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12 juillet 2019 5 12 /07 /juillet /2019 18:42

Aussi préfiguratif, deux ans avant la 1ère guerre mondiale.

L'état d'entropie (déstructuration, décomposition, mutation incontrôlée) croissante des sociétés et relations humaines, ne doit pas nous empêcher, pour le temps qu'il nous reste à vivre dans ce monde, de mettre nos mains à la pâte de sa finalité.

Il s'agit au final de parvenir à une conscience du Réel élargie, qui va de la conscience basique initiale de soi à celle du non-soi, savoir celle des autres, de nos environnements et essentiellement de Dieu - le vrai ! qui est à la fois Créateur et Rédempteur. 

Voici encore écho de sa voix attentive aux perdus cosmiques et spirituels et aliénés psychiques que nous sommes tous par condition naturelle (générique et ajouts personnels).

PENSÉE DIVINE GÉNÉRALE

Dans sa première partie (Ancien Testament ou Tanakh initialement destiné au peuple juif), la Bible rapporte et indique à quiconque (peuples de tous les temps et individus) ce qu'il faudrait faire - et comment cela n'est pas fait  !- pour parvenir à entrer dans une relation rétablie et durable (qu'on a tous perdue) avec Dieu. 
On parle ici de la finalité recherchée par le Divin, de ré-unir en lui le genre humain par la voie système qu'on appelle religion.

L'histoire entière rapporte l'échec de ce moyen. Moyen cependant légitime de la part d'un Dieu saint, parfait en lui-même, voire agréable à pratiquer, mais surtout impuissant pour changer nos cœurs (notre nature adamique, malencontreusement marquée par une dynamique interne maléfique appelée "le mal" ou "le péché").

Dieu laissa en effet environ 15 siècles à la descendance d'Abraham,d' Isaac et de Jacob pour qu'elle tente de suivre cette Loi (ou Torah) et surtout - finalité de toute religion, que Dieu permet à cette fin - pour réaliser avec contrition, voire avec larmes, que cela n'est pas possible en l'état.
C'est à cette sincérité navrée et navrante que Dieu attend que tous croyants parviennent. Car ce n'est que de là qu'une solution victorieuse peut apparaître... de sa part. 

C'est ainsi que l'histoire de la terre n'est très largement qu'expressions lamentables (tragiques, conflictuelles, horribles, douloureuses, de cet état d'échec sans cesse réitéré de la part des générations d'Israël et plus largement des descendances d'Abra(ha)m et autres goïm (étrangers à cette descendance sémitique).

D'UN SYSTÈME À UNE PERSONNE

Et donc, parce que quand même un petit reste de juifs s'attendent (il y a un peu plus de 2  000 ans) à la venue de la solution divine - un "Schilo", un "mashiah (Messie) promis comme libérateur, Dieu après 400 ans de silence lance la seconde partie de son plan de rédemption : C'est l'apparition de la personne de Jésus.
En substance, désormais Dieu dit que l'approche de la divinité par quelques pratiques religieuses que ce soit - toujours marquées d'infidélité, d'hypocrisie, de stagnation, d'irritation ou de frustration) n'aura jamais lieu. Que les croyances et efforts religieux avérés impuissants doivent maintenant être changés en une foi tout autre, où l'on ne pas plus avoir à chercher à gravir la montagne (inviolable) de Dieu, mais simplement croire que quelqu'un - Jésus, le Messie juif, le Christ des nations) l'a gravie avec succès pour nous tous.
Cela s'appelle Évangile (du grec ancien evangelion qui signifie Bonne Nouvelle - Gospel en anglais), formant pour sa transmission la seconde partie de la Bible : le Nouveau Testament.

C'est ainsi que l'état du cœur des hommes, femmes et enfants commença à changer sous l'effet de la foi placée en Jésus comme Sauveur et libérateur du mal.
Malgré que des hommes trafiquèrent avec l’Évangile au point de créer des "religions chrétiennes" - un oxymore -, des nations entières se formèrent sur les fondements évangéliques, d'abord après la chute de l'Empire romain (IVe siècle), et plus tard par le renouveau que fut le réveil spirituel initié par le moine Martin Luther pour désenliser de la religiosité résurgente (au XVIe siècle). 

MAIS L'HUMAIN PEUT ENCORE ÊTRE RELIGIEUX ET TERRIBLE - USURPATEUR

C'est un des risques de la liberté dont Dieu nous apourvu.
Ainsi, dès le XVIIIe siècle quelques antireligieux (dont Voltaire n'est pas le moindre, non sans raison mais de bien mauvaise manière) entreprirent de jeter (dénoncer) les eaux sales, agitées et sanglantes ecclésiales... jusqu'à progressivement occulter parmi toute l'Europe la pensée de Dieu (dans la mesure où les trahisons des hommes l'obligent). 

D'où naquit l'humanisme, où l'on prend les valeurs, les bonnes choses, les bénédictions héritées issues de la foi des ancêtres, tout en ne voulant pas de Celui qui les dispensent...
Un ersatz, un placebo même, qui ne peut durer (tromper son monde sur la justesse de son point de vue) qu'un temps.

C'est ainsi que comme l'institution ecclésiale dominante (catholique) fut jugée pour ses déviances et intrigues de manière sévère à partir de 1789 (notamment par des expropriations massives de biens et autres assassinats de religieux), l'humanisme va être jugé à son tour.
(Mal) habité par un concept de laïcité tôt dévié du bien-fondé de son origine), l'humanisme va vite laisser voir le cœur de ses principaux leaders (agitateurs), se mutant en socialisme, une idéologie qui n'est pas étrangère à la pensée de Marx et Hegel fondée sur la lutte entre humains.  
La virulence de la doctrine éclate fin du XIXe et début du XXe siècle, avec un combat politique qui emporte la "séparation de l’Église et de l’État", une formule inappropriée (qui nomme Église ce qui n'en est pas la plus juste expression) qui n'est en fait que la prise du pouvoir politique français par des athées (ou athées et croyants affiliés à quelque secte occulte).

On est en 1905. Jean-Jaurès, passionné par la force que représente le pouvoir politique autant qu'il l'est au plus profond par sa foi vivante au Christ est amené à lâché cette dernière : l'amalgame n'est pas tenable, il apostasie... et il est assassiné (pour cette trahison spirituelle ? car comment vouloir la paix sans son divin Prince !?) et la France prise d'assaut par ceux qui veut son bonheur et des libertés sans le secours de Dieu est envahit : 1ère guerre qui devient "mondiale".

L'humanisme a été là une tentative d'impérialisme à partir du nationalisme (orgueilleux) allemand.
A quelque distance (géographique et temporelle) de là, en Russie Lénine s'empare de la même idéologie commençant son action marxiste révolutionnaire avec le Parti ouvrier social-démocrate.
Mais très vite, pour mieux soumettre les hommes, il faut les collectiviser de force, les tenir par la dépendance en l’État propriétaire de tout. Une expérience athée qui tourne à une nouvelle forme de l'esclavage, ou d'un totalitarisme progressivement terriblement meurtrier et horrible - démoniaque pour tout dire, comme c'est avec Hitler plus à l'Ouest...

XXe siècle, LE PLUS MEURTRIER DE TOUTE L'HISTOIRE

Faute de revenir à Dieu en tant que nation, en 1918 la France n'a que le temps de se donner une nouvelle jeunesse qui va devenir de "la chair à canon".
La liste des dizaines de millions de morts s'allongent.

Après 1945, le bilan d'une politique menée en laissant délibérément Dieu et la foi en retrait de nos affaires, n'ai pas mieux fait en matière de justice sociale que ce qui était reproché aux religieux tenant les rênes du pouvoir : désormais les morts se comptent par dizaines de millions !

Alors que les survivants de l'Europe disloquée cherchent des termes de paix - toujours sans revenir à Dieu, que pourtant ils ont ô combien invoqué au cours des hostilités ! -, en Chine l'humanisme collectiviste trouve en Mao Tsé-Toung un nouvel outil bien disposé pour imposer l'unité des hommes sans l'amour (de Christ) qui serait nécessaire, donc par les armes et toutes sortes de répression et de meurtres.

C'est que pas plus les valeurs chrétiennes qu'on veut appliquer humainement sans Christ, que les religions qui poursuivent le même but d'unir et de faire grandir une unité par une religion, n'ont de force pour le bien.

NOUVELLE STRATÉGIE... OU TRAGÉDIE ?

Ne faisons plus la guerre mais faisons l'amour, proposent - et s'illusionnent - les jeunesses occidentales qui fleurissent malgré tout des guerres.
Les années 60 avec le pic de Mai 68 sont ces nouvelles années folles qui avaient suivies l'armistice de 18.

Mais ce débridement des mœurs va s'avérait en moins de trois générations une véritable bombe à retardement... comme on a appris à en fabriquer, des nucléaires, par ailleurs.
Car les plaisirs immédiats obtenus par cette prétendue libération des corps (féminin surtout) vont faire apparaître de plus en plus de grossesses non désirées, toute une progéniture naturelle, adultérine, voire née d'inceste ou d'acte pédophile.

La science comme l'art et les réflexions philosophiques impies avancent sans frein, apportant effectivement au fils des ans un confort matériel heureux à surabondant ; le cubisme et autres arts abstraits et musiques déjantées jusqu'aux confessions des satanistes ; l'existentialisme qui confesse de son côté l'échec de la compréhension et ouvre la voie à la désespérance suicidaire ; la subjectivité va prendre le dessus à la place du sens : les opinions - même des enfants - sont érigés en vérités objectives.

Il résulte de toutes ces forces développées sans schéma directeur, dans la quête d'un développement de soi qu'on prend pour la désaliénation qui nous est nécessaire, des productions technologiques qui nous étouffent, des relations obligées de toutes sortes de plus en plus difficiles, éprouvantes, dégradées, conflictuelles. Et on n'est qu'au début de la fin...

On crée des concepts artificieux qui vont s'avérer dramatiques, toujours plus mortifères et meurtriers.
On confond progrès (calculés, mûris, bénéfiques) et progression (réactive, obstiné, aléatoire, où le changement importe plus que ce qui va effectivement en résulter (ce qu'on appelle progressisme).

Bref, on a construit un Titanic aquatique (1912), puis des Titanic sociétaux, "culturels", qu'on veut maintenant unifier par le calcul mental humain, toujours sans Dieu.
On navigue dans la nuit, dans l'éclairage - et moins encore - insuffisant des lumières du XVIIIe (siècle), et de très gros icebergs se promènent à la surface de notre monde, qui ne veulent certainement pas se dérouter pour laisser l'avantage à Lord Humanisme-social-capital, à Dame Républicaine laïque.

DES PROPHÉTIES POUR REPÈRES

La Bible semble montrer que l'Amérique va être mise complétement out dans la préparation du sprint final pour l'hégémonie planétaire.  Catastrophe naturelle énorme ou cataclysme par une attaque ou riposte nucléaire qui va mettre le géant au sol !?...
Toujours est-il que la Bible fait référence à un Empire romain reconstitué - en tout cas géographiquement -Christ Sauveur, c'est-à-dire dans toute la vulnérabilité qui a déjà permis plus d'une fois à Satan et ses légions d'anghes déchus et dépravés de s'imposer aux créatures intelligentes mais pas très futées (affutées) que nous sommes de manière naturelle.

