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18 février 2019 1 18 /02 /février /2019 16:09

 

Connaissez-vous cette histoire d'un homme qui dans la nuit a perdu une clé et la cherche sous un lampadaire ? Quelqu'un le voyant en difficulté s'approche, lui propose de l'aider, et comme ils ne trouvent pas finit par lui demander : - Vous êtes sûr de l'avoir perdue ici ?
- Non non ! Je l'ai perdu plus haut, là-bas dans le noir ; mais pour y voir plus clair je suis venu sous ce lampadaire.

SANS BLA-BLA
Ne comptez pas ou plus parvenir par vous-même à une satisfaction assez durable si vous n'avez pas pour appui une véritable croyance en Dieu, la foi en Jésus le Rédempteur (Rédempteur potentiel pour tous, ou déjà actif pour notre relation lui avec nous).

L'insatisfaction est au cœur de notre existence, que ce soit par exemple pour le riche qui a trop comme pour le pauvre qui n'a pas assez. Poser une frontière entre pauvre et riche, comme vouloir qu'il n'y en ait pas, est un égarement. Croyons-nous naïvement que les riches ou les célébrités sont épargnés par le mal ? Croyons-nous injustement que prendre aux riches pour donner aux pauvres sera un bien bénéfique pour l'un et pour l'autre ? La réalité montre, notamment par le communisme et le socialisme (deux faces politiques illusoires et illusionnistes de l'humanisme), que ça ne marche pas. Car nous sommes tous capitalistes au fond, cette déviance du déploiement dynamique de soi dont le Créateur nous a heureusement pourvu...

1er TYPE DE SATISFACTION
C'est la satisfaction qui s'obtient à partir des besoins (réels) et des désirs (légitimes).
a) Besoins et satisfactions corporelles ET psychiques : de se nourrir, de bouger (de travailler), de paix et de repos (dont les loisirs), de dormir, d'acquérir des connaissances et des biens, de réfléchir et de construire, de se développer, de relations... et encore d'éliminer (déchets et toxines physiques mais aussi des choses (principalement entendues ou vues) fausses, frelatées,trompeuses, injustes...
N'est-ce pas merveilleux que Dieu nous ait créés êtres vivants avec des besoins qui à la fois nous mettent en action (contraire du laxisme, de l'oisiveté vicieuse, de la paresse) et procurent du bien, des énergies et des satisfactions sensibles !?

Un chant dit : "Compte les bienfaits de Dieu, et tu verras en adorant combien le nombre en est grand..."

Une prière d'enfant de Dieu : "Enseigne-nous à bien compter nos jours, Afin que nous appliquions notre cœur à la sagesse.13 Re-viens, Éternel ! Aie pitié... !14 Rassasie-nous chaque matin de ta bonté, Et nous serons toute notre vie dans la joie et l'allégresse."

ET LES FAUX BESOINS !?
Attention à ne pas vous laisser séduire et frustré-e par des faux besoins ! Les plus courants dans notre Occident matérialiste sont un besoin de confort qui dépasse largement ce qui nous est nécessaire pour être bien. Cette mauvaise idée et conception du confort poussent à des achats superflus, parfois compulsifs, qui nous appauvrissent au lieu de nous être en bénédiction.
Autre faux besoin : la sexualité ! Cette fonction n'est pas un besoin ! Elle est une option qui résulte d'un choix d'existence entre désirer unir toute sa vie à une autre, complémentaire, aimée plus que soi, et rester sciemment célibataire, c'est-à-dire sans activité sexuelle... qui est le cadeau que Dieu ajoute à celles et ceux qui optent pour une union de cœur et d'âme.
D'où il résulte que mal appliqué, ce don particulier qu'est la sexualité peut devenir un piège, un ennemi de l'amour même, un enfer... Quelqu'un a dit : "Rien n'est pire que la corruption du meilleur."

De même le besoin d'agent peut être perverti par la cupidité, l'avarice, ou au contraire une prodigalité (générosité excessive) qui changent les bienfaits de l'avoir en source de mal-vivre.

b) Autres que les besoins sont les désirs.
Leur caractère peut être tout aussi pressant qu'un vrai besoin, ce qui nécessite là aussi que nous acquérions une maîtrise.
Tous les désirs ne sont pas bons, et tous ne sont pas mauvais ! Il n'est pas question de faire soi-même mourir tous nos désirs pour faire disparaître nos souffrances ! Cette vue - bouddhiste, que je trouve particulièrement insatisfaisante, cause de frustration plus que de libération - relie toutes les souffrances aux désirs dès lors qu'ils restent inassouvis.

Cela n'a rien à voir avec l’Évangile, où la marche à suivre s'exprime plutôt ainsi (Psaume 37) :
"4 Fais de l'Éternel tes délices, Et il te donnera ce que ton cœur désire.5 Recommande ton sort à l'Éternel, Mets en lui ta confiance, et il agira."
Il ne s'agit pas d'annihiler - à notre détriment - nos désirs, mais d'expérimenter un relationnel bon, apaisé, filial et même amoureux avec Dieu.
Étant lui-même le créateur de ce moteur du vivant qu'est le désir, il ne peut vouloir qu'on le piétine purement et simplement. 
Dieu respecte la légitimité du désir... sans pour autant tout nous accorder comme certains font (au détriment der tous) à des enfants versatiles et capricieux : Dieu ne "gâte" pas ses enfants !
Car c'est dans notre nature (adamique, abîmée, dégradée, largement inconsciente du Réel et de ce qui est bien et mal) que nous ayant des désirs sans avoir la moindre idée de ce qui est bon ou mauvais pour nous. Notamment sollicités par les publicités et autres manipulations médiatiques, films, chansons... venant diaboliquement (et le mot n'est pas que métaphorique) jouer sur notre fond dénaturé qu'est la convoitise - une perversion du désir.

On a vu là ce qui peut produire des satisfactions légitimes, bonnes, agréables, et causer des insatisfactions dès lors que Dieu ne nous habite pas (suffisamment) par son Esprit pour nous faire avancer la lumière de Dieu et de Christ et ses libérations.

"Plusieurs disent : Qui nous fera voir le bonheur ? Fais lever sur nous la lumière de ta face, ô Éternel !7 (4 : 8) Tu mets dans mon coeur plus de joie qu'ils n'en ont Quand abondent leur froment et leur moût.8 (4 : 9) Je me couche et je m'endors en paix, Car toi seul, ô Éternel ! tu me donnes la sécurité dans ma demeure."

On a compris que la quête du plaisir n'est pas la bonne démarche. Car le plaisir n'est qu'une conséquence, et court-circuiter sa et ses causes, c'est-à-dire ses conditions, c'est entrer dans une chasse qui ne permet pas d'atteindre ce qu'on vise et recherche. Jusqu'à l'épuisement du plaisir et du désir, la nausée et l'éloignement du bonheur.
C'est en ce sens que Barbey d'Aurevilly écrivit : "
Le plaisir est le bonheur des fous, le bonheur est le plaisir des sages."

2e TYPE DE SATISFACTION
C'est une satisfaction plus rare, que l'incroyant ou le religieux peut poursuivre vainement toute sa vie. C'est une satisfaction de vivre qui repose sur une paix intérieure établie, et non sur une paix qu'on n'a pas et qu'on cherche sans cesse à s'accaparer, que ce soit par des méditations fastidieuses, des liturgies répétitives ou encore par des exercices corporels. 
En fait nous cherchons par là à obtenir, par nos propres efforts, persévérance, constance, et routine, ce qui peut nous être... donné ! Donné par Christ, par Dieu lui-même seulement, à quiconque se présente en vérité, sans faux-semblant, sans duplicité, dans une foi droite, devant lui.
Ce que Jésus dit à ses disciples : "
Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s'alarme point. "

Cette paix peut être attaquée, agressée de diverses manières, mais elle résiste à pas mal d'oppositions, et si on vient à la perdre, on la retrouve sans des tas d'exercices, en nous, par la foi et la confiance réitérée en notre Dieu et Sauveur qui en est le garant.
Qui est le Prince de la paix, c'est-à-dire Celui qui en dispose plus que tout autre ?
Il a été annoncé ainsi, 7 siècles avant qu'il ne paraisse sur terre, par le prophète Ésaïe (
Yeshayahu  en hébreu) :
"Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, Et la domination reposera sur son épaule ; On l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix."

Ainsi, si vous cherchez la paix, intérieure, du cœur, et encore avec vos circonstances de vie et avec vos relations (obligées), sachez que c'est Jésus (Yeshoua en hébreu) qui en a la clé et seul peut nous la procurer durablement (éternellement même).
N'est-il pas merveilleux de pouvoir lire - et croire - cet exposé de l’Évangile ? "
Maintenant, en Jésus Christ, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang de Christ (par sa mort pour nous).14 Car il est notre paix, lui qui des deux (les juifs et les autres) n'en a fait qu'un, et qui a renversé le mur de séparation, l'inimitié... afin de créer en lui-même avec les deux un seul homme nouveau, en établissant la paix,16 et de les réconcilier, l'un et l'autre en un seul corps, avec Dieu par la croix, en détruisant par elle l'inimitié.17 Il est venu annoncer la paix à vous qui étiez loin, et la paix à ceux qui étaient près ;18 car par lui nous avons les uns et les autres accès auprès du Père, dans un même Esprit."

