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26 septembre 2019 4 26 /09 /septembre /2019 08:00

Le livre, le livre !
Le temps est fini où comme Victor Hugo le fit, on pouvait exalter le livre, tant les développements de l'impression mettaient de bonnes et édifiantes connaissances au service de toujours plus de monde.

Aujourd'hui la recette à la mode pour faire des romans best-sellers est connue : une intrigue compliquée ou un décor minimaliste, de la psychologie, une pointe ou pas mal de notions scientifiques, du sexe décrit avec zoom avant et force détails, ou/et du meurtre sans trop compter, de la transgression en forme de nouveauté, une belle facilité à écrire certes, puis de la promo...

¤

L'homme - et la femme ! - n'ont pas fini de transgresser !
Contre cette propension au mal, aux hors-pistes tels qu'initiés par Satan, Jésus a donné sa vie pour nous pardonner et délivrer des conséquences infernales de tels travers.

Mais on ne comprend toujours pas pour autant comment ce monde tourne - pas rond - et va, dans notre propre existence comme parmi les nations, de Charybde en Scylla (de mal en pire).

Et se vouloir marginal, hors-cadre, innovant à tout prix, risque toujours de nous faire tomber - peut-être pour un temps dans le succès, mais toujours dans une fin des plus problématiques. Il suffit de regarder du côté des chanteurs/ses (surtout) des dernières décennies, (aussi parmi les écrivains, les acteurs..) où la débauche, la drogue ou l'alcool, la soumission aux puissances occultes infernales, ne manquent pas ensemble de tuer.

Et il est clair que l'originalité et son intelligence déspiritualisée n'ont pu que conduire Amélie Nothomb - la soumettre plus précisément - à toucher à ce qui ne doit pas l'être... aux vérités divines.

Et donc quand elle en vient à se faire la bouche même de Jésus, pensant et parlant à sa place - de sa place et son point de vue à elle ! -, il est clair qu'elle est en train de glisser grave vers des abîmes de ténèbres qui n'aspirent sans doute qu'à lui faire payer un jour ou une nuit les faveurs et avantages dont elle a pu bénéficier jusque là de la part de certains.

C'est bien ainsi avec le diable, qu'on croit en lui ou pas (il a semble-t-il appris à se moquer ou du moins à ne pas s'offusquer qu'on le nie, du moment qu'il profite un max de cet incognito).

Et donc lisant encore un article (ici) sur le dernier livre de cette égérie de publications et idoles de lecteurs/lectrices, voici mon commentaire (pour quiconque aspire à mieux comprendre les forces et les enjeux qui se frottent et s'affrontent sous nos yeux tournés vers les actualités).

Commentaire :

"Psaume 2 : "Pourquoi ce tumulte parmi les nations, Ces vaines pensées parmi les peuples ? 2
Pourquoi les rois de la terre se soulèvent-ils Et les princes se
liguent-ils avec eux Contre l'Éternel et contre son oint ? - 3 Brisons leurs liens, Délivrons-nous de leurs chaînes ! - 4 Celui qui siège dans les cieux rit, Le Seigneur se moque d'eux. 5 Puis il leur parle dans sa colère, Il les épouvante dans sa fureur : 6 C'est moi qui ai oint mon roi Sur Sion, ma montagne sainte 7Je publierai le décret ; L'Éternel m'a dit : Tu es mon fils ! Je t'ai engendré aujourd'hui.8 Demande-moi et je te donnerai les nations pour héritage, Les extrémités de la terre pour possession ; 9 Tu les briseras avec une verge de fer, Tu les briseras comme le vase d'un potier. 10 Et maintenant, rois, conduisez-vous avec sagesse ! Juges de la terre, recevez instruction !11Servez l'Éternel avec crainte, Et réjouissez-vous avec tremblement. 12 Chérissez le fils, de peur qu'il ne s'irrite, Et que vous ne
périssiez dans votre voie, Car sa colère est prompte à s'enflammer.
Heureux tous ceux qui se confient en lui "

Elle ne sait pas les risques qu'elle prend la midinette avec cette manière aveugle d'avancer !
Elle ne sait pas non plus qui elle sert en écrivant de telles pensées, par un tel mélange anthropomorphique et démoniaque !
Ah, ils ont beau jeu Satan et ses hordes de démons de réussir à faire croire - une croyance parmi d'autres ! - qu'ils n'existent pas ! Pourtant leurs actions sont bien visibles sur les scènes de l'actualité, à égorger dans les rues ou à faire écrire de telles "bêtises".
Il n'est aussi qu'à voir à quoi elle ressemble déjà dans ses habits de mort Amélie. Qu'un démon la pousse à se suicider pour sortir de la scène avec l'aura incomparable d'une grande prêtresse-écri-vaine du matérialisme et de l'impiété, il n'y a sans doute plus beaucoup de pas !"

bonne réflexion, et bonne lecture... de la Bible de préférence ! Si vous saviez tout ce qu'on peut y trouver et recevoir comme sentences vraies, significatives et pragmatiques du Réel !

Commencez par les Proverbes ou les Psaumes par ex. si vous n'êtes pas un familier de ce livre... Sinon les évangiles si vous désirez connaître les vérités sur la vie, les paroles et la mission réelles de Jésus...
Soyez béni-e.

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17 septembre 2019 2 17 /09 /septembre /2019 17:27

Rien ne peut être plus moderne, post-moderne, contemporain, que la solution de Dieu aux problèmes humains, personnels et génériques.

 

Solution qui n'est ni dans une religion, ni dans une idéologie humaniste, ni dans quelques concepts érigés en normes dogmatiques, mais en une personne.


Une personne unique, par sa naissance surnaturelle, par ses bienfaits (sans fin) prodigieux, par son message (toujours) révolutionnaire, par sa mort qui fut le plus grand don jamais fait au genre humain, et par sa résurrection (éternelle) ; nombre de lecteur/lectrice savent déjà que je veux parler de Jésus - le Messie d'Israël et Christ parmi les nations.

 

Rien de plus actuel dans toutes les actualités comme possibilité toujours ouverte de solution aux besoins les plus criants, aux difficultés les plus complexes, dans les pressions, les contraintes, les combats, les fausses libertés, les obsessions, oppressions et autres cas de possession.

 

Rien de plus universel et puissant... Sauf que ce potentiel immense demande, comme pour déclencher l'explosion d'une bombe atomique, le positionnement, le geste, l'appel ou la réponse de la personne concernée.

 

Dans tous les domaines où on pense, parle et agit, ce pas de la part de la personne concernée s'appelle la foi.

LE PRINCIPE UNIVERSEL LE PLUS MÉCONNU !

La foi est ce principe universel dynamique déposé par le Créateur au cœur du vivant qui s'active d'abord en pleine inconscience de sa réalité - le jeune enfant qui se lance pour marcher, puis pour apprendre à nager ou à écouter ce qu'on lui enseigne à l'école...
Puis on avance par la foi de plus en plus en plus en conscience, des risques, des incertitudes, des calculs, des convictions - que ce soit pour monter dans un avion, pour démarrer une entreprise ou se marier, pour faire des recherches scientifiques, pou se faire opérer, pour commercialiser ou acheter un produit, jusque pour manger le pain, la viande ou les légumes trouvés sur les marchés (possiblement toxiques ou mortels)...

Et ainsi, foi actionnant jour après jour, notre part de créature intelligente, libre et responsable, est-elle que nous activions volontairement ce principe qui permet de bouger, de se positionner, d'avancer (ou de freiner) jusque dans la dimension spirituelle du Réel. Savoir jusqu'à croire en Dieu et se mettre à chercher à le connaître afin de lui permettre de toujours plus paraître existant et vivant à notre âme et dans notre quotidien.

