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23 novembre 2015 1 23 /11 /novembre /2015 12:37
Pensée du jour : BEAUCOUP EN SONT A NE PAS DISTINGUER ENTRE RELIGION ET SPIRITUALITE, ENTRE DIEU ET REPRESENTATIONS (PROBLEMATIQUES) DE DIEU

Lettre (biblique) aux Hébreux, ch. 5, vers. 11 à 14 : "Nous avons beaucoup à dire à ce sujet, et des choses difficiles à expliquer parce que vous êtes devenus lents à comprendre. Alors que vous devriez avec le temps être des enseignants, vous en êtes au point d’avoir besoin qu'on vous enseigne les éléments de base de la révélation de Dieu; vous en êtes arrivés à avoir besoin de lait et non d'une nourriture solide. Or celui qui en est au lait est inexpérimenté dans la parole de justice, car il est un petit enfant. Mais la nourriture solide est pour les adultes, pour ceux qui, en raison de leur expérience, ont le jugement exercé à discerner ce qui est bien et ce qui est mal."

LES ENNEMIS DE LA VRAIE FOI SONT NOMBREUX :

- la superficialité, d'où découle tant de nos fautes morales ;
- la négligence, alors que c'est de la qualité de notre existence immédiate, et de notre éternité, dont il s'agit ;
- les préjugés, Descartes nous invitant toujours à remettre en cause ce que nous avons reçu comme base d'éducation pour accéder à la vérité qui ne s'y trouve pas forcément ;
- les tentations, en plus de notre convoitise naturelle, car les démons qui les initient existent et cherchent régulièrement à nous dévoyer, pour mieux nous dominer et nous malmener ;
- la paresse, que le confort facilite alors même qu'il devrait nous faciliter une recherche active de la vraie vie, des vérités essentielles qui donnent le sens de l'existence et des mouvements du monde ;
- et quoi encore ? des dépendances et/ou des perversions destructrices ; des liens spirituels sur notre âme ou sur notre corps - notamment quand on a touché à des pratiques surnaturelles dont Dieu avertit qu'elles sont des abominations, en ce qu'elles nous mettent en contact avec des esprits maléfiques (à partir d'idées plaisantes, séduisantes, au départ, mais assurément toujours dangereuses et s'avérant bientôt préjudiciables) ; etc...

un chant qui est une prière :

https://www.youtube.com/watch?v=z184d8hPXB8&index=7&list=RD9nBEJ58hBWw

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22 novembre 2015 7 22 /11 /novembre /2015 13:15

Notre condition toute humaine, commune et naturelle, oblige à des abaissements.

La preuve en est, de manière absolue, le vieillissement et la mort.

Qui par ailleurs n'a jamais subi un revers cuisant, une coup d'arrêt brutal, accident ou maladie grave, ou toute autre rupture "significative" ?

L'essentiel est toujours pour nous d'en apercevoir ou savoir la vertu, qui est de s'interroger sur le sens, la pertinence, la valeur, de ce que nous vivons, sur le pourquoi de ce qui nous arrive qui n'est pas dans les clous de la ligne de marche que nous avons adoptons (sciemment) ou que nous suivons (comme on est amenés à suivre un mouvement de foule).

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19 novembre 2015 4 19 /11 /novembre /2015 23:10

La Bible dit que le pardon de Dieu n'a que deux sources :
- Dans les temps pré-christiques, le sang versé d'animaux purs, innocents, sacrifiés (en rémission des fautes des hommes) ;
- Depuis la venue de Dieu en chair, le sang pur, innocent, de Jésus-Christ sacrifié, crucifié, en tant qu'"agneau de Dieu qui ôte le péché du monde."
Et il n'y a RIEN d'autre du côté de Dieu, qui puisse nous apporter la paix, paix avec lui et paix en nous-même, une couverture spirituelle efficace pour nous garder du mal et de ses conséquences, et encore pour nous permettre d'obtenir de lui, là où nous restons mortels, une éternité de vie (l'éternisation
de notre moi-je conscient).

C'est tout le sens des dernières paroles de Jésus expirant cloué sur le bois de sa crucifixion : "Tout est accompli". TOUT EST ACCOMPLI pour que la rédemption (le rachat, le salut, le pardon, la grâce de Dieu) puisse s'opérer. "Tout est accompli" pour éclairer, secourir, libérer, consoler..., sauver TOUS les hommes, càd une prodigieuse POTENTIALITE, un pouvoir à mettre en œuvre dans la vie de CHACUN par sa foi personnelle.