On comprend ainsi que l'antisémitisme (et autres expression de racisme) qui ronge les cœurs de beaucoup, ne peut en être ôté que dans la foi en Jésus - le juif mort pour la libération des cœurs de tous.

On comprend ainsi que la satisfaction transcendante - qui aussi sublime celles relatives à nos besoins élémentaires vitaux et à des désirs légitimes - tient d'une paix (r)établie avec Dieu, qui met sa paix en nous.
Et on peut alors parler d'une satisfaction de vivre, une satisfaction non plus obtenue par diverses manières de faire, mais par la foi en Christ, qui devient notre rédempteur, la source d'un bien-être nouveau.
A partir de là, on peut comprendre et vivre que "
C'est, en effet, une grande source de gain que la piété avec le contentement ;7 car nous n'avons rien apporté dans le monde, et il est évident que nous n'en pouvons rien emporter."

La quête du bien-être vient de ce que nous sommes tous mal en nous-même, adamiquement dégénérés, dénaturés, amoindris, ne nous aimant pas - ou trop ! -. C'est une quête de bien-être en soi et forcément avec notre environnement, nos proches.
Voire une quête de l'amour, toujours maladroite ou, grand il nous tombe dessus, jamais évident à gérer...

Dieu m'a fait la grâce de se révéler à moi comme étant une réalité effective, dont j'ai cherché en retour la face (les faces), les bénédictions, le repos, la compréhension, le sens de tout. Et c'est seulement dans ce relationnel à la vertical que je suis parvenu à saisir les pourquoi - et les pour quoi - des insatisfactions et encore la différence entre les satisfactions laborieuses et toujours éphémères liées à notre volonté et s'obtenant par quelque chose à faire (acheter encore, pratiquer encore plus, ne pas lâcher...), et les satisfactions qui sont dans un repos, dans l'être. Dans l'être entier, reconstitué par Christ et son Esprit à l'image originelle de Dieu, tri-unité accordée d'un corps, d'une âme et de l'Esprit (de Dieu).

L'apôtre Paul écrit ainsi à de nouveaux croyants au Christ-Messie Jésus : "Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes ?20 Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu."

Et encore : "Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l'esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient pas."
Est-ce clair !?

CHERCHER LE BIEN-ÊTRE OÙ IL A ÉTÉ PERDU
Pour être dans le maximum de satisfaction connaissable sur terre, de repos, de sécurité, de bien-être, il faut venir ou revenir à Dieu jusqu'à être à lui.
Une appartenance semblable à celle d'un enfant à son père. Certes, comme dit le Petit Prince, on peut se prendre pour "des grandes personnes", qui n'ont pas besoin du surnaturel divin pour vivre ! Mais dans cette prétention, on reste des enfants sans père, et on sait tout le mal qui s'en suit dans la vie d'un enfant qui n'a pas connu son père ou a eu un mauvais père.

Car même si la maman est capable d'apporter une bonne contribution à son enfant, l'absence d'un père véritable engendre toujours un manque qui laisse place à des problèmes, pour le moins à des séquelles...

Et cela aussi parce que l'humanité entière a hérité d'une sorte de père malveillant qui cherche et trouve en chaque être humain des moyens de mal faire, de faire mal faire et contribue à notre mal être.
Jésus en a ainsi parlé à des leaders religieux - et donc cela s'applique au moins autant à des croyants lambda ou à des incroyants :
"Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge.45 Et moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas."

Qui parmi nous ne ment jamais ?
Mentir est suffisant pour que Satan ait des droits sur nous ! Qu'on le croit ou pas, et même d'autant plus qu'on ne le croit pas !
Qui donc est assez grand et fort et perspicace et suffisant pour vivre son existence sans subir des attaques plus ou moins virulentes, aux conséquences parfois bien dramatiques... qui pourraient être évitées !?

Or on peut en éviter ou être gardé de pas mal de difficultés et souffrances, quand on a trouvé en Dieu le Rédempteur qui a terrassé Satan et pris le dessus sur toutes sortes de maux par ses souffrances et sa mort injuste et sa résurrection.
C'est tout le bien, la satisfaction suprême que je vous souhaite et invite à rechercher et trouver... au bon endroit - Vous vous souvenez de la petite histoire !?Emoji

C'est ma prière que le Dieu vivant et vrai vienne en aide, voire au secours de quiconque aura lu cet article. Amen... et à suivre bien sûr !...

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13 février 2019 3 13 /02 /février /2019 11:47

La fin terrestre d'un être humain est un témoignage sans fard de la valeur réelle des fondamentaux de son existence.
Ainsi il nous est dit de Voltaire par exemple que sa fin fut épouvantable. Son médecin, le docteur Tronchin écrivit: "Je voudrais que tous ceux qui ont été séduits par les livres de Voltaire eussent été témoins de sa mort. Il n'est pas possible de tenir contre un pareil spectacle."

Henri Heine, un des plus grands écrivains du XIXe siècle, longtemps persifleur contre la foi, écrit sur cette fin de sa vie : "Depuis quatre ans, j'ai renoncé à tout orgueil philosophique et suis revenu vers des idées et des sentiments religieux ; je meurs dans la croyance en un Dieu unique, le créateur éternel de ce monde, dont j'implore la miséricorde pour mon âme immortelle. Je regrette d'avoir parfois parlé de choses saintes sans le respect qui leur était dû, mais j'étais entraîné bien plus par l'esprit de mon époque que par mes propres penchants. Si j'ai, sans le savoir, offensé les bonnes mœurs et la morale, essence véritable de toutes les religions monothéistes, alors j'en demande pardon à Dieu et aux hommes."

SUCCÈS ET SOUFFRANCES
Nous vivons une condition humaine dégradée, dénaturée, amoindrie... qui explique l'essentiel de nos insatisfactions, problèmes et souffrances, et encore les difficultés que nous avons à y trouver des solutions.

Certes nous faisons des progrès, parfois remarquables, mais le mal est une réalité dynamique, qui évolue en fonction de nos comportements, et dont on voit bien qu'il est comme l'eau, retenue quand elle est prise dans une tuyauterie et par des robinets fermés, mais capable de se répandre n'importe où par des points de fuite.

EN NOUS, DUEL OU DUO ?
Dans cette condition - devenue le naturel dans lequel nous naissons et évoluons -, notre corps et notre âme sont assez souvent en duel, alors qu'à l'origine ils ont été créés complémentaires, pour vivre en duo.
De fait notre santé, psychique comme physique, voire spirituelle, dépend de ce rapport - harmonieux ou chaotique - entre ces deux grandes parties de notre personne. 

C'est ainsi que par notre âme nous pouvons aimer le chocolat ou plus généralement manger ou boire bien plus que notre corps ne le supporte. Et si nous n'apprenons pas à maîtriser nos plaisirs - qui sont toujours une perception psychique, un ressenti de l'âme, même s'ils découlent de l'un ou l'autre de nos 5 sens -, divers désordres d'ordre physique (physiologique) peuvent apparaître... comme expression maligne la plus sensible du manque de compréhension, de sagesse, de maîtrise au plan de notre être intérieur.
On appelle ce phénomène la somatisation, quand le corps laisse se produire en lui un trouble (une maladie ou une addiction) destiné à interpeller l'âme, moi ! Ce moi que je suis censé être supérieur au corps, son gardien en quelque sorte.

Et il en est ainsi de toute démesure et autres mauvais usages que nous faisons de notre corps, que ce soit comme on a dit dans le domaine de l'alimentation, de la pratique sportive (trop intensive ou insuffisante), du travail ou d'une passion (dévorante, chronophage, épuisante), de la sexualité, des pensées (idéologies fausses, croyances trompeuses, valeurs bafouées ou controuvées...), du sommeil...

SURVEILLANCE MUTUELLE EFFECTIVE ET NÉCESSAIRE 
Les réactions du corps (via un organe, un fluide ou un autre) à une sollicitation anormale peuvent prendre deux directions :
- soit tel organe trop sollicité va se mettre à réclamer lui-même avec toujours plus de force ce qu'on lui impose d'injuste.
Il entre alors dans un cercle de dépendance et désordre croissants, vicieux et jusqu'infernal puisque cette union du corps et de l'âme dans un mauvais traitement de leurs usages respectifs finit par permettre à une entité démoniaque de se greffer sur nous, ce qu'on appelle addiction, oppression et même possession, d'où les troubles dans l'ordre psychique ou spirituel ;

- soit le corps se fatigue et capitule face à notre obstination psychique, laisse faiblir ses défenses (immunités), au puis où un virus (dont il aurait pu, en meilleure santé, se défendre) peut se mettre à avoir raison de lui dans telle ou telle partie de son corps.
Et on sait que d'un unique et petit point d'ancrage du mal, peut résulter pour nous une grosse maladie, un trouble physique sévère, et même la mort (qui exprime le franchissement d'un seuil critique d'abaissement des forces vitales).

À la suite on peut dire qu'on a tous expérimenté que la présence et domination d'un mal corporel ou d'un autre affecte en retour notre moral... Et disons tout cru, l'affection du moral est bien souvent une interpellation sur notre morale !
Car si le bien et le mal existent en matière de santé physique, il existe aussi en matière de santé psychique, avec des définitions connues et avérées de l'un et de l'autre. Par exemple Les 10 commandements ou le danger qu'il y a dans les pratiques occultes...

