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5 avril 2017 3 05 /04 /avril /2017 10:27

 

Ils sont onze - les onze sélectionnés ! La France a besoin d'une nouvelle équipe gouvernementale, représentative. Mais le vivre-ensemble demande une plate-forme suffisante, pour une unité, qui arrive au moins à 75-80 % de points fondamentaux communs (voir la courbe de Gauss).
D'où ce qu'on est bien obligés d'appeler la concurrence, la compétition quinquennale de la Présidentielle.
D'où encore ce qui est et sera inévitable comme difficulté au plan général avec un multiculturalisme pseudo-érigé, concomitamment à la laïcité, en mode sociétal...

De la sorte - politiquement incorrect -, on ne va jamais arriver qu'à une représentation faussement démocratique, à une nouvelle fracture - que ce soit à peu près par le milieu ou par 1/3 - 2/3 selon les alliances intelligentes et/ou iniques qui paraitront au second tour. Pourquoi cela ?

DEUX PRÉÉTABLIS MAUVAIS
Parce que la base sur laquelle nous vivons en société - et abordons les élections - est fondée sur deux préambules (fondamentaux) mauvais :

1- Au plus profond, largement inconscient mais bien intégré, le concept de lutte des classes (la dialectique, mutée par Hegel et adaptée par Marx comme mouvement historique (diviseur) de la matière).
Dans ce sens-là un livre (La France aux ordres d’un cadavre - 2000 - Maurice Druon) donne des lumières...

2- profond mais plus visible, une dominance des ego dans ce qui est la quête du Bien Commun. Ceci étant quasiment un fait obligé par la première prémisse (action de lutte), faute d'une meilleure approche du Réel (que serait une recherche de communion).

D'où cette forme acquise du débat (admise, impensable autrement), du pugilat intellectuel, figure des rivalités anciennes où l'on se tuait plus physiquement.  

D'où ce sentiment palpable mais confus d'enfermement, dans un système - qui en fait inclut tout le monde, de J.L. Mélenchon à M. Le pen, en passant par deux arbitres qui ont du mal à rester dans leur rôle ; avec la difficulté à faire émerger une vue plus qu'une autre où les solutions pour le Bien Commun, malgré les divergences, rallierait naturellement un certain pourcentage d'ego. (ce qui pourrait se passer, mais qui ne prend pas le pas sur les assises divisionnaires et les rigidités égocentriques).

Dès lors qu'on en est là, qui que ce soit qui passe, les grèves et autres manif' reprendront ou continueront ou s'enflammeront, plus ou moins selon le candidat, puisque le principe infra-structurel de la "campagne" est la lutte et non l'unité, le rassemblement, qu'on dit - illusoirement - rechercher. Pourquoi en sommes-nous encore là ?

LE FOND DU PROBLÈME
Car toute organisation politique qui n'est pas fondée sur les lois sociétalement supra-structurelles et personnellement structurantes de Dieu le Concepteur et Créateur initial du Bien, est vouée
- à morcellements (devenus naturels depuis des millénaires)... ou à des unités subtilement ou violemment contraintes et contraignantes (en diverses expressions de totalitarisme) ; de là
- à une inefficacité pérenne, car on ne sait (re)construire en fait véritablement que sur des ruines fumantes et/ou des cadavres (parce que pas sur le Bien) :
- à des adversités finalement insurmontables ;
- et à des morts : spirituelle, psychique (comme on a voulu faire avec F. Fillon) et physique...

Et il ne s'agit pas là de religion, mais de dimension et de globalité du Réel et de l'Homme...

 

Les onze de France ne peuvent donc faire une équipe - ce qui, pourtant, devrait et pourrait se faire avec quelques-uns d'entre eux. Parce qu'ils n'ont pas la vue d'une équipe en face d'eux tous, contre qui, unis, on aurait - on a ! - à se battre. Alors ils se combattent l'un l'autre - ce qui n'est pas "de bonne guerre".
Ils essayent encore, mais d'autant impuissants qu'ils sont directs, pas complexifiés, de s'en prendre à une tête visible de l'Hydre : la finance, les banques, les milliardaires, le capital. (On se souvient que candidat, Hollande avait voulu s'en prendre à cette bête-là).
C'est que sans Dieu à ses côtés ET avec lui, l'humain se débat en aveugle : Si on se reconnaissait davantage en Don Quichotte... 

Car les inégalités financières - symptômes et non cause première du mal - n'est qu'une face visible de la lune. C'est pourquoi les propositions comme prendre aux riches pour donner aux pauvres ("justice" à la Mandrin ou Robin des bois) est ou serait une faute de plus : On ne fait pas de la justice sociale en volant !
On ne rend pas le mal pour le mal si on veut sortir de nos maux.
On doit vouloir changer de Dieux, notamment - nantis et jaloux - en voyant mieux comment on fait de l'argent, de la monnaie d'échange, le Dieu palpable, sonnant et trébuchant de ce monde, qui fait tirer la langue ou saliver tout le monde. Dieu en effet - comme tout ce qui nous domine jusqu'à régler et/ou dérégler la majeure partie de notre existence. C'est en ce sens que Jésus personnifie la monnaie en lui donnant un nom, Mammon, comme à une force vivante... de substitution au Dieu véritable.
Mais le problème est-il seulement à ce niveau ? Non.

OÙ EST CACHÉ LE NOEUD GORDIEN ?
Parce que c'est seulement derrière et en amont du Dieu Argent qu'est le coeur - "le cerveau" - de ce qui nous empêche inlassablement d'être heureux, que se cachent les vrais marionnettistes.

Là encore on croit les identifier, en les personnes (physiques ou "morales") des lobbies, des grands groupes, des milliardaires, voire des sectaires ou religieux que la politique n'est pas sans intéresser...
Mais on ne voit toujours pas assez haut ! Notre regard formaté par une éducation quasi-sans Dieu nous entrave.
Car si on n'arrive pas ou plus, à voir aussi manifestement le Dieu créateur au moins à travers ses oeuvres (la nature terrestre et le ciel, avec leurs corps et organisations énergétiques et relationnelles...), on devrait au minimum voir et commencer à comprendre que des forces occultes existent et sont largement à l'oeuvre parmi nous. Des forces issues d'entités de l'ordre des esprits, surnaturelles, démoniaques !
"Faute de connaissance, dit Dieu dans la Bible, mon peuple dépérit, meurt."

Et la connaissance doit inclure celle de la réalité des démons, forces spirituelles méchamment intelligentes, invisibles mais dont les effets sont (de nouveau de plus en plus) manifestés. Au point, normalement, de nous interroger ! Attentats qui dépassent toute raison humaine, massacres sidérants de famille, actes de barbaries et de perversités ahurissants, suicides - réussis, toujours en augmentation -, meurtres divers, génocides... Avec des ressentis étranges ici ou là (jusque dans notre habitation, et plus seulement dans des maisons hantées) ; sensations étonnantes de froid, de présences, de mal-être, sentiment d'être regardé, d'insécurité... des querelles irrépressibles jusque dans le couple, de la violence surnaturelle dans les enfants, et/ou contre eux ; cauchemars, visions, etc... (aussi série : Y voir (plus) clair).

Ainsi sommes-nous, nous le genre humain, chacun sur un plan ou un autre et dans une hiérarchie (qui toujours reste plus à imposer qu'elle ne se négocie) : peuple, élus, État, cercles humains de grandes influences.
Et au-dessus de nous, sont deux sphères célestes, de dimension invisible : la petite fenêtre de vue physique qu'on a du spectre des ondes, devrait nous aider à admettre en nous une aberration ou cécité de vue spirituelle - initiale mais guérissable -, qui ne doit pas nous faire réduire le Réel à elle seule.

Ainsi est en soi, le Divin, qui peut se toucher, se voir, se vivre... dans cette dimension - quand on est né à cette dimension - et, au-dessous - entre Dieu et nous - sont des anges détachés du Bien (Satan et quantité de démons)... enseigne toujours la Bible*, et encore montrent indirectement l'Histoire et nos actualités.


Or (et hors) de cette vue, notre intelligence reste prise en otage. Elle est rendue impuissante. D'où résultent au plan politique
- toutes les promesses de candidat - faites en toute bonne foi et bonne volonté - mais curieusement non tenues ;
- toute l'impuissance à faire le bien qui semble mathématiquement possible, mais qui ne peut se concrétiser ;
- et encore toutes les postures sournoises, irrespectueuses, comme certains 49-3 à l'objet (encore) fort discutable - Des lois conséquentes votées en catimini - Un traité qui se substitue à un document semblable rejeté par un référendum - voire des pratiques qui dépassent même le cadre constitutionnel...

 

En rapport de tout cela, et compte tenu de nos imperfections et insuffisances à tous, je ne vois, parmi notre Onze présidentiable, que F. Asselineau et F. Fillon comme sortant du lot. Par leur lucidité sur l'état de la France ET par des propositions judicieuses pour s'extirper de la crise.
Juste que l'un ne reste pas dans l'Europe, l'autre veut (seulement) la transformer - l'idée est la même. Si au moins ces deux trouvaient le terrain d'entente - qui existe, possible -, il y aurait là me semble-t-il une paire gagnante assurée pour une France remise sur la courbe montante.

Mais le discours est-il possible entre eux, qui serait une vraie dialectique (autre qu'hégélienne et/ou marxiste) ?...

LA PAIX, LE BONHEUR, DANS QUEL PRÉ ?
Bref, le bonheur et la paix (intérieure d'abord, et seulement à la suite dans les relations), restent et resteront loin, si on n'a espoir qu'en ce niveau-là.
Si on ne compte que sur la politique et des politiques (même Poutou serait/deviendrait un politique s'il était élu ! ☺) pour trouver du travail et sortir des tensions et conflits économiques ou familiaux.
Plutôt que de les rêver - ce qui empêche parfois de voir le Réel tel qu'il est -, il faut chercher le bonheur et la paix intérieure où ils sont déjà, et non chercher à les fabriquer : le progressisme est une chimère (dangereuse), le progrès c'est parfois revenir à la source comme on revient parfois à la nature...

Ainsi, concomitamment à ce qui peut se passer du côté des présidentiables, le plus à notre portée (outre un vote qui approche), est et sera toujours de chercher, tout individuellement, notre réponse pour notre paix et sécurité intérieures. Auprès de Qui ?
Du seul vrai Dieu - qui n'est ni l'argent, ni le pouvoir, ni la sexualité, ni la révolte, ni le dieu incohérent des religions (toutes incomprises, par leurs leaders même) et des philosophes (le nez dans le guidon de leur moi-je)...

Cherchez personnellement l'essentiel - l'essence du Ciel. C'est le seul endroit peut-être où il est existentiel autant qu'essentiel de s'occuper de soi plus que de tout autre chose. Car le salut n'est pas public !
Le salut (de l'âme vouée au mal dominant et à une mort... qui peut être évitée) ne peut (pour le moment) ne peut tirer son germe de la "chienlit" (expression chère à De Gaulle) de plus en plus envenimée et toxique.
Mais un renouveau de vie peut, et veut, poindre dans les coeurs qui cherchent le secours d'En-haut avec amour de la vérité, selon de réels besoins (spirituel compris), et/ou avec une saine curiosité.
J'ai connu une jeune fille qui a trouvé Dieu en commençant à lui poser des questions, avec foi, comme parlant dans le vide au début, et elle a vu que Dieu l'entendait et lui répondait. Au point où elle lui a confié les rênes et la destinée de sa vie pour ici-bas et pour l'éternité.

"Je suis le chemin, et la vérité, et la vie" dit Jésus. Est-ce vrai ? A vous de le chercher, de questionner, et de trouver, pour savoir si c'est exact...

Soyez béni-e dans cette quête du sens et de la vie sans fin... et aussi pour voter juste et utile, pour celui qui laisse apparaître le plus de vérité et de forces pour redresser des hérésies politiciennes, pour freiner et éponger des hémorragies, pour éradiquer les cancers, et guérir le pays d'Alzheimer**... 

Pour les chercheurs de bonheur (Psaume 23) :
Cantique de David.
"L'Éternel est mon berger : je ne manquerai de rien.
2 Il me fait reposer dans de verts pâturages, Il me dirige près des eaux paisibles
3 Il restaure mon âme, Il me conduit dans les sentiers de la justice, A cause de son nom
4 Quand je marche dans la vallée de l'ombre de la mort, Je ne crains aucun mal, car tu es avec moi : Ta houlette et ton bâton me rassurent
5 Tu dresses devant moi une table, En face de mes adversaires ; Tu oins d'huile ma tête, Et ma coupe déborde
6 Oui, le bonheur et la grâce m'accompagneront Tous les jours de ma vie, Et j'habiterai dans la maison de l'Éternel Jusqu'à la fin de mes jours."

________________
* c'est l'inversion de puissance des forces dans le les cieux et sur la Terre qui nous bluffe : ici-bas c'est Le Désordre (mauvais, démoniaque et en nous-même) qui domine très majoritairement, alors que dans les cieux tout le mal est dominé ou contrôlé par le Bien. Entre les deux, seulement quelques fenêtres dans nos existences, de liberté pour voir cela et choisir en conscience.

** C'est Jacques Chirac qui a en son temps infléchi l'Europe pour qu'elle renie et oublie ses racines chrétiennes...

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4 avril 2017 2 04 /04 /avril /2017 10:06


Suite et fin (provisoire) de l'article commencé ici.

Mai 68 fut une révolution relativement pacifique, malgré des morts et des blessés. Une révolution ouvrant sur des libérations, mais pas seulement : aussi sur de nouvelles opportunités pour des esprits manipulateurs et oppresseurs, une nouvelle vague de démons jouant de la séduction. Avec eux, tant qu'on marche dans ce jeu (de la douceur, flatterie, tentation, pommade, sens du poil, cadeaux, promesses...), ils s'y tiennent ; mais quand on s'aperçoit qu'on est "le dindon de la farce" (d'une mauvaise farce), ils peuvent donner un tout autre visage à celui ou celle par qui ils agissaient. C'est ainsi que de très "bonnes" relations (amoureuses, commerciales...) peuvent soudainement - ou après quelques menaces - tourner au vin-aigre, vol, violence, voire meurtre... 

 

Qui, aujourd'hui en France et en Europe, peut dire qu'il ne s'aperçoit pas de la dégradation des moeurs - ce qu'on nous a fait croire être de la libération ?
Cela se mesure à la dégradation des relations et à la montée des contraintes, des pressions, du mal-vivre ensemble.
Parce que nous saturons notre environnement, non seulement de pesticides, de gaz, particules à effet de serre et autres polluants et déchets intraitables - tout cela étant la face visible de l'iceberg Corruption-Dégradation -, mais encore des réalités toxiques plus subtiles dont on a déjà bien parlé - partie cachée, dans leurs dimensions psychique et spirituelle de l'iceberg, avec toutes nos fautes morales non vues, confessées à Dieu et pardonnées).