RETOUR AUX SOURCES

Là où l'eau n'a pas encore été polluées.
Avec un rappel à la loi divine - comme base de la connaissance du bien et du mal et moyen de que nous nous voyons coupables devant Dieu par plus d'un acte, d'une parole ou d'une pensée ;
Et le rappel que Dieu est compatissant à la vue de nos faillites, de notre imbécilité, de nos illusions, de notre mégalomanie, de nos déboires et souffrances..., tenant encore en réserve pour nous sa Grâce, le pardon de nos fautes (que notre conscience connaît bien ou que l'Esprit de Dieu nous rappelle maintenant) et le don de son Esprit pour nous changer et transmettre sa vie éternelle même.
Et cela consiste à nous faire naître une nouvelle fois, à une compréhension et à une vie tout autre ancrée dans le Ciel spirituel (lire Jean chap. 1, vers. 12 et 13 et chap. 3.1... ).

Dans 1Corinthiens 15. 33 on peut lire : "Ne vous y trompez pas : les mauvaises compagnies corrompent les bonnes mœurs.34 Revenez à vous-mêmes, comme il est convenable, et ne péchez point ; car quelques-uns (parmi les dits-chrétiens ou autres croyants) ne connaissent pas Dieu, je le dis à votre honte." Lire encore Luc 15, 10,24.

Ce qui arrive dans les rues (grèves, manifs, attentats, vagues de violence...) et encore dans les campagnes au milieu des agriculteurs, n'est-ce pas aussi des signes d'un temps mauvais comme dit le berger-prophète Amos ? chap. 5, vers.15 : "Haïssez le mal et aimez le bien, Faites régner à la porte la justice ; Et peut-être l'Éternel, le Dieu des armées, aura pitié Des restes de Joseph.16 C'est pourquoi ainsi parle l'Éternel, le Dieu des armées, le Seigneur ; Dans toutes les places on se lamentera, Dans toutes les rues on dira : Hélas ! hélas ! On appellera le laboureur au deuil, Et aux lamentations ceux qui disent des complaintes."

Malgré leur ancienneté les Écritures venues de Dieu n'ont pas vieillies et peuvent encore parler à quiconque ouvre son oreille pour connaître ce qu'est véritablement ce monde que nous vivons, et qui est le Dieu véritable encore capable de sauver et protéger ceux qui se confient dans son nom rédempteur : Jésus, Yeshoua en hébreu d'origine, ce qui signifie "Dieu sauve". (Matthieu 1.21).

Le Titanic est en train de se casser en deux. Dans un soubresaut, pendant 3 ans et 1/2 on va croire avoir trouvé la solution pour une paix durable entre les peuples - notamment entre Israël et les pays arabes -. Mais les accords ne tiendront pas. Alors une ruine soudaine arrivera sur le monde...

Jésus a parlé. Sans qu'il ait rien écrit lui-même ses disciples mus par l'Esprit de Dieu nous ont rapporté ses paroles essentielles et donné la Bible. L'internet même participe de cette ouvre de salut de nos âmes, de VOTRE âme comme de la mienne.

Allez-vous rester indécis-e, seulement soumis-e à la mollesse générale, aux sur-informations endormantes et à la grande boucherie qui vient ? Ou bien dès maintenant réagissez-vous, cherchez-vous le Dieu vivant - qui fait partie du domaine de ce qui nous est connaissable ?

Soyez béni-e, et sauvé-e.

Mon secours est en toi Impact

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4 juillet 2019 4 04 /07 /juillet /2019 17:00

Merci de participer à diffuser vers les intéressés si vous le pouvez

Faut-il que nous soyons indécis, que la médecine ne sache pas mieux qu'existe dans notre vivant une composante majeure distincte qui s'appelle l'âme (ou psychisme, du grec psuché), et que des parents croyants ne secourent pas mieux leur fils (ou époux) par leur intervention !
Mais que cela ne soit pas une fatalité qui laisse impuissant devant l'adversité.

Car on peut heureusement pallier à ce manque terrible, cruel, sociétal, vis-à-vis de la lumière de l’Évangile, par de la connaissance et en accueillant l'amour de la vérité nous concernant et concernant Christ.

FAIRE PARLER LA BIBLE

En ouvrant la Bible, on peut lire ce fait d'actualité d'alors rapporté par le médecin grec Luc (chap. 13) : "En ce même temps, quelques personnes qui se trouvaient là racontaient à Jésus ce qui était arrivé à des Galiléens dont Pilate avait mêlé le sang avec celui de leurs sacrifices. Il leur répondit : "Croyez-vous que ces Galiléens fussent de plus grands pécheurs que tous les autres Galiléens, parce qu'ils ont souffert de la sorte ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également. Ou bien, ces dix-huit personnes sur qui est tombée la tour de Siloé et qu'elle a tuées, croyez-vous qu'elles fussent plus coupables que tous les autres habitants de Jérusalem ? Non, je vous le dis. Mais si vous ne vous repentez, vous périrez tous également."

 Le fondement de notre condition est que nous sommes tous des "pécheurs", des "pécheresses", ce qui n'est guère flatteur nous l'admettons bien volontiers. Cela signifie étymologiquement des gens qui manquons régulièrement le but du bien. Pécher, mal faire (dire, penser), c'est toujours ne pas faire ce qui est bien (bien dont Jésus a dit que l'amour de Dieu déversé dans nos cœurs est la clé).

Et donc laissons-nous un peu remettre à notre place, à notre plus juste hauteur, car il vaut mieux être abaissés par une parole biblique plutôt que de jouer les arrogants. Selon que la Bonne Nouvelle de l'attitude de Dieu en face des pécheurs, c'est qu'il fait grâce aux humbles, alors qu'il résiste aux orgueilleux.
Et donc, voilà à quoi contribue, dans son état, indirectement mais combien activement, Vincent Lambert - l'épreuve étant globalement ce qui révèle le mieux ce qu'est le vrai fond de nos cœurs.

LA FOI À METTRE EN PRATIQUE

Alors maintenant soyons pragmatiques. C'est-à-dire devenons spirituels. Comprenons que les accidents graves ne nous arrivent jamais par hasard ! J'en ai connu un limite, et j'ai appris la causalité sous-jacente qui existe là (comme partout ailleurs dans l'univers).

Donc, on doit admettre, pour cet accident tragique, qu'il y a quelque part au moins une faute caractérisée commise par Vincent, dont l'aboutissement fut ce qu'il supporte encore... et pourrait supporter encore au delà de sa mort physiologique, tout ne finissant assurément pas par un encéphalogramme plat, le refroidissement du corps étant l'expression causale de la sortie finale et migration de l'âme (quand le lien entre les deux corps, physique et psychique, est rompu).

La foi chrétienne n'est pas prise de court dans tous les cas, puisque nous pouvons prier sous ces diverses formes pour le pardon des péchés (dans la mesure où nous savons et avons quelque prise de conscience de ces vérités spirituelles, avançant humblement, avec contrition et/ou compassion pour qui en a besoin).

Dans l'idéal ici, il conviendrait que les parents ou l'épouse parlent à Vincent qui, fort probablement, entend tout ce qui se dit, puisque le réceptacle des sons (des images, etc...) c'est l'âme. Lui disent qu'il a à demander (intérieurement) pardon à Dieu pour ce qu'il a fait lui-même de mal. En demandant à Dieu de ramener au plan de sa conscience ce qu'il peut avoir oublié et doit être à confesser...
Pour l'avoir fait récemment avec une tante qui ne bougeait plus, je l'ai vu, par le mouvement de sa mâchoire inférieure se mettre à parler à Dieu, répétant après moi des paroles de repentance et d'abandon à Dieu pour être reçue dans son Royaume.
Après de longues semaines de stagnation, elle partit moins de deux jours après. La Bible parle de ces cas de rédemption in-extremis, comme ce fut pour un des deux brigands crucifiés à côté de Jésus, qui fut ainsi sauvé par pure grâce, au dernier moment, par sa foi).

Et quelqu'un peut-être pourra avoir à demander pardon à Vincent, ce qui pourra libérer l'un(e) et l'autre (le pardon demandé et accordé est une puissance qui libère).

VENIR AU BÉNÉFICE DU SACRIFICE DE JÉSUS

Car pourquoi Jésus est-il mort, si ce n'est pour que les pécheurs et pécheresses puissent être libérés et mis en paix avec Dieu par le pardon qu'il désire toujours accorder aux âmes repentantes ?

En témoigne aussi l'épisode fameux de la femme adultère (Évangile selon Jean, ch. 8) ;
ce que dit aussi cette parole du même disciple (ch. 3) : "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu.19 Et ce jugement c'est que, la lumière étant venue dans le monde, les hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises."

Dans la Bible, on voit encore la compassion de quatre amis qui font descendre devant Jésus un grabataire sur son lit. A la vue de la foi de ces amis, Jésus dit à l'homme : "Mon enfant, tes péchés sont pardonnés.
Enfin, les apôtres Paul et Silas dirent au geôlier désespéré de la prison de la ville grecque de Philippes : "
 Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille."

Et ne le ferait-il pas avec Vincent si une vraie foi de ses familiers dans la vertu de la grâce christique est mise en œuvre ? Dieu lit au cœur : la croyance superstitieuse ou la foi mal placée ne procure que des déconvenues. Mais la foi au Christ Jésus mort pour nos péchés et ressuscité sauve !
Et il s'agit maintenant de libérer Vincent du fardeau de ses fautes (voire d'autres, antérieures) pour le laisser rencontrer celui qui veut réellement maintenant devenir son Dieu.

Alors, parents ou amis croyants qui pouvez approcher Vincent, soyez, devenez de vrais intercesseurs afin que la gloire de Dieu, visible ou invisible et de toute façon déjà manifestée en Jésus ressuscité, puisse devenir sans plus tarder le partage bienheureux de Vincent.

"Si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même  (Jésus) dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché. 8 Si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous séduisons nous-mêmes, et la vérité n'est point en nous. 9 Si nous confessons nos péchés, il est fidèle et juste pour nous les pardonner, et pour nous purifier de toute iniquité."

Et "...Priez les uns pour les autres, afin que vous soyez guéris. La prière fervente du juste a une grande efficace."

Soyez bénis.

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9 juin 2019 7 09 /06 /juin /2019 09:44

Suite éventuelle de l'article sur La Pentecôte...

POURQUOI LA CRUCIFIXION DE JÉSUS ?
Il peut être encore important de bien comprendre ce que fut et ce que reste la croix.
La crucifixion a pour finalité l'anéantissement, comme englouti dans un trou noir, de tout le mal qui a germé un jour parmi les créations.
Parti d'un ange qui s'est enflé d'orgueil et a contaminé 1/3 d'autres anges magnifiques puis l'humanité entière (à partir d'un premier couple originel), le mal et sa puissance désorganisatrice et désunisatrice a pris potentiellement fin à la croix, brisés contre le corps et l'âme de Jésus.

