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3 mars 2017 5 03 /03 /mars /2017 19:16

Suite de 1 Ici   ou de 2 là...

Voit-on là - non par nos yeux charnels, mais déjà par notre capacité cognitive et réflexive - une illustration de la curieuse et improbable - mais réelle - juxtaposition de religions et autres sectes au milieu de nous tous ? On pourrait même ajouter un autre aveugle :
- Pour moi vous êtes tous comme ayant au moins fumé du shit ! L'Éléphant c'était dans le passé. Il est mort ; les hommes ont fini par l'exterminer depuis longtemps, et vous en préoccuper encore aujourd'hui, avoir encore de telles images dans la tête, ça sert rien qu'à vous encombrer !

Bref, il est de plus en plus nécessaire de voir un éléphant - Dieu ! - de nos propres yeux (intérieurs, ce qui s'appelle la conscience), si on veut SAVOIR
1/ qu'il existe et
2/ lequel il est parmi toutes les représentations qui en sont faites et qui peuvent nous affecter (en bien ou en mal).
Il faut le voir en n'étant pas aveugle, ou, si on l'est encore quand on l'approche, il faut pouvoir l'approcher en ayant tout son temps pour s'interroger et trouver des réponses convaincantes, avec un recul par rapport à tous les a priori, préjugés, endoctrinement qui peuvent nous tenir hors de la réalité (de la vérité).
Comme s'agissant d'un éléphant, il faut pouvoir en faire le tour personnellement, suffisamment, monter sur son dos, écouter des explications sur ses mœurs, etc… Car pourquoi trouverions-nous Dieu sans recherches, alors que tout ne se connait suffisamment qu'en l'étudiant et l'éprouvant !?...

Il faut, pour connaître Dieu, entendre plus que des informations sur lui, dont on ne sait même pas en quoi elles sont partielles ou complètes, ou encore si elles se rapportent vraiment à lui ou à celui (Satan, le Démon usurpateur) qui veut se faire passer pour lui à nos yeux : Beaucoup croient ainsi que l'Éléphant a deux cornes de rhino sur le nez !...
De plus il est indispensable de faire des expériences avec le vrai Dieu, avec Jésus ! Rien de moins, sinon on ne peut pas savoir. Il faut passer de ce qu'on en a entendu à ce qu'on peut en ressentir soi-même, dans notre corps et/ou dans notre âme. Car le Dieu que je connais est sensible et se rend sensible.

La vraie foi n'est pas aveugle, fondée sur rien ou sur des approximations, des préjugés, des ouï-dires qui ne se confirment jamais. La vraie foi c'est croire en Dieu, c'est croire Dieu (ses paroles révélées), et par là lui permettre de se manifester d'une et de multiples manières : la vraie foi conduit à savoir l'existence de Dieu et lequel il est parmi les images frelatées et contradictoires qui circulent. 

Comment Dieu se manifeste-t-il ?
- Ce peut être par une réponse (attendue ou surprenante) à une prière précise
- une guérison physique ou psychique
- une délivrance qui nous rend léger ou nous donne la paix
- un secours surnaturel à un moment extrême
- une parole dite par quelqu'un dont on a la certitude intérieure qu'elle vient de Dieu
- une joie, un bien-être surnaturel à un moment complétement inattendu, voire au coeur d'une grande difficulté
- un songe fait de symbolique ou plus directement significatif*
- une rencontre heureuse qui ne sera suivie d'aucun chagrin
- une pensée juste ou une parole intérieure qui nous vient juste au bon moment
- le sentiment émouvant que tout à coup Dieu est là (sans avoir besoin de se rendre visible)
- etc… Dieu a tant de manières pour communiquer avec nous pour se faire connaître. (mon témoignage ici si le lecteur ne le connaît pas).

Mais notre incrédulité naturelle, peut-être une peur de Dieu (qui peut se comprendre, car il est aussi un Dieu qui juge nos mauvaises obstinations), ou encore la gêne de ne pas savoir comment faire ou que dire, font que quasiment personne n'avance au quotidien en cherchant Dieu pour le trouver.** C'est pourtant une quête dont les effets sont des plus bénéfiquement transformateurs, qu'il ne faut pas ignorer ou mettre de côté. Car si on se contente de ce qui a un temps suffi à nos aveugles, on restera perplexe, toujours dans le doute, religieux ou très pieux peut-être même, mais sans connaître Dieu - il y a des multitudes de tels croyants ! -.

Cette invitation à chercher Dieu, c'est ce que Jésus dit à une samaritaine - cette femme mal-vue par ceux qui la "connaissent" mais bien vue par Jésus qui lit l'abaissement provoqué par son opprobre et son coeur sans espérance... mais encore resté ouvert (enseignable) : "Vous adorez ce que vous ne connaissez pas ; nous, nous adorons ce que nous connaissons, car le salut vient des Juifs.23 Mais l'heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité ; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. 24 Dieu est Esprit, et il faut que ceux qui l'adorent l'adorent en esprit et en vérité.".
Lire aussi l'histoire de Nicodème, ce grand maître religieux qui ne savait pas comment être mis dans une relation de salut éternel avec Dieu.   

Sachant bien de quoi nous sommes faits spirituellement - trois fois rien au plan de la conscience des mondes divin et spirite -, voilà ce que Dieu a fait pour nous faciliter la tâche (mais attention, il ne fera jamais tout à notre place !) : Dans ce paysage contrasté et malaisé de la croyance, rendu obscur par nos myopies ou cécité, par des reflets et aveuglements divers, des suppositions, des préjugés, des égarements…, quelqu'un donc cependant parut comme voyant !

Plus encore, Celui-ci dit être lui-même "la lumière du monde" ! C'est-à-dire quelqu'un qui éclaire de sa personne et de sa voix la nuit - nos nuits - pour en faire un jour (nouveau). Car (l'a-t-on compris ?) notre cécité vient et tient d'une nuit spirituelle*** dans laquelle on naît et se meut en permanence, même sous plein soleil, sans plus s'en rendre compte que nous tournons avec la terre sans cesse sur nous-mêmes.
Une nuit subjective généralisée, en nous, survenue lorsque dans le premier jardin de la terre (alors paradisiaque) nos premiers ancêtres sortirent du dessein lumineux ouvert de l'Éternel-Dieu pour entrer dans un ordre chaotique enfermant (qui jusque là n'avait été un m
al que dans les sphères célestes - spirituelles).

 "La lumière se lève dans les ténèbres pour les hommes droits, Pour celui qui est miséricordieux, compatissant et juste.5 Heureux l'homme qui exerce la miséricorde et qui prête. Qui règle ses actions d'après la justice.6 Car il ne chancelle jamais ; La mémoire du juste dure toujours.7 Il ne craint point les mauvaises nouvelles ; Son coeur est ferme, confiant en l'Éternel.8 Son coeur est affermi ; il n'a point de crainte, Jusqu'à ce qu'il mette son plaisir à regarder ses adversaires.9 Il fait des largesses, il donne aux indigents ; Sa justice subsiste à jamais ; Sa tête s'élève avec gloire,10 Le méchant le voit et s'irrite, Il grince les dents et se consume ; Les désirs des méchants périssent."

à suivre...

_____________
* Ce passage du Dieu Réel dont on a entendu parlé à ce qu'on le voit (par perception psycho-spirituelle) est l'expérience essentielle de Job...
** Le contenu des songes - que je distingue des rêves, des visions ou autres expériences cauchemardesques – réclame une compréhension que Dieu peut donner à la suite (quand on lui demande) ou une personne qui en a (réellement) reçu le don d'interprétation.

*** La Bible dit que la terre un jour a été plongée dans des ténèbres qui ont changé l'organisation paradisiaque en... ce que nous connaissons. Au moment où l'homme créé pour en être le souverain se soumit à Satan (aussi appelé Lucifer, le Démon ou le diabolos pour dire adversaire, ou encore figuré par le Prométhée grec...), un ange déchu, un puissant esprit invisible à nos yeux mais dont les agissements se reconnaissent à l'oeil nu. Il s'était d'abord asservi un serpent (l'animal des champs alors le plus rusé) pour approcher et tromper et devenir la tête du genre humain.

