Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
7 juin 2023 3 07 /06 /juin /2023 21:16

 

Je veux parler là de deux niveaux d’illusion.
Le premier, basique, sesitue au niveau de notre existence ordinaire qui est essentiellement un formatage psychique produit par l’école d’une culture laïco-athée (enseignement orienté, partisan, insuffisant et rapports avec les autres), les réseaux sociaux et médias, films… et tout ce qui fait nos environnements les plus immédiats : On devient là ce que notre immersion socio-culturel nous fait, habité par toutes sortes de questions pas posées et de problèmes pas réglés.

Il en résulte dans quasiment tous les cas, au moins un problème grave, une difficulté ou deux plus grosses que toutes les autres, qui nous atteint en plein coeur et/ou en pleine raison, nous laissant désarçonné, dans l’incompréhension du sens de ce qui nous arrive et de la vie ici-bas en général.
Ce genre de difficultés (trahison, rejet, divorce, accident, maladie  grave, licenciement, agression…) produit une rupture, une cassure ou une fin, dans notre continuum ordinaire jamais interrogé, constitue en fait un jugement, une sanction, sur notre mode de vie et comportement.
Comprendre cette notion de jugement qui tombe sur notre existence est un premier pas important pour sortir de notre illusion d’un univers où on peut faire impunément tout ce qu’on pense et tout ce qu’on veut.

A ce point, on peut avoir besoin de soins physiques, pour des blessures corporelles, mais dans tous les cas on a besoin d’une aide psychologique (du grec psyché qui désigne notre âme) au plan de notre compréhension basique. C’est là qu’on entend parler de « consulter » un-e psy ou de « cellule psychologique ».
… Ce qui peut être un accompagnement positif pour nous faire saisir quelques notions en vue d’un apaisement émotionnel, mais pas encore une aide substantielle tant que la dimension spirituelle de notre être et de nos environnements n’est pas abordée.

Cat si nous sommes des êtres physiques et psychiques, comme sont les animaux, à leur différence nous sommes des êtres qui devrions aussi avoir en nous -même une dimension esprit, par distinction avec l’âme que nous sommes. Or l’esprit en nous est le plus souvent une place vide – « un vide en forme de Dieu », disait Pascal –. que des apports seulement psychologiques (pour le soutien de l’âme) ne peuvent combler.

Et c’est là le seconde niveau des illusions : que nous croyons qu’on va résoudre nos difficultés existentielles et essentielles seulement en administrant quelques conseils (voire des médicaments!) : c’est comme mettre du plâtre là où il faut mettre du ciment ou mettre du polystyrène là où il faudrait du bois.

LA BOURDE DE LA PSYCHOLOGIE ORDINAIRE

Dans plusieurs domaines scientifiques, des bourdes n’ont pas manqué… ce qui nous aide à garder du recul – c’est-à-dire de notre liberté – face à la psychologie. Car si un psy n’a rien de mieux à dire que la solution de votre problème (la souffrance, le trouble, l’insécurité, la peur, la paralysie...) est en vous, dépend de vous, de vos choix, de votre force à mettre en œuvre pour…., vous risquez de poursuivre dans l’illusion quant à la connaissance de soi et à l’approche d’une solution pertinente et pérenne.

Pour éviter un tel écueil (qui peut vou faire perdre encore des années dominées par des tâtonnements d’aveugle), il est important de bien voir qu’on n’est pas aussi bon et gentil et honnête qu’on veut bien (se) le faire croire, et que c’est pas encore de nous que la solution va sortir.
Certes, on va y être pour quelque chose, mais surtout en plaidant d’abord coupable pour notre existence conduite de nos propres mains jusque là, et particulièrement jusqu’à ce clash qui nous a surpris par sa soudaineté ou sa force destructive.
Cat tout ce qui nous arrive, notamment de grave, ne tient pas du hasard, de « la faute à pas de chance », mais de nous ! Même si nous n’avons que 15 ou 20 % de responsabilité dans ce qui nous arrive, que ce soit un divorce, un accident, ina maladie grave, un viol ou le fait d’être battu…

C’est le genre de vérité difficile à dire et à admettre, mais sans vérité on reste dans le leurre, et dans une part d’illusion sur nous-même, on ne peut pas compter obtenir un changement sensible, vraiment et durablement bénéfique.

Nous sommes donc tous des coupables, pour un part minimum ou pour beaucoup dans ce qui nous arrive. Et c’est en plaidant coupable qu’on va pouvoir entendre la bonne voie à suivre pour passer de(s) échec(s) à un succès encore jamais atteint.