Tout est accompli, mais à quel prix !?... Lisez dans une Bible les passages qui rapportent la nuit de l'arrestation de Jésus et tout ce qui lui fut infligé jusqu'à l'instant de cette parole : "Tout est accompli", et de sa mort...
Des souffrances indicibles pendant des heures et une mort comme celle d'un grand malfrat, d'un être abject, ignominieuse, honteuse, inouïe : Tel est le prix que Dieu a du payer lui-même pour rendre possible un vrai retour dans sa présence, dans une relation bénie avec lui. Le
saviez-vous ?

C'est pourquoi nous devons nous garder de voir Dieu comme autre que ce qu'il est dit de lui et du rachat de nos fautes dans le Nouveau Testament :
Dieu, dit-on ou entend-on parfois, est un père si tendre et plein d'amour que certainement il pardonnera à tous ! On confond là tout le POTENTIEL qu'inaugura cette œuvre incomparable du sacrifice du Christ Jésus (Y'shoua Ha mashiah) avec les INCARNATIONS rendues possibles à la suite (jusqu'à maintenant encore) de cet accomplissement EN NOUS.
Pour d'autres, Dieu n'est que le Dieu vengeur aperçu des temps pré-christiques, qui n'a pas d'autre solution pour nous arrêter dans nos voies d'égarement que de frapper à mort les coupables, les idolâtres, les pervers, les mécréants. Un justicier sans grâce, sans pardon, meurtrier, alors même qu'il est tout autant que justice amour, et Dieu de la vie.
Ces deux vues de Dieu déformées et invalidantes sont des anthropomorphismes : des conceptions et compréhensions issues de ce que nous sommes, du laxisme ou de la dureté de notre cœur, et non des vues correctes de la réalité qu'est
Dieu et ce qu'il nous donne de connaître.

La vérité unique relative à notre condition humaine générale et à notre existence en particulier, c'est que Dieu ne peut nous pardonner QUE GRÂCE À, que par le moyen de, la terrible tragédie consentie de la mise et mort en croix de Christ. Supposer que le pardon des hommes, que mon et votre pardon, puisse être accordé d'une autre façon, sur une autre base, est une vraie offense envers Dieu, envers ce qu'il a mis en œuvre d'extrême pour nous sauver d'une séparation éternelle d'avec lui.

Que tout(e) croyant(e) qui n'est pas au clair à ce sujet y réfléchisse suffisamment pour ne pas rester dans une perception erronée de Dieu, qui résulte peut-être d'une information faussée, d'un préjugé jamais interrogé, d'un mensonge délibéré initié par "le dieu de ce monde" : La Bible affirme que notre monde est gouverné non par les hommes, mais par une entité spirituelle vivante, un esprit encore puissant qui est un ange déchu, qu'on appelle S(h)atan ou serpent ancien, Astre brillant (d'où Lucifer en latin), dragon ou diable (du grec diabállô signifiant "celui qui divise", "qui désunit" ou encore "qui détruit") ; la force maléfique la plus conséquente que Jésus appelle encore "le père du mensonge". C'est pour lui reprendre l'autorité spirituelle de la terre que Jésus est venu et à accepter d'être crucifié pour nous délivrer de sa puissance et de la peur de la mort qui va avec.

Et parce que Jésus A TOUT FAIT pour que nous puissions obtenir le divin pardon de nos fautes et égarements, il nous est facile à recevoir. Il nous est un don gratuit de Dieu. Il ne nécessite de notre part qu'honnêteté, humilité, sincérité ; qu'acceptation de nous voir personnellement comme Dieu nous voit. Ce qui arrive quand l'Esprit de Dieu vient éclairer notre conscience au point de nous montrer notre péché, de nous faire voir les fautes que nous avons commises (souvent sans même les voir), nos offenses envers Dieu et les autres.

