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8 juin 2020 1 08 /06 /juin /2020 13:47

Le cherche-t-on ? Existe-t-il le bonheur ?
Par nature invisible, parfois cependant il s'aperçoit,
Se fait sentir au plus sensible des cœurs,
Mais déjà Oups, il n'est plus là !... Pourquoi ?

Le bonheur ne dépend pas des richesses,
Le riche le sait mieux que quiconque,
Que l'imprévu peut toujours surprendre,
Qui n'a pas tôt fait d'être en liesse
Qu'il se trouve déjà au fond d'une jonque
Qui prend l'eau ou le fait pendre.

C'est que le bonheur ne dépend pas de ce qu'on a
Si ce n'est des soucis que cela pose,
Il dépend surtout, toujours, de ce qui manque.

Et que manque-t-il toujours quand tout est là
Semble-t-il, pour que tout soit bleu et vert et rose ?
Aux rois, aux beaux, aux princes comme aux saltimbanques
Aux prélats, aux préfets, aux citoyens en gilets jaunes
Aux ados boutonneux, aux séniors et aux vieux vieux,
Il manque Dieu... tant qu'on ne l'a pas trouvé, en vrai,
Tant qu'on ne croit pas ou plus qu'il donne
Le surcroît de vie qui ouvre accès aux cieux
Les plus hauts où tout s'unit en live éternité. 

Le bonheur ne manque pas, là où il se trouve,
Là où il demeure et attend qu'on le rencontre,
Avec l'amour la paix l'enthousiasme le bien
Le bon, éphémères ici parmi nous, qui cependant prouvent
Qu'il faut chercher ailleurs, où il se démontre,
Le Dieu auquel croire plutôt que de ne croire en rien.

Le bonheur ne dépend pas de ce qu'on a
Mais de ce qu'on est quand on a trouvé Dieu,
Quand on est, conscient de nos insuffisances
De nos limites de notre inconsistance d'être iota,
Qui se comble comme un vase devenant précieux
De ce qu'on n'est pas de grâce de bonté de confiance.

C. T. June 2020 @LGDDV

Un après-midi de printemps le ciel m'apparut immense et bleu profond,
quand soudain un voile est levé aux yeux de ma conscience
et je perçois, j'entends, JE SAIS : DIEU est là !

Lire ici à ET SOUDAIN...

Poésie-vie similaire d'un clic ici <

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14 avril 2020 2 14 /04 /avril /2020 12:38

La foi en l'homme - en nous-même ou en d'autres - fond.
L'espoir humain est une béquille qui se casse.
Ce temps crépusculaire nous amème

Les jeux sont faits !?
Par nos comportements coupables, arrogants, pervers, anti-Dieu, nous avons mis le comble à nos insolences, et globalement, collectivement,
on a perdu la main.

La folie serait maintenant de croire à un retour à la normale.
Notre normalité civilisationnelle est la cause de la crise planétaire
qui nous englobe.
Nos normalités (économiques, idéologiques, religieuses, morales...) sont devenues un consensus normatif souillé, utopique, chimérique, vulnérable à "l'effet papillon" (loi d'imprévisibilité mise à jour par E. Lorenz), inconduisible.
A vouloir vivre sans Dieu, d'Europe en Chine, on s'est attirés un jugement qui ne laisse plus de place à nos caprices et choix imposés par nos ego.

LES PROPHÉTIES BIBLIQUES S'ACCOMPLISSENT TOUJOURS

Dans la chronologie biblique apocalyptique, il reste une petite fenêtre (de très peu d'années) où un pseudo-sauveur va paraître pour relancer les économies... et les idéologies... comme ce fut dans les années 30 en Allemagne - car l'histoire se répète selon un procédé pédagogique autant que causal -.
Ce sera le pire mal... se présentant comme un bien miraculeux...

On est donc avertis, par l'histoire (ancienne et récente) et par la Bible depuis longtemps. C'est pourquoi il ne faut pas attendre demain une reprise bienheureuse, à l'identique, ou une suite seulement fatale et déprimante,
en restant maintenant laxiste ou impatient.

Le temps est à un positionnement personnel de fond.
Entre les erreurs, les mensonges, l'ignorance, les demi-vérités,
et les vérités vraies, immuables, universellement objectives en elles-mêmes,
un choix déterminant est à opérer. Tout retard pris - comme face au covid - risque de nous coûter (très) cher.