A partir de là, c'est à nous à reconnaître, à accepter de voir de ces causalités fondamentales qui sont, mais qu'on veut ou peut, comme font les autruches, ne pas croire.

Si elle a quelque chose de pacifique - à cause des esprits qui s'y déploient, la révolution de Mai 68 est en fait venue ajouter à ce qu'on peut appeler "la déchristianisation", c'est-à-dire à l'incompréhension spirituelle du Monde Réel, avec des reconstructions matérielles seulement fondées sur le sable, la libération des moeurs - notamment sexuelles - étant la proue qui, avec l'argent, donne beaucoup d'accès à ceux qui veulent la fin d'un monde libre pour l'humanité entière*.

La prétendue libération de la femme (par slogans, "Ton corps est à toi !"...) est typique de la manipulation démoniaque. Mais il faut toujours du temps avant de voir en quoi une direction n'était pas la bonne. Et avec la tension qui naît du simple fait d'être homme et femme, on arrive à la bascule où ce qu'il a pu être tirés de plaisirs de la pseudo-libération soixante-huitarde tourne au vinaigre, à des difficultés au vivre-ensemble le plus simple et naturel, entre adultes mâle et femelle.

La perte de foi chrétienne induit une perte de réalisme et de tenue face au réel immédiat, ce qui devient manifeste à un nombre croissant d'entre nous. Le progrès le plus significatif à faire maintenant, consiste à rapprocher les crises dans lesquelles nous nous enfonçons de leurs causes véritables, notamment en liant la morale à tous les domaines de l'existence (d'intime à public), en décloisonnant.

 

Révolutions et Révolution

Si on compare toutes les révolutions importantes, malgré les dérapages de religieux étrangers à la connaissance et/ou à la foi biblique, la plus grande des révolutions de tous les temps, aux effets les meilleurs pour transformer les personnes et former les nations (ethnos en grec, d'où patrie) est celle qui commença par Jésus, qui ne tua personne pour imposer sa vue du Réel et pour contraindre quiconque dans le chemin spirituel qu'il ouvrit pour que l'homme ait accès à Dieu son Père et alter-ego. (quand il y eut contraintes, marchandages et autres vilénies, on n'était plus dans ce que Jésus était venu ouvrir).

Il ne versa que son propre sang pour agir sur les circonstances et redonner une vraie liberté personnelle de choix. Après avoir démontré sa bonté, sa droiture, ses pouvoirs et la terrible condition humaine (qui lui valu arrestation et jugement inique et la crucifixion qu'on sait - le film). Il laissa sa vie être prise par les religieux méchants et hypocrites qui le livrèrent aux romains et encore à Satan et à ses démons.

Quand on lit le Psaume 22 qui est une vue prophétique de sa crucifixion (écrite environ 1 000 ans avant que cela ne se produise), il faut comprendre que les animaux dont il est question sont des images des vrais démons qui étaient là à ce moment-là :
1 Au chef des chantres. Sur "Biche de l'aurore". Psaume de David. 2 Mon Dieu ! mon Dieu ! pourquoi m'as-tu abandonné, Et t'éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ? 3 Mon Dieu ! je crie le jour, et tu ne réponds pas; La nuit, et je n'ai point de repos.4 Pourtant tu es le Saint, tu sièges au milieu des louanges d'Israël. 5 En toi se confiaient nos pères; Ils se confiaient, et tu les délivrais. 6 Ils criaient à toi, et ils étaient sauvés; Ils se confiaient en toi, et ils n'étaient point confus.7 Et moi, je suis un ver et non un homme, L'opprobre des hommes et le méprisé du peuple. 8 Tous ceux qui me voient se moquent de moi, Ils ouvrent la bouche, secouent la tête : 9 Recommande-toi à l'Eternel ! L'Eternel le sauvera, Il le délivrera, puisqu'il l'aime !-10 Oui, tu m'as fait sortir du sein maternel, Tu m'as mis en sûreté sur les mamelles de ma mère; 11 Dès le sein maternel j'ai été sous ta garde, Dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu. 12 Ne t'éloigne pas de moi quand la détresse est proche, Quand personne ne vient à mon secours !13 De nombreux taureaux sont autour de moi, Des taureaux de Basan m'environnent. 14 Ils ouvrent contre moi leur gueule, Semblables au lion qui déchire et rugit. 15 Je suis comme de l'eau qui s'écoule, Et tous mes os se séparent; Mon coeur est comme de la cire, Il se fond dans mes entrailles. 16 Ma force se dessèche comme l'argile, Et ma langue s'attache à mon palais; Tu me réduis à la poussière de la mort.17 Car des chiens m'environnent, Une bande de scélérats rôdent autour de moi, Ils ont percé mes mains et mes pieds. 18 Je pourrais compter tous mes os. Eux, ils observent, ils me regardent; 19 Ils se partagent mes vêtements, Ils tirent au sort ma tunique. 20 Et toi, Eternel, ne t'éloigne pas! Toi qui es ma force, viens en hâte à mon secours ! 21 Protège mon âme contre le glaive, Ma vie contre le pouvoir des chiens ! 22 Sauve-moi de la gueule du lion, Délivre-moi des cornes du buffle ! 23 Je publierai ton nom parmi mes frères, Je te célébrerai au milieu de l'assemblée
24 Vous qui craignez l'Eternel, louez-le! Vous tous, postérité de Jacob, glorifiez-le! Tremblez devant lui, vous tous, postérité d'Israël ! 25 Car il n'a ni mépris ni dédain pour les peines du misérable, Et il ne lui cache point sa face; Mais il l'écoute quand il crie à lui.
26 Tu seras dans la grande assemblée l'objet de mes louanges; J'accomplirai mes voeux en présence de ceux qui te craignent. 27 Les malheureux mangeront et se rassasieront, Ceux qui cherchent l'Eternel le célébreront. Que votre coeur vive à toujours !28 Toutes les extrémités de la terre penseront à l'Eternel et se tourneront vers lui; Toutes les familles des nations se prosterneront devant ta face. 29 Car à l'Eternel appartient le règne : Il domine sur les nations.30 Tous les puissants de la terre mangeront et se prosterneront aussi; Devant lui s'inclineront tous ceux qui descendent dans la poussière, Ceux qui ne peuvent conserver leur vie. 31 La postérité le servira; On parlera du Seigneur à la génération future. 32 Quand elle viendra, elle annoncera sa justice, Elle annoncera son oeuvre au peuple nouveau-né."

Tel fut le moyen par lequel Jésus attira sur lui les pires démons, dont Satan (dans ce psaume le lion), pour en dégager quiconque de la génération alors présente et des générations suivantes par toute la terre croirait en cette Bonne Nouvelle...

Dans le même ordre d'idée, savez-vous comment tout à coup le Mur de Berlin est tombé, sans fusillade, sans morts, sans blessés ? Qui a su voir ou appris dans cet événement le surnaturel de Dieu agissant parmi nous ?
En tant que chrétien, on sait (voire on a participé) que fut lancé à partir de 1982, un mouvement mondial de 7 années de prière pour l'URSS. Au bénéfice des populations tenues sous le joug d'une dictature athéiste. Contre donc la puissance démoniaque initiatrice (ici) du communisme (forme collectiviste de l'idéologie marxiste socialiste).

Au terme des 7 années, sans heurts le Mur de la honte tombe, l'autorité spirituelle (démon puissant maître, au-dessus des hommes, de ce type de gouvernement) a été vaincue par l'intercession, à cause du poids qu'elle a fait subir aux populations d'iniquités de violences, souffrances, vols, tortures, meurtres, corruptions... (cette puissance démoniaque avait été nettement ébranlée à partir de 1985, ce qui permit l'arrivée au pouvoir de Mickaël Gorbatchev. Défait de la pression de l'autorité spirituelle déjà rendue impuissante - qu'enfant déjà il n'avait pas apprécié sur sa famille -, il devint une sorte de libérateur pacifique - la perestroïka...). 

***

Les démons dénoncent devant Dieu nos mauvaises pensées et comportements, pour obtenir, comme des huissiers, le droit d'exécuter les jugements que nous méritons.
Ils plaident aussi leur libération (droit d'entrer dans la sphère terrestre), dès lors que par leurs tentations ils réussissent à obtenir ou ré-obtenir sur nos existences et comportements des droits.
Et quand ils exercent sur nous des jugements, ils sont souvent si iniques, que Dieu les châtie à leur tour...
C'est tout un processus de justice, simple et juste, qui opère dans une triangulation Homme-Dieu-Démons.


C'est souvent ainsi que suite à une grande épreuve et à une délivrance qui change littéralement la personne, on devient soudain meilleur, tout à coup la conscience ouverte à la réalité des autres, avec le désir d'aider les plus faibles faibles, les pauvres, ou les handicapés..., comme bénévole en association, ou plus anonymement dans son coin, ou encore par une conversion professionnelle...
La vie a pris une liberté nouvelle, un goût nouveau, inconnus jusque-là, de repos, de simplicité, de retour à la nature ou d'ouverture à l'autre ou à la connaissance...
C'est là qu'il est important de laisser ce retournement (cette métanoïa) entrer dans la foi, inclure la conscience qu'il y a un Dieu... et de se mettre à le chercher en vérité... sans laisser nos reliquats d'incrédulité, de préjugés ou passé anti-religieux détourner de ce qui est vrai dans l'ordre spirituel. Il ne s'agit pas de trouver une religion, mais une personne : Dieu lui-même.

***

Parmi les moyen-occidentaux qui ont cru décrocher la lune en suivant à partir du XVIIIe siècle les écrits de "lumières" (quelques philosophes aux comportements peu conformes à leurs écrits ou idéaux...), une des ruses de Satan qui marchent bien, c'est aussi de faire croire qu'il n'existe pas.
On a tellement cru qu'on était devenus intelligents - au point d'avoir quasiment cru (possible de) prouver par la science que Dieu n'existe pas -, qu'il fut et qu'il est encore facile aux démons de continuer leurs vilaines besognes sans être inquiétés.
Du moment qu'il ne s'agit, croit-on, que d'effets de nos peurs archétypales, superstitieuses, surannées, infondées, dont la science et les connaissances et l'évolution vont bientôt, nous dit-on, nous débarrasser : qu'en attendant deux corps d'armée de psy gèrent.

Juste que les démons existent toujours et reviennent de plus en plus, que les psychiatres (sur une ligne de front) sont plus d'une fois dépassés, subjugués, envahis eux-mêmes par ce(ux) qui habite(nt) leurs patients, (j'en ai connu un qui entendait des voix), ne sachant comment se protéger. Les réalités comme "les faits ne cessent pas d'exister parce qu'on les ignore." A. Huxley.

 

Voilà un diagnostic qu'il faut VOULOIR voir, admettre, écouter. Car on regarde souvent le Réel seulement la main devant les yeux les doigts plus ou moins écartés. La peur préside, car là où il y a du péché (abandon des préceptes bibliques et non-réception ou non-applications justes de la grâce divine), il y a toujours de la peur, des angoisses, des luttes, des ruptures douloureuses de continuum... et de la culpabilité.
La culpabilité qui est un ressenti bénéfique, qu'on rejette sur les autres ; ou dont les autres veulent nous distraire, bien intentionnés mais bien à tort. Alors que la seule solution pour un bien durable, c'est venir à Dieu dans l'humilité, pour être secouru, pardonné, revêtu (de sa grâce, de ses sentiments, d'une force nouvelle,...). Lire ou relire Genèse 3 sur (l'image et la profondeur de) l'habit dont Dieu veut nous revêtir.

Et donc ce qu'il est important de saisir, c'est encore qu'on est toujours, ici, maintenant, chacun, dans cette histoire duelle, cruelle, mal-tournée - par le jeu possiblement dangereux de notre réelle liberté -, mais dont Dieu veut et peut extirper quiconque cherche son secours. > Vous, avec lui, sortez-en !

Lumière et grâce pour vous. Je vous aime.

_____________
* l'autre versant de cette poursuite d'objectif étant formé et dynamisé par les violences (jusqu'à mortelles).
On est de plus en plus nombreux à bien aperçoit ce qui se passe, où l'on parle sans trop savoir de quoi il s'agit de complot, de manipulations, d'arnaques, de lobbies puissants ou encore de cabinets noirs (politique, religieux, sectaire). Mais sans la lumière véritable qui vient de l'Esprit de Christ, on reste incrédule, proie ou prédateur, dans tous les cas impuissants en regard de notre simple quotidien, et bien plus de l'éternité.

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30 mars 2017 4 30 /03 /mars /2017 15:57

Suite de l'article commencé ici.

On s'est mis à s'approcher de ce qu'il y a de plus terrible dans notre actualité (proche et lointaine) et on a commencé à le faire (très sommairement) dans l'Histoire humaine, pour que notre regard sur ce que sont les réalités visibles et invisibles s'éclaire.

Pour revenir sur la 1ère guerre qui d'un coup retira "anormalement" la vie à plus de 18 millions de personnes, cela a-t-il été suffisant
- pour que français, allemands et autres européens, du peuple, philosophes ou même religieux, se mettent à voir clair sur ces forces spirituelles malignes ? Sur les rouages subtils générateurs de violences et manipulations et meurtres et désordres jusqu'au chaos ?
- pour qu'enfin le genre humain prétendu civilisé revienne de sa sottise de croire que la raison (dite humaine mais on comprend bien que ce n'est pas toujours le cas !) est le top suffisant pour gérer convenablement et sans besoin de Dieu nos affaires ?
- pour qu'enfin nous devenions capables de dénoncer et d'apprendre à lutter contre le mal primordial comme il est et là où il est niché ?

Pourtant la croyance ne manque pas aux débuts des deux grandes guerres ! Des appels à la prière s'impriment sur les journaux. Et Dieu certainement entend ! Cependant "Faute de connaissances, dit ce Dieu invoqué par le prophète Osée, mon peuple est détruit."
La connaissance, c'est celle du bien et du mal comme Dieu les conçoit, et celle des moyens permettant de ne pas avoir à subir les châtiments de nos fautes (repentance et foi en la mort expiatoire de Jésus pour l'essentiel). Hors des fondamentaux bibliques, le croyant reste la proie sans couverture des anges devenus démons. Alors que Dieu promet sa protection à qui acquiert sa connaissance : Psaume 91.

Et donc à la suite, "faute de connaissances", c'est le sacrifice de la jeunesse nés des poilus qui bientôt arrive (seulement 20 ans après).

