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21 août 2020 5 21 /08 /août /2020 19:51

Si les sociétés ont pour fondement les familles, elles ont également pour fondement, avec la justice et la vérité, l'amour...

Qui a mieux parlé d'amour que ceux qui l'ont expérimenté au plus haut degré ?
 

DÉFINITION
Quelle définition plus belle, plus juste, plus puissante, interpellante, stupéfiante, peut-on en avoir que celle-ci ? "Quand même je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n'ai pas l'amour, cela ne me sert de rien.
L'amour est patient, il est plein de bonté ;
l'amour n'est point envieux ;
l'amour ne se vante point, il ne s'enfle point d'orgueil,

Il ne fait rien de malhonnête,
il ne cherche point son intérêt,
il ne s'irrite point,

il ne soupçonne point le mal,
il ne se réjouit point de l'injustice, mais il se réjouit de la vérité ;
il
excuse tout, croit tout, espère tout, supporte tout."

La perfection du bien, du beau, du bon. Mais qui parmi nous est parfait ?...
Qui peut approcher un peu cette réalité... quasiment extra-terrestre ? Surtout COMMENT !

LA BONNE PAIRE... ET LES ENNEMIS
Avez-vous déjà découvert que l'amour ne marche bien qu'accompagné par la vérité.
Les mensonges sont des ennemis puissants de l'amour. Il en meurt. Mentez à un(e) conjoint(e), à un(e) ami(e), et l'amour comme l'amitié ne pourront pas durer.

Autre ennemi, la peur, voire la liberté. Ou encore le légalisme - qu'il soit de nature religieuse ou idéologique, qu'il soit fondé sur la justice ou empêtré d'iniquités.
On peut ainsi dire que l'amour sans vérité c'est seulement de la séduction et de la manipulation. Et aussi que l'amour va avec Dieu car "Dieu est Amour" - mais non sans justice, ce qui fait que parmi nous et en nous, son amour est bien souvent masqué par les justes jugements dont il doit bien nous juger.

Mais ne désespérons pas de Dieu ! Cherchons plutôt comment le rencontrer au mieux, en esprit, dans son amour.

Lisons simplement (ou écoutons, en cliquant sur le texte puis sur le casque) ce qu'en a dit quelqu'un qui a approché cet amour vivant de très près... et qui l'a compris comme très peu, en tant que s'incarnant dans notre nature et condition.
Voici donc la 1e lettre - pleine d'amour et de vérités profondes - de Jean (surnommé "l'apôtre de l'amour); il s'adresse à ceux qui ont déjà rencontré Dieu au point de naître de lui, par son Esprit, mais celle ou celui qui aspire à cette élévation au rang de fille ou de fils de Dieu peut aussi en trouver le chemin :

"Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Et nous le sommes. Si le monde ne nous connaît pas, c'est qu'il ne l'a pas connu. Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n'a pas encore été manifesté ; mais nous savons que, lorsque cela sera manifesté, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu'il est. Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur.
Quiconque pèche transgresse la loi, et le péché est la transgression de la loi. Or, vous le savez, Jésus a paru pour ôter les péchés, et il n'y a point en lui de péché.
Quiconque demeure en lui ne pèche point ; quiconque pèche ne l'a pas vu, et ne l'a pas connu. Petits enfants, que personne ne vous séduise. Celui qui pratique la justice est juste, comme lui-même est juste. Celui qui pèche est du diable, car le diable pèche dès le commencement.
Le Fils de Dieu a paru afin de détruire les oeuvres du diable.
Quiconque est né de Dieu ne pratique pas le péché, parce que la semence de Dieu demeure en lui ; et il ne peut pécher, parce qu'il est né de Dieu. C'est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable.
Quiconque ne pratique pas la justice n'est pas de Dieu, non plus que celui qui n'aime pas son frère.
Car ce qui vous a été annoncé et ce que vous avez entendu dès le commencement, c'est que nous devons nous aimer les uns les autres, et ne pas ressembler à Caïn, qui était du malin, et qui tua son frère. Et pourquoi le tua-t-il ? parce que ses œuvres étaient mauvaises, et que celles de son frère étaient justes.
Ne vous étonnez pas, frères, si le monde vous hait.
Nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie, parce que nous aimons les frères.
Celui qui n'aime pas demeure dans la mort.

Quiconque hait son frère est un meurtrier, et vous savez qu'aucun meurtrier n'a la vie éternelle demeurant en lui.
Nous avons connu l'amour, en ce qu'il a donné sa vie pour nous ; nous aussi, nous devons donner notre vie pour les frères. Si quelqu'un possède les biens du monde, et que, voyant son frère dans le besoin, il lui ferme ses entrailles, comment l'amour de Dieu demeure-t-il en lui ?

Petits enfants, n'aimons pas en paroles et avec la langue, mais en actions et avec vérité. Par là nous connaîtrons que nous sommes de la vérité, et nous rassurerons nos coeurs devant lui ; car si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connaît toutes choses. Bien-aimés, si notre coeur ne nous condamne pas, nous avons de l'assurance devant Dieu.
Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable. Et c'est ici son commandement : que nous croyions au nom de son Fils Jésus Christ, et que nous nous aimions les uns les autres, selon le commandement qu'il nous a donné. Celui qui garde ses commandements demeure en Dieu, et Dieu en lui ; et nous connaissons qu'il demeure en nous par l'Esprit qu'il nous a donné.
Bien-aimés, n'ajoutez pas foi à tout esprit ; mais éprouvez les esprits, pour savoir s'ils sont de Dieu, car plusieurs faux prophètes sont venus dans le monde.
Reconnaissez à ceci l'Esprit de Dieu : tout esprit qui confesse Jésus Christ venu en chair est de Dieu ; et tout esprit qui ne confesse pas Jésus n'est pas de Dieu, c'est celui de l'antéchrist, dont vous avez appris la venue, et qui maintenant est déjà dans le monde.
Vous, petits enfants, vous êtes de Dieu, et vous les avez vaincus, parce que celui qui est en vous est plus grand que celui qui est dans le monde. Eux, ils sont du monde ; c'est pourquoi ils parlent d'après le monde, et le monde les écoute.
Nous, nous sommes de Dieu ; celui qui connaît Dieu nous écoute ; celui qui n'est pas de Dieu ne nous écoute pas : c'est par là que nous connaissons l'esprit de la vérité et l'esprit de l'erreur. Bien-aimés, aimons nous les uns les autres ; car l'amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu. Celui qui n'aime pas n'a pas connu Dieu, car Dieu est amour.
L'amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui.
Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu'il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés.
Bien-aimés, si Dieu nous a ainsi aimés, nous devons aussi nous aimer les uns les autres. Personne n'a jamais vu Dieu ; si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour est parfait en nous. Nous connaissons que nous demeurons en lui, et qu'il demeure en nous, en ce qu'il nous a donné de son Esprit.
Et nous, nous avons vu et nous attestons que le Père a envoyé le Fils comme Sauveur du monde.
Celui qui confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu. Et nous, nous avons connu l'amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru.

Dieu est amour ; et celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui. Tel il est, tels nous sommes aussi dans ce monde : c'est en cela que l'amour est parfait en nous, afin que nous ayons de l'assurance au jour du jugement. La crainte n'est pas dans l'amour, mais l'amour parfait bannit la crainte ; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n'est pas parfait dans l'amour.
Pour nous, nous l'aimons, parce qu'il nous a aimés le premier. Si quelqu'un dit : J'aime Dieu, et qu'il haïsse son frère, c'est un menteur ; car celui qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il ne voit pas ? Et nous avons de lui ce commandement : que celui qui aime Dieu aime aussi son frère."

à suivre...

Ici > Guide de prière si vous ressentez le beoin de prier Dieu pour devenir "enfant de Dieu", fils ou fille d'adoption du Père céleste. Évangile selon jean chap. 1, vers. 12,13.

 

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6 août 2020 4 06 /08 /août /2020 11:25

PLÉNITUDE DE VIE : PAR DES ÉTAPES BIEN DISTINCTES

Notre existence n'est pas faite d'un seul bloc. Chacun sait qu'il y a une différence - énorme ! - entre un être humain (vivant mais encore très limité) dans une matrice maternelle, et un (autre être humain ou le même plus tard) qui "a vu le jour", qui est "venu au monde", né plus directement à la lumière solaire.

Deux premières étapes qu'on connaît bien et qui, déjà, ont de quoi nous interroger sur l'extraordinaire de ce changement d'état (d'un espace confiné liquide à un large espace aérien) et sur les merveilles multiples qui permettent à la vie de commencer à se déployer ainsi sur la terre.

NOUVELLE RÉVOLUTION !

Il y a presque 2 000 ans, quand Jésus paraît, venu pour une mission essentielle triple*,c'est pour nous dire qu'il y a une autre étape - possible, potentielle, en réserve et très souhaitable - à expérimenter. qui ne dépend plus de parents terrestres (biologiques, génétiques, d'adoption...), d'une transmission de leur propre existence par leurs gamètes.
Une forme de vie pour le moins aussi différente de celle par laquelle vous pouvez être à lire cet article, que sont celles des deux premières étapes.

Une sorte de saut quantique que ni les sages anciens d'Egypte ou d'Orient, ni les philosophes antiques grecs ou latins, n'ont découvert... même si Pythagore, Socrate ou Platon qui rapporte l'allégorie de la caverne, approchèrent cette réalité.

 Jésus explique donc plus clairement que tout autre, et notamment au leader religieux d'Israël de son temps (nommé Nicodème), de quoi il s'agit.

IL TE FAUT NAÎTRE DE NOUVEAU !

Voici la révélation la plus fantastique nous concernant - concernant la connaissance personnelle de soi - telle que nous la rapporte l'apôtre Jean :

"Jésus lui répondit "En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît de nouveau, il ne peut voir le royaume de Dieu."
Nicodème lui dit "Comment un homme peut-il naître quand il est vieux ? Peut-il rentrer dans le sein de sa mère et naître ?"
Jésus répondit "En vérité, en vérité, je te le dis, si un homme ne naît d'eau et d'Esprit, il ne peut entrer dans le royaume de Dieu.6 Ce qui est né de la chair est chair, et ce qui est né de l'Esprit est Esprit.7 Ne t'étonne pas que je t'aie dit : Il faut que vous naissiez de nouveau.8 Le vent souffle où il veut, et tu en entends le bruit ; mais tu ne sais d'où il vient, ni où il va. Il en est ainsi de tout homme qui est né de l'Esprit."
Nicodème lui dit "Comment cela peut-il se faire ?"
Jésus lui répondit "Tu es le docteur d'Israël, et tu ne sais pas ces choses !11 En vérité, en vérité, je te le dis, nous disons ce que nous savons, et nous rendons témoignage de ce que nous avons vu ; et vous ne recevez pas notre témoignage.12 Si vous ne croyez pas quand je vous ai parlé des choses terrestres, comment croirez-vous quand je vous parlerai des choses célestes ?..."

Que voilà une parole révolutionnaire, et aujourd'hui encore ! Car combien parmi nous, au fil des siècles et dans la largeur planétaire de l'actuel présent, savent ? Combien ont entendu cette parole dont l'accomplissement constitue le troisième Himalaya** de notre existence, le point vernal à partir de quoi tout change une nouvelle fois, de manière toute surnaturelle.

Une naissance qui ne fait pas sortir sans nous - conscient - d'un sanctuaire seulement féminin mais magnifique,mais une qui fait entrer en Dieu comme on est entrés dans ce monde solaire.

Une naissance non plus physique maintenant, physiologique, faite de matière ajoutée, mais spirituelle, de la nature même de Dieu, de sa dimension la plus spécifique. Pour quoi faire ?

Pour mieux être déjà ici maintenant; pour bien mieux-être, même si les plaques tectoniques de deux mondes se frottent alors plus intensément. Puis pour être, dans la suite ainsi ouverte, comme le papillon par rapport à la chenille, vivant une toute autre existence, sublimée, réorganisée et amplifiée, dans une création qui vient dont Jésus ressuscité a été initiateur et le premier de cordée.
" il est (Jésus) le commencement, le premier-né d'entre les morts, afin d'être en tout le premier. 19 Car Dieu a voulu que toute plénitude habitât en lui; 20 il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix."

JÉSUS, VENU POUR UNE SPIRITUALITÉ ORIGINALE ET NON POUR UNE NOUVELLE EXPRESSION DE RELIGIOSITÉ

Premier-né d'une humanité nouvelle - que sont les chrétiens "nés de Dieu"de tous les âges et espaces, qui ne se distinguent pas physiquement de l'humanité adamique courante (excepté normalement par le comportement), lesquels ont entendu et cru en Jésus qui s'est annoncé à nous comme étant (entre autre) "la lumière du monde".
"Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. 10 Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l'a point connue. 11 Elle est venue chez les siens, et les siens ne l'ont point reçue. 12 Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, 13 lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu." Jean chap. 1.

Nicodème est (comme beaucoup d'autres de diverses religions) un maître religieux, mais non un maître spirituel. Alors Jésus part de ce qu'il connaît de sa religion, pour lui expliquer comme on parvient à la nouvelle naissance.

"...Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel.14 Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé,15 afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle.
16 Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.
18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs oeuvres étaient mauvaises.20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses oeuvres ne soient dévoilées ;21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites conformément à Dieu."

C'est ici le point déterminant et la pierre sur laquelle plusieurs tombent : Pour naître spirituellement, pour Il faut regarder à Jésus élevé sur le bois de sa crucifixion comme les israélites du temps de Moïse eurent à regarder à l'image forgée d'un serpent élevé sur une hampe pour ne pas mourir après avoir été piqués par des serpents.

Le serpent qui nous mord tous s'appelle "le péché", qui est une force (une propension) qui nous habite tous, qui nous pousse régulièrement, de manière irrépressible, à mal faire, à faire mal, et par là à mourir (spirituellement) à Dieu.
L'apôtre Paul a été conduit à bien le résumer (s'adressant à des chrétiens) ici > Lettre aux Ephésiens, chap. 2, vers. 1 à 10.