L’autre chose à voir si on veut recevoir du bien, du bonus (même immérité), est que nous sommes tous des êtres faits de manques. Aucun de nous n’est complet en lui-même. Pas plus que nous serions que quelqu’un de bien, nous ne sommes sans avoir besoin de manière permanente d’autre que nous-même pour être (la relation est la quattrième roue de notre charrette, avec notre corps, notre âme et l’esprit). Pour la bonne est unique raison que Dieu nous conçus et créés ainsi – ce qu’aucun hasard par ailleurs n’aurait pu faire apparaître…).

Et dans cette vue que nous sommes au départ des créatures de Dieu, nous pouvons avancer vers un secours véritable.. ; qui sera le sien !
Car si nous avons besoin d’air pour respirer, de verdure, d’eau, poisson ou viande pour grandir ou nous sustenter, de dormir pour nous recharger, de bonnes relations pour bien vivre… dont une relation vivante avec Dieu, sans quoi notre esprit dépérit et nous avec.

Malgré l’invisibilité immédiate de Dieu – comme celle de l’air, des forces électromagnétique, telluriques, cosmiques ou quantiques –, il est tout aussi raisonnable que surnaturel de croire en Dieu et de s’dresser à lui pour trouver par lui une plénitude de notre être que rien d’autre ne peut assurer.

Et pour connaître Dieu, écoutons comme des enseignants et expérienceurs authentiques et fiables ceux qu’il a sélectionnés pour nous donner par leurs écrits la Bible (premièrement, et bien d’autres ouvrages ou sites complémentaires).
Comme David, le berger devenu roi par sa vaillance, son intelligence, son sens artistique et sa foi, approchons-nous de Dieu en nous unissant à ses paroles dans la droiture de notre propre coeur :
«
Psaume de David. 2 Lorsque Nathan, le prophète, vint à lui, après que David fut allé vers Bath-Schéba.
3 O Dieu ! aie pitié de moi dans ta bonté; Selon ta grande miséricorde, efface mes transgressions; 4 Lave-moi complètement de mon iniquité, Et purifie-moi de mon péché. 5 Car je reconnais mes transgressions, Et mon péché est constamment devant moi.
6 J'ai péché contre toi seul, Et j'ai fait ce qui est mal à tes yeux, En sorte que tu seras juste dans ta sentence, Sans reproche dans ton jugement. 7 Voici, je suis né dans l'iniquité, Et ma mère m'a conçu dans le péché. 8 Mais tu veux que la vérité soit au fond du coeur : Fais donc pénétrer la sagesse au dedans de moi! 9 Purifie-moi avec l'hysope, et je serai pur; Lave-moi, et je serai plus blanc que la neige. 10 Annonce-moi l'allégresse et la joie, Et les os que tu as brisés se réjouiront.
11 Détourne ton regard de mes péchés, Efface toutes mes iniquités. 12 O Dieu ! crée en moi un coeur pur, Renouvelle en moi un esprit bien disposé. 13 Ne me rejette Pas loin de ta face, Ne me retire pas ton esprit saint. 14 Rends-moi la joie de ton salut, Et qu'un esprit de bonne volonté me soutienne !
15 J'enseignerai tes voies à ceux qui les transgressent, Et les pécheurs reviendront à toi. 16 O Dieu, Dieu de mon salut ! délivre-moi du sang versé, Et ma langue célébrera ta miséricorde. 17 Seigneur ! ouvre mes lèvres, Et ma bouche Publiera ta louange. 18 Si tu eusses voulu des sacrifices (des pratiques rituelles de religion), je t'en aurais offert; Mais tu ne prends point plaisir aux holocaustes. 19 Les sacrifices qui sont agréables à Dieu, c'est un esprit brisé : O Dieu ! tu ne dédaignes Pas un coeur brisé et contrit... » (Psaume 51).

Si vous avez la même disposition de coeur que David écrivant ces parols, vous serez entendu comme lui du même Dieu éternel dont Jésus fut l’émanation majeure en vue de ce pardon dibin si nécessaire de nos fautes, afin que nous soyons réconcilieés et en paix avec le Bien et l’éternité bénie :
« il y eut un homme d'entre les pharisiens, nommé Nicodème, un chef des Juifs, qui vint, lui, auprès de Jésus, de nuit, et lui dit : Rabbi, nous savons que tu es un docteur venu de Dieu; car personne ne peut faire ces miracles que tu fais, si Dieu n'est avec lui.
Jésus lui répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu.
Nicodème lui dit : Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître ?
Jésus répondit : En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu. Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l'Esprit est esprit. Ne t'étonne pas que je t'aie dit : Il faut que vous naissiez de nouveau.
Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit; mais tu ne sais d'où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l'Esprit.
Nicodème lui dit : Comment cela peut-il se faire ?
Jésus lui répondit : Tu es le docteur d'Israël, et tu ne sais pas ces choses ! En vérité, en vérité, je te le dis, nous disons ce que nous savons, et nous rendons témoignage de ce que nous avons vu; et vous ne recevez pas notre témoignage. Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses célestes ? 13 Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel.
14 Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé (crucifié), afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle. Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.
Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n'est point jugé; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises. Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées; 21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites selon Dieu. » Evangile selon Jean, chap. 3.

