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17 juin 2020 3 17 /06 /juin /2020 08:13

A l'occasion de cette pandémie coronavirale, ce fut clair (ici en France) que le politique s'est appuyé sur le scientifique, et que le fameux Conseil scientifique, selon une déclaration de son président (Jean-François Delfraissy) a reconnu que des "erreurs d'évaluation initiales" ont pu être commises. Il parle de décisions prises "à la lumière des connaissances actuelles".

QUE COMPRENDRE DONC ?

- Que la somme des connaissances scientifiques acquises et avérées jusqu'à l'apparition du covid n'était pas suffisante pour faire face ;

- Qu'en situation de crise ou d'urgence, il faut apprendre a posteriori, pour une prochaine crise ou urgence semblable... qui ne surviendra pas ou qui sera plus ou moins différente.
Ainsi le covid n'est pas une première en matière d'épidémie coronavirale (grippe dite espagnole en 1918, grippe asiatique de 1956 à 1958, grippe de Hong Kong en 1968...). Ces précédents et les recherches de solution d'alors ne nous ont pas armés pour autant a priori contre le covid-19 ;

- Que la science est donc nettement insuffisante pour faire face à l'avenir, d'autant que cela a clairement été mis en évidence par Edward Lorenz depuis les années 60, ce qui a été appelé théorie du chaos. Elle définit le principe d'imprévisibilité, et donc nous laisse toujours dans l'incertitude quand à ce qui va arriver et quelle capacité on aura ou pas pour affronter les imprévus ;

- Que si les sciences permettent d'obtenir et d'avoir des connaissances exactes, on n'a pas pour autant les moyens pour les appliquer efficacement puisqu'elles sont toujours partielles, incomplètes, et encore limitées par l'homme et ses propres capacités d'interprétation et d'application ;

- Que de fait la solution par des vaccins n'apporte aucune assurance quant à l'avenir.

En conclusion la science ou mode d'approche scientifique des problèmes n'a rien de sûr, ni aujourd'hui ni demain (malgré les espoirs ou espérances qu'on veut se donner que demain on aura, on pourra, on fera...).

ALORS QUE NOUS MANQUE-T-IL ?

On devrait le savoir depuis longtemps !
Il nous manque ce qui permettrait de réagir à temps, de manière juste, face à quelque problème que ce soit qui se présente (anciens ré-émergents ou tout nouveaux).
Il nous manque Celui qui connaît aussi bien le futur que le passé et le présent - étant éternel, c'est-à-dire indépendant du déroulement des choses en temps tel que le produit la limitation de la vitesse de la lumière.
Il manque que nous nous confions en Dieu quand ça va mal... et quand ça va bien (par reconnaissance, en remerciements).

Il manque la foi... qui pourtant est un principe premier, un des moteurs fondamentaux du vivant.

Il manque la profondeur qui permettrait de voir que rien ne peut sortir de rien et que rien ne peut se construire et s'organiser (comme est tout l'univers) par des jeux de hasards et de nécessités.

Il manque entre autre parce que la place de Dieu est tenue par notre orgueil qui veut nous faire croire que sans Lui on peut se développer avec bonheur, faire tout ce qu'on veut sans en subir des préjudices, vaincre les adversités, maîtriser l'avenir, nos projets...

Or les ruptures ne manquent pas - ne manquent jamais - dans notre continuum de santé ou de réussite, de bien-être ou de bonnes relations.
Et si on ne prête pas assez attention aux causalités - qui mettent en relation nos comportements (moraux ou pasn sages ou pas, maîtrisés ou pas...) et des effets tels que le bien-être ou le mal-vivre, la sécurité ou l'insécurité, du bien ou du mal qui nous arrive -, il reste encore la mort dont il est difficile de se dédouaner, qu'il est difficile d'éviter seulement par des pensées philosophiques, par des postures intellectuelles, par l'ignorance ou l'arrogance.

Alors oui, merci covid pour les leçons (nombreuses) qu'on peut en tirer... si on choisit de voir le positif, c'est-à-dire de mettre du sens dans ce que nous vivons.

Et le sens, c'est comme sur la route, il y a des bons sens de circulation, et des sens interdits (dans lesquels s'engager revient à tout rendre dangereux, compliqué et même absurde comme l'a déclaré JP Sartre*)

D'où l'attention que nous pouvons avoir à cette parole assurée que Jésus a prononcée : "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi."**

Fallait oser ! Non, il fallait surtout être ce qu'il savait qu'il était... Ce que nous avons tout avantage à savoir nous même...

Bonne route pour votre suite d'existence. 

_________________
* "L'univers sans Dieu, sans raison d'être, est absurde dans ses parties et dans son ensemble."

** Evangile selon Jean ch. 14, vers. 6

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9 juin 2020 2 09 /06 /juin /2020 16:37


C'est une grave erreur que de croire que les pires moments de la terre sont passés... dès lors qu'on ne comprend pas et qu'on ne cherche pas de quoi ce monde est fait, spirituellement comme matériellement.

Une manière de voir que notre humanité est parvenue comme jamais à une fin - la fin du respect de ce qu'elle a et de ce qu'elle est d'humain -, est de considérer la part et l'emprise que la science s'est taillée parmi les forces de domination.

On est partis il y a deux siècles de l'hypothèse que la science valait bien mieux que la religion en ce qui concerne la connaissance de l'homme et les moyens de nous rendre libres et heureux, c'est-à-dire de nous désaliéner.

On a eu quelque temps en occident l'impression - illusion d'optique - que l'on se libérait, d'une part par des savoirs croissants vulgarisés, d'autre part par un remplacement de l'individu par la machine.
Cependant les conditions de travail en usine (ou à la mine) sont vite devenues infernales... ce qui fut mis (non sans raison) sur le dos des propriétaires fonciers et autres patrons. Le problème et l'éclairage était donc une confirmation qu'on ne change pas le cœur humain par des enrichissements matériels.

Des réflexions et "la raison", autrement appelées "les lumières" du XVIIe, firent émerger le concept d'humanisme - en gros un cocktail béat, lénifié et lénifiant de bourdes et d'hypothèses scientifiques hardies mêlées à des valeurs évangéliques avérées mais saisies sans besoin de recourir à Dieu. La démonstration n'allait pas tarder que ça ne marche pas... pour établir le bien la paix.

Car cette vue philosophique du monde muta assez rapidement en révolutions et conflits armés terribles (à partir de 1789), et bientôt en socialisme, idéologie principalement allemande.
Les deux fruits de cette vue sociale et athée des sociétés parurent à peu près en même temps. D'une part dans une application concrète, de terrain, élargie à l'international : le communisme... avec ses meurtres et déportations de masse, goulags et totalitarisme, en Russie puis en Chine...
Et d'autre part, cantonnée au plan national, la pensée socialiste donna naissance au fürher Hitler, au nazisme démoniaque et la Shoah tout autant satanique (où les sciences de pointe étaient par leurs effets parmi les armes les plus terrifiantes).

Démonstrations étaient faites qu'il n'y a pas que les croyants pour occire le genre humain. Et donc que c'est le cœur humain - en tant que vie intérieure déterminante qui est le problème, et où il importe de comprendre et de vouloir agir.

Hébétés mais réfléchissant, les survivants décidèrent de s'unir pour ne plus s'entretuer.
Des prospérités en découlèrent, notamment par la recherche scientifique qui pénétra de nombreux mystères dont la création est largement pourvue (pour la joie de la découverte et des applications).

Outre les bombes de Hiroshima et de Nagasaki et outre les accidents de Tchernobyl et de Fukushima, nous sommes aujourd'hui parvenus au bénéfice d'applications beaucoup plus personnelles (si on peut dire). avec l'informatique, Internet, les portables, les mobiles.
En rien de temps, ces applications technologiques se sont multipliées, se multiplient, se mettent à jour et deviennent obsolètes. C'est une course en avant, un sprint - pour ne pas être largué - et un marathon qui nous accroche jusqu'à une sweet mais puissante addiction (ce qui s'appelle manipulation, oppression, obsession ou possession quand on voit cette réalité dans sa dimension spirituelle.

Si on reprend la phraséologie ancienne, ce qu'on appelle désormais addiction (aux produitstechnologiques de dernières générations et bien d'autres choses) c'est une aliénation.
Parce qu'on a basculé de la satisfaction prioritaire des besoins réels, à la fabrication de faux besoins.

Ainsi a émergé en quelques décennies une explosion de techniques et technologies, dûe à l'appât de gains matériels, économiques, financiers et à une satisfaction de désirs, d'envies suscités (en jouant sur la vieille perversion qu'est la convoitise).

Cette explosion de biens accessibles au plus grand nombre - même les pauvres, les SDF et autres émigrés sans papiers ont un mobile, voire avec internet) est en train de travailler à changer l'être humain en le déterminant au plan de l'espèce*.
Et qui dit déterminisme d'espèce, ne dit pas progrès, évolution positive, émancipatrice, mais régression à... l'animal - voire pire dans la mesure où les déterminismes inculqués ne sont pas compatibles avec les lois de nature (physiques, morales, psychiques, spirituelles).