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1 mars 2017 3 01 /03 /mars /2017 19:15

(suite de : ici)
...
Il se fit un silence.
Puis le quatrième prit la parole :
- Moi j'ai entendu qu'il a plusieurs trous ! Certains chez moi disent qu'un ancien l'a vu comme personne, face à face. Puis d'autres encore à la suite. Il a sept trous l'Éléphant. Mais surtout il a deux cornes.
- Ah bon, c'est nouveau ! Jamais entendu parler de cornes moi !
- C'est comme ça. Avec une plus grosse que l'autre. Voilà, je ne vous en dirais pas plus... Juste que si on oublie de l'Éléphant une distinction aussi importante, on ne peut pas dire qu'on sait de quoi on parle !

Le dernier qui m'avait pas encore parlé, en avait maintenant assez et coupa court à tout autre échange :
- Permettez-moi de ne pas vous suivre, et de vous dire ce qui pourrait nous mettre tous d'accord. On sait bien qu'en notre monde il y a dans tous les domaines des imitations, des usurpateurs, et bien sûr il n'y a des faux que parce qu'il y a le vrai.... Rien d'étonnant à ce que des populations entières croient n'importe quoi sur l'Éléphant comme sur le reste. D'autant que bien des paroles sont très anciennes et ont pu être déformées au fil des siècles.

- Moi ça me sidère qu'on ait ainsi des informations qui parfois s'accordent, et d'autres fois qui n'ont plus rien à voir !
- Je suis bien d'accord ! Mais je suis en train de me dire que si on ne s'était pas rencontrés, on aurait pu chacun continuer à croire quelque chose dans notre coin... peut-être de vrai, mais peut-être aussi de faux !
- Vrai ou faux, oui That is the question ?
(Nde : c'est là la question)
- A ton tour donc de parler, toi qui nous laisse déjà entendre que la vision que tu en as reçue est plutôt bien différente !
- Si quand même, j'ai le trou en commun avec vous deux.
- Ahhh !
- Mais pour le reste... C'est que l'Éléphant ne peut être que complexe à nos yeux
(Nde : si on peut dire)... Et vous savez bien qu'on ne fera jamais des unanimités sur rien d'important ici-bas.
Donc pour la majeure partie de ceux de la fédération d'États d'où je viens, celui qui rapporte le mieux ce qu'il en sait a écrit des cents et des cents pages, en direct de son expérience révélatrice et encore d'autres éléments plus anciens compilés. C'est pourquoi on reste attachés à son livre... Aussi parce qu'il y a une malédiction annoncée sur quiconque y change quoi que ce soit ou veut en sortir.
- Tellement c'est vu comme sacré !
- Oh toi n'idolâtre pas l'homme - ou une femme - ou un écrit ! Vas-y, raconte !
- Tu as raison, reprit le premier qui se sentait depuis un moment plutôt largué avec sa vue arboricole de l'Éléphant ! C'est trop bête de rester entre tous, si longtemps dans quelque chose qui ressemble au niveau de toute la planète... à des divisions ! De vrais empêchements à s'entendre...
- Alors voilà ce qu'il est bon d'en dire : l'Éléphant étant le plus gros, il est très difficile de lui trouver des ressemblances parmi tout ce que nous connaissons couramment.
- Écoute tu parles maintenant sinon c'est que tu n'as rien à dire ! Moi je crois pas aux mystères ! Faut pas chercher à me tromper en me disant maintenant qu'on ne peut pas savoir !
- Chutttt ! Calme-toi : il va parler.

- Voyez-vous une feuille d'arbre ?... Alors imaginez-là immensément grande, puisqu'on dit que les deux bras étendus, montés sur la pointe des pieds, et peut-être même montés sur une échelle, on ne peut pas en faire le tour.
Il ne faut donc pas confondre arbre et feuille... Il y a bien sûr un point commun - étant entendu qu'il est important quand même d'arriver à une unité de vue -, mais attention ! Avoir un seul point commun n'est pas significatif... Bref, au delà de l'image de la feuille, on peut encore comparer l'Éléphant à la voile d'un voilier, flottant un peu comme elle... Il y a un groupe parmi nous qui prend l'image de la feuille du chou cabus pour se le figurer et mieux l'aimer.
- Je ne connais pas l'histoire du chou qu'a bu ni la feuille qu'il a écrite...
- Laisse tomber, moi je vois ce que c'est une voile. Continue...

- C'est souple donc et plat mais pas d'un seul aplat ; avec des décrochements, comme des nervures, pas mal de grands reliefs. Et il paraît qu'il y a quelque part dans ce vaste espace... un trou noir ! Là on est bien d'accord. Un trou donc qui semble bien aller... vers l'autre côté.

 

Chacun s'était exprimé, et la foi de tous avait un peu de plomb dans l'aile...quand le quatrième aveugle brisa le silence :
- Moi je sais que j'ai raison ! L'Éléphant est ce que je vous ai dit. Et s'il n'y a pas plus de personnes qui viennent spontanément à cette vue, il faudra de toutes façons... que la vérité s'impose !
- J'ai entendu que dans certains pays - et peut-être dans tous - il y a comme des foires d'empoignes pour imposer sa vue. Maintenant je le vois.
- Ne dramatise pas ! On va bien trouver un moyen de coller des morceaux !...
- Il faut enlever où ça pue, ça en dérangerait trop...
- Et si plutôt on cherchait plus de vérités sur l'Éléphant ! On aurait tous à y gagner, car il y a certainement chez les uns ou chez les autres de bonnes choses
- Comme aussi des mauvaises, l'interrompit le premier ! Chez nous on ne parle pas du trou noir. Mais on entend que par ce trou l'Éléphant tire des balles puantes ou tuantes je ne sais pas, et ceux qui disent cela se mettent à faire la même chose sur ceux qui ne voient pas comme eux.

Il se fit un assez long silence....
Puis l'un d'eux dit calmement :
- Et si tout ce problème venait seulement de ce qu'on reste tous aveugles... par rapport à la vérité !?...

À suivre...
 

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27 février 2017 1 27 /02 /février /2017 19:12

Est-ce qu'un éléphant ça trompe énormément ?...
Est-ce qu'il suffit qu'une chose (ou une personne) soit grooooooosse pour qu'on la voit (correctement) ?...
Et donc avec Dieu ?...
> Tentative de compréhension des religions - à la portée normalement de tous :

Voilà cinq hommes aveugles de naissance nés en divers points de la  planète? Un jour, au hasard ou conduits par le destin, ils se rencontrent sur la frontière qui sépare Athéia d'Eucuménie. Tous ont voulu savoir comment est le plus gros des animaux, l'Éléphant, et ils se racontent comment ils l'ont appris.

Au premier on avait amené un chef de sa région qui lui dit :
- Moi j'ai l'expérience personnelle de l'Éléphant ! Un jour j'ai vraiment touché l'Éléphant, pas longtemps bien sûr parce que c'est très dangereux, mais je peux te dire que la meilleure image de comparaison c'est l'arbre. Debout, droit comme lui, et avec une grosse écorce, pas vraiment rugueuse mais plissée ou bosselée.
La différence entre eux, c'est juste que l'Éléphant est bien plus vivant que les arbres, et un peu chaud.

- Mais est-ce qu'il est comme un trèèèès gros arbre ?
- Non, non ! Avec mes deux bras j'en ai fait le tour. Pour te dire ! Il m'a juste manqué de savoir jusqu'où il montait, mais bah, y a des détails qui ne sont pas importants ! En tout cas, je le connais plus que tous ceux qui n'en ont jamais touché.