Si vous désirez prier pour vous confier en Dieu le Créateur et Sauveur de nos âmes mortellles, ici >> accès à une aide de prières <<

Partager cet article
Repost0
6 février 2023 1 06 /02 /février /2023 09:42
Avez-vous vu et entendu  la vidéo ici >> de ce Grand débat entre E. Zemmour et M. Onfray << ?
A quoi, le découvrant maintenant, je viens de poster le commentaire suivant :
" Débat de haute-voltage entre Terre et Ciel ;
- Terre envahie - par l'immigration, l'islamisation, le woke et, dit plus globalement, par de vrais démons - sur laquelle Eric Zemmour et Michel Onfray (pas plus que nous) ne veulent mettre les pieds ;
- et Ciel rendu comme inexistant, réduit à un néant mythique inhabité par le voile de l'incrédulité, toujours prompte à réduire, sans recul (nécessaire, par rapport à la culture laïco-athée dont ils sont l'un et l'autre un produit), sans réflexion (de bon sens ou scientifique), incrédulité qui laisse
- l'univers créé (puisque "création" confirmée par le Big bang)comme résultant seulement de quelque(s) hasard(s) sans intelligence (mais ingénieux bien plus qu'aléatoire et absurde) et sans finalité (alors que toutes ses potentialités témoignent qu'il est surnaturellement empreint de devenirs et de sens) ;
- incrédulité envers la Source de l'univers (bien évidemment Divine pour peu qu'on ouvre les yeux ne serait-ce que sur les organisations de la nature et du vivant) et encore manque de lumière et de perspective envers nous dans l'univers et dans cette France (de plus en plus mal) dirigée et envahie.
Parce que bien sûr sans Dieu existant (dans notre perception du monde et notre système de pensée), il n'existe pas de jugement ! Seulement des "crises" qui, étonnamment, se cumulent du plus haut de nos atmosphères (physique, psychique et spirituelle) jusqu'au plus bas de la terre (que ce soit par les banlieues ou par l'appauvrissement et les pollutions des terres et des eaux). Et ce mot "crise" pourtant peut nous renvoyer à son origine, grecque, à "crisis" qui précisément porte l'idée de jugement.
Cela pour dire qu'il ne suffit pas de faire un diagnostic, un bilan de santé (même détaillé), pour s'avérer être un médecin qui possède aussi la connaissance des remèdes existants et capable par là, par eux, de provoquer un chagement notoire face au mal installé, et qui encore menace de s'étendre.
Ce grand débat a un an : Quel progrès dans le sens du bien sur le mal peut-on honnêtement proclamer ?
- On a augmenté le nombre de convaincus qu'il faut se mobiliser et faire quelque chose ! Mais aussi on a été désavoué, malgré la pertinence des vues qui téémoigne d'une (certaine) lucidité, par le vote et l'apathie des français
- Mais on ne s'interroge pas plus que cela, on ne creuse pas où il faudrait, où le bât blesse, où il manque un essentiel...
A l'inverse, la machine animée par la pression des esprits occultes qui agitent sur sur les hautes sphères humaines (du plan spirituel, financier, politique et encore des lobbies) a-t-elle été griffée, s'est-elle ralentie ?
Alors devenons plus sérieux, bien plus sérieux, cessant de jouer les dieux (impuissants, suffisants) de la farce, et voyons - ouvrons les yeux intérieurs comme physiques) - que dans les données débattues, il manque métaphoriquement une constante cosmologique, comme le boson que Higgs présumait (à l'encontre de toute la communauté scientifique) et qui finalement a bien été aperçu.
Et donc sans cette constante ou ce boson manquant qu'est Dieu - Celui qui a créé les cieux et la terre, celui de (notre) Pascal qui, le rencontrant en esprit une certaine nuit de révélation, reçut que c'est le Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, pas le dieu des philosophes... Ni même celui des religions puisque le Messie et Christ Jésus vint démontrer par sa crucifixion et sa mort que même la Loi religieuse parfaite - la Torah - produit la mort, et non le surcroit de vie qu'il nous manque à tous : savoir la vie de Dieu en nous qui se reçoit dans la lucidité et l'humilité de l'imparfait et peu signifiant (pécheur, péchresse) que nous sommes chacun.
Car il apparaît bien que même malgré l'imperfection et les travers malins des hommes, la France (et l'Europe), la vie sociale et sociétale du temps où la culture était imprégnée de l'essence du christianisme était tout autre.
Parce que les gens étaient plus riches, plus intelligents ? Non mais parce que l'Esprit du Dieu vivant pouvait alors se mouvoir dans les cœurs, dans les institutions et entre les personnes couvrant les territoires où il avait été reçu par la foi.
Cette hauteur ayant été balayée par l'orgueil et la force communiquée à des idéologues et politiciens athées agités par des souffles spirituels mauvais, la place laissée vide par le retrait (respectueux) du Dieu qui ne s'impose pas face à la liberté dont il nous a pourvus, a bien vite était remplie par tout ce qu'on découvre d'abyssal qui s'ajoute chaque jour un peu plus, de désordres, désorganisations, décompositions, inepties, injustice, égotisme, violences, impiété et autre religiosité physiquement conquérante.
Et donc comment revenir à du relationnel empreint de la spiritualité divine comme cela fit apparaître une "France chrétienne" - disons plutôt christianisée -, sans revenir à Celui qui en est la Source et l'Artisan !?
Saurez-vous ouvrir l'oreille, ou resterez-vous enclos, intelligents mais aussi ahuris dans l'impuissance qui est dans quelque système que ce soit (philosophique, faussement moral, idéologique (de marxiste, nietzschéen à écologiste), hédonisme jusqu'à sodomite, ou religieux) qui se vivent dans "la séparation" d'avec le vrai Dieu !?
Qu'est-on à côté de Jésus, qui mérite sans doute une plus réelle attention de notre et votre part, par sa personne et ce qui a résulté et résulte encore de sa venue, de sa mort et de sa résurrection.
Cela pour dire : Ayez la curiosité de revenir à Son Évangile (du grec euaggelion qui signifie Heureuse Nouvelle), qui n'a rien de religieux ni d'athée, vous mettant à lire ou relire ce fruit écrit qu'est le Nouveau Testament , avec objectivité, dans une quête de vérité, de lumière, dans l'amorce de foi que si ce qui est rapporté là est vrai, juste et bon - de Dieu - , cela sera attesté à votre être intérieur le plus objectif.
Car ce chemin qu'est l’Évangile est différent de tous les autres systèmes de réflexion ou de connaissance en ce que qu'il permet d'entrer en contact avec Dieu, de sortir de la séparation problématique (qui nous est devenue si malheureusement naturelle) par une réconciliation magnifique qui passe de son Esprit à notre esprit (régénéré). Ainsi passe-t-on de la "mort spirituelle" à la vie dans toutes ses dimensions (livre aux Éphésiens chap. 2.1)
Bonne suite de vie dans cette quête d'un grand rétablissement qui vise à des améliorations ou transformations ou retournements collectifs, ce qui ne peut toujours commencer que par une vraie révolution... en nous !
De Descartes on peut garder cette phrase synthèse (des trois songes par lesquels il reçut la révélation de "la méthode") qui peut s'appliquer à chacun né et formé dans un système socio-culturel quelconque : "Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues et construire de nouveau tout le système de ses connaissances."
Bien cordialement, (toucherlalumiere.info)"

