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30 novembre 2020 1 30 /11 /novembre /2020 23:10

AVEC LES ÉVIDENCES NATURELLES TROMPEUSES ET LES ILLUSIONS DE REGARD (voir article précédent), PEUT-IL Y AVOIR DE GRANDES  FRAUDES ÉLECTORALES ET DES INFORMATIONS PARTIALES ?

Comment se fait-il qu'avant les élections, les médias français pullulaient de scoops, de flashes ou d'émissions sur les dires et comportements - critiquables - de Donald Trump ?

Et depuis une "victoire" de Joe Biden - qui est loin d'être finie de contester  -, plus rien. Silence tv et silence radio comme s'il ne circulaient plus d'informations dans les agences de presse ! Pourquoi ce parti-pris, qui n'est pas digne de médias qui devraient être démocratiques... plus qu'ouvertement démocrates !? L'honneur - dont la racine est la même que le mot honnêteté - ne serait donc pas ou plus une valeur au-dessus de la tête des journalistes les plus en vue et écouter ?

Parce qu'en réalité tout est loin d'être entériné de l'autre côté de l'Atlantique !
La traque de la fraude porte des fruits et n'est pas finie !
Peut-être pour rien, mais aussi peut-être bien pour un revirement des plus spectaculaires et parlant.

Alors certes, il est difficile pour tout le monde qui se doit d'être objectif de ne laisser un peu de sa subjectivité s'immiscer dans ce qu'il ou elle est chargé-e de faire ou de dire. Mais plus on a de pouvoir, plus l'impartialité doit nous accompagner, plus le droit de paroles des autres doit être respecté.

La valeur de la liberté d'expression ne doit pas être pour des journalistes de seulement avoir pour eux le droit de filmer des policiers qui, dans des échauffourées musclées - démoniaques pour tout dire -, dérapent.
Pour avoir été un peu pigiste en attente d'événements exceptionnels, on sait que des images peuvent rapporter gros ! Mais si c'est toujours l'argent qui définit nos positionnements et nos rapports, ne nous étonnons pas d'être dans la présente chienlit (expression popularisé par le Président de Gaulle lors de Mai 68) !

On oublie bien trop vite qu'on n'a et n'aura pas à rendre compte seulement devant des autorités humaines, mais que nous sommes chacun vus du ciel bien mieux que par des drones ou satellites et que le film de notre existence pourra nous être repassé*.

Alors par esprit d'équité, indépendamment du résultat officialisé - mais moi je ne suis pas journaliste ! -, voici un lien qui permet à quiconque veut savoir ce qui se passe aux Etats-Unis heure par heure, de suivre le combat titanesque qui sévit encore autour des votes :

__________________
* Si Jean d'Ormesson s'est permis de dire à la télé que "Dieu ne brille que par son absence", là où il est aujourd'hui, sa manière de voir a bien certainement changée.
Journalistes, écrivains ou sujet lambda, attention à notre présomption ! Quand le même sieur d'Ormesson dit que "la pire chose qui puisse arriver à un écrivain est de mourir le même jour qu'une célébrité", il ne sait pas que peu de temps après il va mourir le même jour que Johnny Hallyday ! Ce jour-là déjà, par cet ombrage improbable qu'il a pu redouter et qui devint sa réalité, son âme a pu voir que si lui brilla un peu par quelques livres et paroles, le Seigneur-Dieu brille bien autrement en tenant les temps de chacun (comme des nations) dans ses mains.

Quelle paire de jambes avez-vous ? L'humilité et l'amour de la vérité nous garderont toujours plus que tout...

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30 novembre 2020 1 30 /11 /novembre /2020 14:26

Tout le surnaturel qu'est l'art !
Représentation abstraite de l'univers (C.T.)

 

Un des plus gros problèmes actuels de la France se trouve au niveau de l'école.
Depuis que des politiciens animés par leur impiété personnelle et quelque idéologie athée, ont pris le pouvoir et fait sortir de l'instruction publique la foi en un Dieu créateur. 
Ils y ont substitué la croyance en une dynamique unique - l' évolutionnisme - que conduirait souverainement le hasard.
Une théorie en réalité controversée, car sans fondement scientifique suffisant, mais qui s'enseigne aux enfants comme une vérité avérée, indiscutable.
Un abus de pouvoir !? Un abus de crédulité, en lieu et place d'une croyance plus judicieuse pour dire les origines, les lois et les complexités, qui s'avère notamment par une quête personnelle sincère et des révélations !

De fait l'évolutionnisme néo-darwinien est devenue une véritable doctrine au service de la croyance - car s'en est une ! - qu'il n'y a pas de Dieu (Ce qui est improuvable).
C'est ce qu'il permet dans le temps de la liberté provisoire, relative et limitée par la mort dont il a pourvu nos existences.

Mais ne nous laissons pas abuser par ce qu'on nous inculque pendant l'enfance et à la suite ! Devenant adulte et responsable, sachons prendre le retrait nécessaire et utile qui est notre part de liberté, pour une meilleure vue du Réel, où l'arbre français et européen massif de la doctrine évolutionniste ne continue pas à nous cacher la vue la plus juste de la forêt immense, belle et profonde que forment les créations qu'on a sous les yeux et leur Créateur génial.

Cherchez au moins pour vos enfants et/ou petits-enfants, voire pour vos élèves, si vous ne vous sentez pas personnellement assez concerné-e .

L’ÉCOLE DE NOS ENFANTS

(première section)

 

L'école de nos parents aux pupitres de chêne
A la bouteille d’encre, au poêle à allumer
Avec des tabliers, de gros pulls de laine
Que les mamans coupaient, cousaient ou tricotaient,

 

L’école de nos parents avait bien de la peine
Malgré la gratuité ou les verres de lait.
Elle grandit cependant, comme on fait une reine
Avec bons matériaux en lettres et en pensées.

 

Mais les plus belles pierres ne valent que par la vie
Qui peut s’y abriter : L’école de nos parents
De moins en moins pieuse, en eut l’âme meurtrie

Quand on coupa ses ailes, lorsque changea son vent.

 

Relâchant la morale comme on sort d'un bastion,
Éteignant des étoiles qui éclairent la nuit,

Comme une adolescente qui rompt de sa maison
La garde bienveillante, l'école s'affranchit…

 

S’étant émancipée, la fillette peu sage
Écrivit sur son front «laïque et vaccinée» !
Guizot ou Charlemagne connaissaient le message
Qui l’avait engendrée… qu'il eut fallu garder.

 

D’autres l’ont rejeté, avides en libertés,
Ne pensant qu'à frayer par leur seule raison
Un chemin dégagé de rites et de clergés,
Sans bien réaliser qu’une autre religion

 

Peu à peu s’imposait. C’est au fruit, dit Jésus,
Qu’on juge de tout arbre, qu’on voit comment il est :
L’école de nos parents bientôt n’a plus voulu
Qu’on enseigne aux enfants que Dieu a tout créé.

 

Violences et irrespect crient du tréfonds des êtres ;
Perte de profondeurs , ne sait-on égarés
Par de vaines raisons ?... Il reste le paraître
Et quelle tolérance - qui ne fait pas la paix.

 

De paradis voulu loin de tout religieux,
L’école est devenue un ghetto dangereux;
Élèves et enseignants n’y viennent plus heureux,
L’école de nos enfants... aurait besoin de Dieu.

Je suis sans religion qui domine ma vie ;
Mais je sais par effets et nombreuses expériences
Qu'un Dieu vivant existe. Et si notre souci
N'est de croire et de ne conduire notre existence

 

Que selon ce qu'on voit sans chercher la lumière,
Continuons à suivre la course du soleil
En croyant l'évidence que son centre est la terre !
L'univers est ainsi fait de mille merveilles,

 

De mystères à sonder, d'objets à découvrir,
De curiosité innée et à éveiller,
D'une vraie liberté pour fermer ou s'ouvrir
A Dieu (comme à ses œuvres), avant l'éternité.

