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22 novembre 2015 7 22 /11 /novembre /2015 13:15

Notre condition toute humaine, commune et naturelle, oblige à des abaissements.

La preuve en est, de manière absolue, le vieillissement et la mort.

Qui par ailleurs n'a jamais subi un revers cuisant, une coup d'arrêt brutal, accident ou maladie grave, ou toute autre rupture "significative" ?

L'essentiel est toujours pour nous d'en apercevoir ou savoir la vertu, qui est de s'interroger sur le sens, la pertinence, la valeur, de ce que nous vivons, sur le pourquoi de ce qui nous arrive qui n'est pas dans les clous de la ligne de marche que nous avons adoptons (sciemment) ou que nous suivons (comme on est amenés à suivre un mouvement de foule).

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19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 23:10

La Bible dit que le pardon de Dieu n'a que deux sources :
- Dans les temps pré-christiques, le sang versé d'animaux purs, innocents, sacrifiés (en rémission des fautes des hommes) ;
- Depuis la venue de Dieu en chair, le sang pur, innocent, de Jésus-Christ sacrifié, crucifié, en tant qu'"agneau de Dieu qui ôte le péché du monde."
Et il n'y a RIEN d'autre du côté de Dieu, qui puisse nous apporter la paix, paix avec lui et paix en nous-même, une couverture spirituelle efficace pour nous garder du mal et de ses conséquences, et encore pour nous permettre d'obtenir de lui, là où nous restons mortels, une éternité de vie (l'éternisation
de notre moi-je conscient).

C'est tout le sens des dernières paroles de Jésus expirant cloué sur le bois de sa crucifixion : "Tout est accompli". TOUT EST ACCOMPLI pour que la rédemption (le rachat, le salut, le pardon, la grâce de Dieu) puisse s'opérer. "Tout est accompli" pour éclairer, secourir, libérer, consoler..., sauver TOUS les hommes, càd une prodigieuse POTENTIALITE, un pouvoir à mettre en œuvre dans la vie de CHACUN par sa foi personnelle.

Tout est accompli, mais à quel prix !?... Lisez dans une Bible les passages qui rapportent la nuit de l'arrestation de Jésus et tout ce qui lui fut infligé jusqu'à l'instant de cette parole : "Tout est accompli", et de sa mort...
Des souffrances indicibles pendant des heures et une mort comme celle d'un grand malfrat, d'un être abject, ignominieuse, honteuse, inouïe : Tel est le prix que Dieu a du payer lui-même pour rendre possible un vrai retour dans sa présence, dans une relation bénie avec lui. Le
saviez-vous ?

C'est pourquoi nous devons nous garder de voir Dieu comme autre que ce qu'il est dit de lui et du rachat de nos fautes dans le Nouveau Testament :
Dieu, dit-on ou entend-on parfois, est un père si tendre et plein d'amour que certainement il pardonnera à tous ! On confond là tout le POTENTIEL qu'inaugura cette œuvre incomparable du sacrifice du Christ Jésus (Y'shoua Ha mashiah) avec les INCARNATIONS rendues possibles à la suite (jusqu'à maintenant encore) de cet accomplissement EN NOUS.
Pour d'autres, Dieu n'est que le Dieu vengeur aperçu des temps pré-christiques, qui n'a pas d'autre solution pour nous arrêter dans nos voies d'égarement que de frapper à mort les coupables, les idolâtres, les pervers, les mécréants. Un justicier sans grâce, sans pardon, meurtrier, alors même qu'il est tout autant que justice amour, et Dieu de la vie.
Ces deux vues de Dieu déformées et invalidantes sont des anthropomorphismes : des conceptions et compréhensions issues de ce que nous sommes, du laxisme ou de la dureté de notre cœur, et non des vues correctes de la réalité qu'est
Dieu et ce qu'il nous donne de connaître.

La vérité unique relative à notre condition humaine générale et à notre existence en particulier, c'est que Dieu ne peut nous pardonner QUE GRÂCE À, que par le moyen de, la terrible tragédie consentie de la mise et mort en croix de Christ. Supposer que le pardon des hommes, que mon et votre pardon, puisse être accordé d'une autre façon, sur une autre base, est une vraie offense envers Dieu, envers ce qu'il a mis en œuvre d'extrême pour nous sauver d'une séparation éternelle d'avec lui.