 

Votre propre réaction à ces éléments relatifs à une problématique holiste (occidentale et planétaire) qui nous touche tous !?

Vous pouvez aussi liker mon commentaire si vous le jugez pertinent...

Partager cet article
Repost0
31 janvier 2023 2 31 /01 /janvier /2023 19:35

L'univers physique - qui finira un jour - et la vie après l'existence terrestre - qui sera pour une éternité sans fin, non imposée par Dieu, mais qui se choisit en réponse à ce que Dieu nous offre pour passer de notre mortalité à une vie paradisiaque avec Lui...

¤¤¤

Cet article est né d'une recherche approfondie conduite vers la vérité au sujet de la vie après la mort.
Elle s'appuie sur les écrits bibliques que confirment divers types d'expériences d'EMI (Expériences de Mort Imminente), et s'est développée dans ma quête d'une conciliation sensée, raisonnable autant que surnaturelle, de l'amour que Dieu est, avec la justice qu'il est tenu de respecter lui-même et d'exercer.

On peut aussi dire vie après l'existence - dans quoi nous sommes ici provisoirement avant de déloger.

Un sujet capital car personne ne peut s'en exclure, et il vaut mieux savoir que d'avoir à subir bien-bien longtemps les pires effets de l'ignorance entretenue...

Et pour savoir, il est bon de commencer à s'ouvrir à ce qu'on ne connaît plutôt que d'en avoir peur, que de remettre cela à un temps qui ne nous appartient pas.
Il est bon de ne pas s'en tenir à des idées préconçues et autres préjugés superficiels sur quoi on ne s'est jamais interrogé, alors qu'ils ne sont que des apports à notre enfance ou adolescence venus d'un conditionnement sociétal dans lequel on a été orienté à croire de telle ou telle manière (athée ou religieuse).

