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15 septembre 2018 6 15 /09 /septembre /2018 07:10

Comme notre propre présent, le passé de nos ascendants
n'a certainement pas toujours était nickel ! Et nous en supportons
des conséquences parfois bien dramatiques...
Alors apprenons à mieux voir ce qui est..

Je vous propose là d'aborder un sujet aussi important que méconnu, et surtout dont la solution est largement occultée. Mais Jésus a dit qu'"il n'est rien de cacher qui ne vienne (un jour ou l'autre) à la lumière".

Si les psy ne sont pas sans savoir que peuvent exister des rapports étroits entre des problèmes personnels et l'hérédité, ils n'ont pas pour autant la connaissance (la compétence spirituelle, la liberté intérieure, la foi nécessaire...) pour aller au fond de la question.
D'où des solutions bancales, dérivatives... qui peuvent ajouter au mal plutôt que le réduire.

Bien sûr nombre d'incroyants et autres ont pris au message évangélique certains de ses éléments fondamentaux (réformateurs, révolutionnaires il y a 2 000 ans et toujours aussi puissants aujourd'hui), comme la confession (qui est devenue : parler, se dire à l'autre, trouver une oreille qui écoute) ; le pardon (devenu le lâcher-prise pour se libérer) ; la foi (devenue confiance en soi, positiver...) ; etc. Mais sans la vie même (= la personne) qui est à l'origine de la formulation de ces moyens libérateurs, on est comme avec la moitié ou les deux tiers d'un billet de 500 euros ! Qu'est-ce qu'il vaut d'après vous !?...  

Ici la question est abordée au fond. À vous de savoir vous reconnaître en quelque chose de sensible et à vous intégrer en conscience dans ce réel jusqu'à trouver dans la foi véritable une vraie et durable libération de votre personne.
Prenez soin de noter ce que vous repérez qui vous concerne, car cela vous aidera à en obtenir la délivrance avec le dernier article de la série.

Soyez béni-e dans cette lecture.

Les malédictions familiales : 1 - Les manifestations

à suivre ici...
 

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11 août 2018 6 11 /08 /août /2018 07:30

Un texte proclamé au XVIe siècle, d'autant plus significatif qu'il est écrit et chanté au cœur d'un environnement sociologique des plus puissamment hostiles (opposition spirituelle employant l'organisation catholique romaine et le pouvoir politique du moment).
Martin LUTHER, instrument majeur (trompette !) de Dieu pour un gigantesque réveil spirituel ou : Comment Dieu par un seul homme oint par le Saint-Esprit peut changer un cours de l'histoire dominé par Satan et ses fortes armées.
 

C'EST UN REMPART - Martin LUTHER

1. C'est un rempart que notre Dieu :
    Si l'on nous fait injure,
    Son bras puissant nous tiendra lieu
    Et de fort et d'armure.     
    L'ennemi contre nous
    Redouble de courroux :
    Vaine colère !
    Que pourrait l'adversaire ?
    L’Éternel détourne ses coups.

2. Seuls, nous bronchons à chaque pas,
    Notre force est faiblesse.
    Mais un héros, dans les combats,
    Pour nous lutte sans cesse.
    Quel est ce défenseur ?
    C'est toi, puissant Seigneur,
    Dieu des armées !
    Tes tribus opprimées
    Connaissent leur libérateur.

3. Que les démons forgent des fers
    Pour accabler l’Église,
    Ta cité brave les enfers,
    Sur le rocher assise !
    Constant dans son effort,
    En vain, avec la mort,
    Satan conspire :
    Pour briser son empire,
    Il suffit d'un mot du Dieu fort !

4. Dis-le, ce mot victorieux,
    Dans toutes nos détresses !
    Répands sur nous du haut des cieux
    Tes divines largesses.
    Qu'on nous ôte nos biens,
    Qu'on serre nos liens,
    Que nous importe ?
    Ta grâce est la plus forte,
    Et ton royaume est pour les tiens.

Et si on peut faire des reproches à Luther qui est resté homme et n'a pas eu le temps de tout comprendre de la Bible - qui a tout compris ? -, on peut aussi se regarder soi-même et se demander ce que le Dieu créateur des cieux et de la terre et rédempteur du genre humain peut opérer de sa volonté à travers nous...

