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17 février 2017 5 17 /02 /février /2017 16:19

Les relations se construisent...

On n'est chacun des êtres complets QUE par nos relations (notre 4e dimension... semi-personnelle)...

Les relations sont un espace inter-personnel vide et non vide, que nous remplissons, bien ou mal, par nos actions et réactions (paroles, pensées)...

Nous produisons ainsi entre personnes des espaces attractifs ou répulsifs, à partir de notre subjectivité (intérieure) face à un ou d'autres (vus d'abord extérieurement).

Chaque relation est une rencontre de fondements psychiques (intellectuel, moral, émotionnel, spiritualisé ou pas) de qui émanent (surtout via la vue ou l'ouïe) des ressentis qui forment le tissu de la relation : indifférence méprisante, amour, convoitise, pitié, haine, ouverture ou fermeture... confiance ou crainte.

Ce sentiment entre-deux peut aussi être encouragé, orienté, affecté, provoqué, abimé... par des tiers, des entités qui se font médianes - d'où le mot média -, sympathisants ou pas bien intentionnés, tributaires eux-mêmes de ce qu'ils sont... devenus.

Nous sommes pandémiquement plongés par naissance dans une méconnaissance globale terrible de ce genre de mécanismes psychiques pourtant simples, psychologiques et spirituels. Et sait-on seulement l'existence et la différence entre notre âme et notre esprit ? Ne serions-nous pas concernés pour ne pas avoir à savoir ? La réalité est qu'"on" veut - des entités parties prenantes à nos relations veulent - de plus en plus induire en nous des comportements déroutés, toujours d'abord égocentrés.
Tout cela dans une ignorance immense des tenants et des aboutissants du Réel tel qu'il est.

Dans ce bain sociétal et international de méconnaissance - qui tient d'une grave cécité -, certains voudraient par un effet de baguette magique qu'on vive tous bien ensemble - Faut-qu'on - y-a-ka - zavé-ka -... - alors même que d'autres trouvent le territoire trop étroit pour leur vue - une autre vue - des choses.
Et avec ça on va construire ? Et avec ça on va trouver la paix sociale et intérieure ? On a compris qu'il faut un seul référentiel fondamental pour vivre en paix. Pour certains c'est la laïcité, pour d'autres c'est leur religion, et les leaders des 3-4 camps (idéologiques) les plus lourds (en individus ou en finance) cherchent, tout en se faisant des risettes, à assimiler ou réduire l'autre à un résidu sans force réactive. Rien n'a changé sur le fond depuis la dernière tentative impérialiste d'il y a bientôt 80 ans maintenant (à ce moment les visés étant les juifs et accessoirement les non-aryens). Alors on veut toujours expatrier sa culture, tout en se lamentant de problèmes récurrents nés ou prétendument nés des colonisations (qui tiennent de la même volonté)... 

On trouve là et on va de plus en plus trouver (au plan de la France mais aussi de la planète) que ce qui se passe tient de la cocotte-minute sur un feu : des agitations - non moléculaires mais psychiques, puis physiques - des tensions, des pressions, que pas plus les ripostes violentes que les compromis ne suffiront à calmer ou à mater. Sans Dieu dans la société comme dans notre vie, le chaudron à ciel ouvert qu'était la vie commune d'antan est changé en une cocotte au couvercle vissé et à la soupape de sécurité bouchée !

Jésus est l'initiateur de l'amour comme fondement de construction de nos relations et sociétés. Qui, depuis, a pu apporter une meilleure voie ?
Mais vouloir du concept (amour, compassion, charité) sans Celui qui a pu le manifester parce qu'il l'est en lui-même, c'est comme être un bon conducteur sans permis et qui n'a jamais ouvert un livre de code. C'est comme se vouloir un être moral sans aucune définition du bien et du mal.

Et c'est précisément dans cette méconnaissance terrible de ce qui est le bien et de ce qui est le mal, qu'"on" est en train de pousser les populaces (parce que quand on pousse les personnes sans respecter un référendum ou sans permettre le droit de penser autrement, c'est les considérer comme de la populace, des mains sales) à accepter comme étant (le) bien, des nouveautés élaborées au "pifomètre" Ce dont la Bible avertit depuis longtemps : "Malheur à ceux qui appellent le mal bien, et le bien mal, Qui changent les ténèbres en lumière, et la lumière en ténèbres, Qui changent l'amertume en douceur, et la douceur en amertume !21 Malheur à ceux qui sont sages à leurs yeux, Et qui se croient intelligents !22 Malheur à ceux qui ont de la bravoure pour boire du vin, Et de la vaillance pour mêler des liqueurs fortes ;23 Qui justifient le coupable pour un présent, Et enlèvent aux innocents leurs droits !"

On est culturellement entrés, depuis plus de trois décennies avec une courbe exponentielle, dans une déliquescence* des forces morales personnelles et des rapports inter-personnels : tout un travail de sape qui fait peupler notre univers psychique et physique d'entités maléfiques** dont "on" a voulu nous faire croire qu'elles n'existaient pas (anges déchus devenus démons et Satan). Qu'y a-t-il de mieux pour un ennemi que de faire croire qu'il n'est pas là ou qu'il n'existe pas ?Des milliards de croyants de toutes confessions croient aux esprits (les djins), au diable (le Shatan), à tout cet univers maléfique ; mais qui en tient compte, y croit réellement, sait comment combattre à ce niveau ? Pourtant la Bible est clair : "Revêtez-vous de toutes les armes de Dieu, afin de pouvoir tenir ferme contre les ruses du diable. 12 Car nous n'avons pas à lutter contre la chair et le sang, mais contre les dominations, contre les autorités, contre les princes de ce monde de ténèbres, contre les esprits méchants dans les lieux célestes. 13 C'est pourquoi, prenez toutes les armes de Dieu***, afin de pouvoir résister dans le mauvais jour, et tenir ferme après avoir tout surmonté."
Cette parole est à peu près accessible et compréhensible par tous. Que de guerres et de barbaries et de morts et de souffrances auraient été évitées rien qu'en connaissant et tenant compte de cette parole !
Alors les démons ricanent (car ils sont des personnes, comme nous, juste sans corps dont Dieu les a dépourvus). Du versant séduction-manipulation au versant violence-peur, ils font leur lois !
Si on ouvre les yeux pour voir autrement, les signes (effets) sont innombrables et manifestes, chaque fois qu'on voit le mal sous des formes extrêmes, pour arnaquer, pour obtenir par ruse, tromperie, ou par toutes sortes de violences. L'essentiel des maux trouve leur source à ce niveau de la spiritualité déchue mais puissante, d'une sphère au-delà des psychismes humains qui s'y asservissent d'autant qu'ils ne savent pas. D'où cette parole de Jésus envers les hommes quand il donne sa vie pour nous sauver d'eux et de la mort : "Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font."

Que Jésus vous bénisse par l'effet de ses blessures mortelles, acceptées et supportées pour que le châtiment qui plane sur le monde et sur toutes les têtes qui ne l'ont pas trouvé comme Sauveur vous soit, cher lecteur, lectrice, épargné.

à suivre

__________
* Étymologiquement, pour un corps solide c'est passer à l'état liquide (liquéfaction) en absorbant l'humidité de l'air. L'humidité de notre air psychique c'est la présence de plus en plus dense de démons libérés par des comportements impies abandonnés à la priorité du plaisir : "Mangeons et buvons, car demain nous mourrons".
** La pollution de l'air des grandes villes en est autant une image qu'une conséquence. Plus on vit loin (des voies) de Dieu, plus on produit de déchets qui ne se résorbent pas : image là aussi du mal que nous faisons, fautes morales, péchés, qui pourraient être pardonnés mais ne le sont pas...
*** Les armes de Dieu, c'est essentiellement (tenir dans) la vérité (bannir tout mensonge), la justice, la foi (dans la Bible, pour pratiquer ce qui est bien, et pour croire que par elle on a déjà la vie éternelle), les prières (pas par coeur mais du coeur)...  Tout cela nécessitant qu'on ait préalablement été remis en position confortable avec Dieu, introduit dans son alliance la plus excellente.