La première question à résoudre est :
Est-ce qu'il n'existe que de la matière, le cerveau étant alors le siège de ce que nous sommes comme intelligence, volonté, sentiments et émotons, et mémoire ?
Si oui, on meurt en tant que conscience en mêm temps que le corps, et tout est fini de nous à jamais.
C'est la vision matérialiste qui fait les athées, jusqu'aux transhumanistes qui dépensent des fortunes pour collecter de grandes quantités de données pour les mettre dans un ordinateur qui devient le nouveau corps de la personne décédée, à travers quoi elle pourrait continuer à vivre d'une certaine manière !...

Plus sérieusement, la vue spiritualiste du monde permet de dire que l'univers est fait de dimensions :
- physique, avec 4 forces fondamentales d'intersactions ;
- psychique, avec les 4 domaines de l'âme (puisque l'âme en grec c'est la psyché) : notre faculté ntellectuelle, notre affect (avec les émotions et sentiments), notre volonté, et notre capacité de mémoire
- Spirituelle, avec notre conscience morale, l'intuition, de la connaissance infuse, la capacité d'être en connexion avec Dieu.

Si on est un peu observateur, on peut voir que les désirs de l'âme ne sont pas forcément ceux du corps. Si par exemple mon âme aime tellement manger ou boire de l'alcool qu'on en absorbe bien plus que ne le supporte les réglages de capacités de l'estomac, du foie, du pancréas, de l'intention..., le corps va perdre son équilibre de bonne santé, ce que ressent l'âme par une nausée, mal-être, envie de vomir...
Par trop d'irrespect du corps, on peut dépasser les forces de ses immunités et il va tomber malade, voire ne plus pouvoir continuer à lutter contre du mal qui s'est mis à l'habiter... etc...

Cela poser, l'âme meurt-elle avec le corps ?
La réponse spirituelle est Non !

Des multitudes en témoignent par leurs (EMI) Expériences dites de Mort Imminente vécues alors qu'ils ont été déclarés cliniquement (physiologiquement) mort ou dans le coma : ces expérienceurs disent comment ils sont sortis de leur corps, se sont promenés dans des espaces en passant à travers les murs, ont été entraînés dans un tunnel jusqu'à arriver, certains dans un lieu infernal où les souffrances sont continuelles, d'autres dans un paradis baigné d'amour, retouvant des personnes défuntes ou pas, voyant Jésus ou pas...

Jésus et ses disciples qui ont écrit le Nouveau Testament, parlent dans le même sens, que l'être humain - tout comme les animaux d'ailleurs - sont essentiellement une âme dans un corps, avec en plus, ce qui nous distingue plus particulièrement du règne animal, un esprit qui vient de Dieu...

ET DONC LE PURGATOIRE !?
Les EMI révèlent par ceux qui reviennent de l'au-delà, la réalité des sphères ou univers célestes, qu'on appelle le Paradis et l'enfer.

Mais ni les mots enfer et purgatoire n'existent dans la Bible.
Par contre, si on vient à ce livre - qui est la source origienlles de ce que sont les églises dites chrétiennes -, on trouve deux réalités qui parlent de la vie après la mort dans son versant maléfique, pour ceux d'entre nous qui n'ont pas trouvé en Jésus le Sauveur des âmes (que nous sommes, bien plus que des corps).

1 - LE SEJOUR DES MORTS OU HADÈS

Il est décrit par Jésus dans ce passage de >> l'Evangile selon Luc <<.
Très clair n'est-ce pas !

Après la mort il ya d'un côté ce qu'on appelle le Paradis ou encore "Sein d'Abraham" dans la mesure où Abraham est considéré comme "le père de la foi"  selon Dieu - la foi qui réconcilie avec Dieu et donne au croyant la paix avec Dieu, par et dans une relation vivante avec lui.

D'autre part, le séjour des morts ou hadès (en grec original), ce que la tradition a transformé en purgatoire, dans la mesure où on peut savoir que cette sphère (psycho-spirituelles) n'est que provisoire : En fait une prison pour les âmes défuntes en dehors de la foi en Christ Jésus (ha Mashiah Yeshoua dans la langue des juifs), prison tenue par Satan et les démons de sa suite (des anges dégradés rebelles à Dieu).

En >> Apocalypse chap. 20 << on apprend que Dieu ouvre cette prison, ressuscite ces âmes - c'est-à-dire leur redonne leur corps charnel -  pour un dernier jugement.

Ainsi le séjour des morts, hadès autrement appelé à faux purgatoire, est la conséquence du jugement des humains trouvés coupables par leurs comportements sans foi ou avec une croyance religieuse qui ne satisfait pas Dieu ; un jugement qui accorde la domination des âmes même après la mort physique aux esprits du règne (provisoire et partiel) de Satan.
Mais un jour Dieu redonne vie physique à ces âmes pour exercer son propre jugement, juste et définitif sur chacun de ceux qui sont (actuellement et entre jour après jour dans ce lieu de tourments).