(Juste pour mémoire ici, avant la fin de la guerre arrive aussi l'inouïe pandémie que fut "la grippe espagnole". En moins de deux ans (1918-19)  ce fléau entraîne dans la mort au minimum 50 millions de personnes (on penche même aujourd'hui vers près de 100 millions : une autre forme des jugements).

Courte accalmie donc après 1919. Pourquoi ? Parce qu'après ces cataclysmes, on ne parle pas d'un retour à Dieu, mais d'"années folles" - expression historique des plus parlantes. Jusqu'à quand ? 1929 : "la grande dépression" économique US puis mondiale, conséquence, suite logique, de la crise morale qui gangrène les peuples.

Les démons voient que l'Allemagne, plus touchée que la France, peut devenir un bon outil pour corriger à leur façon ces Franzöuses qui veulent tenir le haut du pavé par leur force et capacité (ethnique) d'indépendance, tout en se donnant des libertés coupables.
Globalement les français pèchent par sensualité et par orgueil - ce qui précède la ruine - ; les allemands penchent par un héritage psychique qui est rigueur mais aussi rigidité, légalisme (qui induit souvent de la jalousie (de libertés que d'autres prennent).
Tout cela permet la poussée démoniaque qui fait paraître en peu de temps l'homme de leurs circonstances, Hitler, qui a les "qualités" qui ouvrent à la possession démoniaque, et leur nouvelle doctrine, le national-socialiste (en abrégé nazi).
Tout cela arrive de part et d'autre en résultat d'un abandon (apostasie) des religions chrétiennes (protestante en Allemagne, surtout catholique en France) qu'est venue doubler la crise de 29. Résultat :

- 1939-45 : Des Pays-bas au Japon, les morts se comptent désormais par dizaines de millions : 50 à 70 millions (sans les morts de carences, privations, de suites de blessures, ou autres maladies consécutives au conflit, après mai 1945).
C'est si terrible qu'on veut un peu partout tout mettre en oeuvre pour une paix durable, par des alliances, des traités, des compromis, l'Europe...
Des hordes de démons étant dans ces conflits sanctionnés par le Divin, rendus interdits d'interagir avec la terre, allons-nous pouvoir entrer enfin dans une paix durable et un bonheur comme tous y aspirent ? C'est compter sans leur réalité, leur pouvoir d'obtenir devant Dieu des jugements de nos fautes (impiété, immoralité et autres injustices), et leurs ruses...

- Guerre d'Indochine (46-54) et d'Algérie (54-62)... "Il n'y a pas de paix pour les méchants" enseigne la Bible. Les méchants c'est tous ceux qui pratiquent des injustices infiniment variées, dont ceux qui deviennent infidèles (désobéissants) à Dieu sans cause.

Dans ce conflit monumental, quantité de démons faibles, haineux, puissants (racistes, jaloux, meurtriers, voleurs, pervers, antisémites...) sont soustraits de la sphère terrestre*. La paix pourrait durer. Mais comment est-ce possible sans le Prince de la paix, Jésus le Christ, qui seul, en se faisant vainqueur de Satan et de tous les démons par sa crucifixion et résurrection, n'est pas invité à la table des négociations. (l'absence étrange de la France à Yalta fait figure de cette étrange absence au partage du monde...).
Faute de Christ dans les coeurs par leur régénération, pas de paix intérieure durable, d'où découle des relations meilleures, stables autant qu'apaisées. Parce que les places laissées vides par les démons guerriers, ne le restent pas longtemps si l'Esprit de Dieu ne les remplit pas.
Et donc on entre là dans une ère nouvelle, un nouvel humanisme, où les bonnes dispositions humaines ne vont pas suffire.
- Car elles sont dépourvues des qualités (spirituelles) dont l'origine et la pérennité se trouvent en Dieu seul ;
- Car elles sont éloignées de la connaissance biblique qui devrait être retrouver pour un "vrai nouveau bon" redémarrage,* car seule celle-ci peut construire des personnes complètes, équilibrées, à la socialisation solide ; 
- Et donc parce que les âmes sont seulement et maladroitement gonflées ("têtes bien pleines, mais pas bien faites" comme Montesquieu avait averti du risque) par des connaissances (non spirituelles) qui laissent ados et adultes sans contre-poids personnel (inclus) face au développement de leur "moi-je" > égocentrisme, égoïsme, égotisme.

De la sorte, hommes et femmes vont mal grandir, un peu comme des unijambistes, l'esprit restant larvaire, atrophié à mort. Ce qui fait une dépression intérieur, par un vide dangereux. C'est ainsi qu'on va avancer au fil des ans en laissant entrer dans la sphère des existences humaines une (nouvelle) catégorie de démons : les esprits séducteurs, manipulateurs.

Mai 68
Cette révolution est essentiellement chez nous l'apogée critique de cette individuation problématique.... qui n'a pas fini aujourd'hui encore de manifester ses effets, comme un arbre manifeste son espèce, sa santé ou ses défauts, par ses fruits.
Barricades et affrontements comme en 1789 - les démons sanguinaires et meurtriers mis à part comme on a dit par la grande guerre précédente. Désormais on préfère à la guerre l'amour, se croit-on libre de dire ! Parce que les forces occultes guerrières ne sont plus, et parce que celles qui vont jouer désormais notamment sur la sexualité sont aspirées, appelés par nos comportements libertaires, et de plus en plus lâchées sur nous et dans la nature (dans nos rues)...
Étudiant en mai 68, j'ai profité de cette libération progressive des sexes des années 60. Même les filles "de bonne famille" se sentaient obligées de céder pour "être à la page", "dans le coup", "in". Sous prétexte de progrès, d'émancipation, de liberté, de modernisme, la séduction et la manipulation centrées sur le moi (l'ego) prenaient facilement le pas sur l'amour, le vrai, le précédaient, l'empêchaient. Les relations s'amorçaient dans la licence (pas de Droit comme je faisais). Du coeur aux approches trop lentes (et respectueuses), on descendait d'un étage, sous l'effet des slogans scandés, à la va-vite, dans le feu,  activé par des esprits jouisseurs, des désirs et des transgressions (de "tabous") : L'abandon de la morale (préservatrice) est dans le cortège de l'abandon de la foi.

Nouvelle conséquence de cette généralisation - ça commence toujours par une minorité... - d'un  changement des moeurs comportementales, il allait "falloir" libérer l'avortement...

On se défait toujours plus et toujours plus nombreux des codes et pratiques de religions sans discerner le bon du mauvais, le vrai du faux, la mesure de la démesure, la morale et moralité irréductibles des libertés... liberticides.
On ouvre ainsi des portes
- à un égocentrisme accrue (par la priorité accordée au(x) plaisir(s) personnel(s));
- à des surestimations néfastes de soi (par quelques capacités développées et insertions matérielles qui gonflent l'ego sans contre-partie),
- aux alcool et autres drogues (de l'"opium du peuple" on passe à la marijuana).
On dilue dans cette ivresse du soi unijambiste (psychique mais pas spirituel) le respect des parents ("nos vieux", alors qu'ils n'ont que 40 ans) et des autorités (forcément déléguées aux plus âgés) : un abîme générationnel, une fracture de plus, sans remède humain.

On invite et installe ainsi progressivement, sans rien voir venir, dans le quotidien le plus populaire (large) ce qui était déjà, mais seulement de manière marginale, dans quelques milieux intellos et/ou aisés, de ces esprits séducteurs, jouisseurs, trompeurs, exhibitionnistes, scandaleux, manipulateurs... qui aspirent à faire beaucoup de prosélytes, et sévissent en effet plus que jamais parmi nous désormais.
De faits nos relations se corrompent, l'économie patine ou régresse, des maladies nouvelles paraissent, et plus on cherche des solutions loin de Dieu, aux antipodes de ce qu'Il appelle Bien, plus on complique et ajoute de la contrainte sur toutes choses et personnes.

Pire, arrive un temps - et il est arrivé depuis 2012-14 - où, comme par une sorte de mutations là aussi, une nouvelle catégorie de démons est (re)lâché, vengeurs, guerriers, sanguinaires... C'est leurs méfaits qu'on peut voir et entendre et comptabiliser au fil chaotique de notre quotidien, ce que je rapporte ici.

à suivre...

Bonne suite à vous
...car si tout cela n'a pour but, côté ombres, de nous effrayer et/ou de nous faire entrer toujours plus dans des comportements anti-Dieu (et donc donner accès à un totalitarisme toujours plus absolu), côté Divin, la finalité est le mal soit vaincu par le Bien, en nous premièrement. 

______________________
* La Shoah, par l'ampleur, l'horreur et les injustices embrasées par des hordes de démons, a été un des chantiers de destruction massive des vies humaines, qui a sans doute le plus libéré la terre de puissances spirituelles sataniques. Cela tient de l'horreur et de l'injustice de la crucifixion de Jésus, dont les effets pareillement furent, entre autres, de libérer la terre de puissants démons.
(La Shoah n'aurait pas eu à être cet immense oeuvre génocidaire si beaucoup de juifs avaient reconnu Jésus, Yeshoua - ce qui signifie Dieu sauve dans leur langue - comme leur Mashiah (Messie annoncé, notamment dans leurs livres par le prophète Isaias Esaïe chap. 53).

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27 mars 2017 1 27 /03 /mars /2017 09:00

Il faut lever ce voile qui occulte une des réalités les plus puissantes et maléfiques de la terre... d'autant que l'on abandonne le Dieu véritable.

suite de l'article commencé ici

Que de drames où des démons sont partie invisible, prenante et agissante ! Connaissiez-vous (ou commencez-vous maintenant à rejoindre) ce point de vue (qui est celui de la Bible et de l'Esprit Divin plus que le mien et celui d'une multitude de chrétiens) ?

C'est important car de plus en plus possiblement juste à côté ou en face de chez nous (par écran interposé dans tous les cas). Avec une personne (totalement transparence, ou qu'on trouvait bien un peu bizarre) qui sort de l'ombre. Une famille et toute une société sont soudain plongées dans la découverte de l'horreur, du macabre... du démoniaque ! Deuils et larmes cruels, coeurs déchirés, âmes ravagées, ko ou qui déjà crient vengeance -... et toujours dans l'incompréhension...

Ainsi un tel homme, une telle femme, devenu-e victime d'une puissance subtile, devient coupable par un acte terrible, par une faiblesse ou quelques fautes changées en force de destruction, se trouve face à deux possibilités :

- coupable pas pris : il devient un récidiviste en puissance, et si son geste est si spécifique (comme une personne en particulier et pas une autre) qu'il ne peut être reproduit, il va devoir vivre une duplicité qui, s'il réussit de la sorte à échapper à la condamnation terrestre, ne résout pas sa culpabilité de conscience immédiate, ni demain devant Dieu...

- le coupable est pris, jugé, condamné, privé de liberté et de possibilité de recommencer... pendant un temps.
S'il se repent ou si sa peine est injustement lourde, il peut obtenir de Dieu la délivrance du démon qui l'a conduit jusque là, ce dernier jugé par Dieu devant laisser sa proie, voire ne pouvant plus agir de la sorte par quelqu'un d'autre sur terre.
S'il subit sa peine sans prise de conscience, voire en nourrissant et s'endurcissant dans des bas sentiments de haine, de vengeance, de meurtre, de déraison... il reste la proie de ce qui a un jour triomphé de lui, et n'attend que sa libération pour le faire recommencer (et les démons sont éternels). En ce sens ce mécanisme devrait être connu au moins des aumôniers pour conduire un détenu à la compréhension, à la repentance et au renoncement dans la foi mise en le Dieu véritable.

Si le détenu meurt en prison sans repentance et sans trouver en Jésus son sauveur, le démon devenu son maître garde autorité sur son âme qui, séparé du corps, n'a plus pour destination possible que "le séjour des morts" (hadès) - dont on voit qui en dispose plus particulièrement (un des quatre chevaux = "généraux" de Satan) en Apocalypse 6.8 -, jusqu'à l'heure de sa résurrection corporelle pour le Jugement Dernier...

c) La 3eme manière dont la terre est dégagée des démons tient de ce qui vient d'être dit, mais quand leur autorité et capacités de pressions, oppressions et possessions cumulées sur quelques-uns ou beaucoup d'hommes/femmes engendrent des conflits de grande ampleur, où tout contrôle échappe aux humains poussés dans des carnages comme de ces guerres ethniques qu'on a vu il n'y a encore pas si longtemps en Afrique. Comme la montée récente, dans le camp islamique, de Daesh et autres attentats terroristes. Comme aussi toutes les révolutions sanglantes... et leurs réprimandes (1789 et juqu'en 1848 - les révolutions communistes et fascistes) ; toutes les guerres (militaires ou civiles) ; et autres moyens plus ou moins subtils d'extermination physique massive...
Les démons qui étaient (sans doute) des anges les plus beaux et puissants sont capables de fédérer à partir de peu (des prosélytes militants) des multitudes (qui s'engouffrent car le mal, le défoulement, la vengeance, les débordements... font immanquablement partie de notre lit personnel des appréciations et des réactions...
L'histoire comme la nature montre qu'il suffit d'un petit feu - un petit Hitler par ex. - pour lancer un embrasement que plus personne, même les armes, ne peut plus maîtriser. 

Dans ces cas il y a tant de dévoiements et de débordements, d'injustices, d'exactions, d'abominations et de morts ignominieuses, que des jugements divins tombent sur les démons qui sont à l'origine et/ou à l'oeuvre sur les champs de batailles, dans les orgies, pillages et massacres. Le vrai Dieu leur retire (via ses anges) tout pouvoir de pressions et d'actions possibles parmi les hommes. C'est ainsi que des temps d'horreurs, d'embrasements sanguinaires et orgiaques, de carnages innommables sont un jour suivis de reddition, de paix et de réjouissances : "Même la nuit la plus longue en dure pas toujours". Malheureusement dans l'ignorance de cet élément majeur de notre condition, les traités de paix ici, les recherches de paix là, sont de bien faibles remparts. (Et l'Apocalypse - livre des révélations prophétiques de Jésus-Christ - annonce des choses à venir plus terribles que jamais). 

Le problème est que l'homme est largement orgueilleux (ce qui se libère avec l'argent et dans le pouvoir), et plus globalement encore (tenu) ignorant de ces réalités de fond. Tous les gros problèmes provoque assurément des abaissements, une attitude humble et priante.
Mais rarement (faute d'incitations, de connaissances, d'intelligence) une recherche du vrai Dieu et de en quoi nous aurions à changer pour sortir de ces tourbillons qui peuvent d'un coup nous mettre dans l'oeil d'un cyclone.
Au lieu de cela, les survivants cherchent à rebondir, à revenir à des pratiques et/ou plaisirs plus ou moins coupables. Les gifles et la bonne volonté ne suffisent pas : Chasser le naturel, il revient au galop ! Dieu seul peut nous placer dans une attitude qui nous garde et permet la protection divine.
Faute de ce retour à la source de notre origine, faute de connaissances ô combien utiles, et tellement escamotées ou combattues, notre descendance immédiate peut déjà avoir à payer un nouveau tribut.