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14 février 2017 2 14 /02 /février /2017 12:13

Quand Moïse descend du Sinaï (après 40 jours) avec les Tables de la Loi gravées du doigt de Dieu, il trouve le peuple vautré dans l'idolâtrie (il se sont donnés pour Dieu un veau en or), la débauche, l'hystérie collective (une mauvaise gestion de la liberté que Dieu vient de leur être accordée) :
1/ Il en brise les tables, mouvement de colère immédiate qui dit aussi (de manière prophétique) que les lois bonnes (qui font la religion) de Dieu ne prévalent pas - sont sans force - contre les forces malignes qui nous habitent dès lors qu'on est bien et livrés à nous-même, et
2/ il doit remonter en faire graver tout à nouveau - car ces lois malgré leur impuissance à s'imposer à nous par elle-même, ne sont pas faites pour disparaître mais pour traverser les âges comme un miroir qui montre à toutes les générations combien on est incapables par nous-même de tenir dans le bien...

 

On a commencé par 6 règles fondamentales de réglage de nos relations horizontales; dont le respect suffirait à transformer totalement chaque visage humain et l'âme de de planète : paix, amour et joie par absence de guerres, de meurtres, de manipulation, d'animosité, d'abus, de jalousie, de mépris, de calomnie, de haine, de querelles, de tromperies, etc...

Avec le 4e commandement, on a aussi compris que le Créateur nous a pensés et disposés non pour que nous nous épuisions dans des activités incessantes - ce qui se produit bien souvent -, mais pour que nous gardions la maîtrise de nos agissements, que la paix intérieure reste le fond de notre existence. C'est un respect de soi, préliminaire au respect des autres.
Jésus résumera ces 7 commandement plus tard  en un seul : Aimer son prochain comme soi-même.
Et puis, dit-il là, le premier de tous les commandements consiste à "aimer Dieu de tout notre coeur (affection), de toutes nos forces (corporelles quand on a à se bouger pour cela), de toute notre pensée (voir ici), de toute notre âme (nos aptitudes psychiques).
Ainsi commencent dans la même idée spécifique aux deux alliances (consécutives) les 10 commandements, guide pour une relation possible avec le Dieu connaissable :
1 Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face.

2 Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point ; car moi, l'Éternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l'iniquité des pères sur les enfants jusqu'à la troisième et la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui fais miséricorde jusqu'en mille générations à ceux qui m'aiment et qui gardent mes commandements.

Tu ne prendras point le nom de l'Éternel, ton Dieu, en vain ; car l'Éternel ne laissera point impuni celui qui prendra son nom en vain.

1 - Dieu dit qu'il est essentiellement Un (même pluriel en lui-même, chacune des réalités qui le forment sont dans une telle unité qu'il n'y a pas de division possible autre que les personnes qui le constituent). Ainsi mettre sur un même plan d'autorité divine des dieux distincts est un vrai danger - car on prend alors pour Dieu véritable rien moins que des créatures qui sont entités démoniaques, satanisées : Dieu ou déesse des sources ou des rivères, des montagnes, de la fécondité, des habitations, des déplacements, de telle ville ou profession ou communauté...

2 - D'autre part, la possibilité de se donner pour autorité prioritaire des faux-dieux matériels ne manquent pas : outre l'argent, le sexe, le pouvoir, le travail, un sport, la télé, les jeux (vidéo et autres), portable, collections, animal, musique, cinéma, lecture...., on peut donner forme (faire des représentations visibles) à des concepts comme à des esprits - et comme à Dieu même, qui ne demande jamais cela.
Presque tout peut ainsi devenir ce dieu qui oriente par dessus tout l'occupation de notre temps ; qui est plus fort que le tort qu'il cause dans nos relations ; qui vide notre compte bancaire au-delà du raisonnable ; qui phagocyte notre pensée ou nos mouvements...
On parle de passion ; Dieu parle d'idolâtrie, d'iniquité, de se rendre odieux à ses yeux. Sans parler d'addiction et d'ouverture à la main mise sur notre existence de tel esprit maléfique (à l'origine de la manoeuvre ou qui la rejoint) dont la sur-venue va rendre tout catastrophique (en nous et dans notre relationnel)...
On a du mal à imaginer l'offense que c'est pour Dieu le créateur et rédempteur capable des plus grandes prouesses pour nous, que nous puissions trouver plus d'intérêt, plus d'affection, plus de consolation, plus de sécurité, plus de confiance... dans un objet en bois devant lequel on se prosterne, dans une collection de timbres ou d'armes, dans une idole (de la chanson ou du cinéma...) qui n'arrive pas elle-même malgré son argent et sa gloire à trouver la sérénité ou un bonheur qui dure (jusqu'à parfois se suicider elle-même)...
Peut-on comprendre que Dieu est une personne comme nous, avec des capacités de puissance et de sagesse, mais aussi de sentiments, d'émotions (le plus court verset de la Bible : Jésus pleura). Que le Dieu créateur est jaloux de l'amour qui peut se développer entre lui et nous ses créatures ; jaloux parce qu'il sait que toutes nos infidélités répétées, établies, à ses commandements, sont des injustices qui ouvrent directement accès à Satan, à ses démons, jusqu'en nous, tuant la vie spirituelle (de Dieu) en nous, créant la peur et le trouble dans les relations (même les plus sincères et amoureuses ou profondément amicales entre nous). C'est ainsi que la vie amoureuse des stars ne sont pas plus durablement magnifiques que celles de tout un chacun. Des fortunes même peuvent se défaire en une nuit, sur un choc imprévu qui vient casser notre continuum réussi.. On y perd le sentiment, le souvenir, la réalité de notre identité primordiale de créature, et jusqu'au sens de notre responsabilité personnelle devant Dieu et les hommes. Perdant Dieu, on perd l'essentiel : la capacité qu'il nous offre d'accéder à son éternité de vie, de paix, d'amour, de joie, d'activités, de réalisations et de relations heureuses (Galates 5.19,22).

Ce 2ème commandement dit encore que la soumission à des faux-dieux imprègne tellement notre nature profonde que le travers, les attirances et handicaps qu'elle produit se transmettent génétiquement et/ou psycho-génétiquement sur 3 et 4 générations après nous. On appelle cela des déficiences, des pertes d'informations génétiques, ou des "liens d'âmes" voire d'autres entraves qui peuvent créer des anomalies terribles..

Tout cela pour dire que la simple acceptation des 10 commandements inscrits (deux fois) dans le Ténak (Bible hébraïque ou Ancien Testament) et/ou les 2 commandements par lesquels Jésus synthétise nos rapports à tous les autres, ferait de la terre un paradis - ce qui fut à l'origine. Acceptation par les nations ou groupements de nations comme lois civiques, éthiques, morales, qui n'auraient au final à être adoptées par seulement quelques centaines ou milliers de personnes !
Mathématiquement et rationnellement, ce serait possible. Cela aurait pu être depuis des millénaires.
Mais voilà : cela vient de Dieu et fait référence à sa réalité, c'est-à-dire formalise sur nos personnes que nous ne sommes pas les maîtres du monde, seulement des créatures. Et beaucoup préfère l'illusion d'être libres aux nombreuses bénédictions qu'il y a à être reliés à Dieu.
Ce n'est pas logique, et presque incompréhensible, si on ne connaît pas deux des plus fortes réalités actives dans nos univers humains :
- La force majeure qui habite notre psychisme - qui est nous sans être vraiment nous...,
- et une autre tout aussi redoutable - et parfois beaucoup plus - qui se meut spirituellement sur la terre (de manière immédiatement invisible) tout comme nous-mêmes la peuplons physiquement (visible) et psychiquement (invisibilité de l'âme en nous) : le corps des anges déchus ou démons.