Ainsi, Jésus est venu parmi le concert fort discordant non seulement des dominations armées mais, tout aussi problématique, des religions, sectes et autres spiritualités sans Dieu qui, toutes, se tiennent au plan de l'âme - ce qu'on appelle la religiosité, quand nous, par l'âme, nous intéressons à la métaphysique (mystique, surnaturel, occultisme, ésotérisme, philosophie spiritualiste...) sans le secours et surtout la présence de l'Esprit Divin (le seul de tous les esprits qui soit Saint, Bon, Pur, Juste...).
C'est pour nous ouvrir la possibilité de naître à (en, par, pour) cette spiritualité, où s'unissent en Un les différentes personnes de la Divinité unique, que Jésus est venu puis, après être mort, ressuscité, élevé et intronisé dans le Ciel le plus ahut, a envoyé cet Esprit-Saint... qui dès lors se donne - leur donne son éternité - aux pécheurs (que nous sommes tous) repentants (attitude intérieure qu'il est bon que nous connaissions).

Êtes-vous né-e de Dieu ? Alors réjouissez-vous en rendant gloire à Dieu !

Ne l'êtes-vous pas ? Mettez-vous en ordre avec Dieu, repentez-vous de vos fautes, en vous aidant si vous voulez, pour être complet dans votre prière, du guide qui est ici...

"C'est la parole de la foi, que nous prêchons.9 Si tu confesses de ta bouche le Seigneur Jésus, et si tu crois dans ton coeur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé.10 Car c'est en croyant du coeur qu'on parvient à la justice, et c'est en confessant de la bouche qu'on parvient au salut, selon ce que dit l'Écriture :11 Quiconque croit en lui ne sera point confus."

Pour la lecture quodidienne d'une vérité à connaître et à méditer, cliquez ci-après et enregistrez ce lien dans vos Favoris > "Les trésors de la foi"

Que l'Eternel-Dieu invariable ajoute à votre existence plus de sa vie, sa vie en ce qu'elle a d'éternel. C'est mon vœu pour vous lectrice/lecteur et c'est ma prière.

_____________
* La mission unique que Jésus, de Parole de Dieu s'incarnant, est venu accomplir parmi et pour les hommes en se faisant fils d'homme, comprend trois volets :

- L'enseignement, dont l'annonce dont il est parlé ici d'une étape d'existence supplémentaire, à la suite des deux premières ;

- Reprendre (par étapes là aussi) le dessus sur tout mal (sur la terre et dans les cieux... ce qui ne se fait pas sans nous) ;

- faire une création toute nouvelle (éternelle notamment, avec ceux d'entre nous qui entrent dans son plan), création qui paraitra suite à la fin de cet univers (provisoire), où il n'y aura plus de libertés (liberticide) qui permettraient de laisser paraître un mal quelconquse.

** Notre existence se présente comme une émergence des montagnes au temps primitif de l'organisation de la terre. Les quatre principaux sommets qui peuvent venir dominer notre apparition et notre cheminement ici-bas se définissent ici en terme de conscience.

- La prise de conscience de soi en tant qu'entité autonome pensante par elle-même (naissance à la conscience du soi distinct du reste) ;

- L'accès par expérience à la conscience de Dieu, qui inclut (semble-t-il toujours) une perception plus large et juste (des tenants et aboutissants) du Réel. En quelque sorte une première conversion ;

- L'accès à une conscience de nous-même perçu-e du point de vue de Dieu, qui provoque une autre conversion.
Ces deux derniers sommets peuvent être jumelés, qui enfante la seconde, nouvelle, naissance, par l'Esprit ;

- Une émergence suivante, prochaine, éternisée, consécutive pour ceux qui ont connu les trois sommets précédents, dans la sphère et conscience divine.
On a là de quoi mesurer la faillite que peut devenir cette existence qui nous en restons aux horizons seulement terrestres, matériels, charnels, du premier sommet...

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3 août 2020 1 03 /08 /août /2020 14:36

Dans les jours qui viennent, bien plus que le covid déjà bien exceptionnel, des événements d'ampleur planétaire vont se succèder - annonce la Bible de diverses manières.
Plus vite on apprend ce qui concerne ces réalités, moins on a de chance de se faire surprendre en fâcheuse posture quand on n'aura plus de temps pour se positionner autrement.

DES JEUX DES LOIS ET DES HASARDS

On peut admettre que des hasards se faufilent ici ou là dans nos existences. Il s'agit de rencontres, de résolutions ou de complications - jamais de choses aux conséquences importantes, sévères ou durables. Cela se produit aléatoirement, fortuitement, sans le jeu d'aucune volonté. Sans calcul quelque part, sans raison (autre que le hasard) en amont, mais pas forcément sans effet à la suite.
En ce sens, la connaissance du Réel est précieuse pour nous éviter de passer à côté de quelque chose qui n'est pas venu par hasard, et aussi pour nous empêcher de tomber dans ce qui peut être un piège tendu intentionnellement, par une personne humaine ou par une entité invisible, un esprit mauvais, qui cherche à nous faire du mal immédiat ou à nous mettre en difficulté (on parle alors de tentation).

Ce qui est certain scientifiquement, c'est que l'univers est fait d'une somme considérable de lois, d'ordres, d'organisations inouïes, de relations qui souvent ne laissent pas la moindre place à un écart, ce qui fait que dans les jeux fantastiques de toutes les lois qui se combinent de cent mille façons (et plus !), la place pour des hasards véritables est très infime... alors que quelques hasards aussi ne le restent qu'à cause de notre manque de discernement (quant aux lois diverses en train de jouer chacune leur partition). Mettre les vraies causes en face d'effets vus, est un challenge que nous ne soupçonnons généralement même pas exister. D'où bien de nos confusions, errements, hauts et bas à répétition.

Et puis il y a des coïncidences, des faits qui, ajoutés ou vus les uns rapprochés des autres, interrogent, laissent apercevoir une singularité qui sort de l'ordinaire, qui pourrait ou veut carrément dire quelque chose de spécifique, d'à propos; et en même temps qui montre un "plus que" l'ordinaire, que la vue matérialiste du Réel a bien du mal à faire entrer dans son étroite représentation.
Personne ne peut rester matérialiste s'il veut voir et entendre le Réel dans toutes ses acceptations.

Et quand on a découvert la réalité vivante de Dieu au point de le "voir" dans plusieurs effets qui en témoignent, on s'attache avec plénitude de vie à décrypter au mieux les arcanes du Réel pour le vivre avec le moins de place possible à l'aléatoire, à ce qui peut être un hasard mais aussi une tentation...
L'exemple que je veux partager date d'hier.

DU GÉNÉRAL AU PARTICUIER

Dans la soirée je cherche encore à voir un dernier post sur la toile, et j'arrive sur une chaîne inconnue dont je regarde une vidéo, que je mets ici pour qui veut vérifier la pertinence de mon expérience : "Parle au rocher!". Rien d'original pour moi, une sorte de révision ou entretien de la mémoire.

Comme vous l'entendez si vous l'écoutez, il y est surtout question d'un rocher. Un rocher qui est Christ, Dieu lui-même en figuration, en symbolique active. Le sujet n'est pas ici de partager davantage sur ce qu'enseigne ce passage, mais de la suite de la soirée.

Une fois déconnecté, je vais pour me coucher. Je voudrais louer Dieu, c'est-à-dire me réjouir de sa bonté (générale et envers moi, ma famille, etc...); le remercier de ce qu'il m'a donné de savoir qu'il existe et de faire des expériences avec lui, etc... Mais j'ai pas de mots. Je suis sec, et si je forçais, je sais que ce ne serais pas la bonne manière pour relationner avec lui, pour vivre quelque chose qui soit en vérité avec lui.

Alors j'ai un simple désir d'entendre Dieu me parler; me dire quelque chose qui me montre qu'il est bien là avec moi, indépendamment du fait patent que là, en cet instant, je ne sens rien de sa présence ni au-dedans de moi, ni en dehors. 
Je lui demande donc, totalement par la foi, de me parler.
Aussitôt (comme cela arrive parfois de cette manière-là), j'entends intérieurement "Psaume 95". 
Je connais assez bien la Bible mais là je ne vois pas de quoi il va s'agir.
J'ouvre la Bible et je lis... avec l'émotion qui monte dès la première ligne, où figure cette même image que dans la vidéo, du rocher, qu'est Dieu. Une image pas très fréquente dans les Écritures.

"Venez, chantons avec allégresse à l'Éternel ! Poussons des cris de joie vers le rocher de notre salut.2 Allons au-devant de lui avec des louanges, Faisons retentir des cantiques en son honneur !3 Car l'Éternel est un grand Dieu, Il est un grand roi au-dessus de tous les dieux.4 Il tient dans sa main les profondeurs de la terre, Et les sommets des montagnes sont à lui.5 La mer est à lui, c'est lui qui l'a faite ; La terre aussi, ses mains l'ont formée.6 Venez, prosternons-nous et humilions-nous, Fléchissons le genou devant l'Éternel, notre créateur !7 Car il est notre Dieu, Et nous sommes le peuple de son pâturage, Le troupeau que sa main conduit... Oh ! si vous pouviez écouter aujourd'hui sa voix !8 N'endurcissez pas votre coeur, comme à Meriba, Comme à la journée de Massa, dans le désert,9 Où vos pères me tentèrent, M'éprouvèrent, quoiqu'ils vissent mes oeuvres..."

Hier soir donc j'ai perçu un de ces vrais clins d’œil du Dieu du Ciel et de la Terre, qui rebooste dans une foi heureuse, victorieuse, comme il veut que nous en vivions. Car "l'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu."
Les paroles (lues ou écoutées) sont nourriture pour l'âme, aliment psychique. Comme l'herbe fraîche du ruminant... que nous sommes appelés à devenir (méditer c'est ruminer). Ces paroles sont eau fraîche qui désaltère, et d'un coup toute mon aridité intérieure s'est évanouie.

Le choix de Dieu de me parler de lui en tant que rocher correspond au temps très particulier que nous vivons - que l'apparition du covid est venue comme avérée, certifiée, scellée, alors que nous (les chrétiens éveillés) en parlons depuis longtemps. Vient un moment où Jésus revenant sur terre pour y établir un règne de mille ans, frappera les méchants et incrédules de ses paroles puissantes comme la pierre envoyée par David pour terrasser le géant philistin Goliath."

UNE QUÊTE OUVERTE À TOUS

Avez-vous trouvé en Jésus le Christ, Celui qui a "les paroles de la vie", vie éternelle au demeurant ? Celui dont les paroles peuvent être douces comme le miel, mais aussi cassantes comme un marteau ! Il vaut mieux connaître Dieu dans son amour, dans sa grâce, plutôt que selon sa justice, implacable, qui demeure sur nous tant que notre péché n'est pas ôté, nos fautes ne sont pas pardonnées.

A chacun de se positionner. C'est simple : Entre ce qui est de la mort et donne la mort, et ce qui est de la vie et donne la vie... choisissez la vie.

Soyez sauvé-e !

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24 juin 2020 3 24 /06 /juin /2020 08:18
Tout Pour Qu'Il Règne C'est ici votre heure; vous avez pour vous la puissance des ténèbres. Luc 22:53 Il faut accepter le fait du péché C'est parce que nous ne savons pas accepter le fait du péché que tant de malheurs nous arrivent. On peut faire de beaux discours sur la noblesse de la nature humaine, mais il y a quand même au fond de la nature humaine quelque chose qui se moque de tout ce qui est grand et de tout ce qui est élevé. Si vous vous refusez à reconnaître l'existence réelle de l'égoïsme et du péché, de l'instinct de révolte et de méchanceté, vous serez amené à pactiser avec le mal, à renoncer à le combattre. Vous n'avez pas su discerner l'heure noire, la puissance des ténèbres. Si vous ne saisissez pas la réalité du péché, dans votre vie et dans celle des autres, vous serez pris dans ses filets et vous serez vaincu. Si vous la saisissez, vous pourrez lutter et vous mettre en garde. En vous rendant compte de la réalité du péché, vous ne détruisez pas le fondement de vos rapports avec les autres, de vos affections, de vos amitiés. Mais d'un commun accord, vous et votre ami, vous reconnaissez que la vie est tragique. Jésus-Christ n'avait aucune confiance en la nature humaine, et pourtant jamais il ne fut sceptique, désabusé, soupçonneux, parce qu'il avait toute confiance dans l'oeuvre qu'il pouvait accomplir pour l'humanité. Ce n'est pas l'innocence qui peut nous donner la sécurité, c'est la pureté que Dieu nous donne. L'innocence n'appartient qu'à l'enfant. Chez l'adulte elle ne signifie rien. L'adulte doit se rendre compte de la réalité du péché, et demander à Dieu la victoire. "Tout Pour Qu'Il Règne" est un recueil de méditations bibliques d'Oswald Chambers. Ce livre a été traduit en français par les Éditons Ligue pour la Lecture de la Bible France (LLB-France), 1977, qui en possède le copyright exclusif. - Lire plus ici : https://chretien.news/meditations-bibliques/?t=2
Tout Pour Qu'Il Règne C'est ici votre heure; vous avez pour vous la puissance des ténèbres. Luc 22:53 Il faut accepter le fait du péché C'est parce que nous ne savons pas accepter le fait du péché que tant de malheurs nous arrivent. On peut faire de beaux discours sur la noblesse de la nature humaine, mais il y a quand même au fond de la nature humaine quelque chose qui se moque de tout ce qui est grand et de tout ce qui est élevé. Si vous vous refusez à reconnaître l'existence réelle de l'égoïsme et du péché, de l'instinct de révolte et de méchanceté, vous serez amené à pactiser avec le mal, à renoncer à le combattre. Vous n'avez pas su discerner l'heure noire, la puissance des ténèbres. Si vous ne saisissez pas la réalité du péché, dans votre vie et dans celle des autres, vous serez pris dans ses filets et vous serez vaincu. Si vous la saisissez, vous pourrez lutter et vous mettre en garde. En vous rendant compte de la réalité du péché, vous ne détruisez pas le fondement de vos rapports avec les autres, de vos affections, de vos amitiés. Mais d'un commun accord, vous et votre ami, vous reconnaissez que la vie est tragique. Jésus-Christ n'avait aucune confiance en la nature humaine, et pourtant jamais il ne fut sceptique, désabusé, soupçonneux, parce qu'il avait toute confiance dans l'oeuvre qu'il pouvait accomplir pour l'humanité. Ce n'est pas l'innocence qui peut nous donner la sécurité, c'est la pureté que Dieu nous donne. L'innocence n'appartient qu'à l'enfant. Chez l'adulte elle ne signifie rien. L'adulte doit se rendre compte de la réalité du péché, et demander à Dieu la victoire. "Tout Pour Qu'Il Règne" est un recueil de méditations bibliques d'Oswald Chambers. Ce livre a été traduit en français par les Éditons Ligue pour la Lecture de la Bible France (LLB-France), 1977, qui en possède le copyright exclusif. - Lire plus ici : https://chretien.news/meditations-bibliques/?t=2
Tout Pour Qu'Il Règne C'est ici votre heure; vous avez pour vous la puissance des ténèbres. Luc 22:53 Il faut accepter le fait du péché C'est parce que nous ne savons pas accepter le fait du péché que tant de malheurs nous arrivent. On peut faire de beaux discours sur la noblesse de la nature humaine, mais il y a quand même au fond de la nature humaine quelque chose qui se moque de tout ce qui est grand et de tout ce qui est élevé. Si vous vous refusez à reconnaître l'existence réelle de l'égoïsme et du péché, de l'instinct de révolte et de méchanceté, vous serez amené à pactiser avec le mal, à renoncer à le combattre. Vous n'avez pas su discerner l'heure noire, la puissance des ténèbres. Si vous ne saisissez pas la réalité du péché, dans votre vie et dans celle des autres, vous serez pris dans ses filets et vous serez vaincu. Si vous la saisissez, vous pourrez lutter et vous mettre en garde. En vous rendant compte de la réalité du péché, vous ne détruisez pas le fondement de vos rapports avec les autres, de vos affections, de vos amitiés. Mais d'un commun accord, vous et votre ami, vous reconnaissez que la vie est tragique. Jésus-Christ n'avait aucune confiance en la nature humaine, et pourtant jamais il ne fut sceptique, désabusé, soupçonneux, parce qu'il avait toute confiance dans l'oeuvre qu'il pouvait accomplir pour l'humanité. Ce n'est pas l'innocence qui peut nous donner la sécurité, c'est la pureté que Dieu nous donne. L'innocence n'appartient qu'à l'enfant. Chez l'adulte elle ne signifie rien. L'adulte doit se rendre compte de la réalité du péché, et demander à Dieu la victoire. "Tout Pour Qu'Il Règne" est un recueil de méditations bibliques d'Oswald Chambers. Ce livre a été traduit en français par les Éditons Ligue pour la Lecture de la Bible France (LLB-France), 1977, qui en possède le copyright exclusif. - Lire plus ici : https://chretien.news/meditations-bibliques/?t=2