C'est ainsi qu'une lecture lucide de notre Histoire montre que, depuis la Révolution française qui comprit le régicide par le peuple, beaucoup de démons sanguinaires furent comme appelés de leurs sphères dans la nôtre à cause des mauvaises actions et réactions des (prétendus) gouvernants et/ou du peuple*** . On peut lire ainsi - en remarquant bien les laps de temps entre deux grands conflits - :

- 1789 à 1848 : La chute de la royauté est un jugement de Dieu sur l'orgueilleux Louis XIV (et sa révocation de l'édit de Nantes) notamment en sa pseudo-descendance (Louis XVI). Sa décapitation sous la guillotine tourne à l'embrasement sanguinaire, les démons ne sachant jamais juger en justice : régicide (inutile), exécutions sommaires ("la grande terreur"), guerres de Vendée, impérialismes napoléoniens (tous les impérialismes sont provoqués par les hordes sataniques), émeutes frôlant la guerre civile réprimées par les armes ;

- 1870 : La France impérialiste (de Napoléon III, alors même qu'il est personnellement contre cette offensive !) tombe dans le piège de déclarer la guerre à la Prusse (Allemagne).
La France est battue au prix de combien de vies sacrifiées dans ce qui est devenu un nouveau jugement inique que Dieu a du concéder aux démons (à cause entre autres d'une politique extérieure pleine d'orgueil...). La défaite se double d'insurrections (parisiennes) terriblement meurtrières (amenant la Commune) ;

- 1894-1899. Cette fois c'est l'affaire (du juif) Dreyfus qui, par cette plaie qu'est l'antisémitisme, ouvre la porte à des mécréants (sans religion) qui, formant "le bloc des Gauches", ont réussi à se faire élire : le gouvernement Waldeck-Rousseau commence à attaquer les congrégations religieuses, qui sont dissoutes et spoliées. Puis le gouvernement Combes, dans le cadre de la séparation de "l'Église" et de l'État, fait appel à l'armée pour faire l'inventaire des biens des églises qui deviennent propriété de l'État !
On peut juger de toutes les iniquités qui se sont jointes à de justes jugements, ce qui est terrain fertile pour toutes les sortes d'esprits maléfiques.
Que peut-il en résulter une nouvelle fois pour les enfants dont les pères sont manifestement manipulés et peu capables de résister ?

- 1914-1918 : Assassinat de Jean Jaurès, un chrétien longtemps intègre pacifiste qui céda le contenu de sa foi à l'idéologie politique dominante du moment ; et guerre déclarée par l'Allemagne, où on commence à compter les morts par... millions !

Parallèlement, en commençant en 1917 par la Révolution russe, avec ensuite des variantes de la même idéologie athée (marxisme) transposée sur le terrain politique, on arrive
- à partir de sa vue universalisme : à un impérialisme ou totalitarisme forcené ;
- à partir de l'évolutionnisme néo-darwinien à un progressisme qui n'a pas de freins ;
- à partir du concept de lutte des classes à l'extermination des opposants et de tous types de populations attachées à des croyances religieuses.

 

Ainsi se démontre par la multitude de leurs fruits ruisselants de sang, de quelle nature sont les arbres qui se veulent avancée de la pensée humaine, mais sont en réalité la démonstration que les réalités sataniques ne sont pas loin de nous dès lors qu'on innove tous azimuts, sans discernement, en opposition aux ordres divins. Les démons tirent ainsi, au fil de l'Histoire et aujourd'hui bien sûr encore, les ficelles des rapports de ce monde (entre des personnes ou entre des nations), jusqu'à pouvoir transformer chacun de nous en instruments de destruction, coupables autant que victimes, marionnettes, girouettes, pantins...

à suivre...

______________
** Il n'est pas certain que ce qu'on appelle exorcisme puisse se ranger dans cette catégorie, si c'est davantage en comptant sur des objets ou incantations que sur la puissance qui est dans le nom de Jésus que les délivrances sont opérées... Voir à ce sujet ici un cas biblique retentissant.

*** La seule bonne réaction étant un retour de dimension nationale à Dieu et à la compréhension de ses Écritures les plus certaines et bénéfiques scellées dans la Bible.

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25 mars 2017 6 25 /03 /mars /2017 10:00

Suite de l'article commencé ici

b) L'autre bonne - meilleure - dynamique contre ces esprits sataniques est de les chasser au nom de Jésus. C'est ce que Jésus faisait lui-même, ce qu'il a donné pouvoir à ses disciples de faire, ce qui se fait donc encore par des chrétiens qui ne se laissent pas arrêter dans leur combat par la foi**.

Cette pratique libératrice est aujourd'hui appelée exorcisme** par nous. Elle beaucoup mieux connue et plus exercée en Afrique où les pratiques occultes et autres croyances dangereuses initiées ou manipulées par des démons sont nombreuses.

Mais aujourd'hui chez nous où pratiques immorales et occultes se multiplient loin des directives bibliques, avec donc toute l'incroyance (qui est un péché, parce qu'acception naïve, irréfléchie, non éprouvée de préjugés, slogans ou autres concepts matérialistes) qui est érigée en lit de culture, le besoin de voir et croire et faire appel à la délivrance dans le nom de Jésus s'accroit et va certainement s'accroître significativement.

On nous dit déjà que 45 % des personnes qui dorment à deux ont de mauvaises nuits. A cause du ronflement, mais encore de mouvements brusques soudains ou d'autres agitations, de cauchemars.
Certains sentent des présences invisibles - pires devisent avec elles -  ou voient apparaître en vision une personne peu rassurante. On peut encore sentir des mains qui veulent réellement nous étouffer, etc...
La peur de dormir dans le noir fait dormir bon nombre d'adultes avec un éclairage.
Plutôt que de passer une nuit seul(e) dans sa maison, certain(e)s vont dormir ailleurs.
Il y a aussi pendant la nuit des attouchements, excitations sexuelles et jusqu'à des viols opérés par des démons appelés dans les îles "mari de nuit"...

A part des rêves occasionnés par des activités du jour, on est là le plus souvent face à des intrusions de mauvais esprits (par leurs intentions). Ils se sont acquis des droits d'accès à notre quotidien, voire dans notre intimité (d'où aussi cette exhortation biblique), par nos mauvaises pensées, paroles ou comportements. Ces démons ont des caractères, qui vont de la timidité aux pires exhibitionnismes et barbaries.

Qui, à part Jésus, par l'invocation ou l'appel de son nom, par la foi et la recherche de protection en lui, peut résoudre, sans transfert maléfique, sans déplacement de problèmes, des troubles, agitations et agissements de cet ordre ?...

Le nom de Jésus est efficace dans la bouche d'un chrétien authentique pour prendre autorité sur un ou des démons. Cela n'est bien sûr pas sans danger et requiert des connaissances de base (qui s'acquièrent)...
Dans tous les cas quiconque se trouve en danger et appelle Jésus peut obtenir son secours (tout immédiat ou différé). Lire tout le psaume 107.

Bien sûr que la force démoniaque devenue irrésistible jusqu'à des actes malveillants horribles et horrifiants, n'exclut pas la responsabilité de ceux qui se livrent ainsi à ce qui devient sur eux des autorités toute-puissantes.
Dans ce cas les coupables, les bourreaux, les exécuteurs, sont arrivés à un terme où ils découvrent que "c'est devenu plus fort qu'eux" ! Alors ce n'est plus eux (seulement) !
Parvenu à un seuil (élevé) de soumission, c'est seulement le passage à l'acte qui fait tomber la pression : encore un verre d'alcool - un autre shoot - encore une masturbation ou une copulation forcée - un viol - un casse - un meurtre - une boucherie...


Le démon gagne à travers des actes matériels qu'ils provoquent, comme on marque un but ou on transforme un essai. Il s'aguerrit lui-même pour conduire celui ou celle qui est devenue sa proie, son outil, son agent, son appât, son jouet... vers un 1er ou un nième nouvel acte destructeur - tourné et accompli contre son instrument ou à travers lui...

Le suicide est souvent un acte en rapport avec une activité démoniaque :
- acte comme une réaction de défense face à un harcèlement démoniaque qu'on ne veut plus supporter de la part d'autrui ;
- acte comme une échappatoire face à un harcèlement intérieur (voix, obsessions devenues incessantes...) qui veut nous pousser à mourir comme seule solution de repos ;
- acte comme une ultime résistance ou dernier rempart aperçu quand un démon pousse de plus en plus fort pour faire passer à un acte des plus graves, à un irréparable qu'on ne veut pas accomplir.
J'ai connu une personne qui, dans une quête pseudo-spirituelle très poussée, en était arrivé à un "sommet". Il lui était maintenant proposé de recevoir une puissance planétaire. Le prix : il devait sacrifier sa fille ! Il ne réussit à s'empêcher de le faire qu'en restant au lit pendant des semaines : S'il se levait, il sentait qu'il ne pourrait pas résister...

Que de drames ainsi, souvent entièrement inaperçus, dans la maison d'un voisin, à la surprise générale, toujours dans l'incompréhension... quand ça ne commence pas à se montrer dans la nôtre. De quoi plonger soudain une personne et/ou une famille ainsi livrée aux puissances occultes dans une sorte de preuve que : Oui, l'enfer existe ! et on en goûte le feu et le soufre.

Un temps j'ai eu la révélation que Satan existait, mais je ne savais pas du tout comment, par quoi, il agissait. Cela aussi s'apprend, et pas sans être confronté directement à ses réalités.

à suivre...

______________
** Il n'est pas certain que ce qu'on appelle exorcisme puisse se ranger dans cette catégorie, si c'est davantage en comptant sur des objets ou incantations que sur la puissance qui est dans le nom de Jésus que les délivrances sont opérées... Voir à ce sujet ici un cas biblique retentissant.

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22 mars 2017 3 22 /03 /mars /2017 21:12

Flash info : Dans l'article ACTUALITÉ DÉMONIAQUE : Y VOIR CLAIR, l'actualité de ce 22 mars m'a fait ajouter le drame (5 morts) d'une famille de Beaumont-les-Valence (Drôme) anéantie par une tuerie auto-familiale . Fait que l'attentat de Londres ce même jour a fait sortir des informations médiatisables. ici. On ne peut déjà plus rapporter tout ce qui se passe de macabrement démoniaque en France et en Europe !?

Mais je voulais faire là une remarque au sujet de la morale.
On ne pourra jamais faire disparaître la notion de morale. Pour qu'on n'en parle plus, il faudrait libéraliser (dépénaliser) non seulement les drogues, les maisons de passe, mais encore ne plus relever les affaires "politiquement correctes" mais moralement plutôt incorrectes, ni parler de pédophilie, ni de viol, ni de racisme, ni de meurtre comme étant des faits punissables. Bref seule l'Anarchie avec un grand A peut supprimer la réalité et le mot de la morale. Donc on y revient !

On a un temps changé - le changement comme certains l'aiment ! - le mot morale par Éthique ! Cela enlevait la connotation religieuse. Du même coup on faisait glisser le contenu du concept, arrivant à appeler Bien deux ou trois choses que Dieu et certaines religions déclarent être mal (péché, c'est-à-dire ce qui est problématique pour soi et pour nos relations). Et pourquoi pas en appelant Mal ce qui pendant des siècles était appelé Bien. Bien au point quand même de faire entre les nations occidentales christianisées et les autres des différences de développements abyssaux.

Et voilà que c'est la politique - après un dit "politiquement correct" - qui ne peut plus s'empêcher d'appeler un chat un chat, morale ce qui tient de la vraie morale, savoir rien de plus que le mensonge ! L'affaire Cahuzac restera le moment de cette résurrection du mensonge, je veux bien dire du péché, puisque ce n'est pas d'hier - plus exactement depuis Moïse, il y a 3 500 ans, que le mensonge est une faute morale qui réclame punition ou réparation, ou encore pardon (quand il y a réelle prise de conscience, repentance et renoncement de tout son coeur : alors Dieu délivre...).
Mais pour l'heure on en est seulement - c'est déjà pas mal - à être obilgés de dire que mentir c'est mal ; Tu ne mentiras point , sinon tu auras à en supporter les conséquences...

Pour l'anecdote on peut chercher et réfléchir à comparer les justices des hommes et de Dieu pour savoir quel régime (républicain ou théocratique) est le plus favorable à nos pauvres personnes citoyennes perclus par nos fautes morales. Si on aime la vérité et cherche vraiment, on découvre alors que Dieu peut être dans le même temps à la fois juste et bon. Ce qu'aucun juge ni politique ne peut arriver à faire...

Plus prosaïquement voyons ce qui peut en résulter - de bon - pour nous. Car c'est d'abord nous-même qui avons le plus besoin des bienfaits du régime théocratique. Régime qui, de toutes façons, à cheval sur ce monde des vivants et sur le monde des morts qui lui succède, s'exerce, qu'on y croit ou pas.

Dans la foi en Jésus fils de Dieu, il est écrit (par l'apôtre Jean) que "la vie a été manifestée (en et par la personne de Jésus), et nous l'avons vue et nous lui rendons témoignage, et nous vous annonçons la vie éternelle, qui était auprès du Père et qui nous a été manifestée, -3 ce que nous avons vu et entendu, nous vous l'annonçons, à vous aussi, afin que vous aussi vous soyez en communion avec nous. Or, notre communion est avec le Père et avec son Fils Jésus Christ.4 Et nous écrivons ces choses, afin que notre joie soit parfaite.5 La nouvelle que nous avons apprise de lui, et que nous vous annonçons, c'est que Dieu est lumière, et qu'il n'y a point en lui de ténèbres.6 Si nous disons que nous sommes en communion avec lui, et que nous marchions dans les ténèbres, nous mentons, et nous ne pratiquons pas la vérité.7 Mais si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché.8 Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous.9 Si nous confessons nos péchés (mensonges compris), il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité.".
A la suite de quoi, comme Jésus dit à la femme adultère : "Va, et ne pèche plus".

C'est mon voeu et ma prière que vous trouviez en Jésus (si cela n'est pas encore) Celui qui permet que Dieu son Père puisse vous pardonner de toutes iniquités.  Il n'y a rien de plus théologiquement correct... et bon.
Soyez béni-e.

