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19 novembre 2016 6 19 /11 /novembre /2016 18:50

Manger est un BESOIN ! A nous d'y ajouter de la diversité pour en retirer un PLAISIR (effet, ressenti psychique lié à la satisfaction des besoins naturels).

***

Nous sommes des êtres dépendants. Essentiellement, existentiellement et absolument dépendants. Le plus généralement on existe - pour un temps - sans avoir une  conscience bien éveillée du Réel tel qu'il est, et on ne s'interroge globalement pas sur le fait pandémique de notre absolue dépendance.*

Pourtant pourquoi tant de misères, tant de revendications, de luttes, de discordes, de relations (humaines et avec la nature) difficiles, de guerres ?... Parce qu'on est des êtres dépendants. Avant tout quotidiennement dépendants.


C'est que l'existant sous ses diverses formes terrestres n'est jamais sans rapport avec un environnement qui lui est nécessaire et temporairement suffisant. C'est une évidence sur laquelle nous devons nous arrêter : Comment vivre sans respirer (de l'air qui n'est pas nous – respirer étant d'une certaine manière : se nourrir), et sans se nourrir (d'aliments solides ou liquides qui ne sont pas nous, mais se trouvent là, à portée de mains ou à portée de fusil, à portée de travail… ou pas) ?

Cette disposition concerne tout le vivant. C'est un principe même du vivant. Parce que la vie aux expressions multiples que nous connaissons sur la terre n'est pas vie en soi ! N'est pas porteuse de sa permanence et pérennité. La vie a besoin du non-vivant pour durer, de l'invisible qui se respire, de l'amorphe qui s'assimile. On est conçus ainsi, nous-même comme la moindre amibe.

Dès lors qu'on observe ce simple fait - qui est plus que le nez au milieu de la figure - en rapport de la théorie évolutionniste – qui prétend remettre toutes créations à des hasards et des nécessités -, il est clair que la vie n'a pas pu apparaître et subsister sans des rapports très précis avec des environnements dont elle dépend dès sa parution. Parce que la moindre expression cellulaire ne peut vivre sans respirer et se nourrir et se mouvoir, ce qui demande une "finition globale" dès l'origine, un état d'achèvement indéniable, d'une complexité - irréductible - qui ne laisse pas à d'éventuels hasards constructeurs tâtonnants, un laps de temps suffisant pour trouver toutes les solutions que réclament, outre des nécessités accidentelles, le simple fait - majeur et inhérent - que ce qui vit ne peut jamais se suffire à lui-même.

      Rien donc que cette question des dépendances auxquelles est soumis le vivant suffit à balayer un quelconque dieu Hasard qui finirait toujours par résoudre les problèmes rencontrés par la vie.

      Ce ne sont pas quelques expériences faites par Stanley Miller ou d'autres à sa suite - qui ont produit des acides aminés vivants quelques secondes - qui peuvent étayer une vue purement matérialiste du Réel et du vivant. Si l'on devenait plus sérieux dans la dimension scientifique – le contraire de sérieux étant partisan, obstiné, à partir d'une hypothèse dont on ne veut pas démordre, jusqu'à l'aveuglement le plus total -, si l'on devenait plus honnête et conséquent donc, on résoudrait beaucoup de problèmes en très peu de temps…


Parce que la vie est bien au-delà de l'acide aminé - dite "brique élémentaire"dans l'ordre physique de la construction du vivant. Bien au-delà aussi des protéines dont le vivant a BESOIN dès sa conception pour durer et se développer...
Il faut à l'organisation du vivant - même unicellulaire - des dispositions d'informations et des moyens de traitement des informations. Ce qui pose dès le départ la question d'une nécessaire intelligence non seulement incluse dès l'origine de ce qui va se mettre à vivre, mais encore qui précède les expressions de vie sur la terre. Rien que l'ADN et l'ARN devrait nous arrêter… avant que nous croyons ou déclamions ou professions qu'il n'y a pas un Dieu, que tout n'est que matière et énergie mesurables.

      Tant déjà qu'on confond cerveau et âme - comme on confondrait l'écran qu'un ordinateur avec son utilisateur ! - et encore les réalités typiquement physiologique et psychique avec la réalité physique, on restera bloqués pour notre malheur dans un matérialisme aux conséquences désastreuses, que de plus des croyances religieuses peuvent tenir en échec dès lors que l'on fait… parler la poudre ou exploser l'atome.
Je veux dire que sans une connaissance transcendante, expérimentale, révolutionnaire, du Dieu créateur, athéisme et religions et religions entre elles subsisteront comme des dualités antagonistes, dominant toujours les bonnes volontés de tous bords et entravant les progrès les plus véritablement bénéfiques pour le genre humain.
Et cela au point où chacun, de toutes parts, étant persuadé d'être dans le camp du Bien, d'avoir LA bonne solution pour l'unité procurant la paix mondiale, vise – non pas à changer son propre coeur, non pas à remettre en cause en quoi il est d'abord un produit fabriqué (par héritage, familial et/ou sociétal et auto-construction sur cette base) - mais vise à amener l'autre à sa vue propre, à se convertir, ce qui se fait par des discours élaborés par la sève (substantielle moelle) de la psychologie et produits dérivés, OU par des pressions et limitations diverses - surtout des autres pensances - jusqu'aux brassages de populations, massacres ethniques ou religieux, et - bientôt ! – totalitarisme universel**…

      Dépendant, l'homme, et le vivant d'une façon générale sont des réalités… en creux. Des réalités habitées de vides à remplir : poumons, cœur, vaisseaux sanguins, cerveau, estomac, intestins, cellules, mais aussi cette fameuse âme (psyché du grec psuché) qui est l'émergence essentielle du corps physiologique, et d'où émerge notre conscience d'être une réalité en soi : moi !
Réalité en soi mais surtout en creux ! Qui a incessamment besoin de renouvellement d'énergies et donc de combustibles et de comburants...

Ainsi Dieu dit et il fit, liant à chaque besoin un plaisir particulier pour que les dépendances dans lesquelles on se forme en tant qu'individualité, soit une bénédiction et ne soit pas prise pour de simples contraintes.

La dépendance - ou besoin - est donc, avec l'évolution - ou capacité (intelligente) d'adaptation -,  un des moteurs élémentaires du vivant. En d'autres termes un environnement ou milieu donné, préétabli, à la fois base et supplément des règnes vivants, ne peut être exclu de la notion de moteur du vie.
...Et il y en a d'autres, qu'on peut découvrir, comme se sont découvertes les quatre forces élémentaires de l'univers. Pour le vivant il y en a plus de quatre - dont le Créateur qui est la vie sans fin bien sûr…

Chercher ou connaître Dieu contient bien plus que d'avoir une excellente capacité cognitive, réflexive, mémoire, intuition... ou encore une religion à défendre ou à proposer, parce qu'"auprès de Lui est la source de la vie" et "fais de l'Eternel-Dieu tes délices, et il te donnera ce que ton cœur désire."

Et Jésus lui répondit ...

Soyez béni-e.   

_____________

* N'en déplaise aux libre-penseurs qui devront toute leur existence durant supporter les innombrables déterminismes divins et problématiques qui l'encadrent et la régissent... tant qu'ils ne seront pas capables, à partir de rien, de se créer eux-mêmes...

* *Totalitarisme et Bientôt, parce que la Bible dans plusieurs de ses livres a parlé concernant des "temps de la fin des nations".

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21 octobre 2016 5 21 /10 /octobre /2016 17:07
Qu'est-ce que l'homme, Ô Eternel, que tu te souviennes de nous ? Que tu descendes jusqu'à sonder notre coeur... et jusqu'à vouloir nous introduire au plus haut dans Ta maison...

Qu'est-ce que l'homme, Ô Eternel, que tu te souviennes de nous ? Que tu descendes jusqu'à sonder notre coeur... et jusqu'à vouloir nous introduire au plus haut dans Ta maison...

Comme Dieu nous a créés à la fois un et pluriel - à son image -, nous sommes chacun constitués avec un corps, une âme et un esprit. 3 réalités distinctes entrelacées (imbriquées) et séparables, trois espaces (ou dimensions) distincts en une.

Cette conformation se trouve représentée par 3 centres physiques, disposés verticalement : la tête, le cœur, et le sexe.

LA TÊTE renvoie à l'âme (la psyché), se trouvant là le cerveau qui est interface entre le monde physique et nous (en tant qu'être intérieur). Le cerveau est comme l'écran d'un ordinateur entre l'opérateur et le reste de la machine - rien de plus… mais quelle organisation ! Il n'est pas nous en tant qu'être conscient. C'est un merveilleux moyen de capture et de renvoi avec notre environnement, mais pas une fin qui pourrait se conserver.

La fin c'est l'éternisation - positive ou négative, victorieuse ou défaite – de notre âme en tant que moi-je. A ce plan, la prédominance est normalement à l'intellect, qu'accompagnent volonté et sentiments, et encore en subconscience ce qu'on appelle la mémoire. (le corps aussi à les siennes).