C'est ce que produit tout système de gouvernement directement totalitaire, mais aussi une organisation plus subtile, mieux élaborée, qui accepte toutes les opinions et cultures seulement pour mieux les fondre dans une pensée unique qui les chapeaute.

De la sorte la science s'est adroitement substituée à la force brute, physique, armée, pour mettre en place un système impérialiste comme Satan et les démons cherchent sans cesse depuis la nuit des hommes à établir sur le genre humain.
On se comprend bien ! Ce n'est pas la science en tant qu'approche du réel qui est un problème, une mauvaise voie; c'est le fait que les humains que nous sommes, ceux qui utilisent les acquis de la science gagnés sur l'ignorance ou l'erreur, qui soit la pervertissent par une interprétation subjective (comme avec l'évolutionnisme), soit en tirent des applications malignes du fait notamment de l'appât de gains possibles, de peurs ou d'orgueil, et encore de soif de pouvoir.

Dire comme Rousseau que l'homme est bon mais c'est la société qui le corrompt, c'est du même ordre que dire que les scientifiques sont bons mais c'est la science qui les pervertit. Il est bien évident que, malgré le succès qu'on accorde encore à Rousseau ou à certaines marques de produits technologiques, c'est bien le contraire qui est vrai. C'est bien l'être humain individuellement, en soi, qui est corrompu en son être intérieur profond (qu'on peut appeler l'âme ou le coeur), habité et mu par une force problématique que la Bible nomme "le loi du péché et de la mort" (de la mort en ce qu'elle est l'aboutissement de cet égocentrisme dégénéré qu'est le péché.
De cela nous n'avons pas même à conclure qu'on doit être amélioré (individuellement), mais plutôt réformé (re-formé), transformer, régénéré. 
Pour être clair, il n'est pas question que nous devenions meilleurs comme une chenille serait une meilleure créature en se faisant pousser des ailes, mais ce que la Bible annonce et propose c'est que la chenille que nous sommes s'efface en reconnaissant ses misérables limites, pour que Dieu la transforme en un papillon tout autre. C'est bien toujours la même créature, mais tout en étant devenu bien autre chose... Ce qui est appelé la rédemption.
 

CONSEIL SCIENTIFIQUE !?

On peut observer le phénomène qu'on va appeler scientiste*** plutôt que scientifique, émergé suite à l'apparition du dernier coronavirus, où tout à coup un "Conseil scientifique" décide de ce qu'est le bien (faire) et le mal (faire) alors qu'il est évident qu'il n'a même pas les données nécessaires qui lui permettraient d'analyser avec objectivement la situation, en vue de proposer effectivement des réponses pertinentes où l'individu est largement pris en compte.
Dès lors sous couvert scientifique et à partir de ce bien précieux qu'est la santé, voilà que des normes apparaissent, qui n'ont pas forcément la vérité pour fondement.
C'est d'autant plus vrai qu'on sait depuis maintenant bientôt un siècle qu'il n'y a aucune science exacte... et dès lors sans doute pas davantage, voire bien moins, d'applications justes.****

C'est pourquoi cette pandémie n'a pas pu être prévue, d'où les manques, la panique, les communiqués et les démentis, les tâtonnements et certainement plus d'une affirmation qui donne l'impression qu'on sait, alors qu'on ne sait pas.

LE BIEN CHANGÉ EN MAL
La voie scientifique est un bien pour tous. Mais elle ne sera jamais suffisante en elle-même. Il faut y adjoindre une autre rationalité pour un maximum de justesse, notamment morale... et certainement économique comme c'est le cas aujourd'hui.
C'est une autre loi-cadre qui se vérifie) de l'organisation humaine terrestre, que tout bien mis en œuvre sans Celui qui sait tout (parce qu'il est hors système, et notamment hors du temps) est voué à mal tourner ! C'est un principe universelle irrépressible - sauf par Dieu lui-même et par une foi intègre.

Ainsi la rationalité scientifique technique, d'ordre informatique et médicale, est et devient la rationalité de la domination même. Elle se déploie comme un moyen coercitif de la société aliénée... qu'elle enfonce encore au lieu de la faire triompher. Pourquoi ?
Entre autre parce qu'elle n'a pour connaissance et frontière du bien et du mal que les vues humaines limitées, changeantes, partielles et souvent partiales de ceux qui l'apportent.

Et d'autant plus l'individu se soumet à ce conseil supérieur, d'autant moins va-t-il chercher la solution propre qui lui convient, s'il accepte qu'une norme universelle prend le pas sur les parts subjectives des uns et des autres.
Et à ce pas, bien qu'en habits et activités civils, on est tous conduits à marcher au pas comme des militaires que nous ne sommes pas.

________________
* Il y a déjà 6 ans, j'ai été étonné de rencontrer une jeune femme dans une case sans électricité, perdue au bout de dizaines de km de chemins de terre, en plein bush d'Afrique du sud, un mobile à la main.

*** Ce qui est digne d'être appelé scientifique s'appuie sur des savoirs acquis et avérés. Par scientisme je parle d'extrapolations, d'hypothèses hasardeuses qu'on tire pour les besoins d'une cause, de certaines vérités scientifiques établies mais dont on s'éloigne en disant ce qui ne se sait pas, en donnant comme un savoir véritable ce qui n'en est pas.
Si faire des hypothèses, avancer des modélisations inédites est une bonne chose de manière théorique, dès lors qu'elles sont proposées pour être soumises à étude et validation (ou invalidation). Mais user de cette méthode pour apporter des réponses justes nécessaires à un moment donné où on ne les possède pas, c'est jouer aux apprentis-sorciers, c'est prendre la place de Dieu - qui seule sait tout et possède toutes les réponses à tous les problèmes. C'est non seulement risquer de se tromper, mais c'est en tromper d'autres, et c'est risquer d'être abaisser de manière significative (selon que celui qui s'élève sera abaissé)...

**** Pour rappel ici, on a de la part de Heisenberg la mise à jour du principe d'incertitude ou indétermination, par Gödel deux théorèmes qui disent la loi d'incomplétude, et par Ed. Lorenz le principe d'imprévisibilité ou théorie du chaos (illustrée par "l'effet papillon"... dont le trouble créé par le covid-19 est une expression réelle totale).

Ainsi la science s'avère déjà et toujours plus un dieu dangereux, qui, au lieu d'aider l'humain en nous, d'élargir nos espaces de bien-être et libertés intérieurs et relationnels, nous enserre dans des normes - des dogmes - qu'elle (se) donne - que les êtres humains forment - dont le but n'est pas le bien commun, mais le contrôle de tous, on l'a maintenant plus que jamais bien compris.
C'est qu'on ne peut pas ériger en dieu surnos existences n'importe quoi et n'importe qui, là où il n'y a que le seul vrai Dieu qui puisse être notre allié et notre souverain bien.
Alors que faire ?

LE SALUT, LE SECOURS EST INDIVIDUEL
A chacun de chercher, parmi les chemins supra-matérialistes, religions de traditions ou spiritualités adaptées à notre époque, Le chemin le meilleur, celui qui pas seulement pose des règles, des commandements et des interdits, mais qui porte avec lui, en lui, la force de faire échapper des chaos (KO) qui sont là et qui viennent, celui, celle qui sentira le vrai danger (multiforme) présent et voudra ne pas se laisser enfermer dans ses filets... en voyant honnêtement en son propre cœur des mouvements certains du mal semblables à ceux qui sévissent alentour chez d'autres et dans les systèmes.

"Après avoir entendu ce discours, ils eurent le coeur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres : Hommes frères, que ferons-nous ?"
Si vous en êtes là, lisez ici > la réponse qui ne change pas.

Accès ici > à un guide de prière pour commencer à matérialiser une vraie approche de Dieu (venue ou retour).

Soyez béni-e et sauvé-e.

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31 mai 2020 7 31 /05 /mai /2020 12:29

Un enseignement tout frais (de ce dimanche matin 31 mai) qui pourrait bien vous aider à une meilleure connaissance de vous-même !

Car nous connaissons-nous assez pour dire qu'on n'a pas ou plus de problème(s) avec nous-même (mauvais travers, caractère difficile, réactions incontrôlées, dépendance, addiction...) !?
D'où tout cela vient-il ? Comment se changer ou être changé-e ?
Une connaissance de soi abordée en profondeur, de la psychologie sans faux-semblant, sans bottage en touche...

Bon visionnage et bonne écoute ! LE MESSAGE ici > SPIRITUAL WARS, MES GUERRES (si vous voulez zapper les chants du début, vous avancez à 18mn 30).

 

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25 mai 2020 1 25 /05 /mai /2020 17:39

Dans cette courte vidéo, le Prix Nobel de la Paix Denis Mukwege fait un parallèle instructif entre cette tempête du Coronavirus covid-19 et une autre survenue en mer dont l'apôtre Paul fut le témoin et que nous rapporte le médecin grec Luc.