C'et lors de ce dernier jugement, qui va clore la réalité de tout cet univers pour en créer un autre - qui sera enfin le paradis physique éternel, qu'apparaît ce qu'on peut plus particulièrement appelé l'enfer (selon l'iamge courante qu'on en a), où sont emprisonnés sans retour possible dans le Bien selon Dieu Satan et ses démons (qui ne meurent pas), et les êtres humains qui se seront obstinés dans leur refus de la personne de Jésus comme Fils de Dieu Sauveur, "seul médiateur entre Dieu et le genre humain" pour le salut psychique de quiconque croit.

C'est pourquoi il est important de se positionner clairement pour ou contre Dieu, pour ou contre Jésus-Christ, car le chemin de la vie qui se poursuit après la mort physique résultera de la position personnelle adoptée quand on a la liberté de choisir en bonne connaissance et conscience du Réel.

VERSETS-CLES CORRESPONDANTS

Évangile selon >> Jean chap. 3.15-21 <<

>> Jean chap.1, vers. 12,13 <<

>> 2Corinthiens chap. 5, vers. 17... <<

>> Prophète Esaïe (7 siècles avant que Jésus n'arrive) >> Esaïe chap. 52. vers. 17 à chap. 53.12 <<

>> Romains chap. 5, vers. 1-21 <<

rapport au Séjour des mort (hadès et pseudo-purgatoire) >> Évangile selon Matthieu chap. 16, vers. 15... <<

>> Évangile selon Luc chap. 16, vers. 19... <<

>> Apocalypse chap. 20, vers. 11...  <<

 

Bon cheminement, vers le Ciel plutôt que sur la pente du séjour de tourments des morts sans Christ...

 

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
22 novembre 2022 2 22 /11 /novembre /2022 13:07

 

 

 

 

Depuis deux mille ans, la Bible a prédit un temps d'obscurité sur toute la terre, qui va notamment se concrétiser par une marque, un marquage du genre humain. Ce sera planétaire !

 

AVEZ-VOUS DÉJÀ LU (TOUT OU PARTIE) DU LIVRE DE L'APOCALYPSE ?  
(du grec apocalupsis qui signifie révélation)

Au chapitre 13 de ce livre biblique nous pouvons lire :
Les deux bêtes... : « 11 Ensuite je vis monter de la terre une autre bête ; elle avait deux cornes semblables à celles d'un agneau, mais elle parlait comme un dragon. 12 Elle exerçait toute lautorité de la première bête en sa présence, et elle obligeait la terre et ses habitants à adorer la première bête, celle dont la blessure mortelle avait été guérie. 13 Elle accomplissait de grands signes miraculeux, jusqu'à faire descendre le feu du ciel sur la terre, à la vue des hommes. 14 Elle égarait les habitants de la terre par les signes qu'il lui était donné d'accomplir en présence de la bête ; elle leur disait de faire une image de la bête qui avait été blessée par l'épée et qui avait survécu. 15 Elle reçut le pouvoir d'animer l'image de la bête, afin que cette image puisse parler et faire tuer tous ceux qui ne l'adoreraient pas. 16 Elle fit en sorte quon impose à tous les hommes, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, une marque sur leur main droite ou sur leur front. 17 Ainsi, personne ne pouvait acheter ni vendre sans avoir la marque, cest-à-dire le nom de la bête ou le nombre de son nom. 18 Il faut ici de la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence déchiffre le nombre de la bête, car c'est un nombre d'homme. Son nombre est 666. »

Si les injections en rapport avec la «pandémie» apparue il y a trois ans, ne sont pas (jusqu'à présent) cette marque-même, la pseudo-vaccination rendue pressante, planétaire autant que subite et inquiétante, présente plus d'un point commun avec la vision de l'apôtre Jean. En effet, elle se matérialise désormais sous nos yeux au temps décrit par ailleurs de manière significative comme « temps de la fin des nations », ce que figure notamment la formation d'une Europe politique :

Lacceptation a été non obligatoire mais la pression fut telle que beaucoup entrèrent dans ce processus comme n'ayant pas d'autre possibilité.


Aujourd'hui, la lumière est faite, notamment issue de scientifiques experts et intègres avec les vérités en soi ; des procès graves sont en cours d'instruction, que des juges vont avoir à juger « en leur âme et conscience » et, qu'ils y croient ou non, devant Dieu qui considère les êtres humains comme libres de faire des choix conséquents, responsables, coupables ou graciés.