C'est l'amour et la patience de Dieu qui permettent encore ce temps à part.
Qu'on soit membres de corps de métiers hyper-sollicités en première ligne,
des politiques format la seconde ligne, ou des confinés lambda
sur les lignes arrières, ce temps est appel à interrogation.
...Exactement comme eut à faire le fils prodigue d'une parabole qui n'a pas fini de nous parler (ne manquez pas de la lire ou écouter ici).

Interrogation, entrée en soi-même, en vue de prendre une grande décision:
Dans ce monde que dominent les injustices, les contraintes, les extravagances faussement prometteuses et novices, soit nos restons coincés ensemble, insécurisés ensemble, à l'étroit dans nos situations personnelles
et dans la vue des choses;
soit nous venons, chacun pour sa part, ou revenons (non physiquement mais en associant raison, foi et espérance) en contact avec "la maison du Père" (avec le Dieu réel dans les dimensions psychique, spirituelle, transversale, de son royaume, avec ses grâces*, sa bienveillance, ses protections, sa justice).

La consigne sanitaire, solidaire et salutaire est claire:
Ne pas rester où on est tombé, où la vie ne nous satisfait plus - ou nous séduit trop (par une addiction ou une autre) -, là où "les esprits méchants dans les lieux célestes" nous veulent sous leur pouvoir, nous aident à nous y mettre, nous foulent ensuite aux pieds et, à un moment qui peut être le leur, arrachent les âmes des corps pour les jeter dans le shéol ou Séjour des morts
(qui est les prémices de l'enfer terminal.

 

QUAND LE CHEMIN SE PERD

Quand le chemin se perd
De nos vies, de nos entreprises, de la compréhension,
Quand on ne sait plus rien de comment la gestion
Du temps, de l'espace, des organisations,
Du conjoint, des enfants, des parents, de la raison,
Où trouver le secours, à qui regarder de fiable,
Sur quel rebord s'appuyer qui soit convenable,
Vers quel patron, vers quel chef capable,
Vers quel saint se tourner qui nous rendra vivable
Le présent arrêté ?

Quand les chemins se perdent qui étaient mal assurés,
Sur quoi on avançait sans soucis d'où cela menait,
Quelle folie que d'aller sans voir et regarder
Où on met ses pieds, à quelle fin arriver !
Et nous voilà défaits, pantelants, interdits.
Nous voilà face au Réel tel qu'il est écrit
Sinon à écrire... peut-être encore, suspendu
En dessous du vide de notre coeur rendu
A une extrêmité. Comme face à une savane,
A quel bush, quelle jungle remplie de lianes,
Impraticable comme sont tant de pensées lourdes
Ou volatiles, toutes possiblement des bourdes,
Voies sans issue, impasses, autant de culs-de-sac...
Mais points de départ possibles !? Entre l'adret et l'ubac
Comme en Tolkien, jeux vidéo, où une Terre du Juste Milieu
Existe, est à trouver qui touche aux cieux,
Pour enfin pour de vrai les toucher,
Et y gagner.

Quand le chemin se perd... une voix comme d'un désert,
Comme d'un rivage pas si lointain, sonne claire:
- Venez enfants, j'ai du pain et des poissons cuits !
Vous n'avez rien pris de votre nuit ?
Mais laissez là vos barques et vos soucis, moi je suis
Le chemin, la vérité et la vie.
 
C'est ce que Jésus dit encore aujourd'hui
Pour sauver ce qui est perdu, malade, sans toit ou sans abri
Spirituel, sans Dieu dans ce monde où les malédictions
Sévissent, font payer des tributs, démolissent les maisons.
- Croyez en Dieu et croyez en moi ! Croyez que je suis
La lumière de ce monde et que devant moi s'enfuient
L'ombre de la mort, tous les plus forts que vous, les raisons
Insensées... Parce que j'ai payé pour votre rançon
Par mon corps livré, fait péché, mal vivant crucifié,
Payé par tout mon sang versé pour le pardon de vos méfaits.


Car Dieu mon Père a tant aimé chacun de nous de ce monde déchu
Qu'il a donné son bien-aimé fils Jésus,
Pour que l'âme de quiconque croit en lui ne périsse pas
Mais qu'il reçoive en lui la vie divine qui le guidera pas à pas.
Par la prière on devient son enfant
Dès ce moment, et éternellement.