LIBERTÉ DE CHOIX ET DÉTERMINISMES CONNECTÉS
En nous tout cela fonctionne, agit et réagit en pleine intelligence du Réel, dans le but que nous nous soucions bien davantage de comprendre le sens, des épreuves, de notre propre présence en ce monde, et encore de tout l'aléatoire non seulement de notre présent et futur ici-bas, mais encore de notre devenir éternel ! Aléatoire tant que nous n'en savons pas assez, mais qui peut être changé en ordre, en paix intérieure, voire en joie, par une intelligence nouvelle des choses (modifiée, élargie, éclairée, surajoutée).

Alors bien sûr, quand un mal nous abaisse de manière significative, il nous faut recourir à un spécialiste ou un autre de la lutte contre le mal. Cela va du médecin généraliste à diverses sortes de psy-thérapies, et au recours à Dieu pour qui croit en son existe et en sa capacité à libérer une âme captive ou un corps malade.
La Bible affirme que Jésus est "le même, hier, aujourd'hui et éternellement", et donc il est toujours capable de faire des miracles comme il fit lors de sa (première) venue sur terre.
Des témoins de guérison ou de délivrance aujourd'hui encore le racontent, comme je l'ai moi-même expérimenté à quelques reprises, dont le cas particulier que vous pouvez lire ici).

AVEC DIEU IL EST IMPORTANT DE S'IMPLIQUER
Avez-vous des "points de fuite", par où votre vie et vitalité sont affaiblies, menacées, attaquées ? 
La Bible appelle ces points de fuite (du bien) ou porte d'accès au mal le et les péchés. Pécher c'est étymologiquement "manquer la cible", du bien, ce que Dieu a conçu que nous pouvons faire pour connaître le bonheur et partager son amour et son éternité.
Ainsi pécher c'est mal faire, ou faire mal, et cela c'est sortir du bien ou ne pas pouvoir y entrer.

Et si mal faire et faire mal est la principale caractéristique de notre condition abîmée, il faut aussi savoir que Dieu lui-même a prévu une porte de sortie du mal, ce qu'on appelle le pardon de nos péchés (fautes actives ou passives, pratiques comportementales ou conceptions mentales mauvaises).
Et alors que Jésus a tout payé à notre place en donnant sa vie dont le corps a été crucifié jusqu'à la mort pour nous, il est attendu de nous devant Dieu de la vérité et de l'humilité, ce qui permet que nous lui confessions nos fautes et obtenions son parfait pardon.
"Car le prix que coûte le péché (que doit payer celui/celle qui pèche), c’est la mort ; mais le don que Dieu accorde gratuitement, c’est la vie éternelle par la foi et dans l’union avec Jésus-Christ notre Seigneur."

(On peut aussi avoir à demander pardon à quelqu'un à qui on a fait du mal, et il faut le faire sans quoi Dieu ne peut pas nous pardonner...).

Si vous avez envie de prier pour vous mettre en ordre avec Dieu, vous avez ici une trame de prière pour vous y aider.

Un autre article qui peut vous intéresser : ET SI LA MEILLEURE FAÇON DE S'OCCUPER DE SON CORPS, C'ÉTAIT DE S'OCCUPER SURTOUT DE SON ÂME !?

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24 janvier 2019 4 24 /01 /janvier /2019 08:35

Chère lectrice, lecteur,

On ne saurait trop le redire, dans un monde qui se perd (repères, valeurs, sens général, directions particulières... et même pouvoir d'achat !) : Dieu existe et Jésus est vivant !

CROIRE QUE DIEU EST UNE PERSONNE RÉELLEMENT VIVANTE !
Pour vivre régulièrement des expériences avec lui depuis plus de trente-cinq ans, et compte tenu de mes propres difficultés et insuffisances, je peux assurer que le Dieu véritable est un Dieu fidèle, qui ne manque pas quand on l'invoque... et même quand parfois on se déroute (Il sait nous retrouver).

Telle est la vérité la plus essentielle que nous ayons non seulement à connaître de manière intellectuellement (par notre âme), mais encore à connaître par notre esprit et son Esprit. C'est-à-dire dans une relation vivante, rapprochée, qui vient et tient de la connaissance que nous pouvons avoir, lui de nous et nous de lui.

Relation faite d'expériences de ses réponses à nos prières ou attentes ; parfois de ses silences - qui n'ont d'autre but que de nous interpeller, pour une raison ou une autre - à rechercher - ; aussi de muscler notre foi pour que nous ne croyons pas seulement quand nous (le) ressentons.

Relation faite aussi bien sûr de ressentis, comme par exemple le bien dans notre cœur quand on expérimente un exaucement de prière, ou face aux merveilles de la nature, ou quand nous lisons avec à propos des paroles qui viennent de lui.

On ne doit pas se contenter de savoir qu'il y a deux mille ans Jésus a rendu vivantes des paroles de Dieu à deux disciples en train de perdre la foi (lire ici), mais on doit croire que par le même Esprit, il peut aujourd'hui, à nous personnellement, parler d'une manière toute surnaturelle ou d'une autre.

PAROLE(S) DE DIEU : DIEU PARLE TOUJOURS
Si toute la Bible est parole(s) inspirée(s) du Dieu souverain, quand nous n'avons pas une direction particulière de l'Esprit, le livre des Psaumes est comme une source abondante d'affirmations et de promesses par lesquelles il peut nous parler, établir une relation avec nous.

Hier soir par exemple, je ne me sens pas suffisamment près de Dieu, notamment sans direction spirituelle. Au bout d'un moment je décide de me placer devant la Bible, demandant à Jésus de me conduire où il a quelque chose à me dire.
Il me rappelle (par une pensée qui me vient) "psaume 84", qu'il m'a déjà dit de lire 2-3 semaines en arrière (et dont j'ai a priori oublié le contenu). 
En lisant je me rappelle du texte, mais surtout l'Esprit me met en relief le verset 6 "Heureux ceux qui placent en toi leur appui ! Ils trouvent dans leur coeur des chemins tout tracés." J'approuve cette affirmation et demande alors à voir dans mon cœur quel chemin...

Puis au verset 12 je lis une autre affirmation (que je connais, mais on est si oublieux !) qui m'interroge "l'Éternel Dieu est un soleil et un bouclier, L'Éternel donne la grâce et la gloire, Il ne refuse (ou retient) aucun bien à ceux qui marchent dans l'intégrité.". Il me semble que je marche dans l'intégrité !? Mais l'Esprit tout-divin me fait sentir que non ! Il y a un problème !
Comme je ne vois rien je m'humilie et demande sa lumière : Il me montre ce que je n'ai pas réglé, qui peut se régler - et qu'il est préférable de le faire - avant la fin du jour (si je veux être rapproché de lui).
Ce que je fais, et que l'Esprit atteste en moi.
Le lendemain matin, un, deux, trois chemins se tracent en moi, dont a résulté cet article.

Le Psaume 23 commence avec une affirmation similaire "L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien."
Cette fois c'est notre part de croyant de croire et d'affirmer que si je prends le Dieu de toute éternité comme conducteur de ma vie (comme un berger conduit les brebis/moutons qui lui sont confiés), je ne manquerai de rien ! 
Car si cette affirmation venue de David (le berger/poète/roi) est écrite là, c'est qu'il s'agit d'une vérité sur laquelle tout croyant authentique peut fonder sa foi. La part de Dieu est alors de répondre en rapport de notre foi, c'est-à-dire ici de faire qu'on ne manquera de rien.

On peut noter que le verbe manquer est au futur. L'affirmation est donc une promesse de Dieu. Il la tiendra quand il jugera que c'est le meilleur pour nous, et encore quand il pourra ! Puisqu'on vient de voir que peuvent exister des obstacles de notre part (manque d'intégrité mais aussi d'autres), qui empêchent Dieu de nous accorder tout le bien dont il veut nous pourvoir.

¤

Pour poursuivre une étude personnelle, voici quelques passages-clés :
- la foi qui met "en paix avec Dieu" et conduit à "l'aimer" n'a rien d'une simple croyance religieuse, mais passe par une "nouvelle naissance", toute spirituelle, qui se produit en nous :
     - Principe "A tous ceux qui l'ont reçue (la lumière de Dieu), à ceux qui croient en son nom (Jésus-Yeshoua-Issa), elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés,13 non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu."

      - Exemple : Évangile selon Jean, chap. 3, versets 1 à 21.

- Pourquoi la foi au Dieu vivant ne peut être séparée de la foi en Jésus vivant (mort et ressuscité) :
"Si quelqu'un est en Christ (né de Dieu), il est une nouvelle créature. Les choses anciennes sont passées ; voici, toutes choses sont devenues nouvelles.18 Et tout cela vient de Dieu, qui nous a réconciliés avec lui par Christ, et qui nous a donné le ministère de la réconciliation.19 Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

- Distinguer le bien du mal, avec, d'une manière générique "nos manifestations mauvaises", "les 10 commandements", le danger des contacts occultes, et en vis-à-vis "le fruit de l'Esprit" (ce vers quoi nous devons tendre pour le pratiquer par la force de la vie nouvelle de Christ en nous et la foi.
(Pour mieux cerner le mal selon Dieu qui pourrait vous concerner, voyez vous-même avec le Saint-Esprit pour qu'il vous conduise à voir/trouver ce qui vous est tout personnellement problématique).