L'accomplissement de cette victoire remportée sur les forces du mal s'opère progressivement et sera achevé quand Satan et ceux qui se seront entêtés à mal faire seront jetés dans un "étang ardent de feu et de soufre" (ce qu'on appelle l'enfer éternel) et quand il n'y aura plus de mort. "Le dernier ennemi à être détruit, c'est la mort".

TOUTES LES EXPRESSIONS POSSIBLES DU MAL CONCENTRÉES EN UN POINT
Les 4 directions ou points cardinaux du mal que la mort de Jésus absorbe comme un buvard absorbe une tache, sont les suivants :

1 - LA LOI DU PÉCHÉ
C'est le mal sous la forme d'une loi dominante en nous - la loi du péché - qui nous pousse contre notre volonté même à mal faire.
La foi en la mort propitiatoire de Jésus permet le pardon de nos péchés (les effets de la dynamique de cette loi maligne intégrée dans les cœurs de tout le genre humain).

Par ailleurs, plus profondément et plus heureusement ce que Jésus subit permet de recevoir par la foi la délivrance de la force de la cause du mal en nous, de cette loi de notre dérèglement psychique et physique capable de dominer notre volonté. Une force maligne addictive donc, qui nous pousse à mentir, à dérober, à critiquer, à convoiter, à soupçonner le mal, à magouiller, à séduire à de mauvaises fins, à être déprimé, violent, incrédule, pervers, etc...) ;

2 - LA LOI DE LA MORT
L'autre aspect de cette loi sévère qui s'est inscrite en nous par la chute du premier homme, et qui se transmet génétiquement, est la loi de la mort.
Cette réalité irrépressible terrible qui est toujours source de séparation, d'inimitié, d'opposition, entre Dieu et nous et les uns envers les autres, se présente sous plusieurs formes, s'exerce sur plusieurs plans.
- Mort physique qui se voit (en réalité fin de la vie physiologique, végétale)

- mais aussi mort spirituelle - qui la précède (d'où notre impiété naturelle) dès lors que notre comportement s'enfonce hors des lois-cadre de ce qui est favorable au maintien de l'esprit de Dieu en nous. Et par là se retire aussi la paix, la joie naturelle, l'amour, l'unité en soi et avec les autres...

- Il y a aussi la mort psychique (de notre âme, c'est-à-dire de nous en tant qu'entité consciente d'exister). Cela peut être comme l'image du dernier round d'un combat de boxe, interrompu par un K.O. (know out qui signifie sortie ou perte de connaissance). Ce qui est le pire moyen de la fin du mal en nous/pour nous.
Heureusement, la rédemption par la mort de Jésus est précisément là pour se substituer à la consommation totale de cette défaite face à la vie. La foi que Jésus est mort pour nous éviter cette perdition éternelle de soi est l'unique moyen que Dieu fait connaître pour échapper à cette fatalité (qui dès lors devient relative).
(voir éventuellement mon article détaillé sur Les 5 types de mort).

- LA MISE EN ÉVIDENCE DES ESPRITS DÉPRAVÉS (ou DÉMONS) 
3e direction où la crucifixion de Jésus rencontre et intercepte le mal, la sphère céleste ouverte par Satan et peuplé des anges satanisés, devenus des démons. Là aussi la foi en Jésus, le recours à sa personne, au sang purificateur de son œuvre expiatoire, à son nom (qui est au-dessus de tout nom prononçable) sont le moyen de se dégager des influences, pressions, oppressions, obsessions, possessions occasionnées par les esprits de cette rébellion agitant des lieux célestes (spirituels), au milieu de nous et possiblement en nous ;

- L'ESPRIT DU MONDE
4e sphère où le mal sévit fort, nous influence
, peut faire de nous des moutons ou des loups, des requins, nous atteint subtilement ou encore nous fait tomber dans ses travers, ses révoltes et autres perversions et sévices exacerbées. C'est la sphère psychique de notre monde, l'anima mundi, qui est le tissu invisible mais influent dans lequel on est immergés. La somme et plus des forces humaines regroupées en société (en culture, religion ou idéologie) dans laquelle nous sommes bien obligés de vivre.

Pour défaire toutes ses forces, Jésus a eu la force, la détermination, le courage inouï, unique, d'accepter de mourir à notre place, afin que nous puissions éviter, par l'exercice du principe de la foi, tout ou partie de ce qu'il dut subir là des heures durant.
C'est ainsi qu'on peut voir en regardant cette croix dressée entre Ciel et terre comme un
e échelle ou une tour forte qui nous met Dieu à portée du cœur et de la saine raison.
C'est
encore un paratonnerre contre le mal, le lieu où regarder pour être secouru et sauvé.

ENCORE UNE AUTRE MANIÈRE DE VOIR
Cette fois il s'agit de quatre manières de voir cette crucifixion. On peut y voir sous quatre angles, comme quatre événements simultanés et quatre significations complémentaires de ce qu'est ce qu'on appelle la croix.

- On peut voir un simple homme coupable, qui a été arrêté, jugé et condamné, et qui paie par ce châtiment pour le mal qu'il a fait.
C'est en fait ce que Jésus a fait en se laissant arrêter et crucifier pour subir les effets du mal à la place de qu'importe quel simple être humain, le quidam ou personne lambda que nous sommes tous.

- On peut voir la cruauté qui peut habiter chaque personne du genre humain. Car ce sont là des chefs et des fidèles religieux rassemblés en foule qui agissent - soumis à la loi dont j'ai parlé du péché en eux. Ils en perdent toute notion de justice, toute lucidité, notamment à partir de leur hypocrisie et de leur légalisme (religieux) mis en évidence par Jésus... mais qu'ils n'ont pas accepté d'admettre.

Cela montre toute l'impuissance de commandements religieux imposés et/ou qu'on s'impose soi-même en vue d'une vie en société bénie, agréée de Dieu.
Et ce mal qui nait de la religion même, Dieu veut le rendre évident au cœur de tous croyants, quelle que soit sa religion. Aucune ne peut changer nos cœurs
et nos comportements réactifs, que Dieu seul quand on a l’honnêteté de se voir si mauvais et tellement en besoin de lui. Car Dieu par Jésus ne sauve que des pécheurs et pécheresses qui se voit comme tels.

C'est aussi la cruauté de soldats (romains d'alors ou de toute origine d'aujourd'hui), dont le cœur est devenu de pierre, car frapper ou tuer homme, femme ou enfant fait à un moment ou à un autre partie de leur quotidien. Ils sont formés (conditionnés, programmés) pour cela. 
Et de la même manière les jeux vidéos sont nombreux pour déformer jusqu'à l'anéantir de la même manière l'humanité en nous.

Autant on tient à sa propre vie, autant la vie humaine compte pour zéro quand on est mis en cette disposition de guerre...

- Et puis c'est la réalité des démons, de Satan qui est aussi là mise en évidence. Leur force destructrice indépendante de toute justice, leur hystérie qui se communique aux hommes - comme lorsque des casseurs sortent de parmi les gilets jaunes, et en profitent.
La Bible dit que par la croix Jésus a mis publiquement en spectacle la réalité des démons et du diable. Ce qu'on peut toujours observer dès lors qu'on regarde certains événements extrêmes d'actualité. Et cela d'autant plus que Jésus et sa victoire sur les forces du mal n'est pas reçu, pas cru, pas ajouté à notre existence.

Le Psaume 22 donne une image fidèle qui décrit ce qui se passe dans cette dimension invisible des esprits agissant lors de la crucifixion. Ce qu'on ne perçoit pour notre part naturelle, par nos yeux de chair, seulement par les effets produits.

- Enfin, on peut voir et entendre que les sources du mal déchaînées contre lui, pour lui infliger la pire concentration de toutes formes de maux et de souffrances (physiques, psychiques et spirituelles) sont acceptées en toute conscience préalable et immédiate par Jésus.
Il sait qu'il n'y a aucun autre moyen possible pour pouvoir reprendre au mal son autorité maléfique et mortifère et dégager le genre humain des horreurs présentes, et de l'horreur éternel possible.

Pour vaincre tout le mal, il faut être comme un trou noir dont la force gravitationnelle absorbe tout. Jésus en croix c'est aussi comme un aspivenin qui délivre des effets des forces mortelles du mal quiconque y regarde et se l'applique.
On voit alors à la fois l'horreur que représente le péché - notre péché -  pour Dieu, et en même temps
l'amour de Dieu qui se donne là corps et âme pour nous, pour qu'on puisse être purifiés, lavés, délivrés, désaliénés, sauvés. Ce qui ne dépend plus que de notre conscience honnête et de notre foi.

Ces quatre directions de délivrance et ces quatre aspects de la croix sont vrais et réels.
C'est comme de la dynamite avant qu'on lui donne le pouvoir de libérer sa puissance.
C'est comme la graine qui semble minuscule mais qui contient tout le matériel et programme génétiques d'une plante ornementale magnifique ou d'un arbre gigantesque.

Ne méprisons jamais ce qui semble petit : La Fontaine nous a dit qu'un jour un lion pris dans un filet n'a pu se délivrer lui-même, mais sa liberté lui fut rendu par un rat. Rendez-vous compte ! Sur la croix il est dit que Jésus s'est fait semblable au pire des homme (au plan de la sanction méritée). La Bible dit qu'il s'est fait péché pour nous, et l'Ancien Testament en donne l'image d'un serpent élevé sur une perche afin que le transfert des forces du mal qui nous dominent se fasse de nous à lui.

Dès lors que faire ?

UNE PUISSANCE ACCESSIBLE, LIBÉRABLE, PAR NOTRE FOI
Ce qui est évoqué ici nous est accessible par notre foi.
Ainsi ce n'est pas en un manque de force dans ce qu'il opère que nous devons croire lorsque nous sommes placés en face de Jésus crucifié, mais en la faiblesse terrible de notre foi et de notre entendement qui ne savent pas saisir tout ce qu'il y a là de miraculeux comme potentiel libérable en notre faveur.
C'est notre propre incrédulité, fausseté, manque ou absence d'amour de la vérité, légèreté, ignorance, peu d'intérêt pour l'essentiel, p
assion pour des choses ou plaisirs secondaires (bons ou malsains), idolâtrie, autosatisfaction, addiction... qui empêchent que la puissance enfermée dans cet acte d'amour inouï que fut cette mort de Jésus, qui nous privent des meilleurs effets de la victoire de la croix sur le mal auquel nous sommes si intimement liés.

Aussi plutôt que de dénigrer Jésus et ce qu'il a fait de sa vie en faveur de la nôtre, croyons, croyez, et vous permettrez à Dieu par son Esprit d'opérer en vous des effets significatifs de la mort et de la résurrection du Fils du Dieu vivant.

Un jour, un homme se trouvant face à Jésus eut l'honnêteté de crier : - Seigneur je crois, mais viens au secours de mon incrédulité ! Et Jésus a répondu.
Car il nous faut bien souvent - et moi aussi encore à certain moment difficile - que soit ajouté à notre croyance "la foi de Dieu". Celle qui ne tient pas compte de ce qui se voit, mais de ce que Dieu dit.

Une prière-guide ici si à votre tour, cela n'étant pas encore fait, vous désirez naître de la vie éternelle de Dieu par et dans une foi vivante et conquérante.