Cet éclairage nouveau en notre âme est une première manifestation de grâce envers nous. Dès lors, de notre part, deux réponses (deux parce que liberté oblige !) paraissent :
- Touché par cette vue de notre misère, on s'humilie, on admet, on dit oui, on plaide coupable, on regrette, on se repent, et dés lors on peut véritablement demander pardon, et obtenir grâce, "le sang de Christ nous purifiant alors de tous péchés."
- ou ainsi mis à découvert, on s'enfuit, on se détourne, on ne veut pas voir et affronter notre réalité ainsi mise à nu ; quelque chose de fort veut nous entraîner loin de cette prise de conscience, loin de cet espace-temps enrichi de la lumière de la vérité la plus profonde nous concernant.

C'est là un choix crucial (mot de la même racine que croix, que croisée des chemins) à faire, dont il ne faut pas se laisser détourner. Dieu dit "Voici, je mets devant toi deux chemins, le chemin de
la vie et le chemin de la mort ; choisis le chemin de la vie."

Le chemin de la mort, on y est quasi-automatiquement dessus, on le pratique largement et tout naturellement depuis longtemps, avec les souffrances qui en résultent toujours, pour nous et pour d'autres. Mais Dieu exhorte maintenant à changer de chemin, de mode de vie, de valeurs, de comportement : "Choisis la vie ! Prends ce chemin que j'ouvre maintenant devant toi, vois ton péché, vois la misère de ce qu'est finalement ta vie, vois tes vices et faiblesses face au mal, vois tes offenses, et vois jusqu'à la destinée dramatique qui ne manquera pas de s'imposer à toi si tu ne changes pas de vue, de pensées, si tu ne changes pas de chemin."

C'est en ce sens que Jésus proclama sans ambage : "Je suis LE CHEMIN, ET LA VERITE, ET LA VIE ! Celui qui vient à ma suite ne marchera pas dans les ténèbres. Il aura la lumière de la vie." Et encore : "Nul ne vient au Père que par moi !"

Lui seul peut avoir de telles paroles, car lui seul a payé le prix immense, en blessures, en humiliation, en souffrances, en sueur, en sang, et par quelle mort, le prix qu'exigeait la justice parfaite de Dieu. Car Dieu ne pouvait cesser d'être juste en nous pardonnant.

C'aurait été et ce serait une iniquité, une injustice manifeste, que Dieu pardonne le mal sans le sanctionner, c'est-à-dire sans EXPIATION, sans personne qui supporte à la place de qui lui demande pardon, le prix des fautes : la mort. "Car le salaire du péché, c'est la mort, mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle (qu'il accorde par la foi) en Jésus-Christ." Aussi cette assertion terrible dans la lettre aux Hébreux : "Sans effusion de sang, il n'y a pas de pardon." Parce que "la vie est dans/par le sang." (Lévitique 17).

Ainsi, dans le dessein rédempteur de Dieu, c'est toujours et uniquement le sang qui fait l'expiation, sa présentation, son invocation, la foi en sa valeur expiatoire et propitiatoire, qui satisfait l'implacable justice divine. C'est par là que le croyant sincère, authentique, obtient sans autre mérite de sa part que d'y croire, son pardon, cette GRÂCE insigne miraculeuse préparée et accomplie par le Dieu vivant et vrai.
Mon souhait et ma prière : que vous l'obteniez maintenant si ce n'est encore fait. Soyez béni(e).

Chant à rejoindre : https://www.youtube.com/watch?v=FaFIL8Lz-DM&index=12&list=RDdYtJU4MEDVQ

Prière-guide : http://toucherlalumiere.info.over-blog.com/pages/PRIEREGUIDE_pour_PAIX_avec_DIEU-5123593.html

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17 novembre 2015 2 17 /11 /novembre /2015 15:21
PARIS, FRANCE 2015 : LA MISERE EST (ENCORE) LA ! D'OU VIENT-ELLE ?

Je rentre de Paris, où j'ai marché une semaine entre les grosses berlines noires aux vitres teintées et les tentes-igloo et autres paillasses qui jonchent les trottoirs de la capitale.

Et puis soudain des trottoirs et des terrasses ont été arrosés de balles et éclaboussés de sang, et les shows festifs ont donné un visage plus exact du REEL :
- le domaine, qui apparaît de plus en plus corrompu, du sport - et ceux qui font ses fortunes - ont reçu une alerte forte à St-Denis ;
- au même moment l'innocence apparente et un cumul de musique et de sexe dévoyés ont été jugés sans appel
: mort, horreur et terreur.

