de la réalité du bien et du mal, une idolâtrie de la subjectivité... qui arrange bien les détraqués qui s'en réclament et la répandent...
Le ressenti-ment parfois,
Plus souvent que l'on croit,
faisant de nous une proie
naïve, ou méchante, se livrant sans loi
à tous les courants d'air
Venant du ciel ou de la terre
qu'éclairent de blafardes lumières
présentées comme le bréviaire
de la nouvelle religion sans Dieu,
Venue non de plus haut des cieux
mais de délires obscurs et envieux
qui sous-tendent nos vies en creux.
Ainsi vides de Dieu nos âmes en bocaux
se remplissent de sale comme de beau,
s'engraissent et polluent le cerveau,
se parent d'or et souvent d'oripeaux.
Qui nous délivrera des dards menaçants qui volent
en plein jour et dans nos nuits qui s’affolent !?
Qui peut nous soustraire aux vols et à ces viols
qui se répandent sans que nos écoles et nos geôles
puissent contenir le mal et dire une justice
sévère - Et aussi la grâce, face aux vices et sévices,
pour les cœurs repentants qui voient le grand office
de Jésus mis en croix offert en sacrifice
pour le pardon des fautes, pour la libération
des âmes enténébrées dont la transformation
peut toujours advenir même au cœur des prisons
dans un re-ssenti vrai né de la rédemption.
C.T. 4 déc. 22
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