à suivre...

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9 février 2017 4 09 /02 /février /2017 20:40

L'éducation - et pas d'éducation sans morale ! - est le moule de notre socialisation de base. Son importance tient de ce qu'on est des êtres de et en relation, et de ce que notre environnement n'est pas que matériel... et terrestre.

Il y a une similitude avérée entre notre nature adamique (actuelle, qui n'est pas à l'image de notre création originelle) et celle des anges qui sont sortis des libertés bonnes dont ils bénéficiaient originellement (devenant par là ce qu'on appelle des démons). Ce sont les raisons pour quoi
1 - se trouvait au milieu du jardin d'Eden l'arbre de la connaissance interdite (celle du mal, le bien baignant toute la re-création terrestre dont parle le 1er chap. du livre biblique de la Genèse) - pour que les premiers êtres humains interpelés par cette interdiction pose la question à Dieu, qui leur aurait répondu... et
2 - un code de lois (formant religion et bien plus, avec des lois sanitaires, civiles, pénales... on pourrait dire une Constitution) fut donné (au départ par les anges via Moïse, ce qui forme pour les juifs la Torah, pour le reste du monde le Pentateuque ou 5 premiers livres de l'Ancien Testament), comme moyen pour connaître ce qu'il faut faire et ce qu'il ne faut pas faire pour échapper à la main mise des démons sur nos existences. En tout 613 lois très diverses dont les 10 commandements - les seuls gravés dans la pierre, pour marquer leur caractère immuable (et donc toujours actuel) - dont voici maintenant les 5e, 6e et 7e :
Honore ton père et ta mère afin de vivre longtemps dans le pays que l'Eternel, ton Dieu, te donne.

Tu ne commettras pas de meurtre.

Tu ne commettras pas d'adultère.

Ces 3 nouveaux commandements règlent ce qui ne doit pas advenir dans les relations humaines si on ne veut pas donner accès au milieu de nous à des démons. Certains se sont spécialisés dans des domaines spécifiques de perversion et d'asservissement, usant de leurs possibilités d'influence (formant tentations) et profitant de nos propres dérèglements pour se greffer sur nos âmes. Cette relation des démons à nos personnes peut aller de pensées séduisantes à la possession.

Apprenons à lire avec réflexion ou méditation sur toutes les conséquences qui découlent - et sont sous nos yeux - du non-alignement de l'éducation donnée à nos enfants, et donc de nos comportements d'adultes mal ou inéduqués, rien qu'à partir de ces 3 commandements, de ces quelques mots. Pensez aux souffrances que vous connaissez, en vous-même ou dans votre entourage, qui résulte de l'inobservation de ces 3 instructions...
Et comprenez comment Dieu ne cherche pas à nous frustrer ou brider de manière sadique mais à nous donner les moyens de résister à l'emprise de hordes d'esprits mauvais, vicieux, trompeurs, méchants, inhumains... pour ne pas leur remettre ce qui reste de notre souveraineté déjà tellement malmenée...

à suivre. Soyez béni-e.

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12 janvier 2017 4 12 /01 /janvier /2017 21:38

Il n'est pas là question de la bonté de Dieu qu'il répand comme le soleil sur les justes (justifiés) et sur les injustes (ce que nous sommes tous naturellement). Les justes sont aussi appelés bons, mais il faut comprendre "devenus bons ou bonifiés" par l'effet transformateur de la grâce de Dieu envers un pécheurs (injustes par nature).

La pensée du jour est donc dans le sens où personne ne peut (s'approprier d')être bon durablement ; et dans le sens où Dieu ne fait pas grâce aux impies, aux athées, aux perdus, tant qu'ils sont dans leur vue trompée et trompeuse d'eux-mêmes et du Réel tel qu'il est ; tant qu'ils demeurent des orgueilleux superbes, des vantards et autres arrogants, stupides ou pervers. J'ai été des années ce genre d'impie prétentieux qui ne se voyait pas et ne voyait pas les autres de la bonne manière - mais seulement comme des moyens d'en obtenir un avantage personnel ou un autre (en argent, en aide, en plaisir...).
Ce qui ne peut amener bientôt que des tensions, des ruptures, plus ou moins brutales selon notre degré d'inattention au Réel -, des souffrances, des abaissements, des amoindrissements.

Mais c'est aussi là le plus souvent le bon côté du mal : qu'il nous mette à une hauteur éloignée des illusions, où Dieu va pouvoir nous rencontrer, ou bien où nous allons devenir sensible à un message d'un autre ordre que la matérialité du monde : une parole spirituelle*, une vue (et vie) nouvelle.

Job 33 "Dieu parle cependant, tantôt d'une manière, Tantôt d'une autre, et l'on n'y prend point garde.15 Il parle par des songes, par des visions nocturnes, Quand les hommes sont livrés à un profond sommeil, Quand ils sont endormis sur leur couche.16 Alors il leur donne des avertissements Et met le sceau à ses instructions,17 Afin de détourner l'homme du mal Et de le préserver de l'orgueil,18 Afin de garantir son âme de la fosse Et sa vie des coups du glaive.19 Par la douleur aussi l'homme est repris sur sa couche, Quand une lutte continue vient agiter ses os.20 Alors il prend en dégoût le pain, Même les aliments les plus exquis ;21 Sa chair se consume et disparaît, Ses os qu'on ne voyait pas sont mis à nu ;22 Son âme s'approche de la fosse, Et sa vie des messagers de la mort.23 Mais s'il se trouve pour lui un ange intercesseur, Un d'entre les mille Qui annoncent à l'homme la voie qu'il doit suivre,24 Dieu a compassion de lui et dit à l'ange : Délivre-le, afin qu'il ne descende pas dans la fosse ; J'ai trouvé une rançon (Jésus, mon propre fils) ! 25 Et sa chair a plus de fraîcheur qu'au premier âge, Il revient aux jours de sa jeunesse.26 Il adresse à Dieu sa prière ; et Dieu lui est propice, Lui laisse voir sa face avec joie, Et lui rend son innocence.27 Il chante devant les hommes et dit : J'ai péché, j'ai violé la justice, Et je n'ai pas été puni comme je le méritais ;28 Dieu a délivré mon âme pour qu'elle n'entrât pas dans la fosse, Et ma vie s'épanouit à la lumière !29 Voilà tout ce que Dieu fait, Deux fois, trois fois, avec l'homme,30 Pour ramener son âme de la fosse, Pour l'éclairer de la lumière des vivants.31 Sois attentif, Job I (toi qui lis !) écoute-moi ! Tais-toi, et je parlerai !32 Si tu as quelque chose à dire, réponds-moi ! Parle, car je voudrais te donner raison.33 Si tu n'as rien à dire, écoute-moi ! Tais-toi, et je t'enseignerai la sagesse."

Psaume 36

Impie et happy, dur mariage ! (mariage dans son sens de durable, de réciprocité bénéfique).
Soyez doucement illuminé-e !

________________
* Mais là tout n'est pas encore gagné ! Car si Dieu peut venir nous parler - et c'est généralement lui qui prend cette initiative quand on est mal -, quelque esprit malin peut ne pas tarder à venir montrer sa carotte, sa piste nouvelle d'accès au bonheur, son moyen le plus sûr pour un épanouissement personnel... qui ne peut que séduire...
Dieu ne séduit pas, car il n'a rien à nous offrir qui soit tromperie ou autre mauvais plan. Dieu dit les choses en vérité, n'use pas de paroles flatteuses pour nous attirer dans son camp. Il nous appelle pécheur, pécheresse ! Mais quel bonheur de se savoir ainsi devant sa face ! Sans quoi on reste dans nos péchés, dans ces fautes que rien d'autre que le sang de Jésus ne peut purifier, sinon elles nous suivent et plombent jusqu'en éternité.