 

Claude Trouiller © 2000 ALGDDV

 

Que ce Dieu créateur - et rédempteur - qui un jour entreprit de se révéler à moi se révèle aussi à vous lecteur, lectrice. C'est ma prière, et je sais qu'il le fera.

> un guide ici pour qui le cas échéant voudrait lui-même prier, fusse la première fois.

 

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28 novembre 2020 6 28 /11 /novembre /2020 16:05

Combien voyez-vous de sujets présents ?
1, 2, 3, 4 ou plus* ?

 

Comment vivre dans un univers fait d'évidences qui peuvent tout aussi bien être des illusions ?

Exemple :
- Vous savez quel est le plus gros corps céleste que nous voyons ?

- Oui le soleil ! Mais est-il pour autant le plus gros des astres de l'univers ?

- Non (nous font savoir les télescopes). Notre vue des réalités (même les plus matérielles et visibles) est donc à la fois limitée et déformée, pire peut être trompée.
Ce qui rejoint la question du point de vue.

ON EST CHACUN UN POINT DE VUE

Selon où l'on est, un arbre peut cacher une forêt. En se décalant d'un mètre on peut découvrir la forêt, voire une maison ou un étang qu'on ne voyait pas.
"Attention ! Un train peut en cacher un autre !"...

Autre exemple qu'une évidence peut être trompeuse :
- Quand nous voyons chaque jour le soleil nous tourner autour, voyons-nous juste ?

- Pendant des millénaires, le genre humain a naturellement cru que cette évidence était la réalité vraie. Jusqu’à ce que Copernic et Galilée passent hardiment le seuil de l'apparence immédiate.
On a alors appris par eux que la terre est ronde et que c'est nous les embarqués de la terre qui tournons autour du soleil (sans avoir le tournis ! à plus de 100 000 km/h). Et ensemble, le soleil et nous tournons vertigineusement autour du centre de notre galaxie (même pas décoiffés ! à... 774 000 km/h).
Bref l'étonnant, le bien plus grand que nous, le prodigieux, le plus que naturel est parmi nous !

Mais n'y a-t-il pas aussi un risque qu'on nous apprenne quelque chose de faux ?...

CELA POUR DIRE QUOI ?
Déjà que ceux qui disent qu'ils ne croient qu'à ce qu'ils voient, se montrent un peu moins sûrs de cette affirmation et de leur jugement premier (ce qu'on appelle un préjugé) !
Les plus grandes forces qui fondent l'univers sont invisibles, depuis celle, quantique, terriblement puissante, qui forme la matière au niveau atomique, jusqu'à la force de gravité (la plus faible, mais déjà une grosse montagne pour nous). Toutes réalités qu'on ne voit pas, si ce n'est par des effets (les feuilles qui tombent en automne), par des expériences, des calculs et encore par l'intuition, le désir de savoir, voire par des "coups de pouce" qui révèlent ce qu'on n'imagine même pas.

Bien que ce ne soit pas trop évident a priori, avez-vous fait le rapprochement avec Dieu !? Invisible, très très puissant, qu'on ne voit pas directement, mais qu'on peut chercher et trouver selon les mêmes méthodes d'investigation que concernant ce qui est physique et quantique, c'est-à-dire une vraie interrogation personnelle, des échanges qu'on appelle des expériences, une intuition (notamment la pensée de l'éternité ou de la nécessité d'un Créateur intelligent), des "coups de pouce" même venant de son côté (ce qu'on appelle des signes ou révélations).

Certes Dieu ne se mesure !
Le degré de bonheur non plus ! Dommage pour les rationalistes plus cartésiens que Descartes (qui resta toujours chrétien malgré ses différents avec le catholicisme) ; dommage pour les matérialistes qui devraient savoir qu'aussi "Le cœur a des raisons que la raison ignore." comme l'a analysé Pascal**.
Si on remplace cœur par sentiments, émotions, passions, ou encore par Dieu - qui, étant Dieu, a forcément cette dimension de sensibilité*** - on comprend mieux que tout ne se mesure pas avec une règle graduée, un compas, un protocole informatique ou dans une éprouvette.

EXTENSION NÉCESSAIRE DU DOMAINE DE LA RAISON

D'ailleurs même dans la dimension physique, tout peut-il se mesurer, se trouver existant seulement si on l'appréhende physiquement ?

Peut-on mesurer ce qu'il y a de l'univers (physique) au delà de l'horizon cosmologique que nous en avons ? Peut-on mesurer des baryons ou des fermions ?
Peut-on savoir dans la dimension quantique si "le chat de Schrödinger" est mort ou vivant ?
Non. Mais on peut cependant savoir - ce qui suit une simple croyance intellectuelle fluctuante - que ces réalités existent. Comme encore la transcendance du nombre d'or en matière d'harmonie ou de Pi 3,14159... dans et pour le monde mathématique. Etc...

C'est donc ici mon invitation, à ce que soient dépassées les apparences, certaines évidences qui ne sont que des trompe-l'oeil, et bien sûr les préjugés réducteurs - irrationnels pour le coup - qui forment une vue uniquement matérialiste de ce qui est.

LA JOIE DE DÉCOUVRIR DES VÉRITÉS

C'est la joie du chercheur. Et pourquoi ne pas vouloir devenir un chercheur de Dieu, non seulement pour croire 'en quelque chose", pour espérer que peut-être..., pour se soulager soi-même (forme de positivisme artificiel), pour se donner une illusion ou même une religion là où on peut trouver réellement qu'un Dieu bien vivant se trouve ?
Il faut croire que c'est possible, pour déboucher tout à coup ou progressivement sur savoir !

C'est ainsi qu'on peut rejoindre la joie que procurent les découvertes. Joie que connaissent les inventeurs qui aboutissent ; joie de chercheurs devant qui les mystères de la création reculent ; joie de comprendre une idée ou un concept nouveau ; joie de réussir d'une manière extra-ordinaire). Joie même de Dieu rencontré dans sa dimension.

En cela, la quête de Dieu n'est pas différente qu'une recherche d'ordre scientifique. Ainsi le "Qui cherche trouve" que déclare Jésus. Et dans cette démarche il ajoute "Frappez et on vous ouvrira".
Ou encore quand vous commencez à sentir que Dieu est réel, répondez s'il vous dit : "Moi, je reprends et je corrige tous ceux que j'aime. Aie donc du zèle et repens-toi !20 Voici, je me tiens à la porte (des coeurs) et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui et lui avec moi.
21 Le vainqueur, je le ferai asseoir avec moi sur mon trône, tout comme moi aussi j'ai vaincu et me suis assis avec mon Père sur son trône." C'est aussi ce genre de paroles l'Apocalypse ! (ici chap. 3, v. 20).
 

Réalisez et saisissez dans la foi ce qu'il y a déjà là comme informations de la part de Dieu, et sur Dieu !...
Voyez que la foi est une dynamique de conquête. De conquête essentiellement, primordialement personnelle, de combat.
Combat non contre d'autres personnes qui ne croient pas ou ne croient comme nous, mais contre notre propre incrédulité (et celles des autres) ; contre les évidences trompeuses, les séductions maléfiques, les tentations accaparatrices, les illusions et mensonges aliénants, les ignorances pesantes... Bref tout ce qui brouille le Réel. Combat contre le mal en général donc, parfois évident à voir, et qu'il faut parfois débusquer.
Tel prophète (Ésaïe) nous avertit que le monde peut aller si mal, qu'on y appellera communément ce qui est mal bien, et que ce qui est bien sera vu comme du mal.
Quid de mensonge et vérité.