S'améliorer ou être transformé-e !?
De quoi avons-nous réellement besoin pour un mieux-être et un mieux-vivre (avec soi-même et avec les autres) ?
D'abord avoir la meilleure connaissance possible de soi-même, de ce qu'est l'être humain en général...

Découvrez en cliquant ici > une parole pour vous aujourd'hui 

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18 juin 2020 4 18 /06 /juin /2020 20:55
"Le cri"

Pourquoi ce tableau
(signé Edvard Munch)
a-t-il été acheté en 2012
au prix inégalé de
120 millions de dollars ?


 Peut-être parce qu'il symbolise
mieux que tout l'homme moderne
emporté par sa crise d'angoisse existentielle...
Faute d'avoir pu ou voulu entendre,
devons-nous encore nous boucher les oreilles pour ne pas entendre le mal qui nous poursuit et vient encore ?...

QUE NOUS MANQUE-T-IL ?

Qu'aurions-nous dû entendre depuis longtemps, pour ne pas nous retrouver surpris, dépités, apeurés, atterrés, sans solution post-confinem qui nous redonnerait un vrai moral, qui nous ouvrirait sur le sens et encore des portes qui correspondent à ce que nous sommes et à ce qui nous va le mieux ?

Une crise n'éclate pas du jour au lendemain.
Le corona covid-19 il n'est pas né il y a trois matins.
Le mal-être était caché par le confort, les sorties, les apéros,
Chacun depuis longtemps avait, brefs, des pics hauts
Mais surtout des bas, des débats intérieurs
Et même pas ! Sans plus de réflexion, mais avec des peurs
Des langueurs, des sueurs froides ou des chaleurs,
Tout ces trucs qu'on efface en ouvrant la téloche
En regardant la misère de certains - très moche -
Puis en zappant sur les fêtes paradisiaques milliardaires,
Un film de sang avec, obligé, du sexe, puis une enquête judiciaire
Et on s'endort trop plein de vide, sans envie ou trop ragaillardi
Bref, trêve de rêves en apnée, trêve de rimes et de poésie
Trop de somnifères, de tensions, de fautes, de galères
Au point de ne plus rien comprendre du ciel et de la terre...

C'est qu'on ne nous a pas tout dire. On nous a dit beaucoup de choses et des salades, par feuilles de chou (de Bruxelles ou chinois, de droite ou de gauche), corona compris, et bientôt un vaccin, ze vaccin, pour la meilleure santé possible (financière) au moins de quelques uns.

Alors que nous a-t-on caché ? Quelle info décisive qu'on n'a pas ou plus entendue parce qu'étouffée sous des esbroufes, remplacée par "un conte de fée" comme disait le grand et pieux et lucide professeur Jérôme Lejeune*.

C'EST LES VÉRITÉS SUR DIEU QUE LA FRANCE ET L'EUROPE DEVENANT DARWINIENNES ET MARXISTES NOUS A VOILÉES

Car oui Dieu existe, on peut le rencontrer - en esprit et en vérité.
Le créateur intelligent et bien intentionné de l'univers, d'un point de vue scientifique infiniment plus probable qu'un "hasard" qui se mettrait à créer par des suites de hasards capables de produire parfois (sans foi ni la moindre pensée) de la matière, des énergies, plein de lois, des ordres, des organisations partout et autres relations significatives.

QUE CHOISIR ? THAT IS ZE GOOD QUESTION !

Rien que pour la raison libre (de penser, d'analyser, de soupeser, de conclure...), il n'y a pas photo entre
- d'une part une Intelligence (divine) qui crée un tout dynamique, mécanique et quantique, avec autant de parties bourrés d'intelligence incluse,
- et d'autre part un hasard - qui est quoi en soi ? - qui se met tout à coup en mouvement (Pourquoi ? Comment ?) et produit par des myriades de hasards plus aveugles qu'aléatoires tous les systèmes très divers et très complexes qu'on connait, dont ceux qui sont déjà présents, constituant et agissant, dans les plus simples organismes unicellulaires.


L'ingénierie incluse dans une simple cellule ! Même aujourd'hui avec nos moyens et notre intelligence, on est bien incapable de former un tel corps vivant, ne serait-ce qu'à partir de la matière déjà disponible...

LA LOI DE CAUSALITÉ FAIT QUE LES ARBRES PRODUISENT DES FRUITS À LEUR IMAGE

Et voilà pourquoi au bout d'un moment rien ne va plus ! On est comme un train dont le moteur a été coupé et qui peut encore roulé longtemps et des kilomètres dans sa lancée, mais d'avance il est voué à s'arrêter et à devenir un encombrant sur la voie.
Alexandre Soljenitsyne qui a connu le goulag et la cruauté humaine quand les hommes se déterminent à vouloir dessiner eux-mêmes leurs lendemains (sans Celui qui seul connaît ce que sera demain et voit dans l'invisible) a écrit : "Le plus grand drame du XXe siècle : on a oublié Dieu."

Et encore il est réservé dans sa formulation (la peur viscérale contractée pendant des années à toujours craindre d'être surpris en train de penser hors des normes du Parti communiste). Car on peut bien remplacer oublié par occulté, par écarté sciemment et tué délibérément... la liberté de la pensée de Dieu, comme si cela allait rendre Dieu inexistant.
Oui, on ne nous a pas (plus) dit, alors que nous ou nos parents étions enfants, qu'il y a un Dieu réel, vivant, dont on est les créatures, et qu'on peut en expérimenter la réalité si on se tourne vers lui.

Le fruit de cette décision entérinée de croire les penseurs mécréants, athées ou agnostiques du XVIIIe siècle et leurs constructions philosophiques et idéologiques controuvées, a mûri comme un fruit, jusqu'à commencer en nos jours à se décomposer, à sentir la décomposition et la mort. Rien de tel quand il y a un vers dedans ! Ne fusse qu'un virus, avant le covid on sait déjà ce que cela peut produire dans un ordinateur.

On est entrés dans cette décomposition, ce démantèlement (des couples, des familles, des entreprises, sociétés et nations même) au profit de quoi ? de qui ?
D'une mondialisation.
Que voilà un de ces mots qui cachent une forêt !
Un idée, un projet, une volonté qui pourrait sembler bonne... mais qui ne va pouvoir se mettre en place qu'en faisant disparaître l'idée et la réalité démocratique - forcément !
On a compris quand on voit et entend les divergences de vue et de solutions, les argumentations jusqu'à agressives, l'impossibilité pour des gens de même culture, couleur, racine de s'unir jamais lors de tels échanges radio ou télé sur n'importe quel thème.

Et le chômage ? Pas assez de travail pour tous !? Non, la réalité là encore est que Quelqu'un, le Dieu véritable, a tout sous le coude, comme des privilèges qu'il veut bien partager avec tous, dès lors qu'on se confie en lui. J'invite celui/celle que ce point intéresse à lire (ou écouter) ici > le livre de l'Ecclésiaste.

Alors réveillons-nous, la démocratie ne passera pas (même par la guerre civile, car elle n'a pas (assez) d'armes), mais la mondialisation avancera jusqu'à faire plier l'humain sous les programmes... comme en Russie hier, en Chine ou en Corée du nord aujourd'hui.
La phase consensuelle prendra bientôt fin, la lucidité l'emportera encore un peu sur les séductions, manipulations, faux-semblants démasqués, mais la parole sera de plus en plus muselée, la résistance aura fini d'être usée, et soudain ce sera la force, genre traité de Lisbonne, 49-3 état d'urgence, vaccin obligatoire sinon rapt d'enfants ou puce électronique permanente sinon tu es out... Par des contraintes administratives et économiques donc, des interdictions ou obligations drastiques, voire progressivement par des armes de diverses sortes (bactériologiques ou à feux) et beaucoup, beaucoup, beaucoup de morts annonce le livre prophétique de l'Apocalypse.

COMME IL Y A UNE FACE CACHÉE DE LA LUNE...

Mondialisation au profit de qui ? Quelle surprise si vous ne le savez pas encore !
Au profit d'une élite intello-financières ? D'une oligarchie humaine ?
Non, car au-dessus des hommes, de ceux-là comme de tous, de notre humanité entière, sont des esprits - que d'aucuns peuvent imaginer comme des extra-terrestres façon film de science-fiction.
En réalité des esprits méchants, méchants, trompeurs, séducteurs, dénaturés, toujours maléfiques, qui sont initialement des anges de Dieu qui ont pris la liberté de sortir du Bien absolu. Ainsi fut créé le mal, tout ce qui n'est pas (le) bien, tout ce qui ne peut pas rester bien.

Le premier de cette autonomisation fut un ange puissant et brillant comme un astre, devenu dès lors Satan, l'adversaire de tout ce qui est bien véritable, de Dieu et ses anges et de nous humains moins bien pourvus en forces, capacités, pouvoirs.

Des myriades sortirent de leur rang béni à la suite de Satan, anges se transformant alors en démons. Ce sont eux, entités spirituelles invisibles, qui cherchent à s'assurer le contrôle total et durable (éternel comme ils sont) de la terre et de ses habitants (notre humanité et tout le reste). Telle est la réalité occulte qui se cache et manœuvre sous la pensée mondialiste mondialisante.

Des hommes/femmes haut placés qui siègent en oligarques dans des clubs ou sectes croient pouvoir devenir eux-mêmes les maîtres du monde... à partir de divers rapports troubles qu'ils peuvent avoir avec ses esprits satanisés. C'est bien mal connaitre les entités avec lesquelles ils collaborent quelque peu consciemment ou qu'ils prennent pour leurs propres pensées.

S'ils voyaient mieux ils chercheraient vite du côté du vrai Dieu et de Jésus-Christ le secours dont ils ont besoin face ne serait-ce qu'à leur mortalité physique.
Au lieu de croire les mensonges du diable et de ses démons - qui se fait passer à leurs yeux pour une créature bonne (sous le nom de Lucifer en général), ils feraient mieux d'avoir l'humilité de chercher de l'aide pour être sauver. Mais on a chacun à un moment ou à un autre, des plages de liberté où on peut passer des ténèbres de Satan à la lumière de Christ. Mais attention de ne pas remettre au lendemain, car on ne sait jamais si une porte de secours ouverte aujourd'hui, ici et maintenant, le sera encore ce soir, cette nuit ou en d'autres circonstances...

ÉCHAPPER A LA DICTATURE QUI VIENT

Le livre biblique de l'Apocalypse prédit qu'effectivement, par la soumission des hommes à ces autorités spirituelles trompeuses autant que maléfiques, vient un ordre mondial qui sera une dictature terrible d'origine et de forces sataniques.

L'histoire nous permet de voir plusieurs effets de domination démoniaque derrière les hommes, avec les inquisitions, le massacre de la St-Barthélémy, des croyants brûlés ou décapités par d'autres croyants, le terrorisme sous diverses formes, les massacres ethniques, du vandalisme haineux et tueur...

Et bien sûr avec Hitler, le nazisme et la shoah, on a la figure - récente pour nous montrer que cela n'est pas une vieille histoire moyenâgeuse - réelle et en même temps prophétique, des effets concrets pouvant résulter des capacités et incitables démoniaques quand elles réussissent à tromper des hommes pour en faire les agents de leurs propres objectifs. En ce sens notre propre mal-être comme une convoitise égotique boostée par l'orgueil, peuvent l'un et l'autre devenir le ferment qui permet la greffe d'une entité ou d'une autre démoniaque sur nous.

Ces esprits sont capables de donner des moyens financiers, de l'intelligence pour trouver des solutions (apparemment bénéfiques) aux problèmes des êtres humains ou des sociétés, des voix lors d'élection, des succès divers, des tremplins qui sortent de l'ordinaire, des charismes qui peuvent séduire des foules, entrainer à sa suite indistinctement hommes, femmes ou enfants... Le tout se terminant toujours par de la casse, des brisements, des destructions plus ou moins massives, du chaos, et souvent la mort des instruments utilisés, aussi dramatique ou plus celles de leurs victimes prises sans défense suffisante sous ces influences et forces.