 

On avait amené au second qui parla un leader de son pays capable de bien lui expliquer ce qu'est l'Éléphant :
- Pour moi ce fut très impressionnant de le toucher, lui avait-il dit. Comment dire ? Tu vois un tuyau d'aspirateur !?... Eh bien l'Éléphant, il est bien comme ça, sauf qu'il est éééééénormément plus gros ! Il est plus long que je suis haut. Il est attaché très haut au ciel, et il descend comme ça jusqu'à frôler la terre. Et pour être vivant, il est vraiment vivant, parce que de son intérieur sort un souffle : j'ai senti ce qu'est le souffle de vie qui émane de lui... Il souffle, et comme l'aspirateur il aspire aussi.
- On a du inventer l'aspirateur à son image !
- Pas impossible ! Tu observes bien toi !?... Il parait même - mais ça je n'ai pas eu le privilège d'y assister - qu'il peut souffler et aspirer de l'eau. Beaucoup d'eau !
- J'espère qu'il ne peut quand même pas nous aspirer !?... Et un autre d'ajouter :
- Mais c'est peut-être ça la mort !

L'aveugle qui avait reçu et rapporté cette description se tourna vers le premier qui avait parlé et lui dit :
- Tu comprends qu'on parle pas de la même réalité ! L'Éléphant dont t'a parlé le chef de ta région n'est pas le vrai éléphant.

L'autre est perplexe et ne répond rien : Comment aurait-il pu penser que quelqu'un avait une description aussi différente de l'Éléphant, surtout le leader de tout un pays !...

C'est alors que le troisième intervint :
- Moi je vais vous mettre d'accord les gars, ! C'est vrai que la description du tuyau est à mon avis plus près de la vérité. Parce que moi quand j'ai eu l'âge d'apprendre, un maître-enseignant réputé est venu me parler de ce qu'il avait entendu des anciens.
Chez nous ils se disent de génération en génération que l'Éléphant a une forme longue, parfois très mobile, un peu comme un fouet si vous voyez ce que c'est.

- Quand il est en colère, suggéra le second !
- Mais généralement il ressemble plutôt à un bâton, et même certains disent que la meilleure comparaison serait... le serpent.

- Avec du venin au bout, réagit le quatrième sur un ton indéfinissable (entre une semblant de curiosité et peut-être bien de la moquerie) !?
- Le maître m'a encore dit qu'à son bout, il y a comme un pinceau, une brosse ronde, comme ébouriffée, avec comme des poils très durs.

Le second se réjouit :
- Je crois que tous les deux on le décrit le mieux et on parle bien de la même réalité. Et je viens juste de penser - et ça c'est un vrai enrichissement - qu'il doit y avoir des moments où le bâton se gonfle - on a ce qu'il faut nous les hommes pour comprendre cela -, et alors il devient cette sorte de tuyau qui peut souffler ou aspirer.
- Ça tient la route, réagit le quatrième, d'un ton quelque peu goguenard !

Le troisième ajouta encore une précision :
- Certains ajoutent qu'en suivant ce... ce bâton-serpent, on finirait par arriver à un trou en dessous, et tout autour c'est une énorme sphère, comme une sorte de terre, dont on ne peut atteindre que la base...
- C'est normal, nous on est homme, et lui il est éléphant !
- Après, d'autres de chez nous, plus érudits peut-être, en tout cas sentant plus les subtilités, disent qu'en approchant de ce trou, ça sen...tirait plutôt bien mauvais. Moi j'ai du mal à le croire, on nous dit tant de choses méchantes sur tout...

Il se fit un silence.

Puis le quatrième prit la parole :

à suivre...

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21 février 2017 2 21 /02 /février /2017 16:52

une suite de la série 200 000 lois - 10 commandements commencée ici.


On est tous des êtres abîmés, plus ou moins dégradés et dégradants, blessés, chargés, addicts, amorphes ou révoltés...

 

Pour une santé émotionnelle assainie > Cette série de (courtes mais puissantes) vidéos a été conçue plus directement pour ceux qui sont déjà (devenus) enfants de Dieu (chrétiens). Mais je pense et je crois qu'elle peut être aussi un pied mis à l'étrier pour quiconque
- cherche Dieu
- et/ou une meilleure insertion personnelle dans ce monde,
- ou encore veut sortir d'un mal-être éprouvant, d'une sorte de prison difficilement identifiable, faite de diverses blessures émotionnelles et/ou d'émotions négatives : rejet, non-pardon, frustration, insatisfaction récurrente, haine, dépréciation de soi, etc, etc...
comprenant bien que le meilleur des psy (de psûké, âme en grec), c'est le créateur des âmes, des corps et de toutes choses. Qui est mieux placé que le constructeur d'une voiture (d'un avion ou de n'importe quelle machine) pour en réparer les avaries ? Au mieux, nous être humains, pouvons être des pédagogues - dans le sens étymologique du grec, de "celui qui conduit au maître", "celui qui accompagne sur le chemin de l'école"...
Bonne écoute, et implication.

Pour une santé émotionnelle assainie

Pour une profonde réconciliation avec Dieu

Soyez béni-e.

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18 février 2017 6 18 /02 /février /2017 17:31

Suite d'ici

"Le pays est rempli d'idoles ; Ils se prosternent devant l'ouvrage de leurs mains, Devant ce que leurs doigts ont fabriqué." Il en résulte (chap. suivant) : "Je (dit l'Eternel-Dieu) leur donnerai des jeunes gens pour chefs, Et des enfants domineront sur eux.5 Il y aura réciprocité d'oppression parmi le peuple ; L'un opprimera l'autre, chacun son prochain ; Le jeune homme attaquera le vieillard, Et l'homme de rien celui qui est honoré.6 On ira jusqu'à saisir son frère dans la maison paternelle...
(Les capitales) s'écroulent, Parce que leurs paroles et leurs oeuvres sont contre l'Éternel, Bravant les regards de sa majesté.9 L'aspect de leur visage témoigne contre eux, Et, comme Sodome, ils publient leur crime, sans dissimuler. Malheur à leur âme ! Car ils se préparent des maux.10 Dites que le juste prospérera, Car il jouira du fruit de ses oeuvres.11 Malheur au méchant ! il sera dans l'infortune, Car il recueillera le produit de ses mains.12 Mon peuple a pour oppresseurs des enfants, Et des femmes dominent sur lui ; Mon peuple, ceux qui te conduisent t'égarent, Et ils corrompent la voie dans laquelle tu marches."

Sommes-nous loin de ce temps ? (sachant que l'histoire des civilisations se répète, d'autant qu'on n'en tire pas les leçons qu'elle contient... d'autant qu'on n'a pas la Bible ouverte pour y lire l'essentiel de notre nécessaire au meilleur présent et devenir...

C'est au point où, est-il encore écrit, ch. suivant : "Et sept femmes saisiront en ce jour un seul homme, et diront : Nous mangerons notre pain, Et nous nous vêtirons de nos habits ; Fais-nous seulement porter ton nom ! Enlève notre opprobre !" Réalisez-vous ce qui est écrit là en rapport de notre présent le plus immédiat !?...

Voilà l'avenir que la gente féminine se produit en montant comme elle le fait actuellement aux créneaux des pouvoirs : des médias, des plus grosses entreprises, de la politique, jusque (par mimétisme induit) dans leurs maisons, souvent en méprisant les hommes jugés trop lents ou inconsistants !
C'est au point où la plus belle relation que Dieu ait conçue en faveur du genre humain est changée en un fiasco qui n'a pas fini de déborder de ses dérives, outrages et calamités...

Ici comme dans bien des relations, on commence par la période rose. Puis on entre dans la période grise - car on n'est toujours fondamentalement faits que de notre nature adamique abimée, et il faut un vrai travail spirituel
- pour ne pas s'engueuler ou se frapper (et plus d'une femme frappent maintenant violemment "leur" homme avec une force surhumaine : qu'est-ce donc ?...),
- pour ne pas divorcer,
- pour ne pas avorter la conséquence de rapports intimes basiquement égocentrés,
- pour ne pas abandonner ses enfants ou leur infliger nos déchirures...
Voilà vers quoi s'acheminent les femmes qui suivent et forment ce courant de désunion des genres, qui se trompent elles-mêmes en se revêtant d'attributs masculins (notamment d'autorité), croyant par là trouver la clé de ce qui fait une femme à la hauteur - aux yeux de qui ? -, forte et égale à leur alter-ego masculin..
Des temps noirs arrivent pour les femmes qui croient au discours ambiant de la parité tous azimuts, qui enfoncent les hommes - déjà mal en point - au lieu de chercher comment être une aide efficace à leur côté : Entre noir et bleu - si on fait entrer Jésus dans notre barque - il y a un espace pour le choix le plus conséquent de toute la vie.