L'ICEBERG COVID ET NOTRE TITANIC

Mal dont la covid vient seulement d'apparaître comme la face visible de l'iceberg du mal qui flotte sur nos océans de pensées, d'actions, de désirs, d'impiété ou de religiosité.
Les glaces fondent par le réchauffement climatique, et au sens figuré cela parle de blocs de la banquise qui deviennent des icebergs flottants dangereux.

Souvenez-vous ! L'iceberg qui en 1912 a ouvert le mastodonte Titanic comme une boîte de sardines avait été signalé par l'opérateur-radio.
Il aurait alors fallu arrêter les machines au lieu d'aller s'éventrer contre lui.
Le covid nous avertit pareillement que le mal s'est tellement généralisé sur le monde, que "la fin du temps des nations" (comme la bible l'appelle, de fondement ethnique, ethnos = nation en grec) est commencée et proche de son terme. (avec l'entité bien peu démocratique qu'est l'Europe, qui grignote les forces des nations qui ont rejeté "le bébé (figure de Dieu) avec l'eau sale de son bain (les religions improprement chrétiennes)").

Voyez-vous les icebergs ? Mine de rien, ils ont une fonction létale : ils peuvent tuer !
Arrêtez donc votre machine ! Et confiez-vous en Dieu pour savoir comment manœuvrer, en action et/ou en attente, en moyende protection.
Tout capitaine de sa vie qu'on est, il peut être bon de tenir compte d'une information qui nous vient d'un petit opérateur-radio...

"Que le cœur de ceux qui cherchent l’Éternel se réjouisse !4 Ayez recours à l’Éternel et à sa force, recherchez avec assiduité sa présence !" Psaume 105

Une bonne façon pour chercher Dieu est de s'approcher de lui en lui parlant. > Ici un guide de paroles qu'on peut lui adresser (ce qu'on appelle prières), appropriées à une première rencontre avec Dieu ou à un retour à lui. C'est juste une trame : ajoutez-y vos mots, vos sentiments, la foi qu'il vous entend, qu'il vous voit, vos difficultés, vos fautes regrettées, tout ce qui fait que vous êtes vous...

________________________
* Vous avez 4 et même plus de sujets sous les yeux : une coupe, deux visages, un dessin (l'image), un trompe-l'oeil, un contraste monochrome, une idée, une volonté de montrer, quelqu'un !...

** Savez-vous comment Pascal (comme tous les grands savants et philosophes d'avant le XVIIIe siècle) est sans aucun problème à la fois un scientifique de pointe, un découvreur, un inventeur, et un croyant authentique, un chrétien qui vivait avec Christ une connaissance et une relation des plus vivantes (voir notamment ses Pensées sur ce point).

*** "Dieu est amour" affirme ceux qui l'ont connu en la personne de Jésus et par expérience spirituelle. Il est aussi justice absolue et sainteté, deux attributs qui rendent son approche difficile pour nous qui sommes bien souvent et par nature injustes et imparfaits. Mais "Rien n'est impossible à Dieu" et il a tranché lui-même le noeud gordien formé par ses trois composantes irréductibles (amour, justice et sainteté) : C'est toute la Bonne Nouvelle qu'est l'Evangile
de la venue de Dieu en chair,
du sacrifice expiatoire de Jésus acceptant de subir génériquement à notre place le châtiment - les souffrances et la mort - que méritent nos manquements à l'amour, nos entorses à la justice et notre faillite dans la perfection,
de sa résurrection et de l'envoi du Saint-Esprit pour venir faire sa demeure en quiconque croit, confesse ses fautes et ouvre son cœur pour être changé par Dieu.

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26 novembre 2020 4 26 /11 /novembre /2020 18:08

Restez assis ! Prenez le temps... de vivre... de comprendre... de réfléchir... d'interroger le Réel pour découvrir l'essentiel dont il est fait... Sinon l'absurde va vous submerger...
 

J'ai déjà développé ce thème d'actualité qu'est l'absurde dans > cet article.

Pourquoi, après et malgré la dernière allocution présidentielle (du 24 nov.) peut-on voir qu'un chapelet de décisions largement discutables, d'infantiles à illogiques - jusqu'à l'absurde évident -, continue... sans qu'on en vienne jamais au cœur de la problématique humaine dont on subit ainsi jugement après jugement ?

Je ne doute pas de grandes capacités intellectuelles, de nombreuses connaissances médicales et techniques pointues, de réflexions véritables, de la part des autorités dites sanitaires ou scientifiques, et des politiques qui les suivent... ou les dirigent
Mais nous n'entendons toujours pas parler d'un retour à une vue plus pertinente du Réel - qui tienne compte des dimensions matérielles mais aussi psychiques et spirituelles -, c'est-à-dire qui arrive au fond des problèmes premiers et collatéraux qui nous atteignent. Si on soigne des symptômes, seulement des effets, on laisse le mal grandir à partir de sa racine.

La seule bonne question qui pourrait nous aider est : Qui dirige vraiment, en France mais aussi au niveau planétaire, l'usage qui est désormais fait de la covid !?
Quelle en est la cause première ? Quelle est la plus haute instance d'où partent les idées, les pensées, les orientations, les directives, les pressions et autres manipulations dirigées contre le genre humain tout entier ?

Instance que je vois pour ma part au delà et différentes de toutes les strates des sociétés humaines, au-dessus même des politiques et sectes par lesquelles certains peuvent se croire - naïvement - devenir les maîtres du monde*.

LA RAISON A SES RAISONS QUI IGNORENT LE CŒUR

On peut voir, par la lunette du simple bon sens, que "la raison" que représente les dirigeants de chair et d'os et les raisons qui les font décider, ne sont globalement pas celles du reste de la population, et visent davantage à un contrôle qu'à des bons soins qui tiendraient compte des personnes dans leur entièreté (physique, psychique et psychologique, économique, relationnelle...).  
La fracture est évidente, et si la covid est - ou est devenu - un élément médian destiné à casser le "caractère français", voire une "vieille version de la France", c'est bien parti.
Et ce qui me fait dire que ce sont des forces occultes, invisibles comme les virus et capables d'actions très vastes comme la covid, qui dominent cette affaire, c'est que cette attaque contre l'humain n'est pas un fait isolé. Mais elle entre dans un processus et une stratégie multicéphale de longue date, qui visent à renverser des ordres établis fondamentaux - posés par Dieu comme socle de ses créations -, en vue de mettre en place un "ordre nouveau". D'où la "nécessité", pensent et provoquent certains, d'un chaos pour passer d'un système à un autre.

LA CONQUÊTE DU MONDE, LES PROTAGONISTES

Sur le terrain, on voit des groupements humains (ARN), qui figurent les forces spirituelles (ADN) qui manoeuvrent. 
On a l'islam qui pense instaurer sa charia sur toute la terre ;
On a le communisme (aujourd'hui surtout chinois) qui n'a d'autre idée que de soumettre le monde à l'athéisme ;
Il y a la laïcité qui veut s'exporter partout (sous le nom de gouvernance mondiale) ;
Il y a aussi, qui n'a pas dit son dernier mot, la religion d'obédience chrétienne qui veut catholiciser (par un syncrétisme des spiritualités) la terre (plus qu'y apporter le véritable Évangile ou bonne nouvelle de la mort rédemptrice de Jésus-Christ).