On ne peut rien comprendre (ou presque, de sensé), sans une vue spiritualiste du monde, qui seule situe chaque chose à sa place dans un contexte global où les hommes ne sont pas seuls sur la terre et dans l'univers : existent aussi dans des sphères transversales, invisibles en soi mais visibles par leurs effets,
- d'une part des démons (ou anges déchus) qui peuvent être puissants en destruction - en rapport de ce que nos comportements leur donnent ou leur retiennent comme force ;
- et d'autre part un Dieu souverain qui contrôle les situations en rapport de ses lois causales - dont pénales -, qui peuvent former au final jugement et condamnation sévères quand nous transgressons les lois morales de notre propre conscience, ou celles, extérieures à notre âme, que Dieu fait connaître par ses écrits, la Bible notamment (avec les 10 commandements et autres points délicats abordé
s ici et là par les textes).


Mais qui se soucie de cette vue du monde, monde qui est initialement une création et une manifestation de la volonté – bonne, agréable et parfaite – du (seul) Dieu éternel ?
On est là chacun pour un temps (réduit, prêté, relativement libre) sur un espace et dans des lieux dont quelques-uns - qu'on a appelé philosophes "des lumières" - ont refusé de continuer à croire qu'il était une création issue d'un Créateur. De là à n'en avoir rien à faire de la façon dont les choses et leurs relations ont été élaborées, il n'y a qu'un pas. Et c'est ainsi qu'on est "fabriqués" (conditionnés, mal éduqués, conformés, moulés dans un matérialisme inique), selon notre tempérament en des agnostiques mous ou des athées virulents, qui se donnent pour règles de vie celles qui nous arrangent. (J'ai été plus de 10 ans formaté de la sorte par "éducation nationale", avant que Dieu ne vienne, dans sa grâce, se révéler à moi).
Tels dès lors mal emmanchés dans leur existence, recherchent prioritairement les plaisirs sensuels, les produits stimulants, d'autres des gains financiers, d'autres encore le pouvoir, la gloire, et pourquoi pas le cumul de tout... Tout cela sans considération des lois de nature, des lois divines d'organisation de nos personnes même, des conditions du réel bonheur (du vivre-ensemble) dans les rapports entre chacun, et encore dans les rapports avec tous les environnements existants : physiques, psychiques et spirituels.

Voilà aussi pourquoi des tirs de kalachnikovs ou des ceintures d'explosifs peuvent déchirer l'air et des corps... mortels : aspect éphémère de notre condition, qu'on oublie bien trop vite qui est la nôtre ! Là l'existence s'arrête, pour certains, dont le plus grand profit pour ceux qui restent devrait être de s'interroger véritablement sur ce qu'est le Réel véritable, sur le sens de ce qui se passe et où on va (en tant que psychisme, que moi-je défini, qu'âme individualisée) : Où on va une fois mis/jeté hors de ce corps ?
C'est pour cela seulement que le mal est permis par Dieu : quand il n'a plus d'autres moyens pour faire entendre qu'on va mourir ! Pour faire entendre et croire qu'il existe, qu'il est amour et veut nous sortir de cette précarité (celle des riches comme celle des pauvres). Sortir de cette misère mortifère et (un jour ou l'autre) désespérante, dans laquelle l'insouciance et/ou la désobéissance aux lois de
conscience nous contraignent, jusqu'à nous tuer plus ou moins soudainement.


Pourquoi la Bible enseigne-t-elle que "la mort c'est le salaire (la conséquence, la suite) du péché (du mal que nous commettons)" ? Si ce n'est pour nous faire peur quant à notre devenir (celui de l'âme, notre psyché) incertain et inassuré ! Et si notre réponse globale est - Moi même pas peur (de Dieu, de mourir), on va bien voir si c'est une vérité ou une illusion d'optique !

J'espère que beaucoup d'illusions sont tombées cette semaine à Paris et dans le monde ! J'espère - et je crois - que cela n'a pas conduit qu'à des recueillements vides, à des minutes de silence ébêtées, et surtout le moins possible à des montées en puissance de haine et d'esprits vengeurs – ce que recherchent les démons et Satan par ce genre de désastres. Ils excellent dans la loi du Talion, les Vendettas, les rapports de force frontaux...