C.T. @LGDDV Avril 2020

> Aide à la prière

Écritures incluses dans le poème : Romains chap. 3.11,12 - Matthieu chap. 21.4,14 - 18.11 - Évangile selon Jean chap. 14.1-6 - Hébreux 2.14,15 - Jean chap. 3.16... - chap. 1.12,13 - chap. 8.12...
___________________
* Les grâces = faveurs imméritées, que Dieu peut nous accorder par la médiation de Jésus mort pour nous et ressuscité sont multiples.
Les plus fondamentales sont qu'il ajoute en nous, comme force contre le mal, la vie - éternelle - de son Esprit. Il élargit dans une dimension de profondeur, notre vue des réalités, visibles et invisibles, des tenants et des aboutissants de notre existence ici-maintenant. Il nous assure de sa protection et de son assistance face à ce que nous n'avons pas (enore, assez) la force de voir par nous-même qui nous serez préjudiciable. Il est une force, qui s'exerce dans notre foi, face aux esprits méchants, aux démons, qui nous tentent et veulent mettre la main sur nous pour nous faire faire toutes sortes de mauvaises choses...

 

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3 avril 2020 5 03 /04 /avril /2020 19:30

AVRIL 20-20, C'EST LE MOMENT

Par tous nos instants la vie nous est prêtée
Qui fait notre existence, nos mouvements
Des paroles des pensées des projets...
Mais c'est le divin dessein qui en son temps
S'impose - faute que nous sachions nous-même
Ce qui est bon pour nous comme ce qui est à craindre,
Faute de savoir qu'au fond un Dieu réel nous aime
Qu'on ne connait et qu'on ne sait dépeindre
Mais qui vit et avec reproches s'approche
En ce moment.

Pris dans le filet des passions et incertitudes
Soumis à des lois qu'on prend pour de purs hasards
On avance en aveugle et la vie devient rude
Absurde trou noir ou mur blanc cauchemars,
Quand des vagues submergent notre simple raison
De peurs d'angoisses de sidération,
Quand l'impropable surgit d'on ne sait quelle maison
Et roule tout ensemble peuples et nations
Grands cachés nantis petits,
En un même temps.

Car le moment vient toujours
Où le surnaturel sort pour nous réveiller
Où la nuit même se change en nouveau jour
Où les causes premières sont dévoilées
Pour qui reste petit ou pour qui veut savoir,
Dieu puissant et démons à l'oeuvre sous nos yeux
Lançant sur notre terre chacun ses huiles et feux,
Coupes douces et amères qu'on ne peut plus que boire
Qui croyants et impies hagards séparent,
C'est le moment.

C'est le temps favorable pour se voir nu-e
Démuni-e incertain-e sans chemin assuré
Avec ou sans masque dérisoire saugrenu-e
Vivant-e encore, mais pour quelle destinée ?
C'est le temps de savoir sans les ombres du doute
Qu'hors espace et sans temps que des infinités
Est un Dieu bien vivant qui voit nos banques-routes,
Qui pèse nos faux-semblants vices et iniquités
Qui aussi des fausses routes déroute
En son temps.

D'un vrai retour à Dieu c'est le moment propice
Le moment opportun pour entendre sa voix
Découvrir les valeurs qu'apporte le sacrifice
De l'amour de ce Père et de ce Fils en croix.
Regarde lève les yeux sur cet homme cloué
Qui de Dieu est venu pour prendre nos péchés
Qu'il suffit d'apporter repentant à ses pieds
Pour être pardonné selon qu'il s'est donné
En payant de sa vie le prix
Pour cet instant.

Donc oui rentre en toi-même et cherche la lumière
Qui à jamais gravée dans un livre sans âge
Qu'on appelle la Bible comme braise en tourbière
Sommeille en attendant la vue de nos visages
De nos yeux grand ouverts enfin orientés
Pour lire et boire la vie qui appartient au Ciel
Descendue par l'Esprit sur la terre habitée
Pour qu'en lui par la foi on devienne éternels
Pécheur ou pécheresse en liesse,
Dès ce temps.

C.T. 3 avril @LGDDV

Osez, changer de paradigme.