Toujours en recherche de plus de justesse et de vérités, soyez béni-e, et inspiré-e... par le "bon" Dieu.

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3 août 2018 5 03 /08 /août /2018 08:25

Poème quasi-prophétique, quand l'être humain aperçoit dès les premières manifestations que le collectif est en train de prendre une mauvaise orientation.

Ce n'est pas que le progrès soit un mal en soi, mais c'est que l'homme est toujours un être intérieurement abîmé, déséquilibré, handicapé comme orgueilleux, toujours insuffisant et rare pour prévoir et voir... comme il faudrait voir.
Ce poème comme une voix (de plus) qui a crié dans le désert.

LA PLAINE, Émile VERHAEREN (1855 -1916)

La plaine est morne, avec ses clos, avec ses granges
Et ses fermes dont les pignons sont vermoulus,
La plaine est morne et lasse et ne se défend plus,
La plaine est morne et morte - et la ville la mange.

Formidables et criminels,
Les bras des machines diaboliques,
Fauchant les blés évangéliques,
Ont effrayé le vieux semeur mélancolique
Dont le geste semblait d'accord avec le ciel.

L'orde fumée et ses haillons de suie
Ont traversé le vent et l'ont sali :
Un soleil pauvre et avili
S'est comme usé en de la pluie.

Et maintenant, où s'étageaient les maisons claires
Et les vergers et les arbres parsemés d'or,
On aperçoit, à l'infini, du sud au nord,
La noire immensité des usines rectangulaires.

Telle une bête énorme et taciturne
Qui bourdonne derrière un mur,
Le ronflement s'entend, rythmique et dur,
Des chaudières et des meules nocturnes ;

Le sol vibre, comme s'il fermentait,
Le travail bout comme un forfait,
L'égout charrie une fange velue
Vers la rivière qu'il pollue ;
Un supplice d'arbres écorchés vifs
Se tord, bras convulsifs,
En façade, sur le bois proche ;

L'ortie épuise au cœur les sablons et les oches,
Et des fumiers, toujours plus hauts, de résidus
- Ciments huileux, plâtras pourris, moellons fendus -
Au long de vieux fossés et de berges obscures
Lèvent, le soir, des monuments de pourriture.

Sous les hangars tonnants et lourds,
Les nuits, les jours,
Sans air ni sans sommeil,
Des gens peinent loin du soleil :
Morceaux de vie en l'énorme engrenage,
Morceaux de chair fixée, ingénieusement,
Pièce par pièce, étage par étage,
De l'un à l'autre bout du vaste tournoiement.
Leurs yeux sont devenus les yeux de la machine ;
Leur corps entier : front, col, torse, épaules, échine,
Se plie aux jeux réglés du fer et de l'acier ;
Leurs mains et leurs dix doigts courent sur des claviers
Où cent fuseaux de fil tournent et se dévident ;
Et mains promptes et doigts rapides
S'usent si fort en leur effort sur la matière carnassière,
Qu'ils y laissent, à tout moment,
Des empreintes de rage et des gouttes de sang.

Dites ! L'ancien labeur pacifique, dans l'Août
Des seigles mûrs et des avoines rousses,
Avec les bras au clair, le front debout,
Quand l'or des blés ondule et se retrousse
Vers l'horizon torride où le silence bout.

Dites ! Le repos tiède et les midis élus,
Tressant de l'ombre pour les siestes,
Sous les branches, dont les vents prestes
Rythment, avec lenteur, les grands gestes feuillus.

Dites, la plaine entière ainsi qu'un jardin gras,
Toute folle d'oiseaux éparpillés dans la lumière,
Qui la chantent, avec leurs voix plénières,
Si près du ciel qu'on ne les entend pas.

Mais aujourd'hui, la plaine ? - Elle est finie ;
La plaine est morne et ne se défend plus :
Le flux des ruines et leur reflux
L'ont submergée, avec monotonie.

On ne rencontre, au loin, qu'enclos rapiécés
Et chemins noirs de houille et de scories
Et squelettes de métairies
Et trains coupant soudain les villages en deux.

Les Madones ont tu leurs voix d'oracle
Au coin du bois, parmi les arbres ;
Et les vieux saints et leurs socles de marbre
Ont chu dans les fontaines à miracles.

