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3 septembre 2019 2 03 /09 /septembre /2019 14:32

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LA FOI, PRINCIPE UNIVERSEL DU VIVANT

Une des réalités les plus étonnantes est que la foi est un principe moteur universel de tout ce qui vit.
Un déterminisme dynamique et dynamisant que nous possédons tous et actionnons chacun depuis notre plus tendre enfance !
Oui la foi !

Dont se servent les scientifiques rationalistes, cartésiens comme les autres, principe qu'ils réduisent bien pauvrement (comme nous réduisons beaucoup de choses) à l'intuition ou à la simple curiosité.
Mais qu'est-ce que la curiosité qui nous fait avancer ?

Si cela ne vous a jamais sauté aux yeux, découvrez vous-même, cherchant à savoir ce qu'il en est en vérité, en toute objectivité, en quoi la foi vous habite depuis toujours, en quoi elle est un principe dynamique fondamental, universel, inhérent au vivant (animaux compris) et particulièrement développable chez et par l'être humain.

DES EXEMPLES À LA PELLE !
Comment apprend-on à nager ? Par la foi ! On dépasse ainsi les limites du naturel ! On se développe dans une projection qui nous élargit en capacité et en pouvoir, voire en plaisir nouveau, en joie naturelle, en bonheur simple

Comment a-t-on appris à marcher ? Par la foi.
Pour se lancer ainsi dans le "vide" sans le soutien de personne, on a fait preuve... de foi. Inconsciemment on a cru que c'était possible, et on a marché !
On a même pu hésiter, ce qui montre l'extraordinaire travail intérieur (inconscient) que met en œuvre l'activation de ce moteur.
Une foi certes non conscientisée, mais une foi réelle, un principe dynamique qui fait partie de notre organisation psychisme, en tant que déterminisme à la fois actif en lui-même et actionnable à la suite par notre volonté.

C'est l'existence et l'activation de ce principe qui nous conduit à prendre confiance en soi, à se lancer. Il est à la base de notre élan élémentaire de survie, puis de nos mouvements de déploiement.

Regardez bien : Comment a-t-on appris tout ce que nous savons ? D'abord par la foi. C'est-à-dire en croyant, sans preuve, ce qu'on nous disait ou montrait.
Certes, on a pu être trompés, bernés, égarés - c'est la responsabilité de ceux qui ont transmis - , mais cela n'enlève rien au fait, à la valeur et à la nécessité de cet élément essentiel de notre existence et de tous ses développements (physiques, psychiques ou spirituels).

Comment recevons-nous que la terre tourne autour du soleil ? Et cela à 100 000 km/h, et sur elle-même à 700/800 km/h ?
On comprend déjà qu'on ne pourra jamais tout savoir avec certitude, si ce n'est qu'en le croyant. Dans tous les domaines, basiques ou "border-line", touchant à la métaphysique ou à la physique quantique, à la pensée, l'âme, la conscience, l'esprit, les sentiments, les anges, Dieu, le matériel et l'immatériel.

EXTENSION DES DOMAINES DE LA FOI
Comment apprenons-nous à sauter en hauteur en dorsal ou à la perche ?
A lire, écrire, compter, à conduire, à devenir médecin ou facteur, informaticien ?...

Comment pouvons-nous monter dans un avion malgré tout le surnaturel du vol et les appréhensions que cela peut générer ?

Comment se développe un projet d'entreprise ; une association de personnes, un grand groupe économique ; un projet de vie qui est (normalement) un engagement durable comme le mariage ?
D'où vient l'élan pour fonder une famille ?... dont on sait qu'il y aura immanquablement des épreuves et qu'il faudra tenir ferme pour ne pas céder à ce qui viendra la casser et disperser ?

Comment des sportifs, un pianiste, une cantatrice... avancent-ils dans l’arène où ils se produisent pour en sortir sous les applaudissements ?

Rien de tout cela ne se met en mouvement sans le jeu, même totalement inconscient, du principe vital qu'est la foi en ce qu'on ne voit pas encore et à quoi on veut croire ; en ce qu'on ne peut pas savoir par avance, avec certitude, mais on y croit !

Dans certains cas il s'agit de croire essentiellement en nous-même. Dans d'autres cas de croire en quelque chose (un hélicoptère, un télésiège, un immeuble, la Tour de Pise ou la chaise sur laquelle on s’assoit !... Ou de croire en quelqu'un (une ou plusieurs personnes).

C'est vrai pour un aveugle conduit par un chien qui le guide, et nous devons comprendre - croire ! - que c'est au départ exactement la même chose concernant Dieu !...

PLUS ENCORE...
Quel moteur laissez-vous s'activer quand vous achetez de quoi manger ici et là ?

Quand vous mordez à pleine dent dans du pain, un pâté végétal ou un morceau de viande ?
Quand vous buvez l'eau du robinet ou un cocktail dans une fête ?
Quand vous prenez un médicament ?
Certains ont été gravement intoxiqués par des absorptions avérées problématiques ; d'autres en sont morts !
Faire confiance à son boulanger ou à un primeur sur le marché, à un restaurateur... c'est faire preuve de ?...

La notion de risque est indissociable de notre monde, et donc de tout ce qu'on fait dans la croyance ou foi.
Comme au jeu, on peut calculer, supputer, faire des calculs de probabilités, mais sans jamais être sûr à 100 % de ce qui va suivre une décision, dans le futur de notre décision ou engagement...
Le doute est permis, mais dans tous les cas si on ne veut rien faire sans voir (au préalable), on ne bouge plus et on meurt !

AU SUJET DES DOUTES
Du fait qu'on vit dans un monde "dualisé" (fait accidentellement du bien et du mal), i y en a de deux sortes :
Les doutes qui appellent un questionnement pour savoir ; pour passer d'une chose qui ne nous est pas évidente - mais qui peut être évidente pour d'autres - à la réponse (la plus) juste, qui permet de savoir ce qu'il en est effectivement.
Ce genre de doute est bon. C'est celui dont parle Descartes dans sa méthode d'approche des vérités.

Et il y a le doute sur Dieu. Est-ce qu'il existe ou pas ?
On entend parfois "Moi je suis comme Thomas, je crois qu'à ce que je vois !"
C'est oublier qu'avant cette parole, Thomas a tout quitter de sa condition sociale pour suivre Jésus dans l'aventure de sa foi. Alors ayez "seulement" la foi de Thomas et pas de doute, Dieu se révélera à vous ! (car Jésus est revenu 8 jours après cette parole pour lui ; pour lui montrer comme aux autres disciples qu'il était bien ressuscité).

Et pour reparler ici de Descartes, si vous lisez son Discours de la méthode, vous verrez que pour lui qui aimait et cherchait la vérité, la foi en l'existence de Dieu était tel qu'il dit (plusieurs fois) qu'il n'y a pas à douter quant à lui.
Ce qui veut dire qu'on n'a pas de temps à perdre sur cette question, et je rajoute qu'il est donc bien préférable et utile de chercher ce qu'il est réellement, ce qu'il fait et comment il agit, et comment, si ce n'est pas encore fait, être réconcilié-e, en paix et sauvé-e par lui...

S'il y a quelque chose cependant à rajouter sur le doute concernant Dieu, il n'est pas impossible, et il est même impossible qu'il n'en vienne pas (car le doute fait là partie de la dynamique du mal, de l'incrédulité).

Ainsi, on peut avoir des doutes sur Est-ce que Dieu entend toujours mes prières ? Puisque je n'ai pas toujours ses réponses. Il nous faut alors comprendre qu'un silence est un moyen de réponse ! Qui peut laisser la conviction qu'on a se développer en action (pas d'obstacles) ; ou qui exprime son désaccord avec une demande et démarche qu'on voulait entreprendre... 
 

SELON LES ÉPOQUES ET CULTURES
Tout au cours de l'histoire les impies (ceux qui ne croient pas en Dieu) étaient de deux sortes : les pauvres, n'ayant pu recevoir aucune éducation et instruction (dits manants ou mécréants), et quelques élites riches, cultivées et oisives et libertaires... l'oisiveté étant (avec la richesse ou l'ignorance) "la mère de tous les vices".
Aujourd'hui c'est la culture laïque (de ce mot détourné de son sens qu'on devrait avoir l'honnêteté de remplacer par athée ou agnostique) qui produit des citoyen-nes départis-es de la vie de l'Esprit.

Mais regardez encore s'il faut vous en persuader : Quand vous vous couchez le soir (ou au petit matin), quelle assurance avez-vous de vous réveiller et lever quelques heures plus tard ? Celle de la foi qui vous détermine pour vous tenir hors d'une angoisse toujours possible (comme il en monte chez de plus en plus de monde à partir de la fin du jour).

En ce sens, la foi tient aussi de l'immunité, d'une forme de garde positive, préventive de soi, qu'on peut développer en conscience pour se défendre par des pensées, par des choix, par quelque forme de foi appropriée... qui s'approprie.
D'où des victoires, des bénéfices, du bien (-être, -vivre, -relationner), qui peuvent être fondées sur une pensée juste, une bonne affirmation, un exemple à suivre, un concept, une promesse (la foi en Dieu s'appuie beaucoup, outre des expériences surnaturelles, sur des paroles affirmatives ou des promesses écrites faites par Dieu).
Psaume 119, vers. 42 et 105 : "Je pourrai répondre à celui qui m'outrage, Car je me confie en ta parole."
"
Ta parole est une lampe à mes pieds, Et une lumière sur mon sentier."
Il nous reste après à marcher, par ce même principe de foi.

Quand vous désirez avoir un enfant ou le garder malgré des pressions qui vous poussent à changer d'avis pour une raison qui n'est pas la vôtre ?
Quand vous montez sur la moto d'un copain pour ressentir des sensations ? Sur un cheval lancé au grand galop dans un sous-bois ?

Quand vous montez sur une table d'opération et que plus rien ne va dépendre de vous ? Qu'on vous fait signer au préalable une fiche d'acceptation des risques encourues, avec une longue liste d'effets secondaires possibles ?

Quand vous vous engagez sur 20 ans à remboursement le prêt qui vous permet d'acheter une maison sur la base de votre emploi actuel ?
Quand vous travaillez tout un mois avant d'être payé ?

3 DOMAINES OÙ  LA FOI S'EMPLOIE
On peut remarquer que ce moteur inhérent à notre nature de vivant, s'active de trois manières.
De façon naturelle, dans notre inconscience de cette dynamique, la foi joue comme un déterminisme.

De façon culturelle, elle se met à jouer, plus ou moins en conscience, selon ce qu'on va oser ou pas, accepter ou refuser, prendre position ou pas, sur quantité de circonstances, rencontres et situations.
Ce qui amène ou devrait amener dans toujours plus de personnalisation des décisions vues comme des actes de foi, jusqu'au passage à la foi dans la dimension spirituelle du Réel, en ne se laissant pas arrêter par quelque préjugé ou parti pris non analysé, non éprouvé objectivement.
Entre la foi agissant dans le matériel et celle qui rejoint et soutient la  dimension spirituelle, se trouve, culturellement, l’acquisition de savoirs religieux, qui sont et ne peuvent être que pont entre ce qui est de l'âme et ce qui est de l'esprit, un échafaudage provisoire qui vise ou devrait viser à notre construction intérieure, à entrer pour y travailler dans notre jardin intérieur tel qu'il existe, tel qu'il peut être agencé et gardé. 