Et bien sûr, parce qu'aucun d'entre nous n'est parfait en soi, c'est-à-dire sans pécher, sans faute, sans tomber, sans faire mal, "Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité.10 Si nous disons que nous n'avons pas péché, nous le faisons menteur, et sa parole n'est point en nous."
Et là, nous avons à apprendre à distinguer entre les fautes que nous pouvons commettre, et la force maligne qui nous habite et nous pousse à mal faire de manière répétitive (malgré notre désir de ne pas ou plus vouloir) : Pour les fautes on a besoin de pardon ; pour la force irrépressible dans un domaine donné, on a besoin de délivrance. Pardon et délivrance - et autres bénédictions - sont essentiellement au pouvoir de Dieu. 

Soyez béni-e, et réconcilié-e (jour après jour) avec Dieu par Christ "notre paix" (notre meilleur moyen disponible de paix intérieure durable). "Le Dieu de paix écrasera bientôt Satan sous vos pieds. Que la grâce de notre Seigneur Jésus Christ soit avec vous !"

un chant : Roi des cieux

Vous avez une question ? Posez-la !

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19 décembre 2018 3 19 /12 /décembre /2018 19:12

"DIEU EST AMOUR" affirment la Bible et ceux qui vivent déjà quelque peu de la réalité de cet amour immense. Mais vous, l'expérimentez-vous ou voulez-vous l'expérimenter ?

J'ai besoin de me savoir aimé. Pas vous ? Pour moi être aimé est devenu une composante de l'existence.
C'est une prise de conscience qui n'a rien d'inné, mais qui s'est formée au fil d'expériences amoureuses (bonnes, épanouissantes, merveilleuses) et celles aussi (douloureuses, parfois terribles, où le cœur saigne) du retrait de l'amour de l'autre.

De cet genre d'abandon m'est resté des décennies durant, dans un coin du fond de mon âme*, un sentiment confus d'insécurité, une crainte que quand ça va bien l'autre me lâche (pour quelque faute ou maladresse de ma part ou même sans que je sois explicitement en cause).

J'ai ainsi découvert que je suis (qu'on est tous, de manière consciente ou pas) tributaire de l'amour que quelqu'un d'autre peut nous porter et exprimer. Et faute d'être aimé, on est un peu comme une plante non arrosée ou une fleur coupée.
_________________
* Dieu peut changer en nous ce genre de problématique constitutive, mais il nous faut parfois du temps avant de réaliser que tel élément de notre personnalité n'est pas particulièrement nous, notre personne, mais plutôt dans certains cas une excroissance, ou dans d'autres une déficience, un artifice insidieux qui peut être changé pour un mieux en nous-même.

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AMOUR ET TRAHISON, LA DOULEUR

Dans la Bible on découvre l'histoire de Jésus trahi par un de ses douze premiers disciples. Cette trahison de Judas va conduire jusqu'à la crucifixion de Celui qui l'aimait et lui accordait toute sa confiance (malgré les travers qu'Il connaissait de lui, dont sa cupidité).

Tous les rejets que nous pouvons subir ne conduisent pas ainsi à la mort : mais certainement à des blessures qui peuvent restées des plaies ouvertes, sensibles, très longtemps, jusqu'à modifier notre relationnel de bien mauvaise manière.

C'est que parallèlement à l'amour - et même en confrontation avec ce sentiment fabuleux, surnaturel -, on découvre aussi que le mal existe, et on cherche à s'en garder, comme on peut : dureté, cuirasse, carapace, blindage du cœur, dérision, dérivatif, stupéfiant quelconque…

Je crois qu'on est tous ainsi de ces accidentés psychiques (dans l'âme) de la vie, qui voudrions bien encore connaître un vrai et bel amour, mais ne savons pas entrer dedans, notamment par crainte d'une infidélité qui fera souffrir encore…

Alors on reste superficiel/le, on traite les choses à la légère, on ne veut pas se laisser enfermer, et casser encore… Bref, on vit en handicapé du cœur, avec tous les comportements-béquilles malsains que cela peut occasionner.

L'AMOUR EST D'UN AUTRE MONDE

C'est que l'amour n'est pas de ce monde. L'amour est un attribut constitutif exclusif de Dieu : Lui seul EST amour. Nous avons à l'apprendre et à le comprendre… et mieux encore à l'expérimenter.

Ce qui signifie que le pouvoir d'aimer et d'être aimé n'est pas en notre possession. C'est une grâce de Dieu que parfois notre cœur peut se mettre à brûler pour quelqu'un d'un vrai et superbe amour – c'est-à-dire un amour sans condition, désintéressé, qui n'a rien à voir avec une séduction derrière laquelle est cachée un calcul, une arrière-pensée).

Cette problématique de notre séparation de Dieu qui est amour - on n'en expérimente plus alors que des jugements - et de notre incapacité à tenir et retenir naturellement l'amour - d'où les ruptures ou les tromperies - vient d'un fait qu'on appelle la chute - une descente et un enlisement terribles du genre humain. Ce que nous révèle en une brève synthèse formidable le 3e chapitre du livre (biblique) de la Genèse.

Tous blessés, mal-réactifs, jamais satisfaits, égocentriques, insatiables, en manque, inintelligents au Réel tel qu'il est, idolâtre, accro à quoi que ce soit…, rien ne nous est plus difficile dans notre monde que d'aimer, de vivre durablement même un amour véritable.

Car l'amour véritable (du cœur) tient de la perfection, de la pureté, de la droiture, de la vérité, du don, de la primauté de l'autre. Il a besoin de justice, de respect, d'une certaine exclusivité. Sinon, oups ! Il est parti – chez l'un ou chez l'autre, ou chez les deux, et on ne sait pas davantage comment réparer que comment préserver.

Ce qui veut dire que pour des gens naturellement égocentrés comme nous (surtout en occident), si aimer peut nous "tomber" dessus à l'improviste de plusieurs manières, continuer à aimer, choisir l'amour comme plus important que tout ce qui vient le contrarier, tient de la force, de la détermination, d'une volonté et d'une intelligence… qui sont loin de nous être naturelles.

PASSER D'UNE EXISTENCE NATURELLE TRONQUÉE À LA VIE SURNATURELLE

Pourquoi a-t-on besoin de Dieu !?

a) Parce que son amour peut devenir constant dans notre existence comme il est écrit ici :
"Étant justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus-Christ; 2 c’est à lui que nous devons d’avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l’espérance de la gloire de Dieu.3 Bien plus, nous nous glorifions même dans les tribulations, sachant que la tribulation produit la persévérance,4 la persévérance une fidélité éprouvée, et la fidélité éprouvée l’espérance.5 Or, l’espérance ne trompe pas, parce que l’amour de Dieu est répandu dans nos cœurs par le Saint-Esprit qui nous a été donné."

b) Parce que son amour – si nous acceptons de faire alliance avec lui dans cet amour – ne nous trahira jamais, mais travaillera toujours à nous amener plus près de son cœur, dans son amour :
"Aucune tentation ne vous est survenue qui n’ait été humaine; Dieu est fidèle et ne permettra pas que vous soyez tentés au-delà de vos forces; mais avec la tentation, il donnera aussi le moyen d’en sortir, pour que vous puissiez la supporter." 1 Corinthiens 10:13.

Et s'il nous arrive de lui être infidèle (par quelque faiblesse, insuffisance...), il ne nous lâchera pas mais travaillera à rendre notre connaissance du Réel et notre relation à lui plus solide et permanente. Notamment selon que "si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner et nous purifier de toute injustice."

c) Parce qu'ayant été blessé/e par une rupture, nous avons aussi besoin de guérison intérieure :
Le prophète Esaïe dit du calvaire de souffrances de Jésus : "Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur Et habitué à la souffrance, Semblable à celui devant qui l’on se voile la face, Il était méprisé, Nous ne l’avons pas considéré. 4 Certes, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé."

Dieu a prouvé là de manière très concrète la force et la détermination par lesquelles il a fait le nécessaire pour que nous puissions le connaître, déjà d'ici maintenant, en tant que Dieu qui est amour.
L'apôtre Jean l'a écrit ainsi :
"Pour nous, nous (l')aimons, parce que lui nous a aimés le premier."

Comment cet amour céleste a-t-il été manifesté ?
"En ceci, Dieu prouve son amour envers nous: lorsque nous étions encore pécheurs, Christ est mort pour nous.9 A bien plus forte raison, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère.10 Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à bien plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie…"

Et encore : "Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation.20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu !21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."

UN MARIAGE AVEC LE BIEN SUPRÊME !

Cela nous apprend que Dieu et/par Jésus a tout fait pour nous ramener dans une vraie paix avec lui – et en nous-même – et jusque dans son amour. C'est comme dans un mariage où l'époux dit : Oui, je veux prendre ...X… pour épouse.

Il reste à la candidate au mariage à dire Oui, je prends …Y... pour époux.