Et tout est là, comme des cercueils vides,
- Seuils et murs lézardés et toitures fendues -
Et tout se plaint ainsi que les âmes perdues
Qui sanglotent le soir dans la bruyère humide.

Hélas ! La plaine, hélas! Elle est finie!
Et ses clochers sont morts et ses moulins perclus.
La plaine, hélas ! Elle a toussé son agonie
Dans les derniers hoquets d'un angélus.

in Les Villes tentaculaires

Soyez béni-e, et prévenant devenez.
 

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31 juillet 2018 2 31 /07 /juillet /2018 12:52
ENCORE PARLER POUR QUOI DIRE !?

Ce poème est parti de cette pensée :
Liberté post-chrétienne (à partir du XVIIIe) : Pour construire le temps qui passe et demain, on a voulu monter des moellons sans ciment, et assemblés d’autres façons.
Libertés post-soixante-huitardes : On coule dans le présent des bétons faits de sable des déserts, très peu ferraillés... et sans coffrage.

On peut assembler ainsi plein de mots en corps
Pour décrire ou peindre tout notre décor,
Mais on est sans force, sans à propos, sans rôle
Pour de sûres solutions, pour la bonne parole.

On joue à s’épuiser des matchs incessants
Mais sans gagner jamais contre le cours du temps,
Et jamais on ne voit en prenant du recul
Qu’à zéro-zéro, ou trois partout, c’est matchs nuls.

L’impiété tient la dragée haute à la foi
Qui se dilue dans des ego trop gros ou fond dans des moi

Trop maigres, handicapés autant que boursouflés,
Unijambistes quand l’Esprit n’ a pas où poser son pied.

Et là vient la pensée de s’arrêter ! - C’est bien dit, c’est fait,
C’est parlant pour ceux qui voudront lire et écouter ;
Tourne la page, publie sur tes réseaux comme une gourde
Mise à la mer… - Mais non ! Encore j’ajoute pour les âmes sourdes

Dans sa puissance le nom de Jésus - qui ouvre l’ouïe,
Qui rend la vue, qui chasse les ombres et qui nourrit
Aujourd’hui comme hier les faibles, les esseulés, les indigents,
Les pécheurs (que nous sommes) qui s’avouent et prennent le temps

De lire le Réel jusqu’au bout, pour y trouver un Ciel
Tout autre, à peine soupçonné, un astre différent, éternel,
Devenu un jour un homme - Jésus - porteur de notre cause,
Pour payer de sa vie le prix de nos psychoses,

De nos vols, de nos frasques, de nos infanticides,
De nos idées coupables, de nos échanges acides...
En somme le prix du péché - cette loi du mal qui nous habite -
Qui à Golgotha le perce, le saigne et le tue tel un rite

Exorciste, Jésus bouc-émissaire volontaire, nécessaire
Face à la justice, divine, qui gronde sur la terre
A cause des collusions des hommes et des démons
Qui de leur invisible dirigent et orientent les faits et décisions.

Mais la mort de Jésus - très juste châtiment des pécheurs
Que l'on laisse à l’ire vengeresse de leurs sombres vainqueurs -
Est injuste au possible, quant à lui qui n’a jamais fait mal,
Au point où Dieu lui rend la vie d’un geste inaugural.

Regarde-le vraiment cet homme comme encorné
Par Satan, déchiré par les hommes méchants, attaché, paralysé,
Nu juste couvert par son sang ; vois-le bien, touche-le car c’est pour toi
Qu’il se livre, se donne, se substitue pour que ta propre fin ne soit pas

Dans ce délire de jouissances infâmes, d’horreurs, d’ignominies,
Qui se passe quand l’âme sans pardon rejoint les ennemis
Célestes du bien, du juste, du vrai, au shéol séjour des réprouvés
Qui n’ont compté que sur du vent et sur eux pour durer.

C’est ce regard et la foi maintenant depuis deux millénaires
Qui ouvrent à tous pécheurs l’accès au Paradis,
Croire en Jésus étant depuis ici la terre
L’unique moyen, dit Dieu, pour vivre tout, sans les gâchis.

Claude T. - 29 juillet 2018 - ALGDDV

Que la bénédiction du 3e Ciel tombe sur vous... si vous répondez : Amen (Qu'il en soit ainsi).