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25 mars 2020 3 25 /03 /mars /2020 20:32

L'important, c'est la rose, chantèrent Ronsard, Bécaud ou encore Françoise Hardy.
Pour nous parler de la fuite du temps, de la vanité de beaucoup de nos mouvements, et d'une fin inévitable.

Alors quand on est arrêtés, voyons la chance (au lieu de regimber) de se trouver face à soi-même, de se découvrir quand on est seul-e, au fond si désemparé-e, si vide, si perdu-e, face à l'imprévisible comme face à la mort (jamais vacante) et jusqu'à face à un Dieu réel, si méconnu, inconsciemment voilé ou sciemment occulté (par soi ou par les sociétés athéisées).

C'est en ce temps précieux qui est à vous seul, et qui ici vous est restitué par la crise du covid-19 - un vrai jugement pour toute la terre habitée - que ce poème (et autres articles de ce blog) est venu et cherche à vous rencontrer pour, surtout, que vous-même fassiez une réelle rencontre et paix avec Dieu.

À LA RECHERCHE DU TEMPS ET DU DIEU PERDUS

Quand au fil tendu des jours on n'entend plus
Que la rose nous dit - Tu es si peu de chose...
Quand on se perd en vanités et qu'on ose
Braver de Dieu les lois comme s'il n'existe plus,

Ô oui on s'expose aux coronas vilains
Pouvant sortir des ombres et changer nos choses,
Nos systèmes, nos ordres, nos illusions roses,
De nos vies fébriles arrêtant les trains.

Car où courons-nous sans destination
Orphelins du Ciel par nos homicides,
Coupables et mortels redit ce covid

...Dont le bon côté qui tarit nos fêtes
Est que seul-e au monde, par un tête à tête,
On revienne à Dieu par sa rédemption.

CT @LGDDV 25 mars 2020

Aussi en mode poésie-vie > MAIS OÙ VA TON ÂME ?

ou encore > MODE BROUILLON OU MODE PHOTO

Ici > un guide de prière si comme plusieurs vous comprenez et sentez que c'est là le coeur vivant, la finalité, de cette épreuve.

Soyez béni-e.



 

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25 mars 2020 3 25 /03 /mars /2020 17:27

Ce 20 mars 2020, dans un temps passé devant mon Dieu, soudain est montée l'amorce de ce poème, livré sur mon blog en live, tout chaud, le matin même, et repris ici. 
Je souhaite et je prie le vrai Dieu, qui n'est pas loin de loin, qu'il vous aide à sortir du pire des confinements, celui de notre psyché, celui de l'âme, veuve et orpheline de la vie de l'Esprit.

MAIS OÙ VA TON ÂME ?

Notre existence a tout d'une flamme
D'un feu de cheminée ou d'une bougie,
Elle doit s'alimenter, elle se nourrit
Entre un départ et un dernier drame.
Mais où va ton âme ?

On craint et on a raison les amalgames,
Il faut distinguer, discriminer les sons, les pousses,
Ne pas croire que la mort est la même fin pour tous
Car pour finir du bon côté il faut connaître le sésame.
Où va ton âme ?

On peut ne pas le croire, choisir de notre vie la trame
De fond, les pensées, les comportements,
Faire comme s'il n'y a pas de Dieu... un temps,
Mais bien vite arrive des chaos et la fin du programme,
Alors où va ton âme ?

Tu ne le sauras jamais que trop tard
Si tu ne veux croire que les discours ambiants,
Alors que Jésus est venu parler et priant
Pour que chacun ne meure pas au hasard,
Sans savoir où l'âme part.

Où va ton âme, c'est où vas-tu toi être conscient
Quand le corps tombe, comme on laisse sa voiture
Qui ne roule plus, coque de noix sans voilure
Que ne pousse qu'une loi inexorable officiant,
Âme pleurant ou riant.

Tu sais, rien n'est compliqué - si ce n'est nous-même
Et tout ce qu'on veut faire de grand
Qui nous embarrasse, qui nous cache le présent
Et le futur, et aussi que Dieu nous aime,
Oui, nous aime.

- Ce sont vos péchés nous crie-t-il encore,
Qui font écran entre vous et moi vous aimant,
M'obligeant à vous juger, vous sanctionnant,
Alors que je n'aspire pour vos âmes et vos corps
Qu'à pardonner encore.

