Ce poème est parti de cette pensée : Liberté post-chrétienne (à partir du XVIIIe) : Pour construire le temps qui passe et demain, on a voulu monter des moellons sans ciment, et assemblés d’autres façons. Libertés post-soixante-huitardes : On coule dans le présent des bétons faits de sable des déserts, très peu ferraillés... et sans coffrage.
On peut assembler ainsi plein de mots en corps Pour décrire ou peindre tout notre décor, Mais on est sans force, sans à propos, sans rôle Pour de sûres solutions, pour la bonne parole.
On joue à s’épuiser des matchs incessants Mais sans gagner jamais contre le cours du temps, Et jamais on ne voit en prenant du recul Qu’à zéro-zéro, ou trois partout, c’est matchs nuls.
L’impiété tient la dragée haute à la foi Qui se dilue dans des ego trop gros ou fond dans des moi Trop maigres, handicapés autant que boursouflés, Unijambistes quand l’Esprit n’ a pas où poser son pied.
Et là vient la pensée de s’arrêter ! - C’est bien dit, c’est fait, C’est parlant pour ceux qui voudront lire et écouter ; Tourne la page, publie sur tes réseaux comme une gourde Mise à la mer… - Mais non ! Encore j’ajoute pour les âmes sourdes
Dans sa puissance le nom de Jésus - qui ouvre l’ouïe, Qui rend la vue, qui chasse les ombres et qui nourrit Aujourd’hui comme hier les faibles, les esseulés, les indigents, Les pécheurs (que nous sommes) qui s’avouent et prennent le temps
De lire le Réel jusqu’au bout, pour y trouver un Ciel Tout autre, à peine soupçonné, un astre différent, éternel, Devenu un jour un homme - Jésus - porteur de notre cause, Pour payer de sa vie le prix de nos psychoses,
De nos vols, de nos frasques, de nos infanticides, De nos idées coupables, de nos échanges acides... En somme le prix du péché - cette loi du mal qui nous habite - Qui à Golgotha le perce, le saigne et le tue tel un rite
Exorciste, Jésus bouc-émissaire volontaire, nécessaire Face à la justice, divine, qui gronde sur la terre A cause des collusions des hommes et des démons Qui de leur invisible dirigent et orientent les faits et décisions.
Mais la mort de Jésus - très juste châtiment des pécheurs Que l'on laisse à l’ire vengeresse de leurs sombres vainqueurs - Est injuste au possible, quant à lui qui n’a jamais fait mal, Au point où Dieu lui rend la vie d’un geste inaugural.
Regarde-le vraiment cet homme comme encorné Par Satan, déchiré par les hommes méchants, attaché, paralysé, Nu juste couvert par son sang ; vois-le bien, touche-le car c’est pour toi Qu’il se livre, se donne, se substitue pour que ta propre fin ne soit pas
Dans ce délire de jouissances infâmes, d’horreurs, d’ignominies, Qui se passe quand l’âme sans pardon rejoint les ennemis Célestes du bien, du juste, du vrai, au shéol séjour des réprouvés Qui n’ont compté que sur du vent et sur eux pour durer.
C’est ce regard et la foi maintenant depuis deux millénaires Qui ouvrent à tous pécheurs l’accès au Paradis, Croire en Jésus étant depuis ici la terre L’unique moyen, dit Dieu, pour vivre tout, sans les gâchis.
Claude T. - 29 juillet 2018 - ALGDDV
Que la bénédiction du 3e Ciel tombe sur vous... si vous répondez : Amen (Qu'il en soit ainsi).
Le poète n'est pas qu'un rêveur. Il est une âme vibrante, ouverte à quelque sphère, qui reçoit et traduit, comme un pont entre deux ou trois plans du Réel.
Mais pourquoi la culture ne retransmet pas de manière impartiale l'essentiel de ce qui a fait le poète (comme le savant, comme l'inventeur...).
Dans le cas de Lamartine, des générations ont entendu parlé ou appris par cœur Le lac : "Ô temps, suspends ton vol et vous heures propices suspendez votre cours"... Mais qui sait de quelle foi Lamartine fut animé ? Car notre positionnement personnel par rapport à une force ou personne divine, c'est-à-dire la foi ou l'impiété qui nous caractérise en fondant notre perception du réel, est le gouvernail et la voile de notre personnalité et de nos comportements... comme encore de notre devenir éternel !
DIEU -Alphonse de LAMARTINE
(À M. de la Mennais)
Oui, mon âme se plaît à secouer ses chaînes : Déposant le fardeau des misères humaines, Laissant errer mes sens dans ce monde des corps, Au monde des esprits je monte sans efforts. Là, foulant à mes pieds cet univers visible, Je plane en liberté dans les champs du possible, Mon âme est à l'étroit dans sa vaste prison : Il me faut un séjour qui n'ait pas d'horizon. Comme une goutte d'eau dans l'Océan versée, L'infini dans son sein absorbe ma pensée ; Là, reine de l'espace et de l'éternité, Elle ose mesurer le temps, l'immensité, Aborder le néant, parcourir l'existence, Et concevoir de Dieu l'inconcevable essence.