Bien cordialement

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4 juin 2019 2 04 /06 /juin /2019 12:36

La Pentecôte arrive ce week-end et lundi prochain.
Comment allez-vous la vivre ? En étranger désintéressé, ou en curieux désireux d'enrichir sa vie par les meilleures connaissances qu'on puisse avoir du Réel ?

La fête de la Pentecôte arrive 50 jours (du grec penta = 5) après la fête de(s) Pâque(s) juive et chrétienne.
De quoi est-on censés se souvenir à ces occasions calendaires ?

A l'origine la Pentecôte s'appelait Chavouoth (en hébreu semaines).
Avec Pessa'h ("la Pâque") et Souccot (qui signifie cabanes ou tabernacles), c'était les 3 principales fêtes instituées par le Dieu de la Bible... l'inventeur du jour de repos hebdomadaire et des jours fériés (jour de vacances, de réjouissances) !

Pensez qu'après plus de 400 années passées en esclavage, le peuple hébreu (israélites ou juifs c'est tout pareil) avait de quoi apprécier que le Dieu de leurs pères génétiques (Abraham, Isaac et Jacob) leur offre un jour de repos par semaine et en plus au total 7 fêtes annuelles ! Rien de plus humain et social en cette époque primitive de civilisation !

Et donc la 1ère de toute les fêtes annuelles était Pessa'h, ce qu'on traduit par la Pâque.

RAPPEL HISTORIQUE SUR L'ORIGINE DE LA PÂQUE
L'apparition de la Pâque est liée à cette fin et sortie de l’esclavage d’Égypte justement.
Pour ce faire, l’Éternel-Dieu avait demandé à chaque famille descendante de Jacob, de badigeonner les montants de leur porte d'entrée de sang pour les garder de l'ange de la mort qui une certaine nuit descendit faire mourir (à cause de l'obstination du Pharaon qui voulait tenir tête à Dieu) tous les petits-nés des humains et des animaux.
La vertu du sang nous apprend la bible, est dans le fait que cette substance est le support physique de l'âme (le moyen de son attache au corps), et que, pour que l'âme d'un coupable ne meurt pas (ne soit pas séparée de son corps, ce qui provoque la mort physique), il faut qu'une autre âme meurt à sa place - en l'occurrence on sacrifiait alors un animal innocent, au sang pur.

Et comme tous les israélites avaient pu ainsi être épargnés puis libérés, dès qu'ils furent hors d’Égypte, Dieu leur dit de faire dès cette libération accomplie un mémorial, une fête du souvenir, qui reprenne ce moyen de protection et de donc de pardon pour quiconque se l'appliqua, que fut le sacrifice d'animaux innocents (on lit ici dans le livre de l'Exode ch. 12).

Cette méthode et ce rituel se perpétuèrent pendant environ 1 400 ans, temps où Jésus paraît comme étant "L'agneau de Dieu qui ôte le péché (le mal) du monde"(Jean 1.29).

Après avoir démontré sa singularité par ses paroles, des guérisons et autres miracles tout à fait inusités, Jésus a effectivement, comme annoncé par avance, l'agneau dans la force de l'âge qu'on mène à la boucherie afin que son sang soit versé pour la rémission (l'expiation, l'effacement, le pardon) des péchés (du mal fait aux autres et des offenses envers Dieu).
Sur les annonces prophétiques qui rendent la crucifixion de Jésus pleine de justice et de sens, on peut lire par exemple Ésaïe ch. 53, le psaume 22, Zacharie 11. 12,13.

Ainsi la fête de la Pâque fut accomplie une toute dernière fois, spiritualisée par Dieu lui-même en la personne de Jésus livré en sacrifice pour le rachat (possible, potentiel) de tous de la main du démon Satan qui, depuis le premier couple humain, s'était rendu souverain de la terre. (Hébreux ch. 2)

RAPPEL HISTORIQUE SUR LA PENTECÔTE
la fête de  de la Pentecôte arrive au terme des semaines qui contribuent à la pousse des céréales jusqu'au moment joyeux de la moisson.
Par la suite, la tradition rabbinique a aussi fait judicieusement coïncider cette fête avec le don de la Torah (fondement du judaïsme) à Moïse sur le mont Sinaï.
La Torah ou Loi étant l'ensemble des (613) articles de lois qui forment une véritable Constitution par quoi régler les vies personnelles et en société. Loi dont les 10 commandements ou Paroles sont le noyau central dur, gravés dans la pierre du doigt de Dieu...

Par la suite, là aussi quand le temps en fut venu, une manifestation de Dieu dans la chair humaine (à distinguer d'une manifestation divine en chair de Dieu ou théophanie) la fête de la Pentecôte a été activée par Jésus (Dieu fait homme né de la chair) et spiritualisée pour l’avènement d'une ère et humanité vraiment nouvelles, celle-ci ayant obtenue la vie éternelle de Dieu (éternisation de l'âme par réconciliation et alliance spirituelle avec Dieu).

Ainsi Jésus fut glorifié après sa résurrection et élevé par une ascension céleste, 40 jours après sa mort. Là, partageant le trône éternel de Dieu, il a présidé dans son nouveau corps au don du Saint-Esprit aux hommes. Celui-ci se répandit parmi le genre humain, descendant notamment comme des langues de feu sur 120 disciples de Jésus demeurés dans l'attente de l'accomplissement de cette promesse. (Actes des Apôtres ch. 2)

IMPUISSANCE DES LOIS RELIGIEUSES CONTRE FORCE DU PÉCHÉ 
Ainsi ce don qui figure le nouveau mode (d'appropriation) de la justice de Dieu - ce qu'on appelle la grâce, la rédemption, le salut, le rachat... - vint se substituer très favorablement à ce qu'exigeait la Torah ou Loi écrite, c'est-à-dire une obéissance par la force de notre âme (pécheresse, amoindrie, détraquée, imparfaite) à une loi parfaite.

A cette mission impossible, imposée par Dieu pour que chacun se juge objectivement et se trouve immanquablement pécheur/pécheresse, perdu-e car incapable jamais de plaire à Dieu par lui-même, Jésus seul à pu répondre parfaitement pendant tout le temps de son périple terrestre. Par son obéissance parfaite, il a pu nous délivrer des commandements en tant que force extérieure à nous à laquelle il faudrait sans cesse veiller d'obéir, ou sacrifier (des animaux) pour effacer nos fautes.

Ce qui me fait dire qu'aucune religion n'a le pouvoir de faire de nous des gens-bons, car aucune n'a le pouvoir de tuer le cochon... qui est en nous ! Ce que la Bible appelle "la loi du péché".
C'est ainsi que la Nouveau Testament est venu s'ajouter au Tanak (la Bible juive) qui devint l'Ancien Testament. Un lieu d'écritures qui demeure de référence à plus d'un titre, mais qui n'est pas - qui n'a jamais été - le moyen pour obtenir la paix avec Dieu et avec tous nos concitoyens.

Car depuis maintenant bientôt 2 000 ans, c'est seulement par la foi au Fils unique de Dieu vivant, en sa mort sacrificielle, en sa résurrection et en sa capacité de nous sauver d'une perdition psychique éternelle par son Esprit qu'un retour à Dieu s'opère véritablement. Ce qu'on appelle aussi à partir du grec l’Évangile, ce qui signifie "bonne nouvelle" de Jésus-Christ.

UN DÉTAIL CAPITAL
on peut chacun bénéficier de jours fériés ou d'un pont par la grâce des fêtes judéo-chrétiennes. Mais ce n'est là comme bénéfice qu'un verre d'eau d'une rivière ! Dieu a tellement mieux en réserve pour nous. "Le ruisseau de Dieu est plein d'eau" !

Mais il ne nous veut pas seulement des spectateurs d'une scène heureusement vécu par d'autres. Il ne veut pas que nous soyons ce genre d'assistés profiteurs qui veulent bien prendre ou recevoir mais sans jamais s'investir, donner en retour : ils auraient un tellement meilleur bénéfice s'ils entraient dans la dynamique du partage réciproque, des échanges mutuels !

Bref, ici il est question de la vie spirituelle, qui est de la nature ou essence même de Dieu. C'est la vie jusque dans sa dimension éternelle, par opposition à ce qu'on est en tant que corps et âme, doublement mortel : Une première fois dans notre dimension physiologique, quand l'âme se détache du corps. Et une autre fois, si nous ne sommes pas réconciliés avec Dieu, lorsqu'il n'y aura plus pour circonscrire tout ce qui sera resté mal qu'un ardent étang de feu et de soufre. Ce qui est "la seconde mort" est-il dit dans l'Apocalypse. La part dernière de ceux qui n'auront pas voulu entrer selon la règle dans le bénéfice de la justice de Dieu. La règle étant de réaliser qu'on a besoin d'être pardonné de nos fautes, de demander ce pardon qui s'obtient par la foi en Celui qui l'a mis à notre portée : Jésus.

"Celui qui vaincra héritera ces choses ; je serai son Dieu, et il sera mon fils.8 Mais pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort."

IL FAUT, POUR CONNAÎTRE DIEU, NAÎTRE DE LUI
Et donc le détail auquel j'arrive, c'est qu'on apprend par la Bible qu'entre la mort de Jésus (comme victime expiatoire de la Pâque) et son départ de la terre (ou Ascension), il se passe un événement des plus importants pour ceux qui ont suivi Jésus jusque là.
Pendant ce laps de temps où Jésus ressuscité se montre ici et là à ses disciples, on peut lire, rapporté par l'apôtre Jean dans son Évangile au chapitre 20 :
"Les portes du lieu où se trouvaient les disciples étant fermées, à cause de la crainte qu'ils avaient des Juifs, Jésus vint, se présenta au milieu d'eux, et leur dit : La paix soit avec vous !20 Et quand il eut dit cela, il leur montra ses mains et son côté. Les disciples furent dans la joie en voyant le Seigneur.21 Jésus leur dit de nouveau : La paix soit avec vous ! Comme le Père m'a envoyé, moi aussi je vous envoie.22 Après ces paroles, il souffla sur eux, et leur dit : Recevez le Saint Esprit."

Dieu crée ainsi de sa bouche, par son souffle exprimant les paroles de ce qu'il a conçu et de ce que veut sa volonté.
Ce souffle de Jésus est doublé de ce qu'il dit : il est ainsi décomposé en deux temps et réalités pour qu'on comprenne mieux ce qui se fait.
Ce souffle est créateur d'une nouvelle structure de vie en l'homme condamné à mourir à cause du péché. En grec il était parlé par les anciens du logos spermatikos (on pourrait traduire par parole séminale, fécondante). Et dans le Tanak (Bible des juifs) le Messie (pour eux à venir, pour nous déjà venu) est appelé "le germe", c'est-à-dire le cœur d'une semence.

Ainsi Dieu sème, ensemence, engendre en mettant, en enterrant sa vie dans l'humain... qui se réconcilie avec lui. C'est ce que Jésus appelle par ailleurs "naître de nouveau", naître une seconde fois, cette fois-ci par une naissance comme intra-utérine, dans ce monde, pour une manifestation qui ne paraîtra qu'au delà de cette matérialité. Quand ?
Après la fin de ce corps mortel, en rapport avec et pour la création tout autre qui va suivre la fin de celle-ci : le Paradis véritable, qui n'a encore jamais été.