Revenez à Moi, dit Dieu qui ne veut pas
Que nos libertés vécues en irresponsable
Nous imposent les fers et un enfer épouvantable,
Vous donnant ici maintenant de faire le pas
De votre rachat.

Car c'est Satan qui tient le monde et frappe
Parfois précis parfois aveugle exécutant
Une justice à sa façon sur tous les habitants,
Mais Dieu n'est jamais loin et il rattrape
Ceux qui voient la trappe,

Ceux qui, subissant les serpents brûlants,
Les effets de leurs mauvaises causes,
Pour le pardon de leurs fautes osent
Regarder à Jésus mis en croix mourant,
Et par là nous sauvant.

Car Dieu a tant aimé notre monde mortel
Qu'il a donné crucifié son bien-aimé, Jésus,
Pour que n'importe qui, âme se voyant perdue
Qui regarde à ce sacrifice étonnant perpétuel
Ait la vie éternelle.

Claude T. @LGDDV 20 mars 2020 (passage de l'Hiver au Printemps)

Si vous voulez prier en vue d'être mis en ordre avec Dieu, réconcilié-e, en paix intérieure et avec lui, une aide en cliquez ici.

Soyez richement béni-e

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31 janvier 2020 5 31 /01 /janvier /2020 18:28

A lire ou à écouter

MODE BROUILLON, MODE PHOTO

Sur les reliefs de la terre ronde
Par des chemins ou sur des ondes
Sur la trame du temps qui avance
J’imprime ma vie. J’en fais une existence
Qui court trop vite ou à tâtons
En mode essai, en mode brouillon.

Elle se transmet dans tous les rangs
La vie qui vient et que l’on prend
Comme le chien sa pâté
Comme on ouvre la télé
Comme la chatte a ses chaleurs
Le perroquet ses couleurs.

En mode essai je m’suis planté
Mon cœur deux fois fut brisé,
Ça se répare mais pas vraiment
Comme quand on s’casse une dent
Ou qu’on s’abîme la figure,
Les fêlures ont la vie dure.

Et puis Jésus est venu !
Me délivrer de mes verrues,
Jetant au feu tous mes brouillons,
Brûlant mon cœur de sa passion
Et transformant le laid en beau
Pour que j’imprime en mode photo.

Il n’y a de mode standard,
Pas plus qu’il n’y a de hasards
Qui gouvernent les univers.
Qu’on l’écrive en rouge ou vert
En sépia, rose fluo ou terre de sienne
La vie donnée qu’on se fait sienne

N’est encore rien sans le bleu ciel
Qui vient d’En-haut riche en pixels,
Pour nous donner en mode photo
Lumière d’appoint, cadre nouveau,
Ombre éclairée en équilibre
Et vérités qui rendent libre.

Quand Jésus vient Révolution !
Par lui arrivent les meilleurs dons,
La grâce du Ciel par le pardon,
Le repos dans nos excursions,
Son Esprit-Saint écrit nos noms
Au livre de sa rédemption
Et nous conduit par vaux et monts
À La Maison.

Ne reste pas en mode confus
Dont les formats nous laissent perdus
Loin de la paix, hors du réel
Dont l’essentiel est éternel.
Avec Jésus y a pas photo,
Il retouche tout là où il faut.
Le laisseras-tu te reformer
Pour vivre en Dieu l'éternité ?

Claude T. - @LGDDV - 2018

La Bible : "Car Dieu a tant aimé le monde..."

Bénédiction.
Guide de prière pour venir à Dieu.

 

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28 janvier 2020 2 28 /01 /janvier /2020 12:10

UN HOMME AVANCE

Un homme avance derrière moi dans la nuit
Ses pas s'approchent je suis seule que me veut-il
Je suis femme et je sais bien ce qu'il convoite
Dois-je courir, m'enfuir ou bien l'affronter
J'ai pris des coups ai-je encore du ressort
Je suis lasse et j'ai envie de tout laisser tomber
De cette vie de mes emmerdes de mon passé.
Je suis marquée par quelle malédiction
Qui me poursuit comme je sens cet homme qui me suit
Que faire crier avant ouvrir mon chemisier
Comme ces Femen qui pensent ainsi le mâle exorciser ?