En troisième lieu, la foi s'active spirituellement, afin que nous entrions et nous développions dans les dimensions de l'Esprit, c'est-à-dire du Divin.
Ce sont alors des acquisitions de connaissances de nature spirituelle - qui s'acquiert tout pareillement que les autres au départ, puis avec lesquelles nous avons à œuvrer pour donner à ce qui est de l'Esprit sa juste et profitable place en nous et avec nous.
La Bible parle de recevoir "Christ en nous, l'espérance de la gloire"...

Ainsi la foi est toujours un don initial de Dieu, (comme la vie et tous dons ou talents innés).
Dans le cas spécifique de la foi en Dieu, elle peut résulter d'une vraie mise à feu déclenchée par l'Esprit-Saint ; comme aussi elle est susceptible d'être développée, travaillée en profondeur, appliquée jusqu'en des zones nouvelles, dans notre quotidien comme dans le surnaturel spirituel...

FOI CHALLENGE
Ce principe est aussi liée au risque, et donc fait appel au courage. A la détermination, à la volonté, à la persévérance, voire à l'audace, avec et après exercice de discernement et avec connaissance de cause suffisante.

Plus on veut avancer par la foi, plus il peut s'agir de challenge, de relever des défis, de dépassements.
Par exemple j'étais incapable d'aimer ma belle-mère, maintenant je peux !
J'avais une maladie chronique ; avec la foi d'autres chrétiens s'associant à la mienne, j'ai été guérie !
J'ai postulé à un poste dont je n'étais pas certain d'avoir les compétences attendues et je l'ai eu et j'y réussis bien.

De fait, un bon aperçu (de la place) de ce principe nous aide à mieux regarder ce qu'on peut faire - ou pas -, donc aiguise le sens de notre responsabilité personnelle (que ce soit vis-à-vis des autres, de la société, ou de nous-même).

ET LA FOI DE JÉSUS
On entend bien Jésus au sujet de la foi : il déclare, stimule, excite, provoque ses disciples pour qu'ils veuillent faire de la foi un vrai moteur approprié de conquête pour l'agrandissement de leur existence et de celles d'autres.
Conquête sur le naturel et le surnaturel, pour subvenir aux besoins matériels immédiats ( ), pour faire confiance à Dieu ( ), pour guérir les malades et chasser les démons (Marc ch. 16, vers. 17-20), pour annoncer la dimension nouvelle qu'il est venu ouvrir dans l'ordre spirituel du Réel total. 
Il ne s'agit jamais de combattre contre des hommes (Éphésiens ch. 6, vers. 12), mais contre des circonstances, des situations (Luc ch. 8, v. 22-25), les esprits démonisés des lieux célestes qui viennent faire des ravages parmi nous (Matthieu ch. 8, v. 28-34).

Oui, la foi de Jésus !
Croire qu'en ouvrant sa bouche pour dire trois mots à un mort il va (le) ressusciter !
Croire qu'en commandant à des démons qui allaient mettre en débandade tout un grand troupeau de porcs, ils se soumettraient ;
Croire que d'une simple phrase prononcée devant les plus puissants dirigeants de son pays, il allait les faire reculer dans leurs intentions et partir ;

Croire que sans rien écrire lui-même, d'un coin perdu d'une petite nation du Moyen-orient annexée à la domination barbare et polythéiste du terrible Empire romain, et à partir d'une poignée de pécheurs, péager et autres marginaux insatisfaits de leur vie quotidienne, peu ou pas cultivés, croire que son message, le récit de sa vie exemplaire, de sa mort pour nous sauver et de sa résurrection, allaient traverser les continents, les couches de société et les siècles ! Changeant le rapport de force entre les hommes et les démons, changeant par là la face de l'Occident, amenant l’avènement de la personne humaine par la dignité dont le Saint-Esprit la revêt...


A l'inverse de par la foi et la sagesse en action, c'est par manque de courage ou peur, par incrédulité spirituelle, qu'on peut ne pas faire des pas de foi. On peut même abandonner la vraie foi (ce qui s'appelle apostasie) !
On cède alors la place à choisir de croire autrement ; en la seule réalité et valeur de ce qui se touche, matériel ou charnel, de ce qui s'empoche, se prend par la facilité, la tromperie ou l'immoralité.
Ce qui est tout le drame de nos jours, croulant sous les Trop (de biens et d'informations inutiles, de déchets et pollutions, de technologies vouées à la capitalisation et non plus au bonheur, de chaleur climatique et passionnée, de crédulité mal placée, de manipulations...).  

RÉSUMÉ
Quelle étonnante réalité que ce moteur de la foi, si peu perceptible et pourtant combien usitée, qui permet de saisir ce vers quoi on la dirige, et qui donne de croire que... ou de croire que...
Elle est a la fois, en deux modes complémentaires, foi s'appliquant et foi s'étendant. A la fois déterminisme fini (qui joue hors conscience) et déterminisme développable (par le jeu de la conscience).
Jusqu'où ?... 

à suivre avec FOI ET DISCERNEMENT > sur demande par le bouton Contact pour les intéressés

Ce post fait suite à l'article commencé ici <

En attendant, recevez - par la foi - la bénédiction de Dieu !

Guide de prière pour faire la paix avec Dieu


 

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31 août 2019 6 31 /08 /août /2019 08:48

 

La maison de l'escargot construite
selon la suite de Fibonacci !?...

Par quel(s) hasard(s) et selon quelle nécessité est-ce possible ?...

(fait suite à l'article commencé ici)

LE SURNATUREL DEVANT ET JUSQUE DANS NOS PORTES
Il est des faits extrêmement étonnants, qui apparaissent avec l'aura de leur surnaturel, quand on a les yeux (intérieurs, de la conscience) ouverts.

Rien de plus banal en effet par exemple que de croire, aujourd'hui, que la terre tourne autour du soleil, alors qu'on le voit nous tourner autour ! On doit bien lâcher là la vue pour la croyance !
Bien étonnant de respirer un air parfaitement invisible à nos yeux et de dire en même temps qu'on ne croit qu'à ce qu'on voit ! Mais s'en rend-on compte ?
Rien de surprenant à découvrir et admettre comment est constituée la moindre cellule du vivant ou comment l'ADN est enroulé et composé !...

C'est dire combien nous vivons sur et sous une couche de poussière immatérielle produite par l'habitude... et d'autre(s) cause(s) qu'il serait bon de mettre à jour si on veut retrouver l'émerveillement, l'enthousiasme liée à la (vraie) vie,. Si on veut que soient suscitées en nous tant de choses et vues extraordinaires de notre ordinaire.

Le mot enthousiasme est formé sur la racine grecque thou ou théo qui désigne Dieu.
C'est que la grave crise de foi dans laquelle nous sommes rend tout plat, inerte ou faussement animé, incapable de nous atteindre par et dans le fabuleux dont il s'agit. Notre âme est appesantie. On se crée alors des fictions, des séries, une mythologie contemporaine... une couche de plus d'inanition.

Pire encore, sans la foi mise en ce Dieu qui est à l'origine de toutes choses, tout ce qu'il a créé avec vocation à procurer du plaisir est mal utilisé, jusqu'à annihiler ce plaisir.
Ainsi peut-on manger sans plaisir par exemple en pensant à tout autre chose, vidant une assiette en une minute sans s'en être aperçu.

En vrac, idem avec l'amour physique, on peut le faire en perdant tout de sa valeur, voire du plaisir lié à cet acte.
Pareil avec un bon salaire qu'on n'apprécie même plus tant c'est banal chaque mois. Et les congés payés !?.
Et la conduite d'une voiture, d'une moto, d'un bateau... La possibilité de regarder la télévision et choisir des chaînes ; de se téléphoner ; de voir un bébé venu au monde, la beauté des arbres, des fleurs, des animaux, des cieux...

De fait, perdant la saveur, le parfum, le subtil, la profondeur, le sens esthétique, le plaisir qui émane de tout ce qui nous est besoin véritable, l'essence ou la quintessence des créations divines, on se dégoûte de tout (anorexie), ou au contraire on devient addict de n'importe quoi (boulimie).

C'est que les dons divins sans le Donateur, ne peuvent durer longtemps, s'évaporent d'autant qu'on en use mal.
C'est que Dieu a fait sa création ouverte, libre, mais aussi fermée, avec des frontières et des dynamiques réversibles.

APPORT INOUÏ DES SCIENCES

En fait tout est surnaturel ! C'est-à-dire dépasse largement ce qu'on appelle la raison - qui de fait à souvent tort, parce qu'elle dort ou rêvasse (ou cauchemardise), bordée par quelques concepts artificieux, réductionnistes, étroitisants, d'ailleurs qu'ils soient progressistes ou réactionnaires !

Par exemple, quelle ignorance ou quelle léthargie nous laisse-t-elle de bois, alors que notre corps vibre de ses dizaines de milliers de milliards de cellules !? Qui sans cesse meurent et se remplacent sans que nous n'en percevions rien (chaque seconde près de 2000 cellules changent ainsi d'état chez un adulte, soit 50 à 70 milliards par jour !?).

Notre corps est colonisé par quelque 30 à 40 000 milliards de bactéries ! qui y travaillent (normalement) pour notre bien !
Pas besoin de regarder au télescope le ciel avec ses milliards de milliards d'étoiles pour trouver des nombres faramineux.

Et les mystères des mathématiques, avec des nombres étranges, "irrationnels" (hors de raison !?).
Ou encore ces trois choses étonnantes que sont

- le nombre d'or ou divine proportion : 1, 6180339887 souvent appliqué par les artistes pour proportionner leur composition ;

- le nombre PI π - un 3 suivi de millions de décimales non périodiques (qui en fait un nombre irrationnel et "transcendant") ;

- la suite de Fibonacci sur laquelle par exemple est construite la coquille des escargots, comme sont disposées les graines qui forment les grosses fleurs de tournesol ou encore comme est enroulée une feuille de fougère avant qu'elle ne s'ouvre !...
N'est-ce pas intrigant ?...

En buvant un verre d'eau, combien buvez-vous de molécules, sachant qu'il y en a plus dans une seule goutte d'eau qu'on a de cellules qui forment notre corps ?...

C'est au point où depuis la première moitié du XXe siècle, avec la découverte de la dimension subatomique ou quantique de la matière, la raison humaine chancelle... comme la théorie de l’Évolution du coup !
Parce que le comportement des particules élémentaires ne correspond pas à tout ce qu'on avait préalablement découvert comme lois et monté comme équations définissant tout l'univers.

DES ORDRES ET COMPLEXITÉS AU HASARD !?

Plus on en apprend, moins on a de certitude (c'est le principe d'indétermination mis en évidence par Heisenberg).
Penser savoir et prévoir certainement est remis en cause par la théorie du chaos (ou d'imprévisibilité) mis en lumière par Edward Lorenz...  
Et cependant on en sait suffisamment dans les grands domaines du mesurable, de l'observable (physique(s), mathématique(s), biologie(s) pour dire que le fait de la complexité - dont des complexités originelles irréductibles - témoigne à elle seule d'un "auteur" de tout cela dont l'intelligence est sans commune mesure avec la nôtre.
Le nier aujourd'hui c'est ne pas savoir... ou c'est se leurrer soi-même.