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28 juillet 2018 6 28 /07 /juillet /2018 07:55

Ne faisons pas de la poésie une idole d'hier et d'avant-hier, un vestige. Ne voyons pas les poèmes seulement comme des fossiles intéressants.
Au XXIe siècle on peut encore avoir à dire la vie présente et le Réel sous forme poétique.
Pour moi la poésie est à la vie ce qu'est la tendresse à l'amour... et à la haine.

CORPS À CORPS

En se livrant encor encore
A la femme, à son corps,
L’homme met en désaccord
La soute, la quille, bâbord, tribord.

Les faux-amours font corps à corps
Où l’âme se lasse de ces rapports
Qui chassent les plus beaux accords
Par des moiteurs jusqu’en la mort.

L’intelligence en berne l’homme
Ne bâtit plus que de chaume,
Ne pense même plus en home
Dégénère son génome.

Il et elle ont banni les axiomes,
Chenilles ils papillonnent,
En résultent des hématomes,
Rend impossible le nickel-chrome.

Ainsi se perdent des trésors
Chacun ayant sa part de torts,
Loin de Dieu la vie s’endort
Pour des cauchemars, encore.

On souille tout en somme !
On pourrit tous nos royaumes,
On se débat, perce nos paumes,
Mais seul Jésus est le surhomme.

Claude Thé - 22 juillet 2018

 

La Bible, l'Histoire et nos histoires préviennent que la sexualité débridée suscite de mauvais désirs, amène des problèmes relationnels importants (dans les foyers et avec Dieu), des pertes de capacités (dont Samson est une figure), violences, cruautés, chaos, chute des civilisations (Mahagonny de Brecht et Weill)...
Et Jésus a annoncé qu'un temps allait venir où il en serait par toute la terre comme au temps de Noé, comme au temps de Sodome.

Choisissons personnellement la paix - avec Dieu, puisque c'est seulement par là qu'elle peut venir, dans notre cœur d'abord, et sur la terre relativement. Paix dont Jésus est le Prince, qui s'obtient par la foi, le pardon de nos fautes et le renouvellement par l'Esprit-Saint de notre intelligence...

Soyez béni-e de Dieu.

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30 juin 2018 6 30 /06 /juin /2018 19:00

Et si dimanche vous suiviez un culte en direct ? à partir de 9h 30 :

par ici ou par là.
(avec d'autres vidéos de messages accessibles à partir de ce site).

Bonne suite de vie 

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13 mars 2018 2 13 /03 /mars /2018 13:16

 

"JÉSUS, L'ENQUÊTE" est un film A VOIR surtout
- si vous vous posez des questions sur : Qui est réellement Jésus, ou sur le christianisme ;
- si vous êtes hostile à tout ce qui est religion et à toute foi ;
- si connaître la vérité est pour vous un point important dans notre relation au réel, à nous-même et au reste ;
- si vous êtes déjà chrétien-ne ;

La bande-annonce (trailer) en cliquant ici  (il est en français dans les salles).
Ouvert à vos réactions (privé ou en commentaire)...
Soyez béni-e.

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10 février 2018 6 10 /02 /février /2018 22:31

Après que Dieu m'ait soulevé le voile qui me séparait de sa réalité immuable, il m'a conduit à rencontrer la musique chrétienne contemporaine : Quel étonnement bienheureux !
J'avais tellement dans l'idée (un de ces préjugés trompeurs) que Dieu était seulement relié à une "musique religieuse d'église", que ce fut une autre révolution que la découverte des chants chrétiens du moment, assez semblables dans la forme, les tempos et autres dynamiques aux chants que les radios et autres MP3 infusent dans les âmes par les ondes.

Différence majeure cependant ! Il y avait là des paroles qui étaient - qui sont - l'essentiel des compositions, avec de la profondeur, des vérités si nouvelles, autant que de la fraîcheur dont mon âme en train d'être libérée avait besoin...

Et encore - autre différence majeure -, ce n'est plus là les chanteurs, auteur ou interprète, qui sont l'essentiel des prestations, mais : Qui est chanté ; A qui on chante des louanges, pour ce qu'il est, pour ce qu'il a fait et fait pour nous, pour dire notre foi,  pour remercier, pour nous émerveiller dans sa présence...