Jean a écrit à ce sujet : "A tous ceux qui l'ont reçue (la lumière de Dieu, son Esprit), à ceux qui croient en son nom (yeshoua en hébreu, Jésus en français et anglais), elle a donné le pouvoir de devenir enfant de Dieu, lesquels sont nés ni du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu".

Ainsi Dieu crée encore des êtres humains d'une race totalement à part de ce que produit la naissance physique. Il crée comme on greffe un sillon d'un arbre qu'on veut voir grandir sur un tronc plus vieux d'une autre espèce qui, de ce qu'il est, va devenir tout autre chose.
On fait ainsi par exemple produire
un plant de tomate et des tomates à (sur, à la suite) d'un pied d'aubergine.
Le parallèle avec la façon dont la terre est organisée par la médiation des mots prononcés par Dieu est clair (pour qui veut voir
- relire Genèse chap. 1). "Car il dit, et la chose arrive ; Il ordonne, et elle existe." Psaume 33.

 

ÊTES-VOUS NÉ-E DE DIEU ?
C'est la principale question, après la conscience que Dieu existe et que Jésus a été sur la terre ce que la Bible en dit, la plus conséquente de tout votre présent et devenir éternel.

Il faut que vous soyez au clair à ce sujet. Si vous ne voulez pas que toute cette parenthèse d'existence - qui aura essentiellement servi à ce que vous soyez formé-e en tant qu'entité individuelle, qu'un moi, un ego conscient de lui-même - sombre dans une perdition (déconscientisation ou mort sans retour en tant que personne) à jamais.

à suivre...

Prière-guide ici si vous voulez maintenant venir à Dieu pour entrer dans son alliance de paix véritable

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18 avril 2019 4 18 /04 /avril /2019 09:21

sa

Où sont les querelles et les divisions quand un (grand) malheur sévit ?
Où sont nos assurances face à l'improbable ?
Où est Dieu quand Paris re-brûle... depuis déjà de nombreuses années ?

Dieu n'a pas permis une fête de Pâques de plus vécue dans la saleté (le péché) dont le déballage a inondé les ondes.
Pas de hasard(s) avec lui !
Je suis croyant et me veux intègre, récepteur par grâce de la lumière divine, qu'il demande à ses enfants (disciples de Jésus) de ne pas garder sous étouffoir, mais de partager.
Car avec la justice ce sont les vérités d'En-haut qui peuvent nous faire échapper au mal (dont le mensonge - comme certains silences - est la première morsure aliénante).

DEUX DES PRINCIPALES FACES DE DIEU
La ruine de la cathédrale de Paris n'est pas sans lien avec la Bible qui nous donne de connaître Dieu.
D'une part "Dieu est Amour".
Mais l'amour qu'est Dieu et qu'il désire que nous vivions, n'a rien à voir avec les dépravations charnelles, manipulations psychiques trompeuses, fornications pornographiques et autres échanges sexuels pratiqués en dehors du cadre posé pour l'homme et pour la femme par Lui, le Créateur et Arché-organisateur de tout.

D'autre part, Dieu est justesse et garant de justice.
Il ne saurait laisser toujours impunis nos crimes et délits.
"Lorsque tes jugements s'exercent sur la terre, Les habitants du monde apprennent la justice.10 Si l'on fait grâce au méchant, il n'apprend pas la justice, Il se livre au mal dans le pays de la droiture, Et il n'a point égard à la majesté de Dieu.11 Éternel, ta main est puissante : Ils ne l'aperçoivent pas..."Ésaïe 26

Plus précisément encore, il est écrit (par Pierre) que lorsque arrivent des jugements généraux, collectifs, ils commencent par la maison de Dieu:
"Car c'est le moment où le jugement va commencer par la maison de Dieu. Or, si c'est par nous qu'il commence, quelle sera la fin de ceux qui n'obéissent pas à l'Évangile de Dieu ?18 Et si le juste se sauve avec peine, que deviendront l'impie et le pécheur ?19 Ainsi, que ceux qui souffrent selon la volonté de Dieu remettent leurs âmes au fidèle Créateur, en faisant ce qui est bien."
Paroles et vérités millénaires immuables d'un Dieu réel, qui trouvent toujours, à un moment ou à un autre, le temps de leur accomplissement. Le temps où ce qui est annoncé par avance (par donnée prophétique) arrive.

DES SIGNES ET DES FAITS
Beaucoup de signes planétaires se cumulent (crises économiques et sociétales, pollutions multiples, recrudescence de maladies et maladies nouvelles, appauvrissement des terres arables dopées par voie chimique, disparition des graines saines et des espèces animales et écosystèmes menacés, dérèglement climatique...).
Un  faisceau mesurable, alarmant, symptomatique, qui laisse entrevoir qu'on est entrés, depuis quelques années plus particulièrement, dans un temps de fin, de déconstruction, de décomposition, de jugements, appelé dans les Saintes Écritures "temps de la fin des nations". C'est le temps de la fin de l'ère bimillénaire de la Grâce...

Et donc, OÙ EST DIEU, QUE FAIT-IL ?
Il est là, par et dans ce genre de jugements dont la cathédrale de Paris a été symboliquement atteinte.
Il montre clairement - et parfois il doit crier/frapper fort, par ce qui fait mal, pour que nous nous réveillions à la vue de ce qu'est le mal que nous pratiquons qui nous domine.

Il ne se désolidarise pas de la justice des hommes quand elle est juste. Savoir en l'espèce, quand elle condamne des fautes graves réitérées de l'église catholique apostolique romaine qui se réclame de son nom.

Les jugements de Dieu témoignent qu'il se soucie de tous, compris bien sûr de ceux qui se réclament de lui.
Le pire, c'est quand il nous laisse, livrés à nos sens réprouvés, ce qui conduit rapidement à laisser à Satan et à ses acolytes démons de venir nous presser de plus près (jusqu'à l'oppression, l'obsession et la possession)*.

DES JUGEMENTS D'ORIGINES DIVERSES
L'épreuve est toujours un jugement. Mais pas forcément de Dieu. Si on sort en hiver trop peu habillé, on va tomber malade. Si on conduit sans respecter le code, ça va finir par nous coûter cher (accident, amende ou +...).
Et si on transgresse des lois morales (écrites dans les textes de notre religion ou de la société ou encore dans notre conscience personnelle), c'est la même chose. Car selon la même loi universelle de causalité, les conséquences de nos fautes viennent nous percuter à partir des cieux qui nous dominent. Et ce peut être comme ici des expressions de la justice de Dieu et de sa patience parvenue à un terme.


TOUT JUGEMENT A UNE CAUSE...
Faute d'avoir l'intelligence spirituelle suffisante (le discernement, l'Esprit de Dieu avec nous) pour voir et dominer le mal dans lequel on se fourvoie, un jour un jugement ou un autre tombe. Ils peuvent être individuels ou collectifs.

En résulte des réactions, personnelles et/ou collectives comme on le voit et entend ces jours par les ondes : l'émotion (charnelle ou spirituelle), l'incompréhension (la sidération ou le questionnement), l'arrogance (- Ah, ah, s'il y avait un Dieu !) ou le désir (quasi-revanchard) de ne pas se soumettre aux adversités et de rebondir**.

Mais est-ce là ce qu'il y a de plus juste, ce que Dieu voudrait voir paraître du tréfonds de nos âmes ?...

L'histoire et nos actualités sont pleines des effets éprouvants de ce qui part ainsi des lieux célestes vers nous.
Il peut s'agir des plus justes rétributions de nos fautes (le plus généralement morales ou dans notre rapport avec l'occulte, le ciel obscurci dangereux). Mais encore de terribles injustices initiées par quelques démons ou Satan lui-même (ces entités angéliques déchues qui ont une très mauvaise maîtrise de la justice comme de leurs propres sentiments pervertis)*...

DES CAUSES ET DES EFFETS
A travers l'épreuve que constitue un jugement divin, Dieu fait deux choses - nécessaires et utiles.
Il exerce sa justice (parfois lente à paraître, car il patiente afin que nous nous reprenions nous-même).
Va-t-on le lui reprocher ?
On sait trop bien ce qu'est une justice mollasse, qui ne punit pas les fautes, qui laisse des criminels courir et des victimes dans la frustration.
Dieu n'est pas ainsi.

Sa justice n'est pas indépendamment de sa volonté de nous aider dans notre avancée (traversée, périple temporaire) terrestre, et surtout spirituelle.
Car il sait mieux que nous nous en soucions nous-mêmes, que nous sommes mortels, et il ne veut pas que nous arrivions à son "jugement dernier" sans plus de possibilités - pour notre âme avec ce moi-je conscient d'avoir la vie qu'on est devenu - d'échapper à une dramatique fin ultime.
"Car pour les lâches, les incrédules, les abominables, les meurtriers, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l'étang ardent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort." La première mort étant celle physiologique (du corps), la seconde celle de l'âme qui n'a(ura) pas su saisir la grâce qui lui fut offerte de trouver à être en paix et bonne relation avec Dieu et ses lois d'organisations.

Par ses jugements donc, en laissant agir le bras de sa justice, le Dieu qui nous aime veut provoquer en nous une saine réaction, salutaire, source de spiritualité activée ou réactivée.

QUE RECHERCHE DIEU A TRAVERS L’ÉPREUVE DU JUGEMENT ?
Il recherche surtout une réaction simple, comme le lâcher prise et une disponibilité (qu'on se donne ou qui s'impose).
Ou une réaction raisonnée, qui s'interroge vraiment ; qui tienne compte de ce que, étant des êtres personnellement responsables, on peut voir des liens entre nos comportements (individuels et/ou collectifs) et ce qui nous arrive, dans la conscience des causalités dont le concept combiné "bien-mal"***.

A ce sujet, les médias ont été copieux pour dire et étaler jusqu'à l'humiliation et la honte, les impudicités pratiquées plus qu'accessoirement dans cette institution ecclésiale.
Quand on ne sait pas se juger soi-même, un jugement peut venir d'ailleurs, plus visible et péremptoire.

SILENCE, HUMILIATION, HONTE, ET QUOI D'AUTRE !?
Humiliation et honte sont le maximum qui peut se produire dans notre âme quand nous sommes dévoilés dans des comportements iniques (comme il s'agit ici).
C'est le résultat d'un déterminisme naturel interne qui opère à la fois contre nous et pour nous (si encore on ne s'est pas conditionné ou laissé conditionner pour les faire disparaître. Car aujourd'hui on voit bien que même ces réactifs inconscients de l'âme et de l'esprit que sont l'humiliation et la honte, ont été largement érodés et jusqu'à bannis de nos capacités conscientes préventives et réactives face au mal).

Il en résulte que lors de mises en lumière du péché, ce mode naturel moral d'abaissement n'est pas accompagné par une prise de conscience personnelle... qui seule peut heureusement tout changer dans nos désordres.
Car elle est rencontre avec Dieu dans la lumière, source de la repentance, amorce de la rédemption.