Le plus grand sage que la terre ait porté (dixit la Bible) a écrit : "Vanité des vanités, vanité des vanités, tout est vanité." Et d'autres ont dit que l'orgueil précède la ruine (ou la chute)... Depuis la construction de la 1ère Tour de Babel il y a quelques millénaires jusqu'à aujourd'hui (où le parlement européen de Strasbourg a été construit symboliquement à l'image de la même Tour inachevée...), l'homme - et la femme - qui s'élève finit toujours par être abaissé : Icare se brûle toujours les ailes et tombe...

Bref, où est parmi la confiance, la détente, le débonnaire à qui Jésus promet qu(il héritera la terre ? Où est la confiance dans les rues et dans les maisons, parmi les adultes et parmi les enfants, ce minimum sans quoi les relations ne peuvent se construire de manière durable pour le bien commun ?
Échaudé(e)s, blessé(e)s, abusé(e)s, violenté(e)s, méprisé(e)s, trompé(e)s... sans jamais être guéri(e)s par Le seul qui sait vraiment le faire, nous entrons globalement en manque de confiance. Parce que nous sommes déjà depuis longtemps entrés dans le manque de foi (foi et confiance ont la même racine), sortis par les discours ambiants impies de la foi qui établit une relation et paix avec Dieu (le vrai, pas la créature angélique qui veut et arrive à se faire passer pour Lui aux yeux d'un grand nombre).

C'est pourquoi tout ce qui arrive, et tout ce qui va arriver de plus en plus terrible, toutes les ruptures, tous les déferlements, les déchirements... tout a un sens : celui de nous faire tourner vers - ou revenir à - Dieu et à Jésus sans qui nul ne peut venir au Père. (Jean ch. 14, vers. 6 - 1Timothée 2.5).

L'augmentation des solitudes intérieures malgré les copains et les foules, les pressions croissantes
- pour nous faire croire que le ciel est rouge (et n'a jamais été bleu),
- que tous les hommes sont bons et faciles à vivre (alors que rien n'est plus délicat que la relation humaine rapprochée),
tout le mal qui s'accumule comme des nuages chargés de tempêtes, tout cela n'a pour fin que de nous aider à venir à Celui sans qui on est tous des vivants-morts - qui un jour deviennent des morts vivants (mort physiquement mais vivant psychiquement)... Et pour devenir quoi encore ?...

Voir que notre vie n'est qu'un prêt, un CDD, devrait nous aider à chercher la vraie vie, qui déjà apporte pour l'immédiat un repos, une paix intérieure - que seul le pardon de nos dérives peut nous obtenir -, et pour l'éternité qui offre à la foi un avenir sans ombres dans une nouvelle création (Apocalypse 21) (celle-ci étant irrémédiable irrécupérable).

Voilà pourquoi quand on ne peut plus faire confiance à tel ou telle des humains, on peut encore trouver à s'appuyer sur Le Tout-Autre ! Il n'est jamais très loin de tout ce qui arrive, incognito, sans superbe mais attentif et pouvant à tous moments intervenir, se faire reconnaître... pour peu qu'on aspire à trouver de la détente dans nos relations.

Lecteur et lectrice, place ta confiance - une confiance qui peut devenir dans le temps toujours plus totale - en Celui seul qui a la capacité de ne pas nous/te décevoir.
Il peut aussi, dans une nouvelle relation avec lui, nous guérir de nos déceptions, refaire notre coeur éteint ou mis à l'envers, nous amener à une vue plus juste du Réel, nous sortir d'une mauvaise voie empruntée...

Guide de prière pour venir à Dieu
Un chant ou un autre

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14 février 2017 2 14 /02 /février /2017 12:13

Quand Moïse descend du Sinaï (après 40 jours) avec les Tables de la Loi gravées du doigt de Dieu, il trouve le peuple vautré dans l'idolâtrie (il se sont donnés pour Dieu un veau en or), la débauche, l'hystérie collective (une mauvaise gestion de la liberté que Dieu vient de leur être accordée) :
1/ Il en brise les tables, mouvement de colère immédiate qui dit aussi (de manière prophétique) que les lois bonnes (qui font la religion) de Dieu ne prévalent pas - sont sans force - contre les forces malignes qui nous habitent dès lors qu'on est bien et livrés à nous-même, et
2/ il doit remonter en faire graver tout à nouveau - car ces lois malgré leur impuissance à s'imposer à nous par elle-même, ne sont pas faites pour disparaître mais pour traverser les âges comme un miroir qui montre à toutes les générations combien on est incapables par nous-même de tenir dans le bien...

 

On a commencé par 6 règles fondamentales de réglage de nos relations horizontales; dont le respect suffirait à transformer totalement chaque visage humain et l'âme de de planète : paix, amour et joie par absence de guerres, de meurtres, de manipulation, d'animosité, d'abus, de jalousie, de mépris, de calomnie, de haine, de querelles, de tromperies, etc...

Avec le 4e commandement, on a aussi compris que le Créateur nous a pensés et disposés non pour que nous nous épuisions dans des activités incessantes - ce qui se produit bien souvent -, mais pour que nous gardions la maîtrise de nos agissements, que la paix intérieure reste le fond de notre existence. C'est un respect de soi, préliminaire au respect des autres.
Jésus résumera ces 7 commandement plus tard  en un seul : Aimer son prochain comme soi-même.
Et puis, dit-il là, le premier de tous les commandements consiste à "aimer Dieu de tout notre coeur (affection), de toutes nos forces (corporelles quand on a à se bouger pour cela), de toute notre pensée (voir ici), de toute notre âme (nos aptitudes psychiques).
Ainsi commencent dans la même idée spécifique aux deux alliances (consécutives) les 10 commandements, guide pour une relation possible avec le Dieu connaissable :
1 Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face.

2 Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, l'Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu'en mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements.

Tu ne prendras point le nom de l'Éternel, ton Dieu, en vain ; car l'Éternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain.

1 - Dieu dit qu'il est essentiellement Un (même pluriel en lui-même, chacune des réalités qui le forment sont dans une telle unité qu'il n'y a pas de division possible autre que les personnes qui le constituent). Ainsi mettre sur un même plan d'autorité divine des dieux distincts est un vrai danger - car on prend alors pour Dieu véritable rien moins que des créatures qui sont entités démoniaques, satanisées : Dieu ou déesse des sources ou des rivères, des montagnes, de la fécondité, des habitations, des déplacements, de telle ville ou profession ou communauté...