LE CŒUR figure l'esprit. Comme l'âme est le produit supérieur du fonctionnement du corps – via le sang, dit la Bible -, l'esprit est don de Dieu spécifique à l'homme, en lequel la prédominance est à l'affect - l'amour essentiellement, la joie, l'altruisme…

Autant l'âme apparent comme un contenant - à (bien) remplir de connaissances -, l'esprit apparent comme un contenu, avec des chemins frayés, des voies préexistantes, une sensibilité supérieure, surnaturelle, un tout qui ne s'impose pas mais un copilote fameux... pourvu qu'il - qu'on - soit connecté avec sa source initiatrice, l'Esprit même de Dieu...

Enfin, LE SEXE figure le centre corporel en tant que moyen par lequel on peut obtenir le summum des plaisirs issus de la chair, d'autant plus béni qu'il s'agit d'un prolongement physique d'une relation psychique librement liée dans un engagement (alliance d'amour qu'on appelle mariage) . En dehors de son cadre béni offert et voulu de Dieu, le sexe ne peut apporter longtemps les jouissances liées à son activité. C'est comme utiliser une machine dans de mauvaises conditions ou sans respect des modalités de fonctionnement initiées par son concepteur.

Ce qu'on peut observer c'est que le coeur ou esprit ne trouve pas naturellement sa place en nous et avec nous (en tant que psyché). Il faut établir et entretenir une relation avec Dieu pour l'optimisation de notre développement - qui n'est pas vraiment ce qui nous est offert par un monde et un environnement humain qui ne connaissent pas...


On n'a pas forcément besoin de plus de connaissances sur l'être que nous avons chacun été créés. Par contre, nous avons besoin de connaissances spirituelles - du domaine des esprits,
- de Dieu avec ses anges fidèles,
- et sur les anges déchus ou démons dont Satan est la tête, pour leur résister et en libérer quand c'est possible la planète.

Pour ce faire, le Nouveau Testament ou Evangile de Jésus-Christ - bien compris, par l'Esprit - est largement suffisant pour que nous soyons des vainqueurs (en vis-à-vis des savoirs qui renvoient l'être humain à ses seules dimensions animales ; en vis-à-vis de la mort spirituelle et de la mort physiologique ; en vis-à-vis de toutes les adversités qui peuvent nous atteindre…)

Avec la grâce de Dieu – qui est tout un programme à elle seule -, on est tous appelés à apprendre à fonctionner comme Dieu l'a conçu, en ayant au plan de la conscience l'esprit le plus possible au-dessus des mouvements de nos perceptions et réactions psychiques (charnelles).

La gestion de cette dualité intérieure est toute la question de l'appropriation par la foi de la vie de Dieu en nous en vue qu'elle s'exprime le plus largement possible.
Où en êtes-vous, lecteur, lectrice ? Né-e de Dieu ou pas encore ? Converti-e mais pas encore entré-e dans l'obéissance - par le baptême d'eau ? La rubrique Contact est aussi là pour aller plus loin si vous le désirez.
Soyez béni-e

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25 avril 2016 1 25 /04 /avril /2016 07:37
La foi est un des moteurs du vivant ! Plus fondamental que l'évolution (physiologique) qui n'en est qu'un élément - pris à tort pour un tout !...
La foi est un des moteurs du vivant ! Plus fondamental que l'évolution (physiologique) qui n'en est qu'un élément - pris à tort pour un tout !...

La connaissance a de nombreux langages, elle n'est pas le monopole de la science ou de la réflexion humaine. Tant qu'on persiste à croire que la vérité est délimitée par ce qu'on est capable de percevoir par notre raison ou par nos sens, l'aboutissement de ce qu'on apprend, et même de nos propres expériences, c'est seulement savoir qu'on ne sait rien !

La foi est un des moteurs du vivant, qui permet au tout petit enfant de se lancer pour marcher tout seul. Plus tard ce déterminisme lui permet de faire du vélo et des figures acrobatiques qui se jouent de certaines contraintes naturelles. Ainsi apprend-on à nager, commence-t-on un premier job, montons-nous dans un avion, montons-nous sur une scène. Même pénétrons-nous dans la réplique de notre monde : dans l'internet...

On tâtonne, on travaille, on a le trac ! Et ce trac même témoigne qu'on est arrivé à une barrière, par la foi ! Et par la foi encore, il faudra chercher si telle barrière qu'on veut franchir, qu'on veut lever, est en fait une bonne limite, à ne pas franchir si l'on veut rester dans la paix et l'harmonie déjà connus ; ou seulement une pseudo-barrière dont le dépassement n'est pas transgression mais au contraire participation à une plus grande immersion de nous-même dans le sens et dans la réalité du Réel à la fois fini et infini...

...Jusqu'à pouvoir un jour, par ce même principe de foi, saisir qu'il y a un Créateur derrière ses créations, un Dieu bon qui vient au secours de nos limites et infirmités, et encore d'autres forces malveillantes dont nous avons à être affranchi. Un Dieu d'amour, donc de partages, qui tient une globalité de sa vie même, son éternité, en réserve pour qui entre dans ce dessein divin...

Soyez béni-e.

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16 avril 2016 6 16 /04 /avril /2016 05:46
Pensée de Tous-Jours : QUELS SONT LES INDICATEURS QUI NOUS DISENT LE FOND DE CE QU'EST UNE - NOTRE DONC - CIVILISATION OU CULTURE ? (2)








Suite de : Pensée de Tous-Jours : QUELS SONT LES INDICATEURS QUI NOUS DISENT LE FOND DE CE QU'EST UNE - NOTRE DONC - CIVILISATION OU CULTURE ?


B - INDIVIDUELLEMENT
L'Esprit de Dieu peut nous donner ce regard de la grandeur dans laquelle s'inscrit notre petitesse - qui devient grande dès lors que nous pénétrons - ou plus précisément nous sommes pénétrés par - cette réalité et vue du Réel.
C'est tout le bien que je vous souhaite. Car alors, les pieds bien sur terre, on vit cette grandeur de toucher déjà en conscience, aux mondes parallèles, aux sphères célestes - avec ses spiritualités bonne (divine) et néfaste (démoniaque). Et envers double du décor de cette scène de la vie où nous nous mouvons.

C'est ainsi qu'un homme se promenant un jour vers une carrière d'où étaient extraites les pierres destinées à la construction d'une cathédrale, s'arrêta près d'un tailleur, l'observa dans son art, et lui demanda : - Mon brave, que faites-vous là ?
- Je taille une pierre monsieur.
Poursuivant son chemin, il s'arrête bientôt près d'un autre tailleur, à qui il pose la même question. L'homme regarde sa pierre sur laquelle tombent quelques gouttes de sueur, et répond : - Je fais un mur.
Chemin faisant notre promeneur va encore s'arrêter, observer un homme assidu à son ouvrage et, aiguisé par les deux réponses précédentes si différentes, pose encore sa question.
- Monsieur, lui répond ce tailleur de pierre, je construis une cathédrale !

Que faites-vous dans le vie ? Avez-vous saisi le sens des événements dans lesquels vous avez été projeté-e par votre naissance ? Peut-être êtes-vous né-e pour "n'être que" tailleur de pierre ? Alors il faut changer cotre regard !
Peut-être n'êtes-vous même pas encore entré-e dans ce chantier de Dieu qu'est la construction d'un Temple somptueux, inouï, grandiose, inimaginable - mais réel !... fait des pierres vivantes que sont tous ceux qui ont été appelés à y travailler ? Auquel cas, entrez maintenant dans ce vaste et glorieux dessein éternel de Dieu ! Devenez chrétien, trouvant en la personne de Jésus la figure du Dieu infini qui se met à notre portée !
Lisez les récits de sa marche terrestre (les évangiles), lisez les instructions et explications laissées par ses maîtres d'oeuvre et d'ouvrage délégués (les apôtres et leurs écrits formant les termes de cette Alliance toute nouvelle ou Nouveau Testament ouverte par Jésus).
Pleurez sur votre misère, sur votre pauvre vue
- de vous-même (à la fois orgueilleu-x-se et si peu capable),
- de ce monde (marqué par le mal et souffrant, mais également porteur de tant de potentiels merveilleux inexplorés - donc celui de la vie éternelle),
- de Dieu lui-même, dont la figure la plus accessible à notre entendement - Jésus, Christ pour les nations et Mashiah pour Israël - traverse toujours les siècles, l'Histoire et les espaces...

La vie éternelle, qui restaure et replace l'être humain dans le dessein sans fin de Dieu, a été mise - est encore mise ! - à notre portée à chacun !
Comme nous naissons des gamètes bien distinctes mâle et femelle, nous avons à naître de deux éléments capitaux.
Nous pouvons naître, en conscience cette fois, participant de notre propre naissance, en faisant se rejoindre
1 - ce que Dieu de son côté a fait pour nous - en laissant Jésus être crucifié à notre place pour nous sauver de la mort (spirituelle plus encore que physique) - ; et
2 - ce que nous avons à faire face à cette terrible réalité de la mort d'un innocent à la place de coupables - que nous sommes face à Dieu -, ce que nous avons à faire étant de croire !