Comment le hasard peut-il être hasard (sans intelligence, sans logique, inerte, sans vie...) et tout à coup une dynamique hyper rapide qui se met à chercher, un moteur de recherche donc en fait, qui se met à la demande (d'une nécessité) au travail, en aveugle, pour créer à partir de rien une solution à un problème ?

C'est une ineptie monumentale !
Bien plus fort que ce qu'ont produit les intelligences combinées de Larry Page et Sergey Brin pour créer le moteur de recherche Google !!!

C'est au point où aujourd'hui les scientifiques devraient crier au monde entier - et pourraient être crus, bien plus que les religions ! - que Oui Dieu existe !
Parce qu'il se déduit comme automatiquement - voire se démontre - par les œuvres inouïes et les lois de l'univers qui ne peut être que création divine, partout empreint d'intelligence, d'ordre, de grandeur, d'interactions non aléatoires, de mathématiques, de générosité, de complexités, de beautés, de potentialités, de devenir sans fin.

Aparté
Notons là qu'on touche un point significatif de la problématique humaine.
C'est que, découvrant par et dans ce qui est mesurable, raisonnablement tangible, de l'infiniment petit à l'infiniment grand, tant d'indices d'intelligence, de génie créatif, de sagesse dédiée, d'organisations internes et de relations... les artisans de pointe de la science devraient avoir l'honnêteté - et le courage s'il en faut - de dire aux communs des mortels la conclusion qui s'impose dorénavant : Tout cela ne peut venir du hasard ! C'est forcément Divin !

Un calcul de probabilité fait dire à l'astrophysicien Trinh Xuan Thuan « La probabilité que notre univers soit issu du hasard est comparable à celle d'un archer réussissant à planter sa flèche au milieu d'une cible carrée de 1 cm de côté et située à l'autre bout de l'univers. »
La physique des relativités et la physique quantique, les mathématiques et la biologie moléculaire corroborent ce qui est un fait : Il a fallu une intelligence prodigieuse, pour que ce qu'on voit et découvre ait été et soit !

Croire au hasard maître décideur du tout ou en Dieu est totalement la même démarche. On croit que... Alors pourquoi être si réticent à croire et à dire ce qu'il en est qui est infiniment probable ?

LE CHALLENGE DES SCIENTIFIQUES ET DES SCIENTISTES
Croire et oser dire que tout cela est l’œuvre insigne et les œuvres gigantesques d'un créateur divin immense, qu'il importe maintenant de chercher chacun pour sa part, et pour l'éveil de tous.  
Or là c'est silence radio et vidéo !
Preuve de la profondeur de notre problématique intérieure, de notre incohérence maligne.
D'un côté on dit vouloir ne se fier qu'en ce qui est certain, indéniable, que la science va révéler avec force de mesures, de calculs et d'expériences vérifiées.
Et d'autre part quand on est arrivés à découvrir scientifiquement que le Hasard avec ses concubines Nécessité et Sélection naturelle ne peut être le géniteur, l'origine de tout (ni de l'univers ni de la vie), on se garde de le faire savoir au plus grand nombre qui ne croit - comme on lui l'a appris - que ce que la science fait connaître !??? Une honte... répréhensible ! Un crime contre l'humanité !?...  

Ici comme ailleurs donc, même la bonne volonté pour chercher en vérité - quoi, pourquoi ? -, même les connaissances les plus avérées, ne suffisent pas à libérer l'être humain au point qu'il tienne dans l'amour et la recherche des vérités (jusqu'au bout) ; au point qu'il veuille maintenant - depuis déjà bien plus d'un demi-siècle quand même ! -, en conscience, amener la question de la réalité de Dieu sur l'avant de la scène mondiale.

Ce silence ! Que voilà une expression criante, qu'on veut laisser passer inaperçue, de notre aliénation générique, de notre misère individuelle et collective.
Que voilà une preuve (de plus*) que la Bible dit vrai s'agissant de ce que nous sommes :
"Il n'y a point de juste, Pas même un seul ; Nul n'est intelligent, Nul ne cherche Dieu ; Tous sont égarés, tous sont pervertis ; Il n'en est aucun qui fasse le bien, Pas même un seul".

Si notre intelligence n'est pas capable de tenir dans sa propre raison, d'admettre qu'on s'est trompés et de corriger le tir (pécher, c'est "manquer le but"), que vaut cette intelligence ?

Allez-vous pour votre part en rester là ?

La suite : LA FOI, PRINCIPE UNIVERSEL DU VIVANT... qui balaie la théorie foireuse de l’Évolution...

Soyez béni-e pour chercher... et trouver
________________
*
Il a fallu attendre les années 50 avant que la science puisse dire que l'univers a été crée !  Or la Bible le dit depuis 3 500 ans !
Si donc, dans l'humilité, les chercheurs étaient partis de ce qu'indique le livre de la Genèse, au lieu de dire - c'est-à-dire au lieu de vouloir croire - systématiquement le contraire, il y a certainement longtemps que la science aurait rejoint les Écritures inspirées par l'Esprit de Dieu pour des déploiements victorieux sur l'emprise (l'Empire) du mal !

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29 août 2019 4 29 /08 /août /2019 08:53

Le monde est en mode remorquage.
Qui vous remorque ?...

Le monde est malade d'une crise de foi.
A l'origine de toutes nos maladies, il y a une crise de foi.
Et pourtant -le croyez-vous ? -, nous sommes tous essentiellement croyant, tous croyants d'une manière ou d'une autre !
Même l'athée, l'agnostique ou l'indifférent à tout croit.... ce que va démontrer cet article.

LE BONHEUR EST DANS QUEL PRE ?
Quand je subissais cette crise de la foi, que je ne la soupçonnais même pas - comme on peut avoir un cancer sans encore s'en douter -, j'étais mal, alors qu'il semblait que je ne manquais de rien : jolie petite femme avec qui j'avais eu un fils paisible ; un métier indépendant passionnant qui me laissait pas mal de temps (photographe et correspondant de sport automobile) ; une grande maison bourgeoise avec parc en Savoie près du plus grand lac de France ; la plus grosse des Audi berline d'alors et un petit Transit Ford sympa pour mes reportages ; la jeunesse, moins de trente ans, et une santé relativement bonne.

Qui ne rêverait d'avoir cela, en pensant même : Quel con celui-là de ne pas savoir être heureux avec tant d'avantages !
Je n'étais pas malheureux, mais je ne savais pas jouir de ces biens... comme on peut faire l'amour et ne pas jouir.
Il y a une insatisfaction sournoise, non conscientisée, de l'ordre de la frustration, comme en fond d'écran. Qui, ajoutée à l'impatience naturelle, rend irritable et même quand tout va bien fait chercher autre chose ou plus, ailleurs (une autre femme, une autre agence (de photo, puis de graphisme et publicité...).

Bref, en toute inconscience, on agit comme ayant un manque au tableau . Tableau qui pourrait devenir une œuvre qui apporte bonheur et enthousiasme, surtout un enthousiasme durable. Mais ce n'était pas le cas.
Étais-je à part (comme je le sentais parfois), spécial ? Certainement... comme chacun, ce mal-être des profondeurs étant, je l'ai appris bien plus tard, un fond commun à notre humanité.

Certes, vue du dehors, ma vie était belle, enviable, admirable même (parti de rien, étudiant fauché 10 ans plus tôt). Mais une existence un peu comme celle d'un clown qui fait rire tout en étant triste au dedans. Quelque chose de pas logique, de difficilemnt compréhensible.

C'est que le bonheur ne dépend pas QUE du matériel, d'une femme, d'un conjoint ou du dernier produit à la mode qu'on s'achète.
Il est plus exigeant. Il demande plus.
Il demande une construction intérieure, une paix qui ne nous est pas naturelle, parce qu'on n'en sait pas assez sur la vie !

Parce qu'entre la flemme (la paresse paralysante) et l'activisme (qui ne nous laisse jamais en repos), il y a une plage privilégiée, privée, étroite mais qui ne nous met pas à l'étroit, intime, peu discernable, que je ne connaissais pas, à trouver.
Qui doit naître !
Par un "re-made", une reconstruction de soi - Et on en est bien incapable ! -, parce qu'on est mal construit, n'importe comment, sans plan d'origine et sans finalité...

ET DONC COMMENT ?
Alors - chance !? -,  au seuil de la trentaine, par la grâce de Dieu j'ai reçu ce qui me manquait.
Je ne l'avais pas, lui, le vrai Dieu, dans ma vie. Dans cette existence naturellement soumise à la pesanteur des biens acquis ou convoités autant qu'à celle des manques réels ; à la vanité des pensées (le plus souvent injustes, brouillonnes, non maîtrisées et mal traitées) ; à des élans genre soufflet au fromage ; à un vide indistinct que rien de ce qui est de la terre ne peut jamais longtemps combler.

En son temps Blaise Pascal l'a identifié: "un vide en forme de Dieu".
A l'époque ma mystique ou métaphysique ne dépasse pas la possibilité qu'il y ait des extra-terrestres, et que j'aimerais bien qu'ils se révèlent à moi, s'il y en a.

Les remèdes qu'on cherche pour soigner notre état en fait de crise de foi - insoupçonnée dans mon cas - et dont la plupart de toutes les autres crises ne sont que des symptômes - sont multiples.
De la consultation psy à telle pratique ritualiste ; des démarches les plus populaires (popularisées) aux plus marginales (auto-marginalisées), ésotériques, passant par diverses (mises en) formes physiques ou mentales de quêtes d'absolu : croyances fondées sur du roc ou sur du sable, sur des mélanges stables ou instables... ils ne sont jamais suffisants ces remèdes, c'est-à-dire pas le bon, pas l'adéquat - voire un pire, qui ajoute au mal être -, parce que pas la pièce du puzzle qui manque.
C'est qu'il nous faut un véritable re-made !
Un re-façonnage par une régénération globale, de notre personne, mal agencée (en commençant par une socialisation voulue et formée par d'autres, voire par leurs perversités et autres Maux Socialement Transmissibles).
D'où l'être social plus ou moins lambda ou marginal qu'on est devenu, dans tous les cas faisant partie de la courbe de Gauss* des populations dont tous sont des abîmés, des défaillants, des sursitaires de vie, incapables de se suffire jamais réellement à eux-mêmes (et bien sûr aux autres).

DIEU ET NON UNE RELIGION OU AUTRE CHOSE
Et cela - ce "re-faire" qui nous est impossible, - Dieu lui, - le vrai, l'unique, celui qui se révèle -, seul le peut.
Pas question de religion (ou secte), qui toutes en montrent telles représentations à travers des prismes déformants.
Pas question d'images, d'icônes, de placebo, d'ersatz et autres voies (voix) de connexion qui restent culs-de-sac, paroles ou actes sans ré-engendrement bénéfique.
Pas question de philosophie, comme l'écrit Pascal par sa nuit du 23 novembre 1654 au moment où ce Dieu le visite: "Certitude. Certitude. Sentiment. Joie. Paix.
Dieu de Jésus-Christ... Pas le Dieu des philosophes et des savants."
Pas question d'idéologie non plus, toujours controuvées, qui s'inventent et séduisent, appelant à des luttes inter-humaines, auxquelles s'enflammer... jusqu'aux meurtres (...1572 -1789 - 1917 - 1939...)