Mais sitôt que je veux peindre ce que je sens, Toute parole expire en efforts impuissants. Mon âme croit parler, ma langue embarrassée Frappe l'air de vingt sons, ombre de ma pensée. Dieu fit pour les esprits deux langages divers : En sons articulés l'un vole dans les airs ; Ce langage borné s'apprend parmi les hommes, Il suffit aux besoins de l'exil où nous sommes, Et, suivant des mortels les destins inconstants Change avec les climats ou passe avec les temps. L'autre, éternel, sublime, universel, immense, Est le langage inné de toute intelligence : Ce n'est point un son mort dans les airs répandu, C'est un verbe vivant dans le cœur entendu ; On l'entend, on l'explique, on le parle avec l'âme ; Ce langage senti touche, illumine, enflamme ; De ce que l'âme éprouve interprètes brûlants, Il n'a que des soupirs, des ardeurs, des élans ; C'est la langue du ciel que parle la prière, Et que le tendre amour comprend seul sur la terre. Aux pures régions où j'aime à m'envoler, L'enthousiasme aussi vient me la révéler.
Lui seul est mon flambeau dans cette nuit profonde, Et mieux que la raison il m'explique le monde. Viens donc ! Il est mon guide, et je veux t'en servir. A ses ailes de feu, viens, laisse-toi ravir ! Déjà l'ombre du monde à nos regards s'efface, Nous échappons au temps, nous franchissons l'espace. Et dans l'ordre éternel de la réalité, Nous voilà face à face avec la vérité ! Cet astre universel, sans déclin, sans aurore, C'est Dieu, c'est ce grand tout, qui soi-même s'adore ! Il est ; tout est en lui : l'immensité, les temps, De son être infini sont les purs éléments ; L'espace est son séjour, l'éternité son âge ; Le jour est son regard, le monde est son image ; Tout l'univers subsiste à l'ombre de sa main ; L'être à flots éternels découlant de son sein, Comme un fleuve nourri par cette source immense, S'en échappe, et revient finir où tout commence. Sans bornes comme lui ses ouvrages parfaits Bénissent en naissant la main qui les a faits !
Il peuple l'infini chaque fois qu'il respire ; Pour lui, vouloir c'est faire, exister c'est produire ! Tirant tout de soi seul, rapportant tout à soi, Sa volonté suprême est sa suprême loi ! Mais cette volonté, sans ombre et sans faiblesse, Est à la fois puissance, ordre, équité, sagesse. Sur tout ce qui peut être il l'exerce à son gré ; Le néant jusqu'à lui s'élève par degré : Intelligence, amour, force, beauté, jeunesse, Sans s'épuiser jamais, il peut donner sans cesse, Et comblant le néant de ses dons précieux, Des derniers rangs de l'être il peut tirer des dieux ! Mais ces dieux de sa main, ces fils de sa puissance, Mesurent d'eux à lui l'éternelle distance, Tendant par leur nature à l'être qui les fit ; Il est leur fin à tous, et lui seul se suffit !
Voilà, voilà le Dieu que tout esprit adore, Qu'Abraham a servi, que rêvait Pythagore, Que Socrate annonçait, qu'entrevoyait Platon ; Ce Dieu que l'univers révèle à la raison, Que la justice attend, que l'infortune espère, Et que le Christ enfin vint montrer à la terre ! Ce n'est plus là ce Dieu par l'homme fabriqué, Ce Dieu par l'imposture à l'erreur expliqué, Ce Dieu défiguré par la main des faux prêtres, Qu'adoraient en tremblant nos crédules ancêtres. Il est seul, il est un, il est juste, il est bon ; La terre voit son œuvre, et le ciel sait son nom ! Heureux qui le connaît ! plus heureux qui l'adore ! Qui, tandis que le monde ou l'outrage ou l'ignore, Seul, aux rayons pieux des lampes de la nuit, S'élève au sanctuaire où la foi l'introduit Et, consumé d'amour et de reconnaissance, Brûle comme l'encens son âme en sa présence !
Mais pour monter à lui notre esprit abattu Doit emprunter d'en haut sa force et sa vertu. Il faut voler au ciel sur des ailes de flamme : Le désir et l'amour sont les ailes de l'âme. Ah ! que ne suis-je né dans l'âge où les humains, Jeunes, à peine encore échappés de ses mains, Près de Dieu par le temps, plus près par l'innocence, Conversaient avec lui, marchaient en sa présence ? Que n'ai-je vu le monde à son premier soleil ? Que n'ai-je entendu l'homme à son premier réveil ? Tout lui parlait de toi, tu lui parlais toi-même ; L'univers respirait ta majesté suprême ; La nature, sortant des mains du Créateur, Étalait en tous sens le nom de son auteur ; Ce nom, caché depuis sous la rouille des âges, En traits plus éclatants brillait sur tes Ouvrages ; L'homme dans le passé ne remontait qu'à toi ; Il invoquait son père, et tu disais : C'est moi. Longtemps comme un enfant ta voix daigna l'instruire, Et par la main longtemps tu voulus le conduire. Que de fois dans ta gloire à lui tu t'es montré, Aux vallons de Sennar, aux chênes de Membré, Dans le buisson d'Horeb, ou sur l'auguste cime Où Moïse aux Hébreux dictait sa loi sublime ! Ces enfants de Jacob, premiers-nés des humains, Reçurent quarante ans la manne de tes mains Tu frappais leur esprit par tes vivants oracles ! Tu parlais à leurs yeux par la voix des miracles ! Et lorsqu'ils t'oubliaient, tes anges descendus Rappelaient ta mémoire à leurs cœurs éperdus ! Mais enfin, comme un fleuve éloigné de sa source, Ce souvenir si pur s'altéra dans sa course ! De cet astre vieilli la sombre nuit des temps Éclipsa par degrés les rayons éclatants ; Tu cessas de parler ; l'oubli, la main des âges, Usèrent ce grand nom empreint dans tes ouvrages ; Les siècles en passant firent pâlir la foi ; L'homme plaça le doute entre le monde et toi.
