

C'est ainsi que pour vaincre par exemple le pouvoir de la mort physique, il a fallu qu'il meurt, et qu'il soit ressuscité (vu l'injustice que fut sa mort en tant que jugement personnel), seul moyen pour nous ouvrir la voie d'une vie toute nouvelle, éternelle.
"Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur." Don qui se reçoit par le pardon de nos fautes, par la foi en ce que Jésus, vainqueur de la mort, a aussi le pouvoir de nous communiquer et partager cette immortalité (éternité) acquise.

Y A-T-IL QUAND MÊME UN IDÉAL A NOTRE PORTÉE, OU PAS !?

La vie avec Dieu dès ici-bas est donc devenue par jésus un idéal dans lequel il est possible d'entrer, par le moyen de notre foi. Ici comme en tout, il n'y a qu'une méthode pour parvenir à un savoir utile et efficace, qui nous forme en cette "nouveauté de vie" : apprendre (entendre, écouter, lire) et croire.
Tout ce qu'on croit de vrai se confirme, se vérifie, se valide.
Tout ce qui est mensonger, erreur ou même demi-vérité, parait comme tel un moment ou un autre... surtout en dépendance de ce qu'on cherche nous-même avec désir de connaitre en vérité.

Ainsi Jésus, par sa vie exemplaire, exempte de défauts, irréprochable, a démontré la possibilité d'une vie idéale, c'est-)à-dire victorieuse sur les forces et formes diverses du mal. 
De là, il veut - Dieu veut - que nous aussi empruntions cette voie peu courante mais universel, pour vivre et apprendre à vivre toujours plus, une existence qui tient de l'idéal.

Mais - mais ! - cet idéal, pas plus que tous les autres, n'est à notre portée. On a dit pourquoi.
Cependant, s'agissant de surnaturel véritable, où Dieu se montre réel et actif en faveur de ceux qui le cherchent et vivent dans une (recherche de) communion avec lui, on peut expérimenter des plages de plus en plus larges de communion avec ce qui est de l'ordre de l'idéal. On peut demeurer progressivement de plus en plus dans une position de relation vivante, réciproque, avec Dieu.

PAS D'EFFETS SANS CAUSES, PAS DE FIN SANS MOYENS

C'est toute la nouveauté et réalité de l'Evangile, qui est l'annonce du moyen possible de notre restauration dans la réalité divine par deux raisons et moyens efficaces.
Par le sacrifice de Jésus vu comme le moyen par lequel on peut être pardonné de nos fautes, rendus purs d'elles. Par lequel aussi on peut échapper aux pressions opérées par les démons contre notre vie et intégrité; Par lequel encore la mort physique n'est pas une sombre fin et un passage pour l'âme suivie d'un jugement - juste mais qui fait mal - du mal.

La seconde raison et moyen par lesquels entrer et s'établir dans une relation restaurée, rouverte, avec le Divin Créateur, est notre foi qui est notre réponse positive, notre acceptation de ce que Dieu a fait par Jésus pour nous raccorder à lui et en lui.

Avez-vous, poursuivez-vous un idéal ?
Un idéal accessible ? A vous de répondre en toute objective honnêteté.
Selon moi, si on veut réellement parler d'idéal, il faudrait pouvoir inclure dans cet idéal la réalisation de la problématique de notre mort physique et du devenir consécutif de notre âme (dans quoi est nichée notre vraie personne, notre ego ou moi-je conscient).
Un idéal sérieux nécessite donc que nous ayons une idée le plus claire possible de ce qu'est la mort physique, de ce qu'est l'âme et sa dépendance ou indépendance d'un corps, etc...
Car dans tous les cas comment être idéalement heureux avec la mort comme épée de Damoclès toujours au-dessus de notre tête... ce qu'aussi la Covid-19 est venue faire en nous une (re)mise à jour.

La différence de l'idéal de notre protection la plus sûre et éternisation personnelle par Dieu et par la foi, avec tous les autres idéaux, c'est qu'en cette espèce on obtient le secours qui nous manque pour passer de nos inaptitudes à vivre-bien à une qualité de vie qui insert toujours plus la perfection, Parce qu'elle est en Dieu, et il a, lui, le pouvoir de communiquer à ceux qui veulent de son plan de rachat ou rédemption, les forces spirituelles (flux, influences, impulsion, de l'action victorieuse à de la patience obligée),
Dieu peut aussi arranger nos situations, nos circonstances, nos problèmes, de manière surnaturelle.
"Or, à celui qui peut faire, par la puissance qui agit en nous, infiniment au delà de tout ce que nous demandons ou pensons,21 à lui soit la gloire..." 

DIEU OU RELIGION, FAUT-IL CHOISIR ?
On passe ici la question de l'athéisme, renvoyant seulement ceux qui le sont (comme je le fus un temps... d'ignorance) à ce qu'il y a d'étriqué et d'incompréhension dans une existence vue en matérialiste...

Les lois qui encadrent le vivant et nos mouvements nous amènent à répondre Oui à cette question. Car on ne peut suivre et obéir correctement à Dieu lui-même par l'esprit, en même temps qu'obéir aux termes d'une religion figée en tout.
Avec Dieu notre foi pour l'immédiat et notre espérance pour au delà des pires difficultés (dont la mort) sont établis sur l'amour et la justice parfaites du Dieu qui domine tout.
Avec une religion pour guide - pour Dieu !? -, notre croyance et espérance ne se fondent que sur notre réponse personnelle à ce que la religion pose comme obligations et interdits. Elles se fondent sur ce qui est le plus aléatoire, le plus imparfait, notre capacité à plaire à Dieu par nos propres efforts de dévotion. Ce qui ne peut qu'aboutir à notre confusion, voire à notre perdition si nous persistons dans cette voie, dans ce moyen qu'est la religion - n'importe quelle religion.

Aussi ne vous trompez pas, ne vous laissez pas tromper par un système dans lequel vous êtes inscrit par votre naissance même (ou entré en vide ou en désespoir de cause), qui peut convenir pour former les enfants à une vie morale et à une certaine socialisation, mais certainement pas pour entrer en relation avec Dieu lui-même... et dans son éternité paradisiaque - son idéal divin - par la suite.
Un paradis qui ne sera pas désincarné, mais sur une terre nouvelle, avec des corps et des cœurs nouveaux, incorruptibles... (en lire ici une description en Apocalypse chap. 21).

Soyez éclaire-e et établi-e dans une relation avec le Ciel divin par la bénédiction gracieuse du Dieu trois fois saint.

Ici > Guide de prière pour paix avec Dieu et rédemption éternelle

__________________
* Il est clair que les religions n'ont pas ce pouvoir de ramener les créatures dominées par les forces du mal que nous sommes si naturellement, dans une existence réorganisée avec un surcroit de vie (spirituelle, tellement nécessaire), qui ne peut que venir de Dieu lui-même, étant ajoutée par lui à ce que nous sommes par notre naissance initiale.
C'est l'opération surnaturelle qu'opère l'Esprit de Dieu - en chacun qui entre dans ce projet et cette volonté divine de rachat -, comme il en est parlé dans l’Évangile selon Jean, au chapitre 1, versets 12 et 13 et encore dans les 21 premiers versets du chapitre 3. 

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