2 - D'autre part, la possibilité de se donner pour autorité prioritaire des faux-dieux matériels ne manquent pas : outre l'argent, le sexe, le pouvoir, le travail, un sport, la télé, les jeux (vidéo et autres), portable, collections, animal, musique, cinéma, lecture...., on peut donner forme (faire des représentations visibles) à des concepts comme à des esprits - et comme à Dieu même, qui ne demande jamais cela.
Presque tout peut ainsi devenir ce dieu qui oriente par dessus tout l'occupation de notre temps ; qui est plus fort que le tort qu'il cause dans nos relations ; qui vide notre compte bancaire au-delà du raisonnable ; qui phagocyte notre pensée ou nos mouvements...
On parle de passion ; Dieu parle d'idolâtrie, d'iniquité, de se rendre odieux à ses yeux. Sans parler d'addiction et d'ouverture à la main mise sur notre existence de tel esprit maléfique (à l'origine de la manoeuvre ou qui la rejoint) dont la sur-venue va rendre tout catastrophique (en nous et dans notre relationnel)...
On a du mal à imaginer l'offense que c'est pour Dieu le créateur et rédempteur capable des plus grandes prouesses pour nous, que nous puissions trouver plus d'intérêt, plus d'affection, plus de consolation, plus de sécurité, plus de confiance... dans un objet en bois devant lequel on se prosterne, dans une collection de timbres ou d'armes, dans une idole (de la chanson ou du cinéma...) qui n'arrive pas elle-même malgré son argent et sa gloire à trouver la sérénité ou un bonheur qui dure (jusqu'à parfois se suicider elle-même)...
Peut-on comprendre que Dieu est une personne comme nous, avec des capacités de puissance et de sagesse, mais aussi de sentiments, d'émotions (le plus court verset de la Bible : Jésus pleura). Que le Dieu créateur est jaloux de l'amour qui peut se développer entre lui et nous ses créatures ; jaloux parce qu'il sait que toutes nos infidélités répétées, établies, à ses commandements, sont des injustices qui ouvrent directement accès à Satan, à ses démons, jusqu'en nous, tuant la vie spirituelle (de Dieu) en nous, créant la peur et le trouble dans les relations (même les plus sincères et amoureuses ou profondément amicales entre nous). C'est ainsi que la vie amoureuse des stars ne sont pas plus durablement magnifiques que celles de tout un chacun. Des fortunes même peuvent se défaire en une nuit, sur un choc imprévu qui vient casser notre continuum réussi.. On y perd le sentiment, le souvenir, la réalité de notre identité primordiale de créature, et jusqu'au sens de notre responsabilité personnelle devant Dieu et les hommes. Perdant Dieu, on perd l'essentiel : la capacité qu'il nous offre d'accéder à son éternité de vie, de paix, d'amour, de joie, d'activités, de réalisations et de relations heureuses (Galates 5.19,22).

Ce 2ème commandement dit encore que la soumission à des faux-dieux imprègne tellement notre nature profonde que le travers, les attirances et handicaps qu'elle produit se transmettent génétiquement et/ou psycho-génétiquement sur 3 et 4 générations après nous. On appelle cela des déficiences, des pertes d'informations génétiques, ou des "liens d'âmes" voire d'autres entraves qui peuvent créer des anomalies terribles..

Tout cela pour dire que la simple acceptation des 10 commandements inscrits (deux fois) dans le Ténak (Bible hébraïque ou Ancien Testament) et/ou les 2 commandements par lesquels Jésus synthétise nos rapports à tous les autres, ferait de la terre un paradis - ce qui fut à l'origine. Acceptation par les nations ou groupements de nations comme lois civiques, éthiques, morales, qui n'auraient au final à être adoptées par seulement quelques centaines ou milliers de personnes !
Mathématiquement et rationnellement, ce serait possible. Cela aurait pu être depuis des millénaires.
Mais voilà : cela vient de Dieu et fait référence à sa réalité, c'est-à-dire formalise sur nos personnes que nous ne sommes pas les maîtres du monde, seulement des créatures. Et beaucoup préfère l'illusion d'être libres aux nombreuses bénédictions qu'il y a à être reliés à Dieu.
Ce n'est pas logique, et presque incompréhensible, si on ne connaît pas deux des plus fortes réalités actives dans nos univers humains :
- La force majeure qui habite notre psychisme - qui est nous sans être vraiment nous...,
- et une autre tout aussi redoutable - et parfois beaucoup plus - qui se meut spirituellement sur la terre (de manière immédiatement invisible) tout comme nous-mêmes la peuplons physiquement (visible) et psychiquement (invisibilité de l'âme en nous) : le corps des anges déchus ou démons.

à suivre...

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9 février 2017 4 09 /02 /février /2017 20:40

L'éducation - et pas d'éducation sans morale ! - est le moule de notre socialisation de base. Son importance tient de ce qu'on est des êtres de et en relation, et de ce que notre environnement n'est pas que matériel... et terrestre.

Il y a une similitude avérée entre notre nature adamique (actuelle, qui n'est pas à l'image de notre création originelle) et celle des anges qui sont sortis des libertés bonnes dont ils bénéficiaient originellement (devenant par là ce qu'on appelle des démons). Ce sont les raisons pour quoi
1 - se trouvait au milieu du jardin d'Eden l'arbre de la connaissance interdite (celle du mal, le bien baignant toute la re-création terrestre dont parle le 1er chap. du livre biblique de la Genèse) - pour que les premiers êtres humains interpelés par cette interdiction pose la question à Dieu, qui leur aurait répondu... et
2 - un code de lois (formant religion et bien plus, avec des lois sanitaires, civiles, pénales... on pourrait dire une Constitution) fut donné (au départ par les anges via Moïse, ce qui forme pour les juifs la Torah, pour le reste du monde le Pentateuque ou 5 premiers livres de l'Ancien Testament), comme moyen pour connaître ce qu'il faut faire et ce qu'il ne faut pas faire pour échapper à la main mise des démons sur nos existences. En tout 613 lois très diverses dont les 10 commandements - les seuls gravés dans la pierre, pour marquer leur caractère immuable (et donc toujours actuel) - dont voici maintenant les 5e, 6e et 7e :
Honore ton père et ta mère afin de vivre longtemps dans le pays que l'Eternel, ton Dieu, te donne.

Tu ne commettras pas de meurtre.

Tu ne commettras pas d'adultère.

Ces 3 nouveaux commandements règlent ce qui ne doit pas advenir dans les relations humaines si on ne veut pas donner accès au milieu de nous à des démons. Certains se sont spécialisés dans des domaines spécifiques de perversion et d'asservissement, usant de leurs possibilités d'influence (formant tentations) et profitant de nos propres dérèglements pour se greffer sur nos âmes. Cette relation des démons à nos personnes peut aller de pensées séduisantes à la possession.

Apprenons à lire avec réflexion ou méditation sur toutes les conséquences qui découlent - et sont sous nos yeux - du non-alignement de l'éducation donnée à nos enfants, et donc de nos comportements d'adultes mal ou inéduqués, rien qu'à partir de ces 3 commandements, de ces quelques mots. Pensez aux souffrances que vous connaissez, en vous-même ou dans votre entourage, qui résulte de l'inobservation de ces 3 instructions...
Et comprenez comment Dieu ne cherche pas à nous frustrer ou brider de manière sadique mais à nous donner les moyens de résister à l'emprise de hordes d'esprits mauvais, vicieux, trompeurs, méchants, inhumains... pour ne pas leur remettre ce qui reste de notre souveraineté déjà tellement malmenée...

à suivre. Soyez béni-e.

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27 janvier 2017 5 27 /01 /janvier /2017 19:25

 

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Voit-on toujours ce qui est ? Ce qu'il y a à voir ? Percevons-nous partiellement ou en totalité ce qu'il y a sous nos yeux ?

La dimension spirituelle et ses réalités tiennent de ce visage caché derrière ou par celui que nous voyons !
Voyez-vous la jeune femme, et vous ne voyez pas la vieille ! Ou vice-versa... alors même que les deux existent en même temps...

Le point tant recherché d'égalité entre homme et femme s'est vite avéré être un point virtuel, imaginaire, utopique. On a confondu ÉGALITÉ et ÉQUILIBRE ! Et l'impossible ne se faisant pas (assez vite aux yeux des partisans lobbyistes) on a même changé le nom du concept : d'égalité on est passé à PARITÉ... juste pour mieux basculer dans un nouveau déséquilibre - féministe, opposé à celui dit machiste - , où le mâle n'a plus trop à dire, relégué un pas au moins derrière la nouvelle autorité (un peu comme le Prince Philip derrière la Queen).

Comme c'est à ses fruits qu'on juge d'un arbre, objectivement quels meilleurs fruits a-t-on vus paraître du 50-50 dans les rangs politiques, notamment dans l'aile qui poussa fort à ce remaniement des mentalités et qui a(vait) le pouvoir national suprême (gouvernemental) ? Quelle victoire économique sur le chômage ? Quelle victoire sociale pour la stabilité (paix) dans les couples et familles - cellules primordiales, de base de la société - ?... Car oui on a vu monter des femmes - ministres, chef de grandes entreprises, jusqu'à la tête du FMI ! - mais pour quels résultats ? Pour quelle croissance ? Pour quelle justice accrue, pour quelle paix intérieure (sociétale et des ménages) ?…
Les femmes sont de plus en plus souvent à l'origine des divorces aujourd'hui - et les enfants - quand ils peuvent naître - ont de plus en plus des images composites là où l'unité familiale devrait former dans les jeunes âmes le modèle de leurs vies futures. Comme bien des parents laissés sur le carreau, beaucoup d'enfants "ne savent plus où ils habitent" ! Avec les portables, les jeux vidéos deviennent leur drogue (douce, au départ, comme ailleurs)** !