Seulement besoin pour commencer d'une rencontre déterminante... qui rend libre et laisse libre plus que tout système dont on fait partis. Rencontrer Dieu : Notre Big-bang ! Conversion-révolution ! Découverte comme quantique.

Je sais aujourd'hui par mes propres expériences que le Dieu vivant et vrai, sa présence, ce qu'il peut nous faire ressentir, goûter, vivre, comprendre... n'est pas davantage dans les quêtes scientifiques que dans les passions et plaisirs innombrables que peuvent procurer les découvertes et les biens de la terre et qu'il peut s'en former en nous !
La lecture, l'écriture, les arts, la parole en public, les mathématiques, la réussite, la célébrité, la vénération d'idole, les défonces et extrêmes de toutes sortes... rien ne peut combler le vide qui nous habite (voire qui nous hante pour certains).
Que Dieu. Qui est le seul vrai Dieu, le concepteur lointain et le pourvoyeur attentionné.

MODE DE CONNAISSANCE, LA RÉVÉLATION
Un jour du printemps de 78, en début d'après-midi, dans mon parc, en un instant précis, Dieu a levé devant les yeux de ma conscience le voile qui nous obscurcit naturellement tous. D'un coup, il était là, et du coup je SAVAIS ! Que oui Dieu existe, pas loin, juste derrière les choses (certaines choses), en exil de notre conscience... plus que de nos existences.
Révélation qui booste, première conversion, qui me donne une envie criante de le dire au monde entier !

D'un coup, conscientisée ou pas, la crise de foi est guérie à sa racine, jusqu'à pousser des ailes. L'amour - sans objet, en soi, agapé (en grec) - se met à brûler dans mon cœur comme jamais auparavant. Je vis un bonheur béa(n)t.
(Et je me mets à écrire, écrire, écrire...).

VÉRITÉS PREMIÈRES
Expérience personnelle, certes toute subjective, de Dieu. Cependant outre cela, le concept de Dieu est suffisamment permanent, universel, récurrent, irréductible, pour affirmer qu'il est une réalité, une vérité, et que cette expérience tient aussi de l'objectivité générale du Réel (écrit avec un grand R pour dire "somme du créé et de l'Incréé").

Ce n’est pas la variabilité possible des opinions qui fait qu’une vérité objective et universelle est impossible. L'impossible au contraire est d’affirmer « à chacun sa vérité », puisqu’on l’affirme faussement comme une vérité.

Ainsi est-il des réalités qui sont des vérités en soi, sans qu'on ait besoin de saisir tout ce qui les fait ni de les prouver: ce sont des vérités premières que nous sommes amenés, invités, voire obligés d'admettre, et possiblement un jour heureux de rencontrer sans aucun filtre, de connaître intimement, d'en recevoir une révélation (démonstration) personnelle indubitable.

COMME JOB... SI POSSIBLE SANS LA SOUFFRANCE
Ainsi la Bible nous parle de Job.
Cet homme avait une croyance - psychique, personnelle, naturellement acceptable par son âme, issue de sa culture avec sa religion.
On peut croire ainsi en Dieu (comme en plein d'autres choses) en lieu et place d'une connaissance expérimentale, spirituelle, tout autre, de la réalité personnelle du Dieu qui est.
C'est ce passage révolutionnaire (que j'appelle seconde conversion) qui manquait à Job et que l'Objet véridique de sa croyance voulait lui donner de connaître, dans les dimensions et essence de la spiritualité divine.

Là où nous en sommes chacun, Dieu veut nous mener plus loin, c'est-à-dire en lui (par esprit) et plus en lui (ce qui se fait schématiquement par trois degrés de conversion).
Pourquoi Dieu eut-il recours à Satan pour cela ?
Parce qu'il a (acquis d'avoir) la main sur la terre et les hommes. Et il tient Job comme les autres sous cet assujettissement qui se concrétise par une séparation effective d'avec Dieu.
Alors Dieu doit pousser Satan à la faute. A exercer sur Job une pression parfaitement injuste, une iniquité qualifiée.

Et parce que Satan le fait - image également prophétique de ce qui va se passait (presque quatre millénaires plus tard) à Golgotha sur la personne de Jésus crucifié -, Dieu peut rendre justice à Job en le faisant entrer dans sa dimension céleste.
Si ce n'est dimension du moins possibilité même pas soupçonnée par l'homme, dans laquelle il est impossible à quiconque d'entrer sans l'aval, l'appel ou la grâce divine.
C'est en cela que Dieu nous cherche...

Un contact réel d'Esprit à esprit  que Job finit par expérimenter au point que va jaillir de son cœur bouleversé cette phrase magnifique de profondeur et d'humilité : "Mon oreille avait entendu parler de toi ; maintenant mon œil te voit."

C'est ce que le Dieu authentique veut toujours faire avec nous ses créatures atteintes par le mal, séparées, réduites, invalides côté Ciel, ce qui s'appelle la rédemption (le salut, la grâce ou encore le rachat car il s'agit que nous soyons rachetés à Satan)...

Alors rejoignons le surnaturel au cœur de notre naturel...

 à suivre avec LE SURNATUREL DEVANT ET JUSQUE DANS NOS PORTES

Soyez béni-e pour chercher... et trouver

__________________
* La courbe de Gauss est une courbe valable pour beaucoup d'ensemble, dans notre cas une population, avec sa partie centrale conforme au système qu'elle forme, et sur les côtés 10-15 % de marginaux qui ne cadrent pas vraiment avec le système.

 

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5 août 2019 1 05 /08 /août /2019 17:38

Si je lis un livre où quelqu'un se raconte, il ne m'en faut pas plus (si je ne me réfrène) pour que des mots me viennent... et voilà !

D'UN DRAME AU CIEL

J'ai été grand et beau
- Bien que mal dans ma peau,
Timide et assurément fourbe
Pour ne pas m'enliser dans les tourbes
De la vie, les poids lourds des existences
Dont je ne saisissais pas l'essence.
Comme Sartre qui pensait beaucoup,
Moi qui ne pensais rien du tout,
Je n'avais bien vite que l'attrait des minois
Des femmes pour moteur, par ce qu'on en voit,
Mon travail que j'aimais mais déjà routinier
Ne soutenant plus assez vif mon intérêt.

Mais à trop grandir et prendre sans aimer
On tient bien moins les équilibres,
On tombe sans le voir, bien qu'on soit alertés ;
On se condamne quand on se veut trop libre.
Accident, maladie grave, ou quelque autre rupture,
Divorce, licenciement, EMI sont de cet acabit,
Claque, tuile au corps ou sur un coin de la figure
Pour réduire les geysers nés de nos mal-envies.

¤

Mais c'est là le miracle, tout le surnaturel
Dont notre naturel affleure les mystères :
Alors que je bascule, bousculé, une main du Ciel
M'attrape et investit de paix ma sombre terre !

D'un coup je suis changé : Dieu est là !
Il m'ouvre à son regard et descend son amour,
Le blessé tout à coup qui frôla le trépas
Est en fête, transporté pour un temps et toujours
Dans le versant caché où demeure la Lumière.
Ainsi le Dieu qui est – le vrai - à part de nos idées,
Sagesses ou religions, visite nos misères
Quand on sait rester humble ou quand on est cassé.

Mais c'est possible aussi, avant d'être amoindris
De pouvoir s'arrêter par notre volonté,
De s'asseoir sans écran, en retrait, hors soucis,
De prendre à notre temps ce qu'on veut nous voler.

Jésus comme son Père dit Chercher c'est trouver
Si on cherche de tout cœur, pour savoir si c'est vrai,
Bousculant préjugés, culture et incrédulité.
Et s'il arrive – c'est fort probable – la culpabilité,
Le sentiment d'avoir des choses à arranger,
C'est déjà sa Lumière qui se fait sur vos fautes ;
Demandez-lui pardon, confessez vos péchés
Il vous libérera pour une vie plus haute.

Saviez-vous ainsi qu'on peut passer
D'un drame, abaissé-e, ou de notre humilité
Au Ciel divin déjà – sans passer par la mort ! -
En voulant autre chose, en avouant nos torts
En croyant qu'ici-bas déjà l'éternité
Par nos cœurs, a son entrée.
Osez !

                C. T. - ALGDDV

Guide pour aider à une prière de rencontre avec Dieu

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24 juillet 2019 3 24 /07 /juillet /2019 07:06

Cette question pose celle de Qu'est-ce que la vérité ?


Et chacun, nous pouvons avoir des opinions, par nature personnelles, subjectives, sur ce qu'est la vérité.

 

On approche là d'un fondement de vie qui n'est pas des moindres.

Ce qui fait dire à certains qu'on a chacun ses vérités et que c'est bien d'en rester là !
Sauf qu'en rester là, c'est-à-dire confondre vérité et opinion, ne peut rien amener de bon dans nos constructions internes personnelles ni dans la construction ou le maintien d'une société.

VÉRITÉS ET OPINIONS, QUI DOIT COMMANDER ?

C'est ainsi qu'on est arrivés à un vivre-ensemble de plus en plus problématique et chaotique, du fait des juxtapositions de cultures (qui sont essentiellement des opinions collectives)  qui s'installent et sont posées ensemble sur un même espace sociétal.
Cette juxtaposition conduit forcément à la remise en cause des éléments des cultures (de la culture dominante, englobante, et des autres, même minoritaires). Et cela d'abord de manière souterraine, sous-jacente, larvaire mais bien vivante, et bientôt possiblement explosive... comme un coup de couteau ou un tir de kalachnikov, une révolution, une guerre civile ou un coup d’État.

D'où l'importance de savoir ce qui est vérité, dans le sens de réalités intrinsèques, en soi, universel sur lesquelles on peut s'entendre et s'unir... pour le meilleur et pour être fort face au pire.

De telles vérités fondamentales existent, qui sont, par rapport à nous, ce qui fonde l'objectivité en soi de l'univers et du vivant ; ce qui ne doit pas être mise en cause par nos opinions qu'elles soient toute personnelles ou plus ou moins collectives (celles-ci étant toujours partielles et/ou instables, voire aveuglément partisanes, limitées à un espace et un temps..).
Ce qui veut dire que nos opinions ne sont par nature ni mauvaises ou bonnes, qu'elles ont leur place dans le concert qui se déroule des dynamiques de ce monde, mais sans avoir à quitter le plan (essentiellement spatio-temporel) qui est le leur, indépendamment de l'universel.

LES DEUX EXPRESSIONS DES VÉRITÉS FONDAMENTALES

La question est de savoir si on veut, personnellement, pour notre bien (et par là aussi pour le bien d'autres) de la bonne organisation et relation possibles - en nous - entre ce qui est tel que c'est, et ce que nous en percevons de notre minuscule mais central point de vue !?

Le moyen consiste - forcément -  déjà à ne pas être ou rester réductionniste, en refusant d'emblée, a priori, ce qui n'est pas dans le registre de nos opinions. 

Ainsi il apparaît depuis l'Antiquité et les recherches des premiers sages, que toute avancée dans la connaissance du Réel véritable (de ses lois, principes, vérités, mécanismes, forces, présences...) provient de deux sources.
Deux sources diamétralement opposées, mais qui sont en réalité autant secrètes l'une que l'autre, c'est-à-dire qu'elles nécessitent que nous les pénétrions qui on veut trouver, si on veut que nous soit révélé ce qui est de prime abord caché à notre conscience et entendement. 