Alors que ce que recherche Dieu, c'est notre humilité, ici par l'ébranlement et l'humiliation, quand elle n'est plus notre naturel, selon dit-il, qu'"Il fait grâce aux humbles, alors qu'il résiste aux orgueilleux." Et encore : "Le commencement de la sagesse, c'est la crainte de Dieu." Et la sagesse vient de la connaissance... de tout ce contexte où il ne faut pas confondre entre Dieu - le vrai - et Satan - l'ange déchu - qui cherche sans cesse à usurper la position divine.
Bonne quête, du Réel, du vrai, de la justice et de la grâce qui se trouvent par le Christ (Mes
sie) Jésus.

Soyez béni(e) vous qui avez lu jusque là.

Liens internes : un chant https://www.youtube.com/watch?v=mPj1SReuvgo

un autre message http://toucherlalumiere.info.over-blog.com/2015/11/le-pardon-de-dieu-et-la-folie-des-hommes-quel-en-est-le-prix-combien-coutent-ils.html

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10 novembre 2015 2 10 /11 /novembre /2015 10:29

Oui et Non est la réponse la plus exacte, l'une ou l'autre moitié seulement de cette réponse formant un mensonge - selon l'adage bien écrit par P. Baudot "On est injuste tout à fait dès lors qu'on n'est juste qu'à moitié" !

Ainsi sont-ils dans l'erreur les évolutionnistes matérialistes qui ne voient dans l'homme qu'une somme de matière qui se serait combinée par les plus "purs" hasards et des nécessités. Et sont tout autant dans l'erreur les spiritualistes qui croient qu'il y a en tout être humain une indéfectible étincelle divine, jusqu'à voir, certains, Dieu en des vaches, d'autres Christ en tous les pauvres...

Il est naturel que nous ayons des vues déformées de l'homme : Elles sont autant de prolongements de l'image (plus générique) déformée de Dieu que nous sommes chacun, tous inscrits par ailleurs aujourd'hui encore dans un environnement qui est "la ténèbre" d'une séparation d'avec le Dieu-Créateur...

La Bible enseigne donc que nous sommes naturellement des morts-vivants (ou des vivants-morts), en ce qu'elle nous considère comme
1- des créatures initialement tri-unitaires, formées d'un corps (visible en lui-même), d'une âme (conscience individualisée perceptibles par les actions et réactions qui résultent de pulsions et/ou de pensées), et d'un esprit (qui est amour et conscience élargie de tout ce qui est non-moi, ce qui induit un comportement dont Jésus-Christ fut l'origine et reste le modèle) ;
2- mais surtout des créatures dont l'esprit - notre part la plus noble, la plus divine - est naturellement mort en nous,
- par défaut initial chez les parents (dès lors incapables de le transmettre par voie d'hérédité)
- et à la suite par défaut d'éducation (quand elle n'est pas fondée sur une connaissance suffisamment exacte de Dieu et du Réel comme il est).

Ainsi OUI nous sommes originairement des êtres de lumière, ayant été créés à son image - en ceux que nous appelons Adam et Eve - par un Dieu souverain éminemment puissant et bon, et NON nous ne le sommes plus naturellement, ayant été tous déchus, accidentés, défigurés, enténébrés, amoindris en leur chute originel, et, de fait, étant tous et chacun enclins, prédisposés, à des chutes nous-mêmes... dont les idéologies religieuses et politiques comme les perversités et méchancetés individuelles ne sont pas des moindres...

Cette situation, dont toute l'actualité proche ou lointaine témoigne dramatiquement - et cela va aller en s'intensifiant ! -, n'a de remède qu'en une véritable REDEMPTION, notre état à chacun étant tel qu'il ne peut être suffisamment amélioré ni pour un bonheur personnel ni pour un vivre ensemble DURABLES. La mort physique exprime typiquement ET cet état délabré qui nous constitue ET qu'il ne peut aucunement se perpétuer. C'est pourquoi la Bible nous instruit sur une autre réalité, une autre création (Apocalypse ch. 21 & 22), qui recevra un jour ceux qui, ICI-MAINTENANT, dans ce monde-ci, auront accepté d'entendre et de croire à la Bonne Nouvelle (ou Évangile) de leur rédemption possible. Ce qu'il nous faut rechercher, admettre nécessaire pour vivre déjà une existence tout autre, et recevoir de Dieu directement. Lire par ex. dans la Bible, Actes des Apôtres, chapitre 2.