POURQUOI JÉSUS LE SEUL ?

La Bible nous dit que Jésus seul a été capable de résister à Satan au point de ne lui céder aucune place dans sa vie pendant toute son existence semblable à la nôtre, et plus encore il'a vaincu de manière définitive la puissance de tous ces anges déchus. Comment ?
En les laissant volontairement libres de s'en prendre à lui, à partir de son arrestation dans la nuit de Gethsémané.
En a résulté son humiliation, les coups terribles qu'il a reçu de la part de Pilate, et jusqu'à la crucifixion sollicitée par les leaders juifs, ce qui était la plus grande des injustices parues sur la terre.

En effet Jésus était sans faute et sans fraude, saint, irréprochable quant au mal,  parfaitement innocent quant à lui-même. Or la mort dit la Bible, apparait comme la conséquence, la sanction, du mal (ou péché) qui nous habite et qu'on peut faire. Et donc cette mise à mort des plus ignominieuses et injustes ne pouvait qu'être comme annulée par Dieu par une résurrection de la victime innocente. Ce qui se produisit au 3e jour après la crucifixion.

Mais ce n'est pas tout. La résurrection n'annule pas tous des souffrances, de l'agonie et de la mort de Jésus. En se laissant prendre, juger et tuer injustement, Jésus en fait acceptait aux yeux de Dieu de prendre la place de coupable que nous sommes tous (par nos fautes), acceptait de supporter ce que mérite chacun de nous.
Pire même, il est mis à mort de la plus horrible manière, comme meurt les criminels, afin que son sacrifice permette aux pires des êtres humains de pouvoir être pardonnés et graciés s'ils se repentent de leurs fautes et croient en lui qui paya à leur place, pour eux, le prix de toutes leurs iniquités.

C'est ce que fit un des deux brigands qui étaient crucifiés pour ses crimes en même temps que Jésus. Sa droiture à ce moment-là lui permit d'entendre Jésus lui annoncer que dès sa mort il serait avec lui dans le paradis (ou royaume de Dieu). Quelle grâce !

Il en est tout autrement pour le second brigand resté dans son arrogance au lieu de s'humilier sous l'effet de la honte que ses actions amenèrent sur sa vie. Il mourut physiquement comme l'autre, mais son âme alors séparée de son corps, au lieu d'entrer dans la présence et sphère divines, descendit au shéol autrement appelé hadès ou séjour des morts (où sont les impies non pardonnés parmi les feux incessants des tourments de l'âme)...

Cela pour dire que Jésus peut sauver du shéol ou séjour des morts, quiconque, à sa fin terrestre, se confie en lui en reconnaissant ses fautes et en croyant en l'innocence - c'est-à-dire la divinité - de Jésus.
Mais avant le passage par la mort physique, on peut trouver à tous moments en Jésus ce sauveur qu'il est.
Il devient possible d'entrer par notre foi au bénéfice de sa protection, comme un enfant qui reste, en lui obéissant, sous la protection de son père ou de sa mère.

C'est pourquoi "Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité."

"Car lorsque nous étions encore sans force, Christ, au temps marqué, est mort pour des impies.7 A peine mourrait-on pour un juste ; quelqu'un peut-être mourrait-il pour un homme de bien.8 Mais Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.9 A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère."

Aussi, face à la montée de la mondialisation et de ce qui peut paraitre pour nous soumettre tous, pour notre malheur, aux puissances occultes démoniaques, confions-nous en Dieu par Jésus, son incarnation historique et maintenant éternelle, car "Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné" ...à ce que Satan voudra et pourra imposer pour marquer chacun de nous d'un sceau irrémédiable d'appartenance (sans doute avec une puce électronique dont parle le livre de l'Apocalypse, et qui existent maintenant).

Ecoutez et cherchez si vous n'avez pas encore trouvé en Christ Jésus le sauveur et gardien de votre âme - l'âme étant l'essentiel de notre personne, le siège de notre moi conscient et autres facultés psychiques.

Ici > un guide pour prier si vous en ressentez le besoin...

___________________________
* Comment Jérôme Lejeune a-t-il vécu sa première rencontre (expérience) avec Dieu ? Il la décrit à sa femme comme « Un fils retrouvant son Père très aimé, un Père enfin connu, un maître révéré, un cœur très sacré découvert, il y avait de tout cela et beaucoup plus. Comment dirais-je, de la tendresse, de la douceur, de l’affection, de l’amour timide et pourtant décidé, un besoin de faire savoir combien j’étais touché jusqu’au cœur de tant de gentillesse et de tendresse de Sa part, qu’IL voulût bien être là, qu’Il eût accepté que je L’y reconnusse, qu’Il m’eût accueilli si simplement et fraternellement. Comment dire ? Du tendre amour le plus évident. »

Cela ne donne-t-il pas envie de vivre une vraie révélation, toute personnelle, avec ce Dieu saint et aimant qui a déjà tout fait (par le don de Jésus) pour nous en accorder la grâce ?

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23 mai 2020 6 23 /05 /mai /2020 18:00

On a vu précédemment 4 des 8
(jusqu'au coronavirus actuel)
événements d'ampleur planétaire initiés par Dieu au fil des siècles et millénaires.
Il y a deux mille ans paraissait le 5e de ces événements majeurs, d'abord invisible, puis croissant jusqu'à emplir de son message et de ses effets la terre toute entière.

5e événement planétaire - JÉSUS
En symbolique le 5 est le chiffre de la Grâce.
L'événement suivant, comme un rejeton tout particulier de la foi et descendance d'Abraham, c'est encore un homme unique : Jésus de Nazareth.

"Il s'est élevé comme une faible plante", prophétisa de lui Ésaïe environ 700 ans à l'avance ! Le lieu (Bethléem) et le moyen hautement improbables de la naissance de Jésus aussi furent prophétisés ainsi que des dizaines d'autres détails, ce qui lui confère un statut à nul autre pareil.

En quoi la naissance et la vie de Jésus forment-elles un événement à portée planétaire ?
C'est que Jésus est venue comme une incarnation divine dont la finalité est de "sauver tous les hommes", de toutes nations, de toutes tribus, de toutes couleurs et langues.
C'est pourquoi aussi le Nouveau Testament qui résulte de la venue de Jésus est traduit en plus de 1 300 langues et dialectes.

JÉSUS VENU NOUS SAUVER DE QUOI ?

- des pressions, oppressions, accaparations et autres méfaits douloureux, aliénants, traumatisants, handicapants, invalidants, formés contre le genre humain par Satan et ses multitudes d'anges révoltés et dégénérés (devenus des démons de différentes forces).

Certes si les démons peuvent ainsi nous imposer leurs forces répressives (ou séductrices pour mieux prendre possession de nous), c'est que nous le leur permettons, en agissant, parlant ou pensant mal, en nous positionnant contre Dieu ou dans l'indifférence à son égard.

- Jésus sauve donc aussi de la force du mal qui nous habite chacun et nous pousse, même malgré notre bonne volonté, à mal nous comporter, à pécher pour employer un terme générique (qui signifie "manquer le but, rater la cible de ce qui est bien).
On pèche tous d'une ou l'autre des multiples manières de manifester du mal, dans tous les cas toujours à notre détriment (malgré parfois que ça ne semble pas) et au détriment de ceux que nous atteignons (parfois en voulant faire nous-même notre propre justice).

La Bible appelle cette propension à mal faire (par actions ou par omissions) "la loi du péché", une dynamique dominatrice de notre âme que Jésus peut venir réduire et soumettre en nous, en nous communiquant son Esprit avec sa "loi de l'Esprit de vie";

- sauver de "la loi de la mort", mort physique mais aussi mort spirituelle, et jusqu'à plus gravement encore mort psychique (anéantissement dramatique et éternel de la conscience de soi, de notre moi-je).
Par la même foi qu'Abraham en la vérité révélée de Dieu et de Jésus son Christ rédempteur, chacun peut échapper à ce terrible jugement de finir éternellement hors du Bien que Dieu (seul) est, défend et partage;

- nous sauver encore donc des influences et tentations qui nous environnent, ce que la Bible appelle "l'esprit du monde" que forme les cultures, les religions, les idéologies de toutes sortes. Que ce soit celle du pays ou de la famille dans lesquels on grandit? ou une (trompeuse, insuffisante) à quoi on se met à adhérer de nous-même par quelque séduction qui peut facilement avoir raison de nous si nous n'avons pas "l'amour de la vérité" pour être sauvés;

- ainsi, nous sauvant en nous délivrant de l'ignorance, des erreurs ou mensonges qui circulent, Jésus et son Esprit nous reforment (réforment, transforment) afin que nous devenions toujours plus une représentation "à l'image de Dieu"... ce qu'on n'est plus trop par nature. On est d'abord tout naturellement formés et fabriqués socialement à l'image du "père du mensonge" qui est le diable (qu'on l'appelle Satan ou Lucifer c'est le même), le chef des démons.

On sait aujourd'hui combien la foi en Dieu et en son Christ Jésus ont, depuis deux mille ans, changé la face des continents et nations, bien sûr surtout de celles dont les autorités ont elles-mêmes été touchées par le message évangélique de la grâce que Dieu accorde par la foi.

FOI EN QUOI (MOYEN EMPLOYÉ POUR NOUS SAUVER) ?

- en la personne de Jésus paru comme Sauveur (c'est la signification de son nom en hébreu, Yeshoua, Dieu sauve), autrement dit aussi Rédempteur. (Matthieu ch. 16, vers. 16 et 17);

- foi en son sacrifice volontaire, sa mort étant le prix a payé pour racheter les pécheurs que nous sommes de nos fautes et des griffes, caresses ou pommades séductrices des esprits mauvais. (Pour ceux qui veulent saisir le sens en approfondissant les réalités, on dit que cette mort est (toujours) à la fois expiatoire, substitutive et propitiatoire). Toutes choses à la fois accomplies et potentielles qui s'activent pour chacun dans sa foi personnelle;

- idem pour la foi en la résurrection de Jésus, qui est apparu physiquement après un bref séjour dans un tombeau à des centaines de personnes (1Co 15).

Il apparait aujourd'hui encore, parfois en songe ou vision à certains (notamment à des musulmans pieux qui veulent aimer Dieu sans faux-semblants et sans le connaître suffisamment), et aussi par des attouchements sensibles (expériences diverses) dans l'ordre psychique et/ou spirituel, en faveur de ceux qui l'aiment ou de ceux qu'il appelle au salut;

- la preuve permanente de la résurrection de Jésus et de sa montée au (3e) Ciel, est qu'il a envoyé son Esprit, le Saint-Esprit. Celui-ci a pris sa place, avec l'avantage qu'il peut être possiblement en même temps sur toute la terre au même moment (ce qui est de l'ordre de l'esprit échappant à l'espace-temps tel que nous le rend sensible la limitation de la vitesse de la lumière);

- foi encore en ce que Dieu a été capable de dicter ses instructions, enseignements, promesses, avertissements... à de ces serviteurs pour que quiconque veut croire en lui ait des écritures lisibles ou audibles, immuables, fiables, par lesquelles connaître les vérités fondamentales nécessaires à notre connaissance de Dieu, de nous-même et de nos environnements.
C'est ainsi que la venue et émergence de Jésus a conduit à la rédaction et formation de la deuxième partie de la Bible, le Nouveau Testament, Nouvelle Alliance, Bonne nouvelle (gospel) ou Évangile de Jésus-Christ.

Ainsi est apparu sur toute la terre, ce fait unique que des hommes, femmes et enfants marqués et limités par les lois fondamentales activées par le péché, échappent à cette finitude essentielle qu'est la mort (sous ses diverses formes - lien d'étude possible : Les 5 types de mort).

En résulte, par le jeu d'une "nouvelle naissance" ou born again, la création inédite d'une humanité qui pourra vivre éternellement avec Dieu quand ce temps sera venu, c'est-à-dire quand il n'y aura plus personne sur terre à s'intéresser à cela, c'est-à-dire plus de repentance, le nombre de personnes ainsi sauvées n'étant plus modifiable.

6 et 7 - GUERRES MONDIALES ET  RÉVOLUTION BOLCHÉVIQUE
Par l'effet de La Science érigée en Europe depuis le XVIIIe siècle en divinité ultime, les découvertes scientifiques et développements technologiques se sont multipliés et approfondis, donnant au XXe siècle de devenir le plus meurtrier de tous les temps. Tels sont les progrès sans la supervision divine. Rabelais déjà l'avait aperçu et dit il y a longtemps : "Science sans conscience, n'est que ruine de l'âme."

Le fait - et problème - est qu'on n'est pas des êtres naturellement profonds, pour s'arrêter et faire le point quand des choses graves arrivent.
C'est ainsi qu'après avoir déposé plus radicalement que jamais, en 1905, sans distinction Dieu le Créateur avec ses représentants peu représentatifs (les religions bâtardes issues de la pure et saine doctrine produite par le Christ Jésus), la France orgueilleuse a été jugée par Dieu et attaquée par l'Allemagne au point de produire ce qu'on a appelé les deux guerres mondiales.

Une aurait pu suffire, si l'attaque en 1914 avait été vue comme un jugement divin sur son orientation politique maligne, tout jugement portant à la repentance et appelant à changer (de voie, de choix, de comportement, de priorité...).

Au lieu de cela, la victoire, non sans l'aide d'alliés, n'a débouché que sur des "années folles" (comme les ont baptisées les historiens). Ou il ne fut pas question de "changer son fusil d'épaule", c'est-à-dire à replacer Dieu (épuré si on peut dire des fatras religieux qui en déforment la réalité) au centre des vies et de la société. Car au lieu de cela, on se lança plus encore dans l'abandon des fondements chrétiens, dans l'illusion d'un bonheur possible sans Dieu, dans des libertés de plus en plus liberticides, au point où le jugement revint 20 ans plus tard, sur une génération et jeunesse après l'autre.