L'équation de la plus grande énergie libérable en notre faveur est aussi simple que celle d'Einstein : Croix + Foi² = Vie éternelle !

Foi² étant 1 - la perception qu'on a de soi-même (mortel-le séparé-e, perdu-e donc, sans communication effective possible avec l'éternité dont Dieu est l'Être et la source), et 2 - la perception qu'on a de Jésus mourant à notre place pour qu'on soit gracié. Ce sont les deux éléments qui font qu'un pécheur/une pécheresse peut être sauvé/e.

Soyez, devenez, tailleur de pierre ! Et Dieu donnera la vie à votre pierre taillée pour occuper une place spécifique, unique, dans son fabuleux édifice vivant...

Prière-guide
Parabole de l'ouvrier de la dernière heure

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5 avril 2016 2 05 /04 /avril /2016 05:34

DU MÉPRIS AU SUICIDE : C'est un chemin extrême... mais on est dans des temps extrêmes ! Ce qui se caractérise par une GÉNÉRALISATION de l’extrémisme des personnes (de leur caractère, des limites de leurs capacités et libertés, des forces pouvant dépendre de leur moi-je -ou ego).
Rien de nouveau sous le soleil, puisque la généralisation d'un comportement ou réunification des hommes en exil de leur Créateur, a toujours été recherché, les images - biblique et européenne - de la Tour de Babel se rejoignant d'un commencement à une fin...

Et donc, la mort étant une des formes de fin les plus universelles, déterminantes et pour qui sait voir significatives, la voyons-nous et la sentons-nous toujours plus proche et porteuse de l'horreur, de la relativité du vivant incarné, et des sentiments qu'elle suscite...

Et je me suis souvenu d'une phrase d'un auteur qui s'est plus tard suicidé : "La faiblesse fait lever la haine."
On est là en plein dans l'humain que nous sommes si naturellement, obligés par une psyché qui, lorsqu'elle est laissée libre dans sa condition adamique, ne peut que voir le mal se mettre à dominer sur soi et sur le bien. Et cette domination du mal, c'est peut-être faire mal en conscience, mais surtout c'est faire mal en croyant ne pas mal faire ou en croyant vraiment bien faire.

Et donc le mal sévissant - dès lors qu'on n'est pas entré personnellement dans la grâce secouriste qu'accorde Dieu... -, laisser le mépris prendre le dessus dans l'espace de nos relations obligés (de voisinage, familiale, professionnelle, de loisirs...) peut plus ou moins rapidement conduire à la haine. Plus ou moins vite selon des ingrédients comme le contexte familial et/ou sociétal, la promiscuité, la différence ethnique, le sexe, les capacités intellectuelles, les moyens financiers...

Et la haine apparaît vite comme un poison, comme un acide qui ronge, qui détériore le regard, si irrite jusqu'à ne plus pouvoir être contenue. De donc de la haine à la mort, le pas n'est plus très grand.
Si c'est la haine envers un autre ou d'autres, on peut avoir de plus en plus envie de les voir disparaître, et on peut finir par y mettre la main ; si c'est une haine dirigée contre nous, on peut envisager aussi que la disparition de l'autre s'opère, soit qu'on le tue, soit qu'on se tue : le sommet, le cumul, étant comme on le voit de plus en plus singulièrement, de tuer et de se tuer avec. Ce qui passe la logique, ce qui est une incohérence totale, sauf à être aveuglé - alcoolisé, drogué, fanatisé par des paroles - jusqu'à remettre la gouvernance de soi totalement entre les mains "d'un autre".

Quel est "cet autre" ? On le nomme radicalisme religieux, ou idéologue ; Cause ; Idéal ou utopie ; rêve ou hallucination ; une personne (gourou ou autre leader de la pensée ou de la croyance)... Et pour aller jusqu'au bout des choses, "jusqu'au bout de la nuit", il faut pouvoir dire que cet autre qui peut nous dominer à l'extrême, c'est une réalité vivante de l'ordre spirituel (que forment une multitude d'anges déchus de leur rang céleste, mais encore puissants dans leur relation à la Terre, qu'on ne doit pas craindre d'appeler des démons.
Par notre évolution culturelle occidentale post-chrétienne, on a voulu évacuer cette réalité, trop attachée à la religion jugée comme un archaïsme, mais il ne suffit aps de nier une réalité pour qu'elles cesse d'exister ! Et on n'a pas fini d'en avoir des démonstration, jusqu'à ce qu'on plie le genou, non forcément devant des hommes, mais devant la réalité de ces esprits maléfiques... et surtout devant Dieu.

Car s'éloigner de Dieu, c'est s'approcher de la mort et la laisser nous approcher. Mais revenir à Dieu, c'est pouvoir permettre à la vie de se rapprocher de nous. Dieu est la vie, et créateur de la vie (en diverses manifestations).
Les démons sont entrés dans une mort (séparation) vis-à-vis de Dieu. Et nous, dès lors que nous nous élevons - par le mépris, la critique, des jugements lapidaires, la méchanceté, l'envie...-, 1 - nous nous séparons ou nous maintenons dans une séparation vis-en-vis du Dieu vivant. et
2 - nous pouvons nous ouvrir à des attractions démoniaques de plus en plus puissantes, en pensée ou par des voix entendues dans notre âme, jusqu'à entraîner notre corps dans la soumission, en vue de concrétiser les instincts et volonté malfaisantes de l'autorité spirituelle qui a dès lors triomphé de nous.
Faute de cette compréhension, on reste tous et chacun une proie de ce monde occulte et du mal qu'il peut actionner, par nous ou contre nous - car ça joue toujours dans les deux sens, comme la course d'un boomerang, comme le vent qu'on sème et qui peut nous amener des tempêtes...

"Mourir pour une cause ne fait pas que cette cause soit juste." Montherland.

Liens utiles : Prière-guide pour se réfugier en Dieu -

Lisez et cliquez : "Si vous pardonnez aux hommes leurs offenses, votre Père céleste vous pardonnera aussi ; mais si vous ne pardonnez pas aux hommes, votre Père ne vous pardonnera pas non plus vos offenses." Matthieu 6.14-15.

Soyez béni-e par le Dieu vivant dont l'amour peut couvrir nos égarements et offenses.

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3 avril 2016 7 03 /04 /avril /2016 19:00
Pensée du jour : VOULEZ-VOUS FINIR CRUCIFIÉ-E ?...

CE N'EST PAS QU'UNE IMAGE ! L'Histoire le montre : à jouer les Sauveurs, on finit crucifié ! A jouer les Sauveurs, on devient bourreau, aussi ! On a à garder en ligne de mire, si près de nous l'exemple d'Hitler et du nazisme - mais d'autres aussi, toujours actuels... -, si on veut comprendre le Réel tel qu'il s'articule !

L'Allemagne, La France, l'Europe entière prise dans le mouvement, en sont au stade critique qui correspond, dans la vie du Sauveur véritable, au temps de son arrestation, avec déjà les premiers coups qui s'abattent sur lui ! Jésus, en conscience, a choisi de donner sa vie pour que (les âmes de) l'humanité entière ne finisse(nt) pas la poche terrible post mortem - appelée Séjour des morts* - que s'est appropriée Satan et sa suite d'anges rebelles déchus.

Pour sauver de la mort (ou même de blessures - œil pour œil) la vie de quelqu'un, la justice exige qu'on prenne sa place. C'est pourquoi Jésus est mort, ayant accepté de prendre notre place de pécheurs perdus loin de Dieu, pour réconcilier** avec lui quiconque d'entre nous croirait à ce sacrifice pour lui.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle. Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui. Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu." Evangile selon Jean ch. 3, vers. 16-18.

Et donc voilà Madame Merkel - la seule femme à la tête des nations européanisées (voir article 1 qui explique cette remarque ou article 2) qui entraîne la France dans un sauvetage de masse, de l'Europe quand un de ses membres défaille, voire de toute âme humaine... Mue par une compassion (peut-être héritée de son pasteur de père) sans discernement (instruite dans une mauvaise théologie ?) et au bénéfice d'une économie bien portante (la rigueur allemande est payante), elle veut secourir, elle veut donner asile à la misère du monde. Le mal n'est pas là, bien évidemment ! L'intention est louable, la volonté est valeureuse, mais malheureusement pas soumise à la volonté empreinte de sagesse de Dieu ! C'est ainsi qu'en vouloir faire le Bien, on peut ajouter au Mal...

Madame Merkel - qu'on devrait d'ailleurs appeler Madame Sauer, puisque mariée avec Joachim Sauer (après son divorce d'avec M. Merkel en 1982) - contribue donc me semble-t-il largement à crucifier sa nation, et la France et l'Europe... faute d'avoir compris pour elle-même et son peuple (qu'un chef d'État est censé conduire dans la libération des archaïsmes mais aussi des avancées inconsidérées) ce que Jésus a fait en donnant sa vie en Palestine sur le Mont-Golgotha : On peut se dire chrétien-ne, et être loin d'avoir saisi la pensée de Dieu au sujet de la rédemption. De fait le problème ici abordé a été formulé comme concept, aussi magnifique que faux, d'"amour inconditionnel" voir article correspondant.