Tout est orienté vers l'établissement d'une pensée unique, un impérialisme de vue qui ne pourra être au début que des alliances forcées, des compromissions, des accords biaisés, une unification factice - ce que la Bible annonce comme un mélange de fer et d'argile. (On peut se souvenir du pacte signé entre Hitler et Staline, avant que le führer ne rompt unilatéralement et sans préavis son accord et envahisse l'URSS).
Les puissances maléfiques célestes (ADN) en action étant toujours les mêmes, c'est un scénario (prophétisé) qui va se produire.
D'où arrive le pire des totalitarismes et conflits que la terre n'ait encore vu.
D'où déjà des lois d'états d'urgence, des restrictions et pertes de liberté croissantes, le suivi de population.

On sait (ou on devrait savoir) que l'histoire se répète ; on sait qu'il y a des leçons à en tirer... et qu'on ne les tire généralement pas ; Serez-vous de cette majorité qui encaisse sans chercher à comprendre et à se rendre prévoyante ? 

RIEN N'EST ABSURDE EN FAIT !

Donc rien n'est si absurde qu'il n'y paraît.
Rien sauf... nous si nous ne réagissons encore pas !
Car en arrière-plan des actions de telle ou telle idéologie ou religiosité**, il y a une volonté de dimension spirituelle, qui veut imposer les dogmes de sa vue.
C'est seulement là que se trouvent une logique et une force organisée qui, si on n'a pas le vrai Dieu avec nous, nous balade, se joue de nous et nous amoindrit, ou tue à volonté.

L'ABSURDITÉ OÙ ELLE EST

Depuis que Sartre a découvert qu'un monde où il n'y a pas de Dieu, uniquement matérialiste donc, "est absurde dans son ensemble et dans ses parties", au lieu de revenir à Dieu en direct (hors de la médiation pernicieuse que peuvent représenter des systèmes religieux), l'être humain s'est développé un certain degré intelligence.***

Et sur la base de son impiété organisée en système (l'athéisme), il s'est découvert pour sortir de l'absurde, une raison d'être : Celle de se créer du sens soi-même, un système nouveau avec ses piliers, des dogmes et lois nouvelles.
Pour ceux-là la liberté consiste à s'affranchir des lois-cadres premières, infrastructurelles... que sont les lois divines. On scie ou casse un ou deux pieds à la table ! Et à ce niveau, on se fait... Dieu ! Ou plus précisément apprenti-sorcier, Faust !...

Comment ?
Face à une aporie (difficulté dont on n'a certainement pas la solution), on décide et s'invente des changements, des possibilités, des paradigmes (paradis ?) qui n'existent pas. Ce que ces matérialistes militants appellent progrès.

Ainsi, l'Evolution créatrice a été posée artificieusement sur le sable de la méconnaissance ou ignorance des dimensions spirituelles du Réel et de l'individu, comme seul moteur (Dieu donc) du vivant, mue par les fées (demi-dieux) Hasard(s), Nécessité et Sélection naturelle. Un mode d'avancement des plus rustres qui fait théoriquement bouger les choses avec une lenteur insupportable.
Car l'homme se sent mal, toujours, et veut une solution à ce mal-être et à nos mal-vivre... sans qu'il y ait besoin d'un Dieu dans le déni duquel on entre à partir du XVIIIe siècle...

Voilà donc que l'intelligence humaine se découvre - croit-elle - capable de relayer et reléguer tous les créateurs possibles - que ce soit la dynamique évolutionniste tortue et aveugle ou un vrai Dieu qui nous dérange avec ses attentes (notamment morales) de notre part. C'est vraiment l'image d'un ado qui claque la porte pour ne pas se sentir redevable à des parents qui l'ont élevé.

Ainsi s'ouvrent des chemins d'égarement croissant et, face à la persistance des difficultés sans solution humaine, on se met de plus en plus à forcer des portes que la conscience ou les religions condamnent, voire que Dieu lui-même préférerait - pour notre bien - que nous n'ouvrions pas. Mais il nous a créés avec cette possibilité de liberté...

C'est ainsi que se voulant sans Dieu ni maître ni morale, l'intelligence humaine se déploie à faux et, touchant à des interdits majeurs, devient ce que l'apôtre Jacques appelle "intelligence terrestre, charnelle, démoniaque".
Car ce que Dieu veut toujours nous éviter, c'est d'ouvrir nos âmes, nos coeurs, nos corps, notre devenir éternel, à ces puissances occultes maléfiques pour qui nous sommes des marionnettes, des jouets vivants, une espèce animale, voire si possible des robots (ce qu'on appelle par ailleurs possession)...

Ainsi globalement et progressivement depuis deux siècles, l'intelligence occidentale s'est élancée dans la carrière de la pensée qui se veut libre, autonome... à partir d'une erreur terrible de perception, d'un mensonge.
On est installés dans cette aberration de vue critique qui ne peut jamais permettre des extensions bonnes durables, réellement bienfaisantes, bénies : "Seule la bénédiction de l’Éternel n'est suivie d'aucune déconvenue", d'aucun effet secondaire néfaste, d'aucun chagrin ou souffrance surajoutés : Comme pour Michael Schumacher, c'est les hors-pistes qui sont dangereux.

Et sur cette trajectoire dominante de l'athéisme, on crée (volontairement ou pas) la covid. On en arrive à être comme coincés dans une porte qu'il ne fallait pas ouvrir : le conte de Barbe-Bleue n'a rien perdu de son principal...
Peut-on oser rapprocher le bleu de la barbe du dévoyé de la couleur au même endroit des masques qui désormais sillonnent nos espaces contaminés ? Si ça peut aider à un réveil !?...

A BOUT DE COURSE ET DE FORCES NATURELLES !?

Comme dans le conte, comme dans la parabole biblique très actuel du fils prodigue, nous arrivons en bout de course, en fin de civilisation libre.
Au sommet - mortifère, abyssal - des développement technologiques - de plus en plus addictifs ; Au sommet des possibilités de manipulations biologiques (psychologiques comme physiques et génétiques) ; Au sommet des dangers qui nous placent directement et sans retour possible dans les œuvres létales et griffes acérées de Satan (idolâtrie généralisée, superstitions, pratiques occultes, consultation des morts, toxicomanie...).

PROPHÉTIE
"Elle (une Bête qui prend autorité sur toute la terre) fit en sorte qu’on impose à tous les hommes, petits et grands, riches et pauvres, libres et esclaves, une marque sur leur main droite ou sur leur front.17 Ainsi, personne ne pouvait acheter ni vendre sans avoir la marque, c’est-à-dire le nom de la bête ou le nombre de son nom.18 Il faut ici de la sagesse. Que celui qui a de l'intelligence déchiffre le nombre de la bête, car c'est un nombre d'homme. Son nombre est 666." Apocalypse chap. 13.

Avez-vous déjà entendu cette prophétie millénaire qui prend corps sous nos yeux depuis l'apparition d'internet et des nanotechnologies (on parle de "puce électronique") ?

Avez-vous saisi qu'il s'agit d'un contrôle planétaire à partir de l'informatique, des données numériques (les datas), de l'internet (dont les chemins commencent par 666 - www, ou encore avec le code-barre, aussi chiffrés 666)...

Et la covid vient particulièrement activer cette mondialisation qui mange les états, les nations, les économies, et bientôt des populations entières, à partir des ressorts de la défense de la santé, de la peur et de solutions-miracles qui vont bientôt illusionner qui n'est pas du camp de Dieu.

Alors quelle solution ?
Un vaccin, parmi plusieurs, pour ceux qui veulent mettre leur foi et espérance dans ce moyen.
Ce n'est pas un marquage comme précisé dans l'Apocalypse 13, mais s'il contient des fragments d'ARN, où vont-ils aller se nicher ?
Chacun prend le risque et sa responsabilité de choix, d'abord pour lui-même. Et je vous assure que sans savoir se confier en Dieu - le Dieu vivant, pas celui des philosophes ou des religieux -, ça va devenir très très délicat pour ne pas se (laisser) tromper.