Concrètement avec Dieu, qu'avons-nous - qu'avez-vous - à faire ?

a) A vous réjouir encore si déjà vous avez vécu ce pas de recevoir le Christ Jésus comme le Dieu Sauveur (ce que signifie son nom, Yeshoua en hébreu = Dieu sauve) ;

b) Ou à accepter d'entrer dans cette alliance dont les conditions d'accès ont été accomplies par Jésus, et pour la vie épanouissante de laquelle il vous reste à vouloir être vous-même fidèle.
Ce qui signifie remettre en cause un mode d'existence que vous avez eu jusque là et qui n'a pu ni vous rendre heureux/se ni assurer votre paix et meilleure sécurité face à votre quotidien ou aux imprévus, sans parler de votre futur et face à la mort vers quoi on avance.

Renoncer au mal pour recevoir le meilleur des biens ! Tel est le défi que Dieu nous lance. Un choix déterminant de tous les autres aux effets courant jusqu'au delà de la mort physique. C'est pas rien !
Choisir car tout n'est pas compatible avec cette alliance. Et parce qu'il s'agit d'une alliance de vie et d'amour, on doit décider de laisser ce qui est mortifère, ennemi de la justice, de la vérité, de la confiance, de l'amour.

Jésus dit que "par tes paroles tu seras justifié-e, et par tes paroles tu seras condamné-e." (Mat 12.37).
A chacun-e de voir ce qu'il-qu'elle répond à l'offre unique d'union que la Bible et Jésus mettent à la disposition du genre humain pour relever de la chute quiconque veut changer pour rejoindre ce plan rédempteur de Dieu.

Un chant simple mais vrai

Dieu vous aime mais le savez-vous par expérience ?
Dieu vous aime mais le saurez-vous ?

Soyez aidé-e pour faire le pas de foi de votre propre salut éternel.

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10 décembre 2018 1 10 /12 /décembre /2018 14:54

PREMIÈREMENT : ARRIVER AU CŒUR PROFOND DE NOS CRISES

Les "vieux démons" !? Vous avez certainement entendu cette expression - qui réapparaît régulièrement quand il s'agit d'actes de barbarie, de terrorisme, de casse, d'addictions... !

Notre problème c'est qu'on a réduit une réalité bien vivante - les démons, sans chair et sans os mais puissants* ! - à un concept, à une forme métaphorique aussi insignifiante qu'une coquille de noix vide. Et voilà une grande cause de nos difficultés parmi les plus violences.

Parce que oui, les démons existent et continuent d'exister ! Regarder vos écrans (ou l'histoire à toutes les époques), et vous en voyez les effets.

Oui, ils sont vieux, mais surtout ils sont éternels ! On n'a donc pas fini d'y faire référence, dans une inconscience qu'il va bien falloir accepter de revoir et changer contre une réelle prise de conscience du Réel – et le plus tôt est bien sûr le mieux.

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* Anges déchus, les démons sont de l'ordre des entités (sans avoir besoin d'un corps dense) et des énergies (essentiellement invisibles en elles-mêmes, qui se découvrent et se "voit" indirectement par leurs effets : comme les forces élémentaires de l'univers, l'électricité, les ondes, l'âme et les pensées, et tout le spirituel).

1968, 2012 ou 2018 !? Les causes secondes changent, mais le fond du problème
(de la condition humaine) est toujours le même...

CHANGEMENT, CHANGEMENTS !?...

Globalement on ne peut plus ignorer qu'avec l'arrivée du IIIe millénaire christique, nous sommes entrés dans une période étonnamment nouvelle. Cela va être un bref temps-charnière, avec des changements encore largement insoupçonnés par la plupart, aussi profonds que le réveil d'un volcan ou les contractions d'une femme enceinte.

Outre que le genre humain à perdu sa souveraineté terrestre depuis que le premier esprit extra-terrestre maléfique en a pris le contrôle, nous sommes actuellement dans un temps très très particulier : Celui de l'achèvement du "temps de la grâce" autrement appelé "temps des nations". Savoir l'approche de la fin des deux derniers millénaires, qu'avait ouverts Jésus-Christ (Yeshoua le Messie d'Israël reçu comme le Christ des nations) à partir de sa mort et résurrection (probablement vers l'an 27).

En d'autres termes une mutation bien plus prodigieuse que ce qu'on imagine ou craint ou espère a commencé et se déploie dans sa fin de plus en plus rapidement et de manière choquante à sidérante, alarmante, interpellante pour l'âme ou violente pour les corps ! Sous nos yeux le plus souvent myopes ou aveugles... malgré cumulativement la fin de toutes semences saines, l'extinction impressionnante de toutes sortes d'espèces animales, des dérégulations monétaires problématiques, les dérèglements climatiques croissants, des déséquilibres écologiques dramatiques (appauvrissement des terres arables, déforestations, pollutions partout...), la montée des addictions, apparition ou réapparition de maladies souvent contagieuses, les famines, le chômage, les divorces, le recours croissant à la mort comme "solution" de libération, le retour de barbaries...

Est-on si loin des années folles ou des années 30, deux périodes de dérégulation morale ponctuées par les deux grandes guerres mondiales ? Pas tant que ça ! Même nos politiques font le rapprochement...


PLUS QU'UN CHANGEMENT, ON VIT UN CHAMBOULEMENT

C'est ce qu'on a pu notamment observer quand Nicolas Sarkozy, adhérent voire héraut (comme les autres) d'une idéologie politique mondialisante, a vendu la France (par le traité de Lisbonne, contre le résultat du référendum) à une "technocratie européenne invisible".

Depuis c'est la Bérézina (quand l'armée napoléonienne devenue incapable de conquérir la Russie sombra plus encore dans le fleuve Bérézina dont la glace des eaux céda sous leur poids). On vit le démembrement des nations, ce que la Bible nomme "la fin du temps des nations". 
 

Depuis cette européanisation de la France perpétuée par les deux présidents suivants, la vis (les libertés) se serre au point de créer ce qu'on voit ces jours de décembre dans les rues de France (dans ses "artères"), et significativement aux ronds-points : carrefours qui parlent de différentes directions possibles : et quand on veut aller au bon endroit, il vaut mieux faire le bon choix !

La vis se serre car
- d'un côté on est engagés dans une idéologie bureaucratique (ou bureaucratie idéologique) hors-sol, prémices de la Mondialisation recherchée par les "vieux démons" qui n'en démordent pas,
- et de l'autre on a laissé Les droits universels de l'homme se muter – et là aussi on peut parler de pressions initiées par le monde infernal – en droits partisans de chacun !
... sans jamais parler des Devoirs obligés de tous ! Donc sans plus de responsabilité personnelle quant à ce qui nous arrive.

Or, est-ce une vérité qu'on se retrouve innocemment au mauvais endroit au mauvais moment, sans y être pour rien ?
Ce qui veut trop dire : Je ne suis en rien cause dans ce qui m'arrive !
Ainsi la dérive de la victimisation : Quand je suis atteint par quelque mal, et quand je fais du mal en réaction à mes souffrances, je ne suis qu'une victime !
Et encore, pourquoi pas : - On me doit quelque chose !

C'est là une conception erronée du Réel, un mensonge diabolique.
C'est au point où déjà on n'est même plus le responsable de nos actes : J'ai tué parce que je supportais plus telle situation ! J'ai violé parce que j'avais envie et l'autre n'a pas réagi au point où je n'aurais pas pu le faire !


Tout et nous-même nous enferment dans cette déresponsabilisation et irresponsabilité - alors qu'on est toujours coupable aux yeux de Dieu. Ce qui fait un profond malaise intérieur (à l'intérieur des personnes et à l'intérieur de la nation), et qu'il ne reste plus que des électrochocs de plus en plus sévères pour nous… sauver de cette "mort-fine" !
Pour réveiller dans tous les camps (gilets jaunes, casseurs sombres, dirigeants oligarques, forces de l'ordre, indifférents à tout...) de cet endormissement mortifère dans lequel on laisse toujours plus de terrain… à Satan !…

C'est ainsi qu'on a longtemps laissé les casseurs casser sans les contrarier ! ...Comme on a laissé les enfants s'élever tout seul, sans correction, juste livrés à leurs pulsions, ressentis et autres impressions… Et là aussi livrés aux démons dès lors que le laxisme parental ou institutionnel leur laisse le champ libre… Remarquez l'autorité ou la force de certains tout-petits ou de certains pré-ados !...

ANTAGONISMES, LUTTES, COMBATS, RUPTURES, EN LIEU ET PLACE DES INSIGNES RÉPUBLICAINS… IDÉAUX

Qui va gagner, dans ce contexte ?
Contexte occasionné - voyons-le ! - d'abord par l'abandon croissant de valeurs et vérités religieuses traditionnelles (chrétiennes, universelles autant que françaises) et à la suite par des développements sans conscience suffisante de philosophies et idéologies athées, et de technologies dans un but essentiellement mercantiles.

Qui va gagner ? Certainement pas l'individu ! Certainement pas l'homme, la personne humaine ! C'est-à-dire certainement pas la démocratie !

Remarquez : Il suffit d'ajouter la lettre N – la haine – dans la démocratie pour en faire une démoNcratie (une gouvernance humaine pilotée par les esprits mauvais), à la base trop large et à la tête trop indéfinie pour pouvoir gagner.

A l'opposé, par le haut, c'est la mondialisation (où le monde, c'est démon en verlan). Un autre positionnement, mais l'action est dans le même sens, au profit de l'occulte ténébreux.
Le gouvernement collégial unique inféodera les peuples à eux, croient-ils, mais ce sera, eux compris, qui seront les bernés, les benés du Malin au lieu d'avoir choisi d'être les bénis de Dieu.