INEPTIE DE L'AMOUR INCONDITIONNEL
Bien sûr Madame Sauer dite Merkel n'est pas seule et première responsable : elle est une de ces pièces maîtresses d'un corps constitué plus large qui vise à établir le Paradis terrestre... mais avec des êtres déchus, insuffisants, déréglés, pervertis... comme nous le sommes tous ici ou là !
Illusion d'optique plus qu'utopie ! Aberration de vue créée par ces forces occultes qui pilotent notre univers de manière insensée, mais suffisamment intelligente pour que même les plus intelligents parmi les hommes et femmes ne s'en aperçoivent pas... encore ! (revoir les prémices des années 30 en Allemagne...).

Et donc, comme ont fini tous les sauveurs précédents dont l'Histoire abonde, on risque bien d'être là à la fin d'une histoire - qui est celle initiée il y a 2000 ans par Jésus le Messie et Christ - qui s'appelle Temps de la grâce. Quand la grâce finie, dans une vie ou sur une nation, c'est une loi qui (re)vient prendre sa place, une rigueur avec ses conséquences...

Qu'ils aient commencé par la violence ou par la séduction - les deux manières principales dont les esprits maléfiques jouent pour s'emparer de territoires et surtout des âmes qui sont dessus -, les sauveurs ambitieux se sont tous bientôt avérés des bourreaux, des exterminateurs, parce que (et comme preuve de qui est réellement aux commandes) conduit par des entités de nature spirituelle, démoniaques. Un fond d'orgueil marqué, et jusqu'à la mégalomanie, est une porte et un chemin de ruine courant...

On sait par la Bible et l'Esprit de Dieu qu'un antéchrist ou antichrist puissant vient pour tenter une ultime fois d'assujettir la Terre (entière) au diable, qu'image un serpent (ancien) et un dragon (à venir). Toutes les tentatives et concrétisations partielles politico-militaires impérialistes précédentes ont été animées par ces esprits de spiritualité ténébreuse, que l'amalgame, le brassage des populations et autres déportations, délocalisations, déracinements favorisent...

Mais peut-on voir sans le secours du seul Esprit qui soit de Dieu, l'Esprit de Christ ? D'où l'importance de n'être pas seulement spectateur de ce monde, mais de chercher ce qui se passe en vérité, aux plus hauts points. Il y faut de la foi, mais j'ai expliqué que la foi est un principe et moteur de la vie qu'il suffit d'appliquer à quelque chose pour voir les effets qui en sortent, qui peuvent être bons ou mauvais !... une petite approche ici

On est informé par bribes, mais le puzzle se met à être de plus en plus compréhensible... pour qui s'intéresse au sens des évènements et de l'actualité et de l'Histoire et encore de ce qui le concernent personnellement.
Sinon comment expliquer ce sentiment très fort de culpabilité qui se met tout à coup à étreindre les chefs d'État et de gouvernement ? Faire remonter un passé colonial !? S'en vouloir de ne pas avoir mieux fait pour l'intégration !? Stigmatiser des discriminations réelles ou fallacieuses... Rien que de fausses raisons ! qui occultent les plus véritables, sans doute plus récentes et actuelles, qui tiennent de la morale... Quand la culpabilité nous prend, elle touche à la cause qui la déclenche : mais c'est à nous d'accepter de la voir... ou de ne pas se trouver d'autres raisons que les réelles : les fausses excuses nous enferment dans l'impuissance tout en nous laissant dans la problématique coupable et culpabilisante qui nous plombe...

Et donc pardonner tous, excuser tout, alors qu'il n'y a même pas repentance pour des actes abominables de la part de qui nous frappent, aucune manifestation d'un changement de vue et de voie, c'est ajouter au(x) jugement(s) qui nous attei(gne)nt de nouvelles iniquités ! On s'enferre et on est traîné vers la mort alors qu'on a besoin de retrouver la vie...

Quand Jésus se laisse arrêter, il prend sur lui, en conscience, la culpabilité et le jugement qui doit frapper les hommes : De Dieu qu'il était, il s'est fait corps et âme humaine pour nous secourir par une juste substitution, qui lui coûte cette vie d'homme dans laquelle il s'est enfermé de par son libre consentement... Mais il ne donne pas sa vie pour vaincre le mal en vue d'établir un paradis terrestre immédiat ! Beaucoup imaginaient cela, comme on s'imagine aujourd'hui pouvoir échapper au Mal (aux malédictions terrestres et célestes) simplement en s'aimant sans condition. Leurre ! Bévue ! Ineptie dans la compréhension du Réel !

Quand Jésus s'est fait sauveur, c'était - et cela reste encore (pour un peu de temps) - pour sauver les âmes (notre part psychique, siège de notre moi conscient) de la perdition dans laquelle notre naissance, et nos mauvaises actions personnelles à la suite, nous placent.
Mais il dit bien à Pilate (comme aux autres) : "Mon Royaume n'est pas de ce monde !" Dieu ne sauve pas pour améliorer ce monde tel qu'il est - mais pour le changer au fond, en changeant premièrement les coeurs des hommes. Et ceux qu'il sauve ne vont pas rester sur cette terre, qui est aussi corrompue que nous le sommes naturellement ! C'est l'âme purifiée par le pardon des fautes qui est sauvée, à part du corps - puisque la mort physique sévit toujours pour tous.

Ce sauvetage est opéré pour un "transbordement" qui amène au final le croyant au Christ Jésus dans une nouveau création... matérielle, une nouvelle Terre et un nouveau ciel (Apocalypse 21). Là seront en rois tous les chrétiens véritables après réception d'un corps nouveau, formé et reçu à partir de l'ancien (d'après notre ADN et nos oeuvres de foi bonnes !), comme un papillon particulier sort de telle chenille. On est donc là loin de la modélisation humaniste (et jusqu'à transhumaniste) qui est un faux développement ou un mauvais usage des valeurs empruntées au message christique... (Lire la Bible, d'où toutes ces informations proviennent - en lien ici).

La crucifixion - mort ! - de Jésus, est la preuve qu'on ne peut prendre sur soi ce qu'est la vie des autres avec leurs péchés (mensonges, méchanceté, perversités, religion idolâtre, pratiques occultes, etc...) sans en supporter les conséquences extrêmes, ce que la Bible formule ainsi : "Le salaire du péché, c'est la mort." - sans parler de toutes les souffrances préliminaires et intermédiaires qui sont (à la fois ou alternativement) jugement et/ou avertissement...

REFUS DE LA CRUCIFIXION (MORT) DE CHRIST POUR ACCÉDER AU BIEN = CRUCIFIXION (MORT) DE SOI !
Et donc pour avoir renié officiellement son origine chrétienne, l'Europe a fini par sceller l'apostasie (abandon de la foi) des nations qui la forment. Certes le mal était fait depuis longtemps ! et surtout le salut des êtres humains n'est pas collectif, mais toujours individuel (les chefs pouvant grandement contribuer par leur position à instruire le peuple dans la voie du salut - cf. Clovis - mais pas dans le salut... ou dans des culs-de-sac dramatiques...).

De fait, ayant abandonné/perdu le chemin de la rédemption qu'enseigne le message libérateur qu'est l'Évangile biblique non frelaté - les religions dites chrétiennes, catholique et protestante, y étant largement pour quelque chose, chacune par des déviances coupables -, c'est un jugement de nature religieux qui s'est mis à tomber sur l'Occident. Parce qu'on ne peut faire disparaître la dimension spirituelle du Réel !!!

On peut se défaire d'une religion ou d'une autre, mais jamais ni de Dieu ni encore des esprits démoniaques !
Et l'aspect religieux - qui est toujours régression par rapport à la Grâce de Dieu offerte par la médiation de Jésus - qui confronte une Europe qui se voulait sans Dieu autre que l'homme (certains hommes, quelques hommes !) est encore une grâce en ce qu'il interpelle sur la dimension de la croyance tournée vers le Ciel, sur la part à toujours surnaturelle dont le Réel est constitué. Cette part reste toujours hors de portée de la seule raison raisonnante : Il faut à notre âme rationnelle la compagnie de l'esprit pour toucher à tout le Réel...

LA HAINE est au coeur de toute activité démoniaque.
Répondre à la haine par la haine, c'est tomber effectivement dans le piège ouvert de ce qui est et fait mal. Et ce n'est parfois pas facile du tout de se défaire de cet espèce de crabe qui enserre notre coeur. Mais par la foi en Jésus, la chose devient plus aisée, le pardon à accorder aux autres devient (bien plus facilement) possible. Pourquoi ?
Parce que Jésus a pris sur lui, du moment de son arrestation jusqu'à sa mort comme brigand, la haine et la hargne vengeresse qui habitaient, juste en sommeil,
- le coeur des juifs tenus sous la botte romaine,
- les lois et sodats de Rome,
- ainsi que l'âme d'anges déchus impénitents qui croyaient trouver là le moyen de se soulager de toutes les conséquences de leur sortie insensée du Bien.