Si besoin ici, trame pour aider à s'adresser à Dieu.

(Suite de ACTUALITE DEMONIAQUE samedi matin)

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21 mars 2017 2 21 /03 /mars /2017 07:54

"En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire."
G. Orwell (1984)

 

Attentats : Sidération, Hommages et État d'urgence !
D'où viennent les pires violences et la multiplication des tentatives
et actions assassines ?
Fermés aux sphères célestes, on ne peut comprendre
et on reste d'autant plus vulnérables...

 

Je commence cette série en FRANCE - FEVRIER-MARS 2017 : Affaire Troadec - Lycée Suger de St-Denis (93) - Lycée A. de Tocqueville de Grasse (06) - Garges-lès-Gonesse et Orly - Émissions TV - Beaumont-les-Valence

Les faits induits par - ou témoins d' - une activité démoniaque ne manquent pas. Ils remplissent les magazines comme les journaux et autres émissions télévisés ou radio. Sans être exhaustif, je vais ici rapporter ceux que je verrai, afin que lecteurs et lectrices intéressées arrivent (si ce n'est encore fait) à percevoir combien les démons, autant que Dieu, sont des réalités manifestes, agissantes et imposantes,  de notre monde.
Il nous est avantageux (personnellement et collectivement) de les reconnaître en tant que principaux auteurs ou acteurs d'événements qui nous scandalisent, qu'on ne comprend pas (sidérants), qui font peur, font monter la haine ou du racisme, même qui nous séduisent, jusqu'à pouvoir impulser notre sexualité ... dans tous les cas qui devraient mieux nous interroger sur ce qui fait les grands tenants et aboutissants de notre monde.

La Bible en parle en plusieurs endroits d'une manière claire, notamment pour qu'on y croit afin de les "voir" - par leurs effets -, pour moins se comporter entre nous en ennemis, pour mieux gérer donc votre propre existence comme nos relations inter-personnelles :
"Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable.12 Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes.13 C'est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté."

Avant de développer davantage sur le thème, je vais noter au fur et à mesure à partir de cette mi-mars des faits qui laissent voir l'empreinte d'entités maléfiques sur des personnes en des événements connaissables par le plus grand nombre parmi nous :

Février-mars 2017 :
- Affaire Troadec,
où comment un couple qui est ou se croit victime d'injustice au sujet d'héritage bascule dans un quadruple assassinat barbare. Injustice réelle ou fort sentiment d'injustice sont propices à nous laisser prendre par des pensées - d'abord personnelles - de plus en plus sombres, obscures, haineuses, vengeresses.
Elles attirent un ou plusieurs démons qui viennent se greffer sur l'âme et amplifient la pression. Jusqu'à ce que l'homme passe d'un scénario psychique accepté aux actes qui le matérialisent. Il massacre là, découpe et enterre 4 personnes de sa proche famille...

Les détails sont nombreux dans notre actualité qui plaident pour la réalité d'une influence démoniaque qui devient jour après jour de plus en plus déterminante du comportement d'un nombre croissant de personnes.

- Série d'émissions "SOS ma famille a besoin d'aide" sur NRJ 12 et NRJ Play. Les émissions que j'ai vues ont régulièrement présenté des scènes conflictuelles entre personnes d'une même famille qui sont typiques du processus : mauvaises pensées et paroles initiales irrespectueuses > qui ouvrent accès à une ou plusieurs présences démoniaques qui prennent le relai > provoquant bientôt des mots plus hauts et plus verts que les autres, des gestes et un comportement physique qui ne trouvent plus en soi la moindre force d'opposition. On est commandé par le ou les démons qui sont devenus les maîtres oppresseurs des lieux et des relations...

- Lycée Suger à Saint-Denis (93) ; Heurts dans et près du lycée ; fumigènes qui font évacuer l'établissement, policiers caillassés, poubelles incendiées et mobilier urbain détruit : 55 jeunes placés en garde à vue... Violences apprises en classes ?... Où ?... qui se débrident selon quel mécanisme ?...
Et qui croit déjà pour lui-même - pour chercher les solutions là où elles se trouvent - que de ce que nous sommes de vulnérable au mal, on peut basculer selon des circonstances, sous une menace et des directives d'ordre satanique ?
L'ignorance produit des proies.
La Bible donne des lumières : "
Que personne, lorsqu'il est tenté, ne dise : C'est Dieu qui me tente. Car Dieu ne peut être tenté par le mal, et il ne tente lui-même personne.14 Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise.15 Puis la convoitise, lorsqu'elle a conçu, enfante le péché ; et le péché, étant consommé, produit la mort."

- Deux personnes égorgées le 17 mars dans une cour à Paris (XIe) par un des leurs radicalisé. Son état le fait transférer en psychiâtrie.

- Fusillade dans le lycée Alexis de Tocqueville à Grasse (06) par un élève (de 16 ans) entré dans l'établissement "lourdement armé" : fusil à pompe, armes de poing et un engin explosif artisanal. (Par miracle !?) seulement quelques blessés...

- 19 mars, moins de 3 jours après, un homme sort de ses gonds autour de Paris. Il ouvre le feu sur des policiers à Garges-lès-Gonesse, vole une voiture et se rend à Orly où il est abattu avant un nouveau carnage projeté.
Des pensées religieuses malveillantes ont ici servi ce dessein criminel.

- 22 mars : Nouveau drame en France : 5 morts par tuerie, masqué par l'attentat londonien du même jour (4 morts et + de 20 blessés). C'est dans la Drôme, à Beaumont-les-Valence, qu'une famille est anéantie par le père : il tue sa compagne (avec qui il était question de séparation) et les 2 enfants qu'elle avait d'une autre union, et encore son propre fils de 5 ans. Il se suicide ensuite sous les roues d'un train.
Il faudra bien finir par voir que la libération sexuelle et des mentalités au profit d'unions qui ne sont que "des bouts de chemin", qui favorisent l'infidélité et empêchent la construction de foyers stabilisés par l'homogénéité, est un leurre de progrès social et personnel et un fléau... montant.

Pour avoir était moi-même, avant ma découverte de Dieu, à vivre un foyer dissolu, je me suis retrouvé un jour de peur avec un pneu de mon véhicule coupé au couteau accompagné de méchantes menaces nées de l'injustice et de la jalousie.
Pire, quand parut une autre fois un grand couteau de cuisine au milieu d un tourbillon de folie - je ne connaissais rien alors des démons, mais leurs présences qui agitaient tout dans la maison étaient si tangibles que la peur et le sentiment d'être tout à coup complétement dépassé submergeaient tout. Sous le prétexte - juste - que je préférais mon fils au sien, elle s'était enfermée avec le sien et menace de suicide dans une chambre.
Je loue Dieu de ce qu'il m'a vu dans mon inintelligence du monde et trouvé alors que j'étais sur ce chemin de mort.

- Pédophilie : Émission CASH sur l'A2 du 21 mars.
Cette émission cible la pédophilie dans l'Église Catholique, une des religions émergées de l'Évangile... qui les condamne toutes en tant que moyen d'accès au Dieu véritable !
On connaît le thème. Mais ce qu'on ne voit pas - même et surtout dans cette Église, c'est le rapport entre la sexualité ainsi dévoyée et la réalité des démons. Car c'est là encore une causalité à mettre en lumière, que des dérives sexuelles et l'activité démoniaque. Chaque fois qu'il y a compulsion, addiction, dépendance au point où c'est 'plus-fort-que-moi", il y a au minimum une faiblesse charnelle, qui va, par quelque répétition de pratique, s'amplifier par une "greffe" démoniaque sur (oppression)- voire dans (possession) - la personne...

Si cette émission vise à traquer le curé (= faire perdre la foi à ceux qui voudraient croire ou qui ont une foi mal établie), plus qu'à traiter le sujet de la pédophilie, c'est une mauvaise disposition d'âme ou de coeur qui ne peut pas permettre une édification quant à la réalité du problème. C'est comme si l'on ne parlait que de la pédophilie chez les enseignants. Une branche étant visée - plus qu'une autre, on perd l'impartialité qui seule peut aider dans la compréhension.
C'est que la pédophilie se déploie à couvert (réellement et possiblement) un peu partout où des adultes sont en relation avec des enfants. Il y a (eu) de telles forfaitures parmi les enseignants, avec des maîtres-nageurs, dans divers clubs sportifs, dans des centres de vacances... C'est un aspect d'une dérive bien plus large qui comprend le viol et le harcèlement sexuel sur adultes, comme il s'en trouve presque partout (parmi les élus, sur les lieux de travail, sur la toile, dans les rues...).

Là aussi la croissance du phénomène doit interpeller. Et pour en traiter il ne faut pas en négliger quelque aspect - qui bien sûr sont les plus dérangeants : c'est de notre nature adamique déchue de préférer jeter des pierres à des coupables découverts qu'à avouer ses propres pratiques peu avouables envers quoi on est plus indulgent.   

 

Les démons se donnent des spécialités, autant sur fond athée que sur fond religieux. Cela va du côté blanc d'esprits séducteurs qui veulent transmettre cette capacité inique à quiconque veut profiter des autres, au côté noir des esprits pleins de haine, de jalousie, vengeurs, qui repèrent des humains laissant de tels sentiments grandir dans leur coeur.
Jésus a dit que nous avons à (désirer, vouloir et pouvoir) aimer Dieu ET s'aimer en famille les uns les autres, ET aimer son prochain quelconque ET s'aimer soi-même, si on aspire à s'approcher de Dieu et voulons être protégé de manoeuvres démoniaques à notre encontre (activées par nous ou contre nous).
"Si quelqu'un croit être religieux, sans tenir sa langue en bride, mais en trompant son coeur, la religion de cet homme est vaine.27 La religion pure et sans tache, devant Dieu notre Père, consiste à visiter les orphelins et les veuves dans leurs afflictions, et à se préserver des souillures du monde."

Avec les esprits démoniaques, tout est question de mises en oeuvre de rapports de forces : forces physiques violentes, destructrices, irrépressibles - forces psychiques de séduction, intimidation, manipulation - force psychique ou spirituelle de (fausse) compassion, de persuasion, de pouvoir occulte, mysticisme...

Il y a trois méthodes pour intervenir contre les démons en vue d'en libérer les personnes dont ils ont pu prendre le contrôle (par tentation et oppression ou possession) :

a) Comme dans cette émission de NRJ 12, une tierce personne va paraître comme une nouvelle autorité possible. Si on se soumet à ses instructions, si elle manifeste du calme, de la patience, de la compassion ou une attention psychologie acceptées, l'autorité démoniaque cède du terrain et va bientôt ne plus avoir d'effets sur la ou les personnes dont elle avait pris le contrôle.

C'est le même processus quand quelqu'un en difficulté se place ou est placé sous une autorité médicale, notamment psy.
Globalement, la mise au large dépend des moyens mis en oeuvre pour opérer le changement d'autorité. Dès lors une libération démoniaque tient dans la mesure d'une dépendance autre : médicaments ou autres thérapies, personne d'un médian (psy, médium, séducteur, charlatan, gourou, objet bénéfique d'un amour...), suivi, pratiques répétitives, hospitalisation...
La question se pose ainsi : Entre deux maux (deux dépendances) quel est le moindre, le moins dangereux pour soi et pour autrui ?...

Quelqu'un vient-il à changer de lui-même un traitement prescrit, un rituel ou une expression convenue, et l'activité maléfique mise en échec mais non éloignée pour autant peut soudainement reprendre le dessus*...
Si de telles forces sont ainsi réduites ou disparaissent, des effets démoniaques, à quoi peuvent s'ajouter des effets secondaires d'un traitement ou d'une prise en charge, peuvent grandement amoindrir la personne dans telle ou telle de ses capacités...

à suivre...
_______
* C'est que les démons s'acquièrent des droits sur nous. Ce peut être à partir d'un tempérament naturel (héritage physique ou psychique) qui va leur permettre de nous tenter dans un domaine où l'on est ainsi charnellement vulnérable (versant violence ou fourberie par ex.). Succomber à une tentation, c'est commencer à ouvrir un droit à un démon, et on ne sait d'autant moins jusqu'où cela peut aller, qu'on est ignorant de ces réalités.
Ce peut être à partir de comportements acquis, dont on est plus personnellement responsable, qu'on ne soit laissé entraîner par d'autres ou pas. Les choses ne manquent pas qui peuvent ouvrir nos existences et soumettre notre liberté à des dominations spirituelles mauvaises (alcool, drogue, vol, biens mal acquis, viol, rapt, orgie, occultisme, spiritisme, idolâtrie, pédophilie, manipulations, idéologies, religions, inspirations...).
Si ce qui est à l'origine d'un droit acquis par un démon - une faute (péché) réitérée à l'encombre de la conscience, une bévue, une ignorance... n'est pas vu comme mal et confessé en tant que tel, même mis momentanément en échec, il peut revenir, ou d'autres...

 

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17 mars 2017 5 17 /03 /mars /2017 09:04

La vie reliée à Jésus est soumise à des pas de foi
plus qu'à des règles religieuses répétitives, lancinantes ou éprouvantes... qu'on transgresse sans jamais trouver la solution pour devenir libre et meilleur.
Or Jésus a dit :
"Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libre."

suite de : Étude sur les 5 types de mort

5 - LA "PETITE MORT"

En continuant à être attentif au Réel*, j'ai remarqué que finalement, on peut aussi parler de mort à propos du sommeil, et donc de diverses formes du sommeil, de l'endormissement.

On peut dire une "petite mort", car le sommeil possède les caractéristiques de ce qu'on appelle la mort d'une manière générale. Savoir :

- un état de séparation d'avec un univers connu ;

- un état temporel, selon que la mort n'est jamais une entrée dans une fin dernière absolue, dans un anéantissement complet de la réalité qui meure ;

- une fin, comme d'un cycle, qui permet une renaissance, comme montre la nature à la fin de l'hiver ou la transformation d'un arbre en meuble - ce qui n'est pas à assimiler à ce qui est appelé réincarnation**.

Le sommeil nous fait perdre le contact avec la réalité que captent nos sens quand on est dans un état de veille ou d'éveil. Mais il n'est pas un noir absolu, un non-être total, exempt de toute vie.
Il peut être notamment peuplé de rêves, de cauchemars, de songes ou encore de visions (quand Dieu nous parle de l'une ou l'autre de ces deux dernières manières, sous forme symbolique ou très directement)***.