 

Aujourd'hui, personne ne peut dire qu'on ne peut pas savoir au sujet de Dieu, de la connaissance de soi ou de la vie (psychique et spirituelle) après la mort (physique, physiologique).


Pour nous la connaissance est partout sur internet, dans les médiathèques, par des enseignements et des témoignages multiples de personnes qui racontent en toute sincérité quelles expériences elles ont faites de la réalité de Dieu ou de l'au-delà.

 

Et parmi tous les moyens facilement accessibles, la Bible tient depuis des siècles la première place avec un nombre de traductions, d'impressions et de lecteurs/lectrices inégalé.

ACTIVER SA FOI POUR LE MEILLEUR

Alors !? Que vous reste-t-il à faire pour devenir un homme, une femme, qui connaisse le pourquoi de sa présence dans ce monde, dans ces circonstances, avec ces facilités et ces difficultés ?
Pour devenir une personne qui trouve la solution à ses problématiques les plus immédiates, et sache de plus dans quelle éternité son existence peut se terminer - de la pire ou de la plus sublime manière possible ?

 

Ce ne devrait pas être la peur qui nous pousse vers Dieu !
Ce devrait être une saine curiosité, une intuition, un désir de connaissance, voire une difficulté qui nous submerge.

 

Dieu est bon, et il répond en ouvrant notre conscience à sa réalité à partir de bien des raisons... pourvu qu'il n'y ait pas en nous de fraude, de duplicité, de faire-semblant... On ne peut le tromper !

 

Nous allons de plus en plus vite vers des temps difficiles, voire terribles, que ce soit au plan sociétal ou au plan individuel.

Et cela aussi parce que quand ça roule cool pour nous, on n'a pas le sentiment d'avoir besoin de Dieu... alors qu'on reste quand même sans cesse en souffrance, en mode insatisfaction, en risque de mourir par un accident ou un autre, et donc de partir dans l'éternité sans savoir dans quel contexte nous allons aboutir (royaume divin ou principauté démonique).

 

Alors n'attendez pas d'être pris de court, d'être sans recul possible pour faire un choix lucide, ne prenez pas le risque de voir votre existence personnelle vous échapper - alors même que votre vie (votre moi, votre âme et votre corps) peut être éternisée par Dieu, pour vivre sans fin ses bienfaits, ce que sera le meilleur de tout ce pour quoi vous et moi aurons eu à subir ici-bas des temps et des choses bien difficiles.

 

Bonne réflexion, bon positionnement, cherchez le meilleur de votre éternité.

 

Article annexe ; Les 5 types de mort

Guide pour prier en vue de connaître Dieu

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14 septembre 2019 6 14 /09 /septembre /2019 09:48

Lien vers un article que je vous invite à découvrir (avant d'en lire ci-dessous mon commentaire) > C’est bon pour la morale, c’est bon, bon

Commentaire :
"
Vue lucide qui devrait la rendre ou la donner à plusieurs. Car c'est un fond de la connaissance de soi que :

1/ ce qu'on reproche aux autres, c'est le plus souvent notre propre problème. Fondement > La Bible, Nouveau Testament, lettre aux Romains (que nous sommes tous !?) ch. 2, vers. 1.

2/ La Loi (ou religion) est "un ministère de mort" (dans la même section du même livre, 2e lettre aux Corinthiens (nous en sommes tous !?) vers. 6 à 9, "un ministre de condamnation". Si l'humanité comprenait ce passage, la face de la terre en serait changée !

3/ autre expression biblique de cette loi fondamentale (universelle, élémentaire, de notre psychologie) : "la Loi (ou religion) produit (ou provoque) la colère" (lettre aux romains que nous... chap. 4, vers. 15).

Ce que les faits prouvent absolument.

Par Loi il faut comprendre TOUTES lois dans ce qu'elles ont d'ordre MORAL, qu'il s'agisse de ce qu'on appelle religion, ou de ce qu'on appelle laïcité (D'ailleurs le "philosophe" Peillon a nettement vu la laïcité comme une religion en devenir...).

La clé donc face à toute loi qui est ou qui se veut morale, se trouve dans la compréhension de : Pourquoi Dieu permet des système religieux (religieux ou athée) ?

La lettre le dit aux Romains qui veulent savoir (ch. 5, v. 20) : "La loi est intervenue pour que l'offense abondât..."
Pourquoi ?

Pour que, notre conscience perso étant endormie ou séquestrée (par exemple par e conditionnement sociétal qui nous a construits), une loi écrite, lisible, extérieure à nous, vienne nous montrer que plus on veut être et se conduire en être moral, plus ce qui est tapi au fond de notre cœur (que la Bible appelle "la loi du péché") monte à la surface, afin que nous ne nous leurrions pas sur nous-même !

Et tout ça est bon... si on est intègre de cœur, désireux de se voir tel qu'on est véritablement. Sinon, on sait (normalement) ce que Jésus a dit les religieux...

Mais pour les intègres qui veulent en sortir, l'apôtre Paul (un religieux passé à la Grâce de Dieu) a observé, analysé et écrit le descriptif magnifique (communiqué aux Romains, ch. 7, vers. 14 à 25) :

"Nous savons, en effet, que la loi est spirituelle ; mais moi, je suis charnel, vendu au péché. Car je ne sais pas ce que je fais : je ne fais point ce que je veux, et je fais ce que je hais. Or, si je fais ce que je ne veux pas, je reconnais par là que la loi est bonne. Et maintenant ce n'est plus moi qui le fais, mais c'est le péché qui habite en moi. Ce qui est bon, je le sais, n'habite pas en moi, c'est-à-dire dans ma chair : j'ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien. Car je ne fais pas le bien que je veux, et je fais le mal que je ne veux pas. Et si je fais ce que je ne veux pas, ce n'est plus moi qui le fais, c'est le péché qui habite en moi. Je trouve donc en moi cette loi : quand je veux faire le bien, le mal est attaché à moi. Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l'homme intérieur ;mais je vois dans mes membres une autre loi, qui lutte contre la loi de mon entendement, et qui me rend captif de la loi du péché, qui est dans mes membres. Misérable que je suis ! Qui me délivrera du corps de cette mort ?...
Grâces soient rendues à Dieu par Jésus Christ notre Seigneur !...
Ainsi donc, moi-même, je suis par l'entendement esclave de la loi de Dieu, et je suis par la chair esclave de la loi du péché.".

Voilà tout le sens de la religion, de notre condition problématique dominé par les forces obscures qui nous habitent (d'autant on n'a pas ou plus de fondement du bien en nous), et de la Bonne nouvelle de la Grâce qu'apporte Jésus à quiconque aspire à (re)trouver son identité véritable, primordiale, de créature de Dieu.

Bref un article que j'apprécie au point de le mettre en lien sur mon blog... avec ma réponse. Merci Franck C."

Cher lecteur, lectrice, soyez béni-e.

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11 septembre 2019 3 11 /09 /septembre /2019 19:38

Présent et avenir : Savoir ce qui peut être su d'essentiel

> Problèmes et solution <

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7 septembre 2019 6 07 /09 /septembre /2019 20:34

Pour croire en Dieu en Occident, il faut se secouer du conditionnement matérialiste dans lequel on baigne de la maternelle à l'université... et de là le restant de notre existence appauvrie par cette réduction du Réel.

Conditionnement parce que naturellement on ingurgite ce qu'on nous dit, sans avoir la capacité ou la curiosité de vérifier si c'est vrai ou erreur. On peut ainsi avaler des couleuvres. Ou comme dit le poète
"Mon âme est malade,
Elle a mangé trop de salades."

Et donc on ne reçoit la plupart du temps pas pour fondement d'existence que Dieu existe et qu'il nous aime. On peut même se moquer des croyants (rétrogrades, réactionnaires, ennemis du progrès...) jusqu'à l'article de la mort, et partir dans les immensités de l'au-delà sans la moindre idée de ce qu'il en est ou de ce qu'on peut en connaître.