Il s'agit de la source divine et de la source scientifique.
Et on doit bien se garder - grave erreur des plus généralisées et dramatiquement conséquentes - de ne vouloir entendre parler que d'une et de rejeter ou nier la réalité et la valeur de l'autre.
C'est que là aussi, au plan de nos existences, le fondement profond qu'est l'unité par la dualité et la trinité (de l'organisation de l'univers entier à la vie de la moindre cellule) doit être perçu et intellectuellement respecté.

UN EXEMPLE PARLANT

Une exemple précis d'un rapport harmonieux possible entre Révélation et Science concerne le commencement de l'univers.
Depuis des millénaires, le texte biblique affirmait que l'univers avait eu un commencement "Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre."

Or par la science il fallut passer le milieu du XXe siècle pour admettre qu'effectivement l'univers n'était pas éternel (comme c'était cru depuis le XVIIIe et comme le crut même Einstein !), mais avait commencé - ce qu'on a appelé le Big-bang. D'ailleurs c'est un prêtre astrophysicien,  Georges Lemaître qui, dès les années 20, évoqua mathématiquement le commencement de l'univers à partir de la découverte de son expansion.
Et puis rappelons-nous que croyance et science (foi et calcul) savent faire bon ménage, puisque les principaux savants à qui nous devons les plus grandes découvertes depuis le XVIe siècle sont des croyants (laïcs ou religieux) comme Copernic, Galilée, Newton, Pascal, Descartes, Pasteur, Faraday, Morse, Edison, Volta... 

Descartes - trop souvent interprété et récupéré par ceux qui ne veulent croire qu'en leurs propres opinions - a pu avoir cette phrase déterminante qu'on peut chacun s'appliquer pour notre meilleur bien : "Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances."
"Nous devons chercher la vérité en pleine liberté, affranchis de toute idée préconçue."
Et Albert Einstein pareillement : "Le souci de parvenir à la vérité doit primer sur toutes les autres considérations.''

MATÉRIALITÉ ET SPIRITUALITÉ

Voilà la bonne cohabitation !
Rejoignons donc là ce qui est : On peut savoir en vérité à partir de deux sources complémentaires - non antagonistes - :
D'un côté ce que Dieu a dit qu'il nous disait - la Bible étant le premier livre de ses révélations -, et de l'autre, ce que la Science a permis comme découvertes de l'univers.

C'est cette dualité bien comprise qui a fait dire à Galilée que "Dieu a écrit deux livres : le livre de la nature, et la Bible."

NATUREL ET SURNATUREL IMBRIQUÉS 

Étant des êtres à la fois raisonnables (par notre âme) et susceptibles d'accepter le surnaturel (par notre esprit), nous pouvons découvrir et admettre que peut descendre du Ciel le plus profond comme du cœur des atomes des vérités qui se complètent, et dont notre part est de chercher les ajustements qui donnent à ces deux approches du Réel toute la profondeur enthousiasmante de ce qu'elles ont à nous apprendre. 
Les trois éléments minimum sont donc là : vue scientifique sur ce qui est (le Créé), vue révélée venant de l'Incréé (L'initiateur du Big-bang et créateur de ce qui se mesure et ne se mesure pas (avec des instruments gradués), et nous-même en qui la synthèse est à advenir pour notre meilleure insertion possible, spatio-temporelle et surtout éternelle...


La science et la révélation sont à ce point proches, voire imbriquées, que l'histoire des découvertes ne manque pas de découvertes qui ont été le résultat d'un "hasard" plus que l'aboutissement de la recherche.  Et avec Einstein nous sommes d'accord que "Le hasard c'est le nom de Dieu quand il veut rester incognito" !

LA SÉRENDIPITÉ ! La QUOI !?

On a d'ailleurs créé, tant les exemples de découvertes (et de rencontres) de cet ordre sont nombreux, le concept de sérendipité

Ainsi en fut-il de la découverte de la Pénicilline qui est parmi les plus célèbres, mais encore de la structure de l'ADN, de l'aspirine, du principe d'Archimède, du chlorure de vinyle, des édulcorants intenses, du nylon, du LSD, du polyéthylène, du Post-it, des rayons X, du Téflon, du Velcro, de la vulcanisationetc... jusqu'à la Théorie du chaos (ou théorie de l'imprévision aussi appelée Effet papillon) avec Edward Lorenz.

Pour ma part, je vois bien là un de ces coups de pouce du Dieu qui sait tout et qui voit tout (dont ceux qui cherchent), ouvrant ainsi les yeux sur une réalité ou une solution qu'on n'imagine même pas et à côté de quoi, sans cela, on passerait.
(et comme ce mot a du mal à être francisé (à partir de l'anglais sérendipity, avec déjà des propositions diverses), je suggère "sérendipté"...)

SÉRENDIPTÉ ET RELATIVITÉ

Contrairement à ce qu'on croit - par préjugé - les sciences exactes restent tributaires de l'humain (voir l'expérience de pensée du Chat de Schrödinger), sont empreintes de relativité bien au delà des fameuses théories (générale et restreinte) d'Einstein.
C'est-à-dire qu'on ne pourra jamais ni TOUT connaître par la science, ni de manière certaine concernant ce qu'on trouve. 
Cela résulte de la manière dont Dieu le créateur à organiser ses créations, ne voulant pas qu'on puisse trop découvrir sans lui, selon que "Science sans conscience n'est que ruine de l'âme".

Rabelais nous a avertis de cela il y a bien longtemps, et pour ne pas en avoir assez pris la mesure, on a créé la bombe atomique - qu'Einstein (son théoricien), Robert Oppenheimer (son applicateur) et Paul Tibbets (le pilote qui l'a larguée sur Hiroshima) ont eu la conscience gravement troublée à la suite...
Et aujourd'hui on parle GPA ou PMA avec la même insouciance, en ne voulant pas de lumière de la conscience que donne Dieu qui seul sait tout des conséquences de nos actes...

Ainsi les développements de la science entre nos mains sont toujours des plus aléatoires quant au bien et au mal. C'est notre nature de pervertir beaucoup de choses, et toutes les découvertes qui sont de la vérité qu'on peut faire ne porte pas en elle-mêmes la garantie du bon usage dans les applications.
Trois découvertes devraient nous interpeler et nous garder à notre place (d'humble créature humaine) afin que nous ne nous prenions pas pour Dieu (comme Satan et les anges devenus démons ont fait).
Le principe d'indétermination ou d'incertitude mis en relief par Heisenberg ; les théorèmes de Gödel dits d'incomplétude ; et la théorie de l'imprévision ou du chaos dont j'ai déjà parlé.

Si donc on veut être scientifique, il faut l'être en vérité, l'objectivité devant supplanter les opinions et autre interprétation qui résulte d'une idéologie partisane personnelles.

Plus encore, être objectif ne suffit pas, car l'objectivité formant et définissant la matière et ses interactions ne comprend pas le sens moral, est exempt de conscience. Il s'agit de lois, de principes, de déterminismes résultant et incluant beaucoup d'intelligence (dédiée), mais pas les dimensions de la conscience qui se trouve au plan de l'âme et des esprits, des psychismes et du spirituel.
Ainsi la liberté humaine se trouve aussi dans cet interstice entre ce que la matière et la science peut ou permet - sans état d'âme - et la conscience de celui qui apprend et manipule, tire un bien ou un mal de tel ou tel développement.
Or si la conscience n'est pas éclairée par l'Esprit même de Dieu en amont de nos choix et actions, on a toutes les chances de mal faire - que ce soit intentionnellement, délibérément, ou par une intention qui semble bonne mais dont les effets vont être catastrophiques faute de prescience.     

C'est ainsi que face à cette relativité des connaissances issues de nous, nous avons besoin, pour connaître de manière plus certaine et moins aléatoire, des découvertes qui peuvent être faites à partir des textes bibliques. Car on là des connaissances révélées (qu'il n'y a donc plus à chercher par nos réflexions et autres méditations). Ce qui nous fait et gagner du temps, et éviter bien des écueils...


Mais attention ! Là aussi, on va se trouver avec notre liberté propre, et donc devant la même difficulté de croire ou ne pas croire, et encore de l’interprétation qu'on peut faire de ce qu'on lit... comme de tout.
Selon ce principe d'un libre-arbitre au cœur des déterminismes, nous avons besoin d'avoir personnellement (de développer, de recevoir, d'appliquer) "l'amour de la vérité" pour découvrir celles qui sont les plus utiles et bénéfiques pour notre existence présente et pour notre éternité - éternité qui commence par l'éternisation de notre âme pendant que nous sommes dans ce corps, puis qui se développera physiquement lorsqu'une résurrection viendra donner un nouveau corps (incorruptible, éternel, autre) à quiconque aura fait la paix avec Dieu par sa foi.  

Confronter comme la mort physique et les souffrances le montrent à des réalités plus absolues que relatives, organisées et réglées plus que laissées à l'appréciation de quelque hasard, qui peut se passer de la connaissance qu'on peut obtenir par cette source qu'est la Bible !?

De plus, personne ne peut honnêtement et sans risque de se tromper dire quoi que ce soit sur la Bible sans l'avoir lui-même ouverte - que ce soit pour y chercher Dieu ou pour chercher en quoi cette Écriture est critiquable et bonne à rejeter !

Alors je ne donnerai pas là une recette pour rencontrer Dieu - recette qui existe bien évidemment et bien d'autres articles en parlant -, mais une simple invitation à chercher. Que ce soit par la science (dont les calculs et loi de probabilité exclus à 1060 ou 120 que l'univers et la vie aient pu paraître tout à coup par hasard) ou par la Bible dans laquelle Jésus a dit concernant les vérités les plus fondamentales : "Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples ; vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libre"... 

CHERCHEZ ET VOUS TROUVEREZ

Dès lors apprenez à être attentif-ve à ces deux choses : Ici-bas tout est relatif, incertain et incomplet tant que nous ne cherchons qu'avec notre raison (par notre âme); mais tout peut devenir particulièrement sensé, clair et fraîchement nouveau du moment où vous ajoutez à votre faculté psychique la capacité spécifique de l'esprit qu'est la foi mise en Dieu. 

D'autre part attendez-vous - mais même si on ne s'y attend pas ça arrive - à ce que peut-être le Dieu qui nous aime, qui nous cherche, qui veut entrer dans une relation vivante et heureuse avec lui, pourrait bien sortir à demi de son état obligé de séparation d'avec nous (séparation tant qu'on n'est pas réconciliés et en paix avec lui)* !
La sérendipté c'est peut-être pour vous dans un futur très immédiat ! 

Dans tous les cas, soyez dynamisé-e pour chercher les grandes vérités - dont Dieu -. Par les temps chauds qui courent - et pas seulement météorologiquement -, rien ne peut mieux rafraîchir l'âme et vivifier l'esprit. 

______________
*
Ici un guide de prière si vous ressentez une culpabilité qui ne vous lâche pas, le besoin d'être pardonné-e, lavé-e, purifié-e au plus intérieur de vous-même.

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15 juillet 2019 1 15 /07 /juillet /2019 08:06

Pour être heureux on n'a pas besoin de tout ce qu'on a, et encore moins de tout ce qu'on voudrait encore avoir.
On n'a pas besoin non plus de vivre caché (quoique que le retrait soit préférable à trop se montrer)...