à suivre... Soyez béni-e.

SOMMES-NOUS DES "ÊTRES DE LUMIERE" ?

Pauvre être que nous sommes,
Beaux ou laids, femmes ou hommes,
Noirs, blancs, jaunes, pauvres ou quelque peu nantis
Mais pas riches de Dieu, déchus de la vraie vie,
Éteints dedans et livrés à la nuit,
Privés du meilleur, de la divine grâce
Tant que le Dieu saint ne vient et n'efface
Nos fautes, nos blessures, nos faux-plis
En nous communiquant - seule alternative - son Saint-Esprit...

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9 novembre 2015 1 09 /11 /novembre /2015 21:11

dit Dieu l’Éternel à quiconque se confie en lui. Se confier et (avoir) confiance sont de la même racine que le mot foi : une des formes de la vraie foi est la confiance en Dieu.

Soyez béni(e) dans le nom de Jésus.

A écouter, dans la foi : http://www.topchretien.com/toptv/view/8305/stephane-query-combien-dieu-est-grand.html

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2 novembre 2015 1 02 /11 /novembre /2015 12:38
CLIMAT : LA RONDE DES SAISONS VA-T-ELLE BIENTÔT S'INTERROMPRE ?


Rien que sur une photo comme celle-ci, on peut voir de diverses manières la vie dans son développement minéral, dans son développement végétal, dans son développement animal, dans son développement humain, le tout révélant quoi : Les dieux aveugles et sans vie Hasards et Nécessités, ou un Dieu Créateur unique intentionné qui crée de sa propre vie ?!...

L'Eternel-Dieu a fait écrire dans un livre sécurisé (la Bible) la promesse que malgré les désastres provoqués par les hommes et les démons, la ronde des saisons ne s'interromprait pas, qu'il y veillait. Les couleurs de l'automne, chaud ou froid, en témoignent.

Le Dieu véritable continue à montrer de sa gloire comme il veut, quand il veut, à qui il veut ; il ouvre ou ferme les yeux (l'entendement) sur le Réel en rapport de ce qu'on ouvre ou ferme notre cœur au bien ou au mal : Il fait beaucoup pour nous en fonction de nous !

Mais dans tous les cas, il est Dieu et rien n'a pu, ne peut et ne pourra le prendre au dépourvu, le surpasser, lui imposer ce qu'il n'acceptera jamais. N'arrive que ce qu'il veut ou permet ; et ce qu'il permet - de mal - n'a que deux raisons :
1- C'est un exercice des libertés qu'on prend dans La liberté qu'il a initialement accordée au genre humain, et/ou
2- C'est un jugement qui tombe sur des fautes - individuelles ou sociétales.
l'un et l'autre étant bien évidemment liés...

Notre capacité et responsabilité relatives est de chercher à connaître ce Dieu qui cumule les attributs les meilleurs (justice, vérité, amour, sainteté, bonté, patience, maîtrise, don...) pour éviter les maux qui sont précisément aux antipodes de ce qu'il est, de ce qu'est le Bien. Chercher Dieu, ça peut être : Dieu, je ne te connais pas, je ne sais même pas si tu existes, mais si tu es vrai, révèle-toi à moi, donne-moi de te connaître, de faire déjà une expérience que tu m'entends et que tu réagis à ma demande... Et si vous faites une telle "prière" sincérement, en y croyant, vous allez être surpris(e)...

Soyez béni(e).

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28 octobre 2015 3 28 /10 /octobre /2015 15:58

La crise de la masculinité atteint des extrêmes dont les dépassements ne peuvent être favorables à l'épanouissement des individus (hommes et femmes) et des sociétés - le comportement des uns induisant l'état de santé (sociétal, économique, politique) des autres.
C'est la quantité de prises de médicaments, les arrêts-maladies, les divorces, les désordres psychologiques des enfants ou encore la montée de réactions dont il faudrait bien tenir compte (plutôt que les combattre) qui le prouvent.

C'est au point où ce qu'on appelait mal hier devient bien aujourd'hui ! Le problème c'est qu'il ne suffit pas d'appeler bleu ce qui est rouge pour que DANS LA CONSCIENCE - ET DANS LE CORPS (par somatisation) -, la chose passe aussi facilement.