Dans les deux cas, on a affaire à une situation de crise et de transition. L'apôtre Paul a été arrêté comme un malfaiteur (qu'il n'est pas) et traverse en bateau, sous escorte romaine, la Méditerranée en vue de rejoindre Rome...

Pour sauver la situation, l'apôtre a reçu par révélation divine que pour échapper au désastre - et au salut des vies -, il faut sacrifier la cargaison, les biens, les provisions, tous les encombrants utiles comme superflus, voire le bateau lui-même.

Et parce que finalement (...), quand le cas devient désespéré, le capitaine du bateau écoute et suit les conseils de Paul, effectivement personne ne meurt... et même tous vont assister en direct (en live, de visu) à un miracle...
On peut lire ce rapport de l'événement  à partir d'ici <

On a compris qu'avec ce coronaviral l'économie mondiale a été crucifiée ! Ce qui n'est pas un mal, vu les fondements iniques et bien peu moraux qui président de plus en plus à une croissance commerciale et technologique qui s'avère avilissante (polluante et corruptrice, réductrice des êtres humains globalement à des fonctions de consommations et surconsommations - alimentaire (obésité, maladies), financière (surendettement), sexuelle (addiction jusqu'à l'impuissance ou la répulsion).
Et pour une minorité de capitalisants extrêmes, cela conduit à une concentration et une main tenue sur les richesses, un poids de pouvoir quasi sans bornes - dont chacun aura individuellement à rendre compte au Créateur... sauf déjà à Lui, pour avertir, d'intervenir comme en témoigne ce covid.

Ainsi y a-t-il toujours deux manières par lesquelles on va tous un jour ou une nuit rencontrer Dieu.
Devant son trône de grâce (ou tribunal de Christ) quand on a reçu un vrai et plein pardon de nos fautes, et où il ne s'agit plus que de recevoir de Lui des bénédictions en rapport de notre foi et marche avec Lui. 
Ou devant les trônes du jugement dernier avec, à proximité, "l'étang ardent de feu et de soufre" qu'on appelle généralement enfer.

ET DONC ?
Pour que le Dieu de l'apôtre Paul qui est le créateur des cieux et de la terre et le Sauveur, puisse être avec nous ici maintenant comme il fut avec Paul pendant son naufrage, il nous appartient de savoir ce qu'il veut que nous fassions pour être sauvés - sauvetage qui comprend notre dimension psychique (le salut éternel de notre âme qui, sans cela, est premièrement engloutie dans le "séjour (temporel) des morts" (le shéol ou hadès), contrôlé par les anges déchus devenus démons.

Si vous ne savez pas ou ne croyez pas, faite par exemple une recherche sur le net ou en médiathèque sous la rubrique EMI/NDE : des milliers de témoignages rapportent sans conteste qu'il y a une vie de l'âme au delà de la mort physique, et que cette vie de notre personne, de notre moi-je conscient, se poursuit possiblement dans un cadre éminemment paradisiaque du fait de l'amour qui y règne, sinon dans le cadre terrible de tourments ininterrompus de l'âme.

Quelles que soient les assauts
des couronnes qui veulent faire
pression sur nous - du covid-19 ou
des gouvernements de ce monde -,
on peut rester tranquille,
comme au cœur d'un cyclone,
quand on a trouvé en Dieu son refuge,
en Jésus son sauveur. 

vidéo de Denis Mukwege Prix Nobel de la Paix

ici Guide de prière(s) pour qui veut faire la paix avec Dieu dès maintenant et pour l'éternité.

 

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23 mai 2020 6 23 /05 /mai /2020 18:00

On a vu précédemment 4 des 8
(jusqu'au coronavirus actuel)
événements d'ampleur planétaire initiés par Dieu au fil des siècles et millénaires.
Il y a deux mille ans paraissait le 5e de ces événements majeurs, d'abord invisible, puis croissant jusqu'à emplir de son message et de ses effets la terre toute entière.

5e événement planétaire - JÉSUS
En symbolique le 5 est le chiffre de la Grâce.
L'événement suivant, comme un rejeton tout particulier de la foi et descendance d'Abraham, c'est encore un homme unique : Jésus de Nazareth.

"Il s'est élevé comme une faible plante", prophétisa de lui Ésaïe environ 700 ans à l'avance ! Le lieu (Bethléem) et le moyen hautement improbables de la naissance de Jésus aussi furent prophétisés ainsi que des dizaines d'autres détails, ce qui lui confère un statut à nul autre pareil.

En quoi la naissance et la vie de Jésus forment-elles un événement à portée planétaire ?
C'est que Jésus est venue comme une incarnation divine dont la finalité est de "sauver tous les hommes", de toutes nations, de toutes tribus, de toutes couleurs et langues.
C'est pourquoi aussi le Nouveau Testament qui résulte de la venue de Jésus est traduit en plus de 1 300 langues et dialectes.

JÉSUS VENU NOUS SAUVER DE QUOI ?

- des pressions, oppressions, accaparations et autres méfaits douloureux, aliénants, traumatisants, handicapants, invalidants, formés contre le genre humain par Satan et ses multitudes d'anges révoltés et dégénérés (devenus des démons de différentes forces).

Certes si les démons peuvent ainsi nous imposer leurs forces répressives (ou séductrices pour mieux prendre possession de nous), c'est que nous le leur permettons, en agissant, parlant ou pensant mal, en nous positionnant contre Dieu ou dans l'indifférence à son égard.

- Jésus sauve donc aussi de la force du mal qui nous habite chacun et nous pousse, même malgré notre bonne volonté, à mal nous comporter, à pécher pour employer un terme générique (qui signifie "manquer le but, rater la cible de ce qui est bien).
On pèche tous d'une ou l'autre des multiples manières de manifester du mal, dans tous les cas toujours à notre détriment (malgré parfois que ça ne semble pas) et au détriment de ceux que nous atteignons (parfois en voulant faire nous-même notre propre justice).

La Bible appelle cette propension à mal faire (par actions ou par omissions) "la loi du péché", une dynamique dominatrice de notre âme que Jésus peut venir réduire et soumettre en nous, en nous communiquant son Esprit avec sa "loi de l'Esprit de vie";

- sauver de "la loi de la mort", mort physique mais aussi mort spirituelle, et jusqu'à plus gravement encore mort psychique (anéantissement dramatique et éternel de la conscience de soi, de notre moi-je).
Par la même foi qu'Abraham en la vérité révélée de Dieu et de Jésus son Christ rédempteur, chacun peut échapper à ce terrible jugement de finir éternellement hors du Bien que Dieu (seul) est, défend et partage;

- nous sauver encore donc des influences et tentations qui nous environnent, ce que la Bible appelle "l'esprit du monde" que forme les cultures, les religions, les idéologies de toutes sortes. Que ce soit celle du pays ou de la famille dans lesquels on grandit? ou une (trompeuse, insuffisante) à quoi on se met à adhérer de nous-même par quelque séduction qui peut facilement avoir raison de nous si nous n'avons pas "l'amour de la vérité" pour être sauvés;

- ainsi, nous sauvant en nous délivrant de l'ignorance, des erreurs ou mensonges qui circulent, Jésus et son Esprit nous reforment (réforment, transforment) afin que nous devenions toujours plus une représentation "à l'image de Dieu"... ce qu'on n'est plus trop par nature. On est d'abord tout naturellement formés et fabriqués socialement à l'image du "père du mensonge" qui est le diable (qu'on l'appelle Satan ou Lucifer c'est le même), le chef des démons.

On sait aujourd'hui combien la foi en Dieu et en son Christ Jésus ont, depuis deux mille ans, changé la face des continents et nations, bien sûr surtout de celles dont les autorités ont elles-mêmes été touchées par le message évangélique de la grâce que Dieu accorde par la foi.

FOI EN QUOI (MOYEN EMPLOYÉ POUR NOUS SAUVER) ?

- en la personne de Jésus paru comme Sauveur (c'est la signification de son nom en hébreu, Yeshoua, Dieu sauve), autrement dit aussi Rédempteur. (Matthieu ch. 16, vers. 16 et 17);

- foi en son sacrifice volontaire, sa mort étant le prix a payé pour racheter les pécheurs que nous sommes de nos fautes et des griffes, caresses ou pommades séductrices des esprits mauvais. (Pour ceux qui veulent saisir le sens en approfondissant les réalités, on dit que cette mort est (toujours) à la fois expiatoire, substitutive et propitiatoire). Toutes choses à la fois accomplies et potentielles qui s'activent pour chacun dans sa foi personnelle;

- idem pour la foi en la résurrection de Jésus, qui est apparu physiquement après un bref séjour dans un tombeau à des centaines de personnes (1Co 15).