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10 janvier 2017 2 10 /01 /janvier /2017 00:11

Insolence peut-être pour un esprit religieux, que de faire correspondre Dieu et l'acte sexuel ! C'est cependant avec tout le respect que je lui dois et la connaissance que j'ai de Lui que je peux dire cela, car aussi bien sûr il est le Penseur, l'Informaticien et l'Auteur de la sexualité.

Réfléchissez un peu, surtout si vous êtes incroyant-e : Comment
1/ le hasard et des sous-hasards déclenchés en chaîne en réaction à
2/ quelle nécessité - perçue, ressentie à partir de quoi ?... -
auraient-ils pu produire, avant la fin de vie des premières cellules vivantes apparues, un tel principe général de perpétuation, exprimé par des systèmes reproducteurs si beaux et si différents, si sensibles et si performants ?

Si quelqu'un trouve mieux comme réponse que la reproduction a été créée par
- une intelligence informative - même pas imaginable par nous-même, ce qui ne la réduit pas pour autant à néant -,
- à partir d'une intention d'amour concrétisable et concrétisée d'extraordinaires façons, merci pour sa réponse !

Sérieusement ! Le fait, la fonction ou principe de reproduction constitue un moteur inhérent au vivant de la terre (végétal à humain). De la même manière que Dieu lui-même ne se contente pas d'être en soi - invariablement, de manière statique, auto-défini en lui-même -, mais il est auteur de vie(s), au-delà, en dehors, de sa réalité infinie éternelle... Ce qui fait qu'il se grandit par ses créations au-delà même de ses infinités multi-personnelles. Oui, ça peut se réfléchir et se comprendre, même si cela dépasse notre logique "cartésienne"!...

Ainsi Dieu est Père. Jésus est venu nous apprendre que Dieu est et veut devenir Père. L'incarnation qui est à l'origine de sa réalité humaine - ou humanisée - est le résultat de cette capacité dynamique de Dieu d'engendrer par sa vie, de sa vie, dans ce qui n'est pas lui.

Ainsi l'Esprit-Saint - autre personne et expression de Dieu sortant de lui-même - opéra un acte germinateur en Marie, la jeune Myriam vierge qui se trouva convoquée par (un ange de) Dieu pour contribuer à son immense dessein de rédemption. Jésus naquit de cette union surnaturelle féconde où "la Parole qui était auprès de Dieu et qui était Dieu" devint chair, volonté exprimée du Dieu infini qui se donne une (nouvelle) limitation à lui-même pour venir sauver du genre humain quiconque répondrait - et répond encore - convenablement à son offre d'éternisation personnelle. C'est ainsi que Jésus devint le premier-né d'une génération nouvelle, d'une race différente de toutes les races humaines naturelles, statut intermédiaire entre le Dieu qu'il était de toute éternité et l'homme qui mourut pour devenir aussi le premer-né d'une toute nouvelle création - qui a commencé et qui va paraître de plus en plus dans la suite des temps...

Ainsi - pour qui a déjà été mis dans cette position de croyant né de Dieu (Jean ch. 3), "Rendez grâces au Père, qui vous a rendus capables d'avoir part à l'héritage des saints dans la lumière,13 qui nous a délivrés de la puissance des ténèbres et nous a transportés dans le royaume du Fils de son amour,14 en qui nous avons la rédemption, la rémission des péchés.15 Il est l'image du Dieu invisible, le premier-né de toute la création.16 Car en lui ont été créées toutes les choses qui sont dans les cieux et sur la terre, les visibles et les invisibles, trônes, dignités, dominations, autorités. Tout a été créé par lui et pour lui.17 Il est avant toutes choses, et toutes choses subsistent en lui.18 Il est la tête du corps de l'Église ; il est le commencement, le premier-né d'entre les morts, afin d'être en tout le premier.19 Car Dieu a voulu que toute plénitude habitât en lui ;20 il a voulu par lui réconcilier tout avec lui-même, tant ce qui est sur la terre que ce qui est dans les cieux, en faisant la paix par lui, par le sang de sa croix.21 Et vous, qui étiez autrefois étrangers et ennemis par vos pensées et par vos mauvaises oeuvres, il vous a maintenant réconciliés par sa mort dans le corps de sa chair,22 pour vous faire paraître devant lui saints, irrépréhensibles et sans reproche,23 si du moins vous demeurez fondés et inébranlables dans la foi, sans vous détourner de l'espérance de l'Évangile que vous avez entendu, qui a été prêché à toute créature sous le ciel, et dont moi Paul (l'apôtre), j'ai été fait ministre." Lettre aux Colossiens ch. 1.

 

.

La reproduction, un principe qui, par la juxtaposition de son universalisme et de ses grandes diversités opératoires, renvoie facilement la théorie évolutionniste au rang des (nombreuses) bourdes scientifiques qui ont émaillées de leurs éclats éphémères les 250 dernières années...
 

Parmi les lecteurs, en êtes-vous un-e qui ne soit pas encore entré-e dans une relation avec Dieu qui lui aurait permis de s'engendrer par son Esprit en vous ? Dieu n'a-t-il pas jusque là pu vous manifester son amour jusqu'à faire naître sa propre vie en vous ? Ce qui est sa volonté, pour nous, bonne, agréable et parfaite...
Si c'est le cas, que le concept de religion - dans laquelle vous seriez par tradition... ou dont vous auriez une réelle aversion -, ou encore qu'une idéologie fondée sur un athéisme qui n'est pas taillé pour favoriser l'épanouissement personnel, ne soit pas (ou plus) une retenue qui vous garde loin de la réalité palpable du Dieu vivant. Il voudrait tant que vous connaissiez son amour et ses effets, les surprises de ses révélations, les riches développements induits par une position bien établie avec lui et en lui.
Dieu veut nous manifester cet amour qu'il est. Il peut le faire - à nos yeux aléatoirement - par grâce. Mais il ne peut nous donner la vie-même de cet amour en dehors de ce que est pure(té) et de ce qui est just(ic)e.
Ce double besoin qui est notre problème majeur (impuretés et injustices qui entachent nos actions, paroles et/ou pensées) trouve sa solution en la personne crucifié de Jésus-Christ : il est mort, séparé un temps de l'éternité de son Père, pour que nous puissions vivre sans que notre âme un jour ou une nuit soit anéantie ; ayant été mystérieusement mais réellement fécondé-e dans notre dimension psychique et spirituelle. 
Ici une prière-guide pour aider à une réconciliation et paix profonde avec Dieu.

Je vous aime et vous béni-e dans le nom précieux de Jésus.

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23 décembre 2016 5 23 /12 /décembre /2016 09:25

L'Amour est une haute-montagne dans un lointain
Qui nous semble incertain.
Pourtant on l'aperçoit, on en goûte parfois
Le bonheur, la candeur, la loi
Qui fait taire les malheurs.

Ses sommets sont brillants et brûlants à nos cœurs
Mont-Blanc ou Everest, plus beau qu'un Kilimandjaro,
Avec des hauts-plateaux paisibles verdoyants
Et des eaux fraîches les parcourant,
Jaillissantes en torrent ou posées
En des lacs tendus noirs ou bleus
Reflétant leur écrin aux pics sans espoir.
Et je veux cet Amour !... Le gravir où c'est beau,
Me rouler dans ses vagues, ses ondes, ses cristaux…

Mais comment l'ordinaire que je suis
Le profane que je vis montera-t-il là-haut ?
Comme si un Pic du Midi et de nuit
Pouvait s'atteindre à la lueur d'une bougie,
A la force de mes pieds ou même
Avec un bâton religion qui ne sème
Que des ordres de marche, sans arche, sans nuée,
- Là où c'est l'intuition, le subtil, l'esprit vif,
L'Amour en sa passion qui seuls peuvent élever !
Et moi dans la vallée sombre et profonde,
Qui désire, souffre ou soupire parmi les ombres
Du Réel, sans zèle, faussement équipé
D'une laïcité qui tient du plomb dans l'aile,
De l'idée, pléthorique en envies, jouissive à l'envi,
Entropique à la fin, isolante - ni du froid ni du chaud -
Nous laissant seul-e, dénudé-e, sur un lit de rivière
Asséchée, sur un lit sans tain, défait, lit de rien.