 

SAVOIR N'EST PAS CONNAÎTRE
On peut accumuler du savoir, des savoirs, sans avoir l'intelligence de connaître comme il faut connaître. C'est-à-dire sans avoir le bon ou le meilleur rapport à ce qu'on a appris, à ce qui est.

 

C'est en ce sens que Montaigne, mûri par sa découverte de l’Évangile et devenu de débauché un vrai chrétien (non religieux), écrit qu'il est plus important de former chez les élèves "des têtes bien faites plutôt que des têtes bien pleines".

 

Ainsi on peut savoir plein de choses - comme avoir plein de choses -, et ne pas obtenir le gain que devrait procurer une vraie connaissance - ou une juste propriété -, c'est-à-dire le plaisir du connaître, la compréhension véritable, le sens des réalités selon leurs justes relations.

 

Ainsi des enfants gavés de "culture" (savoirs académiques trop tôt amenés, sans préparation suffisante à l'éveil (curiosité) personnel), comme on engrais-se des oies ou une terre épuisée, ne peuvent trouver ni intérêt, ni enthousiasme, ni émerveillement dans le savoir, alors que ce serait possible.
De fait on les alourdit là où il devrait être question de les dégager de l'aliénation générationnelle (adamique)

 

TROUVER LA TROISIÈME VOIE
Le merveilleux est recouvert par la poussière des habitudes et des routines, la pesanteur envahit les âmes qui n'ont plus pour s'en sortir que des fuites dans des pensées de suicide, des distractions source d'une addiction ou d'une autre... ou, par la grâce de Dieu, de trouver en Jésus la seule porte de la véritable liberté.

Il s'agit du retour ou de l'entrée dans le sens par la connaissance, par la vérité de notre condition empreinte de misère et d'insuffisances et conjointement la connaissance de la manière merveilleuse dont Jésus a donné sa vie pour nous sortir de cette galère dont l’aboutissement n'est que la mort.  Entre deux, la place responsable de notre foi...

 

LA BIBLE, SOURCE INTARISSABLE DU SAVOIR ET DE LA CONNAISSANCE
En réalité le mot connaître contient un sens de partage harmonieux entre ce qu'on considère et ce que nous sommes. C'est ainsi que la Bible emploie le verbe connaître s'agissant de la relation intime entre Adam et Eve : Connaître donne de la vie !

En 1Corinthiens 8:2 on peut lire : "Si quelqu’un croit savoir quelque chose, il n’a pas encore connu comme il faut connaître."

 

En Éphésiens 1:9, l'écrivain dit agir pour faire "connaître le mystère de la volonté de Dieu*, selon le bienveillant dessein qu’il avait formé en lui-même, et connaître l’amour de Christ, qui surpasse toute connaissance".

 

Projet ambitieux - déraisonnable !? - de Dieu, qui vise à faire de nous (hommes et femmes qui nous soucions bien peu et de lui et de notre âme), des "petits Christ" : C'est ainsi que les habitants anciens d'Antioche donnèrent aux premiers disciples de Jésus ce nom qui est devenu "chrétien".

 

AVOIR INTIMITÉ AVEC DIEU
Et en Philippiens 3:10, il est dit que l’Évangile (cette Bonne Nouvelle qu'on peut DÉJÀ, dès ici-bas, entrer dans une vraie relation avec le Dieu qui a créé les cieux et la terre) est annoncé "afin de connaître Christ, et la puissance de sa résurrection..."


Nous y voilà donc, dans cette connaissance de Dieu qui est intimité (amoureuse, comme sexuelle) avec lui, où Jésus-Christ vient jusqu'à se donner en nous par son Esprit qui est vie éternelle : Car Dieu a tant aimé le genre humain qu'il a livré à la mort Jésus son fils sans pareil, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas dans le feu et le soufre de l'étang du jugement dernier (l'enfer), mais qu'il ait la vie éternelle de Dieu unie à lui/elle (à l'âme que nous sommes essentiellement) afin de vivre son éternité bienheureuse exempte de tout mal (le Paradis).
Et en attendant, et en croyant, le présent devient déjà une mine de découvertes toutes nouvelles - du Réel tel qu'il est, de Dieu et de nous-même - et encore un chantier de construction de notre personnalité la plus véritable, dont les potentialités peuvent au mieux se libérer. ..

 

Ainsi nous appartient-il à chacun-e de choisir dès maintenant quelle destinée nous allons nous accorder à nous-même, selon qu'on voudra croire ou pas dans les termes de l'accord (l'alliance) que Dieu nous tend de son Ciel infini et du haut de la croix.

 

Et avec une multitude de chrétiens authentiques disséminés par toute la terre, je peux dire "Et nous, nous avons connu l'amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour ; et celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui."

 

Bonne quête de vie. Bon choix. Bonne suite...

 

un chant ou un autre

 

(guide de prière pour vous rapprocher ou réconcilier avec Dieu).

 

________________________________
* mystère qui est de nous sauver de la perdition éternelle de notre âme et nous aider déjà maintenant à mieux vivre cette existence en recevant l'Esprit de Dieu en nous. Tel est le coeur de l’Évangile, qui n'apporta pas une ou des religions (de plus) mais la clé de notre relation perdue avec le Créateur.

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4 juillet 2019 4 04 /07 /juillet /2019 17:00

Merci de participer à diffuser vers les intéressés si vous le pouvez

Faut-il que nous soyons indécis, que la médecine ne sache pas mieux qu'existe dans notre vivant une composante majeure distincte qui s'appelle l'âme (ou psychisme, du grec psuché), et que des parents croyants ne secourent pas mieux leur fils (ou époux) par leur intervention !
Mais que cela ne soit pas une fatalité qui laisse impuissant devant l'adversité.

Car on peut heureusement pallier à ce manque terrible, cruel, sociétal, vis-à-vis de la lumière de l’Évangile, par de la connaissance et en accueillant l'amour de la vérité nous concernant et concernant Christ.

FAIRE PARLER LA BIBLE

En ouvrant la Bible, on peut lire ce fait d'actualité d'alors rapporté par le médecin grec Luc (chap. 13) : "En ce même temps, quelques personnes qui se trouvaient là racontaient à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec celui de leurs sacrifices. Il leur répondit : "Croyez-vous que ces Galiléens fussent de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont souffert de la sorte ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. Ou bien, ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuées, croyez-vous qu'elles fussent plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également."

 Le fondement de notre condition est que nous sommes tous des "pécheurs", des "pécheresses", ce qui n'est guère flatteur nous l'admettons bien volontiers. Cela signifie étymologiquement des gens qui manquons régulièrement le but du bien. Pécher, mal faire (dire, penser), c'est toujours ne pas faire ce qui est bien (bien dont Jésus a dit que l'amour de Dieu déversé dans nos cœurs est la clé).

Et donc laissons-nous un peu remettre à notre place, à notre plus juste hauteur, car il vaut mieux être abaissés par une parole biblique plutôt que de jouer les arrogants. Selon que la Bonne Nouvelle de l'attitude de Dieu en face des pécheurs, c'est qu'il fait grâce aux humbles, alors qu'il résiste aux orgueilleux.
Et donc, voilà à quoi contribue, dans son état, indirectement mais combien activement, Vincent Lambert - l'épreuve étant globalement ce qui révèle le mieux ce qu'est le vrai fond de nos cœurs.

LA FOI À METTRE EN PRATIQUE

Alors maintenant soyons pragmatiques. C'est-à-dire devenons spirituels. Comprenons que les accidents graves ne nous arrivent jamais par hasard ! J'en ai connu un limite, et j'ai appris la causalité sous-jacente qui existe là (comme partout ailleurs dans l'univers).

Donc, on doit admettre, pour cet accident tragique, qu'il y a quelque part au moins une faute caractérisée commise par Vincent, dont l'aboutissement fut ce qu'il supporte encore... et pourrait supporter encore au delà de sa mort physiologique, tout ne finissant assurément pas par un encéphalogramme plat, le refroidissement du corps étant l'expression causale de la sortie finale et migration de l'âme (quand le lien entre les deux corps, physique et psychique, est rompu).

La foi chrétienne n'est pas prise de court dans tous les cas, puisque nous pouvons prier sous ces diverses formes pour le pardon des péchés (dans la mesure où nous savons et avons quelque prise de conscience de ces vérités spirituelles, avançant humblement, avec contrition et/ou compassion pour qui en a besoin).

Dans l'idéal ici, il conviendrait que les parents ou l'épouse parlent à Vincent qui, fort probablement, entend tout ce qui se dit, puisque le réceptacle des sons (des images, etc...) c'est l'âme. Lui disent qu'il a à demander (intérieurement) pardon à Dieu pour ce qu'il a fait lui-même de mal. En demandant à Dieu de ramener au plan de sa conscience ce qu'il peut avoir oublié et doit être à confesser...
Pour l'avoir fait récemment avec une tante qui ne bougeait plus, je l'ai vu, par le mouvement de sa mâchoire inférieure se mettre à parler à Dieu, répétant après moi des paroles de repentance et d'abandon à Dieu pour être reçue dans son Royaume.
Après de longues semaines de stagnation, elle partit moins de deux jours après. La Bible parle de ces cas de rédemption in-extremis, comme ce fut pour un des deux brigands crucifiés à côté de Jésus, qui fut ainsi sauvé par pure grâce, au dernier moment, par sa foi).

Et quelqu'un peut-être pourra avoir à demander pardon à Vincent, ce qui pourra libérer l'un(e) et l'autre (le pardon demandé et accordé est une puissance qui libère).

VENIR AU BÉNÉFICE DU SACRIFICE DE JÉSUS

Car pourquoi Jésus est-il mort, si ce n'est pour que les pécheurs et pécheresses puissent être libérés et mis en paix avec Dieu par le pardon qu'il désire toujours accorder aux âmes repentantes ?

En témoigne aussi l'épisode fameux de la femme adultère (Évangile selon Jean, ch. 8) ;
ce que dit aussi cette parole du même disciple (ch. 3) : "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises."

Dans la Bible, on voit encore la compassion de quatre amis qui font descendre devant Jésus un grabataire sur son lit. A la vue de la foi de ces amis, Jésus dit à l'homme : "Mon enfant, tes péchés sont pardonnés.
Enfin, les apôtres Paul et Silas dirent au geôlier désespéré de la prison de la ville grecque de Philippes : "
 Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille."

Et ne le ferait-il pas avec Vincent si une vraie foi de ses familiers dans la vertu de la grâce christique est mise en œuvre ? Dieu lit au cœur : la croyance superstitieuse ou la foi mal placée ne procure que des déconvenues. Mais la foi au Christ Jésus mort pour nos péchés et ressuscité sauve !
Et il s'agit maintenant de libérer Vincent du fardeau de ses fautes (voire d'autres, antérieures) pour le laisser rencontrer celui qui veut réellement maintenant devenir son Dieu.

Alors, parents ou amis croyants qui pouvez approcher Vincent, soyez, devenez de vrais intercesseurs afin que la gloire de Dieu, visible ou invisible et de toute façon déjà manifestée en Jésus ressuscité, puisse devenir sans plus tarder le partage bienheureux de Vincent.