En parallèle dans le même temps, donnant aux conflits barbares leur dimension planétaire, la vue marxiste et les pensées socialistes devenaient le moyen d'un jugement sur la grande Russie et son gouvernement tsariste perverti, jusqu'à produire, après sa défaite infligée par le Japon en 1905, la révolution bolchévique (en 1917) qui allait conduire au bloc soviétique formé en Union de Républiques Socialistes Soviétiques (URSS) au prix de dizaines de millions de vies sacrifiées, tuées, déportées, mutilées...

Le chiffre 6 est le chiffre de l'homme quand il se définit ou déploie dans sa nature charnelle problématique. Et le 7 est un chiffre divin pour dire qu'en dernier ressort c'est Dieu qui reste le maître, fut-ce au prix de jugements qu'on l'oblige : Si nous ne savons pas marcher sous et selon la justice de sa Grâce, on se trouve un jour ou l'autre (collectivement comme individuellement) soumis à sa stricte justice, sans clémence, et parfois rendue inique par les esprits qui l'exercent.

Faute de tirer en conscience les leçons de nos histoires, nous sommes amenés, à notre encontre, pour notre malheur, à devoir subir les conséquences de nos mauvais comportements réitérés.

Et nous voilà parvenant, avec le covid-19, comme au temps de la 1ère guerre mondiale...

8 - LE VIRUS COVID-19
Le 8 est un chiffre de fait référence à quelque chose de nouveau. Une nouveauté en soi, qu'on a à comprendre comme un moyen de chercher un nouveau chemin, une nouvelle manière de poursuivre l'aventure chaotique de l'existence.

Nous voilà arrivés à ce virus pas ordinaire.
Il constitue, au vu des jugements précédents et des orientations d'existence prises par les instances gouvernementales et par les peuples les plus dominants, un de tout derniers avertissements divins.
Ce qu'on peut encore appeler un jugement de grâce, selon que le mal a vocation de sanction, mais aussi de permettre une remise bénéfique sur de meilleurs rails que ceux qui ont conduit jusque là.
C'est en ce sens que la parole d'Einstein est pertinente pour ici maintenant, qui dit que "On ne peut pas sortir d'un problème avec les modes de pensée qui ont créé ce problème."
En d'autres termes, ne revenons surtout pas à la "normale" d'avant le covid, car c'est cette normalisation de certains comportements (généralisés ou marginaux, commerciaux, politiques, moraux) qui a amené cette crise (et déjà d'autres avant) en tant que jugement sanction du mal.

TOUT JUGEMENT FAIT CESSER UN ORDRE (MALIN) DES CHOSES, EN VUE D'UN AUTRE (À RE-CHERCHER)

Jugement sur des orientations d'existence et des système dominées par la cupidité, l'avidité, l'avarice, la rapine - le dieu Mammon comme Jésus personnifie l'argent, la finance -; dominés par les plaisirs et gains personnels amoraux, égoïstes,avec des alliances, compromis et connivences malignes, les usages pervertis de connaissances (psychologiques, scientifiques, technologiques) pour manipuler les personnes, pour les monter les unes contre les autres ou pour les rapprocher artificieusement, pour fabriquer des armes de plus en plus hyper-sophistiqués (coûteuses et terriblement meurtrières)... 

Résulte de ce regard de plus en plus égotique des grands de ce monde et de tous, que grandit la faiblesse du plus grand nombre.
Une majorité de plus en plus grande est bernée, séduite, craintive ou indifférente, vindicative mais impuissante (à cause de ses propres péchés), est conduite (contrainte, sollicitée pour, poussée) vers un appauvrissement multi-face (financier, culturel, éthique, moral, spirituel), voire est éliminée (démographiquement).
Cela au profit organisé de quelques minorités (personnalités) toujours plus concentrées, des mieux-nés, des plus débrouillards, iniques ou mégalomanes, chacun dans tous les cas devant un jour rendre compte de ses faits, gestes, paroles et choix devant Celui qui prête vie.

Ce qui forme une cour de terrain privilégiée, au service d'une oligarchie de type Nemrod - par exemple en Europe qui veut poursuivre la construction arrêtée par Dieu - quelle défiance ! - de la tour de Babel. Sans réaliser qu'ils touchent dans l'invisible aux puissances occultes, qu'ils ne font que se placer sous les auspices d'entités spirituelles qui se veulent divines mais ne le sont pas, dont l'objectif final est d'obtenir de Dieu qu'elles puissent régner éternellement sur le genre humain sans le moindre regard de Dieu sur cette part de ses créations....

Voilà ce que Dieu voit et vient juger : les commerces et appropriations éléphantesques iniques des grands, et en rapport, les commerces pervertis goguenards des foules qui ne voient rien de "ce qui n'est pas à leur dire" et se satisfont à peu près de la belle étiquette "Démocratie" et de ce qu'on leur accorde sous ce label hautement honorifique.

L'ESSENTIEL DE LA CRISE

Dans cette situation Dieu agit largement auprès des plus faibles, des humbles, des affligés, des contrits, se révélant à ceux que leur instruction et éducation ont privé de lumière, de possibilité de foi, de connaissance de Dieu.
En ce sens, un de ces jours de confinement où je demandais à Dieu qu'il me dise quelque chose sur sa manière de voir cette actualité (outre que je sache qu'on est à la fin du chapitre 9 de l'Apocalypse), il me dit de lire le psaume 12. En quelques lignes, il me dit là l'essentiel de ce qu'il opère (qui se voit et qui ne se voit pas).

Notamment que chacun peut se fier à la Bible, étant "la parole de Dieu" qu'il a gardée au fil des générations pour que nous puissions en disposer maintenant encore dans l'assurance que rien n'a été déformés ou falsifiés des plus anciens manuscrits à partir de quoi on traduit encore la Bible dans toutes les langues.

Ainsi ce coronavirus, cette peste comme il y en eut d'autres mais jamais avec un tel effet dominant, nous dit que la colère de Dieu approche de son comble quand il voit où nous sommes parvenus, malgré de grands progrès divers, en matière d'injustices, de magouilles, de trafics, manipulations, exploitations, tromperies, perversions, violences...

De quoi amener encore bientôt un jugement plus final, plus terrible, dont la seconde guerre mondiale et la Shoah sont une image (géographiquement partielle) autant qu'une réalité déjà apocalyptique de ce qui vient, ce qui a été depuis longtemps prophétisé par divers livres bibliques (Apocalypse, Daniel, Zacharie, Ézéchiel, Ésaïe...).

Avez-vous réaliser comment avec quasiment rien, le Dieu éternel tout-puissant peut arrêter l'essentiel de nos activités, voire nos existences.
En ce sens, le nombre de morts annoncé dans l'Apocalypse laisse entendre qu'il y aura certainement usage d'armes atomiques... et sans doute bactériologiques (virales ?).

Pour ce qui est de la suite de cette liste des événements planétaires qui restent à venir, on peut la connaître dans ses divers points... mais je m'arrêterai ici seulement au suivant.

9 - LA PAROUSIA

Ce mot grec du Nouveau Testament signifie Présence, la venue, l'arrivée, l'avènement, le retour futur et visible de Jésus depuis les cieux, pour ressusciter les morts dans la foi en lui et enlever dans les airs les chrétiens préparés pour cet événement planétaire.

Le chiffre 9 parle de fin de cycle, de mouvement complet, en l'occurrence l'entrée dans une brève plage de temps où va se signer la fin des 2 000 ans de la grâce christique.

Voici quelques références* pour qui veut faire une étude de cet événement qui sera à coup sûr le plus surnaturel et imposant de tout ce que la terre a connu jusque là.
Ce ne sera pas du tout pour autant la fin de la terre et de l'humanité, mais le point de départ cependant d'une transition planétaire phénoménale qui amènera en rien de temps sur le monde une dictature et un totalitarisme comme il n'y en a jamais eu et comme il n'y en aura plus jamais.
Telle est, nous dit la Bible, le sens eschatologique de l'histoire : une fin qui tient de la domination de la loi d'entropie (usure, érosion, décomposition).

* Matthieu 24 : 3 - Matthieu 24 : 37 - 1Thessaloniciens 4 : 15 - 1Corinthiens 15 : 51

LEÇONS DE L'HISTOIRE

A quoi sert d'avoir remarqué que l'apparition du corona covid année 2019 est un des rares grands événements qui a changé et changent encore la face habitée de la terre ?

L'histoire est toujours faite de leçons qu'on peut en tirer. Sans aller trop loin dans le passé, le XXe siècle nous donne de voir à la fois comme le cœur humain n'évolue pas, reste barbare (malgré ce que fut une remontée significative des ténèbres avec le christianisme), tous les bienfaits d'une civilisation avancée (morale, juste, humaine) pouvant se perdre totalement en deux et trois générations.

De plus il semble que les deux guerres mondiales apparaissent comme une réalité et une image. Que si on ne tire pas leçon d'un événement grave (comme fut la 1ère G. M. pour la France et pour l'Allemagne, ou encore la défaite russe contre les japonais en 1905), il doit être répété avec plus de violences encore.
Pourquoi ? Rappelons-le : Parce qu'après 14-18, au lieu d'une reprise en main de la foi chrétienne (et de comportements en adéquation), en revenant, dans l'humiliation des vaincus et l'humilité des vainqueurs, à sa source - divine et biblique -, ce furent "les années folles", c'est-à-dire un retour et un redéploiement d'immoralité, du non-pardon, de pensées vengeresses sous couvert, de débauches, d'insouciances coupables ou de soucis purement matériels.

Aussi je vous invite à sentir comment Dieu s'approche de vous avec grâce, à cause de son amour et par cette vertu imméritée que Jésus a payé le prix de vos fautes par sa mort. Laissez-vous convaincre de culpabilité pour le mal que vous avez fait avant (voire pendant) cette peste, demandez pardon à Dieu et recevez son Esprit en signe de votre réconciliation avec lui.

Car c'est par la grâce de Dieu que nous pouvons être et sommes sauvés, grâce comme celle présidentielle qui amnistie, efface les condamnations et libére les prisonniers. Grâce qui vient de Dieu et non de nous, non de nos mérités, afin que personne ne puisse se glorifier d'avoir fait quelque chose pour se sauver lui-même.
Et grâce qui se reçoit par la foi, comme il faut tendre la main et prendre un cadeau que vous offre un ami, comme il faut saisit avec déterminantion la bouée de sauvetage que vous lance un sauveteur.

Passages à lire... et à croire...
C'est cela la foi : Romains 10 : 17 - Hébreux 11 : 1 - Jean 3, vers. 1 à 21

Soyez béni-e et sauvé-e

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4 avril 2020 6 04 /04 /avril /2020 15:29

Un des premiers a parler de ce surprenant héros insolite a écrit: "Beaucoup ont été horrifiés en le voyant, tant son visage était défiguré, tant son aspect était différent de celui des humains,15 il purifiera beaucoup de nations. Devant lui des rois fermeront la bouche, car *ils verront ce qu’on ne leur avait pas raconté, ils comprendront ce dont ils n'avaient pas entendu parler...
Il a grandi devant lui (l'Eternel) comme une jeune plante, comme un rejeton qui sort d'une terre toute sèche. Il n'avait ni beauté ni splendeur propre à attirer nos regards, et son aspect n'avait rien pour nous plaire.3 Méprisé et délaissé par les hommes, homme de douleur, habitué à la souffrance, il était pareil à celui face auquel on détourne la tête : nous l'avons méprisé, nous n'avons fait aucun cas de lui.4 Pourtant, *ce sont nos souffrances qu'il a portées, c'est de nos douleurs qu'il s'est chargé. Et nous, nous l'avons considéré comme puni, frappé par Dieu et humilié.5 Mais lui, il était blessé à cause de nos transgressions, brisé à cause de nos fautes : la punition qui nous donne la paix est tombée sur lui, et *c'est par ses blessures que nous sommes guéris.6 Nous étions tous comme des brebis égarées : chacun suivait sa propre voie, et l'Eternel a fait retomber sur lui nos fautes à tous.7 Il a été maltraité, il s’est humilié et n'a pas ouvert la bouche. *Pareil à un agneau qu'on mène à l’abattoir, à une brebis muette devant ceux qui la tondent, il n'a pas ouvert la bouche.8 Il a été enlevé sous la contrainte et sous le jugement, et dans sa génération qui s’est inquiété de son sort ? Qui s’est soucié de ce qu’il était exclu de la terre des vivants, frappé à cause de la révolte de mon peuple ?9 On a mis son tombeau parmi les méchants, sa tombe avec le riche, alors qu'il *n'avait pas commis de violence et qu'il n'y avait pas eu de tromperie dans sa bouche.10 L'Eternel a voulu le briser par la souffrance. Si tu fais de sa vie un sacrifice de culpabilité, il verra une descendance et vivra longtemps, et la volonté de l'Eternel sera accomplie par son intermédiaire...¨ Prophète Ésaïe chap. 52-53

Le reconnaissez-vous ?

Né dans une famille modeste, dans un village sans éclat, ce qui fit dire à Myriam (Marie en francisé) enceinte de lui :
"« Mon âme célèbre la grandeur du Seigneur47 et mon esprit se réjouit en Dieu, mon Sauveur,48 parce qu'il a porté le regard sur son humble servante. En effet, voici, désormais toutes les générations me diront heureuse,49 parce que le Tout-Puissant a fait de grandes choses pour moi. Son nom est saint,50 et sa bonté s'étend de génération en génération sur ceux qui le craignent.51 Il a agi avec la force de son bras, il a dispersé ceux qui avaient dans le cœur des pensées orgueilleuses.52 Il a renversé les puissants de leurs trônes et il a élevé les humbles.53 Il a rassasié de biens les affamés et il a renvoyé les riches les mains vides.54 Il a secouru Israël, son serviteur, et il s'est souvenu de sa bonté55 – comme il l'avait dit à nos ancêtres – en faveur d'Abraham et de sa descendance pour toujours. »". Évangile selon Luc, chap. 1.

De là, le fœtus a grandi, est né Jésus (Yeshoua en hébreu, la langue juive) et sa reconnaissance comme "fils du Dieu vivant" par des multitudes au cours des siècles, a fait les nations les plus civilisées et industrieuses (avant que l'abandon de la foi à grande échelle ne laisse la place à des puissances non-chrétiennes... pour un peu de temps, bref délai qui court défini par le prochain retour de Jésus...