Oui, ce monde, Seigneur, est vieilli pour ta gloire ; Il a perdu ton nom, ta trace et ta mémoire Et pour les retrouver il nous faut, dans son cours, Remonter flots à flots le long fleuve des jours ! Nature ! firmament ! l'oeil en vain vous contemple ; Hélas ! sans voir le Dieu, l'homme admire le temple, Il voit, il suit en vain, dans les déserts des cieux, De leurs mille soleils le cours mystérieux ! Il ne reconnaît plus la main qui les dirige ! Un prodige éternel cesse d'être un prodige ! Comme ils brillaient hier, ils brilleront demain ! Qui sait où commença leur glorieux chemin ? Qui sait si ce flambeau, qui luit et qui féconde, Une première fois s'est levé sur le monde ? Nos pères n'ont point vu briller son premier tour Et les jours éternels n'ont point de premier jour. Sur le monde moral, en vain ta providence, Dans ces grands changements révèle ta présence ! C'est en vain qu'en tes jeux l'empire des humains Passe d'un sceptre à l'autre, errant de mains en mains ; Nos yeux accoutumés à sa vicissitude Se sont fait de ta gloire une froide habitude ; Les siècles ont tant vu de ces grands coups du sort : Le spectacle est usé, l'homme engourdi s'endort.
Réveille-nous, grand Dieu ! parle et change le monde ; Fais entendre au néant ta parole féconde. Il est temps ! lève-toi ! sors de ce long repos ; Tire un autre univers de cet autre chaos. A nos yeux assoupis il faut d'autres spectacles ! A nos esprits flottants il faut d'autres miracles ! Change l'ordre des cieux qui ne nous parle plus ! Lance un nouveau soleil à nos yeux éperdus ! Détruis ce vieux palais, indigne de ta gloire ; Viens ! montre-toi toi-même et force-nous de croire ! Mais peut-être, avant l'heure où dans les cieux déserts Le soleil cessera d'éclairer l'univers, De ce soleil moral la lumière éclipsée Cessera par degrés d'éclairer la pensée ; Et le jour qui verra ce grand flambeau détruit Plongera l'univers dans l'éternelle nuit. Alors tu briseras ton inutile ouvrage : Ses débris foudroyés rediront d'âge en âge : Seul je suis ! hors de moi rien ne peut subsister ! L'homme cessa de croire, il cessa d'exister !
Du recueil : Méditations poétiques (1820).
L'homme cessant de croire, il cesse d'exister.
Que ce Dieu qu'on peut connaître et suivre - en rapport de notre besoin ou désir de sens, de profondeurs, de réponses, de vérités...- fasse quelques pas vers vous, pour que vous le découvriez (un peu) mieux.
Ne faisons pas de la poésie une idole d'hier et d'avant-hier, un vestige. Ne voyons pas les poèmes seulement comme des fossiles intéressants. Au XXIe siècle on peut encore avoir à dire la vie présente et le Réel sous forme poétique. Pour moi la poésie est à la vie ce qu'est la tendresse à l'amour... et à la haine.
CORPS À CORPS
En se livrant encor encore A la femme, à son corps, L’homme met en désaccord La soute, la quille, bâbord, tribord.
Les faux-amours font corps à corps Où l’âme se lasse de ces rapports Qui chassent les plus beaux accords Par des moiteurs jusqu’en la mort.
L’intelligence en berne l’homme Ne bâtit plus que de chaume, Ne pense même plus en home Dégénère son génome.
Il et elle ont banni les axiomes, Chenilles ils papillonnent, En résultent des hématomes, Rend impossible le nickel-chrome.
Ainsi se perdent des trésors Chacun ayant sa part de torts, Loin de Dieu la vie s’endort Pour des cauchemars, encore.
On souille tout en somme ! On pourrit tous nos royaumes, On se débat, perce nos paumes, Mais seul Jésus est le surhomme.