"Si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même  (Jésus) dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. 8 Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous. 9 Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité."

Et "...Priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace."

Soyez bénis.

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6 mai 2019 1 06 /05 /mai /2019 16:20

Qu'est-ce que visiter une cathédrale - debout ou ravagée -
sans considérer qu'existent tout autant
un Dieu vivant et des mauvais esprits !?
Le bâtiment a été rendu inutilisable - comme jadis le Temple de Jérusalem -,
mais la croix est toujours debout
pour le salut de quiconque croit (l'ère de la Grâce divine
n'est pas encore tout à fait à son terme)...

(suite de l'article commencé ici)

AUTRE EFFET DE L'INCENDIE
"Nous savons, du reste, que toutes choses concourent au bien de ceux qui aiment Dieu, de ceux qui sont appelés selon son dessein.29 Car ceux qu'il a connus d'avance, il les a aussi prédestinés à être semblables à l'image de son Fils, afin que son Fils fût le premier-né entre plusieurs frères."

Ce que Dieu cherche en laissant courir ses jugements, c'est nous ramener à lui ! Pas que nous disions encore comme des enfants idiots vexés : - Même pas mal !

LA PRIÈRE DES JUSTES A UNE EFFICACE
Si l'humilité et la repentance bien comprise ont publiquement manqué, cette catastrophe a cependant suscité une réaction de nombreux chrétiens qui (je pense et sans doute eux aussi) a pu empêcher que les murs et autres "twin towers" s'effondrent : la prière.

Prière qui a pu inclure la repentance. Prière dans tous les cas qui crie à Dieu pour que le mal ne l'emporte pas - ou pas trop. Prière qui peut stopper les démons qui ne cherchent qu'à relayer et amplifier une épreuve pour pouvoir mieux et longtemps "tourner le couteau dans la plaie" et en tirer quelques réactions pour le moins inappropriées...

LE MAL EST DÉCLENCHEUR... DE CE QUE NOUS SOMMES, AU PLUS PROFOND
On a pu voir à partir de cette épreuve que globalement le cœur du peuple français, des riches comme des moins nantis, reste sensible et généreux et jusqu'à étrangement solidaire - état retard de : même si la foi a été volatilisée comme une mère arrachée à son foyer (exactions progressives qui forment un grand fil route des trois derniers siècles en Occident), les enfants de la famille se trouvent une racine (chrétienne !) comme on a un terroir.

Lorsque survient un gros cataclysme ou une guerre, l.es liens sociaux abîmés par l'orgueil, l'esprit de partis, la politique ou la doctrine sournoise de la lutte des classes, se reforment.
Le cœur reprend vie.
Plus que d'euros parlons de cœur. Car on ne rachète pas une mauvaise conduite par de l'argent, mais par l'humilité, la contrition, et/ou l'humiliation du cœur.

Et plus que de voir un jugement comme un mal, comprenons-le comme un moyen d’accéder à plus de compréhension du Réel pour une meilleure insertion en Lui, que ce soit matériel (temporaire) ou spirituel (éternelle).

Et puis Dieu est au-delà du temps, et ici encore le prouve... par l'accomplissement d'une prophétie vielle de 2 500 ans !

UNE PROPHÉTIE VIEILLE DE 2 500 ANS VIENT DE S'ACTIVER

Lundi 15 avril 2019*, on a assisté en plus du feu physique d'un jugement, à l'ouverture d'une prophétie faite par le prophète Zacharie*. Elle donne le sens profond de cet événement.
C'est la prophétie du chapitre 5 :

"Je (Zacharie) levai de nouveau les yeux et je regardai, et voici, il y avait un rouleau qui volait.2 Il me dit : Que vois-tu ? Je répondis : Je vois un rouleau qui vole ; il a vingt coudées de longueur, et dix coudées de largeur.3 Et il me dit : C'est la malédiction qui se répand sur tout le pays ; car selon elle tout voleur sera chassé d'ici, et selon elle tout parjure (ceux qui font de faux serments) sera chassé d'ici.4 Je la répands, dit l'Éternel des armées, afin qu'elle entre dans la maison du voleur et de celui qui jure faussement en mon nom, afin qu'elle y établisse sa demeure, et qu'elle la consume avec le bois et les pierres.
5 L'ange qui parlait avec moi s'avança, et il me dit : Lève les yeux, et regarde ce qui sort là.6 Je répondis : Qu'est-ce ? Et il dit : C'est l'épha qui sort. Il ajouta : C’est ce que l’on voit d’eux dans tout le pays.7 Et voici, une masse de plomb s'éleva, et il y avait une femme assise au milieu de l'épha.8 Il dit : C'est la méchanceté. Et il la repoussa dans l'épha, et il jeta sur l'ouverture la masse de plomb.9 Je levai les yeux et je regardai, et voici, deux femmes parurent. Le vent soufflait dans leurs ailes ; elles avaient des ailes comme celles de la cigogne. Elles enlevèrent l'épha entre la terre et le ciel.10 Je dis à l'ange qui parlait avec moi : Où emportent-elles l'épha ?11 Il me répondit : Elles vont lui bâtir une maison dans le pays de Schinear ; et quand elle sera prête, il sera déposé là dans son lieu."

PROPHÉTIE ET INTERPRÉTATION DE SES MYSTÈRES
Cette prophétie sous forme de parabole** (métaphorique donc) contient des mystères dont l'Esprit de Dieu me donna la signification que nous pouvons désormais en avoir dès que le toit de plomb de la cathédrale fut porté à notre connaissance (par son effondrement), et que de là je me dirigeais dans la Bible pour la consulter.

- Premier mystère : LE ROULEAU QUI VOLE
C'est la forme du support des écritures avant qu'on invente les pages et les livres. Plus précisément dans le contexte, c'est le symbole de la religion (le judaïsme) que Dieu a donnée par Moïse aux israélites (le peuple juif), et dont les articles de foi avec la connaissance du Dieu unique et les valeurs morales ont ensemencé la terre..

- Le mystère de L'ÉPHA
C'est un récipient qui ici est rond, alors qu'il devrait être, suite à la dimension rectangulaire du rouleau précédent, carré. 
Entre les deux visions on a donc fait le saut de la Loi (devenant Ancien Testament) à l’Évangile de Grâce (Nouveau Testament). Mais là il y a un problème !...

- Le mystère du COUVERCLE DE PLOMB
Et donc voilà un couvercle de plomb - vil métal - sur l'épha que représente la cathédrale !
La dimension spirituelle de l'homme est précisément qu'il n'y ait plus de séparation entre les pécheurs pardonnés (quand nous le sommes) et le Dieu trois fois saint. Certes il faut un toit à cette cathédrale, mais le plomb est un symbole suffisamment compréhensible pour qu'il apparaisse là comme un ciel de plomb au dessus de la tête des personnes qui viennent là, priants ou simples touristes. On est lui du rideau déchiré de haut en bas dans le Temple de Jérusalem au moment où Jésus meurt, "ôtant (à la fois véritablement et potentiellement) le péché du monde"...

- Le mystère d'UNE FEMME
Une femme - plutôt que Jésus le rédempteur ! - au cœur de la cathédrale, c'est - Est-ce ? - une véritable surprise !?
Si les gargouilles et aux chimères sont présentes dans les hauteurs de Notre-Dame, ce n'est un mystère pour personne que parmi les représentations, peintes ou sculptées, l'image de (soit-disant) la Vierge Marie est des plus présentes... et disproportionnées si on compare ses mensurations à celle du Sauveur le plus souvent représenté dans ses grands et puissants bras en "petit Jésus" !

L'image féminine représente en réalité non pas bien sûr la véritable Marie (Myriam), humble servante du Seigneur que Jésus confia à la bienveillance de l'apôtre Jean , mais un démon certainement très puissant, de l'ordre des cavaliers ou vents spirituels des ténèbres dont parlent Daniel, Zacharie et encore l'Apocalypse, qui parcourent la terre et cherchent à établir le règne qui vient pour un peu de temps de l’Ante-christ.
La prophétie de Zacharie prédisait donc cet état de choses final, et il fallait bien que des croyants d'obédience chrétienne s'interroge encore sur le sens d'une telle présence féminine dans l’Église de Christ. L'incendie de la cathédrale est venue interpeler la foi et les consciences...

- Le mystère des DEUX (autres) FEMMES
Enfin, c'est en tout trois femmes qui paraissent avant la fin de la prophétie. Ce qui n'est pas sans rapport avec notre actualité de "fin du temps des nations" où les femmes montent au créneau comme jamais : sous couvert de concept d'égalité ou de parité, voilà que la bascule a été faite où les femmes s'imposent (ou sont imposées) dans des places les plus stratégiques ici en Occident, et à la suite au pays de Shinéar (aujourd'hui l'Iran et l'Irak) où la femme de l'épha est transportée (exportée) comme icône de cet éveil à une suprématie féminine...

De fait, en reprenant les termes successifs de la prophétie, on se trouve à la fin (du temps de la Grâce) essentiellement avec une Loi, une religion conquérante conduite par le mâle dans sa forme adamique non transformée par la rédemption, et d'autre part une force très largement dépouillée de morale et pareillement conquérante, de nature féminine mais qui s'arroge des attributs (et à des moyens) virils, autant dire séduisante. L'une allant, d'abord en catimini, dans la place forte de l'autre... ce qui, pour faire bref, ne pourrait se dénouer que dans une conflagration planétaire... que doit précéder pour les "vierges sages" le retour de Jésus venant soustraire à ce chaos, littéralement enlever, son Épouse (d'une part qu'il ressuscite et d'autre part qui est prête) pour la faire entrer dans son éternisation finale (corporelle).

L'article complet de cette prophétie révélée compte une trentaine de pages qui ne sera délivrée que par mail sur demande privée faite ici par le bouton Contact.

Soyez éclairé-e dans l'amour de la vérité qui sauve (Nouveau Testament, 2e lettre aux Thessaloniciens ch. 2; v. 10-12).

_____________________
** Zacharie est un prophète suscité par le Dieu véritable à partir de - 520 (avant J.-C.), au moment précis où - coïncidence !? - le Temple de Jérusalem est en travaux !
Et - autre coïncidence !? - ces travaux, qui conduisent à la reconstruction du Temple détruit, vont durer... 5 ans ! (de - 520 à - 516). Pourquoi le Président Macron dit-il qu'en 5 ans la vieille dame serait relevée ? Certes les J.O. de 2024, mais peut-être pas que... cela en 2024...

** La parabole (image métaphorique ou symbolique) est un moyen de connaissance à la fois ouvert (ouvrant) et fermé (fermant), pour que l'auditeur ait une place à part entière, une responsabilité propre quant à son insertion dans la connaissance et le Réel.

Elle se fonde sur une loi de correspondance entre les réalités formant notre environnement matériel immédiat (que nous connaissons facilement), et des réalités plus subtiles (non-immédiatement accessibles à notre conscience) qui sont de l'ordre de la spiritualité et du psychisme (de notre âme).
La parabole amorce donc, suggère et mobilise notre âme, à partir de choses qu'elle connaît, pour amener à notre conscience une connaissance (découverte et conclusion nouvelles, enrichissantes) du domaine de l'Esprit, de la spiritualité, de Dieu et/ou des mauvais anges ou démons.