Après une ascension fulgurante de peu d'années - mais qui révolutionna au final la face de la terre jusqu'à nos jours, on a voulu (religieux et païens associés) le réduire à rien, à l'invisible, en le clouant, sanguinolent et nu, sur une croix en bois: ¨Mais moi, je suis un ver et non un homme, la honte de l’humanité, celui que le peuple méprise.8 Tous ceux qui me voient se moquent de moi, ils ricanent, ils hochent la tête :9 * « Recommande ton sort à l’Eternel ! L’Éternel le sauvera, il le délivrera, puisqu’il l’aime ! »10 Oui, tu m’as fait sortir du ventre de ma mère, tu m’as mis en sécurité contre sa poitrine ;11 dès ma conception j’ai été sous ta garde, dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu.12 Ne t’éloigne pas de moi quand la détresse est proche, quand personne ne vient à mon secours !13 De nombreux taureaux sont autour de moi, des taureaux du Basan m’encerclent.14 Ils ouvrent leur gueule contre moi, pareils au lion qui déchire et rugit.15 Mes forces s’en vont comme l’eau qui s’écoule, et tous mes os se disloquent ; mon cœur est comme de la cire, il se liquéfie au fond de moi.16 Ma force se dessèche comme l’argile, et ma langue s’attache à mon palais ; tu me réduis à la poussière de la mort.17 Oui, des chiens m’environnent, une bande de scélérats rôdent autour de moi ; ils ont percé mes mains et mes pieds.18 Je pourrais compter tous mes os ; eux, ils observent, ils me regardent,19 *ils se partagent mes vêtements, ils tirent au sort mon habit.20 Mais toi, Eternel, ne t’éloigne pas ! Toi qui es ma force, viens vite à mon secours !21 Protège mon âme contre l’épée, ma vie contre le pouvoir des chiens !22 Sauve-moi de la gueule du lion et des cornes du buffle ! Tu m’as répondu !" Psaume 22

"Après tant de trouble, il verra la lumière et sera satisfait. Par sa connaissance, mon serviteur juste procurera la justice à beaucoup d'hommes ; c’est lui qui portera leurs fautes.12 Voilà pourquoi je lui donnerai sa part au milieu de beaucoup et il partagera le butin avec les puissants : parce qu'il s'est dépouillé lui-même jusqu’à la mort et qu'il *a été compté parmi les criminels, parce qu'il a porté le péché de beaucoup d'hommes et qu'il est intervenu en faveur des coupables" Esaïe chap. 53

Vous pouvez reprendre l'écriture initiale, voir comment elle s'applique pleinement à la venue et ascension de Jésus... comme, si on le veut, au coronavirus. Pourquoi ?
Parce que les deux sont des événements initiés par la même personne et volonté - le Dieu qui est au dessus de tout -, exerçant avec le minuscule covid-19 un jugement planétaire, et avec une incarnation semblable à celle de tous, un moyen de grâce capable de s'étendre à tous les vivants de tous les temps...

DES SOUFFRANCES SUBSTITUTIVES, À NOTRE PLACE

Pourquoi donc tant de souffrances et un tel sacrifice de ce fils d'homme à nul autre pareil ?
Pour toi, pour moi.
Pour quiconque croit :
"Car le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur." Romains chap. 6

"C'est la justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ pour tous ceux qui croient. Il n'y a pas de différence (parmi le genre humain) :23 tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu,24 et ils sont gratuitement déclarés justes par sa grâce, par le moyen de la libération qui se trouve en Jésus-Christ.25 C'est lui que Dieu a destiné à être par son sang une victime expiatoire pour ceux qui croiraient. Il démontre ainsi sa justice, puisqu'il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, à l’époque de sa patience.26 Il la démontre dans le temps présent de manière à être juste tout en déclarant juste celui qui a la foi en Jésus." Romains chap. 3

"En effet, c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu." Éphésiens chap. 2

Foi salvatrice en Jésus donc, car s'il a donné sa vie pour nous obtenir le droit d'être pardonné de nos fautes par la foi, il est aussi ressuscité, et donc il n'est pas un Dieu mort, mais un Dieu enrichi d'une humanité désormais éternelle.

Bien plus puissante que l'histoire du corona covid-19, cette histoire de comment Dieu s'est fait "germe", créant un spermatozoïde tout nouveau pour l'implanter dans l'utérus d'une jeune fille juive (Marie chez nous).
Deux moyens de changer les trajectoires dangereuses - pour nous - des vies humaines... avant que l'âme ne se retrouve - Ô combien confinée, dans le séjour des morts (Shéol ou Hadès) tenu par les suppôts de Satan.

Que vous reste-t-il donc à faire (si ce n'est fait) pour être sauvé d'une vie dominée par le mal qui s'impose à vous d'une manière ou d'une autre, sauvé d'une perdition éternelle de votre âme ou psychisme (contenant votre moi conscient qui est le cœur de votre personne) ?...

En cliquant ici, un guide pour prier Dieu de manière efficace pour trouver réconciliation et paix avec lui.

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1 avril 2020 3 01 /04 /avril /2020 12:24

 

 

Quand Jésus dit:
Je suis la porte,
Voyons-nous à quoi il est en train de penser ?


Pour mieux voir, mieux entendu,
il peut être très bon
de tirer notre porte sur nous, de

RESTER CHEZ SOI, RENTRER EN SOI

Pascal a écrit sur la misère de l’homme sans Dieu qui a une peur panique de se retrouver face à lui-même, sans divertissement:
« Tout le malheur des hommes vient d’une seule chose, qui est de ne savoir pas demeurer en repos, dans une chambre ».

Rentrer en soi c'est descendre dans une profondeur de soit où se trouve (entre autre) la réflexion, le dépassement possible des préjugés... genre - Moi je crois qu'à c'que je vois, clament plusieurs !
C'est faux ! Réfléchis donc un peu.

Est-il possible de croire sans voir ?  Oui bien sûr !
Avez-vous besoin qu'on vous prouve que confinés ou pas, tout le monde chaque jour croit sans voir ?

Exemple : Avez-vous déjà vu une pensée ?
Certainement oui, comme tout le monde, car bien qu'elles soient invisibles, les pensées se voient.
Ou une idée, que vos yeux n'ont pas vue, qui soudain vous met en marche pour faire quelque chose ?

Concernant Dieu, c'est exactement le même processus.
On peut le voir (et pas seulement "en esprit") ou l'entendre (avec ou sans nos oreilles). Comprenez-vous ?

Soyons logique, pratique (pragmatique) même. Le temps est à rentrer en soi.
Comment connaissez-vous les pensées par exemple de Michel Houellebecq ou de Guillaume Musso (écrivains), et plus précisément ce que ce dernier pensait en 2015 et 2016 ?
La réponse est simple : En lisant "Central Park" (publié en septembre 2015) et son roman "Et après" (publié en janvier 2017). Je ne dis pas cela pour que vous les lisiez (je n'ai jamais lu Musso et une seule fois Houellebecq), mais simplement comme exemple.

DE LA PENSÉE A UNE CONCRÉTISATION

Je dis que les écrivains (comme les musiciens avec des notes traçées sur des partitions...) concrétisent, matérialisent, mutent littéralement leurs pensées en écrivant.
L'écriture est un des moyens pour rendre visible (lisible et compréhensible) une pensée, et donc aussi son auteur.

Le principal écrit de (Blaise) Pascal s'appelle "Les pensées".
Personne n'a vu les pensées qui étaient dans sa tête, mais beaucoup ont pu les lire.
Cet auteur (cette personne) nous reste-t-il étranger (insondable, inaccessible, invisible) ? Oui, tant que nous ne l'avons pas lu.
C'est tout à fait pareil concernant Dieu !

Pour voir les pensées, et par elles aussi la personnalité de Pascal, il nous faut regarder à ce qui nous reste de visible de lui, ce qu'il a eu de plus précieux à coucher sur le papier, et par là à nous laiiser en héritage.
Idem pour se faire une idée (invisible elle aussi mais pourtant réalité active importante), de Platon, de Descartes, Einstein, De Gaulle... Une idée de leur fond le plus véritable (pour peu bien sûr qu'ils soient vrais dans leurs écrits). Et plus on saura ce que tel ou telle a écrit, plus on le ou la connaitra jusqu'à intimement...

ET LES BIOGRAPHES...

On peut aussi prendre connaissance d'une personne et de sa personnalité, en lisant une biographie, ou en écoutant une conférence, une émission... animée par quelqu'un qui a bien connu (un témoin direct) ou bien étudié la personne en question.

Le fait est si sensible qu'on peut ainsi, sans même n'avoir jamais eu un contact réel avec elle, aimer avec affection, ou haïr, une personne jamais vu en chair et en os ni toucher physiquement.

Ainsi c'est évident qu'on peut croire des réalités subtiles (comme les pensées, des émotions, le talent, des cheminements, le caractère de quelqu'un...) sans les voir, sans avoir pu les voir de nos propres yeux, en croyant par une médiation ou une autre, une oeuvre (ou même des brouillons) ou des rapporteurs honnêtes, objectifs.

Et c'est tout à fait comme ça avec avec Dieu !

APPROCHER DIEU VIA DES TEMOINS INTÈGRES, DES MÉDIATEURS FIDÈLES

Sur la réalité de la personne de Dieu, de sa et ses pensées essentielles, de sa volonté... ont été écrites des millions et des millions de pages.
Certaines à partir de colporteurs peu scrupuleux, déformateurs plus que rapporteurs, mauvais messagers ou représentatns, peut-être plus soucieux de leur propre personne, renommée ou succès, que de Celle dont ils parlent.

Certaines autres écritures ou paroles relatives au Divin, sont nées seulement de quelques approximations perçues, de l'imagination personnelle (ou collective), de nos propres limites qu'on prête à Dieu (anthropomorphisme)... ou encore de Satan, le ténèbreux ange sorti de son rang et devenu un ennemi du Bien, qui a trompé le 1er couple humain en déformant ce que Dieu avait dit, en faisant suspectant que Dieu n'est pas sympa avec eux (de leur cacher des choses), etc...
- S'il existait il n'y aurait pas de guerres !?
- Il y a trop à faire pour que Dieu s'occupe de tout - pour qu'il me voit et écoute ma prière !

Mais il y a aussi, et on peut le vérifier, des écrits très anciens qui été fixées dans la matière (sur des tablettes d'argile, du papyrus, des rouleaux de peaux, des pages manuscrites), puis qui ont été recopiés avec fidélité, minutie, sérieux, dans la compréhension et le respect qu'il s'agissait de "paroles de Dieu" c'est-à-dire de paroles inspirées transcrites fidélement.

De la sorte, la et les pensées de Dieu nous deviennent accessibles, les écrits offrant d'en avoir la compréhension, et par là jusqu'à nous permettre, par l'esprit (de notre esprit à son Esprit via l'écrit) d'entrer dans son intimité, dans une communion, où nous touchons tout personnellement... en live, à la réalité invisible de Dieu, ce qui fait alors qu'on peut croire avec une grande certitude et onfiance, sans voir Dieu de nos yeux physiques.

Ainsi a-t-on d'une part quelques personnes dignes de foi qui ont connu Dieu et ont écrit, à partir de Moïse, puis des prophètes, des rois, des chantres consacrés, des apôtres et autres évangélistes, d'où nous vient la Bible.
Et d'autre part, dans la dimension invisible, l'Esprit de Dieu qui peut à tous moments où il le désire venir pour attester jusque dans notre âme, dans notre esprit, ou encore à nos oreilles et à nos yeux physiques (par songe ou vision), que telle parole écrite, lue ou entendue, est vrai, vient bien de lui et nous parle de sa part, oarce qu'étant expression de sa pensée, de ce qu'il veut nous dire à ce moment-là et/ou de vérités générales, immuables, qu'il désire que nous connaissions - et qu'il est bien de croire, donc de les d'adopter - comme base primordiale du savoir et de nos comportements.

Et comme on peut voir Dieu et ce qui le caractérise en lisant des écrits, on peut aussi entendre ce que Dieu dit en version audio (ici par exemple en cliquant sur le casque à gauche des titres).

 

CROIRE OU DOUTER, C4EST TOUJOURS CROIRE !

Certes on peut douter de tout. Même de l'honnêteté de plus de quarante hommes qui ne se sont pas forcément connus, qui disent avoir reçu de Dieu ses paroles, et cela au long d'une période d'environ 1 500 ans. Ce qui nous a donné la Bible, avec 39 livres complémentaires reliés en ce qui forme l'Ancien Testament, et, après la venue et le départ de Jésus (Yeshoua en hébreu, la langue de son pays et de ses ascendants physiques), 27 livres regroupés pour former le Nouveau Testament ou Nouvelle Alliance, seconde partie de la Bible.

On peut douter, mais aussi savoir que douter sans rien mettre de mieux à la place, c'est une autre manière de croire, c'est tout simplement croire d'autres pensées (que c'est faux, que Dieu n'existe pas, que les écrits ont été falsifiés, mal traduits...).*
C'est  croire des pensées qui s'opposent à ce que Dieu et ses témoins fidèles ont transmis et par quoi il peut et veut nous faire du bien, nous rendre plus libre dans la justice et dans l'amour..

Pour ma part, convaincu de la réalité de Dieu dans l'instant où il se révéla étonnament un jour à moi, il m'a aussi convaincu de ce que la Bible est le livre fondamntal à connaître pour le connaître lui, et de là, depuis maintenant plus de quarante ans, je vis cette existence terrestre basée, fondée, stabilisée, sécurisée, par ma connaissance et foi dans les écritures biblique, avançant dans des apprentissages sans fin, des expériences de diverses sortes avec Celui qui est devenu mon Dieu, et des partages (le plus honnête possible) de la vraie vie déjà possible ici-bas avec lui.

Ainsi je crois que sont authentiques en tant qu'écrit divinement inspiré, toutes les paroles bibliques.
J'en donne ici quelques-unes pour qui veut en toute vérité savoir si Dieu existe, s'il peut nous parler, se faire connaître avec certitude bien que restant (encore pour un temps) invisible.