L'Amour beau est trop haut, là où les êtres et les choses
Sont éternelles plus que les neiges, là où les grèves
Se désagrègent ou, balayées par la douceur
Eclosent de vie : l'amour est plein de vie !

Qui me fera monter, asseoir et contempler ?
L'abîme est trop immense, ce Dieu Amour
Que je veux, inaccessible, comme invincible,
Fermé, enclos, trop lisse, sans prise…
Je vois - mais est-ce un mirage, un faux espoir,
Réminiscence douteuse, encore simple ciboire ou enfin
Réponse clarifiante !? -, je vois du sang,
Du sang coulé, qui coule encore rouge vermeil,
Carmin, dissout la croûte, le Mal s'y engluant,
Avec aussi une eau, unique, lustrale, qui sort de ce roc élevé,
Forcé, percé, pillé mais pas abandonné
Qui donna, qui donne encore et donnera toujours,
Homme-roc dont les effets sur qui croit sont la paix
Et l'amour retenu en otage retrouvés.
Je regarde et je crois et voilà :
Aimé-e, croyant-e, je suis sauvé-e.

C.T. 12-12-16 ALGDDV

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19 décembre 2016 1 19 /12 /décembre /2016 13:54

Aimer - si nous voulons que ce soit de manière durable, c'est-à-dire sans les souffrances personnelles et co-latérales inévitablement causées par les querelles et autres ruptures -  revient au plus profond à se voir comme ayant besoin d'être changé : car personne n'est en état et capacité d'aimer et de défendre son amour contre tout ce qui veut le détruire. (voir aussi article sur les ennemis de l'amour)

1/ Changement par la maîtrise de soi
Bouddha s'est centré sur la non-souffrance et paix a obtenir pour et par soi-même. Une quête plutôt étonnante quand dans le même temps chacun de nous est sensé être dieu/Dieu en lui-même !... Comment cet intérieur divin immanent - s'il existait - pourrait-il être inférieur à notre ego, à nos forces personnelles dégénérées ?...*
De là c'est davantage une non-vie, sans envie, sans désir, sans plaisir, qui devient l'objet ou sujet final de l'existence... sans pour autant l'emporter sur le mal, avec ses virulences et forces annihilantes. Dieu utilise cette philo-spiritualité pour que celui/celle qui veut s'y soumettre réalise son impuissance à laisser un divin potentiel s'illuminer en lui par suite de nos efforts et astreintes, et ne se contente pas du botter en touche cynique qu'est la réincarnation.
A la suite de Bouddha, de nombreux mouvements (que j'ai connus) qui forment ce qu'on appelle le New-âge (une sorte d'auberge espagnole du spirituel), invite à cette démarche du changement (purificateur) à partir de nos propres efforts (de méditation, de pratiques mentales ou physiques, de postures, respiration, alimentation...).

2/ Changement par la pratique plus typiquement religieuse
Les transmetteurs de religion - comme Moïse, Mahomet et d'autres - pour leur part ont été chargés de mettre l'homme sous le joug d'une liste de préceptes sans fin en vue d'un comportement maîtrisé qui devrait permettre une meilleure socialisation et un rapprochement avec le Divin.
En fait, Dieu utilise cette rude et oppressive discipline pour que le pratiquant en arrive à se découvrir inintelligent - en regard de ce qu'on arrive par là à lui faire faire mécaniquement... - et bien insuffisant par rapport à une fidélité demandée qui ne devrait pas tolérer de manquements ou de transgressions - sauf au prix, pour les fautes, d'un auto-rachat coûteux, d'une expiation basée sur notre propre souffrance, restant dans tous les cas toujours sous un joug de culpabilité, coupable au minimum devant Dieu et sans réel secours accessible pour s'en sortir durablement.
Ce genre de moyen légaliste n'est pas fait pour nous mettre d'humeur à aimer ni Dieu ni notre prochain obligé. Dès lors hypocrisie et conduite coupable envers tel ou tel interdit deviennent la règle...

3/ Libération (changement !?) par l'hédonisme.
Là pour l'essentiel on confond l'amour et le plaisir, la sexualité et l'amour. Dans cette confusion, ce qui pourrait être heureusement complémentaire devient un tort pour l'amour. Parce que ce n'est pas se donner toutes les libertés qu'on peut, qui permet que nous aimions sans souffrances, sans accidents, sans déchirements... sans culpabilité. Il ne suffit pas que l'homme change des lois de sa vie en société par en obtenir un gain, dès lors que le changement va à l'encontre des lois divines qui ne se rabotent pas aussi facilement et durablement dans les consciences et dans les corps...  


Ici et là le plus génériquement pas question d'amour qui puisse durer, se suffire à lui-même... même en opérant une récupération des paroles, des valeurs et/ou du fondement de l'Evangile. Il ne suffit pas de se donner des formes du bien telles que l'Evangile les montre ou les annonce, pour que ça fonctionne ! Aucune valeur véritable n'a de consistance en soi, sans Celui qui en est l'initiateur : le Dieu Créateur. C'est comme une flamme sans le bois ou l'huile d'où elle émane.

En parlant d'amour et en manifestant le sien pour nous jusqu'au don de sa vie, Jésus a aussi parlé en vérité du coeur de notre problématique existentielle et essentielle : notre séparation naturelle et surnaturelle d'avec Dieu. Car lui seul est ce qui alimente (le souffle, la force, la vie) de manière permanente ce que sont les forces bonnes, et notamment l'amour.
Dans sa 1ère lettre, Jean apôtre de l'amour, écrit - et moi avec lui : "Pour nous, nous l'aimons, parce qu'il nous a aimés le premier.20 Si quelqu'un dit : J'aime Dieu, et qu'il haïsse son frère, c'est un menteur ; car celui qui n'aime pas son frère qu'il voit, comment peut-il aimer Dieu qu'il ne voit pas ?21 Et nous avons de lui ce commandement : que celui qui aime Dieu aime aussi son frère."

Mais encore écrire sur l'amour comme ici, ce n'est pas automatiquement pouvoir le faire vivre chez le lecteur. C'est cependant donner envie ; susciter le désir de croire que le chemin - qui donne l'amour, qui nous fait rejoindre Dieu - est aussi possible pour lui. Et c'est vrai !

1Jean ch. 4 "Bien-aimés, aimons-nous les uns les autres ; car l'amour est de Dieu, et quiconque aime est né de Dieu et connaît Dieu.8 Celui qui n'aime pas n'a pas connu Dieu, car Dieu est amour.9 L'amour de Dieu a été manifesté envers nous en ce que Dieu a envoyé son Fils unique dans le monde, afin que nous vivions par lui.10 Et cet amour consiste, non point en ce que nous avons aimé Dieu, mais en ce qu'il nous a aimés et a envoyé son Fils comme victime expiatoire pour nos péchés.11 Bien-aimés, si Dieu nous a ainsi aimés, nous devons aussi nous aimer les uns les autres.12 Personne n'a jamais vu Dieu ; si nous nous aimons les uns les autres, Dieu demeure en nous, et son amour est parfait en nous.13 Nous connaissons que nous demeurons en lui, et qu'il demeure en nous, en ce qu'il nous a donné de son Esprit.14 Et nous, nous avons vu et nous attestons que le Père a envoyé le Fils comme Sauveur du monde.15 Celui qui confessera que Jésus est le Fils de Dieu, Dieu demeure en lui, et lui en Dieu.16 Et nous, nous avons connu l'amour que Dieu a pour nous, et nous y avons cru. Dieu est amour ; et celui qui demeure dans l'amour demeure en Dieu, et Dieu demeure en lui."