Et donc quand on chante là, on chante à Dieu, en communion ou en recherche de communion avec lui, ce qui est une tout autre démarche que de se connecter sur les ondes d'une idole (certes peut-être talentueuse mais) de chair et d'os, sans avenir pour me secourir ou porter longtemps, et qui souvent sombre dans les tentations et pires désastres - malgré gloire et argent - pour sa propre existence...

My playlist for you ! Chant 1 - chant 2 - chant 3  - chant 4 - chant 5 - chant 6 - chant 7 - chant 8 (anglais) - chant 9 (anglais) - chant 10 (anglais)
(sans compter tout ce qui se propose dans la bande droite...)

C'est ma prière que Dieu parle à votre cœur par l'une ou l'autre de ses preuves composées et chantées de la foi vivante possible en un Dieu... plus vivant encore.

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2 janvier 2018 2 02 /01 /janvier /2018 20:59

Fin d'année : Réveillon - Nouvelle année : Réveillons-nous !

Quand on ne sait pas que Dieu existe, on fait librement beaucoup de choses honteuses…Les fêtes (officielles ou qu'on s'accorde) en sont souvent l'occasion (ou une occasion de plus), surtout l'alcool et son pouvoir désinhibant aidant.

Et puis vient-on à réaliser que Dieu existe, on est comme sortant d'un étrange rêve, si vrai qu'on l'avait pris pour toute la réalité ! Et tout à coup on peut avoir honte, ou très honte, sans savoir comment réparer, couvrir, effacer ce qu'on a laissé derrière soi ! On a pu se dévêtir de manière impudique devant des convives, des enfants ! Ou raconté quelques-unes de ces histoires graveleuses qui n'attendent que ce genre d'occasions arrosées pour sortir de leur boîte…
On a pu être un-peu-beaucoup trop lourd (entreprenant, voire sexuellement pressant) auprès de la compagne d'un ami ou d'un cousin, voire céder à une aventure adultère (dont l'effet peut aller jusqu'à la conception d'un enfant ! ...).
Bien sûr encore dans cet hémisphère, manger jusqu'à trop-plein et peut-être courir vomir dans les toilettes (quand on a le temps d'y arriver)… Sans oublier la vieille querelle familiale qui resurgit à partir d'une parole de trop ! Ou encore un regard concupiscent qui provoque une vraie jalousie !
...Et vous pouvez ajouter ce que vous avez vu ou vécu perso dans ce registre de vérités de ce qu'on est tout au fond, de ce qu'on est parfois (quand la conscience est grisée) et qu'on ne peut pas toujours cacher !... Et les femmes ne sont pas forcément en reste - d'autant qu'on les veut ou qu'elles se veulent égales aux mâles dans tous les domaines…

Alors bon départ dans les starting-blocks cette première semaine de 2018 !? Pas toujours évident, malgré les "vœux les plus sincères" et la bonne volonté qu'on voulait manifester ! Certes la gueule de mélèze ou la crise de foie est peut-être déjà passée, mais êtes-vous surtout sorti-e de la crise de foi !?
Heureusement, pour réparer nos bavures, pour remédier à nos manquements coupables, pour remettre les compteurs à zéro - et pas seulement des écarts ou excès, voire de l'impiété de la fin d'année -, oui heureusement il y a un Dieu vivant !
Un Dieu qui sait tout - forcément ! -, mais surtout qui est toujours disposé et capable de pardonner quiconque d'entre nous se repent, celui ou celle qui admet amèrement sa ou ses fautes, et veut désormais vivre tout autrement sa vie - et ses fêtes. Oui, dans son amour, ce Dieu qui sait de quoi nous sommes faits, peut venir au secours de toutes nos faiblesses, comme aussi des méfaits causés par nos forces malignes.

Alors pour commencer cette nouvelle année de la meilleure façon possible, si vous pouvez avoir honte un moment de ce qui s'est passé d'inavoué, de peu glorieux, lors de ces fêtes ou encore au cours de l'année écoulée, c'est déjà une très bonne chose !
Il suffit ensuite à demander pardon à Dieu de tout son cœur, et de vouloir, avec sa force à lui mise en nous, mener la suite de votre existence autrement vis-à-vis de ce qui est mal - aux yeux de votre propre conscience et de Dieu lui-même, de sa justice et de l'amour pur dont il voudrait que nous nous aimions. On peut se demander : Quelle image de Dieu ai-je donnée, ai-je laissée, autour de moi ?...