 

Il me dépasse ça va très vite le voilà face à moi 
Il ne me fait pas peur s'il me parle sur quel ton je répondrais
S'il me touche je ne sais pas ce que je ferai
C'est curieux j'ai envie de m'abandonner - sur sa poitrine
Il semble doux mais j'en ai vu de ces marlous
de ses loups déguisés pour manger du Chaperon
Je sens que je glisse que je vais encore me faire avoir
Qu'il va me prendre même ce que je n'ai plus
Pourquoi ne dit-il rien attend-il que je le regarde droit dans les yeux
Pour mieux m'hypnotiser et jouir de ma peur ou de mon abandon ?
Ô ces yeux ,si doux, qui m'aiment, j'en ai jamais rencontré de semblables
J'en suis tremblante je l'aime déjà je vais me faire avoir
Qui es-tu je sais ce que tu veux de moi mais c'est pas juste !

 

Je fonds en larmes sans défense devant tant d'amour
Je me retiens de tomber dans ses bras
Et quand je vais fléchir il dit mon prénom !
Il me connait d'où de quand par quoi
Je défaille Dieu je suis si bien Dites moi qui êtes-vous
D'où on se connaît j'ai du oublier
Vous me faites tant de bien sans rien faire
Sans rien dire juste en étant là
Que je ne comprends pas
Un tel amour jamais vu jamais connu
M'inonde qui passe par vagues de toi à moi
Cette paix pourquoi venu d'où c'est quoi ?

Il me montre alors une main.
Elle est percée le sang rouge vif et brillant en sort
Mais ne coule pas. Quelle belle et vilaine plaie
Qui t'a blessé, dis-moi ?
- Toi.
- Moi, mais quoi, comment, que dites-vous ?
J'ai soudain de nouveau peur un détraqué !?
- Non je t'aime et j'ai payé.
Et là je vois d'un coup ma vie défiler vertigineuse
De fautes de méchanceté de jalousie de vices
Une horreur que je n'avais jamais vue je m'effondre
M'accrochant à son vêtement perdue vaincue
Mais pas battue.
Il dit alors - Pour tout ce que tu as fait j'ai payé
Je tourne la page par ma main, par mon corps transpercé
Je t'ai rachetée tu es pardonnée.
Aussi simple que ça qu'ai-je fais de bien pour mériter !?...
- Rien.
Tu es... tu es Jésus c'est toi !?
Dans ma nuit jusque là tu m'as suivie ?
Dans mes questions se trouvent les réponses
Je fonds d'amour d'un tel amour il me fait don
Je trouve un homme enfin suffisant pour porter
Ma misère mon insolence mes troubles mes blessures
Pour combler mes manques et mon cœur dépité
Je veux être à toi j'ai besoin de toi
Qui d'autre pourrais-je trouver dans ce monde ?

Il semble vouloir partir est-ce un mirage j'en ai tant vus
Faut-il que je supplie pour qu'il reste
Pour qu'il me prenne d'une manière jusque là inconnue avec lui
Pour lui sans sexe sans moiteur sans violence ou mépris
Pareil amour est-il possible
Moi entière dans son âme dans ses yeux dans son cœur ?
- Je suis à toi si tu te donnes comme j'ai donné ma vie pour toi.
Pouvais-je dire autre chose que Je suis à toi moi aussi je suis à toi
Tant l'amour vrai souhaite contient réclame un don total.
Tout cela allait très vite et doucement en même temps
Hors du temps mais c'était solide comme jamais auparavant
Je le savais sans pouvoir me tromper.