Car il ne s'agit pas de sortir seulement d'une maladie !
Mais des affres d'une bureaucratie technologique, impersonnelle au possible, qu'on peut pour le moins qualifier de soviétique ;
Problèmes de nos insuffisances psychiques notoires : combien de suicides par jour, quelle augmentation sur cette année ? Quand des sportifs de haut-niveau s'effondrent jusqu'à vouloir disparaître, on peut s'interroger sur la santé mentale de beaucoup... et penser à la sienne avant que la nuit ne soit trop avancée où on devra rester où on est. 
La lucidité va s'émousser, se réduire comme peau de chagrin, le sommeil spirituel menace ou s'appesantit...

ON EST MAL, MAIS DIEU VA (TOUJOURS) BIEN

Plus profonde et certainement des plus efficaces contre le mal, est une confiance renouvelée (ou qui s'ouvre) en Dieu. Un retour à lui en tant que ce qu'il est, Créateur et Rédempteur (plus qu'en tant que figure déformée par les athées, certains croyants ou autres systèmes religieux).

Ce devrait être le premier mouvement immédiat - car possiblement immédiat. Un retournement que Dieu cherche à susciter par cette pandémie et ses conséquences dramatiques, pour nous offrir une vue du Réel bien plus claire et signifiante, et une relation vivante rétablie et infiniment durable avec lui.

Je prie que ce Dieu d'amour et de justice ouvre les yeux de quiconque lit ici et veut être éclairé sur le monde tel qu'il est et sur le sens premier de nos existences.
Si vous êtes d'accord avec cette prière, vous pouvez dire "Amen", expression qui dit, devant Dieu, notre accord.

> Un guide pour aider à parler à Dieu de façon à la fois naturelle, juste, profonde et efficace.

____________________
* Quiconque veut avoir quelque pouvoir ou gouvernance dans ce monde sans avoir trouvé la clé qui permet de triompher de sa propre mort n'est encore qu'un naïf plein d'illusions, aveuglé par Qui ?

La réalité est qu'on n'a pas le pouvoir de nos bonnes intentions et volontés, et quand on trouve un vrai moyen de faire avancer le bien, il y a toujours quelques forces qui arrivent à en tirer du mal 

** La laïcité comme le socialisme ou communisme sont des constructions qu'on peut appeler religion. Le ministre philosophe de la laïcité ne l'a-t-il pas dot sans langue de bois : "La république pour s'établir a besoin de former sa propre religion, qu'ils ont d'ailleurs appelé la laïcité". Vidéo à 2mn 40  

*** Ce qui faisait dire à Pasteur : "Un peu de science éloigne de Dieu, mais beaucoup de science y ramène." Aujourd'hui, c'est beaucoup "trop" de science, qu'on n'est plus capable d'analyser, trop de données qu'on n'a pas le temps de vérifier ; qui empêchent qu'on remette en question des préjugés comme l'évolutionnisme athée scientiste ; qu'on juge de la pertinence morale (éthique) de telle ou telle loi, de telle ou telle mutation : Trop tard, c'est fait !

 

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23 novembre 2020 1 23 /11 /novembre /2020 19:31

N'est-ce pas le mot "absurde" qui définit désormais le mieux ce que nous vivons globalement depuis bientôt un an déjà ?

Vit-on dans un univers qui est absurde, ou bien l'absurdité apparait-elle finalement avec l'être humain devenu plus intelligent que jamais ?

Une autre façon de poser la question : Absurdités de toujours, malgré que nous ayons développé nos capacités intellectuelles, ou monde absurde parce que nous l'avons développé ?
Je vous assure, ça vaut la peine de savoir...

L'ABSURDE EST NÉ DANS LA PENSÉE HUMAINE

Jean-Paul Sartre érigé en penseur du XXe siècle, est largement à l'origine de la "philosophie de l'absurde" (un oxymore !). Autrement appelée courant existentialiste, cette manière de voir le monde a profondément et dramatiquement marqué la vie intellectuelle et politique de la France dès l'après-guerre (1945).

Cet athéisme pensé et théorisé a trouvé chez Sartre sa source dans Marx et Lénine notamment. Au milieu du XXe siècle Sartre (comme d'autres) ne sait pas encore ce qui se passe derrière "le rideau de fer"(déportation de masse, pogroms, goulags, 40 millions au moins de personnes tuées à cause de cette "idéologie universaliste du bien pour tous"...).

Aujourd'hui encore, relayée, la vue de Sartre constitue le fond de ce qu'est la culture française, ancrée dans la lutte et l'opposition de classes plus sûrement que dans la démocratie, avec un rayonnement à l'international (notamment en Europe).

Ainsi il a fallu que l'être humain devienne plus intelligent pour trouver le monde absurde ! Belle évolution !

Sous cette couverture vertueuse de laïcité, et plus exactement encore que ne disent les mots et doctrines socialisme et communisme, c'est essentiellement d'un athéisme qu'il s'agit, semé sournoisement dans les cœurs spongieux d'enfants notamment depuis maintenant plusieurs générations. Et le fruit mûr de cette vue purement matérialiste est - comme annoncé dans les nombreux écrits sartriens – l'absurde.
Absence généralisée de sens, ce qu'on a accepté de croire en tant que pensée juste, ce qui a produit l'absurde actuel de réplique (dites scientifiques) au covid incohérentes, jusqu'à ne plus pouvoir vivre sans laisser-passer daté et signé, et respirer que sous un masque !
A système de pensée inique, vie pratique marquée par des absurdités. Au plan médical individuel, on appelle cela somatisation...

L'AVEU D'UNE VUE AVEUGLE

C'est ainsi que par une seule phrase, Sartre a pu formuler la fin de sa pensée, de ses recherches, conclure de manière on ne peut plus explicite l'essentiel de ce qu'il a écrit :

"L'univers sans Dieu, sans raison d'être, est absurde dans son ensemble et dans ses parties."

Voilà donc le résultat d'une vie intellectuelle entière passée à penser (Simone de Beauvoir : Il pense tout le temps !").

Sans avoir besoin de beaucoup réfléchir, on découvre que cette affirmation simple et capitale pour le coup, contient deux vérités fondamentales.
Premièrement qu'en partant d'un point de vue matérialiste du Réel, on ne peut arriver qu'à cette conclusion de l'absurdité prégnante et dominante du monde. Ce qui s'appelle perdre le sens des réalités.

Le monde fonctionne toujours aussi merveilleusement (là où l'homme devenu intelligent ne met pas sa main), mais on ne le voit plus dans son objectivité sensée. On se perd subjectivement dans un non sens créé, théorique, pensé, de ce qui est, compris de notre propre existence...

QUAND LE SENS EST RENDU INTERDIT...

D'où les deux solutions que nous connaissons (par Sartre lui-même et d'autres) à cette impasse du sens (ou impuissance du non-sens) : Pour continuer à vivre, il ne reste que l'hédonisme - dit moins hypocritement les plaisirs sensuels, charnels, de la table et du sexe ; et quand cela même perd son goût, cette (in)compréhension devient trop intolérable, arrive la pensée - et jusqu’à l'acte - du suicide...
Par exemple, pourquoi ne nous dit-on pas avec le nombre quotidien de victimes du virus, combien il y a de suicides ? Ou combien de tués de la route ?...
Une information partielle, partisane, qui n'est pas mise en perspective, fait partie du jeu des absurdités.

L'autre vérité incluse dans cette phrase de Sartre, qui confirme l'absurde du regard athée sur le monde, est qu'en inversant la proposition, on pourrait sortir de l'absurde. Mais on ne le peut même pas !
Car vu autrement, l'univers avec Dieu, avec une et des raisons d'être, a du sens dans son ensemble et dans ses parties.