Pour que Dieu puisse vous pardonner et que cela devienne franchement bénéfique pour vous, il peut aussi falloir considérer comment vous êtes en ce moment même, par rapport à toutes les personnes que vous connaissez : Y en a-t-il une ou plus à qui vous en voulez ? A qui vous ne pardonnez pas pour ce qu'elle vous a fait (ou pas fait) ?...

Il faut comprendre là que Dieu pardonne nos offenses (nos fautes, nos manquements, tous nos péchés), si nous-même pardonnons à qui nous a fait du mal. Et s'il arrive que c'est devenu pour nous comme une impossibilité de pouvoir pardonner, la grâce de Dieu envers nous est encore qu'il peut libérer notre cœur si nous voulons, malgré cette impossibilité, pardonner.
Car si nous voulons entrer dans la dimension du pardon, nous n'avons pas toujours le pouvoir de le faire. Mais Dieu peut venir ici aussi à notre secours. C'est important car le pardon est une puissance qui libère, en premier celui qui pardonne…
"Demandez, et vous recevrez", dit Jésus dont les paroles ne passent pas. Que ce soit le pardon de vos fautes, ou la force pour pardonner. Sans passer par ses "cases départ", il va être bien difficile en 2018 encore, de connaître le meilleur, d'éviter ou de surmonter les écueils qui ne manqueront pas de survenir jusqu'à nous rendre peut-être l'existence exécrable.

Dieu a le meilleur pour chacun et chacune, adulte ou enfant : Il est amour, et le sacrifice de Jésus* a été le moyen par lequel nous pouvons être rendus juste, sans péché, devant sa face. Croyez-le, bénéficiez-en, et faite-le savoir à ceux que vous aimez.
Prier, c'est seulement parler à Dieu. Venez à lui tel/le que vous êtes, et vous ne le resterez pas définitivement dans des choses maléfiques et/ou honteuses qui font obstacles à votre paix personnelle et relation vivante avec le Dieu que Jésus est venu mettre à notre portée de cœur...

Commencer l'année par une bonne demande orientée vers le Ciel, c'est mieux que la commencer par des souhaits ou bonnes intentions dans lesquelles vous ne tiendrez pas ! Avec pour objectif de dire un jour comme l'apôtre : "Mon désir ardent et mon espérance sont que je n'aurai (plus) honte de rien..."
Pour vous guider dans une prière de paix avec Dieu.

Soyez encouragé-e dans la foi et béni-e de manière miraculeuse.

Libre  - Il est là

___________
* Quelle nouvelle !...

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24 décembre 2017 7 24 /12 /décembre /2017 16:25

suite de 1 - ou 2 -

Plus tard des érudits cherchèrent à établir la date de naissance de Jésus. Il était devenu si grand aux cœurs de quantité d'hommes et de femmes se découvrant perdus et se faisant sauver, qu'il fut décidé d'abandonner le calendrier romain pour en commencer un nouveau.
Là aussi les hommes se trompèrent un peu, mais bon, Dieu sait bien de quoi nous sommes faits ! Bref, c'est de là qu'est née la fête de Noël.

Timothée - On y parle beaucoup des cadeaux mais pas beaucoup de Jésus je trouve !

Papé - Eh oui. C'est comme si on fêtait ton anniversaire sans toi ! En tout cas les années et tous les jours qu'on passe sous ce soleil sont marqués de ce qu'avec Jésus une nouvelle ère a été ouverte. Une ère dans laquelle sont mises à la portée du genre humain une formidable grâce immédiate, qui comprend aussi que nous entrions vivants dans l'éternité de Dieu.

Timothée - C'est l'histoire vraie de Noël ?

Papé - Tout-à-fait fiston !

Timothée - Nickel ! Un peu drôle quand même l'histoire des 4x4 de la NASA !

Papé - C'est pour dire que ce qui s'est passé il y a plus de 2 000 ans, continue aujourd'hui encore. Et que riche ou pauvre, on peut toujours venir tel que nous sommes jusqu'à Jésus, lui rendre hommage et un jour l'adorer.