Psaume 12. 7 "Les paroles de l'Éternel sont des paroles pures, Un argent éprouvé sur terre au creuset, Et sept fois épuré.8 Toi, Éternel ! tu les garderas, Tu les préserveras de cette race à jamais. 9 Les méchants se promènent de toutes parts, Quand la bassesse règne parmi les fils de l'homme. "

"Toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice,17 afin que l'homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne oeuvre." 2Timothée

"Car la parole de Dieu est vivante et efficace, plus tranchante qu'une épée quelconque à deux tranchants, pénétrante jusqu'à partager âme et esprit, jointures et moelles ; elle juge les sentiments et les pensées du coeur.13 Nulle créature n'est cachée devant lui, mais tout est à nu et à découvert aux yeux de celui à qui nous devons rendre compte." Hébreux 4

Concernant la personne unique de Jésus, que nous dit la Bible (entre autres):
"Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, 2 Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils, qu'il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde, 3 et qui, étant le reflet de sa gloire et l'empreinte de sa personne, et soutenant toutes choses par sa parole puissante, a fait la purification des péchés et s'est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts,"

Ce qui est unique avec Jésus, c'est qu'il n'a pas fait que parler, enseignant aux autres de faire des choses qu'il n'aurait pas lui-même. Ses actes, ses pensées et ses paroles ont été sans faille en cohésion. Qui peut montrer le contraire ?

Sans jamais avoir écrit une parole - ce qui allait être à sa suite le rôle de quelques disciples conduits par le Saint-Esprit - nous avons un rapport à quatre faces sur ses œuvres, sa vie, sa mort et sa résurrection, soit quatre évangiles.

Ecrivant, Jean atteste (chapitre 1 de la 1ère lettre):
"Ce qui était dès le commencement, ce que nous avons entendu, ce que nous avons vu de nos yeux, ce que nous avons contemplé et que nos mains ont touché, concernant la parole de vie, - 2 car la vie a été manifestée, et nous l'avons vue et nous lui rendons témoignage, et nous vous annonçons la vie éternelle, qui était auprès du Père et qui nous a été manifestée, - 3 ce que nous avons vu et entendu, nous vous l'annonçons, à vous aussi, afin que vous aussi vous soyez en communion avec nous. Or, notre communion est avec le Père et avec son Fils Jésus Christ.4 Et nous écrivons ces choses, afin que notre joie soit parfaite."

Et l'apôtre Pierre qui fut aussi un témoin occulaire de Jésus, atteste tout aussi naturellement ce qu'il a saisi de Dieu et de Jésus:
"sachant tout d'abord vous-mêmes qu'aucune prophétie de l'Écriture ne peut être un objet d'interprétation particulière, 21 car ce n'est pas par une volonté d'homme qu'une prophétie a jamais été apportée, mais c'est poussés par le Saint Esprit que des hommes ont parlé de la part de Dieu."

Enfin on peut citer du médecin grec Luc devenu évagéliste (auteur du 3e évangile et du livre du commencement de l'Eglise), cette introduction:
"Plusieurs ayant entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous, 2 suivant ce que nous ont transmis ceux qui ont été des témoins oculaires dès le commencement et sont devenus des ministres de la parole, 3 il m'a aussi semblé bon, après avoir fait des recherches exactes sur toutes ces choses depuis leur origine, de te les exposer par écrit d'une manière suivie, excellent Théophile, 4 afin que tu reconnaisses la certitude des enseignements que tu as reçus."

Peut-on douter de leur sincérité ? Croire qu'ils sont des menteurs de connivance ? N'est-on pas en confiance pour écouter et croire ce que Jean écrit désormais ? "5 La nouvelle que nous avons apprise de lui, et que nous vous annonçons, c'est que Dieu est lumière, et qu'il n'y a point en lui de ténèbres.6 Si nous disons que nous sommes en communion avec lui, et que nous marchions dans les ténèbres, nous mentons, et nous ne pratiquons pas la vérité.7 Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché.8 Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous.9 Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité.10 Si nous disons que nous n'avons pas péché, nous le faisons menteur, et sa parole n'est point en nous....

De la sorte la Bible, fu son inspiration divine, n'a pas d'âge, ne vieillit pas. Sa conception de l'homme et sa présentation de Dieu ne sont marqués par aucune inexactitude ou particularité d'un autre temps.
Ce qui fit dire à Pierre par exemple: "Car Toute chair est comme l'herbe, Et toute sa gloire comme la fleur de l'herbe. L'herbe sèche, et la fleur tombe ;25 Mais la parole du Seigneur demeure éternellement. Et cette parole est celle qui vous a été annoncée par l'Évangile."
Ce que Jésus avait aussi dit ainsi: "Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point."

Et pourquoi est-ce important ? "Jésus répondit : Il est écrit : L'homme ne vivra pas de pain seulement, mais de toute parole qui sort de la bouche de Dieu."
Parce qu'en tant que créature tripartite, nous avons besoin d'aliments solides pour notre corps, de connaissances et expériences diverses pour alimenter et entretenir notre psychisme (ou âme, psyhé en grec), et encore de Paroles divines pour activer notre esprit (qui souvent s'éteint en nous sous l'effet de nos mauvaises pensées, paroles et comportements) et le stipuler (quand nous l'avons reçu).

à suivre, par un article ou un autre et/ou selon commment Dieu vous y conduira...
Soyez béni-e.

Pour prier, ici un guide pour aider à trouver ses mots ou ce qu'il est important d'aborder une première fois.

_________________
* Pour quel(s) gain(s) et par quelle autre force que la conduite divine, ces hommes si éparpillés dans le temps, souvent soumis à des oppositions et persécutions sévères, auraient-is pu produire un tel livre... qui est aujourd'hui encore dans le monde le livre le plus traduit, le plus imprimé et le plus lu de tous les temps ?

Si quelqu'un a des arguments solides contre la véracité de la Bible en tant qu'Écritures traçées par des hommes mais parfaitement inspirées et agréées par Dieu, qu'il ne lise bien sûr surtout pas ce livr..., ou encore qu'il fasse tout pour le démolir avec des arguments patents.
Beaucoup ont tenté de le faire... dont le fameux Général américain Wallace, athée qui voulut démontrer en la lisant des incohérences et la non pertinence de la Bible, qui fut bientôt toucher par l'Esprit de Dieu, convaincu au point de devenir chrétien et un témoin fidèle, écrivant notamment pour sa part le livre Ben Hur, qui devint un des plus grands films de tous les temps.

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31 mars 2020 2 31 /03 /mars /2020 08:53

MISES EN CROIX

On sait (normalement) que Jésus a été crucifié injustement.
Certes, on ne peut pas se trouver ainsi crucifié pour rien, sans raison : La raison était qu'il prenait alors sur lui toutes nos fautes et leurs conséquences (dont la mort fait partie).

Depuis quelques semaines la plus grande église de France, vivante par ses près de 2 000 membres réguliers, La Porte Ouverte de Mulhouse, est montrée du doigt, huée, accusée, moquée, blessée... comme son Maître Jésus-Christ à partir du jardin de Gethsémané jusqu'au mont Golgotha.

QUEL EST SON CRIME ?

On lui reproche d'avoir été le point d'insertion de l'épidémie en France, par un grand rassemblement (annuel) qui se déroula du 17 au 21 février (2020).
Il convient de démentir cette rumeur (plutôt que de la colporter).

En effet, l'économiste Liliane Held-Khawam @k_lhk twitte: Un habitant de Colmar testé positif au Covid-19 en... décembre 2019. (lien audio).

Cet habitant de Colmar âgé de 46 ans explique: « J’ai été atteint par le coronavirus début décembre 2019 sans pour autant avoir quitté le territoire français depuis plus de six mois. En date du 3 décembre, j’ai eu mes premiers symptômes qui se sont manifestés par une énorme fatigue, les jours précédents, des céphalées très douloureuses, une baisse de pression artérielle […], une perte de goût, d’odorat pendant au moins 3 jours, de la fièvre naturellement qui est montée très brutalement et que le paracétamol ne faisait pas beaucoup baisser, aussi des sensations que l’infection descende dans les voies respiratoires, c’est-à-dire larynx, pharynx et poumons. S’en est suivi une surinfection pulmonaire foudroyante au point d’entendre ma respiration siffler, comme si j’avais été asthmatique, et ce en moins de 96 heures. Et tout ça malgré le traitement aux aérosols et antibiotiques prescrit par un ami médecin. Cependant il m’a fallu presque quatre semaines après le 23 décembre pour récupérer mes facultés respiratoires et pulmonaires totales, parce qu’une toux intempestive ne cessait de me gêner...
J’ai commencé à m’inquiéter parce que la fièvre restait élevée. […] Au radio scanner des poumons, j’avais 5 tâches, 4-5 tâches sur les poumons. […] Je ne m’attendais pas à être foudroyé de cette manière-là. […] Ça a été énorme. […] Une respiration coupée, une respiration sifflante comme ça, je n ‘ai jamais eu. […] Ça a été foudroyant. Ça a été très, très, très violent. »

Le témoin évoque ensuite plusieurs personnes de son entourage qui ont été malades, dont une pharmacienne et un dentiste.

Pour Liliane Held-Khawam, ce témoignage « revêt une importance capitale ». Entre autres raisons, parce qu’il a été testé positif, que son infection « remonte à novembre 2019, si l’on prend en compte la période d’incubation de 14 jours », et qu’il n’a « pas quitté le territoire français durant les 6 mois qui ont précédé son infection » et ne peut donc pas être le « patient zéro ».
L’économiste affirme alors sur son blog :
« Le virus était donc déjà présent sur sol alsacien/français. La gestion de l’épidémie a démarré avec des mois de retard. »

"SEUIL AYANT PERMIS L'ALERTE" PLUS QUE POINT DE DÉPART

Le pasteur de l'église de Mulhouse Samuel Peterschmitt, lui-même atteint par le COVID-19 et aujourd'hui sorti d'affaire, rappelle que l’église fut plutôt « le seuil d’alerte » de la contamination en France:
« C’est nous qui avons donné l’alerte et fait les premiers dépistages. Ce sont les membres de la Porte Ouverte qui ont été les premiers dépistés. Mais il est clair qu’ils n’étaient pas les premiers malades. Seulement les premiers détectés. D’où le fait que nous avons la conviction que nous ne sommes pas le point de départ, mais le seuil d’alerte. »

Il précise que « c’est établi aujourd’hui de plus en plus clairement, que des patients très suspects du COVID-19 étaient déjà infectés à la fin du mois de janvier et au début du mois de février. À l’appui, il y a l’observation d’une recrudescence de syndromes grippaux. Et à cette période, ces symptômes n’étaient pas perçus comme le COVID-19, mais aujourd’hui, il y a des signes évocateurs, qui étaient déjà signalés, comme la perte de l’odorat et du goût notamment. Et ces malades victimes de la contagion, étaient sans lien, ni entre eux, et sans lien avec l’église de la Porte Ouverte. »

COUPABLES OU VICTIMES

Certes le fait d'un rassemblement de milliers de personnes à ce moment-là a favorisé la propagation de ce coronavirus où des personnes contaminées retournèrent chez elles, à une date où il n'était encore question ni d'un risque grave de contamination en France ni de confinement (mis en place le 17 mars, plus de trois semaines après la fin des réunions).

En tant que chrétien, la question de notre responsabilité au sujet de ce qui nous arrive, de bien comme de mal, ne peut être escamotée.

La Bible assure avec force et répétition que l'Eternel-Dieu garde ceux qui croient fidèlement en lui. Par exemple le psaume 91 est très clair et affirmatif:
"Celui qui demeure sous l'abri du Très Haut Repose à l'ombre du Tout Puissant. 2 Je dis à l'Éternel : Mon refuge et ma forteresse, Mon Dieu en qui je me confie ! 3 Car c'est lui qui te délivre du filet de l'oiseleur, De la peste et de ses ravages. 4 Il te couvrira de ses plumes, Et tu trouveras un refuge sous ses ailes ; Sa fidélité est un bouclier et une cuirasse. 5 Tu ne craindras ni les terreurs de la nuit, Ni la flèche qui vole de jour, 6 Ni la peste qui marche dans les ténèbres, Ni la contagion qui frappe en plein midi. 7 Que mille tombent à ton côté, Et dix mille à ta droite, Tu ne seras pas atteint..."
Alors donc ?

Si on lit bien, on ne peut occulter le 1er verset : "Celui qui demeure sous l'abri du Très Haut Repose à l'ombre du Tout Puissant."
Or, bien que chrétien aimant Dieu et désirant suivre fidèlement Jésus dans ses voies justes, agréables et parfaites, on reste chacun des pécheurs, imparfait quant aux lois (protectrices) divines, des fauteurs potentiels, soumis à des tentations et à la force pas toujours encore maîtrisée de pulsions ou autres centres d'intérêt mauvais dont on n'arrive pas (encore) à se détacher. (La vie chrétienne étant une marche de libération en libération, comme de connaissance en connaissance).

Et donc ainsi, on peut ne pas "demeurer" sous la protection absolue de Dieu. Ce qui explique que des chrétiens ont pu être - sont - contaminés.

C'est alors, surtout dans un contexte de jugement global de toute la terre habitée, une conséquence d'une faute réitérée non vue ou mal vue en tant que telle. C'est donc un rappel à se tenir dans une plus grande proximité et lumière du Très-Haut, du Tout-Puissant.

Le vrai Dieu, fidèle à son alliance faite à travers la personne crucifiée et ressuscitée de Jésus, nous offre toujours sa grâce, son pardon, quand nous voyons nos fautes, selon que "Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité.10 Si nous disons que nous n'avons pas péché, nous le faisons menteur, et sa parole n'est point en nous."

Donc ne "jetons pas la pierre" comme voulaient faire les religieux face à une femme surprise en adultère, mais ayons compassion... non sans chercher ce qu'on peut apprendre de toutes nos épreuves.
Les progrès en tout ne passent pas souvent par la facilité, et l'épisode de la tour de Siloé nous rappelle ou apprend ce qu'il en est nous concernant tous.

Je pense aussi que s'il y eut des fautes (par faiblesses psychiques) causes de la contamination dans ce camp de Dieu, la faiblesse physique de personnes ayant jeûné pendant cette semaine (de jeûne et prières), peut avoir favorisé l'emprise du virus sur des corps sous-alimentés. De même la fatigue accumulée par des surcharges régulières de travail (trop d'activités, de choses à gérer, de projets mis en route...) peuvent affaiblir nos organismes.