ÉPREUVE POUR MIEUX RENCONTRER OU RETROUVER DIEU
C'est cet accès (ouverture, éveil, confrontation) au plan de la conscience de soi liée à celle de ce qu'on a fait, qui permet que nous arrivions au point où Dieu veut nous rencontrer, nous retrouver : à la repentance (un vrai repentir, une contrition sincère, un amer regret, un abandon à la vérité sans calcul) qui témoigne de la vraie faiblesse et misère de soi que nous sommes - pécheur/pécheresse incapable de tenir jamais dans le bien, de satisfaire aux exigences divines et de lui plaire par nous-même.
"La grandeur de l'homme est grande en ce qu'il se sait misérable" a compris et écrit Pascal.

C'est là que Dieu veut nous amener... tous ; pour nous pardonner !
Car son amour veut toujours surpasser sa justice.

Nous pardonner et encore, bien plus, nous délivrer de ce que Paul a pu appeler "la terrible loi du péché" qui nous habite, nous affecte et nous domine. (Lire ici ce court mais grand et utile traité de la psychologie humaine condensé en 12 versets (14 à 25).

Nous délivrer et encore nous changer, selon le pouvoir de sa sanctification, "sans laquelle personne ne verra le Seigneur." (Hébreux 12.24).

"Que personne, lorsqu'il est tenté, ne dise : C'est Dieu qui me tente. Car Dieu ne peut être tenté par le mal, et il ne tente lui-même personne.14 Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise.15 Puis la convoitise, lorsqu'elle a conçu, enfante le péché ; et le péché, étant consommé, produit la mort."

NOUS SOMMES PÉCHEURS/PÉCHERESSES, DONT SURTOUT ORGUEILLEUX
Plus nous nous développons en capacités personnelles, plus nous nous exposons à devenir (plus) orgueilleux (qu'à notre naissance).
L'orgueil, c'est une trop haute estime de soi. Un piédestal artificiel, sans fondement, dont on finit toujours par descendre - intelligemment c'est mieux, le plus souvent c'est par jugement (par voies de rupture, coups d'arrêt divers).

Et "Dieu résiste aux orgueilleux.
"De même, vous qui êtes jeunes, soyez soumis aux anciens. Et tous, dans vos rapports mutuels, revêtez-vous d'humilité ; car Dieu résiste aux orgueilleux, Mais il fait grâce aux humbles.6 Humiliez-vous donc sous la puissante main de Dieu, afin qu'il vous élève au temps convenable ;7 et déchargez-vous sur lui de tous vos soucis, car lui-même prend soin de vous.8 Soyez sobres, veillez. Votre adversaire, le diable, rôde comme un lion rugissant, cherchant qui il dévorera." 1Pierre 5.

Honte et humiliation ont pour effet de nous (r)amener à l'humilité ; car aussi est-il encore écrit : "L'arrogance précède la ruine, et l'orgueil précède la chute." Proverbe 16.18

Et donc qu'est-ce que penser tout de suite à la reconstruction sans chercher à comprendre ? Comme aussi de faire appel d'une décision de justice qui le condamne, comme fait le cardinal Barbarin ?...
"Que toute personne soit soumise aux autorités supérieures ; car il n'y a point d'autorité qui ne vienne de Dieu, et les autorités qui existent ont été instituées de Dieu...
Veux-tu ne pas craindre l'autorité ? Fais-le bien, et tu auras son approbation.
4 Le magistrat est serviteur de Dieu pour ton bien. Mais si tu fais le mal, crains ; car ce n'est pas en vain qu'il porte l'épée, étant serviteur de Dieu pour exercer la vengeance et punir celui qui fait le mal." Romains 13.

Voilà déjà la priorité de ce qu'on peut tirer comme enseignement bénéfique de la destruction massive de cette cathédrale emblématique.
Mais ce n'est pas tout !

Cependant, avant de donner une suite à cet article, voilà que Pâque(s) arrivent (cette année en coïncidence, d'une part Pessah, souvenir et prophétie dans la tradition juive et d'autre part mémorial chrétien appelé Pâques).
C'est un événement du cœur brûlant de l'amour de Dieu pour chacun-e de ce genre humain si naturellement terrible d'injustices et d'insuffisances - de prétendues suffisances - et perdu hors de Dieu (parfois ensemble et toujours isolément).

Je pressens, comme souvent tout juste après une lourde épreuve, que la gloire de Dieu va se manifester. 
La gloire de Dieu est (entre autres) de tourner le mal en bien. De faire apparaître de cendres, de tôles tordues ou de chairs déchirées, telle ou telle bénédiction étonnante, inattendue, généreuse.

Et je me dis là qu'il va le faire aussi ! Que quelque(s) bienfait(s) à sa façon va(vont) nous atteindre très vite... possiblement dans cette Pâque désormais toute particulière de 2019.

Aussi, que vous en connaissiez ou pas toute la signification et le pouvoir, pour une réelle Bonne Pâque pour vous, je vous invite à lire l'article précédent en cliquant ici. 

Soyez richement béni-e.

à suivre...
___________________
* sur la réalité des démons qui sévissent parmi nous, qu'on reconnaît aux effets produits par leurs présences : Activité démoniaque : Y voir clair !

** La réaction-élan de générosité qu'on enregistre tient d'une vieux réflexe conditionné par la christianisation de l'occident et plus encore peut-être par cette église dissidente du pur Évangile. Car elle enseigna longtemps que les œuvres de charité était un véritable moyen personnel pour se sauver de l'enfer - pour se déculpabiliser donc.
Alors que la spécificité de l'Évangile  - étymologiquement "la Bonne Nouvelle" - est que le salut de nos âmes ne vient QUE de notre foi en la mort expiatoire et rédemptrice de Jésus-Christ. Moyen de salut de notre âme unique, dont les œuvres bonnes, venant du cœur et non de l'obligation ou de la pression ecclésiale,  sont des conséquences spirituelles sans rapport avec des dépenses diverses visant à apaiser notre conscience, à rattraper notre manque de foi véritable ou de pratique, à gagner son ciel tout en demeurant dans nos péchés.  

*** Le concept du bien et du mal n'est étranger à personne. Car nous avons tous une conscience morale. Qu'on peut éteindre mais qui nous interpelle relativement bien avant que par notre stupidité nous la soufflions comme une vulgaire bougie.
Et puis nous avons pour la connaissance du bien et du mal, en plus des lois de nos sociétés, un référentiel majeur : la Bible, et notamment les 10 commandements. C'est aussi pour cela que la Bible est depuis des siècles le livre le plus traduit, le plus imprimé, le plus offert et le plus lu par toute la terre.

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14 avril 2019 7 14 /04 /avril /2019 10:57

La fête de la Pâque ou Pessach, juive et chrétienne, )
et la fête de Pâques (catholique, orthodoxe, voire laïque...)
commémorent toutes deux, qu'on l'ignore ou pas,
un sacrifice
qui n'a pas fini d'avoir des effets et du sens.

 

                                            (pour qui veut un résumé en audio, cliquez ici)

LA NAISSANCE DE JÉSUS, UNE IMAGE VENUE DU CIEL
Jésus est né en une période indéfinie dans une étable.
Une étable n'est rien d'autre qu'une écurie mal-odorante avec des mouches et des animaux qui dorment ou qui ruminent et font leurs autres besoins sur leur litière.
Comme image idyllique on peut trouver mieux !
Comme vérité, on est au cœur de la problématique humaine: Jésus est mis dans une crèche, c'est-à-dire dans une mangeoire, pour que les "bestiaux" que nous sommes puissent le manger !
C'est une image, mais particuli-rement significative. 

C'est si vrai, que quelque trente années plus tard, Jésus dira à des auditeurs à la fois attentifs et médusés: "Je suis le pain de vie.49 Vos pères ont mangé la manne dans le désert, et ils sont morts.50 C'est ici le pain qui descend du ciel, afin que celui qui en mange ne meure point.51 Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu'un mange de ce pain, il vivra éternellement ; et le pain que je donnerai, c'est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde.
52 Là-dessus, les Juifs disputaient entre eux, disant : Comment peut-il nous donner sa chair à manger ?" (Evang. Jean 6)

La réponse, lors d'une fête de la Pâque, c'est la croix!

CRUCIFIE ! CRUCIFIE ! VIOLE, CASSE, TUE !
Jésus se laisse arrêter, prendre sa vie jusqu'à cette crucifixion barbare, ignoble, horrible, qui met en lumière cette bestialité du cœur humain, que ce soit celui de soldats endurcis, de membres d'une foule excitée ou de religieux bien-pensants.

"Car c'est du dedans, c'est du coeur des hommes, que sortent les mauvaises pensées, les adultères, les impudicités, les meurtres,22 les vols, les cupidités, les méchancetés, la fraude, le dérèglement, le regard envieux, la calomnie, l'orgueil, la folie.23 Toutes ces choses mauvaises sortent du dedans, et souillent l'homme." (Evang. Marc 7)

Par là on peut comprendre que de gentils gilets jaunes, de braves paroissiens ou employés et encore des détenteurs de pouvoir puissent, aujourd'hui encore, surprendre par leurs délits ou crimes et faire l'actualité...

Pourquoi?
Parce que l'être humain sans relation vivante avec le vrai Dieu (homme ou femme à égalité!?), rempli de l'intolérance de l'athéisme ou avec des croyances idolâtres quelconques, est toujours potentiellement la proie de démons quand ils trouvent en lui des pratiques iniques (mensonge, tromperie, vol, injustice, perversion, occultisme...).

Et donc, comment sortir de ce manque, de cette absence de spiritualité divine en nous? Car sans l'Esprit de Dieu nous habitant, nous sommes chacun réduits à un corps qui porte une âme, tout comme sont les animaux!
Avec le plus de nos capacités qui peut se traduire par un plus d'amplitude dans le déploiement du mal ;
Selon que les comportements des animaux sont essentiellement tenus par des déterminismes (selon leurs espèces), alors que nous, nous sommes pourvus d'une vaste plage de liberté(s), seulement (re)tenus par une socialisation/éducation... qui peut laisser libre cours au pire de nos instincts dénaturés! 
Telle est notre condition de chute adamique, avec ses conséquences malignes perdurantes dans quoi tous et chacun nous nous débattons (nous battons, souffrons, nous agitons ou nous laissons couler).
Connaissance de soi trop peu admise et transmise parmi nous par les détenteurs du pouvoir sociétal, au point où le gain est davantage pour ceux qui vivent à partir des souffrances que pour les lambda qui n'ont pas les capacités, temps ou moyen financier pour se procurer de la connaissance correspondant au Réel comme il est ; et par là s'enrichir des vérités qui fondent le bien (bien-être, mieux-vivre, paix intérieure, récupération, sommeil...).   

PÂQUE (PESSACH) ou PÂQUES COMMÉMORENT LE SACRIFICE D'INNOCENTS
Les juifs sont restés au souvenir du sacrifice animal, de l'agneau pascal (animal doux et innocent par nature), institué par l'Eternel-Dieu, via Moïse, à l'occasion de la sortie d’Égypte où la descendance d'Abraham et de Sarah avait été progressivement rendue captive.