Le sommeil s'apparente donc à ce qu'on appelle mort, nous informant par là que la mort physique n'est pas une fin de tout ce qu'on est, mais plutôt une séparation d'avec ce monde, qui résulte d'une sortie de l'âme, qui dès lors va poursuivre en conscience, son existence dans les dimensions plus typiquement de notre nature profonde, psychique et spirituelle.U

UN TYPE DE MORT SINGULIER PLURIEL

Dans cette catégorie de la "petite mort", on peut encore distinguer entre

- le sommeil ordinaire ;

- le coma (accidentel) ;

- l'hypnose (dangereuse...) ;

- l'anesthésie médicale (dont le coma provoqué).

LA VIE QUI DEMEURE DANS LA MORT

En ce sens aujourd'hui plus que jadis, nous pouvons être quasiment certain de ce que la vie après la mort continue, par la conjonction de trois et quatre témoignages fort complémentaires :

1 - les Expériences de Mort Imminentes (EMI ou NDE en anglais) dont on trouve de plus en plus de témoignages sur le net.
La suite de cet article (demain) sera un développement de cette réalité et de questions qu'elle pose ...

2 - Ce qu'en dit la Bible et notamment Jésus qui a apporté beaucoup de précisions sur le sujet de la vie post mortem. Avec
     a) la parabole d'un pauvre Lazare et d'un mauvais riche > évangile de Luc ch. 16, v. 19 montre et explique schématiquement les deux parts opposés qui font suite à la mort physique ;

     b) Du prophète Daniel : "En ce temps-là, ceux de ton peuple qui seront trouvés inscrits dans le livre seront sauvés. 2 Plusieurs de ceux qui dorment dans la poussière de la terre se réveilleront, les uns pour la vie éternelle, et les autres pour l'opprobre, pour la honte éternelle. 3 Ceux qui auront été intelligents brilleront comme la splendeur du ciel, et ceux qui auront enseigné la justice, à la multitude brilleront comme les étoiles, à toujours et à perpétuité." chap. 11.

     c) Ce qui est aussi écrit en maints endroits dans le Nouveau Testament, que Jésus déclare encore dde cette manière quand il quitte ses premiers disciples : "Allez par tout le monde, et prêchez la bonne nouvelle à toute la création. 16 Celui qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné." Marc chap. 16, v. 15...

3 - Ce que disent les chrétiens des siècles passés jusqu'à aujourd'hui, nés de Dieu (c'est-à-dire ainsi reçu en eux-mêmes l'Esprit divin) et attentifs à marcher dans la vérité... > ici des centaines de témoignages actuels

4 - Enfin pour savoir soi-même ce qu'il en est de la vie après la mort, le mieux placé pour répondre avec exactitude et à propos est l'Esprit de Dieu lui-même.
Et pour avoir des réponses de sa part, nous devons avoir la foi que si nous lui demandon - ou à Jésus (ressuscité) cela reviient au même - une chose quelconque, il peut nous faire entendre ou reconnaître ce qui vient de lui (pourvu qu'on ne joue pas de manière hypocrite avec Dieu, attaché seulement à en connaître plus sur les vérités essentielles.

LE SOMMEIL, RÉALITÉ ET EXPRESSION FIGURANT LA MORT

Va-t-on se retrouver vivant après s'être couché pour dormir ?
Dans tous les cas Oui ! Mais sans qu'on soit aboslument certain que ce sera de ce côté-ci du Réel, ou de l'autre; dans un monde qui existe mais que nous ne pénétrons pas étant dans ce corps.
Incerttitude qui, dans tous les cas, doit nous inciter à chercher et à connaître une vraie paix avec Dieu, l'intérieur purifié de nos péchés par la mort expiatoire de Jésus à notre plac e, et par la foi qui consiste à croire non seulement en Dieu (qu'il y a un Dieu), mais surtout à croire Dieu, ce qu'il a dit et a encore à nous dire.

"Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. 20 Nous faisons donc les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! 21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu." 2e lettre aux corinthiens ch. 5, vers. 19...

Êtes-vous déjà de ceux qui ont cru en cela afin que Jésus devienne votre justice - car la nôtre est si imparfaite que le mal peut vite nous atteindre (nous poussant à le faire comme nous revenant aussi en boomerang) - ?... C'est qu'il n'y a pas que des covids qu'on ait besoin d'être protégé...

à suivre, demain...

Soyez béni-e d'ici-là.

_____________
* Quand j'écris Réel avec un R majuscule, je parle de la somme entière de tout ce qui est, c'est-à-dire de tout ce qui est créé et de ce qui est l'Incréé (savoir le Divin, l'Être absolu, infini et éternel).

** Une précision importante à apporter là de suite, la réincarnation comme en parle telle religion ou tradition n'étant pas compatible avec les apports bibliques (qu je considère (comme beaucoup) comme les vérités révélées relatives à la connaissance de Dieu et de l'être humain comme les plus abouties et sûres.
Ainsi il est écrit : "Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois (en grec original hapax), après quoi vient le jugement,"...

*** En lien ici > sur les rêves, songes, cauchemars, visions ici un article qui désamalgame.

 

Y A-T-IL UN 6e TYPE DDE MORT ?!

La vie reliée à Jésus est soumise à des pas de foi
plus qu'à des règles religieuses répétitives, lancinantes ou éprouvantes... qu'on transgresse sans jamais trouver la solution pour devenir libre et meilleur.
Or Jésus a dit :
"Vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libre."


Oui, un 6e type de mort parce qu'on parle bien dans la Bible de mort à ce sujet.
Un type cependant bien différent des autres car il n'opère pas dans le cadre et le champ de notre existence naturelle, largement déspiritualisée, que domine "la chair" (les forces animant notre corps et notre âme livrés à eux-mêmes), mais dans le cadre de la naissance spirituelle opérée, qui fait de quiconque la vie, non plus un enfant aveugle des ténèbres, mais un fils ou une fille de Dieu, selon ce qui est écrit par exemple ici :
"La véritable lumière - incarnée en Jésus - est venue chez les siens, et les siens ne l'ont point reçue. 12 Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, 13 lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu." Evangile selon Jean ch. 1, vers. 12... (ce dont parle aussi Jésus au chef religieux Nicodème au chapitre 3 du même livre).

Ce 6e type de mort donc

6 - LA MORT À SOI-MÊME

La vie nouvelle avec Christ, qui fait du croyant non un religieux seulement, mais plutôt une création humaine nouvelle (comme est le papillon par rapport à la chenille - lire la 2e lettre aux Corinthiens ch. 5, vers. 17...), appelle à une séparation d'avec le monde tel qu'il fonctionne sans Dieu à sa juste place, à une distanciation de ce qui est dominant aux plans matériel et charnel.

Il s'agit de capituler dans notre manière de vivre éprouvante et peut reluisante et satisfaisante, faite de coups durs, de blessures et autres poids qui font de la vie un fardeau, une galère au lieu d'une marche paisible et décontractée.
C'est bien de cela que Jésus parlait déjà il y a bientôt 2 000 ans - et nous le dit encore aujourd'hui par son Esprit : " Venez près de moi (par la foi), vous tous qui portez des charges très lourdes et qui êtes fatigués, et moi je vous donnerai le repos.29 Je ne cherche pas à vous dominer. Prenez donc, vous aussi, la charge que je vous propose, et devenez mes disciples. Ainsi, vous trouverez le repos pour vous-mêmes."

Ainsi sommes-nous invités à tous passer de "la pesanteur à la grâce" comme l'écrivit l'enseignante et philosophe Simone Weil qui expérimenta "le mouvement cata-logique, qui est descente de Dieu, descente de la grâce, mouvement contraire à la pesanteur en ce qu'il est amour et non pas chute " (tiré de Wikipédia). Ce qui est fondamentalement conversion et découverte de Christ comme l'indispensable médiateur entre notre état générique de chute et le relèvement dans la liberté qu'il offre.

Ainsi peut-on sans Dieu entendre et opter pour un nécessaire lâcher prise comme on nous le propose quand trop c'est trop. Mais ce ne sera que produire un effet éphémère car il ne suffit pas de mettre un poids en lumière pour qu'on en soit délivré véritablement.
Jésus offre une solution véritable en ce que notre fardeau - pour parler net : les conséquences de nos fautes morales ou occultes et celles encore qu'on a subies - a été pris sur lui pour que nous n'ayons plus à le porter : c'est le sens absolu de son arrestation et de ses souffrances jusqu'à sa mort. Car il faut que tout transfert se fasse en justice, et non simplement par une compassion ou empathie qui opère hors de la base qui le rend possible et efficace.

Et encore, une fois devenu chrétien-ne (sauvé-e par Jésus par la foi et en voie de suivre ses instructions, valeurs, vérités...), on a encore à capituler, à une existence certes pardonnée mais encore conduite par notre propre âme, pour que ce soit toujours plus par son Esprit, ou en conformité à son Esprit - qui sait, car il est divin -, que nous trouvions les meilleures réponses à ce que l'existence nous réserve jour après jour.
Une marche moins pesante que la précédente, mais qui demande une attention nouvelle, dans une dimension de conscience nouvelle.

La vie chrétienne donc, qui consiste à faire de nous un disciple de Jésus-Christ, consiste non pas en une religion à suivre, mais à suivre la personne même de Jésus, tel qu'il a vécu sur terre, comme nous le présente le Nouveau Testament, dans une relation vivante qui s'est ouverte, qui se construit et s'établit par lui, avec Dieu, par son Esprit-Saint.

Elle va consister en une transformation intérieure où notre âme, qui faisait la dynamique de notre moi pensant et agissant, accepte - ayant vu nos échecs, nos limites, nos insuffisances, nos erreurs, nos manquements... - de se soumettre à la vie de Dieu en nous. De la sorte on entre dans une dualité intérieure où il faut qu'on diminue dans nos prétentions à faire en laissant la vie de Dieu se développer en nous jusqu'à nous conduire dans une intelligence du rapport de l'âme et de l'esprit.

C'est une "mort" (séparation) volontaire, différente des quatre précédentes, montrée aux chrétiens comme moyen de vivre au mieux la vie de Dieu en renonçant à "la vaine manière de vivre qu'on a héritée de nos pères."

C'est renoncer à vivre dans les désirs égoïstes de notre chair, sous la domination asservissante de "la loi du péché et de la mort."

Pour qui veut approfondir lire ou écouter le chap. 6 de la lettre aux Romains, un peu difficile à saisir mais correspondant à ce point. Elle se situe comme un choix entre vivre encore sous la domination primordiale du mal (qui vit (agit ou sommeille) en nous et sur les sociétés) ou vivre sous une conduite consentie à l'Esprit de Dieu.

Qui dit renoncement bien compris, dit non pas privation(s) mais détachement(s), distanciation de ce qui n'est pas le meilleur pour nous (et les autres). Non pas mortification mais libération (de certains attraits aux effets secondaires déplorables, de certains traits de notre caractère, de la force des tentations malignes (démoniaques) malsaines...).
Il ne s'agit pas d'une entrée en religion mais d'une progression dans une spiritualité qui ne vise que notre bien, immédiat et/ou éternel (les deux vues étant inséparables).

Renoncer à certaines choses mauvaises pour nous, s'en détacher, ne réduit pas à une vie moins pleine, mais crée de la place pour une existence qui va mieux se remplir : il faut vider un verre de ses saletés avant de le remplir de bonnes choses. Il faut s'attacher à Dieu plus qu'on était attaché à des objets ou personnes élevés en idoles (càd mises dans notre cœur à la place du vrai Dieu), afin de s'établir dans un regard nouveau, élargi, plus profond et plus haut, sur nous-même, sur les sociétés humaines et autres environnements, et sur Dieu bien sûr.

"Attache-toi donc à Dieu, et tu auras la paix ; Tu jouiras ainsi du bonheur.22 Reçois de sa bouche l'instruction, Et mets dans ton coeur ses paroles.23 Tu seras rétabli, si tu reviens au Tout Puissant, Si tu éloignes l'iniquité de ta tente.24 Jette l'or dans la poussière, L'or d'Ophir parmi les cailloux des torrents ;25 Et le Tout Puissant sera ton or, Ton argent, ta richesse.26 Alors tu feras du Tout Puissant tes délices, Tu élèveras vers Dieu ta face ;27 Tu le prieras, et il t'exaucera, Et tu accompliras tes voeux.28 A tes résolutions répondra le succès ; Sur tes sentiers brillera la lumière.29 Vienne l'humiliation, tu prieras pour ton relèvement : Dieu secourt celui dont le regard est abattu.30 Il délivrera même le coupable, Qui devra son salut à la pureté de tes mains."

"C'est pourquoi, laissant les rudiments de la parole de Christ, tendons à ce qui est parfait, sans poser de nouveau le fondement du renoncement aux oeuvres mortes,2 de la foi en Dieu, de la doctrine des baptêmes, de l'imposition des mains, de la résurrection des morts, et du jugement éternel.

On peut lire aussi, chrétiens ou pas (pour le devenir), cette parole de Jésus en Marc 8.35-38, qui nous exhorte à ne pas continuer une existence sans lui, c'est-à-dire soumise aux péchés (tout ce qui nous fait manquer les meilleurs buts atteignables), aux dérèglements (qui nous enlisent dans les problèmes), à l'égoïsme (qui ne rend pas heureux), aux insuffisances (qui irritent, nous font nous démener... ou déprimer), à la vacuité (qu'on est prêt à remplir par n'importe quoi), aux béquilles (appuis qui un jour ou l'autre cassent), aux vanités éphémères (que sert-il même de devenir milliardaire si dans la mort on se perd corps... et âme ?).

C'est un renoncement à vivre comme on a vécu sans Dieu jusque là. C'est une distance à mettre entre nous et "l'esprit de ce monde" (corrompu, largement injuste, irrespectueux de la personne, presque tout acquis aux puissances financières et occultes).
Dans la lettre aux Galates au chap. 5, on trouve un aperçu de ce qui caractérise couramment notre activité psychique ordinaire (appelée "les œuvres de la chair"), suivi d'un aperçu de ce qui caractérise les œuvres de l'Esprit appelées "fruit de l'Esprit". Lisez (ou écoutez en cliquant à gauche) Galates 5. 19 à 22.

C'est au final  - et avant qu'on n'est plus le temps de pouvoir le décider en conscience à cause de la mort physique -, la meilleure option que nous puissions choisir. Que ce soit par peur de la mort, ou de l'enfer (séjour des morts ou étang de feu), ou par une réflexion intelligente, par capitulation devant l'énormité  d'adversités ou l'absurde qui sont devant nous... Les raisons ne manquent pas pour que nous cherchions de tout notre cœur ce qui est vrai dans ces choses, ce qui pourrait - et peut - donner à cette existence non seulement du sens, mais son sens - originel, présent et à venir.