Un idéal impossible au seul plan de nos capacités naturelles, mais dans lequel l'Esprit de Dieu peut nous donner d'entrer et de vivre, en soi et vis-à-vis des autres, dans la mesure et vérité que Dieu est (un de ces noms-attributs en hébreu dans la Bible) Yawhé Yireh : Celui-qui-est qui pourvoit. Voir éventuellement le parallèle significatif entre Genèse ch. 22, vers. 2 à 14 et Jean ch. 1, vers. 29.


 

Jésus n'a pas seulement eu des paroles pour les hommes, il a aussi donner sa vie, paraissant une 1ère fois comme un Agneau - à sacrifier -, et revenant bientôt comme un Lion - pour gouverner -. Il n'a pas dit expressément qu'il nous aimait, mais il l'a fait, il nous a aimés jusqu'au don de sa vie, et ce sont ses disciples - moi compris - qui disent que Jésus nous a aimés et veut encore nous manifester son amour...

"Étant donc justifiés par la foi, nous avons la paix avec Dieu par notre Seigneur Jésus Christ,2 à qui nous devons d'avoir eu par la foi accès à cette grâce, dans laquelle nous demeurons fermes, et nous nous glorifions dans l'espérance de la gloire de Dieu.3 Bien plus, nous nous glorifions même des afflictions, sachant que l'affliction produit la persévérance,4 la persévérance la victoire dans l'épreuve, et cette victoire l'espérance.5 Or, l'espérance ne trompe point, parce que l'amour de Dieu est répandu dans nos coeurs par le Saint Esprit qui nous a été donné."
Moins que l'intelligence, ou à la suite de l'intelligence, cherchons l'amour.
A la suite de l'humanisme bien-pensant mais peu juste, cherchons le Dieu qui intrinsèquement est amour. Ce qu'il a prouvé.
Qu'il vous bénisse jusqu'à une connaissance-expérience dans la fusion de son amour.

___________
* A partir de là la question de l'immanence est à (re)poser...

 

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17 décembre 2016 6 17 /12 /décembre /2016 13:37

suite de...

Si on ne respecte pas la valeur de l'amour de ce côté-ci, comment pourra-t-on entrer dans l'Amour permanent qu'est Dieu dans sa sphère éternelle ?

Un autre ennemi de l'amour est le manque de confiance. Le mot confiance nous met directement en relation avec le mot foi - car ces deux mots ont la même racine latine (fido). L'amour inclut en lui-même la confiance. Craindre, c'est pas ou plus avoir confiance. C'est le contrainte de la foi et c'est un pilier de l'amour qui cède : il en résulte que l'amour lui-même va sombrer. Ainsi Jean nous dit-il dans sa 1ère lettre : "La crainte n'est pas dans l'amour, mais l'amour parfait bannit la crainte ; car la crainte suppose un châtiment, et celui qui craint n'est pas parfait dans l'amour."
L'ennemi est donc là la peur, une ou des craintes, voire bien sûr les angoisses qui en sont les géants.

Et là encore ce qui est vrai dans une relation entre personnes humaines (voire entre nous et des animaux), est vrai dans notre relation à Dieu : le manque de confiance trouble notre amour et la perception du sien - les deux n'étant que les deux versants de la même réalité.

Dès lors il est bon de connaître aussi d'où vient la peur qui résulta à l'origine d'un doute - émis et cru - au sujet de la bonté (de l'amour) de Dieu envers l'homme. On lit cet épisode ici en Genèse chap. 3.

Voyez-vous comme tout est relié et s'explique... dès lors qu'on prend une source de connaissance juste !?

La vérité est donc bien que l'amour ne nous habite pas de façon constante - on n'est pas amour ! -, mais encore que le mal (sous au moins une ou diverses formes : peur, jalousie, convoitise (mauvais désirs), injustice, ignorance, mensonge...) est tellement vivant en nous que nous chutons régulièrement quant au bien, quant à nos bonnes intentions même, quant à nos résolutions - Et avec chaque nouvelle année en général vient aussi le temps des farouches résolutions, non ?!...

Mais Dieu nous appelle surtout à devenir vrai, intègre, devant lui et devant notre propre conscience. "Si nous nous jugions nous-même, dit la Bible, nous n'aurions pas a être jugé par des afflictions et jusqu'à la mort même". "Ne nous séduisons pas nous-même" pour ne pas venir à Dieu : c'est le pire calcul que nous puissions faire (comme il est écrit là).

Que promet donc le Dieu qui est Amour à ceux qui croient que cet amour nous a été principalement manifesté par la crucifixion de Jésus son Fils ? Soupesez véritablement la force de ces paroles :
"Déclarés justes sur la base de la foi, nous avons la paix avec Dieu par l’intermédiaire de (celui qui devient) notre Seigneur Jésus-Christ ;2 c'est aussi par son intermédiaire que nous avons accès par la foi à cette grâce, dans laquelle nous tenons ferme, et nous plaçons notre fierté dans l'espérance de prendre part à la gloire de Dieu...3 Bien plus, nous sommes fiers même de nos détresses, sachant que la détresse produit la persévérance,4 la persévérance la victoire dans l'épreuve, et la victoire dans l’épreuve l'espérance.5 Or cette espérance ne trompe pas, parce que l'amour de Dieu est déversé dans notre cœur par le Saint-Esprit qui nous a été donné."
Voilà comment nous avons à recevoir et à vivre de cet amour qu'est Dieu se donnant à nous.

Et comment ce don de l'amour dont notre coeur manque jusqu'au soupir ou au suicide, nous est-il (devenu) accessible ? "6 Alors que nous étions encore sans force (même pas nés), Christ est mort pour des pécheurs au moment fixé.7 A peine mourrait-on pour un juste ; peut-être accepterait-on de mourir pour quelqu’un de bien.8 Mais voici comment Dieu prouve son amour envers nous : alors que nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous."
Et dès lors que nous sommes considérés comme justes grâce à son sang - à sa crucifixion -, nous serons à bien plus forte raison sauvés par lui maintenant ressuscité de la colère de Dieu qui arrive toujours plus forte et ample sur le monde. Lettre aux Romains ch. 5

Soyez sauvé-e - si ce n'est fait. Autrement soyez affermi-e pour obtenir les meilleures récompenses de la foi, la vie éternelle en tout premier lieu.

Et demain on parle encore d'amour...

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27 novembre 2016 7 27 /11 /novembre /2016 00:00

Avant l'article : Peut-être à la maison et face à l'internet ce dimanche matin !? Sachez qu'à partir de 9h30 une réunion chrétienne de qualité est diffusée en directe d'Alsace (clic ici)

***

N'avoir vu jeudi soir 24 novembre qu'un débat politique entre deux hommes, FILLON-JUPPÉ, c'est ne pas avoir vu l'essentiel, savoir que cette grande soirée avait été prévue avec un TROISIEME HOMME ! (et je ne parle pas des journalistes formant le corps des animateurs).

Disons que ce fut une soirée essentiellement en deux temps, en deux rounds, en deux combats très différents.