Le processus d'appauvrissement ne date pas d'hier

Les autorités supérieures qui en traitent sont de nature spirituelle et non soumises à temporalité. Ce qui fait que les hommes passent, mais les stratégies déterminantes se déploient sur un long terme enjambant un règne politique ou financier à un autre, transcendant même les clivages et partis qui freinent des hégémonies rampantes (étant aussi une forme duelliste bien inintelligente de science politique).

C'est ainsi que des processus évolutifs culturels contre nature courent depuis plus d'un siècle en France. Déjà dans les années 50 avec une mixité fille-garçon, apparemment sans problème, où quand même on apprend aux garçons à tricoter et faire de la couture, et aux filles à jouer au rugby...


C'est alors seulement une première phase d'un progressisme qui, en trois générations, introduit les cours de sexualité en primaire, puis les mêmes avec toucher à partir de la maternelle, jusqu'au paroxysme transgenre, chez papa et maman, puis pour sou-même.
Et en parallèle avec des contenus de programmes scolaires r
égulièrement appauvris dans le contenu académique. On est passé du retrait du cours de morale à une instruction civique peu socialisante, jusqu'à des priorités de matières et de sujets inappropriées, ineptes, dévoyées, et désormais ces apprentissages dit woke (nouvelle équivalence, enfûmeuse, de l'adjectif plus significatif démoniaque ou diabolique, notamment dans le domaine très sensible de la sexualité (en rapport avec l'acte le plus intime et procréateur dépouillé de sa finalité, indirectement en lien avec l'acte grave, traumatisant et naturellement culpabilisant, l'avortemen, que, non content de l'avoir libéralisé à l'extrême, une minorité inspirée par le règne occulte de forces maléfiques veut maintenant faire entrer dans la Constitution pour mieux inféodérer le pays, l'Etat et la population (entière s'il n'y avait pas de résistance et si Dieu nous abandonnait à ces sens dissolus) aux esprits de l'iniquité qui pilotent de leur invisibilité les pensées des humains les plus près d'eux, pour mieux instaurer un ordre mondial sur la base de lois contre-natures – contre Dieu donc – dans les domaines les plus sensibles de la reproduction et des généalogies (car ces esprits sont éternels et veulent, une bonne fois, obtenir un blanc-seing de la totalité des êtres humains pour devenir leur dieu sans que le vrai (Dieu) n'est plus ne puisse plus intervenir sur cet espace de l'univers...)

Autant de sorties de route (du Bien) récidivées, également parties ou accompagnées d'une profonde méconnaissance de la personne humaine, ce qui a conduit à une déification (idolâtrie) de l'enfant : Il serait porteur en lui-même, de nature, dune science infuse, pourvu à coup sûr et de manière généralisé, de ressources et de réponses correctes prédéterminées.
Son ressenti personnel inné, sans besoin d'éducation, de corrrections, serait plus pertinent que ce qu'une culture et des enseignants en phase avec la nature et son Créateur auraient
à lui apprendre.
...Un ressenti cependant orientable
à souhait si « on » sait bien sy prendre, et c'est ce qui s'insinue toujours plus et se martèle de mois en mois, de jour en jour


 »C'EST LA FAUTE A ROUSSEA » ! CAUSE ENFOUIE EN QUELLE « LUMIERE »

Tout ceci nest quun fruit véreux (autre synonyme de woke), de ce qu'on appelle « rousseauisme », selon que le naïf Jean-Jacques a vu l'être humain bon par nature, seulement corrompu à son encontre par la vilaine société.
C
est donc la société organisée qui laurait malencontreusement conduit ou poussé à mettre les nombreux enfants (plus de dix) dont il avait la responsabilité éducative à « lassistance publique »… pour quil ait la tâche, le plaisir et le loisir, selon son ressenti, de se faire précepteur et pédagogue pour des enfants de la haute société dont il n'est pas certain qu'il leur ait communiqué la force d'aller à coutre-courant de leur socité !
Se tromper ainsi de cible, tirer ces flèches à coté, c'est ce que signifie étymologiquement le (vilain) mot : pécher. 


PAS DE FAUTE SANS CONSEQUENCE

Cette Doctrine que lhomme est bon, que les faits démentent allègrement et violemment, est tout à l'opposé de la vue de Blaise Pascal notamment (qui le précèda de quelques décennies), et de la déclaration biblique intemporelle qui tient l'enfant pour problématiquement entaché et attaché par « la loi du péché et de la mort », ce qui oblige à une discipline pour le former dans la droiture, l'amour (perdu) de la vérité, et une socialisation apaisée et bénéfique pour soi et les proches.
Ainsi le ver est dans la pomme dès avant qu'il n'y germe et fasse paraître ses effets malins.