Il s'agit en fait d'une mort à nous-même en tant que moi-je supérieur à tout ce et ceux que je critique. Forcément, si JE critique, c'est que je suis meilleur que ce que je critique !
Il s'agit par cette mort de laisser l'amour s'approcher de nous et nous investir.
Un vrai retournement, où le Nous (avec Dieu et avec les autres) importe plus que l'ego qui nous devient jusqu'à importun. Où ce que je peux donner - ou même laisser prendre - est plus important que ce que je peux recevoir.
Et alors aussi s'accomplit cette parole de Jésus : "Donnez et vous recevrez."
C'est tellement mieux dans ce sens de la dynamique - qui est celle du Royaume de Dieu ! Où l'on donne où l'on voit un besoin, sans s'occuper de qui et de quand (de Dieu ou d'une autre personne, rapidement ou dans la prochaine création) on recevra.

Dans le lâcher-prise, on ne lâche jamais prise pour n'être plus attaché à rien ! Il ne doit jamais s'agir de faire un vide total ! Cela n'existe pas (quand on fait le vide, en certaine méditation par exemple, en réalité on s'ouvre au monde spirituel sans le connaître, et on va la plupart du temps se trouver en contact avec des démons).
On lâche donc toujours pour une nouvelle chose qu'on place à la plus haute place, valeur ou priorité ou conception ou personne. Et quelque chose ou personne que ce soit qui n'est pas Dieu, c'est prendre appui sur une chose créée, limitée, sans sécurité, insuffisante, qui vite ne va pas faire la bonne affaire qu'on escomptait.
Si on veut vivre un lâcher-prise qui est une bonne mort à soi, c'est pour que la première place soit prise par Qui est le plus haut, le plus sûr, le plus... tout ce dont on va encore avoir besoin.

Les parisiens ou franciliens qui lâchent tout pour l'Ardèche ou la Corrèze, vont s'attacher à quelques nouvelles actions et centres d'intérêt. C'est courageux et intègre !
Pour le chrétien de même, il y a un vrai dépaysement : il est introduit dans le Royaume de Dieu, dans sa haute sphère psychique et spirituelle (avant que ce soit aussi un jour de manière physique. Et les valeurs, les priorités, les objectifs dans ce Royaume, se recoupent en général très mal avec ceux de ce monde organisé sur sa matérialité.
Cela ne veut pas dire qu'on va se couper du monde, s'enfermer dans une bulle hors sol, mais qu'on va relativiser et par là mieux voir en quoi on peut continuer à vivre dans notre environnement physique pour y répandre un peu de la lumière qui nous vient d'En-haut*, par notre comportement et par nos paroles.

Autant dire tout de suite que la vie dans la foi au Christ produit plus qu'une simple amélioration de l'existence :  une transformation, d'abord instantanée (par "la nouvelle naissance", qui nous rend juste ou "justification"), puis progressive (par une croissance spirituelle, aussi appelée "sanctification"), selon que c'est l'Esprit de Dieu qu'on  a reçu comme ajout à notre âme, qui donne, en rapport de la priorité qu'on lui accorde, de son intelligence, des enseignements sur les vérités essentielles utiles, des directions, des paroles édifiantes... et fait qu'on est en tant que personne éternisé par sa grâce.

"Ne vous conformez pas au siècle présent, mais soyez transformés par le renouvellement de l'intelligence, afin que vous discerniez quelle est la volonté de Dieu, ce qui est bon, agréable et parfait.3 Par la grâce qui m'a été donnée, je dis à chacun de vous de n'avoir pas de lui-même une trop haute opinion, mais de revêtir des sentiments modestes, selon la mesure de foi que Dieu a départie à chacun."

"Celui qui voudra sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie à cause de moi et de la bonne nouvelle la sauvera.36 Et que sert-il à un homme de gagner tout le monde, s'il perd son âme ?37 Que donnerait un homme en échange de son âme ?38 Car quiconque aura honte de moi et de mes paroles au milieu de cette génération adultère et pécheresse, le Fils de l'homme aura aussi honte de lui, quand il viendra dans la gloire de son Père, avec les saints anges."

Ainsi nous pourrons par exemple éviter l'écueil de l'ego dont Jésus nous avertit dans cette parabole....

Bon choix, s'il n'est encore fait... Autrement bonne progression dans la foi qui sauve...

Retour au > 1er des 2 articles sur Les types de mort

Chant Vivre libre - Christine et Tonino

Pour guider une prière de déculpabilisation et paix avec Dieu cliquez ici

__________________
* L'histoire de l'Europe par exemple montre très clairement comment le réveil spirituel du XVIe siècle a changé la face de l'occident et du monde. A partir de deux hommes essentiellement : Jean Gutenberg qui invente l'imprimerie "pour donner des ailes à la vérité" qui est contenue dans la Bible (1er de tous les livres imprimés, en1454), et le moine Martin Luther qui chercha cette vérité salvatrice, apaisante, salutaire, pour sa propre vie et publia le fruit de sa découverte (les 95 thèses, en 1517).
Puis par les croyants (dits huguenots, avant qu'on ne les appelle protestants ou réformés) qui ouvrirent des voies de découvertes, notamment scientifiques et industrielles...

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14 mars 2017 2 14 /03 /mars /2017 09:55

Par ce titre, on peut penser qu'il s'agit de formes différentes par lesquelles on peut mourir : morts accidentelles (accident, maladie, noyade, électrocution,
hydrocution, coup de feu ou à arme blanche...),
par suicide ou par vieillissement.
Mais tout cela ne concerne que la mort physique ! Et cet article veut sensibiliser à ce qu'il existe en plus de celle-ci, quatre autres types de mort, bien différentes*. Et toutes et chacune nous concernent d'une manière ou d'une autre, maintenant ou un jour à venir plus ou moins éloigné. Surtout, elles ne sont pas
sans des effets, très différents et très conséquents,
dont il est bon de ne pas être ignorant.

¤

Quelques mots d'abord sur ce qu'on appelle la mort, celle qui est la plus évidente à notre conscience.

1 - LA MORT PHYSIQUE
On pourrait l'appeler plus justement mort physiologique. C'est celle qui se voit, qui laisse un corps qui refroidit, se raidit et, dépouillé de la vie, va se décomposer. Elle témoigne de la séparation invisible mais réelle de l'âme ou du couple âme-esprit du corps, montrant que la matière en elle-même, si elle peut être vivifiée (du physiologique végétal à l'humain), n'est pas la vie en soi.

Parmi ses apports, Jésus est venu dire au sujet de la mort : c'est un sommeil (versets 11 à 14) ! Un sommeil par rapport à ce côté du Réel. Un sommeil tel que lorsque Jésus appelle Lazare d'une voix très forte, il est réveillé à ce monde et sort de son tombeau.

Cette fin peut s'avérer soit
a) une bonne chose, l'Eternel-Dieu l'ayant prévue pour que nous ne vivions pas éternellement dans la condition accidentée, duelle et chaotique (où le mal le dispute le plus souvent avec succès sur le bien) que nous connaissons.
Par elle le chrétien entre bien plus librement dans le Royaume de Dieu. Sa relation à Dieu établie avant qu'il ne meurt se poursuit dans les dimensions psychique et spirituelle "en esprit et en vérité".
Luc: 23.43Apocalypse: 2.72 Timothée: 2.11 - 1 Corinthiens 15.12

b) soit un drame réel pour celui/celle qui part et ceux qui restent, notamment lorsque ce jugement tombe sur de jeunes vies, interrompt des existences avant qu'elles aient le temps de se déployer dans quelque liberté effective... et sans que le défunt ait appris au préalable comment partir du bon côté, quoi faire pour un "départ "qui conduise sur la bonne destination.
Départ de quoi ? (le corps restant là comme esseulé, privé de son essentiel comme une voiture abandonnée par son conducteur. Départ pour où ?... Existence vécue pour finalement être jeté dans un train sans savoir où cela nous emmène (Ça ne vous rappelle rien, des années 40 ?).

La mort physique, c'est le détachement de l'âme qui, sans relation établie avec Dieu, reste un moi-je conscient, mais qui ne s'appartient plus.

Que devient donc l'âme lors de la mort physique ?
La Bible enseigne qu'elle a deux destinées immédiates possibles :
- le paradis ou séjour béni de Dieu pour ceux qui ont cru en Jésus comme étant leur Sauveur ;

- le "séjour des morts" (shéol en hébreu ou hadès en grec ancien) où sont collectés par les anges déchus de Satan les âmes séparées de leur corps sans avoir trouvé en Jésus le moyen d'une réconciliation avec Dieu qui les eut réintroduit en Dieu par une alliance scellée par le sang de la mort de Jésus et l'Esprit de Dieu.

Dans les deux cas, il s'agit d'une situation provisoire, bonne pour les uns, terrible pour les autres, en attendant la résurrection finale des corps. (voir article sur les Résurrections)

Question :
N'est-ce pas curieux, étonnant - interpelant en fait ! - qu'on sache si peu sur ce sujet crucial, à la fois si personnel et universel, et que globalement, sociétalement, par l'école ou autre, on ne cherche pas plus à savoir ?
C'est justement un des effets notoires de notre condition (déchue, abimée, handicapée), que nous inversions la hiérarchie des réalités importantes et des réalités secondaires... 

 

2 - LA MORT SPIRITUELLE
C'est la plus essentielle, aux conséquences les plus désastreuses si on reste en l'état. C'est le retrait (envol, extinction) de notre esprit, la part de la vie de Dieu adaptée à notre réalité humaine. : expression la plus complète de vie transmise (insufflée**) par Dieu autrement appelée arrhes de l'Esprit .

Sans lui on est déspiritualisé, réduit à une constitution animale (âme + corps), capable dès lors de devenir parmi les pires ici-bas, et encore destiné au pire de la vie après la mort physique...

L'esprit se distingue donc assez nettement de l'âme. Il concerne nos relations verticales (relation avec Dieu, discernement des mauvais esprits, c'est notre conscience morale globale objective).

L'âme est pour sa part, via les transmissions génétiques, une émergence de la vie physique (corporelle, physiologique), notamment (attachée) par le sang (comme il est écrit dans le 3e livre rapporté par Moïse : le Lévitique).

Parlant de l'âme, on parlera de psychisme, de tout ce qui est psy, psyché (de psuké en grec avant que le latin et le français ne paraissent et donne l'âme (du latin anima).
L'âme est essentiellement le lieu immatériel de formation et siège de notre moi-je (ego, le cœur de notre entité individuelle ou personne consciente d'avoir une existence en soi). Elle a été conçue pour la gestion du soi matériel ou charnel et des relations horizontales avec nos environnements.

La mort spirituelle est celle qui est intervenue immédiatement, conformément à ce que Dieu avait averti (Genèse chap. 2), quand Adam et sa femme succombèrent à la tentation dans le jardin d'Eden. Ce n'est que de très nombreuses années après, qu'ils sont morts physiquement.
Les effets majeurs de la mort spirituelle sont décrits au chap. 3, et se voit toujours parmi nous, dans l'histoire de l'humanité, dans notre actualité et notre existence personnelle : c'est la peur, le sentiment d'insécurité, la difficulté à comprendre ce qui nous arrive, un sentiment de nudité qu'on cherche à résoudre de diverses manières et une manière délibérée de mettre sur le dos de l'autre ou des autres les problèmes dont nous sommes personnellement tout aussi responsable.

A la suite c'est l'irritabilité, la méchanceté (qui se manifestera chez Caïn le 1er né) puis les vols, le
s meurtres, attentats, guerres, mensonges, tromperies, manipulations... qui font la dominante récurrente des pensées, paroles et actions de la terre.

Vivants en état de péché ou sans couverture assez immédiate de nos fautes, c'est-à-dire sans confession réelle (à distinguer de confessions formalistes sans conscience du mal) et sans pardon (non seulement demandé mais obtenu), ici-bas déjà nous mourons (à Dieu, à la vie de l'esprit) chacun spirituellement. Morts dans nos offenses" comme il est bien expliqué dans la lettre aux Éphésiens au chap. 2. vers. 1 à 9.

C'est la raison pour laquelle nous ne sommes pas des êtres naturellement spirituels. Sans son esprit en nous, la réalité de Dieu nous échappe, ne nous intéresse même pas. A la rigueur on peut recevoir une instruction religieuse qui nous rend croyant, mais sans pour cela nous redonner automatiquement l'Esprit de Dieu. C'est pourquoi on assiste dans la Bible à cet étrange dialogue entre Jésus et un leader religieux qui vient le voir de nuit...

C'est premièrement de cette mort que Jésus est venu nous sauver car elle a pour notre âme (esseulée, ou encore accompagnée d'esprits maléfiques) des effets durables au-delà de cette existence terrestre. Car c'est en nous redonnant sa vie en ce qu'elle est éternelle, que Jésus peut sauver à la suite notre âme, nous sauver de la perte de la conscience de soi.
(On y reviendra avec notre 4e point, et vous pourrez aussi voir en complément l'article Les 5 formes de résurrection, - la résurrection étant une autre réalité que nous vivrons tous et chacun pour soi - en fonction de l'état dans lequel soit nous resterons sans être pardonnés et en ordre avec Dieu, soit nous aurons été réconciliés avec lui pour recevoir en nous son Esprit-Saint éternel).

Être sauvé-e par la foi dans le sens et la valeur de cette crucifixion, c'est pouvoir recevoir (à nouveau) la vie de Dieu, c'est-à-dire le don par son Esprit d'une part de lui-même qui, unie à notre âme, nous vivifie, nous rend conscients des réalités spirituelles, nous transforme et nous destine au Royaume éternel des cieux (ou paradis)... plutôt que dans le séjour cloaque où sont précipités les âmes sans Dieu.
La solution ?
Comme Dieu créa par son souffle la race humaine en Adam, Jésus crée une nouvelle humanité en ses disciples : cela dit par Jean - dit par Pierre.

Hors d'une telle véritable recréation de soi par l'Esprit Divin, cette mort  spirituelle est dramatique et très conséquente. Elle rend toujours
- nos conditions d'existence plus difficiles, moins compréhensibles (incohérentes jusqu'à l'absurde), plus douloureuses, insécurisées... ;
- nos personnes plus vulnérables, instables ou amorphes, insuffisantes, difficiles à vivre, à relationner...
- et les satisfactions ou succès toujours aléatoires, incertains, éphémères... et cela aussi parce qu'on meurt tous au plan physiologique, obligés de tout laisser de notre matérialité.