Ainsi vit-on apparaître - mais ce n'est pas un luxe pour l'homme ni pour la société - en peu de mois, le retournement des pôles sexe (masculin/féminin) ! Une présence féminine massive - pour le coup plus paritaire du tout - notamment dans un secteur déterminant des influences : les médias. Sans même chercher à compter, il faut être bien aveugle pour ne pas voir que "le second sexe" est largement le plus représenté, visible, actif, sur toutes les chaînes tv - attention aux chaînes, ça peut facilement enchaîner ! **-, à tenir les manettes ou tirer des ficelles... Et maintenant pas question de revenir là à la parité pour que des hommes retrouvent leur place ! De ce côté-là la solidarité et l'équité ne sont pas de mise*.

Le problème majeur dans cette affaire, c'est que le nouveau déséquilibre permet aux démons de tous nous déstabiliser, permet à Satan d'imprimer sur nos âmes toujours plus de sa nature (arrogante, manipulatrice, asservissante, perverse et/ou méchante...), jusqu'à nous faire devenir des réalités "à leur image"... au lieu que nous soyons restaurés et développés "à l'image de Dieu". Heureusement - et c'est tout le sens du mal permis -, le gain majeur de cette affaire, c'est que l'être humain "au bout du rouleau" (qui se veut concasseur des équilibres divins - que d'aucuns déclinent -faute d'en savoir mieux sur le Réel- sous le nom de dogmes judéo-chrétiens !) peut trouver Jésus, le Dieu fait homme capable de le (nous) comprendre, accepter, protéger, aider comme personne....

Mais qu'est-ce qui a fait ce retournement des sexes ?
Re 1 - Une volonté démoniaque de détruire l'homme et la femme dans l'équilibre qui fut à l'origine de leur création respective. Démoniaque parce que cela ne fut pas le fait, ni la pensée d'un seul homme ni de quelques femmes influentes. Au plan humain, on n'est qu'au niveau des exécutants, des inspirés, des transmissions d(e mots)'ordres, des écritures - plus automatiques que bien réfléchies, et quand il y a réflexion, c'est à partir d'une base inculquée qu'on n'a pas éprouvée…

Une déviance qui s'est développée au fil de quelques générations, en rapport de ce que nous nous éloignions de Dieu et de ses ordonnances pour notre sécurité et meilleur-être.
Re 2 :
L'élévation de la femme tient au plan humain, - par-dessus (ou par-dessous) un travers machiste immanent et rémanent -, du laxisme de l'homme(mâle) et/ou de son obsession du plaisir phallique. En effet il semble que la sexualité soit chez l'homme un déréglement plus généralisé que chez la femme, dont le basculement du non-besoin à l'addiction tend à affecter diverses capacités chez lui : intellectuelle et physiologique, dont l'impuissance est un des effets ultimes (psychosomatique), - comme aussi le sida -, normalement un et des signes qui interpellent pour tourner les yeux en amont - vers les causes -, plus qu'on ne cherche à entrer dans le désir de trouver des solutions en aval - des contre-effets…

Le temps présent montre la et les places toujours plus nombreuses et importantes adoptées par la gente féminine, qui les mettent dans la position où était la première "mère des vivants" (étymologiquement Eve) devant l'arbre de la connaissance du Bien et du Mal. Arbre dangereux de la connaissance morale, car ni l'homme ni la femme ne possède en eux-mêmes la capacité, le discernement, qui leur dirait ce qui est bien et ce qui est mal. (à ce sujet le texte biblique plein d'enseignements qui informe sur la première chute humaine).

En ce sens nous sommes bien des êtres finis mais incomplets, à construire dans toutes nos dimensions possibles - corps, âme et esprit - avec et par notre environnement immédiat (physique et psychique, parfois spirituel), mais encore avec et par Dieu lui-même (et ses enfants spirituels), sans quoi on est construit comme… des unijambistes ! (avec une âme qui se développe trop et/ou mal, et un esprit qui reste comme une jambe atrophiée à inexistante).
Plus nous nous construisons ainsi nous-même (en comité
s humains, càd sans discernement du Réel effectif, ou même en relation avec des forces occultes), plus nous nous mettons en danger - d'être frappés ou manipulés notamment) - ; nous perdons des libertés au profit de (et par) telle ou telle dépendance (connues comme telles ou même pas discernées)... Notre méconnaissance de Dieu induit notre "méconstruction" perso et sociétale, avec des crises allant crescendo jusqu'à un paroxysme... qui vient.

La femme montée au pinacle, rendue forte, artificieuse(ment) autant qu'audacieuse(ment), (piège que l'église catholique depuis longtemps n'a pas su éviter, élevant l'exceptionnelle Marie qui enfanta Jésus à un plan où Dieu ne l'a pas mise), se met en danger car en première ligne devant Satan, le tentateur rusé, le séducteur perfide - et/ou celui qui rugit pour dominer par la peur.
La force dont elle se revêt
(par des enseignements séduisants et des capacités réelles mal employées) consiste en un attribut masculin, ce qui l'expose d'autant plus qu'elle cède dans l'abandon des attributs féminins - ceux-là même qui ne s'apprennent pas, mais que la petite fille (comme, de son côté, le garçon brut qui ne se laisse pas faire par les filles) a manifestés si naturellement et génériquement au fil des siècles…

De là on peut s'attendre à voir le Malin et ses démons désorganiser toujours plus les sociétés par les femmes. Bien sûr sous couvert d'arguments-massue : de droits, de droits et de droits... de liberté, de liberté, et encore de liberté... de progrès, de progrès, et de progrès… d'égalité, de parité et de parité… le tout dans la conscience trompée - tronquée - qu'une civilisation à inventer - en opposition à ce qui fut - sera toujours mieux que celle d'où on vient (dite judéo-chrétienne). Quel leurre ! Quelle bévue ! Quelles gifles (encore) va-t-il falloir pour nous remettre la tête et les sens à l'endroit !


En général une mauvaise voie commence par un coup d'éclat, comme sonne une (nouvelle) trompette ; un tollé en résulte, puis c'est une lente asphyxie ou accoutumance qui prépare l'assentiment recherché, sans bruit, à couvert, mais efficacement : les démons ont un sens et une connaissance de notre psychologie nettement au-dessus des nôtres !).
Dès lors, si ça marche par cette approche de la douce et patiente séduction, on change de paradigme quasiment sans s'en apercevoir. Mais si la résistance perdure, se montre trop durablement vivace, c'est le traité de Lisbonne ou le 49-3 qui s'impose, c'est le coup de feu quelconque ! Comme par exemple l'entrée en matière d'un être très "charismatique" (désormais femmes - vraies ou fausses - plus que mâle) ou de casseurs et/ou autres terrorismes - des corps ou de la pensé.

L'homme qui devrait veiller et combattre (mais comment le pourrait-il puisqu'il ne sait même pas qu'il y a un adversaire spirituel !) laisse alors son âme à la force et au laxisme suaves d'attributs de la féminité, pendant que la femme se revêt d'autorité propre à la masculinité : voilà, versant Laïcité, l'ingrédient du clash monumental qui vient. N'en déplaise à qui pense autrement. Car tout est question de pensée, de doctrine - voire d'endoctrinement -, d'affirmations ou de propositions qui ne s'avèrent qu'àprès-coup - puisqu'on juge bien d'un arbre, dit Jésus, à ses fruits.
Mais avant de laisser pousser un arbre, il serait bien de savoir s'il
va être bon ou mauvais !?... Ce que l'homme - ou la femme - que nous sommes ne saura jamais, mais que Dieu SAIT !
Aussi Proverbe
s 28.25 - 29.25 - 16.20 -

"Celui qui croit en lui (Jésus) ne sera pas couvert de honte".
"Qu’ils soient pétrifiés de honte, ceux qui me disent : « Ha ! ha ! »17 Que tous ceux qui te cherchent soient dans l’allégresse
et se réjouissent en toi !"
"Éternel, ta main est puissante : Ils ne l'aperçoivent pas. Ils verront ton zèle pour le peuple, et ils en seront confus ; Le feu
consumera tes ennemis."