Dans tous les cas, le vrai Dieu créateur et rédempteur n'est pas pris au dépourvu et de court, mais soit il fait entrer à La maison celles et ceux pour qui c'était finalement mieux ainsi (selon que si la foi s'arrêtait seulement à la vie sur cette terre, "elle serait vaine" dit la Bible). Soit il va enrichir de cette expérience et des leçons qu'il y a à en tirer celles et ceux qui restent encore pour quelque temps de ce côté-ci de la vie.
Car "Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein. 29 Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères."

LA PORTE OUVERTE BLESSÉE, MAIS PAS CRUCIFIÉE

L'église Porte Ouverte de Mulhouse fait référence à une porte dont parle le livre de l'Apocalypse, "que nul ne peut fermer."
Elle reste donc ouverte, par internet, et surtout par la foi qui demeure de tous ceux qui en sont la vie, le corps spirituel, les "pierres vivantes".

Si donc elle est ici par le covid-19 et les mesures gouvernementales - auxquelles se soumettre - pours le moment fermée, ses membres blessés, affectés, c'est aussi pour qu'elle sache mieux trouver comment permettre à Celui qui en est l'origine, Jésus et le Saint-Esprit, de mieux la visiter et la conduire, de mieux l'épurer (spirituellement) et la centrer au plus près possible de la Parole écrite... afin qu'en sortent davantage des disciples aguerris que des chrétiens (encore) trop nourris sans efforts personnels, ce qui les laisse faibles dans la foi et vulnérables.

Enfin que tous nous réalisions qu'il n'est plus temps de faire n'importe quoi, que les temps sont fâcheux (les signes sont nombreux pour nous en avertir) étant ceux de la fin d'un ordre du monde appelé à disparaître - et non à être amélioré.
Un ordre qui tient d'une volonté persistante maligne à vouloir globaliser, uniformiser, dépersonnaliser, soumettre, jusqu'à l'esclavage, le genre humain, ce qui tend régulièrement à des prises de décisions visant à établir un impérialisme, une gouvernance mondiale centralisée, et par là toujours un totalitaire déshumanisant. 

C'est un coup d'arrêt à cela auquel on assiste, dans lequel on est pris ayant aussi chacun de nous, à revoir nos comportements, nos priorités, notre rapport au temps qui nous est accordé, à Dieu le créateur, à la mort non seulement physique mais éternelle (de l'âme que nous sommes au premier chef).
"Ne craignez pas ceux qui tuent le corps (les virus, les hommes, les démons) qui ne peuvent tuer l'âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne."

Et puis cette promesse permanente du Dieu vivant: "Si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s'humilie, prie, et cherche ma face, et s'il se détourne de ses mauvaises voies, -je l'exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays."

Profitons donc chacun de ce confinement pour que ce soit comme une porte fermée de notre chambre dans laquelle nous pouvons mieux nous isoler avec le Dieu véritable, pour le prier... et chercher loin des bruits (différents aspects de) sa face.

Ici en lien > la réunion-culte de la Porte Ouverte du dimanche 29 mars (2020 (message vers 42 mn, après les chants si vous ne voulez pas les écouter ou les écouter après).

Soyez béni-e, et cherchez Dieu : il se laisse trouver...

D'autres articles sur le coronavirus covid-19 regroupés ici Chroniques de Corona

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29 mars 2020 7 29 /03 /mars /2020 08:48

Une représentation de Dieu créant l'homme faite par Léonard de Vinci.
Les représentations peuvent nous aider à voir l'invisible...
mais n'en restons pas là, pas plus qu'au minuscule coV covid-19
(Le mot virus vient du latin "virus" qui désigne le poison, le venin, la bave)

Les leçons à tirer de l'apparition et des effets de ce coV covid-19 ne manquent pas pour qui veut "ne pas mourir idiot", c'est-à-dire veut comprendre le monde dans lequel nous vivons, et nous comprendre - nous connaître - nous-même.

EST-IL TEMPS DE CHANGER DE LUNETTES !?

Certes si on veut être et rester un matérialiste étroit, à la vue causal relâchée, on ne comprendra pas... si ce n'est que c'est le hasard, la faute à pas-de-chance, un mal comme il en arrive parfois, ou encore un effet de la sélection naturelle qui va éliminer les plus faibles...

Mais si on adopte une vision plus complète du Réel, qui comprend une dimension spirituelle, d'origine divine, on peut plus richement tirer de toutes choses, de ce coronavirus aussi, des enseignements.

L'un d'entre eux peut venir du rapprochement qu'on peut faire du rapport de taille et de force qu'il y a entre nous êtres humains et un virus.

La taille des virus les situe tout en bas de l'échelle des dimensions. Elle varie d'environ 20 à 300 nanomètres. Les coronavirus sont parmi les plus gros virus, de l'ordre de 250 nanomètres.
Un nanomètre c'est un milliardième de mètre, ou un millionnième de millimètre !
C'est en moyenne mille fois plus petit qu'une bactérie (qui est la plus petite expression d'un corps vivant).

Par contre, nous voilà face à un ennemi des plus puissants dans son rapport à nous. Le covid-19 comme d'autres coronas est capable de nous tuer pour peu qu'on ait des faiblesses.
Par faiblesses on doit entendre des failles dans notre système immunitaire physiologique, et failles aussi - ce que la science n'aime pas considérer car elle n'a pas de moyen pour mesurer ce qui est typiquement psychique ou spirituel - dans nos données (admises) mentales, émotionnelles et/ou de volonté...

Et donc, malgré notre taille physique (de l'ordre de cinq millions de fois supérieure à celle d'un coV), voilà qu'on peut être moins fort qu'un tel minuscule et partiel morceau de "matériel génétique" même pas vivant en lui-même.

Cela ne nous donne-t-il une idée de notre petitesse en fait ? en tant que personne physique qui peut être impactée, et en tant que personne psychique prise de court face à cette invasion sournoise ?
Une idée qui rabat l'opinion que nous avons couramment de nous-même et de nos pouvoirs... tout relatifs - qu'ils soient économiques, politiques, philosophiques, idéologiques athées ou religieux !?

Mais en rester seulement là, même si c'est une réalité tangible et qui peut nous menacer "pour de vrai", ne nous tiendra pas longtemps dans la réflexion sur la vie et la mort, sur le sens de notre présence dans ce monde et des rapports de force entre le mal et le bien - le mal physique étant dans cette affaire le covid-19 et le bien qu'est l'existence qu'on a reçue en partage.

Une existence qu'on peut voir fragile, comme tous les systèmes d'organisations gigantesques qu'on est capables de monter...à notre image.
Une existence éphémère, on se sait mortel... mais on prête si peu d'attention à cet aspect pourtant dominateur de ce que nous sommes.

Une existence peu intelligente donc en fait, puisqu'on se soucie davantage de suivre une série tv, de lutter pour quelques euros de plus qu'on va gaspiller en cigarettes, alcools, drogues, et tant de choses qui, même si elles ne sont pas directement nuisibles, sont si inutiles et toujours coûteuses.
Des milliards d'euros ou de dollars sont ainsi dépensés pour envoyer du matériel jusqu'à Mars par exemple comme s'il n'y avait pas de besoins plus immédiats et plus proches à quoi répondre.
On est des êtres de déséquilibres, à l'extérieur parce que d'abord en nous-même.

Bref, "on est bien peu de chose", et si notre amie la rose ne le laisse plus entendre à nos oreilles assourdies par toutes nos activités, c'est un virus qui vient nous ramener les pieds sur terre.

Un "coV" (c'est l'abréviation officielle d'un coronavirus) qui vient nous arracher à nos virtualités et autres usages immaîtrisés, irréfléchis de notre temps, en lui redonnant de la place jusqu'à une reconsidération - forcée - de nos agendas et priorités. Jusqu'à, surtout, nous permettre, de nous-même, sans contrainte supplémentaire de s'asseoir (devant des écrans éteints) et de s'interroger en faisant face... au vide qui nous habite !

Blaise Pascal déjà avait remarqué et dit qu'une des choses les plus grave est que "nous ne savons pas rester une heure seul(e) dans son cabinet." (bureau ou salon).

SE DÉCOUVRIR EN VÉRITÉ... SANS MASQUES

Car si le virus est minuscule autant que pouvant nous dominer de fond en comble, le coup d'arrêt qu'il met sur nos activités peut aussi être vu comme une sanction sur le développement de nos cultures... et plus précisément encore comme un jugement divin.

Une pensée qui chez certains monte à la conscience de l'inérieur - justement parce qu'on a une conscience, capable de saisir, quand on ne l'a pas étouffée, autant des vues spirituelles que psychiques ou seulement matérielles.
Une pensée qui a besoin d'être reboostée tant elle a été mise en veille, en stand-by. Mise à jour, reset, redémarrage ! Pour saisir que tout de nos matérialités peut aussi exprimer un seconde degré, qui peut avoir un sens spirituel.

Hermès le trimégiste antique disait déjà que "tout ce qui est en bas (sur la terre) est comme ce qui est en haut (dans un ciel spirituel), et inversement.
C'est pourquoi Jésus utilisait - et emploie toujours - des paraboles pour donner de comprendre les réalités invisibles, les plus puissantes, des dimensions de l'esprit, du divin.
Il n'y a pas à s'étonner que les réalités invisibles "d'en-haut" sont très puissantes puisque ici "en bas" on s'en aperçoit bien. Que ce soit par les forces cosmiques qui tiennent les corps célestes dans leurs rotations; l'énergie (dite "sombre") qui tient tout l'univers dans son expansion très maîtrisée, les forces telluriques, magnétiques ou électromagnétiques, l'électricité et toutes sortes d'ondes porteuses, agissantes, que notre oeil ne voir pas...

C'est pourquoi encore existe avec le sens propre le sens figuré, ou tout ce qu'on appelle la symbolique...

Et donc en s'éveillant, notre conscience peut s'élargir à bien plus grand que nous ! 
Ce n'est pas parce qu'il nous est quasi impossible d'imaginer ou de visualiser ce qu'est la taille d'un virus, que nous ne croyons pas qu'il existe. Eh bien de la même façon, dans la direction opposée, ce n'est pas parce que nous avons a priori du mal à imaginer ou se figurer Dieu, qu'il n'existe pas et qu'il n'agit.

C'est que selon la loi générale de causalité, les causes peut se voir à partir de leurs effets. C'est ainsi qu'on a découvert en médecine que des maux localisés dans les corps sont révélés par des effets sur le corps (les symptômes).
Ou encore qu'une mauvaise gestion des données bonnes ou mauvaises, justes ou fausses, par le compartiment intellect de otre âme peut se traduire (finit souvent par se traduire) dans notre corps, c'est la somatisation.

Ces réalités connues, vérifiables, sont aussi là pour nous parler au seconde degré, nous dire que dans le versant caché du Réel, il y a de même des lois qui jouent, des principes actifs, et une gouvernance... qui gère comme nous avons à le faire ici-bas, des conflits d'ordre moral, de l'ordre du Bien et du mal, dans les sphères spirituelles comme dans notre monde.

UN JUGEMENT A TOUJOURS DEUX FACES

Le grand principe qui justifie le mal sans que Dieu puisse être accusé d'être seulement une idée ou un mauvais dieu, c'est que tout mal peut être tourné en bien. Et cela, même nous ne sommes pas souvent capablesde le faire (on sait très bien faire le contraire par contre !).

La Bible assure que Dieu a disposé les choses de telle manière que non seulement il peut, lui, intervenir pour faire sortir d'un mal un bien, mais il a aussi disposé des lois d'ordre et de régulation qui font que "toutes choses peuvent par elles-mêmes concourir au bien de ceux qui cherchent à vivre selon les instructions divines et de ceux qu'il appelle à venir à lui. (Pour ma part j'ai vécu ce miracle d'un accident grave que Dieu a magistralement tourné en la plus grande des bénédictions, celle de découvrir qu'il existe, qu'il est, et qu'on peut vivre des relations exceptionnelles avec lui).

Et donc ce jugement qu'est l'apparition du covid-19 qui nous réduit et nous emprisonne - c'est d'une part bien sûr un côté sanction, coup d'arrêt sur nos mauvais comportements (collectifs, sociaux, familiaux, individuels, et même intimes).

Mais aussi son côté grâce, secours de Dieu, délivrance par son intervention, c'est qu'il nous donne individuellement du temps, afin que nous puissions revisiter notre vie, ce qu'elle vaut, où elle va (où elle allait!), ce qu'on en ignore, ce qu'en sont les forces - bonnes mais aussi mauvaises, à revoir, dont être libéré.
Pour ceux qui sont sur le pont, en première ligne, soignants, actifs surchargés de tous autres, c'est aussi pour leur montrer leurs propres limites, insuffisances, pertes de forces, face à un monde bien plus malade qu'on ne le voit généralement.

Ce qui nous donne ce super témoignage de Lilian Urban, médecin italien qui raconte > ici dans cet article, comment la surcharge de besoins a produit parmi le personnel exténué un travail de l'âme qui autrement ne se fait pas...

Et finalement donc, parvenant à une limite quelconque de soi-même, dans sa vie de célibataire ou de couple, de famille ou au travail, face à soi-même autant que face aux autres,  venir ou revenir à l'essentiel - l'essence du ciel -, à Celui qui peut tout, qui n'est qu'un peu en retrait de nos existences - because il nous a créés libre -, qui veut se révéler vivant par divers moyens (divers effets).
Venir, revenir au sens, à la paix de la nature quand il fait cesser les tempêtes, à la simplicité, à notre taille de créature bien perdue sans notre créateur.

Découvrir ou rouvrir l'espace qui est de l'ordre de la permanence, de l'Esprit,  notre spiritualité - éteinte, envolée, morte ! - et la réalité quasi incroyable qu'il y a un tel Dieu (que décrit et déploie la Bible) et que, malgré les dynamiques organisées de la nature, malgré les beautés des bébés, des fonds marins ou de la voûte céleste..., on ne le sait même pas !

Cherchez et vous trouverez, dit Jésus. Et si on a cru et appliqué cette ivitation au plan des réalités physiques de la création en développant des sciences, croyons aussi que c'est valable au sujet des réalités immatérielles, de l'ordre de notre âme (psychisme immatériel) et de l'ordre supérieur de la Divinité.

Bon confinement (puisqu'il est là). Soyez béni-e.
à suivre...

 

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  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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