1ère partie : Fillon-Juppé
Un débat de qualité
, avec deux hommes possédant des qualités intellectuelles, réflexives et mémorielles remarquables, l'élocution, la sobriété... qui ont permis de voir qu'on est effectivement là à un niveau de présidentiable... selon qu'on s'en tient au plan de la représentation et de l'action politiques telles qu'elles apparaissent aujourd'hui dans le monde - un monde redisons-le, rendu et tenu aveugle quant aux réalités agissantes les plus puissantes, que sont les forces spirituelles occultes qui, de l'invisible, tiennent et actionnent des ficelles qui nous - petits hommes de la terre - font bouger.
In fine sur ce point, on a pu un peu mieux s'apercevoir que les différences étaient dans le détail finalement peu sensibles - au point où un candidat ou un autre... -.
Cependant, au-delà des détails, avec un recul qui tient d'une nécessaire (utile) part d'objectivité au sein de notre subjectivité, on a pu entendre que la différente entre les deux hommes est en fait très importante, globalement irréductible, d'où leur présence et ce débat. Et chacun d'entre nous, selon "l'arrière-boutique" qui nous constitue au fond, trouvera en l'un ou l'autre celui qui a la même arrière-boutique que lui, le même arrière-plan psychogénétique (hérité et acquis, élaboré ou brut de formation), ce qui donne nos perceptions et notre conceptualisation du monde.
Pour moi - comme ce devrait être pour chacun - il n'y a pas photo tant l'arrière-boutique des deux hommes (leur conceptualisation du réel) n'est pas la même. Et donc c'est à chacun en conscience de voir et/ou de chercher "comment ça marche" !
- D'abord en nous, si l'idée propre (ou sale !) qu'on nous a forgée (qu'on a été forgée) plus qu'on ne l'a personnellement réfléchie, remise en cause en vue d'une objectivité minimale de notre subjectivité, est la bonne, la meilleure.*
- De là, ensuite discerner en l'autre : si tel candidat est (plutôt) fondé sur ce qui est juste en soi, plus que ce qui est juste selon lui, selon ses intérêts et visées (ou ceux de ses supporters).
Car il ne s'agit pas de plaire à un public - comme ferait un acteur ou un joueur de violon -, mais de vouloir travailler dans la matière humaine pour qu'il en sorte, outre des productions matérielles, par le travail, un véritable gain psychique, en connaissance de soi et du Réel, en vue de trouver comment mieux-vivre durablement
- avec soi-même,
- par un mieux vivre avec notre Créateur originel (ce qui est l'essentiel de ce qui m'a été mise à jour par Lui et à quoi j'ai adhéré).
Deux choses qui ne peuvent que précéder la recherche du vivre-ensemble. Ce que Jésus a résumé par sa double ordonnance : Aimer Dieu et s'aimer soi-même... pour aimer son prochain comme soi-même.

2e partie : CANTELOUP ou la bouffonnerie au service de la désorganisation sociétale.
Voilà LE 3e HOMME de la soirée, celui qui vient casser, défaire, piétiner les protagonistes précédents, cherchant lourdement à ridiculiser ce qui est sérieux et conséquent pour la société. Voilà le "champion" qu'on fait monter sur le ring de la soirée pour un soi-disant débrief qui ne vise qu'à mettre KO les propos échangés et par là la personne politique, élevant au-dessus d'eux le moqueur et la moquerie, au rang du juge-arbitre, de celui qui a le dernier mot.

Et après ça, avec ça, on s'étonne que l'autorité de l'Etat n'est plus respectée dans les banlieues ! Mais c'est dans nos salons que l'irrespect se propose, c'est à la multitude qu'est l'invite à se moquer de la parole de présidentiables - comme par ailleurs de tout ce qui pourrait ou devrait être mieux respecté.
Certes certains personnages politiques prêtent largement le flanc à la moquerie, et pas des moindres. Mais de là à amalgamer la position d'autorité et l'attitude de certains - ou de tous, car on peut toujours trouver à redire à tout -, de là à quasiment institutionnalisé le moqueur comme dernière bouche à parler - de la même manière sur le sérieux respectable et sur le ridicule -, il y a un monde... que TF1 et Canteloup franchissent allégrement. Pourquoi est-ce pour moi une honte dans/pour un pays ?

Parce que de la dérision, de la raillerie, on arrive vite - voire il y est inclus - au mépris, à l'arrogance ouverte, à la jalousie sournoise ou à la haine déclarée, à toutes sortes de violences, parce qu'il n'y a dans l'entendement et les facultés de beaucoup qu'un tout petit pas, qui peut se faire sans difficulté puisque c'est le sens de notre penchant naturel. Et QUI SE FAIT !

Si l'on savait prendre la Parole de Dieu pour premier et dernier mot - entre quoi il y a une vraie liberté pour penser et dire et vivre bien -, on n'en serait pas là ! Car il nous est dit que le moqueur est aux yeux de Dieu un des pires méchants, qui par cela même, s'expose lui-même aux plus rudes jugements.

Proverbes: 19.29 Les châtiments sont prêts pour les moqueurs, Et les coups pour le dos des insensés.

Psaumes: 1.1 Heureux l'homme qui ne marche pas selon le conseil des méchants, Qui ne s'arrête pas sur la voie des pécheurs, Et qui ne s'assied pas en compagnie des moqueurs...
Et il y en a d'autres...

Ce qui aussi peut se traduire par : Ce qui est prioritaire à la résorption des crises, ne se situe pas au plan économique, mais au plan MORAL. Car si le travail est un don de Dieu comme dit dans l'Ecclésiaste 3.13 , les dons de Dieu d'une manière générale dépendent de la manière dont nous voyons ou pas
- d'abord notre propre comportement pécheur, regardant en nous avant de critiquer les autres (qui sont souvent aussi, si on sait ou ose bien observer, une image révélatrice de ce que nous faisons nous-même),
- ensuite le mal tel qu'il est et comment on se positionne contre, ou on s'y soumet...
Question donc ? Se moquer comme il est fait là peut-il être un bien, un gain pour le pays et pour qui écoute ? Ou est-ce seulement un mal - de plus -, vu ce qu'on peut en lire dans la Bible et/ou vu des effets observables ?...

 

Et donc cette soirée vue dans sa globalité, veut encore dire que si des hommes se démènent pour prendre en mains avec quelque application une gestion de société difficile - et d'autant plus difficile qu'il le font sans Dieu -, les forces occultes sataniques contraires sont aussi, pas loin, tout près parfois, à l'oeuvre. Car il y a là, sur ce plan, le plus réel des combats entre forces dynamiques de vie et forces entropiques de mort. Cela qu'on y croit ou pas... ce qu'on peut soi-même, avec une saine curiosité, apercevoir, découvrir, si on veut apprendre ce qui constitue réellement notre monde, les forces les plus puissantes qui le régentent et le tirent vers le Haut - via des comportements moraux que le Créateur a défini lui-même - ou vers le bas.
Référence donc à des forces démoniaques bien réelles et d'autant plus actives qu'on les ignore ou veut les ignorer, qui continuent à trouver toutes sortes de moyens - antiques ou modernes - pour le discrédit de la race humaine, en vue d'une toujours plus grande main mise de leur part sur elle - sur nous !
...Ce que Jésus seul revenant dans ce monde comme il l'a dit en le quittant, pourra définitivement stopper et éradiquer... 

Une soirée donc qui peut encore donner à réfléchir et à revoir notre copie peut-être !?
Parce qu'on a encore à choisir pour 2017 et la suite, parmi des hommes qui bien sûr jamais ne sont parfaits, celui qui, quand même, offre le plus de chances et de résistance à des avancées émancipatrices qui, sous prétexte de modernité ou de progrès, ne sont pas étrangères en fait à la multiplication de nos problèmes et à notre plus subtile et réelle servitude.
Cela dit, pour l'essenCiel, pour entrer dans la vue et connaissance de l'invisible - Divin et démoniaque - via la vue de leurs effets manifestes.