Claude Thé - 22 juillet 2018
La Bible, l'Histoire et nos histoires préviennent que la sexualité débridée suscite de mauvais désirs, amène des problèmes relationnels importants (dans les foyers et avec Dieu), des pertes de capacités (dont Samson est une figure), violences, cruautés, chaos, chute des civilisations (Mahagonny de Brecht et Weill)... Et Jésus a annoncé qu'un temps allait venir où il en serait par toute la terre comme au temps de Noé, comme au temps de Sodome.
Qui d'une nation ou d'un souverain nouveau venu est le premier coupable ? Lequel est l'idole ? Ici un poème qui met en scène La France déboussolée et Bonaparte le petit corse intrépide, dont elle fît Napoléon qui toucha, comme tous ceux qui s'élèvent trop vite et trop haut, à l'humiliation plus qu'aux véritables étoiles. Comme Alexandre le grand et, plus près de nous, comme qui encore !?... Apprenons-nous encore que l'Histoire - comme la Bible - est porteuse de leçons édifiantes ?
Ô Corse à cheveux plats ! que ta France était belle Au grand soleil de messidor ! C'était une cavale indomptable et rebelle, Sans frein d'acier ni rênes d'or ; Une jument sauvage à la croupe rustique, Fumante encor du sang des rois, Mais fière, et d'un pied fort heurtant le sol antique, Libre pour la première fois. Jamais aucune main n'avait passé sur elle Pour la flétrir et l'outrager ; Jamais ses larges flancs n'avaient porté la selle Et le harnais de l'étranger ; Tout son poil était vierge, et, belle vagabonde, L'oeil haut, la croupe en mouvement, Sur ses jarrets dressée, elle effrayait le monde Du bruit de son hennissement. Tu parus, et sitôt que tu vis son allure, Ses reins si souples et dispos, Dompteur audacieux tu pris sa chevelure, Tu montas botté sur son dos. Alors, comme elle aimait les rumeurs de la guerre, La poudre, les tambours battants, Pour champ de course, alors tu lui donnas la terre Et des combats pour passe-temps : Alors, plus de repos, plus de nuits, plus de sommes, Toujours l'air, toujours le travail. Toujours comme du sable écraser des corps d'hommes, Toujours du sang jusqu'au poitrail. Quinze ans son dur sabot, dans sa course rapide, Broya les générations; Quinze ans elle passa, fumante, à toute bride, Sur le ventre des nations ; Enfin, lasse d'aller sans finir sa carrière, D'aller sans user son chemin, De pétrir l'univers, et comme une poussière De soulever le genre humain ; Les jarrets épuisés, haletante, sans force Et fléchissant à chaque pas, Elle demanda grâce à son cavalier corse ; Mais, bourreau, tu n'écoutas pas ! Tu la pressas plus fort de ta cuisse nerveuse, Pour étouffer ses cris ardents, Tu retournas le mors dans sa bouche baveuse, De fureur tu brisas ses dents ; Elle se releva : mais un jour de bataille, Ne pouvant plus mordre ses freins, Mourante, elle tomba sur un lit de mitraille Et du coup te cassa les reins.
Dans tous les cas, tout vient en jugement, tantôt les peuples, tantôt les monarques, et toujours l'homme, individuellement.
On peut avoir le meilleur matelas du monde, mais sans pour autant trouver le sommeil. La cause ? Trop de fatigue comme trop de paresse ; la peur d'être visité de nuit par des voleurs, ou encore par des mauvais esprits (des "maris de nuit", etc...) ; des pensées qu'on n'arrive pas ou plus à maîtriser ; un souci ou un mauvais projet qui s'impose, vous ronge et revient sans que vous puissiez leur résister ; trop manger, ou pas assez ; trop de café, ou autre substance énergisante dont on est devenu accro ; un cumul de fautes morales dont la perte de sommeil est un jugement (en vue que nous nous interrogions sur notre couche quant à nos faits d'existence jusque là et autre avenir compromis)...
Confiez-vous en l’Éternel-Dieu qui a compassion des pécheurs que nous sommes... pourvu que nous le reconnaissions. Il ne nous cache pas toujours sa face, sa présence et le sentiment qu'on peut en avoir, ce qui manque à notre cœur. Que Jésus vous bénisse du trône céleste d'où il agit encore et patiente ... jusqu'aux jours (bien proches) de son retour en gloire...
Un mur aux jointements qui interrogent (Machu Picchu, ancienne cité inca au Pérou) ! "Soyons impossible, demandons le Réel !" Alexandre Koyré Est-ce à dire qu'on peut chercher Dieu comme on cherche et trouve dans le domaine de la physique ?...
Il est évident que nous vivons dans un univers ouvert (qui tient de l'infini - sans en être) qui nous est largement fermé, mais s'ouvre par notre implication à le pénétrer. Et d'autant nous savons qu'il est issu de Dieu, d'autant nous sommes portés, par l'enthousiasme de l'esprit, par la curiosité, la soif de savoir, à le dé-couvrir.
"La physique, c'est pas la bureaucratie des apparences... En fait, il faut trouver des stratagèmes intellectuels, pour que le réel dé-coïncide de ce qu'il montre." Étienne Klein. Exemple le plus évident : la course du soleil...