Mais voilà ! Enfermés dans une vision matérialiste, sans recul que la peur de tomber dans le mauvais plan qu'est la religion, des générations entières ont entériné en eux-mêmes, sans rien remettre en cause, que le monde s'est fait tout seul, que la nature est auto-créatrice d'elle-même (ce qui est indéfendable scientifiquement ) ou encore qu'on n'est que des existants aléatoires - des animaux, socialement parmi les plus mal évolués -, sans autre possibilité que vivre un peu (en quelque conscience) et mourir (ce qui ne serait que l'anéantissement de la conscience).

Que vaut la réflexion humaine, philosophique ou idéologique ?
On juge un arbre à ses fruits !
Si on veut savoir, les réponses nous sont accessibles, écrites dans l'histoire et vivantes dans l'actualité : même les plus grandes intelligentes ne sont pas garantes de l'accomplissement du bien (même le plus souhaité)...

L'ABSURDE DANS NOS RUES, DANS NOS MURS, DANS PRESQUE TOUT !

Les expressions d'absurdités concentrées rien que cette dernière année témoignent manifestement que ce monde s'est développé intellectuellement sans Dieu. C'est-à-dire sans la conscience de la principale raison d'être de nos existences - qu'est l'intention de Dieu de partager ses biens et à la suite son éternité avec nous ses créatures désirées.
Certes c'est notre liberté de pouvoir opter pour ce regard sur le monde, mais arrive un temps où il faut savoir remettre en cause nos options d'existence.

Notamment quand l'absurde nous rejoint  plus que jamais sur le terrain physique, dans notre quotidienneté matérielle ! Au point de venir catapulter ce qu'on peut avoir de raison. Une raison qui dort par rapport au Réel ! Une conscience plus qu'émoussée au sujet du bien et du mal !
Un réveil nécessaire avant que les circonstances personnelles ne deviennent plus difficiles encore...

Il faut que nous réalisions, que nous admettions, que notre raison n'est pas à la hauteur des dangers (immédiats ou potentiels) inhérents à ce monde et à notre propre activité intellectuelle.
Il ne s'agit pas de savoir penser, pour penser juste ! Connaissance et sagesse ne vont pas automatiquement de pair !

LA COVID, ABSURDITÉ OU JUSTICE ?

La Covid devient ainsi - parce que le monde et les événements ont du sens ! - un projectile balistique qui met en lumière toutes nos insuffisances et incompétences, tout ce qu'on a de tâtonnant (alors qu'on cherche toujours à se montrer sûr de soi), de peurs, de timoré, d'incompréhension, de solitude profonde, de non-solution.

Dans le sens qu'a le Réel, ce virus est rien moins qu'un jugement, tombé sur nos comportements égocentrés impies (athées, agnostiques et même religieux, idolâtres).
Parce que si on peut vivre de longues périodes sans que la réalité de la justice et des juges occupent notre existence, il n'empêche qu'ils sont toujours là. Et que le jour où une faute - ou une somme cumulée de transgressions - déclenche la machine judiciaire, d'un coup cela prend le pas sur tout le reste.

C'est ainsi avec Dieu : il est toujours là, en retrait de la liberté qu'il nous a donnée - et des libertés qu'on se donne... jusqu'au jour où on dépasse une borne - une de trop ! -, et alors le mal nous vient comme un boomerang.
Dit autrement, "on récolte ce qu'on sème", et semer un mauvais vent - même si on n'en a pas conscience -, peut faire naître une tempête.

C'est une loi de causalité basique à connaître concernant le bien et le mal !

MANQUER LE BUT ! PASSER A CÔTÉ DE LA BONNE RÉACTION

Que faudrait-il alors ? La bonne réaction serait de s'humilier, selon que déjà le mal tend toujours naturellement à nous abaisser.

Mais au lieu de s'humilier, on manifeste son mécontentement ; on cherche nos propres moyens de répondre. On critique les autres, on veut en faire "le bouc émissaire" (le responsable)... ce qui fut la première réaction - mauvaise - des êtres humains, comme le rapporte le 3e chapitre du 1er livre de la Bible (La Genèse).

On commence même à bomber le torse parce qu'on va pouvoir produire un vaccin ! En un temps record ! Pour éradiquer ce mal en vaccinant tout le monde !

Attention là encore, à ce que ce sursaut d'orgueil ne soit pas ce qui va amener une ruine bien plus terrible encore ! "La précipitation mène à la ruine" dit un proverbe biblique ! Et encore "Telle voie paraît  droite à u homme, mais son issue c'est la voie de la mort." Proverbe 14.12.

LES ENSEIGNEMENTS DE L'HISTOIRE

Car il ne suffit pas de trouver une solution à partir de nos compétences et intelligences, pour qu'on soit capable d'en appliquer le principe de manière bénéfique.

Juste un exemple parmi plusieurs :
Quand Albert Einstein trouve la formule de l'énergie (et donc de sa formidable libération de la matière atomique), c'est une avancée scientifique majeure.
Au point où, en pleine guerre avec le Japon, le Président américain Roosevelt demande à Einstein si une application de sa découverte pourrait aider les Etats-Unis dans la guerre du Pacifique : L'idée est de faire une bombe plus puissante que toutes les autres : une bombe atomique, nucléaire.
Le physicien répondit juste Oui.  Et rapidement les premiers développements de la formule E = mc² ont donné l'anéantissement d'Hiroshima et de Nagasaki.

Ainsi à son origine, le vaccin fut un bien en soi. Mais savons-nous que ce principe du mal pouvant guérir le mal, fut mis à jour par un scientifique majeur qui était surtout un chrétien sérieux, engagé. Louis Pasteur ne cachait pas sa foi et s'appuyait de fait sur Dieu et son Esprit-Saint pour avancer dans ses découvertes. D'où le succès de son pas de foi d'alors contre la rage, et tout le champ ouvert contre le mal par ce moyen..

Mais aujourd'hui, les chercheurs qui travaillent sur le vaccin (comme sur bien d'autres projets), sont-ils conduits par l'Esprit divin mit au centre de leurs travaux comme de leur existence personnelle ?
Ce qui veut dire qu'il ne suffit pas de faire une découverte pour avoir une solution bénéfique ! Les exemples ne manquent pas de médicaments qui ont handicapé ou tué plus que sauvé des vies (la Thalidomide, le Médiator, Célébrex, Vioxx, des anti-biotiques, prothèse PIP, etc...).

Donc !?...

"C'est la bénédiction de l'Eternel qui enrichit, et il ne la fait suivre d'aucun chagrin." (effets secondaires) Proverbe (biblique) 10.22.

En ce temps de ténèbres qui avancent, la première bonne réaction est bien certainement de venir ou revenir au Dieu véritable - Celui qui est en même temps amour et justice.
Pour vous aider à faire cette démarche essentielle et toute personnelle, vous pouvez cliquer ici > guide de prières.

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22 novembre 2020 7 22 /11 /novembre /2020 11:05

Connaissez-vous Sylvain Tesson, cet aventurier écrivain en qui je trouve beaucoup de pensées justes.
Illustration si cela vous intéresse par > cette vidéo enregistrée par France Inter.

Mes deux articles précédents qui sont dans le même sens :

AVOIR DES PENSÉES JUSTES

LE RÈGNE DE L'ABSURDE

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21 novembre 2020 6 21 /11 /novembre /2020 20:12

Il y a des écrits qui peuvent nous aider à traverser des temps périlleux !... Mais certainement pas tous !...

UNE PENSÉE JUSTE !