 

3 - LA MORT DE JÉSUS
Elle est différente de toutes les autres morts d'êtres humains. En ce sens qu'elle n'était pas obligée pour Jésus comme elle est obligatoire pour nous.
C'est une mort qu'il a acceptée de subir, sachant que ce serait dans un déchaînement de violence et d'injustice les plus démentielles.
Il acceptait en fait de cette manière de se soumettre au jugement de Dieu sur les fautes des hommes et des femmes de tous les temps et de tous les lieux - dont il prend la place en prenant le péché (leurs dérèglements). Selon que "le salaire (la conséquence, le résultat, le produit) du péché, c'est la mort" comme écrit en Romains.

COMMENT JÉSUS NOUS SAUVE-T-IL?
Par son sang versé sous les coups terribles de la flagellation qui précède sa crucifixion, par les épines enfoncées dans sa tête, et les clous de ceux qui se soumirent à leur méchanceté.
Par sa mort qui résulta de toutes sortes d'iniquités humaines boostées par des pensées et autres invectives des démons qui étaient là (pour avoir des droits sur eux et par eux) participant à cet événement unique dans toute l'histoire des hommes...

Jésus accepte d'être fait là "homme générique", le type complet de l'humain déchu, irrécupérable par lui-même dès lors qu'il est séparé de Dieu. C'est à ce point vrai que, laissé depuis le jardin de Gethsémané totalement et seulement  homme, il ne peut que crie comme un homme perdu.

Subie, "accomplie" par Jésus, la mort est là totalement substitutive (à notre place), expiatoire (qui paie le prix global, cumulé, de toutes les fautes humaines), et propitiatoire (qui nous rend Dieu propice, favorable, réconcilié avec l'humain, puisque c'est aussi là un accomplissement de la justice parfaite). S'agissant de l'homme mort spirituellement (à Dieu), il faut, pour annuler cette situation de séparation, une mort de remplacement : mort pour mort, celle de Jésus pour nous ; celle de Jésus pour toi et pour moi.

LE DOUBLE EFFET DE LA JUSTICE DE DIEU
Et comme Jésus pour sa part personnelle n'a jamais péché, si c'était bien dans une justice qu'il mourait ainsi à la place des coupables qu'il voulait sauver, c'était aussi une terrible injustice, aux vues de sa propre existence, irréprochable, qu'il est mort.
C'est pourquoi aussi c'est en toute justice qu'il est ressuscité - recevant du coup un corps nouveau, immortel, incorruptible et donc éternel, pour lui-même et encore comme image pour nous de ce que Dieu veut faire avec quiconque entre dans ce plan B de la création humaine : offrir une seconde vie, toute nouvelle, amplifiée, et qui sera sans mal et sans fin.

La mort de Jésus fut des plus ignominieuses, la plus sacrificielle, le plus grand don de Dieu fait au genre humain. Mais aussi elle s'avère la plus fructueuse, la plus glorieuse, celle qui renferme potentiellement le salut du monde entier (selon cette parole, et celle-ci). Seule notre liberté personnelle de choix peut nous fermer la porte de cette grâce imméritée. Selon que nous préférons continuer à vivre en commettant le mal d'une ou plusieurs façons, plus qu'en désirant le bien, ce qui est juste, honnête, respectueux.

Rien n'est plus profitable que de saisir pourquoi Jésus est mort, et de venir au bénéfice des bienfaits - immédiats et éternels - de cette mort si particulière...
"Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation...21 Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu."
Ou encore ce qu'écrivit le prophète Ésaïe plus de 600 ans avant cette venue sacrificielle de Jésus (chap. 52, vers. 13 à chap. 53, vers. 12).

Cette mort évite à quiconque - il suffit de mettre son nom ou prénom à la place de quiconque >  Cette mort évite à ....................., du moment qu'il croit en Celui qui est mort ainsi, de vivre sans avoir à souffrir la séparation de son corps, et surtout sans avoir à connaître le 4e type de mort qu'on va voir à la suite: "Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ;26 et quiconque vit et croit en moi ne mourra jamais. Crois-tu cela ?"...

 

Une croix qui domine une tombe !
Quelle compréhension de cette représentation avons-nous,
qui dit - normalement ! - que le défunt s'est mis au bénéfice de la mort
et sous la protection de la résurrection
du Christ Jésus (Yeshoua HaMashiah) en vue de la sienne ?

 

4 - LA MORT PSYCHIQUE - ou DE L'ÂME
La mort psychique est à voir comme la fin de la conscience personnelle. La fin du moi-je relativement libre qui pense et se pense, ressent, aime ou déteste, imagine ou massacre, gère ou dilapide, choisit ou pas, et au final va être jugé d'une manière ou d'une autre (les deux manières étant bien différentes...)

Cette mort irrémédiable peut apparaître au moment non de la mort physique, mais de la (seconde) résurrection en vue du jugement (dernier, versets 11 à 15). Ainsi est-il mis fin à tous les acquis et efforts,de l'existence, à toutes les possibilités de déroutages de vies et autres corruptions et perversions apparues sur cette terre.

Elle n'est pas une fatalité comme est la mort du corps, comme si tout était écrit sans nous. Non, elle est une sombre possibilité qui dépend de nous plus encore que de Dieu.
Elle - on, chacun - dépend de nos choix, pensées, paroles, actions et réactions.
Par notre âme nous gérons un espace et un temps de liberté. Une liberté si véritable qu'on peut prendre des libertés... qui souvent n'en sont pas, trompeuses et dangereuses (aussi) pour nous-même, hors de ce qui est réellement bien pour nous et/ou pour les autres :
Liberté de fumer n'importe quoi jusqu'à mettre notre corps à mort ; de boire ou se droguer jusqu'à perdre parfois temporairement la notion de soi justement ;  liberté de mentir, voler, violer, assassiner... Et nous ne serions pas jugés ? Par la justice humaine quand elle nous rejoint ; et par la justice divine, à laquelle qui peut, de ce côté-ci de la vie et ensuite de l'autre, se soustraire ?

Ici-bas nous vivons des jugements relatifs, pour nous arrêter ou corriger dans nos mauvaises trajectoires. Mais le jour où le temps est accompli de cette liberté très permissive, ne serions-nous pas jugés, c'est-à-dire condamnés... ou graciés, rachetés, sauvés si nous comprenons à temps comment l'être ?!...

Alors entendons-le encore une fois : On échappe à cette mort anéantissement de soi - du moi-je individualisé que nous sommes devenu -, en croyant à celle de Jésus qui s'est sciemment anéanti pour stopper ce naufrage de l'humain. En le voyant prendre sur lui, cloué sur une croix, nos fautes, notre impiété ou religiosité égarée, pour que nous puissions en être pardonnées, affranchies, justifiées, purifiées, - totalement en tant que fautes, et plus ou moins partiellement en tant que conséquences****.

La foi en Jésus et en la valeur de sa mort pour notre âme permettra à ses bénéficiaires d'être ressuscités (à certains même de ne pas passer par la mort (un détail ici...).
Pour les autres, il faudra attendre plus de mille ans, dit le livre de l'Apocalypse, avant qu'ils ne soient tous ressuscités pour paraître devant Dieu en jugement. Lire Apo 20.11-15.

Suite à ce jugement les âmes, c'est-à-dire ceux qui ne voudront pas du plan B de Dieu (de sa Rédemption par la foi en Jésus), devront, par leur choix délibéré, par leur obstination et inintelligence, aller à la perdition éternelle de leur personne (via un étang ardent de feu et de soufre préparé pour Satan et autres démons qui auront persévéré dans leur endurcissement sans retour).*****
"Mais pour (ceux qui resteront) lâches, incrédules, abominables, meurtriers, impudiques, enchanteurs, idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort."

à suivre ici... le 5e type de mort avec son effet bénéfique : Un peu - mais en mieux - ce qu'on appelle aujourd'hui "le lâcher prise"... dans une confiance grandissante en Dieu devenu notre Sauveur et Père..

Bon choix de vie. Bénédictions.

Pour guider une prière de déculpabilisation et paix avec Dieu cliquez ici

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* Comme beaucoup d'autres mots importants, mort est un mot typiquement singulier : la mort ; mais c'est surtout un mot pluriel, qui se décline bien en cinq manières bien distinctes.
C'est en réfléchissant sur les cinq lettres finales de l'alphabet hébreu (langue d'écriture initiale de la Bible) que de cette symbolique je suis arrivé à la réalité de cinq fins ou séparations (séparation c'est le sens primordial de la mort) nous concernant. En tout deux séparations en notre défaveur, une pouvant s'avérer favorable ou ennemie, et deux des plus préjudiciables...

Dieu est un de ces vocables principalement singulier mais aussi multiple (Père, Fils, Esprit-Saint par exemple). En hébreu dans l'Ancien Testament, Dieu est souvent appelé Elohim, pluriel de Eloha. Et c'est ainsi pour la mort(s), la vie(s), la résurrection(s), la personne humaine (avec ses éléments séparables)...

** A l'origine "L'Éternel Dieu forma l'homme de la poussière de la terre, il souffla dans ses narines un souffle de vieS et l'homme devint un être vivant." Vie est là dans le texte original un pluriel (chayim) qui se réfère à l'âme et à l'esprit.

*** Lire aussi sur la mort physique comme notre... 4e commencement.

**** C'est pourquoi même devenus chrétiens, nous pouvons subir des effets de nos fautes antérieures ou nouvelles fautes répétées, des maladies, accidents, et la mort physique qui est une conséquence irrévocable de notre condition adamique. En ce sens il est écrit que Dieu pardonne les coupables, mais il ne tient pas le coupable (même pardonné) pour totalement innocent dans cette vie...

***** Dans ce déroulement de la vie humaine, une part reste un mystère quant au devenir éternel de qui n'aura pas trouvé en Jésus son Sauveur : Une fois passé par le jugement dernier, la Bible dit clairement qu'il ne restera concernant tout le mal qu'un "étang ardent de feu et de soufre". Un espace que le Créateur a dû initier suite à la rébellion des anges, pour les arrêter dans tous leurs agissements coupables car ils sont éternels en eux-mêmes (un jour prochain).
Apocalypse 19.20 - Apo  20.10 - Apo 20.14, 15Apo  21.8
Que peut-il se passer dans cet enfer dernier pour quelque homme ou femme qui ne trouverait pas ailleurs une solution acceptable - de Dieu -, au problème du mal dont ils ne se seraient pas départis ? Si on est un-e rebelle entêté-e, un-e libre-penseur suffisant-e, c'est encore le moment de considérer cette question, de comprendre la réponse et de choisir entre une pensée impie qui rien ne fonde (que la liberté totale limitée à cet espace-temps dont on est provisoirement pourvue) et ce que Jésus et la Bible annoncent.

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6 mars 2017 1 06 /03 /mars /2017 14:39

suite de Parabole de l'éléphant 1  -  2  ou  3

Quelqu'un parut donc et se présenta comme un voyant - qu'on peut aussi voir, qu'il est possible de découvrir en tant que ce qu'il est vraiment : C'est le mystère - à la fois voilé et déchiffrable, connaissable - Jésus !

Outre qu'il ressuscite des morts - ce que seuls les prophètes Èlie et Èlisée avaient faits jusque-là -, Jésus a des paroles inouïes ! "Pendant que je suis dans le monde, je suis la lumière du monde.6 Après avoir dit cela, il cracha à terre, et fit de la boue avec sa salive. Puis il appliqua cette boue sur les yeux de l'aveugle... (et l'aveugle vit).

"Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point."

Voilà parmi tous quelqu'un - un homme, à peu près quelconque, mais quel homme !? - qui dit venir du Ciel pour éclairer la nuit du monde, des âmes - nos nuits de compréhension et d'incompréhension - pour en faire un jour (nouveau).

N'est-ce pas curieux !? Dieu se sert de l'homme pour faire cesser définitivement la puissante rébellion démoniaque (un seul ange déchu est bien plus puissant que n'importe lequel d'entre nous), avec leur lot de dysfonctionnements, désordres, douleurs, souffrances…
Et cela parce qu'il n'est pas un Dieu qui d'abord terrasse les méchants du haut de sa toute-puissance. Comme il se servit du jeune berger David qui avait une grande foi en Lui pour tuer le géant arrogant Goliath, Dieu se fit homme (quand il ne trouva plus aucun homme ou aucune femme de foi pour le servir par des paroles) pour combattre ce géant spirituel qu'est Satan, le héros/chef d'une vaste armée d'anges déchus).
Ainsi naquit Jésus, fils d'homme par une jeune servante respectueuse de la Loi divine (Myriam ou Marie), et fils de Dieu par l'Esprit-Saint qui opéra dans le sein de cette jeune fille l'incarnation divine. Si cela dépasse la capacité (conditionnée) de raison de notre âme (d'adulte), il n'y a pas de difficulté pour le croire par notre esprit...

Une des missions de Jésus est de mieux faire connaître au genre humain qui est Dieu. D'abord par ce qui peut être vu de son existence terrestre (il en est l'image humaine parfaite), et encore par ce qu'il dit : Lisez tout cela en peu de pages (si ce n'est encore fait, dans les quatre évangiles - début du Nouveau Testament, 2e partie de la Bible) pour vous faire une idée. Boire à une source (la Bible) est toujours meilleur que boire ses eaux en aval (commentaires...).

La mission ultime de cette première venue de Jésus consista à vaincre Satan (lettre aux Hébreux ch. 2. 9,15) en le laissant manifester sur lui toutes ses forces mauvaises. Notamment cet Esprit déchu excita de diverses manières les autorités décisionnaires (chefs religieux et chefs de l'occupation) et les foules pour produire en quelques heures (depuis l'arrestation arbitraire de Jésus jusqu'à sa mort et mise dans un tombeau) la plus grande injustice de tous les temps : . (Regardez le film de Mel Gibson si vous voulez avoir une idée de ce que Jésus subit en moins de 24 heures alors qu'aucune charge ne put être trouvée contre lui).

Ainsi Jésus est un élément déterminant de la connaissance du vrai Dieu. Le voir agir, l'entendre parler, c'est comme avoir déjà la moitié des pièces du puzzle Dieu ! Et donc, comme il ouvrit les yeux physiques à plusieurs aveugles lors de son premier périple terrestre, Jésus peut maintenant encore par son Esprit, ouvrir notre entendement, dispenser sa lumière dans notre âme, et tout à coup nous voyons ! En quoi consiste ce monde, ses tenants et aboutissants majeurs, ses enjeux les plus véritables...

Cherchez-le, à travers des articles ici, des sites sur le net, la Bible, la prière en vous adressant directement à lui, Jésus-Christ ou au Père éternel (c'est la même réalité unique sous des expressions différentes), lui qui est "le rémunérateur (celui qui récompense) de ceux qui le cherchent."

Que sa bénédiction vous atteigne et attire à Lui jusqu'à Le connaître (= expérimenter sa vivante et aimante réalité).

 

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  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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