Et donc pour stabiliser nos vies sur du solide, plutôt qu'à partir de la psychologie - qui sait dire les troubles mais ne sait pas les traiter -, je vous invite à revenir à ce qui reste inégalé en matière de connaissance de l'Homme (de soi, homme ou femme), savoir la Bible, dont on peut douter qu'elle ait été inspirée par Dieu, mais qui reste un support existant, concret et accessible (sur papier ou sur le net), à connaître avant de critiquer.
Voyons donc ce qu'on peut en extraire qui contribue à mieux aider homme ou femme dans la crise qui nous atteint tous.

A - Le livre biblique de La Genèse donne un point de départ explicite du genre humain, nous le montre issu de deux opérations distinctes :
1- La création d'un humain (Adam) à partir du sol, suivi "quelque temps" plus tard de
2- La création d'une femme issue d'un côté du précédent. Il est écrit du premier (Adam) et des deux (ish et isha) que Elohim (Dieux) dit : "Faisons dans notre image, comme notre ressemblance, mâle et femelle lui et eux".

Traduction élémentaire ; Le 1er homme était
a) physiquement un homme, puisque c'est une femme qui est faite à sa suite, mais
b) psychiquement il était masculin et féminin, càd cumulant les attributs de Dieu, que Celui-ci va ensuite distinguer dans et par les deux sexes.
En créant la femme, Dieu crée donc un corps humain distinct, différent, notamment avec un appareil sexuel/génital physique autre et complémentaire de celui de l'homme, insufflant par ailleurs en cette créature son semblable une âme typiquement féminine.

On a vu (ailleurs sur ce blog) que la Bible parle de Dieu comme étant une réalité à la fois UNE ET PLURIELLE, par exemple quand "il dit : Faisons..." Et donc chaque être humain - fait à son image - est originellement UN ET PLURIEL, savoir fait d'un corps et d'une âme (et encore, à la différence des animaux, d'un esprit...).
Ici, après recherche et éclairage divin, j'ai compris comment Dieu nous a faits, avec :
1/ Un corps SEXUÉ, "normalement" fini, déterminé et déterminant de ce qu'on est (qu'on naît) homme ou femme ;
2/ Une âme à l'intérieur (en grec psyché, d'où tous les psy...) qui est, elle, SEXUABLE, càd modelable par l'extérieur : les circonstances plus ou moins fortuites, mais surtout l'éducation - ce qui rend les parents (et autres) responsables du devenir des enfants ;
3/ On parlera plus tard de l'esprit qui, étant plus particulièrement de Dieu, peut être dit BISEXUÉ (masculin/féminin), sur un plan autre que sexuel.

Dès lors on va pouvoir mieux comprendre d'où viennent les problèmes d'identité sexuelle (quand il y en a) et à la suite comment les résoudre... En attendant soyez bénis, et travaillez un peu à réfléchir (par vous-même et avec l'aide de l'Esprit Divin) sur :
Qu'est-ce que l'être humain ? Que suis-je ?
Et notamment : Suis-je réellement, comme dit ce monde, une production aléatoire issue de hasards aveugles et de diverses nécessités ? Ou une créature d'origine divine... image (certes bien défaite, et qui a "simplement" besoin d'être reconstruite, remodelée, régénérée.) de ce que Dieu sait faire de bien, de beau, de merveilleux ?!

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27 octobre 2015 2 27 /10 /octobre /2015 17:05

Pour avoir vécu un accident de cette sorte, je reconnais dans cet accident de Puisseguin du 23 octobre les symptômes de l'irrépressible.
Ce qui veut dire qu'arrive un moment dans nos existences où tout se conjugue de manière inexorable, sans plus de machine arrière possible, pour un choc puissant, qui provoque une rupture déterminante dans notre continuum physique et/ou psychique, et/ou dans celui de nos proches.

J'explique (page à droite ; Mais comment en étais-je arrivé là ?) ce que j'ai compris - après coup et recherche - de la vie, de pourquoi on récolte un jour ce qu'on a semé. Et je dis que ce n'est pas sans avertissements préalables ; mais on est ignorant de cette profondeur du Réel, on ne nous a pas appris à reconnaître des signes, à se savoir interpelable...
J'ai déjà remarqué que mon cas figure une généralité, éclaire un processus auquel chacun est invité à devenir attentif pour lui-même ; sans quoi les forces occultes autres que Dieu qui en veulent à notre (votre) existence et vie n'ont pas de peine à nous frapper plus ou moins irrémédiablement.