Il apparait aujourd'hui encore, parfois en songe ou vision à certains (notamment à des musulmans pieux qui veulent aimer Dieu sans faux-semblants et sans le connaître suffisamment), et aussi par des attouchements sensibles (expériences diverses) dans l'ordre psychique et/ou spirituel, en faveur de ceux qui l'aiment ou de ceux qu'il appelle au salut;

- la preuve permanente de la résurrection de Jésus et de sa montée au (3e) Ciel, est qu'il a envoyé son Esprit, le Saint-Esprit. Celui-ci a pris sa place, avec l'avantage qu'il peut être possiblement en même temps sur toute la terre au même moment (ce qui est de l'ordre de l'esprit échappant à l'espace-temps tel que nous le rend sensible la limitation de la vitesse de la lumière);

- foi encore en ce que Dieu a été capable de dicter ses instructions, enseignements, promesses, avertissements... à de ces serviteurs pour que quiconque veut croire en lui ait des écritures lisibles ou audibles, immuables, fiables, par lesquelles connaître les vérités fondamentales nécessaires à notre connaissance de Dieu, de nous-même et de nos environnements.
C'est ainsi que la venue et émergence de Jésus a conduit à la rédaction et formation de la deuxième partie de la Bible, le Nouveau Testament, Nouvelle Alliance, Bonne nouvelle (gospel) ou Évangile de Jésus-Christ.

Ainsi est apparu sur toute la terre, ce fait unique que des hommes, femmes et enfants marqués et limités par les lois fondamentales activées par le péché, échappent à cette finitude essentielle qu'est la mort (sous ses diverses formes - lien d'étude possible : Les 5 types de mort).

En résulte, par le jeu d'une "nouvelle naissance" ou born again, la création inédite d'une humanité qui pourra vivre éternellement avec Dieu quand ce temps sera venu, c'est-à-dire quand il n'y aura plus personne sur terre à s'intéresser à cela, c'est-à-dire plus de repentance, le nombre de personnes ainsi sauvées n'étant plus modifiable.

6 et 7 - GUERRES MONDIALES ET  RÉVOLUTION BOLCHÉVIQUE
Par l'effet de La Science érigée en Europe depuis le XVIIIe siècle en divinité ultime, les découvertes scientifiques et développements technologiques se sont multipliés et approfondis, donnant au XXe siècle de devenir le plus meurtrier de tous les temps. Tels sont les progrès sans la supervision divine. Rabelais déjà l'avait aperçu et dit il y a longtemps : "Science sans conscience, n'est que ruine de l'âme."

Le fait - et problème - est qu'on n'est pas des êtres naturellement profonds, pour s'arrêter et faire le point quand des choses graves arrivent.
C'est ainsi qu'après avoir déposé plus radicalement que jamais, en 1905, sans distinction Dieu le Créateur avec ses représentants peu représentatifs (les religions bâtardes issues de la pure et saine doctrine produite par le Christ Jésus), la France orgueilleuse a été jugée par Dieu et attaquée par l'Allemagne au point de produire ce qu'on a appelé les deux guerres mondiales.

Une aurait pu suffire, si l'attaque en 1914 avait été vue comme un jugement divin sur son orientation politique maligne, tout jugement portant à la repentance et appelant à changer (de voie, de choix, de comportement, de priorité...).

Au lieu de cela, la victoire, non sans l'aide d'alliés, n'a débouché que sur des "années folles" (comme les ont baptisées les historiens). Ou il ne fut pas question de "changer son fusil d'épaule", c'est-à-dire à replacer Dieu (épuré si on peut dire des fatras religieux qui en déforment la réalité) au centre des vies et de la société. Car au lieu de cela, on se lança plus encore dans l'abandon des fondements chrétiens, dans l'illusion d'un bonheur possible sans Dieu, dans des libertés de plus en plus liberticides, au point où le jugement revint 20 ans plus tard, sur une génération et jeunesse après l'autre.

En parallèle dans le même temps, donnant aux conflits barbares leur dimension planétaire, la vue marxiste et les pensées socialistes devenaient le moyen d'un jugement sur la grande Russie et son gouvernement tsariste perverti, jusqu'à produire, après sa défaite infligée par le Japon en 1905, la révolution bolchévique (en 1917) qui allait conduire au bloc soviétique formé en Union de Républiques Socialistes Soviétiques (URSS) au prix de dizaines de millions de vies sacrifiées, tuées, déportées, mutilées...

Le chiffre 6 est le chiffre de l'homme quand il se définit ou déploie dans sa nature charnelle problématique. Et le 7 est un chiffre divin pour dire qu'en dernier ressort c'est Dieu qui reste le maître, fut-ce au prix de jugements qu'on l'oblige : Si nous ne savons pas marcher sous et selon la justice de sa Grâce, on se trouve un jour ou l'autre (collectivement comme individuellement) soumis à sa stricte justice, sans clémence, et parfois rendue inique par les esprits qui l'exercent.

Faute de tirer en conscience les leçons de nos histoires, nous sommes amenés, à notre encontre, pour notre malheur, à devoir subir les conséquences de nos mauvais comportements réitérés.

Et nous voilà parvenant, avec le covid-19, comme au temps de la 1ère guerre mondiale...

8 - LE VIRUS COVID-19
Le 8 est un chiffre de fait référence à quelque chose de nouveau. Une nouveauté en soi, qu'on a à comprendre comme un moyen de chercher un nouveau chemin, une nouvelle manière de poursuivre l'aventure chaotique de l'existence.

Nous voilà arrivés à ce virus pas ordinaire.
Il constitue, au vu des jugements précédents et des orientations d'existence prises par les instances gouvernementales et par les peuples les plus dominants, un de tout derniers avertissements divins.
Ce qu'on peut encore appeler un jugement de grâce, selon que le mal a vocation de sanction, mais aussi de permettre une remise bénéfique sur de meilleurs rails que ceux qui ont conduit jusque là.
C'est en ce sens que la parole d'Einstein est pertinente pour ici maintenant, qui dit que "On ne peut pas sortir d'un problème avec les modes de pensée qui ont créé ce problème."
En d'autres termes, ne revenons surtout pas à la "normale" d'avant le covid, car c'est cette normalisation de certains comportements (généralisés ou marginaux, commerciaux, politiques, moraux) qui a amené cette crise (et déjà d'autres avant) en tant que jugement sanction du mal.

TOUT JUGEMENT FAIT CESSER UN ORDRE (MALIN) DES CHOSES, EN VUE D'UN AUTRE (À RE-CHERCHER)

Jugement sur des orientations d'existence et des système dominées par la cupidité, l'avidité, l'avarice, la rapine - le dieu Mammon comme Jésus personnifie l'argent, la finance -; dominés par les plaisirs et gains personnels amoraux, égoïstes,avec des alliances, compromis et connivences malignes, les usages pervertis de connaissances (psychologiques, scientifiques, technologiques) pour manipuler les personnes, pour les monter les unes contre les autres ou pour les rapprocher artificieusement, pour fabriquer des armes de plus en plus hyper-sophistiqués (coûteuses et terriblement meurtrières)... 

Résulte de ce regard de plus en plus égotique des grands de ce monde et de tous, que grandit la faiblesse du plus grand nombre.
Une majorité de plus en plus grande est bernée, séduite, craintive ou indifférente, vindicative mais impuissante (à cause de ses propres péchés), est conduite (contrainte, sollicitée pour, poussée) vers un appauvrissement multi-face (financier, culturel, éthique, moral, spirituel), voire est éliminée (démographiquement).
Cela au profit organisé de quelques minorités (personnalités) toujours plus concentrées, des mieux-nés, des plus débrouillards, iniques ou mégalomanes, chacun dans tous les cas devant un jour rendre compte de ses faits, gestes, paroles et choix devant Celui qui prête vie.

Ce qui forme une cour de terrain privilégiée, au service d'une oligarchie de type Nemrod - par exemple en Europe qui veut poursuivre la construction arrêtée par Dieu - quelle défiance ! - de la tour de Babel. Sans réaliser qu'ils touchent dans l'invisible aux puissances occultes, qu'ils ne font que se placer sous les auspices d'entités spirituelles qui se veulent divines mais ne le sont pas, dont l'objectif final est d'obtenir de Dieu qu'elles puissent régner éternellement sur le genre humain sans le moindre regard de Dieu sur cette part de ses créations....

Voilà ce que Dieu voit et vient juger : les commerces et appropriations éléphantesques iniques des grands, et en rapport, les commerces pervertis goguenards des foules qui ne voient rien de "ce qui n'est pas à leur dire" et se satisfont à peu près de la belle étiquette "Démocratie" et de ce qu'on leur accorde sous ce label hautement honorifique.

L'ESSENTIEL DE LA CRISE

Dans cette situation Dieu agit largement auprès des plus faibles, des humbles, des affligés, des contrits, se révélant à ceux que leur instruction et éducation ont privé de lumière, de possibilité de foi, de connaissance de Dieu.
En ce sens, un de ces jours de confinement où je demandais à Dieu qu'il me dise quelque chose sur sa manière de voir cette actualité (outre que je sache qu'on est à la fin du chapitre 9 de l'Apocalypse), il me dit de lire le psaume 12. En quelques lignes, il me dit là l'essentiel de ce qu'il opère (qui se voit et qui ne se voit pas).