Car la difformité (adamique universelle) prend de gré comme de force le dessus sur le bien quand il y a concurrence entre les deux et des choix à faire, balance d'autant plus déficitaire que n'interviennent pas une vraie instruction (socio-anthropologique de base dispensée par l'école) et une éducation (indispensable, moralisante, socialisante, normalement transmise par le(s) parent(s) instruits eux-mêmes à cet effet et responsable de la pérennité).


Si l'Ancien Testament emploie même le verbe « inculquer » pour dire comment préformer l'enfant dès son jeune âge, ce n'est pas sans raison... doù limportance pour les esprits du monde angélique déchu, quand lécole est obligatoire, que les contenus du savoir soient salis, frelatés, inversés, trompeurs et que l’éducation soit empêchée ou déviée par des éléments de doctrine controuvés.

De la sorte un fond de bon qui peut avoir été transmis par voie psycho-génétique, finira par se corrompre, la société et le progrès contribuant là en effet à travailler, de sucroit, à lincrustation du mal, du mensonge, de la duplicité, de la corruption, iniquité et impiété (ou religion factice).

Et pourquoi ne pas commencer ce travail doccupation du terrain psychique dès les chaises et lits de la maternelle, se sont dits les démons et les pédagogistes leurs alliés !...
Mais est-on seulement déjà capable de saisir toute cette mécanique qui tourne entre un ciel dévoyé et une terre sous occupation !?

C.T. Déc. 23

 

Une seconde partie de cet article, plus générique, est disponible sur demande par le bouton Contact....

Partager cet article
Repost0
22 juillet 2022 5 22 /07 /juillet /2022 21:42

Depuis quelques décennies, nous réalisons de plus en plus le lien entre le comportement humain (respectueux ou pas) et l'état de la nature (céleste ou terrestre) :
Nous sommes responsables du climat atmosphérique, pérenne ou chaotique, comme on l'est du climat, (apaisé, tendu ou trouble) d'une réunion de personnes, en fonction de ce qui se passe, se pense ou se vit.

C'est le début d'une prise de conscience, qui n'a d'efficacité que poussée jusqu'à la racine la plus fondamentale de nos difficultés, savoir notre comportement moral, le plus intime.

Car transgresser, c'est désorganiser. 
Transgresser les lois de société, les lois inscrites dans la nature, ET les lois divines qui règlent notre intérieur.

Et ainsi, plus on transgresse, plus on échauffe, notre propre intérieur ou celui de quelqu'un, nos relations, et jusqu'à notre environnement, que ce soit au plan des âmes (des esprits du mal compris) ou des corps,

Et les jugements par le feu sont essentiellement jugements de Dieu, que ce soit sur l’Église catholique romaine engluée dans la pédophilie via l'incendie de Notre-Dame de Paris, ou les feux de forêts qui mangent actuellement goulûment de notre patrimoine ancestral.

On bat des records - tristes records ! - historiques, en proportion de ce qu'on persiste dans des voies transgressives.

Alors le rappel de ce qui suit la mort physique lorsqu'on meurt sans Christ comme Sauveur, est là : canicule et feux ardents sont de vibrantes et sensibles réalités figuratives du séjour des morts (chez les hébreux c'était le shéol, chez les grecs l'hadès) tel que Jésus est venu nous en révéler la teneur. Luc 16, 19 à 31 est explicite : Venant de la bouche de Jésus, on est invité à y prendre garde !

C'est une description de ce qu'on appelle habituellement et approximativement le prugatoire ou l'enfer ; dans tous les cas le lieu transversal (aux dimensions psychiues et spirituel) tenu par Satan et ses dévots, comme une prison destiné aux âmes qui n'ont pas fait la paix avec Dieu pour être sous son autorité et sa rédemption - par les vertus de la mort crucifiée de Jésus et de la foi personnelle de chacun.
Lire par exemple Jean 3:16 à 21

Et si vous en ressentez un vif ou confus besoin, mettez-vous en ordre avec Dieu avant que le feu de vos fautes et pratiques malsaines ne consument à perdition votre intérieur (physique ou psychique) : pour cela >> ici ce guide pour aider à formaliser une ou des prières efficaces <<

Soyez béni-e

Partager cet article
Repost0
1 juillet 2022 5 01 /07 /juillet /2022 08:27

Voilà pourquoi nos scientifiques matérialistes à mort - sans plus de conscience de toutes les dimensions du Réel - ne trouvent pas comment se formule une théorie du tout qui rendrait compte de l'unicité primordiale de l'Univers.

Pour sortir de ce réductionnisme bien peu scientifique, qui empêche de voir l'essentiel - comme cela est illustré par l'invisibilité actuelle de 95 % de ce qui constitue cet univers - >> un guide de prière qui peut aider à exprimer un regret de ne pas s'être davantage soucié de Dieu et de cet essentiel, et à trouver une paix effective avec le Dieu Créateur via sa Rédemption <<

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
  • Contact

Recherche