"Faire de la physique, c'est penser contre son cerveau" Gaston Bachelard. En termes plus précis, c'est dépasser ou sortir des bornes acquises de notre capacité intellectuelle (raison rigide, préjugés, savoir scientifique partiel ou du moment, voire idéologie) par des capacités comme l'intuition, l'extrapolation, la transcendance de l'esprit, voire le secours divin par révélation ou "hasard conduit" (sérendipté - que je trouve une meilleure traduction auditive que sérendipité).
En parallèle donc, dans un Univers ou Réel (réel Total) qu'on peut entrevoir par la foi comme étant d'une hyper-unité, pourquoi les réalités (incréées) de Dieu et autres esprits de l'ordre angélique (créés) ne pourraient-ils pas se découvrir selon la même affirmation : "Faire de la spiritualité, c'est penser contre son cerveau" !?
Regardez et écoutez Étienne Klein, la structure fondamentale de la matière*... et rien qu'à partir de là, réfléchissez si la théorie de l'évolution - qui fait des hasards aveugles et sans intelligence et des nécessités aléatoires le créateur un-pluriel de la matière et du reste qu'on a sous les yeux - peut-être (encore) prise au sérieux !? Ensuite, à partir de cette vidéo et approche intelligente des réalités (visibles et bien cachées) - qui dit notamment que le Réel s'explique par l'impossible (Alexandre Koyré) -, comprenez que la connaissance ou découverte de la réalité de Dieu en tant qu'auteur de la matière et de ses dispositions, peut aussi passer par ces mêmes processus d'approche... compris la révélation qu'il peut initier en votre faveur (comme il fit à partir d'un certain jour pour moi qui ne le cherchais même pas).
Soyez béni-e...
à suivre... ________________ * Ce n'est pas que je comprenne tout comme pour me vanter que je propose cette vidéo, mais parce que la pensée véhiculée peut donner à notre âme l'idée (très en vogue par ailleurs...) d'un lâcher-prise qui permette à la dimension et au contenu de l'esprit de trouver sa place - son nid...
Les vestiges ne manquent pas sur la terre qui témoignent que le surnaturel autant que le naturel est constitutif de notre univers...
Le Réel (au minimum l'univers visible) est à la fois apparent, disponible, accessible, mais aussi invisible, voilé, à chercher, pénétrer, percer, pour en amener des réalités et vérités dans la lumière de nos consciences. - C'est devenu manifeste concernant les dimensions physiques ; - C'est vrai au plan des psychiques (que ce soit dans l'ordre animal ou humain) dont s'occupent différentes catégories de psy : - Et c'est tout aussi exact au plan des réalités spirituelles (peut-être plus subtiles que les autres, mais aussi réelles que les électrons, les quarks ou les bosons auxquels on croit sans que personne n'en ait jamais vu) dont témoignent tous les croyants spirituels (nés spirituellement), la Bible et quantité de livres chrétiens...
Et donc à nous, dotés de liberté(s) là où les animaux sont déterminés, de chercher encore, notamment ce qui nous concerne au plus près : le sens de notre existence et encore de sa fin physique globalement programmée, en accédant à la dimension (potentielle en nous) que constitue la vie de l'Esprit divin.
DES VESTIGES D'UN PASSÉ SURNATUREL ENGLOUTI Plusieurs vestiges physiques extraordinaires témoignent d'un passé étonnant : - les statues de l'Île de Pâques ; - les pyramides d’Égypte ; - les restes architecturaux d'anciennes civilisations d'Asie ou d'Amérique du sud ; - des squelettes humains mesurant 3 ou 6 mètres et plus ; - des passages bibliques qui parlent de races de géants ; - diverses mythologies qui se recoupent et rapportent forcément des éléments de vérités anciennes participant à la trame de nos origines ; - etc, etc...
De même dans notre être profond se trouve encore des vestiges, des relents, des effluves - et de là des aspirations ou des nostalgies - d'un passé merveilleux qui nous est perdu : - Quand on a un peu cheminé et face à nos difficultés ou échecs, remonte souvent un lancinant sentiment que c'était mieux avant, comme si l'histoire avançait à reculons, du meilleur vers le pire ; - Distants des passions, on est généralement habités par un désir de paix, de relations pacifiques, heureuses, d'harmonisation ou de retour à la nature ; - la pensée de l'éternité se trouve également écrite dans beaucoup de cœurs, curieusement confrontée à cette réalité antagoniste qu'est la mort physique, le retrait de l'âme consciente de cette terre des vivants ; C'est en ce sens que certains milliardaires font congeler leur corps mort en vue d'une résurrection ultérieur quand la science le permettra.... ou encore que le patron de Google - qui peut tout avoir bien au delà de ses besoins et envies et caprices - mais pas la vie éternelle ! -, cherche à s'immortaliser en entrant des données dans un ordinateur... - un désir d'amélioration de la condition humaine jugée aliénée... sans qu'on voit clair sur la et les vraies causes de notre aliénation, de nos entraves, de nos insatisfactions ; - notre attachement naturel à ce qu'on aime, et les souffrances qu'occasionnent beaucoup de ruptures, de fins de relations, dont la mort bien entendu ; - et l'amour !? qui transcende l'ordinaire de tous quand il vient se mettre à brûler comme un feu dans notre cœur spirituel. Amour merveilleux et révolutionnaire (qu'il ne faut pas confondre avec une séduction maligne aux effets déplorables) qui est une émanation du cœur de Dieu - car Dieu est amour - qui peut toujours nous tomber dessus à l'improviste... mais qui s'envole aussi plus facilement qu'on ne sait le préserver, le construire et le conserver...