Notamment que chacun peut se fier à la Bible, étant "la parole de Dieu" qu'il a gardée au fil des générations pour que nous puissions en disposer maintenant encore dans l'assurance que rien n'a été déformés ou falsifiés des plus anciens manuscrits à partir de quoi on traduit encore la Bible dans toutes les langues.

Ainsi ce coronavirus, cette peste comme il y en eut d'autres mais jamais avec un tel effet dominant, nous dit que la colère de Dieu approche de son comble quand il voit où nous sommes parvenus, malgré de grands progrès divers, en matière d'injustices, de magouilles, de trafics, manipulations, exploitations, tromperies, perversions, violences...

De quoi amener encore bientôt un jugement plus final, plus terrible, dont la seconde guerre mondiale et la Shoah sont une image (géographiquement partielle) autant qu'une réalité déjà apocalyptique de ce qui vient, ce qui a été depuis longtemps prophétisé par divers livres bibliques (Apocalypse, Daniel, Zacharie, Ézéchiel, Ésaïe...).

Avez-vous réaliser comment avec quasiment rien, le Dieu éternel tout-puissant peut arrêter l'essentiel de nos activités, voire nos existences.
En ce sens, le nombre de morts annoncé dans l'Apocalypse laisse entendre qu'il y aura certainement usage d'armes atomiques... et sans doute bactériologiques (virales ?).

Pour ce qui est de la suite de cette liste des événements planétaires qui restent à venir, on peut la connaître dans ses divers points... mais je m'arrêterai ici seulement au suivant.

9 - LA PAROUSIA

Ce mot grec du Nouveau Testament signifie Présence, la venue, l'arrivée, l'avènement, le retour futur et visible de Jésus depuis les cieux, pour ressusciter les morts dans la foi en lui et enlever dans les airs les chrétiens préparés pour cet événement planétaire.

Le chiffre 9 parle de fin de cycle, de mouvement complet, en l'occurrence l'entrée dans une brève plage de temps où va se signer la fin des 2 000 ans de la grâce christique.

Voici quelques références* pour qui veut faire une étude de cet événement qui sera à coup sûr le plus surnaturel et imposant de tout ce que la terre a connu jusque là.
Ce ne sera pas du tout pour autant la fin de la terre et de l'humanité, mais le point de départ cependant d'une transition planétaire phénoménale qui amènera en rien de temps sur le monde une dictature et un totalitarisme comme il n'y en a jamais eu et comme il n'y en aura plus jamais.
Telle est, nous dit la Bible, le sens eschatologique de l'histoire : une fin qui tient de la domination de la loi d'entropie (usure, érosion, décomposition).

* Matthieu 24 : 3 - Matthieu 24 : 37 - 1Thessaloniciens 4 : 15 - 1Corinthiens 15 : 51

LEÇONS DE L'HISTOIRE

A quoi sert d'avoir remarqué que l'apparition du corona covid année 2019 est un des rares grands événements qui a changé et changent encore la face habitée de la terre ?

L'histoire est toujours faite de leçons qu'on peut en tirer. Sans aller trop loin dans le passé, le XXe siècle nous donne de voir à la fois comme le cœur humain n'évolue pas, reste barbare (malgré ce que fut une remontée significative des ténèbres avec le christianisme), tous les bienfaits d'une civilisation avancée (morale, juste, humaine) pouvant se perdre totalement en deux et trois générations.

De plus il semble que les deux guerres mondiales apparaissent comme une réalité et une image. Que si on ne tire pas leçon d'un événement grave (comme fut la 1ère G. M. pour la France et pour l'Allemagne, ou encore la défaite russe contre les japonais en 1905), il doit être répété avec plus de violences encore.
Pourquoi ? Rappelons-le : Parce qu'après 14-18, au lieu d'une reprise en main de la foi chrétienne (et de comportements en adéquation), en revenant, dans l'humiliation des vaincus et l'humilité des vainqueurs, à sa source - divine et biblique -, ce furent "les années folles", c'est-à-dire un retour et un redéploiement d'immoralité, du non-pardon, de pensées vengeresses sous couvert, de débauches, d'insouciances coupables ou de soucis purement matériels.

Aussi je vous invite à sentir comment Dieu s'approche de vous avec grâce, à cause de son amour et par cette vertu imméritée que Jésus a payé le prix de vos fautes par sa mort. Laissez-vous convaincre de culpabilité pour le mal que vous avez fait avant (voire pendant) cette peste, demandez pardon à Dieu et recevez son Esprit en signe de votre réconciliation avec lui.

Car c'est par la grâce de Dieu que nous pouvons être et sommes sauvés, grâce comme celle présidentielle qui amnistie, efface les condamnations et libére les prisonniers. Grâce qui vient de Dieu et non de nous, non de nos mérités, afin que personne ne puisse se glorifier d'avoir fait quelque chose pour se sauver lui-même.
Et grâce qui se reçoit par la foi, comme il faut tendre la main et prendre un cadeau que vous offre un ami, comme il faut saisit avec déterminantion la bouée de sauvetage que vous lance un sauveteur.

Passages à lire... et à croire...
C'est cela la foi : Romains 10 : 17 - Hébreux 11 : 1 - Jean 3, vers. 1 à 21

Soyez béni-e et sauvé-e

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22 mai 2020 5 22 /05 /mai /2020 10:25
ATTENTION !

Le confinement n'aura servi à rien si on reprend des libertés en ne voyant pas ce qu'il y a à changer dans nos comportements, dans la hiérarchie de nos valeurs et/ou priorités. Si nous ne discernons pas mieux qu'avant ce qui est mal, voire ce qui est addiction.

Le meilleur côté du confinement était de permettre à beaucoup qui courent toujours, d'avoir du temps pour soi, et notamment pour s'interroger sur le sens des réalités et de notre propre existence, en considérant les forces en œuvre sur la terre, les capacités de nos sociétés et le développement de nos vies privées.

 

Comprenez bien cette réflexion d'Albert Einstein :
"On ne peut sortir d'un problème avec les modes de pensée qui ont créé ce problème."

Il n'est pas trop tard pour changer son fusil d'épaule.
Tant qu'on n'est pas en poste de responsables élus ou mandatés pour de grandes tâches, c'est une responsabilité personnelle.
La théorie du chaos ou "effet papillon" dit qu'un moindre mouvement quelque part peut déclencher à l'autre bout de la terre une tempête phénoménale.
L'apparition du covid a été une démonstration magistrale de cette loi des relations mise en lumière par Edward Lorenz à partir des années 60.

J.-B. Bossuet a écrit : « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes ».
Qu'est-ce que cela veut dire ?

Que nous sommes capables de nous élever jusqu'à ébranler et déstabiliser un rocher élevé au point de finir par provoquer une chute de pierre.... qui va nous tomber dessus quand nous redescendrons.

 

LA BIBLE NOUS AVERTIT
Parmi les lanceurs d'alerte, je n'en connais pas un meilleur que ce livre que Dieu a donné à quelques hommes d'écrire il y a deux et trois millénaires pour toutes les générations.

On y est notamment avertis qu'un temps de l'humanité va se clore de façon si surnaturelle qu'il ne s'est rien produit de semblable sur la face de la terre depuis qu'il y a des hommes.

L'apparition aussi inattendue que conséquente du coronavirus estampillé covid-19 en est une illustration qui ne peut passer inaperçue... malgré la dimension nanométrique et l'invisibilité de ce virus.
Mais ce n'est pas encore là ce qui est annoncé de plus bouleversant par les écrits bibliques prophétiques, qui reste à venir... bien vite.

RETROSPECTIVE

En cherchant aussi dans le passé quel genre d'événements, d'une telle ampleur par l'effet ou les effets planétaires produits, a déjà pu se produire, j'en ai trouvé 7, celui-ci étant donc le 8ème.

On ne va pas compter dans cette liste la création de l'univers, mais seulement les grands événements de justice et de grâce par lesquels le Créateur est intervenu par la suite parmi nous.
Cependant dire ici deux mots sur l'origine de l'univers ne semble pas un point superflu.

VOUS M'AVEZ DIT SCIENCE !?
Malgré ses aléas, ses tâtonnements et bourdes, certains ne jurent toujours que par la science, en faisant une idole élevée au rang de divinité : Ce n'est que par elle que nous pourrions accéder à la connaissance et aux savoirs.
Cependant, il a fallu attendre le début et jusqu'à la moitié du XXe siècle, avant que les scientifiques ne doivent admettre que l'univers a eu un commencement ! Étonnant, non !?

Même Albert Einstein a mis des années à admettre que le "petit" chanoine physicien Georges Lemaître et encore Alexandre Friedmann avaient raison, qui avaient calculé que l'univers était en expansion et avait eu un commencement - le fameux Big bang. Ainsi, outre sa production initiale phénoménale de l'univers, cette re-découverte secoua le monde scientifique comme une bombe atomique.