Que tout(e) croyant(e) qui n'est pas au clair à ce sujet y réfléchisse suffisamment pour ne pas rester dans une perception erronée de Dieu, qui résulte peut-être d'une information faussée, d'un préjugé jamais interrogé, d'un mensonge délibéré initié par "le dieu de ce monde" : La Bible affirme que notre monde est gouverné non par les hommes, mais par une entité spirituelle vivante, un esprit encore puissant qui est un ange déchu, qu'on appelle S(h)atan ou serpent ancien, Astre brillant (d'où Lucifer en latin), dragon ou diable (du grec diabállô signifiant "celui qui divise", "qui désunit" ou encore "qui détruit") ; la force maléfique la plus conséquente que Jésus appelle encore "le père du mensonge". C'est pour lui reprendre l'autorité spirituelle de la terre que Jésus est venu et à accepter d'être crucifié pour nous délivrer de sa puissance et de la peur de la mort qui va avec.

Et parce que Jésus A TOUT FAIT pour que nous puissions obtenir le divin pardon de nos fautes et égarements, il nous est facile à recevoir. Il nous est un don gratuit de Dieu. Il ne nécessite de notre part qu'honnêteté, humilité, sincérité ; qu'acceptation de nous voir personnellement comme Dieu nous voit. Ce qui arrive quand l'Esprit de Dieu vient éclairer notre conscience au point de nous montrer notre péché, de nous faire voir les fautes que nous avons commises (souvent sans même les voir), nos offenses envers Dieu et les autres.

Cet éclairage nouveau en notre âme est une première manifestation de grâce envers nous. Dès lors, de notre part, deux réponses (deux parce que liberté oblige !) paraissent :
- Touché par cette vue de notre misère, on s'humilie, on admet, on dit oui, on plaide coupable, on regrette, on se repent, et dés lors on peut véritablement demander pardon, et obtenir grâce, "le sang de Christ nous purifiant alors de tous péchés."
- ou ainsi mis à découvert, on s'enfuit, on se détourne, on ne veut pas voir et affronter notre réalité ainsi mise à nu ; quelque chose de fort veut nous entraîner loin de cette prise de conscience, loin de cet espace-temps enrichi de la lumière de la vérité la plus profonde nous concernant.

C'est là un choix crucial (mot de la même racine que croix, que croisée des chemins) à faire, dont il ne faut pas se laisser détourner. Dieu dit "Voici, je mets devant toi deux chemins, le chemin de
la vie et le chemin de la mort ; choisis le chemin de la vie."

Le chemin de la mort, on y est quasi-automatiquement dessus, on le pratique largement et tout naturellement depuis longtemps, avec les souffrances qui en résultent toujours, pour nous et pour d'autres. Mais Dieu exhorte maintenant à changer de chemin, de mode de vie, de valeurs, de comportement : "Choisis la vie ! Prends ce chemin que j'ouvre maintenant devant toi, vois ton péché, vois la misère de ce qu'est finalement ta vie, vois tes vices et faiblesses face au mal, vois tes offenses, et vois jusqu'à la destinée dramatique qui ne manquera pas de s'imposer à toi si tu ne changes pas de vue, de pensées, si tu ne changes pas de chemin."

C'est en ce sens que Jésus proclama sans ambage : "Je suis LE CHEMIN, ET LA VERITE, ET LA VIE ! Celui qui vient à ma suite ne marchera pas dans les ténèbres. Il aura la lumière de la vie." Et encore : "Nul ne vient au Père que par moi !"

Lui seul peut avoir de telles paroles, car lui seul a payé le prix immense, en blessures, en humiliation, en souffrances, en sueur, en sang, et par quelle mort, le prix qu'exigeait la justice parfaite de Dieu. Car Dieu ne pouvait cesser d'être juste en nous pardonnant.

C'aurait été et ce serait une iniquité, une injustice manifeste, que Dieu pardonne le mal sans le sanctionner, c'est-à-dire sans EXPIATION, sans personne qui supporte à la place de qui lui demande pardon, le prix des fautes : la mort. "Car le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle (qu'il accorde par la foi) en Jésus-Christ." Aussi cette assertion terrible dans la lettre aux Hébreux : "Sans effusion de sang, il n'y a pas de pardon." Parce que "la vie est dans/par le sang." (Lévitique 17).

Ainsi, dans le dessein rédempteur de Dieu, c'est toujours et uniquement le sang qui fait l'expiation, sa présentation, son invocation, la foi en sa valeur expiatoire et propitiatoire, qui satisfait l'implacable justice divine. C'est par là que le croyant sincère, authentique, obtient sans autre mérite de sa part que d'y croire, son pardon, cette GRÂCE insigne miraculeuse préparée et accomplie par le Dieu vivant et vrai.
Mon souhait et ma prière : que vous l'obteniez maintenant si ce n'est encore fait. Soyez béni(e).