Les chrétiens (et assimilés), notamment les "nés de nouveau"comme Jésus expliqua à ce maître de la Loi en Israël, Nicodème, venu le trouver de nuit) célèbre pour leur part le don sacrificiel de la vie de Jésus, "l'Agneau de Dieu qui ôte le péché du monde". 

Sa mort est là un accomplissement parfait de ce besoin d'un sacrifice que Dieu avait fait connaître dès la chute du premier couple coupable, en tuant lui-même des animaux pour couvrir leur faute et la vue de leur nudité qui en découla.

Accomplissement prophétisé aussi par l'épisode de la vie d'Abraham lorsqu'il est appelé à sacrifier son fils Isaac, où Dieu lui donne de comprendre qu'il se pourvoira lui-même du nécessaire pour l'expiation des offenses qui lui sont faites:
"
Abraham leva les yeux, et vit derrière lui un bélier retenu dans un buisson par les cornes ; et Abraham alla prendre le bélier, et l'offrit en holocauste à la place de son fils.14 Abraham donna à ce lieu le nom de Yawhé Yiré. C'est pourquoi l'on dit aujourd'hui : A la montagne de l'Éternel il sera pourvu." (Genèse 22)

La montagne de l’Éternel c'est alors Morija, devenu Golgotha, le mont du crâne, d'où on va pouvoir en finir avec toutes les tempêtes de pensées qui sévissent sous nos crânes. Ceux-ci figurent notre âme sans l'Esprit de Dieu, déspiritualisée, qui est dès lors livrée à tous les égarements, à toutes les tentations et dépravations, toutes les injustices et l'impiété jusqu'à l'athéisme militant et armé.
"Car mes pensées (dit l'Eternel-Dieu) ne sont pas vos pensées, Et vos voies ne sont pas mes voies, Dit l'Éternel.9 Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, Autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, Et mes pensées au-dessus de vos pensées." (Ésaïe 55)

C'est pourquoi il est encore proposé (en Philippiens 4) aux croyants:
"Ne vous inquiétez de rien ; mais en toute chose faites connaître vos besoins à Dieu par des prières et des supplications, avec des actions de grâces.7 Et la paix de Dieu, qui surpasse toute intelligence, gardera vos coeurs et vos pensées en Jésus Christ.

POUR DIEU, HIER ET AUJOURD'HUI, RIEN DE CHANGÉ
Et cette année encore, le temps de Pâque(s) est un rappel à regarder à cette croix dressée sous un ciel de plomb, où, Parole du Dieu éternel incarnée par son Esprit, un fils d'homme bien-aimé de Dieu et unique est tué... comme un des pires brigands.
"
Celui qui n'a point connu le péché, il l'a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu." (2Corinthiens 5).

C'est ce que Jésus dit encore au chef juif Nicodème en lui rappelant un épisode de la vie de son peuple, ce qu'on appelle Les serpents brûlants:
Bien que délivré miraculeusement de L’Égypte concentrationnaire,  le peuple "parla contre Dieu et contre Moïse : Pourquoi nous avez-vous fait monter hors d'Égypte, pour que nous mourions dans le désert ? car il n'y a point de pain, et il n'y a point d'eau, et notre âme est dégoûtée de cette misérable nourriture.6 Alors l'Éternel envoya contre le peuple des serpents brûlants ; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens en Israël.7 Le peuple vint à Moïse, et dit : Nous avons péché, car nous avons parlé contre l'Éternel et contre toi. Prie l'Éternel, afin qu'il éloigne de nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple.8 L'Éternel dit à Moïse : Fais-toi un serpent brûlant (en bronze), et place-le sur une perche ; quiconque aura été mordu, et le regardera, conservera la vie.9 Moïse fit un serpent d'airain, et le plaça sur une perche ; et quiconque avait été mordu par un serpent, et regardait le serpent d'airain, conservait la vie." (Nombres 21)

A partir de là, Jésus expliqua ce qui allait se produire le concernant et ce qui en résulterait:
"Personne n'est monté au ciel, si ce n'est celui qui est descendu du ciel, le Fils de l'homme qui est dans le ciel.14 Et comme Moïse éleva le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l'homme soit élevé (par sa mise en croix),15 afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle." (Evang. Jean 3)

Les serpents ce sont les péchés, nos fautes morales, nos mécontentements comme toutes autres formes d'injustice, qui nous tuent spirituellement (= qui font mourir Dieu en nous en obligeant son Esprit (saint, pur, qui ne peut cohabiter avec le mal) à se retirer de notre corps).

Le serpent de bronze élevé sur une perche, c'est Jésus qui accepte qu"on le monte sur la croix pour mourir à la place de tout être humain, pécheur/pécheresse, imparfait-e, coupable, dont la mort spirituelle, psychique (de l'âme) et corporelle sont en marche.
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle." (Evang. Jean 3).

"Méprisé et abandonné des hommes, Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l'avons dédaigné, nous n'avons fait de lui aucun cas.4 Cependant, ce sont nos souffrances qu'il a portées, C'est de nos douleurs qu'il s'est chargé ; Et nous l'avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié.5 Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c'est par ses meurtrissures que nous sommes guéris.6 Nous étions tous errants comme des brebis, Chacun suivait sa propre voie ; Et l'Éternel a fait retomber sur lui l'iniquité de nous tous.7 Il a été maltraité et opprimé, Et il n'a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu'on mène à la boucherie, A une brebis muette devant ceux qui la tondent ; Il n'a point ouvrt la bouche.8 Il a été enlevé par l'angoisse et le châtiment ; Et parmi ceux de sa génération, qui a cru Qu'il était retranché de la terre des vivants Et frappé pour les péchés de mon peuple ?" (Ésaïe 53).

LA CRUCIFIXION, LE SACRIFICE QUI SAUVE
Ainsi entre la crèche et la croix, Jésus a grandi, puis s'est montré puissant en œuvres bonnes pour qu'on voit ce qu'il était réellement, avant d'aller au bout de sa mission de sauvetage des âmes - ce qu'on appelle la rédemption, le salut, le rachat ou grâce divine - en prenant sur lui pour nous sauver les conséquences, le jugement final de nos fautes:

"Car le salaire du péché, c'est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c'est la vie éternelle en Jésus Christ notre Seigneur." (Romains 6).

Le nom de Jésus en hébreu, c'est Y'shoua, ce qui veut dire salut, Dieu sauve.
C'est pourquoi il est écrit, regardant Jésus crucifié comme l'Agneau pascal offert par Dieu pour que nous puissions chacun individuellement, selon notre foi, être pardonnés de nos fautes, que "Celui ou celle qui croira et qui sera baptisé sera sauvé, mais celui qui ne croira pas sera condamné." (Evang. Marc 16).

SAUVÉ-E DE QUOI? ET CONDAMNÉ À QUOI?
Sauvé de la perte absolue de notre personnalité par anéantissement final de notre âme - qui est le siège de notre ego, de cette conscience de soi qui nous fait dire Je ou Moi-je.

Sauvé dès après la mort physique du tunnel noir qui débouche (comme en témoignent plusieurs personnes revenues d'une EMI le dire) sur les tourments de l'enfer.
L'enfer est un terme non biblique par lequel en fait est désigné la plupart du temps le shéol (en hébreu) ou hadès (en grec), ce qu'on traduit en français par "séjour des morts"*, une immense "bulle" psychique temporelle faite de toutes les âmes devenues et restées captives des esprits satanisés (anges devenus des démons).

Ce qui sera plus précisément l'enfer comme on le pense, vient bien plus tard, comme jugement dernier irrévocable des fautes (de Satan, des anges dévoyés à sa suite, et de quiconque n'a pas reçu Christ comme son Sauveur).

C'est pourquoi  "nous faisons les fonctions d'ambassadeurs pour Christ, comme si Dieu exhortait par nous ; nous vous en supplions au nom de Christ : Soyez réconciliés avec Dieu ! Car Dieu était en Christ, réconciliant le monde avec lui-même, en n'imputant point aux hommes leurs offenses, et il a mis en nous la parole de la réconciliation." (2Corinthiens 5)

REVENIR A DIEU PAR LA FOI EN UI, ET EN LA CROIX !
La crucifixion de Jésus est un événement et travail inouïs de Dieu le Père et de son divin Fils, qui a des vertus salvatrices en elle-même et en potentialité, substitutive, expiatoire, propitiatoire, guérissante, libératrice, de rachat (comme les esclaves pouvaient être rachetés de mauvais maîtres).

Et croire, y croire, c'est pouvoir se nourrir spirituellement de la vérité vivifiante de cette "Bonne nouvelle" (ce que signifie le mot grec Evangélion) introduite par Jésus, qui dit : En vérité, en vérité, je vous le dis, si vous ne mangez la chair du Fils de l'homme, et si vous ne buvez son sang, vous n'avez point la vie en vous-mêmes.54 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang a la vie éternelle ; et je le ressusciterai au dernier jour.55 Car ma chair est vraiment une nourriture, et mon sang est vraiment un breuvage.56 Celui qui mange ma chair et qui boit mon sang demeure en moi, et je demeure en lui.57 Comme le Père qui est vivant m'a envoyé, et que je vis par le Père, ainsi celui qui me mange vivra par moi.58 C'est ici le pain qui est descendu du ciel. Il n'en est pas comme de vos pères qui ont mangé la manne et qui sont morts : celui qui mange ce pain vivra éternellement.59 Jésus dit ces choses dans la synagogue, enseignant à Capernaüm." (Evang. Jean 6)

C'est le sens du dernier repas de Jésus, qu'on appelle encore la Sainte-cène (le Saint-repas, que l'eucharistie catholique ne représente pas vraiment), qui est réellement et prophétiquement le repas de la Pâque où l'agneau sacrifié pour couvrir les péchés était mangé comme il fut ordonné à Moïse de l'instituer.

Institution qui fut respectée jusqu'au changement que produisit la venue de Jésus. C'est aussi pourquoi les juifs sont mal partout où ils se trouvent, dès lors qu'ils n'offrent plus de sacrifices sanglants selon leur Loi - la Torah, dont le livre du Lévitique, explicite, ne peut être retiré sans être remplacé par une réalité supérieure.

LE GRAND REMPLACEMENT
Sans reconnaître Jésus comme "L'agneau de Dieu" qui fait cesser en les remplaçant tous les sacrifices sanglants nécessaires pour obtenir la paix avec Dieu.

Aujourd'hui encore cette expression de l'amour de Dieu se donnant pour nous secourir, est rappelée car sans cela, nous mourrons encore dans nos péchés, loin de Dieu, sans Dieu, après notre mort comme avant.

Cette mort si particulière de Jésus et son sang d'innocent versé en sacrifice volontaire sont liés à une grande libération des captifs, non plus de l’Égypte de pharaon mais de la force du péché qui réside dans notre cœur.
Cette fête (comme aussi la Sainte-cène demandée par Jésus) figure, rappelle donc l'inimitié qu'il y a naturellement entre nous et Dieu, qu'il veut changer en amitié et intimité, restauration relationnelle possible pour qui vient à la croix et à Jésus:
"Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint Esprit.39 Car la promesse (de Dieu, du don de son Esprit qui est vie éternelle) est pour vous, pour vos enfants, et pour tous ceux qui sont au loin, en aussi grand nombre que le Seigneur notre Dieu les appellera." (Actes des Apôtres 2)

"Car la vie est dans le sang" (Lévitique 17) et "sans effusion de sang, il n'y a pas de pardon" (Hébreux 9).
De la sorte, "Si nous confessons nos péchés, Dieu est fidèle et juste pour nous les pardonner et nous purifier de toute injustice" et "si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché."