Jusque-là, "scientifiquement", on pensait et enseignait que l'univers était statique et éternel.
Et puis le développement des mathématiques et la perspicacité de certains chercheurs savants permirent... quoi ? En fait de vérifier que la Bible disait la vérité - depuis plus de 3 500 ans - en affirmant que l'univers avait été créé un jour à un instant T : "Au commencement Dieu créa les cieux et la terre". (Livre de la Genèse ch. 1, vers. 1).

Cela pour dire qu'il n'y eut bien sûr jamais rien de plus grand que cet événement qui changeait entre autres de la pure énergie divine en matière, créant le monde... à la fois visible et invisible.

Ce qu'on peut en voir, si ce n'est évident d'une volonté et intention de Dieu, apparaît du moins comme le produit intelligent d'une intelligence - proprement divine -, puisque tout ce qui est observable de l'univers est forgé, empreint, animé, marqué par des principes, lois, ordres, agencements et relations complexes on ne peut plus intelligents.

¤

Maintenant voyons ce que furent les 8 événements les plus conséquents pour la vie de la planète, parfois des jugements divins qui a la fois sanctionnent et corrigent, événements qui toujours cherchent et permettent un nouveau départ : C'est à un de ces points rarissimes que nous sommes - que vous êtes - actuellement.
En avez-vous quelque peu conscience ?
Il y a tant de choses quotidiennes proprement merveilleuses autour de nous et en nous ! Qu'en apercevons-nous de prodigieux, de surnaturel ?

C'est que chacun nous avons (parmi d'autres) une faculté innée mais également à développer qu'on appelle la conscience. Plus elle s'ouvre aux réalités et se développe dans un regard éclairé du Réel, par la découverte des vérités cachées, plus l'enthousiasme peut grandir et le sens des choses peut nous apparaître comme sortant des limbes de l'ignorance. 

1er événement : LE DÉLUGE
C'est le premier fait marquant que Dieu provoqua pour faire cesser des relationss hybrides (humains/anges déchus) déplorables, qui n'étaient qu'abus, fornication, luxure, dépravation et violences. Du même coup, par quarante jours de pluie incessante sur toute la terre, le cours de toute l'histoire humaine fut changé, et par là l'occupation et des arrangements des espaces de toute la terre.
 

Avec d'autres interventions (de Jésus) sur les intempéries, on peut noter là qu'en matière de climat et d'interventions climatiques, Dieu posséderait bien certainement la capacité de jouer sur le réchauffement climatique... si on ne restait pas à compter seulement sur des COP21 et taxe carbone, bref sur nous-mêmes...

Du déluge, on peut voir aujourd'hui encore des traces et des vestiges ici ou là (comme des coquillages fossilisés au sommet de montagnes).
Le récit et les causes de ce jugement sont rapportés par des tablettes anciennes et plus accessiblement par la Bible, à partir du chapitre 6 de son premier livre (Genèse ou Origines).

En symbolique le 1 figure l'unité. Ici on a affaire à une réunification du genre humain disloquée via une famille (de 8 personnes - le 8 parlant aussi de ce qui est nouveau ou commencement).

2 - LA TOUR DE BABEL
Cette péripétie de la plus haute-antiquité de l'histoire de notre terre reste généralement bien connue, au point où le processus actuel de l'Europe y fait explicitement référence.

Il s'agit d'un autre jugement divin, survenant seulement quelques générations après le déluge, face cette fois à une prétention orgueilleuse des hommes.
Ceux-ci, en élevant une tour (ziggourat) sous le conduite d'un nommé Nemrod, allaient en fait, sans en avoir conscience, se soumettre aux puissances démoniaques qui poussaient à cette construction, vaine, si ce n'est pour mieux les assujettir.

C'est ainsi que parfois sur une simple pensée - dont on ne sait même pas d'où elle nous vient, or il y a 4 sources bien distinctes à toutes nos pensées ! -, on peut se lancer, collectivement ou individuellement, dans un projet (petit ou gigantesque), se mettre à construire.
Cela ne servira peut-être, malgré l'impression bonne qu'on en aura eu, à rien de bon, et pire encore, assurera sur nous à l'esprit maléfique qui l'aura suscitée une emprise ou domination, ce qui est toujours des difficultés et un problème ardu à résoudre par la suite.

A cet endroit donc (où est la ville de Babylone par la suite), il y a 4 à 5000 ans, Dieu brouilla le langage humain pour empêcher qu'ils croissent en forces diverses, parce qu'il leur manquait la connaissance notamment des réalités spirituelles malignes (occultes, sataniques, démoniaques), celles-ci étant d'autant plus capables de faire du mal que les moyens de le développer existent et qu'on les ignore...

On voit ici encore, comme dans le récit du déluge où ils sont appelés "les fils de Dieu", que des entités célestes, de nature angélique mais déchues, sorties de leur rang privilégié jusqu'à devenir des démons, existent et s'activent autour et parmi le genre humain (essentiellement pour en jouer et en abuser). Le déluge fut aussi sur eux un jugement sévère puisqu'à partir de ce moment on n'entend plus dire qu'ils peuvent encore se matérialiser en corps comme le nôtre.

En symbolique des chiffres, le 2 parle de la séparation, de dualité, en l'occurrence de la séparation par confusion et antagonisme des langages. Ce qui subsiste depuis lors même si l'anglais tend à être une langue internationale.

3 - LE PARTAGE DE LA TERRE
Un événement qui passe presque inaperçu dans la Bible mais qui est cependant bien rapporté... et fort visible à nos yeux.
Cela est dit de la manière suivante : "5 Héber eut deux fils. Le nom de l'un était Péleg, parce que c’est à son époque que la terre fut partagée..." Genèse ch. 10

La Bible dit qu'à son origine, Dieu créa la terre en une seule masse qu'il fit sortir de l'eau. Il n'y avait donc qu'un seul continent terrestre, jusqu'à ce qu'un choc phénoménal vienne le faire exploser en plusieurs morceaux (nos continents actuels) et en îles nombreuses.

On pense qu'il s'agit d'une météorite géante (de l'ordre de plus de 100 km de diamètre, avec des morceaux moindres) qui tomba essentiellement à l'endroit qui est maintenant le golfe du Mexique. La géographie des côtes ouest africaine et est américaine semble bien le montrer.
Rien ne nous permet de dire s'il s'agit d'une manifestation intentionnée, ou pas, de Dieu ou de démons, de Satan. Le fait seulement est là.

Le chiffre 3 fait référence à la distinction au sein du 1. Comme nous sommes une entité en soi formé à partir d'un corps, d'une âme et d'un esprit. A l'image de Dieu qui lui-même est Un constitué de trois personnes autonomes mais non indépendantes.
Ainsi la terre même morcelée reste une qui doit être peuplée par les descendants de Noé.

4 - LA FOI D'ABRAM
Un autre événement étonnant, si petit au départ - la croyance d'un homme -, mais dont les effets sont aujourd'hui encore planétaires.
Étonnant n'est-ce pas !? A quoi Dieu répond par le prophète Jérémie : "Voici, je suis l'Éternel, le Dieu de toute chair. Y a-t-il rien qui soit étonnant de ma part ?"

Abram est ce patriarche de Mésopotamie (l'Iran actuel) qui se mit le premier à croire en Dieu comme étant le Dieu unique, incréé, au-dessus de toutes les forces mystérieuses plus ou moins ressenties (toujours ces esprits ou démons qui font peur et conditionnent les êtres humains dans des rites religieux et autres pratiques superstitieuses).
Dieu avec qui il est possible de communiquer, en croyant qu'il peut nous entendre et qu'on peut l'entendre, dans une relation intelligible et intelligente, dénuée de peurs.

Cela peut nous sembler peu de chose, mais la face de la terre va progressivement changer à partir de cet homme, avec l’apparition de descendants innombrables, dont la lignée la plus représentative de cette foi a été surnaturellement ouverte par son fils Isaac puis son petit-fils Jacob.

Ainsi Abram est-il devenu Abra(ha)m par la grâce de Dieu qui ajouta une lettre dans son nom, et à celui de sa femme Saraï changée en Sarah.
Cette orthographe était surtout l'expression audible d'un changement d'identité de la personne d'Abram, Dieu ajoutant dans son être intérieur une part de son Esprit (que figure la lettre hébraïque Hé ou Ha), non seulement pour lui, mais comme un héritage spirituel permanent qui se transmet avec la vie (physique et psychique)...

C'est ainsi que la Bible (Dieu donc) couronne Abraham du titre unique de "père de la foi" ! Signifiant par là que toute la croyance monothéisme, en un Dieu transcendant unique (que nous avons à découvrir à la fois en tant que seul Dieu, Un et pluriel) est partie de cet homme et de ce couple.