Cependant oui, Dieu nous aime, car l'amour est sa nature même. Il ne peut s'arrêter d'aimer !
C'est en ce sens que Jésus dit un jour que "Dieu fait lever son soleil sur les méchants et sur les bons, et il fait pleuvoir sur les justes et sur les injustes."

Mais que sentez-vous, goûtez-vous, expérimentez-vous en conscience de cet amour ? Peut-être RIEN !

DEUX MANIERES DONT DIEU NOUS AIME

Il n'y a pas longtemps, ce Dieu magnifique dans sa relation possible avec nous m'a dit de quelles manières il nous aime : 

Je vous aime avec bonheur, sinon je vous aime avec souffrance.

Il nous aime avec bonheur quand on est entré dans une relation vivante, d'esprit à Esprit , avec lui, et qu'on s'attache à marcher à la suite de Jésus comme font des disciples.
Rien de religieux là-dedans, mais c'est vivre son quotidien avec le sérieux d'une relation qu'on respecte... comme il en est - ou devrait en être - dans un mariage.

Sinon Dieu nous aime avec souffrance.
En souffrant de nous voir prendre de mauvaises routes, scabreuses, dangereuses, illusoires, insatisfaisantes, qui nous enferment dans le mal-vivre, dans des malaises, de mauvaises perceptions, des liens problématiques, dans la mort spirituelle.
Des conduites qui peuvent nous conduire dans des espaces où fraient (en plus de personnes maléfiques, toxiques) les mauvais esprits ou des démons, et prématurément jusqu'à une porte de la mort physique.

DIEU SOUFFRE

Dieu souffre de voir ce gâchis de nos vies, ce gâchis du beau projet de bonheur qu'il avait conçu pour chacun de nous, et dont on ne se soucie pas, qu'on ignore sans chercher prioritairement de solutions de son côté - because le conditionnement laïco-athée...
Or "je connais les projets que j'ai formés sur vous, dit l'Éternel, projets de paix et non de malheur, afin de vous donner un avenir et de l'espérance."

Souffrance semblable à celle d'un père, d'une mère, qui voit ses enfants  commencer à avoir de mauvaises relations, et progressivement s'enfoncer dans la marginalité où dominent la drogue ou l'alcool, les mauvaises fêtes, la fornication et autres comportements qui méprisent le corps et détruisent les âmes.

C'est qu'on a été créés libres - pour de vrai ! - et Dieu, s'il met sur nos mauvaises voies des obstacles, des signes, des alertes pour nous détourner, ne peut bientôt que nous laisser aller au bout de nos égarements, le coeur lourd et attendant qu'on en puisse plus. Qu'on arrête de rebondir d'une mauvaise expérience à une autre, de dix projets échoués à un onzième...

C'est que tout ce qui nous attire hors du bien selon Dieu est parsemé de souffrances - qui en général vont croissantes. Et Dieu souffre avec nous dans le secret comme le père de la parabole qui attend le retour à la maison de son fils parti dissiper toutes ses forces dans des libertés qu'il croyait être LA liberté.
Mais elles n'étaient que des leurres, des pièges, des chimères, des chemins ayant pour seule issue le mal qui s'accroit et les souffrances qui sont, tels des jugements, "le retour sur comportement". (la parabole de ce fils).

Dieu nous suit et compatît à ce que nous nous imposons de vivre, perdant d'autant plus notre liberté que nous en prenons.

La preuve de son intérêt et compassion pour nous est qu'il s'est fait homme pour prendre sur lui, à notre place, la somme de toutes ces souffrances liées à nos vies brimées ou débridées véçues loin de lui et de ce qu'est le Bien, le Beau, le Bon, le Juste, selon lui.

Tel est le sens de la mort en croix de Jésus, les membres et la tête percés de clous et d'épines, le dos labouré par 39 coups de fouet terribles, immobilisé, paralysé, ankylosé, le souffle coupé, pendant des heures dans un supplice inimaginable...
Voilà jusqu'où Dieu nous a aimés avec souffrance : "Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

Croyez et vous vivrez de la vie véritable. D'une vie de résurrection qui peut se recevoir déjà de ce côté-ci du Réel, s'expérimenter dans l'amour de Dieu nous aimant... avec bonheur.

Soyez béni-e.

Ici > guide pour une prière qui vous réconcilie avec Dieu maintenant et pour l'éternité.

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15 juillet 2019 1 15 /07 /juillet /2019 08:06

Pour être heureux on n'a pas besoin de tout ce qu'on a, et encore moins de tout ce qu'on voudrait encore avoir.
On n'a pas besoin non plus de vivre caché (quoique que le retrait soit préférable à trop se montrer)...

 

SAVOIR N'EST PAS CONNAÎTRE
On peut accumuler du savoir, des savoirs, sans avoir l'intelligence de connaître comme il faut connaître. C'est-à-dire sans avoir le bon ou le meilleur rapport à ce qu'on a appris, à ce qui est.

 

C'est en ce sens que Montaigne, mûri par sa découverte de l’Évangile et devenu de débauché un vrai chrétien (non religieux), écrit qu'il est plus important de former chez les élèves "des têtes bien faites plutôt que des têtes bien pleines".

 

Ainsi on peut savoir plein de choses - comme avoir plein de choses -, et ne pas obtenir le gain que devrait procurer une vraie connaissance - ou une juste propriété -, c'est-à-dire le plaisir du connaître, la compréhension véritable, le sens des réalités selon leurs justes relations.

 

Ainsi des enfants gavés de "culture" (savoirs académiques trop tôt amenés, sans préparation suffisante à l'éveil (curiosité) personnel), comme on engrais-se des oies ou une terre épuisée, ne peuvent trouver ni intérêt, ni enthousiasme, ni émerveillement dans le savoir, alors que ce serait possible.
De fait on les alourdit là où il devrait être question de les dégager de l'aliénation générationnelle (adamique)

 

TROUVER LA TROISIÈME VOIE
Le merveilleux est recouvert par la poussière des habitudes et des routines, la pesanteur envahit les âmes qui n'ont plus pour s'en sortir que des fuites dans des pensées de suicide, des distractions source d'une addiction ou d'une autre... ou, par la grâce de Dieu, de trouver en Jésus la seule porte de la véritable liberté.

Il s'agit du retour ou de l'entrée dans le sens par la connaissance, par la vérité de notre condition empreinte de misère et d'insuffisances et conjointement la connaissance de la manière merveilleuse dont Jésus a donné sa vie pour nous sortir de cette galère dont l’aboutissement n'est que la mort.  Entre deux, la place responsable de notre foi...

 

LA BIBLE, SOURCE INTARISSABLE DU SAVOIR ET DE LA CONNAISSANCE
En réalité le mot connaître contient un sens de partage harmonieux entre ce qu'on considère et ce que nous sommes. C'est ainsi que la Bible emploie le verbe connaître s'agissant de la relation intime entre Adam et Eve : Connaître donne de la vie !

En 1Corinthiens 8:2 on peut lire : "Si quelqu’un croit savoir quelque chose, il n’a pas encore connu comme il faut connaître."

 

En Éphésiens 1:9, l'écrivain dit agir pour faire "connaître le mystère de la volonté de Dieu*, selon le bienveillant dessein qu’il avait formé en lui-même, et connaître l’amour de Christ, qui surpasse toute connaissance".

 

Projet ambitieux - déraisonnable !? - de Dieu, qui vise à faire de nous (hommes et femmes qui nous soucions bien peu et de lui et de notre âme), des "petits Christ" : C'est ainsi que les habitants anciens d'Antioche donnèrent aux premiers disciples de Jésus ce nom qui est devenu "chrétien".