Pour échapper à la force croissante mauvaise qui vient toujours s'opposer à des fausses conceptions, à des concepts erronés, à une idéologie ou religion mal fondée, c'est à chacun de voir si son coeur est droit, en accord au minimum avec sa conscience. De voir si c'est connaître la vérité qui nous importe, ou défendre à n'importe quel prix et par n'importe quel (sé)vice nos opinions, le système (personnel ou collectif) auquel on est attaché... comme par une chaîne (au plan psychique on parle de lien(s) d'âme).

Tout est question de croyance et de doctrines ! Philosophie athée ou spiritualiste, idéologie politique ou religion, tout est système à quoi on adhère ou pas, système juste, partiellement juste et faux, ou totalement absurde (qui fait tout trouver absurde).
Ainsi, quand Jésus dit
- "Je suis la vérité (concernant notamment la connaissance de Dieu),
- et le chemin (pour être relié à Dieu et établi en lui),
- et la vie (éternelle qu'on a à recevoir pour entrer dans l'éternité divine,
le croyons-nous ? Cherchons-nous si c'est vrai ou si c'est n'importe quoi ?

Nous positionnons-nous par rapport à une telle triple affirmation - et il y en a d'autres de la part de Jésus, le concernant -, ou laissons-nous courir comme si notre destinée personnelle (au-delà de la mort seulement physique) ne nous concernait pas, n'avait aucune espèce d'importance, ne dépendait pas plus de nous que de Dieu ???

Dieu pardonne l'ignorant et le pécheur/la pécheresse qui se repent - la repentance figurant la réalité de notre responsabilité personnelle dans les voies que nous suivons. Et il vous/nous éclaire tous d'une manière ou d'une autre - car on est siiiiiiiiiiiiiiiiii dramatiquement loin de sa vue du Réel et de nous-même.

Guide pour une prière de paix avec Dieu.

Soyez béni-e.

___________
* C'est exactement la même chose que lorsque les athées trouvèrent dans l'évolutionnisme la justification de leur impiété : Il suffisait de trouver "le chaînon manquant" (entre le singe et l'homme) pour que soit établie sans discussion possible cette doctrine cosmogonique ! Juste qu'on n'a jamais trouvé de preuves par le moindre chaînon (squelette) mis à jour.
Plusieurs falsifications par contre ont été, elles, mises à jour, tentatives trompeuses - par des pseudo-scientifiques ayant l'amour de leur justification impie plus que l'amour de la vérité ! - de produire... ce qui n'existe pas ! Mais on oublie cela et on garde quand même la doctrine controuvée comme si elle était juste, éprouvée et avérée.
** Marx aurait-il dit "opium des peuples" ? s'agissant de la tv, ou des portables...

  

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26 décembre 2016 1 26 /12 /décembre /2016 11:02

Cet article fait suite à celui ici....

B - NOURRI DE LA VIE DE JESUS
C'est tout le sens de sa mise dans la crèche - en réalité une mangeoire pour animaux - après sa naissance.
C'est un raccourci de langage que de dire que la mangeoire est notre moi ! On comprend que la mangeoire est plus précisément notre corps (physique), par quoi notre être intérieur peut être alimenté concernant ses dimensions propres (psychique et spirituelle). La comparaison, ou plus exactement la correspondance est donc juste et préci(eu)se entre ce temps de la venue dans notre monde matériel de Jésus, et ses venues ultérieures par son Esprit dans l'univers intérieur dont notre conscience personnelle est le point culminant.

Ainsi Jésus est né pour donner sa vie pour nous comme une nourriture - et il l'a fait jusqu'au bout.
Car NOUS AVONS CHACUN BESOIN D'ÊTRE NOURRI DE LA VIE MÊME DE DIEU*... si du moins nous voulons ne pas mourir de la seconde mort. Apocalypse

La correspondance donc se poursuit, qui nous est compréhensible - dans toute sa logique - au plan spirituel comme physique : après être né, le bébé a besoin d'être nourri le restant de sa vie terrestre par des aliments de ce monde. Pareillement, après être né-e de Dieu, vous comme moi avons besoin de nourrir cette vie nouvelle en nous, cette vie de notre esprit activée par l'Esprit de Dieu, ce qui est la vie éternelle, et ce qui forme le fond de notre identité la plus personnelle et durable (psychique).

Ainsi quelqu'un qui est né spirituellement, non seulement vit de la vie de l'esprit né dans son étable - nettoyé*... -, mais encore a soif et faim de nourriture solide venant du Ciel, qui correspondant à cette dimension supplémentaire de sa vie.
C'est le sens de cette parole, énigmatique pour les religieux (d'alors et peut-être encore de maintenant), que dit Jésus au chapitre 8 de l'Evangile selon Jean : "En vérité, en vérité, je vous le dis, celui qui croit en moi a la vie éternelle.48 Je suis le pain de vie... 50 C'est ici le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point.51 Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement ; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.52 Là-dessus, les Juifs disputaient entre eux, disant : Comment peut-il nous donner sa chair à manger ?53 Jésus leur dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'avez point la vie en vous-mêmes.54 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour.55 Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage.56 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi, et je demeure en lui.57 Comme le Père qui est vivant m'a envoyé, et que je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi.58 C'est ici le pain qui est descendu du ciel. Il n'en est pas comme de vos pères qui ont mangé la manne et qui sont morts : celui qui mange ce pain vivra éternellement."

 


Pour appuyer cette exhortation à comprendre et apprendre à se nourrir de Jésus, il a aussi institué un mémorial : la Sainte-Cène ou Repas du Seigneur, inaugurant cette pratique lors de son dernier repas (nocturne), qui était aussi le repas plus que symbolique de "la Pâque" : On lit cette ordonnance intemporelle ici.

C'est ainsi que Jésus va devenir l'agneau qui devait être sacrifié pour la rémission des fautes pendant la nuit de la sortie d'Egypte au temps de Moïse, ultime mouvement divin vers la rédemption de tous les hommes dont l'Eternel-Dieu - qui a de la suite dans les idées à travers les époques - avait aussi fait allusion de manière étonnante auprès d'Abraham (Genèse 22). La première expression de la nécessité d'un sacrifice rédempteur (expiation et propitiatoire envers quiconque y croyant s'en approprie les vertus) remontant à l'origine de la chute adamique : "L'Éternel-Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit." (Genèse ch. 3, v. 1 à 21)...

 

On apprend tous à manger pour nourrir notre corps. De même pour nourrir notre âme (avec ses capacités et potentialités que sont l'intellect, la mémoire, les affections, la volonté), on apprend, notamment par l'école et tous les contacts avec notre environnement physique et psychique. Et tout pareillement il faut à l'esprit en nous des nourritures qui lui correspondent pour grandir en vitalité, en foi, en amour, patience et autres attributs spécifiques à l'Esprit.

Dans ce cadre de la connaissance, on peut se souvenir de la parole toujours actuelle de Montaigne qui avertit qu'"il vaut mieux des têtes (mot qui traduit notre conscience du Réel) bien faites (ce qu'on peut traduire par équilibrée) que des têtes bien pleines (ce qu'on continue bien malencontreusement à faire...)."