Et quand Jésus prend sur lui tous ces effets du mal, mort comprise, c'est prenant notre place de coupable (de bandit aux yeux de Dieu) qu'il subit, pour que, regardant à lui, nous puissions nous dégager, croyant en cette substitution, de tout le mal qui habite notre propre coeur, dont la haine, et bien sûr nos fautes qui ont été en amont de nos problèmes...
Notre part est de mettre sur lui, par la foi, en les confessant, toutes nos fautes et leurs conséquences - dont la haine -, en demandant pardon... et en remerciant...

Puisse cela, lecteur, lectrice, vous faire réfléchir, interpeler, regarder avec un recul suffisant pour trouver déjà, D'ABORD si ce n'est fait, le sens de votre propre existence, car c'est par ce bout-là qu'il faut commencer !... si on veut tirer les fils qui embrouillent dans notre entendement la perception du Réel tel qu'il est.
Pourquoi subir la crucifixion de votre existence avec celle du monde, alors que par la foi en celle de Jésus on peut être gardé, protégé, de manière toute surnaturelle !?

Soyez béni-e par l'Esprit du Dieu vivant pour que la lumière véritable qui ne vient que de lui fasse en vous une percée décisive, pour votre joie ici-bas et votre salut éternel...

Prière-guide pour aider à se donner au Dieu véritable qui est créateur ET rédempteur.

_____________________________
* appelé en hébreu Shéol, en grec Hadès, qui est un lieu où les âmes désincarnées (suite à la mort physiologique, du corps), qui n'ont pas au préalable choisi Jésus comme leur Sauveur, sont tenues en attente du jugement dernier. Ce n'est pas ce qu'on appelle l'Enfer, que la Bible appelle "Étang ardent de feu et de soufre" créé originellement en conséquence de la révolte des anges (devenus globalement les démons). Le Séjour des morts correspondrait davantage à l'idée de Purgatoire, sans qu'il nous soit donné de parler à ce sujet de moyen de paiement des fautes, de rachat ou rédemption...

** Réconcilier avec Dieu, signifie entrer dans une paix véritable avec lui, ce que nos comportements malsains non pardonnés empêchent. Signifie recevoir son pardon en retour de nos fautes confessées, et par là être aussi libéré de poids divers (physiques, psychiques ou spirituels) qui plombent notre existence. C'est encore entrer sous sa garde rapprochée, des anges même se mettant à notre service. C'est plus essentiellement recevoir sa vie, greffée sur la nôtre, pour former une vie personnelle qui ne finira jamais...

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22 mars 2016 2 22 /03 /mars /2016 21:46
L'aile  poudrée du papillon, son rapport aux choux (quand il est chenille) puis aux fleurs... L'abeiile, le zèbre, le tigre, l'étoile de mer et celles du ciel...
L'aile poudrée du papillon, son rapport aux choux (quand il est chenille) puis aux fleurs... L'abeiile, le zèbre, le tigre, l'étoile de mer et celles du ciel...

LA FOI SOUS SES DIVERSES FORMES INVALIDE LA DOCTRINE ÉVOLUTIONNISME, qu'il s'agisse de la théorie darwinienne - partiellement, ou de la doctrine néo-darwinienne - totalement.

La raison (devrait) comme Dieu, nous amener à des réflexions objectives, c'est-à-dire indépendantes de nos subjectivités formées (culturées, orientées, posées, partisanes) avec les a priori "il n'y a de Dieu" ou "il y a un Dieu". Quand on est libre de réfléchir ainsi, on a de bien plus fortes chances de toucher au Réel, à ce qui est en soi, avec ou sans nous.

LA FOI EST UN PRINCIPE UNIVERSEL TOTALEMENT SURNATUREL
C'est ainsi que la foi se démontrant par la simple observation comme étant un principe ou moteur universel ou omniprésent du vital (lire ou revenir à mon article par clic ici), il ne reste pas assez de place au(x) hasard(s) des jeux et autres rencontres de lois qui fondent tout l'univers et ses parties, pour en faire un principe ni de l'apparition de l'univers ni de l'apparition du vivant ni de leurs mouvements évolutions. Les informations qui fondent et gèrent et SONT tout le vivant, précède nécessairement leurs organisations... de la pensée manière que la pensée même a besoin d'une information qui est un langage qui la précède... Essayez de penser sans mots !? La moindre pensée ne peut se former qu'avec des mots, c'est-à-dire un langage quelconque, qui forcément existent avant elle.
Et dire "un langage quelconque", c'est pas dire n'importe quoi qu'on peut appeler langage. C'est dire un langage parmi les plusieurs existants par lesquels de la communication peut s'opérer : langage des sons (avec les plus de 2 000 embranchements de nos langues), langage des odeurs, des couleurs, des saveurs, des animaux (selon leurs espèces), de l'amour (on dit qu'il est formé de 5 expressions... - Gary Chapman), des formes (dont les écritures et autres créations humaines), dans la nature végétale, du ciel, de Dieu - il donne selon sa volonté des langues, des visions, des songes, un relief surnaturel à toutes choses qu'il veut nous montrer autrement...

Quand un chat ou un chien gratte derrière une porte, il sait qu'on l'entend et que son maître va comprendre qu'il veut entrer, ou sortir selon... En tout, il est évident que l'intelligence précède les manifestations visibles qui en sont informées. Aujourd'hui, par la grâce de Dieu, je vois partout, en toutes choses, de la pensée appliquée, de manières extraordinaires diverses.

Et aucun orgueil à tirer de ce regard affiné, éclairé, qui rend les choses comme Dieu, enthousiasmantes, car c'est essentiellement d'informations transmises et reçues, venant dans et de la nature spirituelle partagée, que ce prodige d'expansion de conscience s'est opéré et s'opère de plus en plus.

Quand on demandait au grand entomologiste Jean-Henri Favre (1823-1915, père de l'éthologie et de l'écophysiologie) s'il croyait en la réalité de Dieu, il répondait : Je ne crois pas ; je le vois ! Voilà la foi selon Dieu, sans rapport avec des croyances controuvées et autres superstitions. Et c'est là que l'homme, la femme d'aujourd'hui, sont appelés à être intelligents : chercher la connaissance de Dieu à partir des vérités tangibles, de langages ou d'autres qui nous parlent de lui.
Psaume 19 "2 Les cieux racontent la gloire de Dieu, Et l'étendue manifeste l’œuvre de ses mains. 3 Le jour en instruit un autre jour, La nuit en donne connaissance à une autre nuit. 4 Ce n'est pas un langage, ce ne sont pas des paroles Dont le son ne soit point entendu : 5 Leur retentissement parcourt toute la terre, Leurs accents vont aux extrémités du monde, Où il a dressé une tente pour le soleil. 6 Et le soleil, semblable à un époux qui sort de sa chambre, S'élance dans la carrière avec la joie d'un héros ; 7 Il se lève à une extrémité des cieux, Et achève sa course à l'autre extrémité : Rien ne se dérobe à sa chaleur."

Outre la question des langages que le berger et roi David a percée, il y a dans ce psaume un égocentrisme bien naturel qu'on comprendra sans perdre de temps à une critique absurde, qui fait parler de "la course du soleil" - tout comme aujourd'hui encore, on parle tous de coucher et de lever de soleil...
Cela dit, comprenons surtout qu'un des pires effets de notre égocentrisme (en ce qu'il a de maladif), le plus gravement conséquent, c'est quand on produit et perpétue cet anthropomorphisme qu'est l'évolutionnisme : aveugle comme nous au réel tel qu'il est et tel qu'il peut devenir ; tâtonnant sans raison suffisante quant à de sûrs chemins de nos demains ; qui a besoin de temps et d'essais et d'échecs avant de trouver - parfois, peut-être - une solution à un problème capable de marcher... Pauvres nécessités ! Si le monde n'avait eu que cela pour paraître et s'organiser, que serait-il donc !?...

Soyez béni-e dans vos réflexions et le cheminement qui, avant même de mener dans l'éternité, vous ouvre le contact d'ici-bas au Divin véritable.

en musique (en quatre clics), cet autre langage... surnaturel !...

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27 décembre 2015 7 27 /12 /décembre /2015 07:07

LES VISIONS (suite de la partie 2 ici)

On peut recevoir de Dieu des visions, ce qui est généralement plus rare que les songes. Ce qui les différencie, c'est que les visions montrent une réalité céleste effective, ce qui se trouve dans le ciel de Dieu, ou plus spécialement un ou des anges ; alors que les songes montrent des scènes figuratives, symboliques de ce qui est plus réel mais qui nous est caché (dont on est inconscient).

Il y a deux sortes de visions :

- Soit il s'agit d'une véritable projection ou introduction de notre âme dans un plan spirituel supérieur, où l'on voit et entend par nos sens spirituels quelque réalité ou situation divine qui nous est montrée. Là aussi c'est dans un but et pour une finalité, immédiatement révélés ou à chercher à connaître.

Mais attention aussi car les ténèbres peuvent donner des visions ! réelles mais trompeuses, convaincantes malgré le mensonge qu'elles représentent. Cela n'arrive cependant pas au commun des mortels, mais plutôt à des gens qui ont déjà assez avancés dans des recherches ésotériques, mystiques, à partir d'un cheminement d'ordre spirituel (individuel ou collectif) mal orienté, dans un relationnel occulte : Satan peut se faire "ange de lumière" à nos yeux, avertit la Bible.