D'eux sortit donc entre autres Moïse, comme un maillon qui permit au peuple abrahamique de passer de la servitude démoniaque qui opprime tous les peuples de la terre (Égyptiens compris) à une liberté, à une constitution écrite (la Torah ou Loi) et à une terre que Dieu avait promise à Abra(ha)m.
Sortit donc aussi de cette expression de la foi, la première partie de la Bible que les juifs appellent dans leur langue Ténak et que nous appelons en français l'Ancien Testament.

Cette foi d'Abraham n'est-elle donc pas un de ces rares événements produits par le Dieu Un, à l'origine d'un développement et d'une résonance planétaire ?
Je vous invite à lire le chapitre 4 de la lettre aux Romains qui exalte cette foi en la plaçant au-dessus de toute autre croyance religieuse : "
Que dirons-nous donc qu'Abraham, notre père, a obtenu... ?"

Symboliquement le 4 fait référence à partout (les points cardinaux), Dieu ayant prophétisé que la descendance bénie d'Abraham et Sarah se répandrait sur toute la terre (parfois de gré, parfois de force), pour aussi transmettre sa bénédiction, ses Écritures, à toutes les ethnies et tribus.

Demain on verra les 3 événements suivants qui précédèrent l'apparition de la peste covidique 19. Publication en rubrique Société à 19 h.
 

Trame de prière pour venir à Dieu en vue qu'il vous sauve.

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16 mai 2020 6 16 /05 /mai /2020 13:49

Face à la réalité,
on peut se faire des films,
se raconter des histoires...
alors que la vraie histoire est
sans doute infiniment plus novatrice,
excitante, large, profonde...
que tous les scénarios à l'eau-de-rose ou catastrophe qui peuvent exister.

QUELLE HISTOIRE QUE CELLE-CI !

Incroyable ! Oui, c'est bien quelque chose d'incroyable qui est arrivé !
Mais notre monde, qu'on veut voir et gérer par la raison et la science, peut-il donc être habité par des réalités incroyables ? Incroyables, et que pourtant nous sommes bien obligés de croire, quand elles ont des effets tellement tangibles, puissants, avérés, qu'on doit bien les admettre pour vraies !?

Alors tant pis pour les athées qui ne croient qu'à ce qu'ils voient ! Osons avancer en croyant aussi à ce qui dépasse les ordres ou pronostics naturels et raisonnables.

Oui, n'est-elle pas inouïe cette histoire faite de petites choses qui cependant peuvent aller jusqu'à changer la condition humaine sur la planète entière !?
Je veux ici la réécrire en peu de mots (sentis, justes, fidèles) pour qu'on se la réapproprie mieux.

Quelle histoire, quand un étrange et minuscule brin de vie, apparait soudain en plein cœur de l'hiver. D'un hiver froid, surtout par l'atmosphère pesante qui envahissait et flottait sur les rues, les saisissaient de spasmes jusqu'à des rixes, des bris d'étals marchands. Tout une tension invisible mais sensible, à la fois de l'ordre de l'invasion et de l'insurrection maîtrisée, dans les villes, voire dans les campagnes, dans toute une province.

ÉTAT DES LIEUX, ÉTAT DE CRISE

Ah, quand s'impose du haut d'instances gouvernantes quelque volonté farouche de faire - peut-être de vouloir bien faire, mais par quelle méthode politique violente ? Par quels moyens coercitifs ? Au nom de qui ou de quoi ? Dans tous les cas contre le peuple, contre l'humain, système contre individu : un rapport de forces vieux comme le monde. Le pot de fer contre les pots de terre...

Vieille question parallèle : Le bien comme l'amour, peuvent-ils s'imposer, être imposés par quelque force, par quelque extorsion ?
Un bras de fer finit toujours par plier les populations, les fatiguer jusqu'à la résignation, l'acceptation, la soumission, sinon c'est encore par de nouvelles brutalités que la victoire reste aux puissants. A ceux hissés à quelque chose qui tient du pouvoir souverain. Hissés au rang de dominateur, que ce soit par la ruse, par guerre ou révolution, ou plus civilement par des promesses électives.

INESPÉRÉ, L'IMPRÉVU, L'IMPRÉVISIBLE

Et puis voilà comme un grain de sable qui enraye toute une grosse mécanique, des systèmes qui semblaient indéboulonnables.
C'est que l'homme, l'être humain qu'il soit homme ou femme, à tous niveaux, ne maîtrise jamais tout.
Et certainement pas une chose si petite qu'on ne la voit pas, qu'elle peut passer un bout de temps inaperçue, bien qu'elle soit effectivement là et vibre déjà de sa potentialité.

Invisible, mais un processus est en cours. Dans le secret une grande résistance conçue et fomentée dans de hautes sphères. Résistance aux systèmes qui dominent et ont la main sur les mouvements, volontés et libertés des troupeaux humains.
Résistance pour faire advenir dans le chaos un ordre nouveau, au service de nouveaux leaders.

Un processus comme la chose se développent en catimini donc, croît, devient comme un projectile - pourquoi pas un caillou, mais poli dans le lit de la rivière, et choisi, comme celui mis dans sa fronde par David face au géant Goliath.
Projectile qui va percuter les plus hautes montagnes et les mettre par terre. Le moindre va vaincre le +++, l'encore invisible ce qui aveugle tant sa puissance (armée, économique, idéologique) est mosntrueuse. Quelle drôle de stratégie que s'attaquer aux grands par un petit ? De façon de combattre ? Qui parierait sur un tel stratagème ?

Et quel père a bien pu être un tel concepteur et géniteur ? Un scientifique expert, un biologiste doublé d'un sage - ou d'un fou !? - à nul autre pareil !?
Comment penser à créer une chose si petite pour un effet si grand ? 

LES MYSTÈRES, LÀ POUR ÊTRE DÉCRYPTÉS

Cela tient du mystère. Mais je crois que les mystères ne sont pas là pour le rester ! Ils doivent nous provoquer et être provoqués, attaqués, poursuivis et pénétrés jusqu'à livrer du bien qui est en eux, encapsulé.
Du bien d'autant bénéfique que la coquille du mystère résiste fortement aux assauts de la foi en la réussite, du vouloir-savoir et de la persévérance.

Et voilà donc qu'un jour le chamboulement commence ! Déjà un peu visible mais pas étendu, dans une famille, puis un quartier, dans une province, où quelque chose finalement échappe au contrôle même le mieux rôdé.
Car tout est censé être sous contrôle. Rien ne doit échapper. Mais le sort de l'homme et le destin des sociétés et civilisations sont-ils en notre pouvoir ?

C'est un contre-pouvoir qui se forme doucement, subrepticement, se structure un peu. Une solution radicale face aux aveuglements et aux incuries, à partir d'un seul et premier corps frêle, vulnérable, peut-être sans défense pour dire non.
Un corps qui laisse, comme peut se soumettre une âme, ce quelque chose encore inconnue qui tient de la vie (sans en être vraiment) se développer en lui, se nourrir de lui.

Le départ d'une dynamique contagieuse possible, dépendante mais un jour capable de traverser seule toutes les barrières, de sauter les frontières ouvertes ou fermées, pour prendre place dans beaucoup beaucoup de corps, de toutes communautés et nationalités, de toutes couleurs, de tous continents, de toutes langues.
On appelle une pandémie une telle invasion ! De pan qui veut dire tout, totalité, et de démos qui veut dire peuple, population !?

DE L'INVISIBLE DANS LE VISIBLE

Dès que la chose s'est sue, l'autorité, se sentant menacée dans sa position, ses développements, ses vues et projets impérialistes, a réagi. Avec violence, mettant hors d'état de nuire quiconque dans le secteur pouvait être le danger porteur d'une vraie et grande menace mise en route.
On ne prend pas alors de gants pour tuer la vie dans l’œuf.
Il faut donc se confiner, se cacher, fuir dans la mesure du possible en attendant que le niveau d'alerte retombe.

Bien que globalement on l'oublie au fil des jours, aujourd'hui encore ce vecteur révulsif pertinent est là, présent mais discret, que notre âme et notre chair n'aiment pas naturellement. Et pourquoi !? Quel gain essentiel laissons-nous en suspens si nous ne savons pas lire et tirer de lui le bien qu'il recèle et nous offre !?

Voilà le tableau. Alors, à quoi, à qui, cette peinture en demi-tons, en clair-obscur, vous a-t-elle fait penser ? En un mot, en un nom ?... Fastoche ! Vous avez trouvé donc ?

VÉRIFICATION DE VOTRE PERTINENCE

Voilà quand même en d'autres mots ce que j'ai écris là sans rien déformer de l'histoire. Vérifiez donc > en cliquant ici < si vous aviez bien vu ?

Soyez béni-e.

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7 mai 2020 4 07 /05 /mai /2020 12:22

L'univers comme nos existences et les événements qui les font - et défont -
sont d'immenses cryptages.
Êtres intelligents, il nous appartient de vouloir décrypter,
de chercher pour trouver,
de nous insérer au mieux dans l'histoire comme dans nos propres histoires
pour y apercevoir du sens, pour mettre en lumière ce qui donne le sens.
¤

Pour se faire une idée la plus juste possible sur un sujet débattu, il faut écouter les différents "sons de cloche", notamment venant des parties en cause (Rien n'est pire de la part des hommes que "la pensée unique"). 