 

AVOIR INTIMITÉ AVEC DIEU
Et en Philippiens 3:10, il est dit que l’Évangile (cette Bonne Nouvelle qu'on peut DÉJÀ, dès ici-bas, entrer dans une vraie relation avec le Dieu qui a créé les cieux et la terre) est annoncé "afin de connaître Christ, et la puissance de sa résurrection..."


Nous y voilà donc, dans cette connaissance de Dieu qui est intimité (amoureuse, comme sexuelle) avec lui, où Jésus-Christ vient jusqu'à se donner en nous par son Esprit qui est vie éternelle : Car Dieu a tant aimé le genre humain qu'il a livré à la mort Jésus son fils sans pareil, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas dans le feu et le soufre de l'étang du jugement dernier (l'enfer), mais qu'il ait la vie éternelle de Dieu unie à lui/elle (à l'âme que nous sommes essentiellement) afin de vivre son éternité bienheureuse exempte de tout mal (le Paradis).
Et en attendant, et en croyant, le présent devient déjà une mine de découvertes toutes nouvelles - du Réel tel qu'il est, de Dieu et de nous-même - et encore un chantier de construction de notre personnalité la plus véritable, dont les potentialités peuvent au mieux se libérer. ..

 

Ainsi nous appartient-il à chacun-e de choisir dès maintenant quelle destinée nous allons nous accorder à nous-même, selon qu'on voudra croire ou pas dans les termes de l'accord (l'alliance) que Dieu nous tend de son Ciel infini et du haut de la croix.

 

Et avec une multitude de chrétiens authentiques disséminés par toute la terre, je peux dire "Et nous, nous avons connu l'amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour ; et celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui."

 

Bonne quête de vie. Bon choix. Bonne suite...

 

un chant ou un autre

 

(guide de prière pour vous rapprocher ou réconcilier avec Dieu).

 

________________________________
* mystère qui est de nous sauver de la perdition éternelle de notre âme et nous aider déjà maintenant à mieux vivre cette existence en recevant l'Esprit de Dieu en nous. Tel est le coeur de l’Évangile, qui n'apporta pas une ou des religions (de plus) mais la clé de notre relation perdue avec le Créateur.

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12 juillet 2019 5 12 /07 /juillet /2019 18:42

Aussi préfiguratif, deux ans avant la 1ère guerre mondiale.

L'état d'entropie (déstructuration, décomposition, mutation incontrôlée) croissante des sociétés et relations humaines, ne doit pas nous empêcher, pour le temps qu'il nous reste à vivre dans ce monde, de mettre nos mains à la pâte de sa finalité.

Il s'agit au final de parvenir à une conscience du Réel élargie, qui va de la conscience basique initiale de soi à celle du non-soi, savoir celle des autres, de nos environnements et essentiellement de Dieu - le vrai ! qui est à la fois Créateur et Rédempteur. 

Voici encore écho de sa voix attentive aux perdus cosmiques et spirituels et aliénés psychiques que nous sommes tous par condition naturelle (générique et ajouts personnels).

PENSÉE DIVINE GÉNÉRALE

Dans sa première partie (Ancien Testament ou Tanakh initialement destiné au peuple juif), la Bible rapporte et indique à quiconque (peuples de tous les temps et individus) ce qu'il faudrait faire - et comment cela n'est pas fait  !- pour parvenir à entrer dans une relation rétablie et durable (qu'on a tous perdue) avec Dieu. 
On parle ici de la finalité recherchée par le Divin, de ré-unir en lui le genre humain par la voie système qu'on appelle religion.

L'histoire entière rapporte l'échec de ce moyen. Moyen cependant légitime de la part d'un Dieu saint, parfait en lui-même, voire agréable à pratiquer, mais surtout impuissant pour changer nos cœurs (notre nature adamique, malencontreusement marquée par une dynamique interne maléfique appelée "le mal" ou "le péché").

Dieu laissa en effet environ 15 siècles à la descendance d'Abraham,d' Isaac et de Jacob pour qu'elle tente de suivre cette Loi (ou Torah) et surtout - finalité de toute religion, que Dieu permet à cette fin - pour réaliser avec contrition, voire avec larmes, que cela n'est pas possible en l'état.
C'est à cette sincérité navrée et navrante que Dieu attend que tous croyants parviennent. Car ce n'est que de là qu'une solution victorieuse peut apparaître... de sa part. 

C'est ainsi que l'histoire de la terre n'est très largement qu'expressions lamentables (tragiques, conflictuelles, horribles, douloureuses, de cet état d'échec sans cesse réitéré de la part des générations d'Israël et plus largement des descendances d'Abra(ha)m et autres goïm (étrangers à cette descendance sémitique).

D'UN SYSTÈME À UNE PERSONNE

Et donc, parce que quand même un petit reste de juifs s'attendent (il y a un peu plus de 2  000 ans) à la venue de la solution divine - un "Schilo", un "mashiah (Messie) promis comme libérateur, Dieu après 400 ans de silence lance la seconde partie de son plan de rédemption : C'est l'apparition de la personne de Jésus.
En substance, désormais Dieu dit que l'approche de la divinité par quelques pratiques religieuses que ce soit - toujours marquées d'infidélité, d'hypocrisie, de stagnation, d'irritation ou de frustration) n'aura jamais lieu. Que les croyances et efforts religieux avérés impuissants doivent maintenant être changés en une foi tout autre, où l'on ne pas plus avoir à chercher à gravir la montagne (inviolable) de Dieu, mais simplement croire que quelqu'un - Jésus, le Messie juif, le Christ des nations) l'a gravie avec succès pour nous tous.
Cela s'appelle Évangile (du grec ancien evangelion qui signifie Bonne Nouvelle - Gospel en anglais), formant pour sa transmission la seconde partie de la Bible : le Nouveau Testament.

C'est ainsi que l'état du cœur des hommes, femmes et enfants commença à changer sous l'effet de la foi placée en Jésus comme Sauveur et libérateur du mal.
Malgré que des hommes trafiquèrent avec l’Évangile au point de créer des "religions chrétiennes" - un oxymore -, des nations entières se formèrent sur les fondements évangéliques, d'abord après la chute de l'Empire romain (IVe siècle), et plus tard par le renouveau que fut le réveil spirituel initié par le moine Martin Luther pour désenliser de la religiosité résurgente (au XVIe siècle). 

MAIS L'HUMAIN PEUT ENCORE ÊTRE RELIGIEUX ET TERRIBLE - USURPATEUR

C'est un des risques de la liberté dont Dieu nous apourvu.
Ainsi, dès le XVIIIe siècle quelques antireligieux (dont Voltaire n'est pas le moindre, non sans raison mais de bien mauvaise manière) entreprirent de jeter (dénoncer) les eaux sales, agitées et sanglantes ecclésiales... jusqu'à progressivement occulter parmi toute l'Europe la pensée de Dieu (dans la mesure où les trahisons des hommes l'obligent). 

D'où naquit l'humanisme, où l'on prend les valeurs, les bonnes choses, les bénédictions héritées issues de la foi des ancêtres, tout en ne voulant pas de Celui qui les dispensent...
Un ersatz, un placebo même, qui ne peut durer (tromper son monde sur la justesse de son point de vue) qu'un temps.

C'est ainsi que comme l'institution ecclésiale dominante (catholique) fut jugée pour ses déviances et intrigues de manière sévère à partir de 1789 (notamment par des expropriations massives de biens et autres assassinats de religieux), l'humanisme va être jugé à son tour.
(Mal) habité par un concept de laïcité tôt dévié du bien-fondé de son origine), l'humanisme va vite laisser voir le cœur de ses principaux leaders (agitateurs), se mutant en socialisme, une idéologie qui n'est pas étrangère à la pensée de Marx et Hegel fondée sur la lutte entre humains.  
La virulence de la doctrine éclate fin du XIXe et début du XXe siècle, avec un combat politique qui emporte la "séparation de l’Église et de l’État", une formule inappropriée (qui nomme Église ce qui n'en est pas la plus juste expression) qui n'est en fait que la prise du pouvoir politique français par des athées (ou athées et croyants affiliés à quelque secte occulte).