- Soit, à l'inverse de ce type de visions qui transportent dans une autre sphère que physique et psychique, on peut avoir une vision qui est une émergence de réalités spirituelles dans notre environnement courant, c'est-à-dire quand on est réveillé et non quand on dort.

Depuis sa résurrection, Jésus continue à apparaitre à des personnes, généralement croyantes et sincères, souvent parce qu'elles méconnaissent qui est véritablement Dieu (le seul Dieu incréé éternel), et il les éclaire sur qui il est.

Des anges aussi, en tant que messagers serviteurs, peuvent nous apporter une vison, ou encore se manifester dans notre dimension et univers physique, soit par des interventions surnaturelles qu'on remarque mais où on ne les voit pas ; soit par des manifestations visibles où ils se montrent en forme d'homme (plus ou moins ordinaire ou très impressionnant, grand comme une maison par ex).

Globalement on peut catégoriser ces manifestations d'ordre psychique et/ou spirituel, mais bien sûr l'essentiel n'est pas là ! Ce qui compte et devient réellement bénéfique pour nous, c'est de nous approcher de Dieu - le véritable, dans sa spécificité unique et plurielle - afin de faire soi-même des expériences particulières avec lui et d'établir une relation spirituelle bénie... qui n'aura jamais de fin.

Exemples bibliques de visions :
à Abram - à Ézéchiel ch. 11 -

Lors de la naissance de Jésus - la transfiguration de Jésus - apparitions de Jésus ressuscité à Saul de Tarse (qui à la suite va devenir l'apôtre Paul) - aux disciples - de nos jours -

 

LES CAUCHEMARS

Le cauchemar tient du songe en ce qu'il est (très) significatif, émanent d'une réalité extérieure à nous, mais différente : Ce n'est pas Dieu qui met directement quelque chose en lumière, mais c'est un esprit (démoniaque) qui manifeste par cet effet une relation plus ou moins étroite qu'il a, qu'il vient de réussir, ou qu'il cherche à établir avec nous.

Comme pour les songes, les cauchemars se situent à deux hauteurs : sur le plan de notre psychisme ou sur notre plan physique.

Ils résultent de choix et/ou de pratiques mauvaises, dangereuses parce que touchant, pour nous plus souvent inconsciemment qu'en conscience, à l'ordre spirituel (inférieur). Ils peuvent aussi être une tentation, qui joue sur une faiblesse (un penchant, un travers naturel) ou sur un moment de faiblesse, en conjugaison avec un manque de connaissance.

Par exemple on voit un visage (dans l'ordre psychique) ou on ressent la présence (dans l'ordre physique) d'une personne connue, décédée, aimée. On est tenté d'entrer en relation avec elle. Mais rien ne nous assure que l'impression provoquée soit juste : les esprits mauvais des lieux célestes ont la capacité de se donner une apparence qui n'est pas la leur, d'usurper une identité pour se donner chez nous, avec notre acceptation, un espace qui leur appartienne. D'où des contacts qui peuvent avoir des conséquences de plus en plus aliénantes, jusqu'à entraîner, en état de veille, dans une altération graves des réalités, que vous ne voyez pas venir et qui vous déconnecte de ce monde (vues de réalités dans l'ordre de l'esprit, voix entendues). Cela peut aller jusqu'à voir des figures horrifiantes, de démons, du diable, qui se présentent, nous entourent, nous malmènent de diverses façons. Pourquoi ? Parce qu'on leur a ouvert un accès d'une manière ou d'une autre, en croyant un mensonge de leur acabit, en pratiquant un rituel qui est de leur cru, alors qu'on croit qu'il s'agit de quelque chose selon Dieu...

Visités physiquement (pour les mêmes raisons), on peut soudain se sentir en proie à des mains qui nous empoignent ou cherchent à nous étouffer. Suite à des relations sexuelles iniques ou autres vues pornographiques, on peut encore se trouver en prise avec des étreintes sensuelles, touchés sexuellement voire violés et violentés (ce qui est appellé "les maris de nuit" dans certaines îles)...

Une nuit j'ai expérimenté le continuum qu'il y a entre ce qu'on peut vivre au plan psychique endormi (inconscient et cauchemar) et ce qu'il en est au plan physique et psychique conscient. Dans cette vision spirituelle cauchemardesque apparaît une présence maléfique (qui me fait sentir ou me dit qu'elle est Satan). Dur, d'acier, il se met à me quereller et m'accuse jusqu'à ce que... bien content d'échapper à la peur suscitée, je me réveille. Mais ce n'est pas fini ! Je sens nettement que l'entité mauvaise est là, dans ma chambre, invisible mais très perceptible avec les poils qui se dressent, la chair de poule, froid dans le dos, peur que je veux refuser. Au même instant mon fils de 9-10 ans se met à hurler dans la chambre à côté. Je me lève et commence à chasser l'intrus au nom de Jésus en avançant pour qu'il s'en aille. Mon fils vient dans notre chambre - et il nous dira par la suite qu'il a vu à ce moment-là la silhouette d'un homme qui reculait devant moi. Je fais donc reculer l'adversaire jusqu'à me trouver dans la salle de bains, mais je sens que je ne prends pas le dessus pour le faire partir (ce que j'ai pourtant déjà eu l'occasion de faire). Je tombe finalement à genoux devant la baignoire en demandant à Dieu son secours. En un clin d'oeil c'est fait : disparu, l'atmosphère est changée, l'état ordinaire est revenu. Je sais (intuitivement) que Dieu a envoyé un ange pour réprimer cet esprit. Mon fils est rouge de la tête aux pieds, atteint par une sorte de varicelle géante (qui va épisodiquement lui poser des problèmes pendant bien longtemps)*. Cela pour montrer que ce que nous vivons pendant notre sommeil et pendant notre conscient ordinaire n'est pas sans rapport : ce n'est qu'une question de plans de conscience (psychique et spirituel).

On ne doit bien sûr pas confondre entre un songe et un cauchemar, je veux dire quand le songe peut avoir un caractère angoissant ou parle de mort. Les deux ne proviennent pas de la même source. S'ils sont pareillement informatifs, éclairant sur notre positionnement comportemental, enseignant et donc d'une manière ou d'une autre utiles, on comprend que le songe vient par sollicitude et intention divine. Le cauchemar est quant à lui une manifestation pernicieuse (méchante ou séduisante, surtout quand elle est sexuelle), un droit obtenu, qu'on a donné à une entité occulte qui dès lors peut entrer plus précisément dans notre sphère humaine. Dit autrement aussi : un contact cauchemardesque, c'est Dieu non pas qui fait, mais qui permet, nous mettant par là au courant d'une problématique existentielle (cognitive et relationnelle) avec le monde des ténèbres. Faute de savoir réagir, on s'enfonce sans trop comprendre dans des difficultés multiples - d'autant plus dominantes qu'on ne voit pas les rapports de cause à effet. Et faute de croire et de savoir relier ces effets avec leurs causes, on peut traîner des problématiques (de plus en plus lourdes) toute son existence, et dangereusement mourir avec. Le drame est aussi qu'on peut se confier pour des aides en des personnes qui en fait ne font que compliquer notre problème, voire l'exploite (financièrement et/ou sexuellement). CONNAISSANCE ET INTERPRÉTATIONS

Ici comme ailleurs, pour une explication qui est la bonne, peuvent s'en trouver bien d'autres plus ou moins fantaisistes à dangereuses, allant d'un soulagement temporaire à une aggravation en passant par des transferts de maux dont l'effet illusoire marche généralement bien... pendant un certain temps – d'où l'illusion.

On trouver ici ou là dans des livres ou sur le net d'autres interprétations que celle-ci. Par exemple certains croient et disent que rêver (sans distinguer les catégories) est le moyen - notamment dans certaines situations troublantes comme tuer quelqu'un ou son enfant... - de s'affranchir de la chose, de se libérer au plan ''concret'' (conscient) de cette représentation attribuée à... l'inconscient ! (alors que cela signifie, dans cet ex., qu'on est effectivement en train de tuer quelqu'un ou son enfant, sur un plan inaperçu mais qui fait partie de la plus juste réalité.

J'affirme que ne voir là que des fantasmes, allégories aléatoires, expression de notre inconscient, c'est se tromper et passer à côté du sens : on enterre par cette mauvaise traduction de la chose rêvée, une information significative de notre existence ; on éteint une lumière explicative et/ou corrective donnée en vue de notre bien le plus général ; et donc on perd le bénéfice du moyen concret, conscient, participatif, qui pourrait être mis en oeuvre pour redresser ce qui apparaît de la sorte problématique. Si je rêve que je tombe dans un puits sans fond, si de plus ce songe se répète, il n'évacue rien par sa seule production de ce qui, en réalité en moi, a besoin d'être vu, pour être traité. Il reste en attente d'une réponse pertinente ; il reste un problème profond, souvent spirituel, à discerner pour être solutionner. On a affaire à un langage à comprendre, symbolique, significatif du réel que nous vivons, codé et décodable. En fait comme est Dieu lui-même par rapport à nous : inconnu mais connaissable.