On a les maux de nos égarements.
"nos" dans le sens des nôtres propres, de ceux de qui on est issu, de certains de ceux qui nous ont accompagnés et nous entourent peut-être en ce moment-même.
On n'est donc pas responsable de TOUT de notre vie ; mais Dieu nous considère quand même responsable de choses et de choix qu'on aurait pu et du gérer autrement. C'est essentiellement en ce point que nous avons une vraie liberté, et donc sommes des êtres responsables...

Je le répète, seul Christ a les solutions les plus radicales, pertinentes, pérennes, à nos troubles et souffrances, à ce qui nous affecte, de la plus simple chose à ce qui peut nous être le plus compliqué - comme parfois seulement continuer à vivre...

Se confier en Dieu par Jésus-Christ ayant souffert et étant mort à notre place, ouvre accès à la grâce divine, au cœur d'amour du Dieu qui nous est naturellement lointain mais qui peut - et veut ! - devenir notre Sauveur et notre Père. Avec Dieu c'est une affaire de personne : le sienne, une et pluriel, et la nôtre, une et aussi pluriel - étant fait à son image...
Soyez béni(e).

https://www.youtube.com/watch?v=va3n0bogjH8

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24 octobre 2015 6 24 /10 /octobre /2015 12:44
Qu'EST-CE QUE L'HOMME ?  REFLEXIONS FACE A LA CRISE DU MASCULIN/FEMININ...

OU SONT LES HOMMES ? (POÉSIE VIRILE)

Sans parler de ceux tués dans le sein maternel...
Où sont les hommes dont l'enfance se virilise
Par des mères qui les distinguent de leurs jumelles,
Par des pères et des pairs, des mentors qui visent
A construire des garçons, mâles, virils, au fil des ans ?
Sommes-nous redevenus si mal-voyants ?...

Où est l'intelligence éclairée qui discrimine
Pour séparer les genres en vue qu'ils s'aiment et s'apprécient
Différents, complémentaires, chacun se faisant bonne mine
Car formés, conduits, élevés dans son héritage bien compris ?
A-t-on oublié Shakespeare qui comme d'autres disait, sombre,
Que laisser un fils à sa seule mère n'en fait qu'une ombre* ?

Sous la lumière crue de la chute adamique
Qui donna à la femme un statut avancé dangereux,
Nos ancêtres plus éclairés - malgré leurs failles dramatiques -
Savaient aller contre nature par des rites soucieux
De rendre au mâle sa force perdue
En faisant des garçons forts face à l'inconnu.

Non initiés, mal grandis, blessés, sans foi pour être guéris,
Pères et mères de génération en génération
N'ont plus sacrifié à restaurer comme il faut la vie,
Laissant les sexes sous passions et confusion,
Immatures, sous plaisir ego, livrés à la luxure,
Rendus incapables de s'aimer tant les cœurs sont durs.

Moi aussi j'ai subi, moi aussi j'ai pas su
Élever mon âme et recevoir l'Esprit
Pour faire mieux pour les miens j'ai pas vu
Mal aimé mal aimant, mal compris
Dans le flot qui nous roule alors que Dieu est là
Patient, pour nous tirer de tous nos mauvais pas.

Repentons-nous d'avoir cru pouvoir évoluer
Correctement sans Christ : faux progrès, involution néfaste,
On revient en arrière - même cause même effet ! -
Jour après jour des maux nouveaux variés dévastent
Ordres et harmonies, unité, prospérité, liberté et vies :
Les bons mots ne suffisent plus pour faire croire au paradis
Ici !...

© Claude T. - 23 octobre 2015 - ALGDDV

* C'est une vraie virilité pour l'homme (mâle) d'écouter et d'obéir au Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob... de Jésus-Christ, de Copernic, de Galilée, de Blaise Pascal, de Newton, Faraday, Pasteur, Washington, Lincoln, etc, etc... (parmi ceux qui eurent la foi jusqu'à la faire connaître) ;
* Pour la femme, c'est une vraie sécurité ;
* C'est pour tous un ordre et une paix à retrouver.

J'ai ajouté une page de "CHANTS comme vous n'en imaginez peut-être pas..." >

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  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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