Ainsi a-t-on, orientés les uns contre les autres d'un côté un immense corps sans tête (les peuples), de l'autre une tête (oligarque) coupée du corps qu'elle sait de moins en moins bien gouverner...

Dans tous les cas, c'est l'homme, la femme, les enfants, tout le genre humain qui perd en ne suivant plus les préceptes et les ordonnancements naturels divins.

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Ce sens - le plus visible - de l'histoire est d'autant plus certain et à surveiller qu'on emploie de plus en plus souvent le mot Apocalypse. Du nom de ce livre de la Bible qui (avec d'autres) prédit un système unique de gouvernance mondiale (à partir de son chap. 13 – On est à la fin du chap. 9).
C'est un impérialisme qui est là prophétisé, plus terrible que les impérialismes réunis d'Alexandre le grand et des césars romains (pour qui connait un peu ses histoires) !

Quand on sait que déjà bien plus de 100 prophéties se sont fidèlement accomplies en leur temps, on peut se dire qu'il faut peut-être mieux écouter pour anticiper sur les jours sombres et nuits noires annoncés.

SIGNES, BALISES, LUMIÈRE, ALERTE... CAR IL Y A DANS LE MÊME TEMPS UN AUTRE COURANT DE L'HISTOIRE : CELUI DU SENS !

Être attentif donc, car toujours des signes annonciateurs d'un changement au moins assez important paraissent – témoins aussi que les temps et événements ne sont livrés ni à des hasards aveugles ni à la seule conduite (inconsidérée) des créatures, mais restent sous contrôle divin.

Ainsi vient un chaos planétaire, et une solution divine comme jamais encore il n'en a fait paraître (un événement bien plus grand que la traversée à pied sec par les israélites conduits par Moïse de la Mer rouge... qui engloutit à la suite la féroce 'armée du Pharaon d’Égypte).

POURQUOI UN TRIOMPHE DE LA VIOLENCE ?

Parce que les démons ne vieillissent pas : Ils sont très nombreux (1/3 de tous les anges créés par Dieu, sortis de leur rang et du Bien, par arrogance et orgueil pour certains, par faiblesses pour d'autres, à la suite de l'ange brillant et usurpateur premier (appelé parfois Lucifer) devenu Satan, l'adversaire de tous biens véritables... dont nous !

Ainsi, à cause d'un abandon généralisé (ou apostasie) rudement (plus que savamment) orchestré, des croyances de source chrétienne, et forcément à la suite des valeurs qui allaient avec, l'être humain a naturellement tendance à se faire jusqu'à démoniser, alors que Dieu lui offre - nous offre - la possibilité d'être divinisé, en recevant (de) son Esprit.

Un don de l'Esprit de Dieu à la fois
- comme lumière intérieure, avec une conscience redonnée de ce qu'est de manière intangible le bien et le mal. Pour bien mieux voir le Réel comme il est, notamment avec sa double dimension surnaturelle spirituelle que forment les sphères asymétriques de Dieu (infinies) et de Satan (limitée puis conséquente).
Lumière intérieure qui trouve son alter-ego, ses appuis ou confirmations dans les Écritures bibliques (notamment du Nouveau Testament)… ;

- comme paix intérieure, comme confiance grandissante dans le présent et l'avenir… ;

- comme force surnaturelle pour résister au mal, pour opter pour le bien, pour prier avec efficacité… ;

- et, plus important que tout, comme vie éternelle - l'éternisation de notre personnalité psychique !

Réalisons-nous que nous sommes mortels !? Mais aussi que Jésus est venu pour nous réintroduire vivant dans La Vie intemporelle de Dieu ! En déposant en n'importe qui d'entre nous croit en Son plan christique de rédemption,"les arrhes de son Esprit éternel".

DEUX MODES D'ARRÊT DE LA JUSTICE BASIQUE DE DIEU

De l'Ouest américain (avec par exemple le feu dévastateur de la ville de Paradis…) à "la plus belle avenue du monde", on a de quoi s'interroger sur ce qui se passe !
La Bible dit que si Dieu n'exerçait pas de jugements, plus personne ne croirait qu'il existe. Et il les exerce.

Dans tous les cas si aucune repentance n'apparaît les démons peuvent vite venir ajouter à un juste jugement des forces amplificatrices. En agitant et mobilisant ceux dont les pensées et comportements humains habituels sont des portes ouvertes à leurs débordements.
Sans parler des vrais gilets jaunes au départ pacifiques, qui se sont laissés et peuvent se faire encore contaminés par les vents subtils mais potentiellement puissants libérés dans les rues et dans cette crise.

Je le rappelle ! Dieu fait grâce aux humbles et à qui s'abaisse, mais il résiste aux arrogants dont l'orgueil précède et précipite la ruine.

L'organisation divine veut et fait que tout jugement ne peut cesser que de deux manières :

a) Par l'abaissement et la repentance (contrition, amer regret, mea culpa, demande de pardon, humiliation volontaire) de celui/celle qui en est atteint/e.

C'est le signe que l'on a encore une conscience de ce qu'on est des êtres (quelque part, d'une manière ou d'une autre, pour une raison ou une autre), responsables de ce qui nous arrive. Si cette prise de conscience ne se fait même plus, il ne faut pas s'étonner si on se trouve soudain confrontés à des violences ou viols ou pillages... qui se passent dans le même genre d'inconscience de sa responsabilité propre.

b) Ou bien, quand dans un embrasement surabondant, Dieu juge que l'injustice dans le jugement est arrivée à son comble.
Quand la correction est telle qu'il ne s'agit plus d'un acte de justice, mais d'une nouvelle injustice qui doit être à son tour châtiée. Les démons alors jugés et sortis du terrain de leurs exactions doivent laisser le terrain et la paix revient comme d'elle-même. Exemple fort et typique : La chute du mur de Berlin, sans la moindre résistance.

Si donc le Président Macron s'abaisse suffisamment pour que la démocratie tienne encore face à la montée de la mondialisation, la paix reviendra vite. Sinon les démons auront encore des droits pour pousser dans l'insatisfaction et la révolte (si leurs ravages ne sont pas parvenus à leur comble).

Aparté : Quand on a choisi pour dieu Mammon, personnalisation de l'argent, de la finance, il ne faut pas s'étonner si les jugements viennent toucher aux portefeuilles ! Car il y a toujours une vraie logique en toutes ses choses : on est le plus souvent puni par où l'on pèche.

 

Ainsi s'exerce toujours une justice basique de Dieu, même si on n'y croit pas ou si on ne le voit pas en tant que tel. La justice du mal payé par le mal ou justice rétributive, que ne peut arrêter ou amoindrir qu'une marque réelle de regret.

DES IMAGES EUROPÉENNES SIGNIFICATIVES

Pour s'assurer qu'il y a bien continuité du passé le plus antique à ce qu'on vit aujourd'hui, l'Europe a conservé deux images fortes indéniables.

a) La tour de Babel, le parlement européen de Strasbourg étant physiquement construit sur ce schéma d'une tour... inachevée. Pour dire : NOUS, nous allons faire; finir l'unité (interrompue) des hommes que figura cette tour ancestrale !
Que faut-il comprendre de ce symbole dès lors qu'on sait que c'est le Dieu-qui-ne-change-pas qui a interrompu cette construction et sa finalité (parce qu'elle se bâtissait en liaison avec les démons justement - livre biblique de la Genèse, chap. 11) ! Et donc ?...

b) D'autre part de la mythologie grecque, l'image d'Europa chevauchant le taureau blanc qui l'avait séduite et enlevée (motif paraissant notamment à Bruxelles). Taureau figurant le Dieu souverain, Zeus chez les grecs, déguisé en une créature superbe capable de toucher le cœur de la belle Europe dont il est tombé amoureux.
Qui donc figure Zeus ?

Est-ce une expression du Dieu des dieux que découvrit Abra(ha)m et qui ouvrit lui-même par diverses révélations dans un premier temps au monothéisme, puis à l'incarnation du Verbe éternel ?

Ou est-ce le dieu de ce monde que la Bible appelle "le prince de ce monde", Satan devenu le vainqueur des hommes par une première faute adamique (dont la femme fut la 1ère victime) ?
On est encore avertis par la Bible que ce "dieu" (par sa position au-dessus de nous)peut se faire passer à nos yeux pour "un ange de lumière", pouvant donc nous séduire, tromper et enlever/entraîner dans ses conceptions artificieuses !...

NE NOUS TROMPONS PAS DE DIEU !

C'est tout l'enjeu de notre temps, de notre terre, et de l'appropriation 'définitive) ou de la perte de nos âmes qui est là sur les différentes places du monde (financières, économiques, politiques, cognitives, conceptuelles…) ! Ne nous trompons pas de Dieu ! On peut s'en donner tellement, qui ne sont au final que des supports de Satan qui en tirent les ficelles pour que nous ne venions pas dans la grâce de son salut.

Entre les paillettes et les peurs qu'utilise contre tous "le taureau" (aussi figuré à New-York devant la Bourse de Wall Street !) et les vérités et les grâces qu'offre Celui qui refuse les images représentatives et se propose à qui veut le suivre, il ne faut pas se tromper !
Entre celui qui a exulté en poussant à bout la crucifixion de Jésus (et qui s'en prend encore aujourd'hui à ceux qui croient en lui) et Celui qui l'a subie pour nous extirper de ses griffes et des condamnations, sachons faire la différence. 