Timothée - Il n'est plus un bébé maintenant !

Papé - Certainement pas ! Je te lirai comment il est maintenant : c'est écrit* dans l'Apocalypse, le dernier livre de la Bible.

Timothée – Et il est au ciel maintenant ! Sur le trône de Dieu.

Papé - Tout-à-fait. Mais tu sais, ce ciel-là n'est pas loin du tout ! Il est à portée de notre cœur, pourvu qu'on le laisse être purifié…

D'ailleurs as-tu compris pourquoi Jésus est né dans une étable, au milieu des bestiaux et des mauvaises odeurs d'écurie ?

Timothée - Berk ! Parce qu'il n'y avait plus de chambre à l'hôtel !

Papé - Oui… Mais aussi pour nous dire, par les habitants de l'étable, qu'il n'y a pas de cœur humain trop sale qu'il ne puisse venir habiter, et nettoyer.

Timothée - Ça fait des grosses bouses les vaches !... Et les ânes c'est têtu, c'est très bête !

Papé - Nous aussi quelquefois - et parfois bien plus qu'eux ! Chez nous cela s'appelle le péché. Des méchancetés ou des injustices qu'on commet ; des mauvais sentiments qu'on laisse se développer et pourrir dans notre cœur…
Mais Jésus est venu pour nous pardonner et libérer de tout ça, pour faire même d'une écurie un temple saint, un magnifique palais divin.

Timothée - C'est sympa.

Papé - Oui Timothée, c'est le moins qu'on puisse dire !

Timothée - Et pourquoi on dit la crèche ?

Papé - C'est l'autre nom de la mangeoire des animaux où Jésus a été couché après sa naissance. C'est aussi un symbole, que Jésus est venu pour se donner à nous comme de la nourriture, pour nous nourrir de nouvelles connaissances venant directement du ciel.

Timothée - Et c'est quoi ces nouvelles connaissances ?

Papé - Ah ça c'est une bonne question ! Jésus a dit que Dieu aimait tellement le monde que nous formons, qu'il a livré son fils unique pour que n'importe qui parmi nous qui croit en lui ne meurt pas pour toujours, mais qu'il reçoive sa vie éternelle.

Timothée - Qu'est-ce que ça veut dire "qu'il a livré son fils unique" ?

Papé - Allons dans le salon, je vais t'expliquer….


Ainsi ce grand-père dans le coup transmit-il la connaissance de ce Dieu à la fois père et mère veillant (ferme et doux) ; de ce fils dont les vérités éternelles rendent libre et apaisent ; et de la Vie spirituelle sans fin qui s'obtient par la foi en lui.

Noël heureux... pas sans Jésus !... et peut-être avec un chant

_________
Jésus aujourd'hui : Apocalypse chap. 1, versets "9 Moi Jean, votre frère, et qui ai part avec vous à la tribulation et au royaume et à la persévérance en Jésus, j’étais dans l’île appelée Patmos, à cause de la parole de Dieu et du témoignage de Jésus.10 Je fus ravi en esprit au jour du Seigneur, et j’entendis derrière moi une voix forte, comme le son d’une trompette,11 qui disait: Ce que tu vois, écris-le dans un livre, et envoie-le aux sept Eglises, à Ephèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire, à Sardes, à Philadelphie, et à Laodicée.12 Je me retournai pour connaître quelle était la voix qui me parlait. Et, après m’être retourné, je vis sept chandeliers d’or,13 et, au milieu des sept chandeliers, quelqu’un qui ressemblait à un fils d’homme, vêtu d’une longue robe, et ayant une ceinture d’or sur la poitrine.14 Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige; ses yeux étaient comme une flamme de feu;15 ses pieds étaient semblables à de l’airain ardent, comme s’il eût été embrasé dans une fournaise; et sa voix était comme le bruit de grandes eaux.16 Il avait dans sa main droite sept étoiles. De sa bouche sortait une épée aiguë, à deux tranchants; et son visage était comme le soleil lorsqu’il brille dans sa force.17 Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant: Ne crains point! (1-18) Je suis le premier et le dernier,18 et le vivant. J’étais mort; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts."

Claude T.  - Déc. 2017 - ALGDDV - Utilisation soumise à simple demande et autorisation préalables. Merci.

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  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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