On est en 1905. Jean-Jaurès, passionné par la force que représente le pouvoir politique autant qu'il l'est au plus profond par sa foi vivante au Christ est amené à lâché cette dernière : l'amalgame n'est pas tenable, il apostasie... et il est assassiné (pour cette trahison spirituelle ? car comment vouloir la paix sans son divin Prince !?) et la France prise d'assaut par ceux qui veut son bonheur et des libertés sans le secours de Dieu est envahit : 1ère guerre qui devient "mondiale".

L'humanisme a été là une tentative d'impérialisme à partir du nationalisme (orgueilleux) allemand.
A quelque distance (géographique et temporelle) de là, en Russie Lénine s'empare de la même idéologie commençant son action marxiste révolutionnaire avec le Parti ouvrier social-démocrate.
Mais très vite, pour mieux soumettre les hommes, il faut les collectiviser de force, les tenir par la dépendance en l’État propriétaire de tout. Une expérience athée qui tourne à une nouvelle forme de l'esclavage, ou d'un totalitarisme progressivement terriblement meurtrier et horrible - démoniaque pour tout dire, comme c'est avec Hitler plus à l'Ouest...

XXe siècle, LE PLUS MEURTRIER DE TOUTE L'HISTOIRE

Faute de revenir à Dieu en tant que nation, en 1918 la France n'a que le temps de se donner une nouvelle jeunesse qui va devenir de "la chair à canon".
La liste des dizaines de millions de morts s'allongent.

Après 1945, le bilan d'une politique menée en laissant délibérément Dieu et la foi en retrait de nos affaires, n'ai pas mieux fait en matière de justice sociale que ce qui était reproché aux religieux tenant les rênes du pouvoir : désormais les morts se comptent par dizaines de millions !

Alors que les survivants de l'Europe disloquée cherchent des termes de paix - toujours sans revenir à Dieu, que pourtant ils ont ô combien invoqué au cours des hostilités ! -, en Chine l'humanisme collectiviste trouve en Mao Tsé-Toung un nouvel outil bien disposé pour imposer l'unité des hommes sans l'amour (de Christ) qui serait nécessaire, donc par les armes et toutes sortes de répression et de meurtres.

C'est que pas plus les valeurs chrétiennes qu'on veut appliquer humainement sans Christ, que les religions qui poursuivent le même but d'unir et de faire grandir une unité par une religion, n'ont de force pour le bien.

NOUVELLE STRATÉGIE... OU TRAGÉDIE ?

Ne faisons plus la guerre mais faisons l'amour, proposent - et s'illusionnent - les jeunesses occidentales qui fleurissent malgré tout des guerres.
Les années 60 avec le pic de Mai 68 sont ces nouvelles années folles qui avaient suivies l'armistice de 18.

Mais ce débridement des mœurs va s'avérait en moins de trois générations une véritable bombe à retardement... comme on a appris à en fabriquer, des nucléaires, par ailleurs.
Car les plaisirs immédiats obtenus par cette prétendue libération des corps (féminin surtout) vont faire apparaître de plus en plus de grossesses non désirées, toute une progéniture naturelle, adultérine, voire née d'inceste ou d'acte pédophile.

La science comme l'art et les réflexions philosophiques impies avancent sans frein, apportant effectivement au fils des ans un confort matériel heureux à surabondant ; le cubisme et autres arts abstraits et musiques déjantées jusqu'aux confessions des satanistes ; l'existentialisme qui confesse de son côté l'échec de la compréhension et ouvre la voie à la désespérance suicidaire ; la subjectivité va prendre le dessus à la place du sens : les opinions - même des enfants - sont érigés en vérités objectives.

Il résulte de toutes ces forces développées sans schéma directeur, dans la quête d'un développement de soi qu'on prend pour la désaliénation qui nous est nécessaire, des productions technologiques qui nous étouffent, des relations obligées de toutes sortes de plus en plus difficiles, éprouvantes, dégradées, conflictuelles. Et on n'est qu'au début de la fin...

On crée des concepts artificieux qui vont s'avérer dramatiques, toujours plus mortifères et meurtriers.
On confond progrès (calculés, mûris, bénéfiques) et progression (réactive, obstiné, aléatoire, où le changement importe plus que ce qui va effectivement en résulter (ce qu'on appelle progressisme).

Bref, on a construit un Titanic aquatique (1912), puis des Titanic sociétaux, "culturels", qu'on veut maintenant unifier par le calcul mental humain, toujours sans Dieu.
On navigue dans la nuit, dans l'éclairage - et moins encore - insuffisant des lumières du XVIIIe (siècle), et de très gros icebergs se promènent à la surface de notre monde, qui ne veulent certainement pas se dérouter pour laisser l'avantage à Lord Humanisme-social-capital, à Dame Républicaine laïque.

DES PROPHÉTIES POUR REPÈRES

La Bible semble montrer que l'Amérique va être mise complétement out dans la préparation du sprint final pour l'hégémonie planétaire.  Catastrophe naturelle énorme ou cataclysme par une attaque ou riposte nucléaire qui va mettre le géant au sol !?...
Toujours est-il que la Bible fait référence à un Empire romain reconstitué - en tout cas géographiquement -Christ Sauveur, c'est-à-dire dans toute la vulnérabilité qui a déjà permis plus d'une fois à Satan et ses légions d'anghes déchus et dépravés de s'imposer aux créatures intelligentes mais pas très futées (affutées) que nous sommes de manière naturelle.

RETOUR AUX SOURCES

Là où l'eau n'a pas encore été polluées.
Avec un rappel à la loi divine - comme base de la connaissance du bien et du mal et moyen de que nous nous voyons coupables devant Dieu par plus d'un acte, d'une parole ou d'une pensée ;
Et le rappel que Dieu est compatissant à la vue de nos faillites, de notre imbécilité, de nos illusions, de notre mégalomanie, de nos déboires et souffrances..., tenant encore en réserve pour nous sa Grâce, le pardon de nos fautes (que notre conscience connaît bien ou que l'Esprit de Dieu nous rappelle maintenant) et le don de son Esprit pour nous changer et transmettre sa vie éternelle même.
Et cela consiste à nous faire naître une nouvelle fois, à une compréhension et à une vie tout autre ancrée dans le Ciel spirituel (lire Jean chap. 1, vers. 12 et 13 et chap. 3.1... ).

Dans 1Corinthiens 15. 33 on peut lire : "Ne vous y trompez pas : les mauvaises compagnies corrompent les bonnes mœurs.34 Revenez à vous-mêmes, comme il est convenable, et ne péchez point ; car quelques-uns (parmi les dits-chrétiens ou autres croyants) ne connaissent pas Dieu, je le dis à votre honte." Lire encore Luc 15, 10,24.

Ce qui arrive dans les rues (grèves, manifs, attentats, vagues de violence...) et encore dans les campagnes au milieu des agriculteurs, n'est-ce pas aussi des signes d'un temps mauvais comme dit le berger-prophète Amos ? chap. 5, vers.15 : "Haïssez le mal et aimez le bien, Faites régner à la porte la justice ; Et peut-être l'Éternel, le Dieu des armées, aura pitié Des restes de Joseph.16 C'est pourquoi ainsi parle l'Éternel, le Dieu des armées, le Seigneur ; Dans toutes les places on se lamentera, Dans toutes les rues on dira : Hélas ! hélas ! On appellera le laboureur au deuil, Et aux lamentations ceux qui disent des complaintes."