« Pour comprendre le présent et prévoir l'avenir d'un peuple, il faut bien connaître son passé, suffisamment pour saisir le sens de son histoire particulière. » Lee Kuan Yew, 1er ministre de Singapour de 1959 à 1990.
Au même moment, je trouve cette phrase de Gilbert Presle (longtemps responsable de diverses associations importantes) : « Nous le savons bien, une œuvre ou une institution qui oublie ses racines ou son histoire, court à sa destruction à plus ou moins longue échéance. »

Le même jour, sur un site internet cette phrase de l'ex-Général des Armées Pierre de Villiers : « Un peuple sans ses racines n'a ni présent, ni avenir. »

Le message n'est-il pas clair ?
La triste réalité qu'est notre situation – sanitaire, économique, sociétale, relationnelle, personnelle – ne trouve-t-elle pas sa cause dans ce que disent ces trois personnes ? Que nous avons perdu le fil de notre histoire.

DES FAUTES MAJEURES = DES PRIX A PAYER

Quand Jacques Chirac, alors Président de la République, refuse que soit fait mention pour l'origine et la définition de l'Europe de ses racines chrétiennes, qui sait le mal grave qu'il a fait (et qu'il s'est fait) ?
Quand Nicolas Sarkozy, alors Président à son tour, court-circuite le résultat du référendum où le peuple a répondu « Non » à l'entrée de la France dans une Europe politique, ne s'est-il pas coupé les ailes (politiques) pour toujours ?

Quand son successeur veut marquer son temps en passant en force la loi dite du « mariage pour tous », avait-il une seule chance d'être réélu au terme de son mandat ?
Quand Louis XIV contre la partie la plus travailleuse de son peuple en révoquant l’Édit de Nantes, ne signe-t-il pas jusqu'à la décapitation de Louis XVI ?
Les exemples ne manquent pas dont le final peut-être l'engloutissement d'une culture ou civilisation au profit d'un nouveau chaos ? En voyez-vous déjà les sombres tâtonnements et les terribles contours ?

Et donc quand un système va finir, sortons-en avant d'être enfermé dans ses ruines les plus contraignantes. Redécouvrons-nous personnellement comme créature de Dieu, sui a besoin d'être en paix, en ordre, avec ce Créateur incontournable!

Guide de prières pour une approche vivante du Dieu véritable.

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17 novembre 2020 2 17 /11 /novembre /2020 10:19

C'EST UNE LOI
Il nous faut perdre les bonnes choses dont on dispose pour nous rendre compte de leur valeur qu'on n'a pas alors su apprécier.

C'est surtout vrai pour les choses les plus courantes, les plus ordinaires, comme pouvoir se déplacer, marcher, respirer normalement, dormir, manger à sa faim, voir normalement, aimer (un travail, son conjoint ou son enfant), pouvoir simplement parler avec quelqu'un, être écouté, ne pas être sourd ou handicapé...

C'est qu'il y a une valeur exceptionnelle à chacune de ces choses basiques et fondamentales qui constituent la vie et notre existence "ordinaire".
Une des choses simples dont j'ai pu expérimenter et apprécier la valeur (la saveur) comme jamais auparavant, fut de respirer l'air frais d'un matin de printemps le jour où je sortis d'une quinzaine de jours passés allongé sur un lit d’hôpital.

Et il y a ainsi des impressions, des sensations perdues, si banalisées qu'on les a perdues alors qu'on continue à bénéficier des choses... mais sans cette saveur qui change la vie, sans la conscience d'une sensibilité, d'un ressenti, qui est un vrai bonheur en soi. Car il y a en réalité pour nous, un bien-être surnaturel dans le seul fait de vivre, un bien conscientisable, qui se vit facilement mais hors de conscience quand nous sommes enfant, et qu'un jour nous ne touchons plus. Le bonheur se perd très curieusement sans qu'on s'en aperçoive. C'est alors le mal-être qui nous le rappelle.

Et c'est bien de cela qu'il s'agit : on continue à vivre une dimension basique de ce monde, physique, physiologique, matérielle, psychique aussi (notre âme, en grec la psyché), mais en étant coupé, déconnecté, dans une dimension de notre perception et de notre être profond : dans notre dimension spirituelle - celle où les sensations, les ressentis les plus profonds opèrent.

Ressentis bons, agréables, enthousiasmants, réjouissants, vivifiants, quand on vit bien notre relation à nous-même et à nos environnements ; mais aussi ressentis les plus bas (non sens, dépression, aphasie, tension, irritation, mépris, haine, isolement...) quand on a perdu de vue (ou jamais compris, ou peu connu) ce qui fait la base la plus fondamentale du bien-être individuel.

LE PHÉNOMÈNE ENTROPIQUE 

Dans tous les cas, tous, sans exception, perdons du goût de la vie, du bien "normalement" lié à ce qui constitue notre vivant. Plus ou moins rapidement selon la qualité de notre rapport au bien et au mal...

Même en pleine possession de nos poumons ou de notre appétit, d'une possibilité de gagner régulièrement sa vie ou de se faire plaisir sainement, on n'en retire bien vite plus l'essentiel, la quintessence, l'effet le plus profond et bénéfique.

Il y a usure, habitude, routine, des automations préjudiciables, le sentiment d'acquis qui n'ont rien d'exceptionnels...

Or tout est exceptionnel dans cette vie ! Tout y a une dimension surnaturelle, et il va nous falloir en perdre les effets les plus sensibles, les plus agréables, les plus réellement réjouissants, pour s'apercevoir qu'il nous manque toujours quelque chose, qu'on n'a pas vu ou qu'on est passé à côté de quelque chose de fondamental. 

Et ce qui manque alors, a un nom. C'est de l'ordre de l'esprit, du Divin.
C'est notre dimension spirituelle qui est affectée, une part en nous qui vient directement de Dieu... et qui se retire de nous si nous ne la connaissons pas. Si nous ne regardons jamais en conscience à cette partie de nous-même qu'est l'esprit.

Résultat : Cette part du Divin en nous s'étiole, n'est pas écoutée en tant que conscience morale et en tant que guide de notre existence, de nos choix.

COMME UNE VIE QUI MEURT EN NOUS !

Et quand ce souffle intérieur intelligent sent et voit qu'il n'a plus sa place bénie (bénéfique) en nous, il se retire comme la vapeur s'échappe d'une eau trop agitée par par les chaleurs ou les torpeurs de nos comportements controuvés.
La flamme de l'esprit en nous se souffle aussi comme celle d'une bougie. On meurt alors spirituellement.
L'esprit lui ne meurt jamais - il est éternel. Il nous quitte, et c'est nous qui descendons dans une mort... qui donne ce manque, ce "vide en forme de Dieu" comme en parla Pascal.

On reste comme les animaux, avec un corps spécifique et une âme individuelle. Mais pas plus. Et cela ne permet à personne parmi nous d'être heureux, d'être complet en nous-même.
Car on a été créés pour être une entité tripartite : Comme Dieu est trois en un (Genèse chap. 1, vers. 3), nous avons été conçus pour être une âme dans un corps et avec un esprit.

Si l'âme sort du corps, c'est la mort physique (physiologique). Si l'esprit sort du corps, on meurt spirituellement. Et ainsi, il y a beaucoup de vivants-morts sur la face de la terre... Lire le chap. 2 de la lettre biblique dite aux Ephésiens... Aussi mon témoignage de restauration par et avec Dieu en cliquant sur ACCUEIL.

Et le confinement est à voir comme un temps accordé à ce genre de réflexion profonde... car on n'est pas des animaux.

 

Parcourez ce blog, il ne manque pas d'articles sur la connaissance de soi et du Réel... avec ses deux versants (formés de l'Incréé d'une part et du Créé d'autre part).

Ici > un guide de prières pour rencontrer Dieu, pour retrouver en lui la réalité et la force de son Esprit, une paix souveraine qui vient de notre relation restaurée avec Lui.