- Tu seras vulnérable
Tu seras ma défense mon bouclier
- Tu deviendras plus petite
Tu seras ma puissante moitié ma fierté
- Tu me seras infidèle
NON ! Je te jure
- Ne jure pas si tu tombes je t'aiderai à revenir à remonter
Et tu deviendras forte jusqu'à crucifier avec moi le mal.
Je t'aime ô que je t'aime fais que je t'aime sans faillir
- Je te scelle dans une alliance pacte d'amour par mon sang.
Tu es bon tu es doux tu es le plus beau de tous les fils des hommes
Tes yeux me charment ton sang me lave et purifie
- Tu es la plus belle des femmes j'aime ton nouveau parfum
On s'enivrera de toutes les beautés ma bien-aimée
Déjà un peu ici et sans fin dans mon royaume.
Rien que de l'amour je veux et te suivre et t'écouter
 Volontaire bienheureuse nos deux cœurs vibrant du même souffle.
- Ce sera difficile
Tu vaincras encore pour moi
- Il faut à l'amour justice, vérité, pardonner, humilité
En une grappe comme frères et sœurs enfants d'un même Père
Écoute écoute car c'est par manque de tout cela qu'il y a si peu d'alliances sûres
Tant de ruptures les mauvais coups tous les trafics
Rien n'est durable sans moi et sans amour.
Je veux ton ciel maintenant et toujours
- Je te le donne ma douce ma mie crois seulement
L'amour est fragile mais fort plus que la mort
On peut vivre unis l’Éternel présent si tu le veux comme je le désire
Prenons-nous par le cœur promenons-nous sous ce bois
Où je fus agressé pour que la vie et l'amour vrai triomphent
Maintenant
Et en dernier lieu.

        Claude Thé - 7 janv. 2020 - @LGDDV

Dieu nous aime par la personne éternisée de Jésus.
"
Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

 

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22 janvier 2020 3 22 /01 /janvier /2020 14:51

Entre les cimes et les abimes
On court, on parcourt, on bat la campagne,
On longue des vallées peu éclairées, encaissées
Ou verts tendres, on traverse des champs de blé
Parfois teintés de coquelicots et de bleuets ;
Aux prés fleurissent la primevère et pissenlits
Mais le bonheur est-il ici ?
Paul Fort de son talent l'a cherché, l'a cherché
Ce bonheur coquin rouquin malin qui peut poindre,
Sans le rejoindre : Il a filé !

Mais voilà que la colombe sortant de la tombe
Blanche, vient nous dire et prescrire : Il est ici,
Il n'est pas parti ! Le bonheur est dans la vie,
En son cœur, en Jésus-Christ.
C'est Lui qui l'a remis à portée d'âme comme flamme
Devant brûler en nous de son huile odoriférante
Allumée à la torche du Sacrifice qui prit nos vices
Nos errances mortelles coupant du Ciel,
Sur Lui.

Alors cours moins, cours mieux, et crois !
Crois et fais croître sans cloître ta foi dans la liberté
Et les vérités que Jésus-Christ ressuscité accorde ;
Crois en sa croix, foi qui s'éveille, s'anime, et trouve
En sa mort encore le port du Ciel,
La paix du cœur, le bonheur
D'être aimé, reçu, sauvé
Ici maintenant
Et jusque dans l'éternité.

Claude T. - 22 01 20 @LGDDV

Ici > un guide pour une prière sincère où on se remet à Dieu en vérité.

 

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10 janvier 2020 5 10 /01 /janvier /2020 19:44

poème compassion à des amis d'Australie


Tu brûles de quels feux, depuis quand
Ton sud est-il trop chaud de passions qui réclament
Que des flammes boisées éteignent tes viles flammes
A leur comble arrivées, d'En-haut recevant jugement ?

«Le feu marche devant l'Éternel» dit sa parole,
Qui détruisit en d'autres temps Sodome et ses habitants
Avec grêle en Égypte des hommes et leurs champs
Certains israélites délivrés mais encore murmurant
Ou d'autres messagers qu'envoyait Achazia persistant...
Et qui encore demain descendra sur oboles et idoles.

Un autre feu brûle, dans le coeur de Dieu
Qui voudrait tant éviter à chacun en Europe Asie
Afrique et aux Amériques comme en Australie
De tels jugements tombant des cieux
Alors même qu'ils ont déjà tous été portés
Par Jésus subissant uni au bois de sa croix
Le feu dévorant de sa vie livrée pour que l'on croit
Qu'en regardant à lui on échappe. A tous les bûchers

Aux sécheresses de cœur comme aux eaux diluviennes
Aux blessures résutant de nos fautes aux requins aux serpents
Aux pressions qui rendent tout lourd et cassant,
Pourvu qu'on s'humilie et qu'on (re)vienne
Par la foi au trône dominant tous les cieux
D'où la Grâce s'accorde à tout cœur repentant
Abattu, humilié, contrit, pauvre et vacant
Qui se voit perdu et s'en remet à Dieu.