Malgré leur ancienneté les Écritures venues de Dieu n'ont pas vieillies et peuvent encore parler à quiconque ouvre son oreille pour connaître ce qu'est véritablement ce monde que nous vivons, et qui est le Dieu véritable encore capable de sauver et protéger ceux qui se confient dans son nom rédempteur : Jésus, Yeshoua en hébreu d'origine, ce qui signifie "Dieu sauve". (Matthieu 1.21).

Le Titanic est en train de se casser en deux. Dans un soubresaut, pendant 3 ans et 1/2 on va croire avoir trouvé la solution pour une paix durable entre les peuples - notamment entre Israël et les pays arabes -. Mais les accords ne tiendront pas. Alors une ruine soudaine arrivera sur le monde...

Jésus a parlé. Sans qu'il ait rien écrit lui-même ses disciples mus par l'Esprit de Dieu nous ont rapporté ses paroles essentielles et donné la Bible. L'internet même participe de cette ouvre de salut de nos âmes, de VOTRE âme comme de la mienne.

Allez-vous rester indécis-e, seulement soumis-e à la mollesse générale, aux sur-informations endormantes et à la grande boucherie qui vient ? Ou bien dès maintenant réagissez-vous, cherchez-vous le Dieu vivant - qui fait partie du domaine de ce qui nous est connaissable ?

Soyez béni-e, et sauvé-e.

Mon secours est en toi Impact

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11 juillet 2019 4 11 /07 /juillet /2019 19:42

Avez-vous déjà suffisamment aperçu que nous sommes,
bien plus qu'un corps avec un cerveau,
une âme (aux attributs psychiques subjectifs), voire un esprit (dont l'objectivité écoutée éclaire notre conscience comme nos choix) ?

Mal à avancer !? À comprendre ce qui vous arrive, ce qu'on vit ; à se défaire d'une situation problématique... Allez vers les psaumes !
Une solution aux effets parfois bien surprenants, car Dieu parle, et la Bible est un recueil de Ses Paroles qui peuvent avoir du sens et de l'effet pour n'importe qui d'entre nous, à n'importe quelle époque ou moment de notre existence.

Ainsi on trouve parmi les psaumes des paroles qui nous correspondent, qui peuvent devenir notre prière, être une amorce pour que nous apprenions à mieux nous connaître, à parler à Dieu, à entrer dans une relation de confiance avec lui.
Et cela dans la foi qu'il nous connaît déjà et qu'il nous entend - et même qu'il nous attend. Qu'on a du prix à ses yeux, malgré bien des égarements dont il désire nous libérer.

Alors commencez si vous ne l'avez jamais fait : Parlez au grand Dieu créateur de l'univers ! Dans cette idée modeste et audacieuse à la fois, que si nous le cherchons, si nous cherchons ce qui nous sépare de nous, il envoie sa lumière et se laisse trouver par nous.

Il suffit pour lire ou écouter (en cliquant ensuite sur la gauche) de cliquer sur tel ou tel nombre choisi.

PSAUMES SUR LA CONNAISSANCE DE SOI
8 - 39 - 139 - 144

PSAUMES EN VUE D'UN RECOURS A DIEU - TRISTESSE, DÉCONVENUE...
Psaumes 3 - 4 - 7 - 9 - 10 - 12 - 17 - 25 - 28 - 31 - 39 - 42 - 43 - 44 - 51 - 54 - 55 - 57 - 60 - 70 à 74 - 77 - 79 - 83 - 85 - 86 - 120 - 123 - 129 - 131 - 137 - 141 - 147

SORT DES MÉCHANTS - AVERTISSEMENTS
Psaumes 2 - 4 - 14 - 36 - 39 - 51 à 54 - 64 - 73 à 82 - 94 - 109 - 140

DEMANDE DE PARDON
32 - 38 - 51 -

PSAUMES ANNONÇANT JÉSUS LE MESSIE ET CHRIST SAUVEUR
2 - 8 - 16 - 22 - 24 - 40 - 41 - 45 - 68 - 69 - 71 - 72 - 89 - 102 - 110 - 118

DÉSOLATION
6 - 13 - 18 - 22 - 28 - 38 - 59 - 69 - 88 - 102 - 109 - 144

JOIE - CONFIANCE - RELÈVEMENT
1 - 16 - 18 - 23 - 25 à 28 - 30 - 32 - 37 - 42 - 43 - 47 - 56 - 61 - 62 - 63 - 73 - 81 - 91 - 107 -114 - 116 - 119 - 121 - 124 - 133 - 140 - 145 à 147 - 149

ADMIRATION DES ŒUVRES DE DIEU
8 - 9 - 29 - 65 - 68 - 74

LOUANGE À DIEU
5 - 8 - 9 - 15 - 19 - 20 - 21 - 24 - 29 - 32 - 33 - 36 - 40 - 45 - 47 - 48 - 50 - 64 à 68 - 72 - 75 - 78 - 80 - 84 - 87 - 89 à 101 - 103 à 108 - 110 - 112 à 119 - 125 à 129 - 134 - 135 - 136 -138 - 139 - 144 à 150

Soyez encouragé-e et béni-e pour trouver Dieu en sa grâce

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4 juillet 2019 4 04 /07 /juillet /2019 17:00

Merci de participer à diffuser vers les intéressés si vous le pouvez

Faut-il que nous soyons indécis, que la médecine ne sache pas mieux qu'existe dans notre vivant une composante majeure distincte qui s'appelle l'âme (ou psychisme, du grec psuché), et que des parents croyants ne secourent pas mieux leur fils (ou époux) par leur intervention !
Mais que cela ne soit pas une fatalité qui laisse impuissant devant l'adversité.

Car on peut heureusement pallier à ce manque terrible, cruel, sociétal, vis-à-vis de la lumière de l’Évangile, par de la connaissance et en accueillant l'amour de la vérité nous concernant et concernant Christ.

FAIRE PARLER LA BIBLE

En ouvrant la Bible, on peut lire ce fait d'actualité d'alors rapporté par le médecin grec Luc (chap. 13) : "En ce même temps, quelques personnes qui se trouvaient là racontaient à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec celui de leurs sacrifices. Il leur répondit : "Croyez-vous que ces Galiléens fussent de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont souffert de la sorte ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. Ou bien, ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuées, croyez-vous qu'elles fussent plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également."

 Le fondement de notre condition est que nous sommes tous des "pécheurs", des "pécheresses", ce qui n'est guère flatteur nous l'admettons bien volontiers. Cela signifie étymologiquement des gens qui manquons régulièrement le but du bien. Pécher, mal faire (dire, penser), c'est toujours ne pas faire ce qui est bien (bien dont Jésus a dit que l'amour de Dieu déversé dans nos cœurs est la clé).

Et donc laissons-nous un peu remettre à notre place, à notre plus juste hauteur, car il vaut mieux être abaissés par une parole biblique plutôt que de jouer les arrogants. Selon que la Bonne Nouvelle de l'attitude de Dieu en face des pécheurs, c'est qu'il fait grâce aux humbles, alors qu'il résiste aux orgueilleux.
Et donc, voilà à quoi contribue, dans son état, indirectement mais combien activement, Vincent Lambert - l'épreuve étant globalement ce qui révèle le mieux ce qu'est le vrai fond de nos cœurs.

LA FOI À METTRE EN PRATIQUE

Alors maintenant soyons pragmatiques. C'est-à-dire devenons spirituels. Comprenons que les accidents graves ne nous arrivent jamais par hasard ! J'en ai connu un limite, et j'ai appris la causalité sous-jacente qui existe là (comme partout ailleurs dans l'univers).