Soyez béni-e.
 _______________
* parce qu'il y a des divergences de vue sur des points fondamentaux, il y a forcément UN point de vue qui est le juste - ou le plus juste, de loin le meilleur - et DES points de vue problématiques et porteurs de problématiques, qui résultent de l'erreur, de l'ignorance, du préjugé non aperçu, de l'orgueil, de l'influence sur notre faiblesse (manque de construction objectivée réellement personnelle), etc... 
Nous avons à apprendre, à comprendre, ce qu'est et comment se fait notre "arrière-boutique personnelle", dont nos perceptions, notre vue du monde et nos réactions sont les résultats.

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19 novembre 2016 6 19 /11 /novembre /2016 18:50

Manger est un BESOIN ! A nous d'y ajouter de la diversité pour en retirer un PLAISIR (effet, ressenti psychique lié à la satisfaction des besoins naturels).

***

Nous sommes des êtres dépendants. Essentiellement, existentiellement et absolument dépendants. Le plus généralement on existe - pour un temps - sans avoir une  conscience bien éveillée du Réel tel qu'il est, et on ne s'interroge globalement pas sur le fait pandémique de notre absolue dépendance.*

Pourtant pourquoi tant de misères, tant de revendications, de luttes, de discordes, de relations (humaines et avec la nature) difficiles, de guerres ?... Parce qu'on est des êtres dépendants. Avant tout quotidiennement dépendants.


C'est que l'existant sous ses diverses formes terrestres n'est jamais sans rapport avec un environnement qui lui est nécessaire et temporairement suffisant. C'est une évidence sur laquelle nous devons nous arrêter : Comment vivre sans respirer (de l'air qui n'est pas nous – respirer étant d'une certaine manière : se nourrir), et sans se nourrir (d'aliments solides ou liquides qui ne sont pas nous, mais se trouvent là, à portée de mains ou à portée de fusil, à portée de travail… ou pas) ?

Cette disposition concerne tout le vivant. C'est un principe même du vivant. Parce que la vie aux expressions multiples que nous connaissons sur la terre n'est pas vie en soi ! N'est pas porteuse de sa permanence et pérennité. La vie a besoin du non-vivant pour durer, de l'invisible qui se respire, de l'amorphe qui s'assimile. On est conçus ainsi, nous-même comme la moindre amibe.

Dès lors qu'on observe ce simple fait - qui est plus que le nez au milieu de la figure - en rapport de la théorie évolutionniste – qui prétend remettre toutes créations à des hasards et des nécessités -, il est clair que la vie n'a pas pu apparaître et subsister sans des rapports très précis avec des environnements dont elle dépend dès sa parution. Parce que la moindre expression cellulaire ne peut vivre sans respirer et se nourrir et se mouvoir, ce qui demande une "finition globale" dès l'origine, un état d'achèvement indéniable, d'une complexité - irréductible - qui ne laisse pas à d'éventuels hasards constructeurs tâtonnants, un laps de temps suffisant pour trouver toutes les solutions que réclament, outre des nécessités accidentelles, le simple fait - majeur et inhérent - que ce qui vit ne peut jamais se suffire à lui-même.

      Rien donc que cette question des dépendances auxquelles est soumis le vivant suffit à balayer un quelconque dieu Hasard qui finirait toujours par résoudre les problèmes rencontrés par la vie.

      Ce ne sont pas quelques expériences faites par Stanley Miller ou d'autres à sa suite - qui ont produit des acides aminés vivants quelques secondes - qui peuvent étayer une vue purement matérialiste du Réel et du vivant. Si l'on devenait plus sérieux dans la dimension scientifique – le contraire de sérieux étant partisan, obstiné, à partir d'une hypothèse dont on ne veut pas démordre, jusqu'à l'aveuglement le plus total -, si l'on devenait plus honnête et conséquent donc, on résoudrait beaucoup de problèmes en très peu de temps…


Parce que la vie est bien au-delà de l'acide aminé - dite "brique élémentaire"dans l'ordre physique de la construction du vivant. Bien au-delà aussi des protéines dont le vivant a BESOIN dès sa conception pour durer et se développer...
Il faut à l'organisation du vivant - même unicellulaire - des dispositions d'informations et des moyens de traitement des informations. Ce qui pose dès le départ la question d'une nécessaire intelligence non seulement incluse dès l'origine de ce qui va se mettre à vivre, mais encore qui précède les expressions de vie sur la terre. Rien que l'ADN et l'ARN devrait nous arrêter… avant que nous croyons ou déclamions ou professions qu'il n'y a pas un Dieu, que tout n'est que matière et énergie mesurables.

      Tant déjà qu'on confond cerveau et âme - comme on confondrait l'écran qu'un ordinateur avec son utilisateur ! - et encore les réalités typiquement physiologique et psychique avec la réalité physique, on restera bloqués pour notre malheur dans un matérialisme aux conséquences désastreuses, que de plus des croyances religieuses peuvent tenir en échec dès lors que l'on fait… parler la poudre ou exploser l'atome.
Je veux dire que sans une connaissance transcendante, expérimentale, révolutionnaire, du Dieu créateur, athéisme et religions et religions entre elles subsisteront comme des dualités antagonistes, dominant toujours les bonnes volontés de tous bords et entravant les progrès les plus véritablement bénéfiques pour le genre humain.
Et cela au point où chacun, de toutes parts, étant persuadé d'être dans le camp du Bien, d'avoir LA bonne solution pour l'unité procurant la paix mondiale, vise – non pas à changer son propre coeur, non pas à remettre en cause en quoi il est d'abord un produit fabriqué (par héritage, familial et/ou sociétal et auto-construction sur cette base) - mais vise à amener l'autre à sa vue propre, à se convertir, ce qui se fait par des discours élaborés par la sève (substantielle moelle) de la psychologie et produits dérivés, OU par des pressions et limitations diverses - surtout des autres pensances - jusqu'aux brassages de populations, massacres ethniques ou religieux, et - bientôt ! – totalitarisme universel**…

      Dépendant, l'homme, et le vivant d'une façon générale sont des réalités… en creux. Des réalités habitées de vides à remplir : poumons, cœur, vaisseaux sanguins, cerveau, estomac, intestins, cellules, mais aussi cette fameuse âme (psyché du grec psuché) qui est l'émergence essentielle du corps physiologique, et d'où émerge notre conscience d'être une réalité en soi : moi !
Réalité en soi mais surtout en creux ! Qui a incessamment besoin de renouvellement d'énergies et donc de combustibles et de comburants...

Ainsi Dieu dit et il fit, liant à chaque besoin un plaisir particulier pour que les dépendances dans lesquelles on se forme en tant qu'individualité, soit une bénédiction et ne soit pas prise pour de simples contraintes.

La dépendance - ou besoin - est donc, avec l'évolution - ou capacité (intelligente) d'adaptation -,  un des moteurs élémentaires du vivant. En d'autres termes un environnement ou milieu donné, préétabli, à la fois base et supplément des règnes vivants, ne peut être exclu de la notion de moteur du vie.
...Et il y en a d'autres, qu'on peut découvrir, comme se sont découvertes les quatre forces élémentaires de l'univers. Pour le vivant il y en a plus de quatre - dont le Créateur qui est la vie sans fin bien sûr…

Chercher ou connaître Dieu contient bien plus que d'avoir une excellente capacité cognitive, réflexive, mémoire, intuition... ou encore une religion à défendre ou à proposer, parce qu'"auprès de Lui est la source de la vie" et "fais de l'Eternel-Dieu tes délices, et il te donnera ce que ton cœur désire."

Et Jésus lui répondit ...

Soyez béni-e.   

_____________

* N'en déplaise aux libre-penseurs qui devront toute leur existence durant supporter les innombrables déterminismes divins et problématiques qui l'encadrent et la régissent... tant qu'ils ne seront pas capables, à partir de rien, de se créer eux-mêmes...

* *Totalitarisme et Bientôt, parce que la Bible dans plusieurs de ses livres a parlé concernant des "temps de la fin des nations".

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  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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