On comprend par là qu'une personne appelée à l'aide qui n'a de foi qu'en des connaissances où Dieu n'est pas pris en compte, ne peut apporter d'aide efficace.

Bref, ce qui sort de ces diverses catégories de rêves contribue au sens (de notre réalité, de notre finalité de présence ici-bas, et/ou des tenants et aboutissants majeurs de ce monde). Pour appuyer ou illustrer cette vue de la dimension globalement onirique de notre existence, la Bible est riche et explicite concernant chaque type de manifestations, depuis les songes et visions d'Abraham qu'on trouve dans la Genèse (1er livre biblique) à celles de l'apôtre Jean qui forment l'Apocalypse (dernier livre).

_________________

* Pour information : Ne comprenant pas pourquoi cette attaque, le matin j'appelle un serviteur de Dieu et lui explique. En quelques minutes d'échange la faute spirituelle que j'ai commise la veille au soir vient à la lumière. Une faute de jeune converti qui manque d'expérience. Mis en lumière ce péché est confessé, pour que la porte ne reste pas ouverte aux desseins malveillants des ténèbres.

Prière donnée par l'Eternel-Dieu à Moïse, que nous pouvons reprendre pour nous : "Que Dieu ait pitié de nous et qu'il nous bénisse, Qu'il fasse luire sur nous sa face..."

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26 décembre 2015 6 26 /12 /décembre /2015 07:17

LES SONGES (suite de la partie 1 ici)

Le songe a pour origine non plus une activité qui trouve sa source en nous-même, mais nous parvient d'une source tout à fait extérieure, qui est Dieu (l'Esprit de Dieu) lui-même.
C'est la différence entre voir par notre âme seulement, et voir par le couple âme-esprit que Dieu cherche à nous faire découvrir et veut sceller en nous pour l'éternité...

De la sorte, pendant notre sommeil Dieu peut nous parler pour nous faire entendre des choses que notre état de veille, de connaissance, de compréhension et/ou d'incrédulité, ne permet pas de recevoir autrement.

En Job 33 on peut lire : "Dieu parle tantôt d'une manière, Tantôt d'une autre, et l'on n'y prend point garde.15 Il parle par des songes, par des visions nocturnes, Quand les hommes sont livrés à un profond sommeil, Quand ils sont endormis sur leur couche.16 Alors il leur donne des avertissements Et met le sceau à ses instructions,17 Afin de détourner l'homme du mal Et de le préserver de l'orgueil,18 Afin de garantir son âme de la fosse Et sa vie des coups du glaive."

Ce qui caractérise le songe et l'oppose au rêve, c'est qu'il a du sens, ayant une raison d'être et une finalité : quelque vérité ou indication à nous faire connaître. Il est fait la plupart du temps d'images, de scènes, de mouvements symboliques (que d'aucuns diront archétypaux) dont l'apparition veut nous interpeler sur ce que nous vivons, notamment de problématique - mais pas toujours.
Un songe est une expression toujours secourable (alarmante, interpellante ou encourageante) du regard de Dieu sur l'orientation de notre existence. Ou sur une décision spécifique qu'on vient de prendre, ou qu'on s'apprête à prendre.

Quand j'étais encore sans conscience de Dieu, il m'interpelait cependant déjà souvent par des songes. Mais je n'avais rien appris sur ce sujet pourtant important, et dans la part de liberté qui fait notre responsabilité, je ne cherchais pas à comprendre.
Vers mes vingt ans, je me suis vu au moins deux fois en train de m'élever et de voler, suivant des rues que je voyais de plus haut que les toits d'habitation.
C'est une impression magnifique, une liberté dans laquelle me dit le songe, je suis peut-être sur le point d'entrer, ou bien qui existe et qu'il me faudrait chercher. Dieu me dit en fait combien on peut avoir une vie surnaturelle, qui survole notre réalité ordinaire. Qu'il existe une position, un point de vue dynamique autre que celui d'avoir le nez dans le guidon des matérialités, la tête dans nos problèmes...
Mais faute de savoir et par manque d'une curiosité qui serait là bien placée, je perdis par la suite cette liberté, sans savoir pourquoi ou comment !

Si nous ne savons rien de ce qu'est un songe initié par Dieu - et ne comprenons donc pas le sens du message que nous recevons -, un même songe peut se répéter plusieurs fois, une nuit après l'autre ou parfois à des années d'intervalles.

Par exemple, je rêvais que je montais une charge au sommet d'un promontoire *et juste avant d'en atteindre le sommet, la charge m'échappait, et je devais la remonter, et ainsi de suite jusqu'à ce que je me réveille en sueur... bien heureux, croyais-je, que ce n'était qu'un rêve !
Mais un songe, comme un cauchemar est bien plus que ce procédé : il est une autre expression (figuration significative) de notre existence, un autre regard sur ce que, au plus réel, nous sommes en train de vivre.
Une autre expression était un camion à plateau que je chargeais de gros sacs (genre de blé). Quand j'allais finir ce chargement, je me retrouvais face à un plateau de nouveau vide ! Et cela plusieurs fois, jusqu'à l'épuisement, jusqu'au réveil en sursaut... et en pleine inconscience de ce qui était pourtant le plus significatif, d'une véritable utilité pour ma conduite.

Un autre songe était que je conduisais une voiture et que j'en perdais le contrôle parce que l'accélérateur était bloqué à fond ; d'autre fois parce que je n'avais pas de freins, ni pédale, ni à main.
Parfois encore je roulais en marche arrière, de plus en plus vite, évitant des obstacles mais j'étais vite dépassé par la vitesse et me réveillais au moment où j'avais un accident.

Autre songe récurrent, je suis pris au milieu de nombreux rails avec des aiguillages, sur lesquels arrive(nt) un (ou des trains) dont il est difficile de voir où ils vont passer. Je me déplace d'un rail à l'autre pour les éviter. Parfois j'y réussis et parfois je ne peux pas en éviter un ! Et ouf, réveil !
Un peu comme dans un jeu vidéo où cohabitent deux réalités distinctes. Sauf qu'avec le songe, la réalité la plus vraie, la plus juste en rapport du Réel global, la plus chargée de sens, n'est pas celle de notre état de veille, mais ce qui se passe pendant le sommeil. ..

Souvent aussi un temps, c'était des ruelles sombres qui m'apparaissaient, désertes, mal éclairées, lugubre (le monde visible et occulte que je fréquentais alors, bien que cela ne paraissait pas), et bientôt un bruit se rapprochait : celui des fers d'un cheval tirant un corbillard. Quand il est suffisamment près, le cercueil transporté glisse et s'ouvre devant moi. M'approchant pour voir qui est dedans, je découvre... que c'est moi ! - Ouf, le réveil en sursaut me rend à la vie !... Mais en réalité Dieu me montre ce que je suis désormais spirituellement, son esprit ayant dû me quitter à cause de mes comportements...
Cela vous éclaire-t-il sur la manière dont Dieu peut nous connaître, nous voir, chercher à nous venir en aide - parce qu'il nous aime -, alors même que notre socialisation s'est faite, a été faite par d'autres (parents, école, médias...) dans l'ignorance fondamentale du Divin.

Le réveil ne sauve donc la mise qu'a priori, dans une apparence qui ne voit comme Dieu voit, et comme nous devrions voir. Et quand parfois nous sommes attirés par le sujet des rêves, de leur interprétation, c'est bien parce que cela correspond à des vérités à connaître. J'ai aussi eu cette attirance ; mais quand Dieu n'est pas là, quand les interprétations qui nous tombent sous la main sont des approximations ou prétentions jusqu'à frauduleuses, cela ne nous atteint pas au point de nous mettre réellement en marche pour chercher à connaître l'inconnu réel profitable, Dieu donc !

Car si certains rêves ont du sens, touchent à la symbolique et au surnaturel, à des archétypes sur lesquels même les psy se penchent et se confient, c'est bien que tout cela ne peut venir du hasard ! mais se trouve inclus dans la création, incrusté ou associable à l'apparent comme une porte a forcément deux faces, et que savoir ce qui est derrière la porte n'est pas toujours avoir une mauvaise curiosité : Alice au pays des merveilles figure la quête du Divin, du Bon et du Bien,... Mais le conte de l'affreux Barbe bleue figure la sphère spirituelle occulte sombre, dramatique, avec l'ange déchu Satan et le Mal.

Dès lors qu'on comprend que le songe est un don de Dieu - comme déjà une moitié d'un billet !.. -, une expression figurée de ce que nous vivons réellement de profond lorsque nous ne dormons pas, on peut s'y intéresser vraiment, et cherchant ce qu'il cherche à nous dire, on va chercher Dieu, ce qui est l'essentiel, et la finalité de toute cette existence - puisque l'éternisation de notre vie en est le parachèvement...

C'est que sur notre plan ordinaire de conscience (psychique), nous ne nous rendons pas assez compte du Réel. Réel dont le bon côté de la face cachée peut et veut se révéler sur et par un plan moins évident mais directeur, celui de l'esprit.