Donc, on doit admettre, pour cet accident tragique, qu'il y a quelque part au moins une faute caractérisée commise par Vincent, dont l'aboutissement fut ce qu'il supporte encore... et pourrait supporter encore au delà de sa mort physiologique, tout ne finissant assurément pas par un encéphalogramme plat, le refroidissement du corps étant l'expression causale de la sortie finale et migration de l'âme (quand le lien entre les deux corps, physique et psychique, est rompu).

La foi chrétienne n'est pas prise de court dans tous les cas, puisque nous pouvons prier sous ces diverses formes pour le pardon des péchés (dans la mesure où nous savons et avons quelque prise de conscience de ces vérités spirituelles, avançant humblement, avec contrition et/ou compassion pour qui en a besoin).

Dans l'idéal ici, il conviendrait que les parents ou l'épouse parlent à Vincent qui, fort probablement, entend tout ce qui se dit, puisque le réceptacle des sons (des images, etc...) c'est l'âme. Lui disent qu'il a à demander (intérieurement) pardon à Dieu pour ce qu'il a fait lui-même de mal. En demandant à Dieu de ramener au plan de sa conscience ce qu'il peut avoir oublié et doit être à confesser...
Pour l'avoir fait récemment avec une tante qui ne bougeait plus, je l'ai vu, par le mouvement de sa mâchoire inférieure se mettre à parler à Dieu, répétant après moi des paroles de repentance et d'abandon à Dieu pour être reçue dans son Royaume.
Après de longues semaines de stagnation, elle partit moins de deux jours après. La Bible parle de ces cas de rédemption in-extremis, comme ce fut pour un des deux brigands crucifiés à côté de Jésus, qui fut ainsi sauvé par pure grâce, au dernier moment, par sa foi).

Et quelqu'un peut-être pourra avoir à demander pardon à Vincent, ce qui pourra libérer l'un(e) et l'autre (le pardon demandé et accordé est une puissance qui libère).

VENIR AU BÉNÉFICE DU SACRIFICE DE JÉSUS

Car pourquoi Jésus est-il mort, si ce n'est pour que les pécheurs et pécheresses puissent être libérés et mis en paix avec Dieu par le pardon qu'il désire toujours accorder aux âmes repentantes ?

En témoigne aussi l'épisode fameux de la femme adultère (Évangile selon Jean, ch. 8) ;
ce que dit aussi cette parole du même disciple (ch. 3) : "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises."

Dans la Bible, on voit encore la compassion de quatre amis qui font descendre devant Jésus un grabataire sur son lit. A la vue de la foi de ces amis, Jésus dit à l'homme : "Mon enfant, tes péchés sont pardonnés.
Enfin, les apôtres Paul et Silas dirent au geôlier désespéré de la prison de la ville grecque de Philippes : "
 Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille."

Et ne le ferait-il pas avec Vincent si une vraie foi de ses familiers dans la vertu de la grâce christique est mise en œuvre ? Dieu lit au cœur : la croyance superstitieuse ou la foi mal placée ne procure que des déconvenues. Mais la foi au Christ Jésus mort pour nos péchés et ressuscité sauve !
Et il s'agit maintenant de libérer Vincent du fardeau de ses fautes (voire d'autres, antérieures) pour le laisser rencontrer celui qui veut réellement maintenant devenir son Dieu.

Alors, parents ou amis croyants qui pouvez approcher Vincent, soyez, devenez de vrais intercesseurs afin que la gloire de Dieu, visible ou invisible et de toute façon déjà manifestée en Jésus ressuscité, puisse devenir sans plus tarder le partage bienheureux de Vincent.

"Si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même  (Jésus) dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. 8 Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous. 9 Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité."

Et "...Priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace."

Soyez bénis.

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6 mai 2019 1 06 /05 /mai /2019 16:20

Qu'est-ce que visiter une cathédrale - debout ou ravagée -
sans considérer qu'existent tout autant
un Dieu vivant et des mauvais esprits !?
Le bâtiment a été rendu inutilisable - comme jadis le Temple de Jérusalem -,
mais la croix est toujours debout
pour le salut de quiconque croit (l'ère de la Grâce divine
n'est pas encore tout à fait à son terme)...

(suite de l'article commencé ici)

AUTRE EFFET DE L'INCENDIE
"Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein.29 Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères."

Ce que Dieu cherche en laissant courir ses jugements, c'est nous ramener à lui ! Pas que nous disions encore comme des enfants idiots vexés : - Même pas mal !

LA PRIÈRE DES JUSTES A UNE EFFICACE
Si l'humilité et la repentance bien comprise ont publiquement manqué, cette catastrophe a cependant suscité une réaction de nombreux chrétiens qui (je pense et sans doute eux aussi) a pu empêcher que les murs et autres "twin towers" s'effondrent : la prière.

Prière qui a pu inclure la repentance. Prière dans tous les cas qui crie à Dieu pour que le mal ne l'emporte pas - ou pas trop. Prière qui peut stopper les démons qui ne cherchent qu'à relayer et amplifier une épreuve pour pouvoir mieux et longtemps "tourner le couteau dans la plaie" et en tirer quelques réactions pour le moins inappropriées...

LE MAL EST DÉCLENCHEUR... DE CE QUE NOUS SOMMES, AU PLUS PROFOND
On a pu voir à partir de cette épreuve que globalement le cœur du peuple français, des riches comme des moins nantis, reste sensible et généreux et jusqu'à étrangement solidaire - état retard de : même si la foi a été volatilisée comme une mère arrachée à son foyer (exactions progressives qui forment un grand fil route des trois derniers siècles en Occident), les enfants de la famille se trouvent une racine (chrétienne !) comme on a un terroir.

Lorsque survient un gros cataclysme ou une guerre, l.es liens sociaux abîmés par l'orgueil, l'esprit de partis, la politique ou la doctrine sournoise de la lutte des classes, se reforment.
Le cœur reprend vie.
Plus que d'euros parlons de cœur. Car on ne rachète pas une mauvaise conduite par de l'argent, mais par l'humilité, la contrition, et/ou l'humiliation du cœur.

Et plus que de voir un jugement comme un mal, comprenons-le comme un moyen d’accéder à plus de compréhension du Réel pour une meilleure insertion en Lui, que ce soit matériel (temporaire) ou spirituel (éternelle).

Et puis Dieu est au-delà du temps, et ici encore le prouve... par l'accomplissement d'une prophétie vielle de 2 500 ans !

UNE PROPHÉTIE VIEILLE DE 2 500 ANS VIENT DE S'ACTIVER

Lundi 15 avril 2019*, on a assisté en plus du feu physique d'un jugement, à l'ouverture d'une prophétie faite par le prophète Zacharie*. Elle donne le sens profond de cet événement.
C'est la prophétie du chapitre 5 :

"Je (Zacharie) levai de nouveau les yeux et je regardai, et voici, il y avait un rouleau qui volait.2 Il me dit : Que vois-tu ? Je répondis : Je vois un rouleau qui vole ; il a vingt coudées de longueur, et dix coudées de largeur.3 Et il me dit : C'est la malédiction qui se répand sur tout le pays ; car selon elle tout voleur sera chassé d'ici, et selon elle tout parjure (ceux qui font de faux serments) sera chassé d'ici.4 Je la répands, dit l'Éternel des armées, afin qu'elle entre dans la maison du voleur et de celui qui jure faussement en mon nom, afin qu'elle y établisse sa demeure, et qu'elle la consume avec le bois et les pierres.
5 L'ange qui parlait avec moi s'avança, et il me dit : Lève les yeux, et regarde ce qui sort là.6 Je répondis : Qu'est-ce ? Et il dit : C'est l'épha qui sort. Il ajouta : C’est ce que l’on voit d’eux dans tout le pays.7 Et voici, une masse de plomb s'éleva, et il y avait une femme assise au milieu de l'épha.8 Il dit : C'est la méchanceté. Et il la repoussa dans l'épha, et il jeta sur l'ouverture la masse de plomb.9 Je levai les yeux et je regardai, et voici, deux femmes parurent. Le vent soufflait dans leurs ailes ; elles avaient des ailes comme celles de la cigogne. Elles enlevèrent l'épha entre la terre et le ciel.10 Je dis à l'ange qui parlait avec moi : Où emportent-elles l'épha ?11 Il me répondit : Elles vont lui bâtir une maison dans le pays de Schinear ; et quand elle sera prête, il sera déposé là dans son lieu."