LE POUVOIR PERMANENT, A ACTIVER, DE LA CRUCIFIXION DE JÉSUS

Savez-vous cela !? La Bible dit avec toujours la même constante actualité jusqu'à maintenant :
"Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné (Jésus, Yeshoua en hébreu, Issa en arabe…), nous n'avons fait de lui aucun cas. 4 Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. 5 Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris. 6 Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie ; Et l'Éternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous. 7 Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent ; Il n'a point ouvert la bouche. 8 Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment ; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu'il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple ? 9 On a mis son sépulcre parmi les méchants, Son tombeau avec le riche, Quoiqu'il n'eût point commis de violence Et qu'il n'y eût point de fraude dans sa bouche. 10 Il a plu à l'Éternel de le briser par la souffrance... Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, Il verra une postérité et prolongera ses jours ; Et l’œuvre de l'Éternel prospérera entre ses mains. 11 A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards ; Par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d'hommes, Et il se chargera de leurs iniquités.
12 C'est pourquoi je lui donnerai sa part avec les grands ; Il partagera le butin avec les puissants, Parce qu'il s'est livré lui-même à la mort, Et qu'il a été mis au nombre des malfaiteurs, Parce qu'il a porté les péchés de beaucoup d'hommes, Et qu'il a intercédé pour les coupables.
"

Réalisez-vous ce qui a été écrit là de Jésus (7 siècles avant que cela n'arrive) au sujet de cette mort unique qui fut la sienne :  comprise comme indispensable, acceptée, rédemptrice, potentiellement salvatrice de l'âme de tout être humain !?

Pourquoi a-t-il "plu" à l’Éternel de voir mourir ainsi Jésus ? Parce que ce fils unique bien-aimé a accepté de prendre cette place des coupables que nous sommes tous.
Parce que c'était le seul moyen juste pour stopper la justice basique de Dieu qui nous condamne tous à mourir sans pouvoir dès lors connaître tout le Bien qu'est Dieu et une vie en relation avec lui.

"Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur."

Et pour cela il fallut "que le Fils de l'homme soit élevé, 15 afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle.
16 Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.
17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.
18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu. 19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises.
20 Car quiconque fait le mal hait la lumière, et ne vient point à la lumière, de peur que ses œuvres ne soient dévoilées ; 21 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses œuvres soient manifestées dans une conformité à ce qui se fait en Dieu.
"
- POURQUOI !?
LA QUESTION À TOUJOURS SE POSER
Je la pose souvent à Dieu, sinon comment comprendre certaines choses qui nous arrivent ou qu'il cherche à nous dire ! Et il répond !... si on attend vraiment qu'il nous réponde (ce qui nous manque souvent).

Pourquoi donc Paris et la France encore à feu et à sang ? Pourquoi Mai 68 réitéré un demi-siècle plus tard – en pire parfois ?

Parce que les démons ne changent pas, et sont toujours dynamiques quand nos comportements – surtout ceux des leaders politiques quand on parle en terme de nation – deviennent trop injustes ;

Parce que le cœur des hommes/femmes/enfants ne change pas (Jérémie chap. 17.9) ;

Parce que sans foi en regard de la mort secourable – secouriste ! – de Jésus, on reste tous et chacun livrés à nos insuffisances, à nos dérèglements, égarements, perversions, méchancetés, illusions, égoïsme coupable, convoitise, jalousie, addictions, incompréhensions… 

MAIS LA BONNE NOUVELLE...
c'est que si les situations sont globalement en marche vers le mal, planétairement, de manière irréversible, la nôtre à chacun, la vôtre, est encore individuellement modifiable pour que vous marchiez, même parmi le chaos, dans un présent transformé (par votre regard éclairé par la foi) et vers un avenir sans fin où le mal ne sera plus !

C'est vrai pour chacun qui cherche et trouve, reçoit dans sa vie le seul vrai Dieu :
- Celui qui s'est donné pour le genre humain en la personne de Jésus, en vue de la repentance individuelle et du pardon des péchés (fautes) de chacun ;

- Celui qui donne de plus son Esprit à quiconque croit, afin que nous n'ayons pas une religion ou une autre à suivre comme une contrainte (de plus) et entrave à notre liberté intérieure. Mais que par cette force de vie surajoutée nous trouvions la paix en nous-même, le meilleur de la liberté psychique et spirituelle, des solutions à nos problèmes de relations, d'inconfort et autres addictions les plus contraignantes…

...SE SAISIT VRAIMENT INDIVIDUELLEMENT

Ainsi chacun, chacune de nous peut potentiellement se faire démoniser (assujettir à, par, des oppressions ou même possession(s) démoniaque(s)).
A l'inverse chacun, chacune peut être divinisé (réconcilié et en paix avec Dieu dès ici-bas et pour vivre la création suivante).

Jésus n'a pas promis à ceux qui veulent le suivre la facilité, une vie rose-bonbon ! Mais il a dit qu'avec lui on pouvait être plein d'assurance dans les adversités, car il avait vaincu les forces mauvaises de ce monde ! Lire aussi le Psaume 91 par exemple.

L'apôtre Pierre dit qu'il est préférable pour un enfant de Dieu (chrétien) de souffrir pour sa foi, dans sa foi, plutôt que de souffrir à cause de nos péchés comme incrédule ou religieux hypocrite.

Gilet jaune, casseur sombre, gouvernant subjugué, citoyen jusque-là indifférent ou encore étranger déraciné, qui que nous soyons, nous pouvons tous entendre et répondre à ces affirmations percutantes de Jésus :

"Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi."

"Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie."

Mais aussi "il ajouta : nul ne peut venir à moi, si cela ne lui a été donné par le Père."

Priez donc Dieu, l’Éternel Père absolu des créations, si vous ne le connaissez pas encore "en esprit et en vérité", pour qu'il vous envoie des révélations pour votre salut.
Sachant ou sans oublier que "la foi vient de ce qu'on entend qui nous vient de la parole de Christ."

Et "Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples."

Alors "vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libre."

Soyez sauvé-e !

Articles connexes : Les 5 types de mortune trame pour prierLes 5 formes bibliques de résurrection.

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29 novembre 2018 4 29 /11 /novembre /2018 13:41

Êtes-vous d'accord : Par définition, il n'y a RIEN de scientifique dans le hasard !? Et encore moins dans des tâtonnements hasardeux ou dans des cumuls de hasards...

Si tout le monde est d'accord sur ce point, où est la cohérence chez celui/celle qui ne croit pas au minimum en "une Intelligence supérieure créatrice" - c'est-à-dire en un Dieu ?...

Car tout est science, statique ou actif selon des lois multiples et ordres surnaturels dans tous les plans (du quantique au cosmique) de l'univers. 
Tout est formidablement organisé et tient en d'innombrables équilibres (26 très précis règlent l'univers tel qu'il est et tel qu'il bouge), avec des déterminismes et inter-relations qui en même temps n'empêchent pas à de la liberté, à de la créativité de s'exprimer, avec des prolongements d'effets ou autres applications... qui elles non plus ne relèvent pas de hasards.

Avez-vous réfléchis une fois plus d'une heure sur tout cela ?...

Ce qui est déréglé, c'est nous !
Pour avoir une si mauvaise vue (et tant de difficultés à nous gérer).

Une petite vidéo de 22 mn
ici sur La fin qu'on peut se donner avec bonheur  de la croyance au hasard comme moteur des dynamiques de ce qui est.

¤

Et puis comment une Intelligence créatrice pourrait-elle être impersonnelle !?
C'est-à-dire en fait inférieure à nous, puisque nous, nous avons une conscience personnelle déjà de nous-même, mais encore qui s'étend jusqu'à une connaissance de l'autre, des autres vies que nous-même, et des capacités de relationner avec !?...

Si on ne réfléchit pas sur ces choses pour TROUVER réponse et remède à notre condition handicapée, souffrante et mortelle, comment peut-on entrevoir, espérer, découvrir une vie bonne, apaisée et durable dans le bien -
éternelle, comme l'offre et le promet Jésus !?...


Lien ici pour une prière-guide si vous désirez faire une prière de réconciliation avec Dieu - le créateur et rédempteur (celui qui nous pardonne pour que nous puissions le connaître).

Bénédictions lumineuses pour vous.

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8 octobre 2018 1 08 /10 /octobre /2018 19:30

Je n'ai pas de grosses capacités psychiques - c'est toujours relatif -, mais je comprends et je demande que, dans la mesure où notre intelligence même la plus affutée ne nous permet pas de tout comprendre (même des réalités visibles et de leurs agencements ou des énergies à l’œuvre ne serait-ce que dans la dimension naturelle physique et quantique), je demande : Qui peut se permettre de dire : - Il n'y a pas de Dieu ! ou Dieu n'existe pas !?...

La pensée peut nous en venir (aussi parce que toutes nos pensées ne viennent pas de nous), mais le dire, l'écrire !?
Ce n'est pas logique !

N'est-ce pas alors l'effet d'une prétention, sans logique, ni l'humilité de s'admettre avec nos limites dans notre compréhension de ce qui est ?
Un effet de la méconnaissance de soi et encore des tenants et aboutissants - du sens donc - du Réel (réel dans sa plus large acception, tous les invisibles compris) ?