On voit souvent Jésus parler ainsi avec son entourage.
"Jésus leur dit cette parabole (du semeur), mais ils ne comprirent pas la portée de ce qu'il leur disait."
Après la parabole délivrée à "une grande foule" (Evangile selon Marc, ch. 4) il est encore dit: "Lorsque Jésus fut en particulier, ceux qui l'entouraient avec les douze l'interrogèrent sur les paraboles. Il leur dit : C'est à vous (à ceux qui cherchent auprès de Dieu le sens) qu'a été donné le mystère du royaume de Dieu ; mais pour ceux qui sont dehors tout se passe en paraboles, afin qu'en voyant ils voient et n'aperçoivent point, et qu'en entendant ils entendent et ne comprennent point..."

La parabole est donc comme sont une serrure et une clé. Et c'est par l'homme et non par Dieu, que s'actionne la clé, à partir de l'interprétation qu'en donne à l'un ou l'autre l'Esprit de Dieu.

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4 avril 2019 4 04 /04 /avril /2019 09:04

On apprend que les GAFA vont investir le champ des possibles dans le domaine des jeux vidéo. Un domaine qui rapporte des milliards d'euros ou de dollars à la pelle !

Le jeu et les jeux, c'est bien.
Dans la mesure où on ne joue pas avec n'importe quoi, et dans la mesure où le repos et la détente, le loisir donc, accompagne heureusement, sans les remplacer, les temps nécessaires de travail et de sommeil.

DE LA LIBERTÉ À L'ESCLAVAGE
Sinon ce n'est plus ni du ludique ni du loisir, mais de l'obsession, jusqu'à l'addiction.
En termes plus clairs, c'est entrer dans une dépendance au point où des esprits maléfiques - comme les démons qui paraissent dans certains jeux* - peuvent venir sur les joueurs pour les "compulser", les presser à jouer et à jouer encore, jusqu'à possiblement prendre autorité sur toute la volonté de la personne.
C'est ce qu'on appelle la possession. C'est progressivement et par palier un glissement dramatique qui va d'un désir à une envie, de la convoitise à une action qui y répond, et encore d'une tentation (maléfique) à l'obsession, l'oppression, la compulsion et au pire la possession et/ou le suicide ou tout autre acte destructeur.

Le caractère démoniaque d'une intrusion dans nos existences se reconnaît encore en ce que les hiérarchies et priorités dans l'ordre ordinaire des choses sont bousculées et les relations avec l'entourage deviennent de plus en plus conflictuelles.

MESSAGES SUBLIMINAUX ET HYPNOSE
Pour revenir plus directement a ce qui vient d'être annoncé à la télévision (peut-être sur la 1), on a encore pu entendre que, glissés dans le déroulement des actions de jeux, il pourra y avoir des flashs très brefs de publicité.
Si brefs que ça n'arrêtera pas le jeu ! Ce qui s'appelle en langage décodé des messages subliminaux. Rien de mieux pour atteindre l'âme (le fond profond de notre personnalité) sans même que les yeux (ou les oreilles quand ce sont des messages introduits dans des chansons) ne le perçoivent. Ainsi la conscience est court-circuitée, le message est passé et va produire inéluctablement un effet: nous faire acheter tel ou tel produit ou service. Ce qu'on fera sans avoir la moindre idée de pourquoi on achète.

C'est le même procédé que ce qui se passe sous hypnose.
J'ai assisté un jour à une séance où un médium (pas particulièrement connu et puissant) a endormi (hypnotisé) une femme, puis lui a dit que lorsqu'elle sera réveillée, elle aille chercher pour lui une bière dans le frigo.
Une fois réveillée, sans dire un mot, elle est partie et revenue avec une bière qu'elle a offerte au médium !

Un homme (une femme ou un enfant) averti en vaut deux ! Et "Faute de connaissance, mon peuple dépérit" dit Dieu par le prophète Osée.

¤

Le temps est une force ; amie ou ennemie.

Si le temps est une force, il n'est pas juste de considérer l'univers comme étant fait et seulement dépendant de "4 forces fondamentales et interactions élémentaires"** responsables de tous les phénomènes physiques observés dans l'Univers !

Les richesses, compris le temps et de belles pensées, sont un bien.
Mais elles peuvent aussi être un réel embarras.

Un embarras embarrasse notre liberté.
Mais il peut en même temps être une lumière qui nous alerte. Et cette interpellation, si on y est sensible, va pouvoir nous aider à nous débarrasser d'encombrants, de nature psychique ou spirituelle.

Ce qui confirme le constat de George-Bernard Shaw:
"Il y a deux tragédies dans ce monde: avoir et ne pas avoir, être riche et ne pas être riche".

Si les riches et les pauvres le savaient, ils se rencontreraient bien mieux.
Mais pour cela, il faut le vrai Dieu** au milieu. Donc dans les cœurs... pas l'argent ou l'attrait du pouvoir.

La convoitise est donc toujours un vilain défaut.
Sauf si on l'observe réagissant en nous en tant que tel, et si on sait comment se défaire de nos travers et autres mauvais penchants. (ce blog apporte à ce sujet l'essentiel des solutions).

Et la pollution est à découvrir premièrement dans notre propre intérieur.
Dans nos pensées injustes, dans nos paroles mal à propos ou franchement toxiques, dans ces réactions spontanées qui ne sont pas ou ne restent pas sous notre contrôle.

C'est ce qui nous échappe qui doit (aussi) nous interpeler.
Quand on dit ou fait quelque chose qui est "plus fort que nous" ! Qui le fait, si ce n'est pas nous ?

La connaissance de l'univers, a dit Socrate, commence par la connaissance de soi.
Et en même temps, le monde qui nous entoure peut contribuer à mieux se connaître soi-même. C'est donc comme les deux pédales d'un vélo.

Et comme on a été créé avec deux jambes et deux bras, on a été créé avec une âme et un esprit.
Mais qui nous l'apprend ?
Certainement pas ceux qui profitent de nos ignorance.

Mais le Dieu qui nous a créés - et nous aime*** - veut que nous sachions.
Comment il nous a faits ; Pourquoi on marche mal, comme des unijambistes ou des hémiplégiques ; Pourquoi on est manchot d'un bras, étant privé de son bon et saint Esprit ;
Pourquoi on ne sait pas aimer, et se laisser aimer !?...

Cherchons et nous trouverons

______________________
* Si des êtres (souvent affreux ou malignement séducteurs) d'une autre nature que nous et d'autres mondes ont pu être inventés, c'est parce qu'effectivement des êtres surnaturels démoniaques existent et peuvent interférer dans nos existences, selon la place qu'on leur donne par nos comportements. (Ce sont des anges déchus, sortis de leur rang, dont Satan est le chef).

** Les 4 forces admises sont la force d'interaction nucléaire forte, la force d'interaction électromagnétique, la force d'interaction nucléaire faible et la force d’interaction gravitationnelle.

*** Le vrai Dieu est Amour et Justice.
Mais Justice avant de pouvoir libérer son Amour...

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14 mars 2019 4 14 /03 /mars /2019 09:09

Ce matin je me retrouve devant la page blanche d'un nouvel article à publier. Mais qu'ai-je à écrire des dizaines de (bonnes) réflexions et de pensées qui viennent à ma conscience et se succèdent bien plus vite qu'on a le temps de les matérialiser sur un clavier ?

Pourquoi suis-je là à ce moment et vide en même temps ? Je demande à Dieu (Celui qui est devenu mon Dieu) s'il veut que j'écrive maintenant, et quoi ? La réponse est immédiate :

"Je vous aime.

Je vous chéris, homme, femme, âmes perdues, égarées, déboussolées dans ce monde de souffrances qui m'a rejeté.

Ce monde se vante de savoir, multiplie les connaissances, mais sans rien ajouter à sa compréhension.

Et quand certains comprennent (un peu plus que d'autres), ont une certaine lucidité sur ce qui se passe qui les fait déjà refuser ou s'opposer aux systèmes, à la politique comme aux religions, ils n'ont pas de solution.
Ils voudraient une solution qui soit bonne, mais ils ne la trouvent pas. Ils ne l'ont pas.
Parce que le pouvoir du bien n'est pas en eux. Le pouvoir du bien n'est pas en l'homme.

Ils ne trouvent pas la solution à chacun de leurs multiples problèmes, parce qu'elles ne sont pas dans leurs valeurs ; et même pas dans les valeurs qui sont les miennes - parce que les concepts même justes n'ont pas de force en eux-mêmes. C'est Moi la force de toute justice.

Les solutions à ce qui est chaotique ne sont pas dans leurs pensées, parce que leur fondement, leurs idéologies, idéalistes, utopiques, pas plus que les religions, idéalistes, utopistes, ne sont attachées à Moi le vivant, qui possède le pouvoir, qui suis la force du bien.
Oui, je suis.

Je suis, et ils ne le savent pas. Et quand ils croient le savoir, ils marchent, vous marchez sans assez me connaître, et sans une relation établie avec Moi.
Alors c'est comme si je n'étais pas. Mais Je suis.

Alors vous dépérirez, à mal faire ou à ne pas savoir que faire. Vous êtes trop actifs, à la réflexion trop courte ; ou bien abattus, sans capacité pour en sortir par vous-même.

Et encore vous vous confiez en des humains, tout semblables à vous, alors que ma Parole dit : "Maudit soit l'humain qui se confie dans l'humain."
Car il n'y a pas d'autres dieux que Moi seul, pour sauver, pour délivrer, pour guérir, qui puisse débrouiller les problèmes dans lesquels vous vous enfermez par vos comportements coupables, par votre manque de justice, de justesse, d'à propos, de compassion, d'humilité, de juste vue de vous-même.

Revenez à Moi et vous vivrez ! Ne croyez plus que les choses vont s'arranger, que les impies vont parvenir à solutionner leurs crises.
Les crises sont les conséquences de leurs actes, de leurs choix, de vos actes, de vos choix. Elles sont les signes, les symptômes qui devraient vous amener avec leurs conséquences et mes jugements à la repentance. Au renoncement à vos œuvres mauvaises, sans effet positif sur la vie, pratiquées en dehors de Moi.

Je ne mettrai personne dehors de qui vient à Moi. Lavez-vous, purifiez vos âmes. Regardez-vous comme responsable et coupable et je vous pardonnerai si vous re-venez à Moi de tout votre cœur.

Je suis humble de cœur et compatissant, mais je ne peux tenir le coupable pour innocent. Seule la foi dans le sacrifice parfait de mon Fils bien-aimé peut obtenir la purification, la paix par la réconciliation avec Moi.

Car c'est une loi que "sans effusion de sang, il n'y a pas de pardon des péchés". Mais ma solution c'est que si vous confessez le mal que vous avez fait, dit ou même seulement pensé, je suis fidèle à l'alliance faite par ma crucifixion et juste pour vous pardonner toutes vos iniquités."

Je vous aime. Je l'ai prouvé.
Ne restez pas loin de Moi pour périr maintenant et pour l'éternité.

______________________________
Référence biblique à cette preuve de l'amour de Dieu manifesté envers nous : la Bible, lettre aux Romains chap. 5. versets 6 à 8 - 1ère lettre de Jean chap. 4, versets 9 et 10.

Croyez, et vous verrez bien que Dieu répond à une foi simple et sincère.

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  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
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