PROPHÉTIE ET INTERPRÉTATION DE SES MYSTÈRES
Cette prophétie sous forme de parabole** (métaphorique donc) contient des mystères dont l'Esprit de Dieu me donna la signification que nous pouvons désormais en avoir dès que le toit de plomb de la cathédrale fut porté à notre connaissance (par son effondrement), et que de là je me dirigeais dans la Bible pour la consulter.

- Premier mystère : LE ROULEAU QUI VOLE
C'est la forme du support des écritures avant qu'on invente les pages et les livres. Plus précisément dans le contexte, c'est le symbole de la religion (le judaïsme) que Dieu a donnée par Moïse aux israélites (le peuple juif), et dont les articles de foi avec la connaissance du Dieu unique et les valeurs morales ont ensemencé la terre..

- Le mystère de L'ÉPHA
C'est un récipient qui ici est rond, alors qu'il devrait être, suite à la dimension rectangulaire du rouleau précédent, carré. 
Entre les deux visions on a donc fait le saut de la Loi (devenant Ancien Testament) à l’Évangile de Grâce (Nouveau Testament). Mais là il y a un problème !...

- Le mystère du COUVERCLE DE PLOMB
Et donc voilà un couvercle de plomb - vil métal - sur l'épha que représente la cathédrale !
La dimension spirituelle de l'homme est précisément qu'il n'y ait plus de séparation entre les pécheurs pardonnés (quand nous le sommes) et le Dieu trois fois saint. Certes il faut un toit à cette cathédrale, mais le plomb est un symbole suffisamment compréhensible pour qu'il apparaisse là comme un ciel de plomb au dessus de la tête des personnes qui viennent là, priants ou simples touristes. On est lui du rideau déchiré de haut en bas dans le Temple de Jérusalem au moment où Jésus meurt, "ôtant (à la fois véritablement et potentiellement) le péché du monde"...

- Le mystère d'UNE FEMME
Une femme - plutôt que Jésus le rédempteur ! - au cœur de la cathédrale, c'est - Est-ce ? - une véritable surprise !?
Si les gargouilles et aux chimères sont présentes dans les hauteurs de Notre-Dame, ce n'est un mystère pour personne que parmi les représentations, peintes ou sculptées, l'image de (soit-disant) la Vierge Marie est des plus présentes... et disproportionnées si on compare ses mensurations à celle du Sauveur le plus souvent représenté dans ses grands et puissants bras en "petit Jésus" !

L'image féminine représente en réalité non pas bien sûr la véritable Marie (Myriam), humble servante du Seigneur que Jésus confia à la bienveillance de l'apôtre Jean , mais un démon certainement très puissant, de l'ordre des cavaliers ou vents spirituels des ténèbres dont parlent Daniel, Zacharie et encore l'Apocalypse, qui parcourent la terre et cherchent à établir le règne qui vient pour un peu de temps de l’Ante-christ.
La prophétie de Zacharie prédisait donc cet état de choses final, et il fallait bien que des croyants d'obédience chrétienne s'interroge encore sur le sens d'une telle présence féminine dans l’Église de Christ. L'incendie de la cathédrale est venue interpeler la foi et les consciences...

- Le mystère des DEUX (autres) FEMMES
Enfin, c'est en tout trois femmes qui paraissent avant la fin de la prophétie. Ce qui n'est pas sans rapport avec notre actualité de "fin du temps des nations" où les femmes montent au créneau comme jamais : sous couvert de concept d'égalité ou de parité, voilà que la bascule a été faite où les femmes s'imposent (ou sont imposées) dans des places les plus stratégiques ici en Occident, et à la suite au pays de Shinéar (aujourd'hui l'Iran et l'Irak) où la femme de l'épha est transportée (exportée) comme icône de cet éveil à une suprématie féminine...

De fait, en reprenant les termes successifs de la prophétie, on se trouve à la fin (du temps de la Grâce) essentiellement avec une Loi, une religion conquérante conduite par le mâle dans sa forme adamique non transformée par la rédemption, et d'autre part une force très largement dépouillée de morale et pareillement conquérante, de nature féminine mais qui s'arroge des attributs (et à des moyens) virils, autant dire séduisante. L'une allant, d'abord en catimini, dans la place forte de l'autre... ce qui, pour faire bref, ne pourrait se dénouer que dans une conflagration planétaire... que doit précéder pour les "vierges sages" le retour de Jésus venant soustraire à ce chaos, littéralement enlever, son Épouse (d'une part qu'il ressuscite et d'autre part qui est prête) pour la faire entrer dans son éternisation finale (corporelle).

L'article complet de cette prophétie révélée compte une trentaine de pages qui ne sera délivrée que par mail sur demande privée faite ici par le bouton Contact.

Soyez éclairé-e dans l'amour de la vérité qui sauve (Nouveau Testament, 2e lettre aux Thessaloniciens ch. 2; v. 10-12).

_____________________
** Zacharie est un prophète suscité par le Dieu véritable à partir de - 520 (avant J.-C.), au moment précis où - coïncidence !? - le Temple de Jérusalem est en travaux !
Et - autre coïncidence !? - ces travaux, qui conduisent à la reconstruction du Temple détruit, vont durer... 5 ans ! (de - 520 à - 516). Pourquoi le Président Macron dit-il qu'en 5 ans la vieille dame serait relevée ? Certes les J.O. de 2024, mais peut-être pas que... cela en 2024...

** La parabole (image métaphorique ou symbolique) est un moyen de connaissance à la fois ouvert (ouvrant) et fermé (fermant), pour que l'auditeur ait une place à part entière, une responsabilité propre quant à son insertion dans la connaissance et le Réel.

Elle se fonde sur une loi de correspondance entre les réalités formant notre environnement matériel immédiat (que nous connaissons facilement), et des réalités plus subtiles (non-immédiatement accessibles à notre conscience) qui sont de l'ordre de la spiritualité et du psychisme (de notre âme).
La parabole amorce donc, suggère et mobilise notre âme, à partir de choses qu'elle connaît, pour amener à notre conscience une connaissance (découverte et conclusion nouvelles, enrichissantes) du domaine de l'Esprit, de la spiritualité, de Dieu et/ou des mauvais anges ou démons.

On voit souvent Jésus parler ainsi avec son entourage.
"Jésus leur dit cette parabole (du semeur), mais ils ne comprirent pas la portée de ce qu'il leur disait."
Après la parabole délivrée à "une grande foule" (Evangile selon Marc, ch. 4) il est encore dit: "Lorsque Jésus fut en particulier, ceux qui l'entouraient avec les douze l'interrogèrent sur les paraboles. Il leur dit : C'est à vous (à ceux qui cherchent auprès de Dieu le sens) qu'a été donné le mystère du royaume de Dieu ; mais pour ceux qui sont dehors tout se passe en paraboles, afin qu'en voyant ils voient et n'aperçoivent point, et qu'en entendant ils entendent et ne comprennent point..."

La parabole est donc comme sont une serrure et une clé. Et c'est par l'homme et non par Dieu, que s'actionne la clé, à partir de l'interprétation qu'en donne à l'un ou l'autre l'Esprit de Dieu.

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