Ainsi sommes-nous chacun prit dans un dilemme, une dualité, voire une tenaille, entre ce qui n'est effectivement pas (pour nous ou en nous) et ce qu'on désirerait plus que tout. - Si on est animés par un complexe de supériorité, nous dépassons ou couvrons notre souffrance en se lançant dans des entreprises, des conquêtes... qui ne sont pas sans contraintes, sans adversités, sans irritations, et de toutes façons bientôt ne satisfont plus... - Si c'est un complexe d'infériorité qui fait notre déséquilibre, on est réduits à subir, silencieusement ou par des réactions violentes sporadiques, à supporter, à être morose, sans espérance, défaitiste, dépressif, etc... - Entre deux, on ne va tenir dans un équilibre bien précaire que par de la superficialité, des dérivatifs, diversions ou dérision, tout ce qu'on appelle "la fête"* - qui ne l'est qu'artificiellement, en rapport de l'argent qu'on peut y consacrer et par l'alcool (désinhibiteur) ou autres produits-béquilles plus ou moins stupéfiants qu'on peut se procurer... en vue d'une abondance de plaisirs ou de joie (de débauches) éphémères et qui s'amenuisent d'autant qu'on en use et abuse.
IL RÉSULTE INDÉNIABLEMENT DE CES FAITS - PASSÉS ET PRÉSENTS... a) que nous sommes des êtres tombés, par rapport à une condition initiale plus démunie mais d'autant plus plus haute. Que ce soit des vestiges historiques ou des sentiments, des aspirations, à l'intérieur de nous, tout va dans le sens d'une perte, d'un amoindrissement.
La Bible comme toutes les cosmogonies témoignent - de la réalité de dieux - qui n'en sont pas vraiment, en fait des anges déchus, devenus les démons, qui s'immiscèrent de manière dramatique dans la vie de notre race, jusqu'à procréer des "demi-dieux", des géants ; - également d'un déluge - dont des traces se signalent un peu partout sur la terre (en Ardèche on trouve encore dans une grotte en altitude des dents de requins fossilisées) ; - partout et toujours la croyance en des réalités spirituelles invisibles mais bien réelles (actives, visibles par leurs effets) perdure malgré que la culture laïc-athée cherche à éradiquer ce genre de foi par une confiscation de nombreuses données (voire évidences)...
b) que la théorie de l'évolution est seulement une fausse doctrine en fait, maintenue uniquement pour asseoir l'incrédulité de ses défenseurs. Jamais elle ne put être validée scientifiquement, au point où plus personne ne parle de la fameuse preuve que certains espérèrent un temps d'un fameux chaînon manquant (Wiki) entre le singe et l'homme - qui d'ailleurs ne suffirait en rien (v. Wikipédia). Plusieurs supercheries furent déjouées (dont celle de Lucy, de L'homme de Piltdown, de L'homme du Nébraska, Le pithécanthrope...)
En effet, comment, selon cette théorie qui ne comprend aucune finalité, aucun sens pré-tracé, aucune réponse prévue avant l'apparition d'événements nouveaux, peut-il y avoir des aspirations dans le coeur de l'homme ? Comment pouvons-nous avoir très vite - et notamment les enfants ! - les capacités nécessaires pour entrer par exemple dans la maitrise des technologies très complexes qui se succèdent depuis ces dernières décennies ? Comment pouvons-nous avoir plus de capacité de mémoire que nous en avons eu besoin jusque là, pour intégrer en quelques mois ou années des sommes considérables de connaissances nouvelles ? La théorie évolutive ne peut rien concevoir de plus que ce que des nécessités obligent à paraître comme réponses satisfaisantes ; des réponses que créent par suite d'infinités de tâtonnements dépourvus de toute ligne directrice, de toute intelligence, une mystérieuse dynamique - qui est là forcément par avance, pour répondre aux tout premiers besoins !? - et s'enclenche à la sollicitation !...
Également, contre la théorie que l'homme évolue globalement d'une animalité primitive vers une emprise intelligente croissante sur son univers, le fait de plus en plus patent que l'homme se fait le principal ennemi de son cadre de vie. Plus il s'immisce dans la vie naturelle (arbres, flore, faune), plus il la dégrade, pollue, appauvrit, tue ! Une expression manifeste de plus que ça ne tourne pas rond dans l'homme, ses capacités et potentialités réelles importantes ne bénéficiant pas - plus ! - d'un organe sensible (qu'avaient assurément des populations de divers continents des siècles précédents) de jugement, de protection, d'anticipation, d'intuition, de respect... Un argument qui s'ajoute en faveur de la vision du genre humain tombé, déchu, accidenté, handicapé, dégénéré, déséquilibré et incapable de gérer ses puissances et potentialités internes bien réelles...