Pour bien faire donc, on va se nourrir de Jésus, et ce en ce qu'il est de plus puissant en lui-même : Parole de Dieu. C'est ce qu'il est en lui-même dès avant que tous les mondes soient créés, et c'est ce qui a été donné à des hommes d'écrire de la part de Dieu. Il s'agit globalement de ce qui forme la Bible** ; mais encore de beaucoup d'autres paroles (dites, écrites ou même reçues en pensée) qui peuvent venir à nous de diverses manières de la part de Dieu : des paroles ou images essentiellement caractérisées par leur à propos.
Globalement, on va se nourrir ainsi de Jésus, directement ou indirectement, comme on trouve écrit dans le livre de la création de l'Eglise (Actes des Apôtres, au chapitre 2) : "Ceux qui acceptèrent sa parole furent baptisés ; et, en ce jour-là, le nombre des disciples s'augmenta d'environ trois mille âmes.42 Ils persévéraient
- dans l'enseignement des apôtres (pour nous le Nouveau Testament),
- dans la communion fraternelle (les rencontres entre chrétiens),
- dans la fraction du pain (le repas figurant et rappelant le don de toute sa vie par Jésus - dont j'ai parlé plus haut),
- et dans les prières."

Cela n'a pas à être suivi comme un légalisme, comme le contenu d'une religion à pratiquer absolument pour plaire à Dieu ; mais doit être vécu dans le désir que crée la vie même de l'esprit en nous, selon que notre esprit (quand il est vivant, vivifié) aspire aux choses de l'Esprit, est attiré par ce qui me donne - au final à moi en tant que "moi-je", mon être "psycho-spiritualisé" - sa force pour être et demeurer dans la foi qui contribue à mon salut éternel.
Cette construction du moi-je que je suis - déjà et toujours en train de devenir - ne sera révélé dans son éclat qu'après son périple terrestre, parcouru dans ce corps mortel, au coeur des dualités. En attendant je le vis de manière dynamique : Moi - la mangeoire et l'animalité qui mange -, m'alimentant du meilleur pour le devenir*** ; Moi dont le coeur d'abord étable a été purifié, apparait progressivement sanctifié, éclairé, amplifié par le pardon divin, par des délivrances et autres expériences spirituelles transformantes...

à suivre...

Soyez béni-e en cette fin d'année - et à la suite -, n'oubliant pas que si le corps a besoin de nourriture
1/ Trop c'est trop... et il vous rendra son mécontentement si vous écoutez plutôt le plaisir du palais et des papilles que celui de l'estomac et autres organes sensibles à leur façon,
2/ et aussi l'esprit a besoin d'un contact avec ce qui le concerne et le vivifie...
Je vous embrasse dans l'amour du Sauveur.

__________
* Ce développement relative à la venue de Jésus dit encore, pour qui ne l'a pas personnellement réalisé ou vécu en lui-même, que Jésus est bien Dieu - incarné, descendu dans un corps humain. Il dit aussi l'équivalence qu'il y a entre Jésus Dieu fait homme et l'Esprit de Dieu - qui est une autre expression de la Divinité (Dieu Un et multiple en même temps...).
** 2Timothée 3.16 - Hébreux 4.12 - Matthieu 4.4 - Marc 13.31 -
*** Philippiens 4.8

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12 décembre 2016 1 12 /12 /décembre /2016 21:08
"CAR DIEU A TANT AIME LE MONDE QU'IL A DONNE SON FILS UNIQUE (JESUS) AFIN QUE QUICONQUE CROIT EN LUI NE SOIT PAS PERDU...

Par là Jésus dit que si nous ne croyons pas EN LUI - autrement dit : si nous ne croyons pas en Dieu PAR LUI -, on est perdu ! Mais qu'est-ce qui est perdu ?

Il faut revenir au fait que créés à l'image de Dieu, nous sommes chacun une entité à la fois Une et Pluriel. Essentiellement Une mais aussi fondamentalement Multiple, savoir que nous sommes une âme dans un corps et potentiellement un esprit joint à cette dualité (dualité que la Bible appelle "la chair", par opposition à l'esprit dont l'origine est Dieu lui-même)

Ce que menace le plus gravement ruine, déstructuration**, perdition, anéantissement, c'est notre âme, dit Dieu. Car le corps est davantage un véhicule que son conducteur. Notre moi ou moi-je, ce qui fait notre ego, c'est la disposition psychique développée dans l'âme - elle-même émergence du corps et en lien avec lui par le sang - est-il écrit dans le Lévitique 17.11). Ainsi notre être (ou existant) le plus possiblement permanent, est de nature psychique (du grec psuché qui est l'âme), et donc ne saurait se réduire au cerveau et à sa nature physique*.

Dans la Bible on peut lire cette révélation importante que Jésus délivre (en Matthieu 10.28) : "Ne redoutez pas ceux qui tuent le corps mais qui ne peuvent pas tuer l'âme. Redoutez plutôt celui qui peut faire périr l'âme et le corps dans la géhenne (enfer ou étang de feu et de soufre dans l'Apocalypse)". Et donc dans l'affirmation qui se déroule article après article, la foi au Christ Jésus ou Mashiah Yeshoua, permet d'éviter cette fin dernière - que je trouve pour ma part terrible - qui consiste à être détruit et disparaître vivant en tant que conscience individuelle que je suis, chacun que nous sommes, alors que le Créateur a(vait) prévu que nous puissions vivre cette réalité de nous-même éternellement dans un Bien sans nuage avec lui...

On ne va pas développer ici sur le sort du corps qui a été tiré de la terre et qui a été condamné par la chute adamique à redevenir poussière, si ce n'est pour dire que ceux qui auront gardé leur identité propre (dans les deux sens du terme), recevront aussi un nouveau corps, immortel, incorruptible, pour vivre leur éternisation en Dieu et en Christ...
Ainsi on doit savoir que la mort physique est essentiellement la séparation du corps et de l'âme (ou du couple âme-esprit formé quand on a cru au point de recevoir de Dieu "des arrhes" de son Esprit). Jésus est aussi venu dire que cette mort est plus réellement un sommeil, un endormissement par rapport à ce côté-ci du Réel (Jean 11.11- 1Thessaloniciens 4.13)...

La mort c'est aussi et premièrement la mort spirituelle, qui fait que créature de Dieu originellement tri-unitaire comme lui (avec un corps, une âme et un esprit), on se trouve réduit à n'être d'un corps et une âme, quand on s'éloigne et persiste loin des ordres, lois, principes... divinement établis pour notre bien et pérennité.
Jean 1.12 : "
A tous ceux qui l'ont acceptée (Jésus la lumière du monde venue de Dieu), à ceux qui croient en son nom, elle a donné le droit de devenir enfants de Dieu", c'est-à-dire de ne pas connaître la mort qui est séparation éternelle d'avec Dieu.

D'où le développé suivant écrit pas quelqu'un qui a connu  comme les autres cette mort spirituelle avant d'être réintroduit dans le dessein éternel de Dieu : "Quant à vous, vous étiez morts à cause de vos fautes et de vos péchés,2 que vous pratiquiez autrefois conformément à la façon de vivre de ce monde, conformément au prince de la puissance de l’air, de l’esprit qui est actuellement à l’œuvre parmi les hommes rebelles.3 Nous tous aussi, nous étions de leur nombre : notre conduite était dictée par les désirs de notre nature propre, puisque nous accomplissions les volontés de la nature humaine et de nos pensées, et nous étions, par notre condition même, destinés à la colère, tout comme les autres.4 Mais Dieu est riche en compassion. A cause du grand amour dont il nous a aimés,5 nous qui étions morts en raison de nos fautes, il nous a rendus à la vie avec Christ – c’est par grâce que vous êtes sauvés." Lettre aux Ephésiens au ch. 2

Puisse ce Dieu qui désire nous sauver tous de la perte de notre réalité et identité personnelles être votre lumière dans la perception de ces vérités les plus hautes et déterminantes pour nous.  

_________
* Le cerveau est l'interface entre le corps et l'âme comme l'écran avec la mémoire vive est interface entre le reste dur d'un ordinateur et son utilisateur. Si on voulait admettre cette conception du vivant on pourrait faire de très grands progrès dans la résolution de plusieurs de nos problématiques... mais bien sûr cela suppose ou sous-entend la reconnaissance de la réalité de Dieu - ce qui est le coeur et les poumons et les entrailles... de nos problématiques.

** Le mal d'Alzheimer montre déjà ici que notre identité psychique personnelle peut se perdre. On parle de détricotage - de socialisation d'abord, voire de la conscience de soi.

 

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