De sa bouche alors sort doux un autre feu
Bénissant nous lavant et redonnant courage
Pour marcher comme jamais dans les pas le sillage
De Jésus conduisant jusqu'au plus haut des cieux.

Le mal qui sévit n'est jamais seulement douleurs et fin en soi
Pour qui l'Esprit appelle à une vie refaite
Dépouillée d'oripeaux d'amulettes de sornettes
Où les pleurs sont changés jusqu'en larmes de joie.

Rémy, toi aussi enlacé dans un feu de famille, où l'alcool
Inflammable et brûlant de chaleur illusoire
Fait son oeuvre te poussant jusqu'à soif et vouloir
A genoux du Grand Dieu la remise de peine, et l'école.

Feu qui détruit feu qui restaure
On est chacun pris dans des flammes
Pour que s'ouvrant sous la chaleur, notre âme
Reçoive du Ciel une nouvelle aurore
Tel Petit Prince voyant juste en bougeant un peu
Quarante-quatre couchers de soleil à la suite,
Toi Australia, australians, désirent une sobre conduite
Tes ivresses remplacées par l'amour du seul bon Dieu.

Claude Thé - 10 janv. 2020 - @LGDDV

 

Ajout du 11.01 : Après avoir posté ce texte j'ai cherché à mieux connaître l'Australie, et j'ai trouvé des articles qui parlent des maux et fléaux qui plombent ce continent : Une consommation d'alcool très très important, notamment liée à des difficultés et violences conjugales, et la drogue, un article titrant même que l'Australie est "la championne du monde" en la matière.
... ce qui confirme l'inspiration de mon texte.

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26 août 2019 1 26 /08 /août /2019 20:43

ENTROPIE

Il y a 60 ans je m'en souviens
Dans les rues seuls des chats et des chiens
Se pistaient, s’hérissaient, se montaient,
Les autos nous laissaient plus en paix.

Dans les prés partout des papillons
Voletaient ; le soir c'était les hannetons
Qui bruissaient autour des lampadaires,
Dans moins de lumière, mais on voyait plus clair.

Les terres étaient riches des fumiers,
On avait pas ou peu besoin d'engrais,
Les grains dans les silos à moitié
Étaient sains, qu'on pouvait re-semer.

Dans les matins frais au soleil rosissant
L'ouvrier léger sortait en sifflant ;
Sur les chantiers, aux ateliers on chantait
Jusqu'au soir en rentrant, heureusement fatigués.

Nos âmes étaient mieux nées,
Nos parents craignaient les autorités,
Sans être les meilleurs parmi les prudes ;
Notre bac s'appelait Certificat d'études.

Parfois l'amour toquait, doucement, pas pressé.
Timides, on le couvait dans le cœur sans parler,
Le mystère était grand, fiançailles et mariage,
Des cadeaux aujourd'hui d'un autre âge.

Le formica brillait, la TSF craquait,
On traversait les rues sans passages cloutés...
Mais déjà s'enflammaient pour les fées électriques
les âmes les voyant déjà comme viatique.

La marée bientôt noire est montée.
Vue de loin noir blanc gris elle semblait
Sans danger : un à un dans les salles à manger
Les écrans sont entrés.

Un prof de philo formé en République,
A bout portant me cible avec sa rhétorique,
Marx, Engels, Camus, Bunuel, Buzzati,
Nietzsche, Sartre, Russell... contre moi tout petit.

La foi est mise à mort, Dieu était alibi,
Mai 68 explose, et bientôt la patrie.
On renverse, on bouscule et on crie Au dialogue !
Qui devient force vive contre les décalogues.

Le Général s'efface et bientôt les armées,
Détabouïsés les sexes sont livrés
Au ciné, aux envies, au plus vil des passions
Jusqu'à la déraison.

C'est la fin, Adieu veaux, vaches, cochons, couvées,
La folie est partout descendue des nuées
Pour faire de l'homme encore, la femme au premier plan,
Une proie, du gibier, et des fraises et du sang.

Jusques à quand Seigneur, tarderas-tu encore
Pour juger l'hérésie, les vivants et les morts ?
Je sais que tu reviens, comme tu es parti,
Pour faire parmi les hommes, ton tri.

C. T. - ALGDDV - 2017

PS La fôte sur la photo, n'est pas de moa ! Emoji Emoji

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