Dire qu'il n'y a pas de Dieu c'est se montrer pire qu'ignorant : menteur ! Car il vaut mieux se taire, humblement, que de dire ce qu'on ne sait pas, ce sur quoi on n'a pas cherché. Et c'est bien malencontreux si on se trompe sur un sujet aussi important et fondamental, car alors on se trompe d'abord soi-même.

Et bien sûr croire ainsi et le dire ou vouloir le dire, rend tout absurde comme l'a conclu Jean-Paul Sartre au terme des pensées et réflexions qu'il a poussées en partant de l'a priori qu'il n'y a pas de Dieu.
Il aurait écrit  (en tout cas c'est une conclusion de l'athéisme) : "L"univers sans Dieu, sans raison d'être, est absurde dans son ensemble et dans ses parties". On est bien d'accord !

Il est allé jusqu'au bout de ce chemin - dans quelle mesure choisi !? - en tout cas ce dont il a fait son chemin, trouvant qu'il était sans issue, sans avenir, sans dépassement possible.

Si au moins cela servait à d'autres ! Si au moins des personnes intelligentes enseignaient à partir de cette expérience - nihiliste, réductrice au possible, défaitiste jusqu'à ne plus voir que son propre plaisir le plus matériel ou la mort comme échappatoire -  enseignaient que ce n'est pas une route à emprunter ! Que si elle semble praticable, ce n'est qu'une illusion, pire une séduction, comme feraient des sirènes envers des hommes qui se sont approchés d'elles - en réalité des démons déguisés -.

Or on a tous un pied et un œil directeur ! Et donc cela peut nous apprendre qu'il faut partir du bon pied, ou voir selon l’œil qui donne le meilleur point de vue, la meilleure perspective.  

CAR AU CONTRAIRE...
Si on part du postulat qu'il y a un Dieu, et qu'on le cherche, qu'on enquête sans un a priori athée ou même religieux - qui ne sont toujours que des représentations inculquées -, on arrive à une toute autre perception - et à de tout autres expériences.

Pour cela il y faut surtout de l'honnêteté, pas comme cette personne que j'ai lu quelque part qui dit qu'"il a pris de Descartes la méthode mais sans vouloir de son contenu" (de sa foi en Dieu)... Un peu comme un ado qui claque la porte du foyer parental, riche de ses capacités et autres biens transmis par ses parents mais sans plus vouloir de leur personne. Tiens, on dirait la parabole du fils prodigue - dit prodigue certes car il va l'être, mais ingrat surtout ; et s'il n'avait pas eu un père aimant comme Dieu peut nous aimer si on revient à lui...

À vous de voir, peut-être autrement, en changeant votre fusil d'épaule comme on dit aussi, pour viser juste. Tiens, justement, le sens profond (étymologique du mot péché, c'est manquer la cible, tirer ou passer à côté du but à atteindre. Alors il suffit si vous en êtes là, de mieux prendre votre temps, de vous caler, stabiliser, plutôt que de vous laisser emporter dans tous les tourbillons, vents de vanité et enchaînements que ce monde produit !...

Si vous avez du temps pour découvrir d'autres pensées à réfléchir, rendez-vous ici.

Bénédictions.

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23 septembre 2018 7 23 /09 /septembre /2018 21:01

OUI C’EST DIEU !

La terre et le ciel gris ou bleu
La pluie, les vents, les flocons qui font neige,
N’est-ce pas Dieu* !?

Tant d’oiseaux qui font leur nid, et les fleurs et l’abeille,
Les rivières, les roseaux, le fayard ou le chêne,
Oui c’est Dieu !

Et la fonction de reproduction, et d’élimination ?
La respiration, un cœur qui bat, un cours ou un métier
Qui s’apprend ; un esprit curieux, la poésie,
Les lois de la physique et les mathématiques,
Oui c’est Dieu !

un œuf minuscule, fécondé d‘ailleurs, qui devient un zygote
Puis un embryon qui, s’il vit, devient une larve ou un fœtus,
Qui, s’ils vivent, deviennent une chenille ou un bébé…
Chiot ou hérisson nouveau-né trouvant, les yeux encore fermés,
Le corps chaud et les tétines de la maman,
C’est encore Dieu !

Les feuilles qui poussent en bas et les racines en haut
- Non !? - Et pourquoi le contraire, n'importe comment on met la graine !?
Racines qui mangent et boivent la terre
Et feuilles respirant C02 avec bonheur,
Oui c’est Dieu !

Les atomes aux noyaux si durs
Et les électrons si véloces et qui dansent
Comme les notes de musique sur une partition,
La voix qui parle et la voix qui chante,
C’est toujours Dieu !

Le musicien, le sculpteur, l’enfant qui marche,
Le petit chat qui miaule pour qu’on ouvre la porte,
Le travailleur habile, ceux qui s’interrogent,
Toujours Dieu !

Les étoiles qui naissent et deviennent trou noir
Par où la lumière change de côté du décor ;
Les galaxies qui nous fuient toujours plus loin
Vers l’instant T de leur création !?
Le soleil qui nous trompe bien
En se couchant et en se levant (sans jamais bouger) ;
Et les photons qui nous tombent dessus
Et qui passent où, une fois un corps rencontré ?…
Qui d’autre que Dieu !

Et toi qui lis, si loin si loin d’être un singe,
Sans ancêtre commun - même si parfois la forme...
Juste pour nous garder tous dans l’humilité -,
Oui c’est Dieu !

Toi qui peux penser par toi-même et que certains
Veulent tromper (comme le soleil par l’apparence),
Te remplir d’idées fausses, de préjugés, d'un savoir pas prouvé,
Secoue-toi, assieds-toi et revois leur copie,
Oui Dieu le veut !

Où donc sont les chaînons qui manquent toujours à l’évolution ?...
Les preuves que de l’inerte est sortie la vie ?...
Des hasards associés à des nécessités auraient-ils pu sans nul a priori
Répondre assez vite aux besoins vitaux toujours pressants
En créant des réponses au fur et à mesure à bon escient ?...
Quand la réalité montre partout des fonctions finies
Et ô combien des potentialités ! Adaptation, forces réparatrices, immunités,
Et même des plantes médicinales,
Oui c’est Dieu !

Et les sentiments nobles qui nous tombent dessus,
Et nos luttes pour en défendre les effets,
L’amitié, solidarité, imagination, intuition, synchronicité, miracle !
C’est de Dieu* !

Et vois que la liberté n’a pas que du bon !
Mais qu’elle est là pour qu’on soit responsable de nos choix
Entre le bien et le mal, entre le vrai et le faux...
Alors oui, assieds-toi et revois ta copie !
Oui c’est Dieu… qui te le demande !

CT 23 sept. 2018 ALGDDV

_______________
* Qui prouva le contraire !?

Soyez dynamisé-e, par lui !

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16 septembre 2018 7 16 /09 /septembre /2018 06:43

Suite de l'article commencé ici...

Soyez béni-e dans votre lecture. (Dis autrement : Que le Dieu vivant soit avec vous pour donner à cette lecture le relief qui vous concerne afin que vous soyez interpelé-e jusqu'à vouloir échapper aux effets de ce que vous découvrez de problématiques dans votre généalogie). 

Les malédictions générationnelles (2) : Reconnaître et briser les liens de famille

à suivre (ici...)

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15 septembre 2018 6 15 /09 /septembre /2018 07:10

Comme notre propre présent, le passé de nos ascendants
n'a certainement pas toujours était nickel ! Et nous en supportons
des conséquences parfois bien dramatiques...
Alors apprenons à mieux voir ce qui est..

Je vous propose là d'aborder un sujet aussi important que méconnu, et surtout dont la solution est largement occultée. Mais Jésus a dit qu'"il n'est rien de cacher qui ne vienne (un jour ou l'autre) à la lumière".

Si les psy ne sont pas sans savoir que peuvent exister des rapports étroits entre des problèmes personnels et l'hérédité, ils n'ont pas pour autant la connaissance (la compétence spirituelle, la liberté intérieure, la foi nécessaire...) pour aller au fond de la question.
D'où des solutions bancales, dérivatives... qui peuvent ajouter au mal plutôt que le réduire.

Bien sûr nombre d'incroyants et autres ont pris au message évangélique certains de ses éléments fondamentaux (réformateurs, révolutionnaires il y a 2 000 ans et toujours aussi puissants aujourd'hui), comme la confession (qui est devenue : parler, se dire à l'autre, trouver une oreille qui écoute) ; le pardon (devenu le lâcher-prise pour se libérer) ; la foi (devenue confiance en soi, positiver...) ; etc. Mais sans la vie même (= la personne) qui est à l'origine de la formulation de ces moyens libérateurs, on est comme avec la moitié ou les deux tiers d'un billet de 500 euros ! Qu'est-ce qu'il vaut d'après vous !?...  

Ici la question est abordée au fond. À vous de savoir vous reconnaître en quelque chose de sensible et à vous intégrer en conscience dans ce réel jusqu'à trouver dans la foi véritable une vraie et durable libération de votre personne.
Prenez soin de noter ce que vous repérez qui vous concerne, car cela vous aidera à en obtenir la délivrance avec le dernier article de la série.

Soyez béni-e dans cette lecture.

Les malédictions familiales : 1 - Les manifestations

à suivre ici...
 

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  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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