UNE CIVILISATION (OCCIDENTALE, POST-CHRÉTIENNE) QUI TOUCHE DÉJÀ À SA FIN - Les décompositions de structures aux plans politique ou économique et des familles, - la pourriture insinuée dans toutes les relations (couple, famille, entreprises, associations...) à cause de concepts controuvés pris pour argent comptant, de slogans trompeurs crus comme vérité, ou d'une justice rendue impuissante du fait de l'iniquité (corruption) qui sévit ici et là de haut en bas de l'échelle sociale, des zones de non-droit aux demeures les plus cossus, - le recours croissant à des thérapies, médications, à des pratiques visant à apaiser... ou toujours plus extrêmes (quasiment suicidaires), - des solitudes parfois profondes, qui résultent le plus souvent de ruptures douloureuses qui font perdre tout sens et toute motivation (conjoints ou ascendants abandonnés, enfants placés ou écartelés entre parents disjoints, accidents handicapants, maladies invalidantes...), - les (bouffées d')angoisses, les dépressions longue durée, la bipolarité, le burn-out (2 par jour avoue un médecin d'une ville de 15 000 habitants), - l'environnement naturel qui se délite en rapport des traitements insensés qu'on lui applique (terres arables, forêts, eaux douces, mers et océans, air des grandes villes), - la mort qui frappe à tout âge - suicides compris -, dont on se fait une alliée (terrible) dans une recherche d'un mieux-vivre perso... qu'on éloigne d'autant plus que notre quête est égoïste, - la présence invisible, mais discernable par leurs effets, de démons, dont la foi chrétienne et les jugements des deux dernières guerres mondiales avaient débarrassés la terre, mais qui reviennent en rapport de ce qu'on se soumet à leurs influences au lieu de tenir dans l'obéissance aux lois du Créateur et de la création... tout cela s'ajoute en un faisceau symptomatique qui témoigne d'un double mal lié déjà profond et globalement incurable au plan de toute la planète, qui s'appelle génériquement péché et jugement sur le péché.
Le développement des cancers, sida ou vih, Alzheimer..., l'apparition de maladies ou épidémies nouvelles (orphelines), le retour de maladies qu'on croyait éradiquées (comme la tuberculose), sont bien sûr de ces signes autant que des réalités capables d'interpeler les consciences... au moins de quelques-uns dont il est bon que nous soyons...
TOUT DANS L'UNIVERS NE FONCTIONNANT QUE SELON DES LOIS... Et pendant qu'il y a encore (un peu ou un semblant) de vie, parmi les lois qui s'appliquent à nos existences (qu'on le veuille ou non, qu'on croit en Dieu ou en rien... que soi), la Bible nous dit que l'orgueil (complexe de supériorité) précède la ruine ou la chute (une rupture sévère), alors que l'humilité (à quoi aide parfois un complexe d'infériorité ou une rupture) précède la gloire. Dit autrement - non plus en vertu de lois établies par le Créateur mais en le considérant lui-même -, Dieu déclare qu'il abaisse les orgueilleux mais fait grâce aux humbles, restaure les cœurs brisés, soutient le faible...
LE MONDE VA MAL, MAIS DIEU SE PORTE BIEN Si le monde va mal, Dieu se porte (toujours) bien (nonobstant le fait que nos égarements l'attristent) ! Si les individus comme les corps sociaux courent à leurs pertes, ceux qui craignent respectueusement Dieu et ses lois et lui font confiance trouvent ou gardent la paix : ils ne sont pas forcément épargnés par des adversités - car nul n'est parfait en soi ni dans sa marche avec Dieu -, mais l'Esprit de Dieu - Christ en nous - communique sa force vivifiante et qui empêche parfois de couler.
Beauté des formes, beauté des fonctionnalités, merveilles des interactions... moyens d'interpellation...
Pourquoi ne voit-on que des fleurs achevées, que des plantes fonctionnelles qui se reproduisent depuis des millénaires ?
Pourquoi n'y a-t-il pas parmi nous des animaux tout bizarres, des espèces en cours d'évolution avec des fonctionnalités non terminées, avec des membres inachevés ou manquants ou en trop, avec des yeux au bout des doigts ou des orteils... ?
L'évolution darwinienne aurait-elle atteint un aboutissement physique, physiologique, biologique généralisé depuis... on ne sait pas quand, en tout cas depuis avant les plus vieux témoignages connus et transmis de la vie sur la terre, car à part la disparition des dodos de l'île Maurice et l'imagination de Charles Darwin on n'a très curieusement aucune trace d'espèces intermédiaires qui auraient existé entre celles que l'on connaît actuellement !?... Que ce soit entre les singes et l'homme ou entre chaque espèce animale...
Et si on réfléchissait un peu, plutôt que de se faire le maillon inconscient et irraisonné d'une hypothèse jamais validée expérimentalement !...