Aussi, après tout ce qu'on entend de juste et de faux et de contradictoire au sujet du coronavirus covid-19, je vous invite à suivre aujourd'hui sur le net > ce LIVE à 18 h. (sinon en différé si vous en êtes informés trop tard).

Y sera exposé le point de vue de l'Assemblée évangélique de Mulhouse (La Porte Ouverte chrétienne) dont l'important rassemblement de février fut impacté par le virus au point de déclencher la sonnette d'alarme pour la France (encore insouciante alors que le mal agissait déjà largement en Italie).

Le but n'est pas de jeter la pierre sur qui que ce soit, mais de rétablir un minimum de vérité... et encore de rappeler combien notre race humaine, fut-elle à la pointe des innovations et désireuse de prédictions, reste peu de choses face à ce qui peut lui tomber dessus, que ce soit collectivement, planétairement même, comme individuellement.

Bonne réception, et je suis disponible si vous le désirez via les commentaires...

Le Live #OnEstEnsemble

Soyez interpelé-e.

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20 avril 2020 1 20 /04 /avril /2020 19:28

"Le bonheur dépend moins de ce que nous avons que de ce que nous n'avons pas."

Mon partage là-dessus un jour prochain...

En attendant bonne recherche de solution pour trouver une paix intérieure durable, même et surtout en cette période. (les articles ne manquent pas ici pour toucher au but: entrer dans le sens de notre présence ici).

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14 avril 2020 2 14 /04 /avril /2020 12:38

La foi en l'homme - en nous-même ou en d'autres - fond.
L'espoir humain est une béquille qui se casse.
Ce temps crépusculaire nous amème

Les jeux sont faits !?
Par nos comportements coupables, arrogants, pervers, anti-Dieu, nous avons mis le comble à nos insolences, et globalement, collectivement,
on a perdu la main.

La folie serait maintenant de croire à un retour à la normale.
Notre normalité civilisationnelle est la cause de la crise planétaire
qui nous englobe.
Nos normalités (économiques, idéologiques, religieuses, morales...) sont devenues un consensus normatif souillé, utopique, chimérique, vulnérable à "l'effet papillon" (loi d'imprévisibilité mise à jour par E. Lorenz), inconduisible.
A vouloir vivre sans Dieu, d'Europe en Chine, on s'est attirés un jugement qui ne laisse plus de place à nos caprices et choix imposés par nos ego.

LES PROPHÉTIES BIBLIQUES S'ACCOMPLISSENT TOUJOURS

Dans la chronologie biblique apocalyptique, il reste une petite fenêtre (de très peu d'années) où un pseudo-sauveur va paraître pour relancer les économies... et les idéologies... comme ce fut dans les années 30 en Allemagne - car l'histoire se répète selon un procédé pédagogique autant que causal -.
Ce sera le pire mal... se présentant comme un bien miraculeux...

On est donc avertis, par l'histoire (ancienne et récente) et par la Bible depuis longtemps. C'est pourquoi il ne faut pas attendre demain une reprise bienheureuse, à l'identique, ou une suite seulement fatale et déprimante,
en restant maintenant laxiste ou impatient.

Le temps est à un positionnement personnel de fond.
Entre les erreurs, les mensonges, l'ignorance, les demi-vérités,
et les vérités vraies, immuables, universellement objectives en elles-mêmes,
un choix déterminant est à opérer. Tout retard pris - comme face au covid - risque de nous coûter (très) cher.

C'est l'amour et la patience de Dieu qui permettent encore ce temps à part.
Qu'on soit membres de corps de métiers hyper-sollicités en première ligne,
des politiques format la seconde ligne, ou des confinés lambda
sur les lignes arrières, ce temps est appel à interrogation.
...Exactement comme eut à faire le fils prodigue d'une parabole qui n'a pas fini de nous parler (ne manquez pas de la lire ou écouter ici).

Interrogation, entrée en soi-même, en vue de prendre une grande décision:
Dans ce monde que dominent les injustices, les contraintes, les extravagances faussement prometteuses et novices, soit nos restons coincés ensemble, insécurisés ensemble, à l'étroit dans nos situations personnelles
et dans la vue des choses;
soit nous venons, chacun pour sa part, ou revenons (non physiquement mais en associant raison, foi et espérance) en contact avec "la maison du Père" (avec le Dieu réel dans les dimensions psychique, spirituelle, transversale, de son royaume, avec ses grâces*, sa bienveillance, ses protections, sa justice).

La consigne sanitaire, solidaire et salutaire est claire:
Ne pas rester où on est tombé, où la vie ne nous satisfait plus - ou nous séduit trop (par une addiction ou une autre) -, là où "les esprits méchants dans les lieux célestes" nous veulent sous leur pouvoir, nous aident à nous y mettre, nous foulent ensuite aux pieds et, à un moment qui peut être le leur, arrachent les âmes des corps pour les jeter dans le shéol ou Séjour des morts
(qui est les prémices de l'enfer terminal.

 

QUAND LE CHEMIN SE PERD

Quand le chemin se perd
De nos vies, de nos entreprises, de la compréhension,
Quand on ne sait plus rien de comment la gestion
Du temps, de l'espace, des organisations,
Du conjoint, des enfants, des parents, de la raison,
Où trouver le secours, à qui regarder de fiable,
Sur quel rebord s'appuyer qui soit convenable,
Vers quel patron, vers quel chef capable,
Vers quel saint se tourner qui nous rendra vivable
Le présent arrêté ?

Quand les chemins se perdent qui étaient mal assurés,
Sur quoi on avançait sans soucis d'où cela menait,
Quelle folie que d'aller sans voir et regarder
Où on met ses pieds, à quelle fin arriver !
Et nous voilà défaits, pantelants, interdits.
Nous voilà face au Réel tel qu'il est écrit
Sinon à écrire... peut-être encore, suspendu
En dessous du vide de notre coeur rendu
A une extrêmité. Comme face à une savane,
A quel bush, quelle jungle remplie de lianes,
Impraticable comme sont tant de pensées lourdes
Ou volatiles, toutes possiblement des bourdes,
Voies sans issue, impasses, autant de culs-de-sac...
Mais points de départ possibles !? Entre l'adret et l'ubac
Comme en Tolkien, jeux vidéo, où une Terre du Juste Milieu
Existe, est à trouver qui touche aux cieux,
Pour enfin pour de vrai les toucher,
Et y gagner.

Quand le chemin se perd... une voix comme d'un désert,
Comme d'un rivage pas si lointain, sonne claire:
- Venez enfants, j'ai du pain et des poissons cuits !
Vous n'avez rien pris de votre nuit ?
Mais laissez là vos barques et vos soucis, moi je suis
Le chemin, la vérité et la vie.
 
C'est ce que Jésus dit encore aujourd'hui
Pour sauver ce qui est perdu, malade, sans toit ou sans abri
Spirituel, sans Dieu dans ce monde où les malédictions
Sévissent, font payer des tributs, démolissent les maisons.
- Croyez en Dieu et croyez en moi ! Croyez que je suis
La lumière de ce monde et que devant moi s'enfuient
L'ombre de la mort, tous les plus forts que vous, les raisons
Insensées... Parce que j'ai payé pour votre rançon
Par mon corps livré, fait péché, mal vivant crucifié,
Payé par tout mon sang versé pour le pardon de vos méfaits.


Car Dieu mon Père a tant aimé chacun de nous de ce monde déchu
Qu'il a donné son bien-aimé fils Jésus,
Pour que l'âme de quiconque croit en lui ne périsse pas
Mais qu'il reçoive en lui la vie divine qui le guidera pas à pas.
Par la prière on devient son enfant
Dès ce moment, et éternellement.

C.T. @LGDDV Avril 2020

> Aide à la prière

Écritures incluses dans le poème : Romains chap. 3.11,12 - Matthieu chap. 21.4,14 - 18.11 - Évangile selon Jean chap. 14.1-6 - Hébreux 2.14,15 - Jean chap. 3.16... - chap. 1.12,13 - chap. 8.12...
___________________
* Les grâces = faveurs imméritées, que Dieu peut nous accorder par la médiation de Jésus mort pour nous et ressuscité sont multiples.
Les plus fondamentales sont qu'il ajoute en nous, comme force contre le mal, la vie - éternelle - de son Esprit. Il élargit dans une dimension de profondeur, notre vue des réalités, visibles et invisibles, des tenants et des aboutissants de notre existence ici-maintenant. Il nous assure de sa protection et de son assistance face à ce que nous n'avons pas (enore, assez) la force de voir par nous-même qui nous serez préjudiciable. Il est une force, qui s'exerce dans notre foi, face aux esprits méchants, aux démons, qui nous tentent et veulent mettre la main sur nous pour nous faire faire toutes sortes de mauvaises choses...

 

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