Rappelez-vous pour ne pas laisser tomber la recherche : Quand on est bien content de se réveiller, ce n'est pas du tout qu'on passe d'un temps et d'un univers irréels dans la réalité, mais plutôt d'un plan supérieur de conscience à un autre, bien inférieur en signification ; d'un plan où les choses vécues au niveau ordinaire de notre âme et corps  sont vues de manière spirituelle.

Je suis resté longtemps, à mon détriment, sans l'intelligence qui permet de s'interroger jusqu'à trouver pour mon quotidien le sens profitable de ces informations significatives importantes. Après coup j'ai tout à fait compris que Dieu nous parle ainsi de nos comportements, de où nous mènent nos trajectoires, de que produisent nos orientations, nos abandons à la légèreté, au mal.
Travail vain, énergie déployée pour rien de valable, rien de durable, danger imminent ou qui se profile (répétitions) de s'engager dans certaines alliances (association, partenariat, cohabitation), ou de se trouver à certains endroits - d'où l'expression "être au mauvais endroit au mauvais moment !"...

 

Une fois devenu chrétien, à deux ou trois reprises aussi, lorsque ma foi en prise avec de mauvais esprits était chancelante au plan du salut éternel de mon âme, je me vis en songe dans des scènes de combats, de guerre, des fusillades de la part d'ennemis déterminés qui me tiraient dessus. J'avais peur d'être touché, tué.
Mais tout à coup leurs balles m'atteignent et me traversent sans mal : Je suis surpris de rester en vie, ils ne peuvent pas me tuer ! Et au réveil je remercie Dieu pour cette image qui m'affermit dans l'éternisation qu'il m'a accordée de mon âme (la vie éternelle telle que Jésus la promet à qui croit en lui ).
Il ne s'agit pas forcément de la vie physique, mais de la plus essentielle, celle de notre âme, siège de notre moi conscient et autres facultés psychiques (intellectuelle, émotionnelle, et la mémoire).

Dieu m'a beaucoup parlé (informé, guidé, instruit) par songe les premières années de ma conversion - preuve que je manquais de capacité pour le comprendre suffisamment en état de conscience -.
Quand le sens était a priori mystérieux, je lui ai demandé ce qu'il voulait me dire, et le sens (interprétation, signification) venait. Que représentent les excréments ? Ou se trouver aux toilettes avec la porte ouverte, à la vue de tous, etc...
On ne doit pas crainte de demander à Dieu de comprendre : c'est une des pistes de la relation réelle qu'il veut créer avec nous.

Le songe nécessite donc toujours interprétation (un décodage, une transcription), tout comme les paraboles, mais en sens inverse : passage du symbolique à son sens clair. En ce sens Dieu à qui nous le demandons, nous traduit le songe quand nous savons marcher avec lui. Sinon aussi il accorde le don d'interprétation à certains pour donner à quiconque le sens de ce qu'il reçoit en songe.

Je me suis bientôt aperçu, par quelqu'un qui me raconte un songe, puis un autre, que j'ai aussi l'interprétation des songes pour les autres.

Encore une autre de leurs caractéristiques est que les songes ne s'effacent guère, voire pas, de notre mémoire : même bien longtemps après, on peut s'en souvenir comme s'ils étaient d'hier.

La Bible nous avertit aussi de se méfier de quelqu'un qui vient nous dire qu'il a eu un songe nous concernant ! Cela peut être vrai, mais alors ce ne peut être qu'une confirmation de quelque chose qu'on a déjà reçu en nous-même. Si c'est une direction dont vous n'avez jamais eu idée, ne la prenez pas pour argent content...

 

La suite : LES VISIONS et LES CAUCHEMARS. On verra comment leurs sources sont diamétralement opposées. Tout ce que Dieu permet, est en vue que nous comprenions mieux le Réel, sa dualité, notamment où des duos sont changés en duels, qui comprend nos relations effectives ou possibles aux sphères célestes antagonistes, en vue d'une conscience toujours plus éclairée (et donc libre), un regard lucide sur ce qui se voit et sur notre positionnement personnel dans tout ce qui fait le Réel.

Des exemples de songes dans la Bible
- de Pharaon qui pourtant ne connaît pas Dieu -
- Jacob - Joseph de l'A.T. Genèse 37 - Daniel ch. 7
- Capacité d'interprétation de Joseph - de Daniel

- Joseph du N.T. Matthieu 1 - Matthieu 2 - etc, etc... et aujourd'hui encore.

Nota : En parallèle, dans cet ordre du surnaturel divin, on a aussi des dons, faits d'images ou de paroles que Dieu donne dans l'état de veille d'un de ses enfants (dans le cadre d'un ministère spécifique, ou à l'occasion).
_____________
* On retrouve là ce qui fut synthétiser par la réflexion et la mythologie grecques comme étant le mythe de Sisyphe dans le Tartare.

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25 décembre 2015 5 25 /12 /décembre /2015 07:08

Rêver pendant le sommeil est un événement des plus courants et des plus... méconnus !
Pour y voir plus clair, on ne doit pas parler des rêves comme on fait couramment, comme s'agissant qu'une réalité monolithique, mais plutôt les classer en catégories bien distinctes. La bonne raison étant que tout ce qui peut ainsi se ressembler, n'est pas en fait produit d'une seule et même source.
Ainsi allons-nous découvrir que les rêves se distinguent nettement des songes, les songes sont un peu différents des visions, et bien différents des cauchemars.

LES RÊVES

Par opposition aux songes, le rêve apparaît en rapport très direct avec les activités, discussions et autres échanges physiques et psychiques de la journée. C'est comme un trop-plein audio-visuel, des rushs confus, des bribes dépourvues de signification particulière ou générale.
Le sage appelé l'Ecclésiaste dit : "Les rêves viennent de beaucoup d'occupations."

Ces rêves qu'on peut qualifier de parasitaires, peuvent devenir très fatigants, altérer la qualité de notre sommeil, empêcher de récupérer. Ils résultent en fait de ce que nous ne savons généralement pas arrêter de façon consciente l'action mentale quasi-permanente (de notre âme) qui constitue l'essence de notre état de veille.

On se couche un peu comme on laisserait le soir notre ordinateur avec des programmes ouverts, qui, par certains mécanismes aléatoires, se met à faire bouger des éléments, des images ou des fichiers qu'on a utilisés au cours de la journée.
Active, la fonction cérébrale apparait là comme l'interface qu'est l'écran d'un ordinateur entre le disque dur et l'utilisateur ; pour nous entre notre corps qui repose et notre âme que des flux résiduels de nos activités diurnes animent.

Notre difficulté est de ne pas savoir agir sur la dynamique de ce métabolisme psychique qui concentre tout ou partie de ce qu'on a vu, dit et entendu, compris ce qui nous a atteint en dehors de notre conscience : contacts de foule, atmosphère de grands magasins, publicités visuelles ou sonores, écoute d'une personne "chargée" (de problèmes), émissions télé, infos, film, contact avec des vérités et des aberrations, souci dont on ne se décharge pas, pensées sans contrôle...
On arrive à parler de "pollutions" visuelles ou sonores, mais réalisons-nous réellement ce que cela signifie ?

C'est un peu comme les cookies ou autres malwares informatiques qui alourdissent et ralentissent nos ordinateurs, dont on a besoin de les nettoyer régulièrement...

Faute à ce niveau d'une certaine maîtrise sur notre activité psycho-cérébrale, on peut basculer d'un seuil d'effervescence qui donne le rêve, à un fonctionnement ininterrompu semi-conscient de l'âme et du cerveau où, bien que dormant, nous n'arrêtons pas de penser, ce qui est alors autre chose (que rêver), mais qui tient de la même nécessité pour nous de rester le plus maître possible de nous-même. J'ai eu affaire à ce problème, et Dieu a conduit et m'a instruit pour me redonner la main.*

Bref, nous n'avons pas à attacher en eux-mêmes d'importance à ces rêves embrouillés, à leurs contenus souvent “sans queue ni tête”. Il n'y a pas là de sens symbolique, de signification, d'interprétation à rechercher - ce qui n'est pas le cas des songes.
Cependant, leurs apparitions réitérées, voire journalières, fatigantes, devraient nous conduire à rechercher, par une meilleure connaissance de soi, la solution la plus pertinente* pour évacuer ce qui ainsi leur donne vie.

La suite > LES SONGES, dont l'origine n'est plus activité de notre psychisme encombré, mais Dieu lui-même... qui vient nous dire des choses...
Bonne journée, sous la lumière et avec la grâce du Très-Haut.

_____________
* Elle se trouve dans la foi en Christ, que figure pour le croyant le passage où Jésus se met à laver les pieds de ses disciples et leur dit qu'ils seront heureux s'ils savent faire de même. (La Bible, Nouveau Testament, évangile de Jean ch. 13). L'image physique montre le besoin plus subtil, psychique et spirituel, de notre âme qui se souille au cours de notre marche (que représente les pieds) et a besoin d'être lavée pour garder sa clarté de vue, pour retrouver sa fraîcheur...
 

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