Profitez peut-être des vacances pour considérer comment des hasards ont pu élaborer l'usine à gaz qu'est rien qu'un brin d'herbe avec la photosynthèse ? Ou comment ont pu être créés chez beaucoup d'espèces animales les poumons au stade fœtal (où ils ne servent encore à rien), en vue de la vie prochaine à l'air libre... compte tenu que l'hypothèse évolutionniste s'oppose à l'idée et à la réalité qu'une chose quelconque encore inexistante (organe et/ou fonction dans ce cas) apparaisse sans une nécessité immédiate qui provoquerait sa recherche et, des décennies ou des millénaires après, son état achevé !? Ou comment le système reproducteur (notamment avec des éléments mâle et femelle séparés) a pu être opérationnel (différent selon des espèces) avant que ne meurent les corps vivants non encore pourvus !?... Etc, etc...
Et si on remarquait que tout ce qui nous a précédés depuis les Big-bangs de la vie et a perduré pendant des millénaires sans détériorations notoires, était des créations nées d'une intelligence au minimum bien supérieure à la nôtre !? La nôtre qui, malgré son niveau et ses capacités novatrices (de découvertes, de calculs, d'invention, de technologies) n'arrive en moins de deux siècles qu'à faire disparaître toujours plus d'espèces ! "Depuis 1900, les disparitions d’espèces ont été multipliées par 100, soit un rythme sans équivalent depuis l’extinction des dinosaures." (Wikipédia).
Bref, choisissez n'importe quelles généralités ou détails d'une ou l'autre des réalités naturelles innombrables qui vous entourent, et entrez dans une vraie observation et réflexion personnelles (avec possiblement les dernières données des connaissances scientifiques établies sur le sujet), et concluez vous-même si cela a été créé fonctionnellement tout fini, ou a résulté de milliards de milliards de tâtonnements aveugles avant de parvenir au résultat que nous connaissons.
Bonne quête du Réel et de ses vérités fondamentales et bonne appréciation des données, car si en leur temps Galilée et d'autres ont du résister face aux traditions et dogmes de religion (sans rapport avec une spiritalité véritable), si la théorie du Big-bang (c'est-à-dire d'un commencement de l'univers) a pu bousculer il n'y a pas si longtemps (années 1950) les tenants de la science d'alors qui disaient (croyaient) que l'univers était immuable de toute éternité, il est de même possible que nous ayons à ne pas nous laisser arrêter aux dires (croyances) évolutionnistes (jamais avérés).
L'être humain cherche toujours à toucher au Ciel - à l'éternité - par de la connaissance - qu'il se donne ou reçoit d'esprits obscurs comme s'il s'agissait de Dieu ! ...Alors que la connaissance typiquement divine accessible à tous, non ésotérique, n'a jamais été aussi proche. Qui serait assez sot pour s'en priver !
Ne voudriez-vous que tout ce qu'il peut y avoir de bon, de bien, de beau dans cette existence (l'amour, la joie, la liberté, la fraternité, la paix...) - et plus encore - soit votre partage sans fin - éternellement !?...
Savez-vous que le mot Évangile - qui vient du grec evangelion - signifie en réalité Bonne Nouvelle ? Bonne Nouvelle et pas religion (comme on le croit généralement, par traditions et mauvais préjugé).
C'est pourquoi, comme l'eau d'un fleuve est bien plus claire et bonne à sa source qu'après avoir parcouru de longues distances au cours desquelles elles se chargent de pollution, je vous invite là à revenir au texte biblique qui est le fondement de la transmission évangélique - dont l'accès nous est aujourd'hui encore largement ouvert (par la page imprimée, internet et autres supports récents de communication ).
La Bonne Nouvelle de Jésus-Christ, c'est celle - de sa venue, - de son message original, accessible à tous et qui n'a pas vieilli, - de sa puissance divine manifestée pour confirmer la véracité (vérité) de ses paroles, - de sa mort comme sacrifice sanglant ultime de la Loi judaïque et de la Pâque, bénéfique une fois pour toutes pour nous, suivie de sa résurrection, - puis de son ascension et glorification célestes attestées par l'envoi de l'Esprit de Dieu vers nous le jour de la fête juive de Chavouot ou Pentecôte... - en vue que nous le recevions - Jésus et son Esprit - individuellement, pour notre réconciliation et paix avec Dieu par le pardon de nos fautes et notre éternisation en lui.
Prenez ici moins de 20 minutes pour entendre, de manière des plus surprenantes, un lien surnaturel entre le fait historique de la crucifixion de Jésus (qui date de bientôt 2 000 ans) et nous vivants aujourd'hui ! Une (autre) preuve que notre temps est un déroulement (dit chronologique) alors que l'éternité selon Dieu est un présent (permanent) qui peut contenir à tous moments la somme des passés et des avenirs.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu'il ait la vie éternelle". Évangile (Bonne Nouvelle) selon Jean, chap. 3, vers. 16.
Trame de prière en vue d'être sauvé-e (réconcilié-e et en paix avec Dieu, (r)établi-e dans une relation vivante avec lui, éternisé-e pour le meilleur devenir possible).
:
Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.