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12 novembre 2020 4 12 /11 /novembre /2020 14:19

La foi vivante consiste à entendre (ou lire) des "paroles de Dieu", notamment telles que la Bible nous les rapporte et propose.
Et la meilleure réponse à tout ce qui gravite de nocif autour de lacovid, c'est venir ou revenir au Dieu réel, vivant créateur et rédempteur.

Qui, connaissant les découvertes scientifiques rien que du dernier siècle, peut encore croire que le hasard est le maître du monde, créateur de l'univers et des diverses formes de vie par le jeu d'une dynamique seulement évolutionniste !???

A lire ou à écouter : LE PSAUME 103

"De David. Bénis l’Eternel, mon âme ! Que tout ce qui est en moi bénisse son saint nom !

 Pour prier > un lien pour vous aider <

Une courte vidéo aussi

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27 octobre 2020 2 27 /10 /octobre /2020 21:10


Bien avant que le covid n'apparaisse, on disait que la peur est mauvaise conseillère.
En effet, si elle est aussi un déterminisme qui nous avertit d'un danger, qui nous trouble quand on fait ou va faire quelque chose de mal, le revers et l'installation de cette émotion est une problématique d'une autre ampleur, qu'il est bon d'aborder pour ne pas en rester captif.
Car décider, faire des choix à partir de la peur risque de nous entraîner dans des situations plus catastrophiques que celle dans laquelle nous somes (on dit aussi "tomber de Charybde en Scylla").


L'ORIGINE DE LA PEUR
Le livre aujourd'hui toujours le plus lu de la planète, bien que vieux de 3 500 ans environ (pour ses premiers livres), la Bible, nous dit quelle est l'origine de la peur : Un accident terrible qui surprit le premier couple humain, une catastrophe qui tient d'une panne d'électricité permanente dans un iieu qui n'est jamais que pénombre.

Le drame vient surtout de ce que cette perte très conséquente s'est produite dans le cœur, dans l'âme des protagonistes. (lecture du rapport de cette chute ici).


Depuis on a compris que cet effondrement de la souveraineté humaine est du à un manipulateur qui a ainsi, par ruse, eu raison du genre humain. Partout par le monde on l'appelle Satan ou Shaïtan, un ange déchu lui-même, sorti de son rang angélique et donc tombé, une perte de position élevée qui l'amène à chercher des compensations en dominant partout où il peut.
Et ainsi, depuis cette rencontre de Genèse chap. 3 qui a mal tournée, la peur est entrée sur la terre et nous atteint tous (plus ou moins).

Si on n'a pas d'idée de ce qu'est cette peur à ce niveau-là, passez une nuit ou deux dans une maison hantée ou dans un hôpital psychiatrique, défoncez-vous avec des drogues, trouvez-vous sur un terrain où un ou plusieurs démons puissants se trouvent et agissent (scène de guerre, d'émeute, de massacre...), et vous découvrirez une des réalités les plus maléfiques qui dominent notre univers.

Plus couramment, cette sensation qui donne des frisson dans le dos par exemple, se perçoit par nos écrans qui ne manquent pas de scènes meurtrières, sanguinaires ou obscènes, orchestrées ou boostées par ces esprits occultes plus ou moins puissants.

Avec le recul significatif (l'apostasie) de ce qu'on appelle globalement le christianisme, cette situation qu'on pourrait qualifier de moyenâgeuse revient ! Des démons sont de plus en plus libérés parmi nous.
Voilà pourquoi on se sent mal dans son propre logement ! On y laisse entrer des présences sans s'en rendre compte, sauf par le fait qu'on sent parfois comme des mouvements invisibles, l'impression d'une présence, un froid dans le dos, on fait des cauchemars, on ne se supporte plus - car un démon n'est jamais là pour amener la paix, le pardon, des réconciliations.

Même sans regarder la télé ou voir des films d'horreur au cinéma, aujourd'hui on n'a pas besoin de chercher bien loin ce ressenti maléfique, ce sentiment d'insécurité, qui crée l'angoisse, la panique et autres pathologies liées à ces présences et à ces troubles : de plus en plus de démons sont dans la rue ! Dans nos espaces publics. Et la réalité du covid - et des peurs qu'il peut engendrer - est une expression de ce genre de phénomènes maléfiques.
Pourqoui ?
Pour qu'on s'interroge sur le monde tel qu'il est, et non comme on a cru qu'il était (avec l'homme capable de tout dominer, de se sortir de tous ces problèmes, de faire de la terre un paradis).
De plus en plus les illusions humanismes et athéistes tombent.
La réalité de fond de notre monde - qui est l'existence d'un Dieu à l'origine de l'univers et de la vie, et d'un ange puissant devenu mauvais qui nous domine avec beaucoup de démons de son camp - apparaît et va apparaître de plus en plus.
D'autant que nous sommes responsables, par nos comportements, par nos libertés prises à la légère, par nos manipulations psychologiques et génétiques, par nos égoïsmes dominés par la cupidité économique (capitalisme) et individuelle, les régimes politiques ou politico-religieux dictatoriaux, etc...

Bien de nos modes, slogans, concepts nouveaux résultent de sollicitations démoniaques, de tentations perverses, de pensées iniques... ce qui donne des comportements généralisés (sociétaux ou personnels) qui ouvrent des portes, donnent des entrées dans notre sphère à des multitudes de ces anges dénaturés.

Et donc quand le sentiment de peur, d'insécurité ou d'angoisses parait dans nos rues ou dans nos habitations, c'est qu'il y a un problème de cet ordre.

Nous parvenons actuellement et je pense sans retour (cette fois) par nous-même, à une fin car on ne s'est encore jamais autant éloignés des lois et principes et ordres divins que maintenant.

On s'est donné des normalités artificielles et artificieuses, controuvées, sans avenir. Et le port du masque généralisé est une image parlante de cette perte du naturel, de la simplicité de la vie telle que Dieu l'a conçue pour notre paix et bonheur.
C'est à un point tel, que les notions de bien et de mal, de sens, de cohérence, sont perdues de vue, trop éloignées des coeurs (des dirigeants comme de beaucoup de populations). Les vérités en soi, objectives, ne nous intéressent pas. On préfère avoir chacun sa vérité sur tous : comme si on allait pouvoir construire une unité (mondialisation) ou une fraternité humaine de la sorte.
Et c'est pourquoi il ne va pouvoir paraître - très vite - qu'un totalitarisme planétaire dont les effets de la pandémie sont l'image et la préparation...

Alors peur oui, angoisse et perte de liberté n'ont pas fini de nous surprendre et de s'imposer. Et donc, fatalisme ? Rien à faire ? Subir comme des moutons qu'on mène au parcage ?

SOLUTION !?
La plus simple, la moins onéreuse, la plus sûre !? Revenir à Dieu ! Revenir au Dieu qui permit avec des Clovis, des Saint-Louis et autres rois (dits "très chrétiens"), que la Gaule devienne la France et se construise en ethnie stable sur quel fondement ?
Celui de la foi au Christ, des valeurs humaines que Jésus vint faire connaître et mettre largement et révolutionnairement à la portée des coeurs qui l'acceptèrent comme le bon chemin. "Je suis le chemin, et la vérité, et la vie", dit Jésus. Et pour être devenu chrétien après plusieurs mauvaises expériences en tant qu'incroyant, je vis depuis longtemps la réalité des bienfaits de venir à Dieu, de se confier en lui, pour être pardonné de nos erreurs, de nos égarements, et entrer sous sa divine protection. Car on va en avoir besoin de la protection de Dieu et de Jésus, non seulement pour notre corps, mais aussi pour notre coeur, pour notre âme...

Un court message encourageant pour les chrétiens

Un guide pour faciliter votre prière

Vidéo-chant "N'ayez pas peur"

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