Chant à rejoindre : https://www.youtube.com/watch?v=FaFIL8Lz-DM&index=12&list=RDdYtJU4MEDVQ

Prière-guide : http://toucherlalumiere.info.over-blog.com/pages/PRIEREGUIDE_pour_PAIX_avec_DIEU-5123593.html

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 15:58

La crise de la masculinité atteint des extrêmes dont les dépassements ne peuvent être favorables à l'épanouissement des individus (hommes et femmes) et des sociétés - le comportement des uns induisant l'état de santé (sociétal, économique, politique) des autres.
C'est la quantité de prises de médicaments, les arrêts-maladies, les divorces, les désordres psychologiques des enfants ou encore la montée de réactions dont il faudrait bien tenir compte (plutôt que les combattre) qui le prouvent.

C'est au point où ce qu'on appelait mal hier devient bien aujourd'hui ! Le problème c'est qu'il ne suffit pas d'appeler bleu ce qui est rouge pour que DANS LA CONSCIENCE - ET DANS LE CORPS (par somatisation) -, la chose passe aussi facilement.

Et donc pour stabiliser nos vies sur du solide, plutôt qu'à partir de la psychologie - qui sait dire les troubles mais ne sait pas les traiter -, je vous invite à revenir à ce qui reste inégalé en matière de connaissance de l'Homme (de soi, homme ou femme), savoir la Bible, dont on peut douter qu'elle ait été inspirée par Dieu, mais qui reste un support existant, concret et accessible (sur papier ou sur le net), à connaître avant de critiquer.
Voyons donc ce qu'on peut en extraire qui contribue à mieux aider homme ou femme dans la crise qui nous atteint tous.

A - Le livre biblique de La Genèse donne un point de départ explicite du genre humain, nous le montre issu de deux opérations distinctes :
1- La création d'un humain (Adam) à partir du sol, suivi "quelque temps" plus tard de
2- La création d'une femme issue d'un côté du précédent. Il est écrit du premier (Adam) et des deux (ish et isha) que Elohim (Dieux) dit : "Faisons dans notre image, comme notre ressemblance, mâle et femelle lui et eux".

Traduction élémentaire ; Le 1er homme était
a) physiquement un homme, puisque c'est une femme qui est faite à sa suite, mais
b) psychiquement il était masculin et féminin, càd cumulant les attributs de Dieu, que Celui-ci va ensuite distinguer dans et par les deux sexes.
En créant la femme, Dieu crée donc un corps humain distinct, différent, notamment avec un appareil sexuel/génital physique autre et complémentaire de celui de l'homme, insufflant par ailleurs en cette créature son semblable une âme typiquement féminine.

On a vu (ailleurs sur ce blog) que la Bible parle de Dieu comme étant une réalité à la fois UNE ET PLURIELLE, par exemple quand "il dit : Faisons..." Et donc chaque être humain - fait à son image - est originellement UN ET PLURIEL, savoir fait d'un corps et d'une âme (et encore, à la différence des animaux, d'un esprit...).
Ici, après recherche et éclairage divin, j'ai compris comment Dieu nous a faits, avec :
1/ Un corps SEXUÉ, "normalement" fini, déterminé et déterminant de ce qu'on est (qu'on naît) homme ou femme ;
2/ Une âme à l'intérieur (en grec psyché, d'où tous les psy...) qui est, elle, SEXUABLE, càd modelable par l'extérieur : les circonstances plus ou moins fortuites, mais surtout l'éducation - ce qui rend les parents (et autres) responsables du devenir des enfants ;
3/ On parlera plus tard de l'esprit qui, étant plus particulièrement de Dieu, peut être dit BISEXUÉ (masculin/féminin), sur un plan autre que sexuel.

Dès lors on va pouvoir mieux comprendre d'où viennent les problèmes d'identité sexuelle (quand il y en a) et à la suite comment les résoudre... En attendant soyez bénis, et travaillez un peu à réfléchir (par vous-même et avec l'aide de l'Esprit Divin) sur :
Qu'est-ce que l'être humain ? Que suis-je ?
Et notamment : Suis-je réellement, comme dit ce monde, une production aléatoire issue de hasards aveugles et de diverses nécessités ? Ou une créature d'origine divine... image (certes bien défaite, et qui a "simplement" besoin d'être reconstruite, remodelée, régénérée.) de ce que Dieu sait faire de bien, de beau, de merveilleux ?!

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  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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