FÊTER PÂQUE(S) SANS OUBLIER, SANS CACHER!...
Une fête sous forme de jeu de piste à la recherche d’œufs et de lapins en chocolat est organisée pour des enfants.
Je demande à une animatrice s'il va être parlé aux enfants de Jésus et ce qui est à l'origine de ce temps et de ce jeu. - Non, c'est laïque ici!
- Mais la laïcité c'est la liberté d'expression, concernant ce qui est religieux ou spirituel comme le reste.
- On peut pas!

Idem qu'avec Noël! Drame de l'occultation des réalités fondamentales, en fait de l'athéisme (militant, réducteur du Réel) qui s'impose à la laïcité (qui devrait rester ouverte)!... Silence qui se paie un jour ou l'autre, d'une manière ou d'une autre. Car si on ne sait pas, et si on ne met pas les souffrances et la mort de Jésus, son sacrifice pour nous, à sa place dans et pour notre propre existence, ce sont d'autres souffrances, et une mort terrible, qui viennent, qu'il veut nous éviter, qui viendront à nous et dont nous n'aurons pas assez de moyens pour échapper à la plupart!

Pâque(s) donc, sans oublier que si la mort de Jésus est à saisir comme l'extraordinaire moyen du pardon de nos fautes et de l'éternisation de notre âme (éternisation toute personnelle, de vous, de moi), c'est aussi parce qu'il est RESSUSCITÉ et vit pour toujours que tout cela peut devenir possible, opérationnel, par l'envoi gracieux de son Esprit-Saint jusqu'en nous.

"Car Dieu prouve son amour envers nous, en ce que, lorsque nous étions encore des pécheurs, Christ est mort pour nous.9 A plus forte raison donc, maintenant que nous sommes justifiés par son sang, serons-nous sauvés par lui de la colère.10 Car si, lorsque nous étions ennemis, nous avons été réconciliés avec Dieu par la mort de son Fils, à plus forte raison, étant réconciliés, serons-nous sauvés par sa vie (retrouvée, ressuscitée)."

Ainsi par cette spiritualisation de la première fête, qui fit dire à Jésus expirant "Tout est accompli", chacun par toute la terre (juifs compris) peut vivre un jour pour la toute première fois (puis régulièrement) cet événement et ses effets comme lui étant particulièrement destinés.

Que Dieu y pourvoit pour vous, c'est mon vœu et ma prière.

Un chant  -  un résumé en audio, cliquez ici (3'47")

une prière (de paix avec Dieu)

_________________________
* article annexe ici d'un clic ! Les 5 types de mort

Aussi pour vous aider si vous en ressentez le besoin, une trame guide de prière

 

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4 avril 2019 4 04 /04 /avril /2019 09:04

On apprend que les GAFA vont investir le champ des possibles dans le domaine des jeux vidéo. Un domaine qui rapporte des milliards d'euros ou de dollars à la pelle !

Le jeu et les jeux, c'est bien.
Dans la mesure où on ne joue pas avec n'importe quoi, et dans la mesure où le repos et la détente, le loisir donc, accompagne heureusement, sans les remplacer, les temps nécessaires de travail et de sommeil.

DE LA LIBERTÉ À L'ESCLAVAGE
Sinon ce n'est plus ni du ludique ni du loisir, mais de l'obsession, jusqu'à l'addiction.
En termes plus clairs, c'est entrer dans une dépendance au point où des esprits maléfiques - comme les démons qui paraissent dans certains jeux* - peuvent venir sur les joueurs pour les "compulser", les presser à jouer et à jouer encore, jusqu'à possiblement prendre autorité sur toute la volonté de la personne.
C'est ce qu'on appelle la possession. C'est progressivement et par palier un glissement dramatique qui va d'un désir à une envie, de la convoitise à une action qui y répond, et encore d'une tentation (maléfique) à l'obsession, l'oppression, la compulsion et au pire la possession et/ou le suicide ou tout autre acte destructeur.

Le caractère démoniaque d'une intrusion dans nos existences se reconnaît encore en ce que les hiérarchies et priorités dans l'ordre ordinaire des choses sont bousculées et les relations avec l'entourage deviennent de plus en plus conflictuelles.

MESSAGES SUBLIMINAUX ET HYPNOSE
Pour revenir plus directement a ce qui vient d'être annoncé à la télévision (peut-être sur la 1), on a encore pu entendre que, glissés dans le déroulement des actions de jeux, il pourra y avoir des flashs très brefs de publicité.
Si brefs que ça n'arrêtera pas le jeu ! Ce qui s'appelle en langage décodé des messages subliminaux. Rien de mieux pour atteindre l'âme (le fond profond de notre personnalité) sans même que les yeux (ou les oreilles quand ce sont des messages introduits dans des chansons) ne le perçoivent. Ainsi la conscience est court-circuitée, le message est passé et va produire inéluctablement un effet: nous faire acheter tel ou tel produit ou service. Ce qu'on fera sans avoir la moindre idée de pourquoi on achète.

C'est le même procédé que ce qui se passe sous hypnose.
J'ai assisté un jour à une séance où un médium (pas particulièrement connu et puissant) a endormi (hypnotisé) une femme, puis lui a dit que lorsqu'elle sera réveillée, elle aille chercher pour lui une bière dans le frigo.
Une fois réveillée, sans dire un mot, elle est partie et revenue avec une bière qu'elle a offerte au médium !

Un homme (une femme ou un enfant) averti en vaut deux ! Et "Faute de connaissance, mon peuple dépérit" dit Dieu par le prophète Osée.

¤

Le temps est une force ; amie ou ennemie.

Si le temps est une force, il n'est pas juste de considérer l'univers comme étant fait et seulement dépendant de "4 forces fondamentales et interactions élémentaires"** responsables de tous les phénomènes physiques observés dans l'Univers !

Les richesses, compris le temps et de belles pensées, sont un bien.
Mais elles peuvent aussi être un réel embarras.

Un embarras embarrasse notre liberté.
Mais il peut en même temps être une lumière qui nous alerte. Et cette interpellation, si on y est sensible, va pouvoir nous aider à nous débarrasser d'encombrants, de nature psychique ou spirituelle.

Ce qui confirme le constat de George-Bernard Shaw:
"Il y a deux tragédies dans ce monde: avoir et ne pas avoir, être riche et ne pas être riche".

Si les riches et les pauvres le savaient, ils se rencontreraient bien mieux.
Mais pour cela, il faut le vrai Dieu** au milieu. Donc dans les cœurs... pas l'argent ou l'attrait du pouvoir.

La convoitise est donc toujours un vilain défaut.
Sauf si on l'observe réagissant en nous en tant que tel, et si on sait comment se défaire de nos travers et autres mauvais penchants. (ce blog apporte à ce sujet l'essentiel des solutions).

Et la pollution est à découvrir premièrement dans notre propre intérieur.
Dans nos pensées injustes, dans nos paroles mal à propos ou franchement toxiques, dans ces réactions spontanées qui ne sont pas ou ne restent pas sous notre contrôle.

C'est ce qui nous échappe qui doit (aussi) nous interpeler.
Quand on dit ou fait quelque chose qui est "plus fort que nous" ! Qui le fait, si ce n'est pas nous ?

La connaissance de l'univers, a dit Socrate, commence par la connaissance de soi.
Et en même temps, le monde qui nous entoure peut contribuer à mieux se connaître soi-même. C'est donc comme les deux pédales d'un vélo.

Et comme on a été créé avec deux jambes et deux bras, on a été créé avec une âme et un esprit.
Mais qui nous l'apprend ?
Certainement pas ceux qui profitent de nos ignorance.

Mais le Dieu qui nous a créés - et nous aime*** - veut que nous sachions.
Comment il nous a faits ; Pourquoi on marche mal, comme des unijambistes ou des hémiplégiques ; Pourquoi on est manchot d'un bras, étant privé de son bon et saint Esprit ;
Pourquoi on ne sait pas aimer, et se laisser aimer !?...

Cherchons et nous trouverons

______________________
* Si des êtres (souvent affreux ou malignement séducteurs) d'une autre nature que nous et d'autres mondes ont pu être inventés, c'est parce qu'effectivement des êtres surnaturels démoniaques existent et peuvent interférer dans nos existences, selon la place qu'on leur donne par nos comportements. (Ce sont des anges déchus, sortis de leur rang, dont Satan est le chef).

** Les 4 forces admises sont la force d'interaction nucléaire forte, la force d'interaction électromagnétique, la force d'interaction nucléaire faible et la force d’interaction gravitationnelle.

*** Le vrai Dieu est Amour et Justice.
Mais Justice avant de pouvoir libérer son Amour...

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14 mars 2019 4 14 /03 /mars /2019 09:09

Ce matin je me retrouve devant la page blanche d'un nouvel article à publier. Mais qu'ai-je à écrire des dizaines de (bonnes) réflexions et de pensées qui viennent à ma conscience et se succèdent bien plus vite qu'on a le temps de les matérialiser sur un clavier ?

Pourquoi suis-je là à ce moment et vide en même temps ? Je demande à Dieu (Celui qui est devenu mon Dieu) s'il veut que j'écrive maintenant, et quoi ? La réponse est immédiate :

"Je vous aime.

Je vous chéris, homme, femme, âmes perdues, égarées, déboussolées dans ce monde de souffrances qui m'a rejeté.

Ce monde se vante de savoir, multiplie les connaissances, mais sans rien ajouter à sa compréhension.

Et quand certains comprennent (un peu plus que d'autres), ont une certaine lucidité sur ce qui se passe qui les fait déjà refuser ou s'opposer aux systèmes, à la politique comme aux religions, ils n'ont pas de solution.
Ils voudraient une solution qui soit bonne, mais ils ne la trouvent pas. Ils ne l'ont pas.
Parce que le pouvoir du bien n'est pas en eux. Le pouvoir du bien n'est pas en l'homme.

Ils ne trouvent pas la solution à chacun de leurs multiples problèmes, parce qu'elles ne sont pas dans leurs valeurs ; et même pas dans les valeurs qui sont les miennes - parce que les concepts même justes n'ont pas de force en eux-mêmes. C'est Moi la force de toute justice.

Les solutions à ce qui est chaotique ne sont pas dans leurs pensées, parce que leur fondement, leurs idéologies, idéalistes, utopiques, pas plus que les religions, idéalistes, utopistes, ne sont attachées à Moi le vivant, qui possède le pouvoir, qui suis la force du bien.
Oui, je suis.

Je suis, et ils ne le savent pas. Et quand ils croient le savoir, ils marchent, vous marchez sans assez me connaître, et sans une relation établie avec Moi.
Alors c'est comme si je n'étais pas. Mais Je suis.

Alors vous dépérirez, à mal faire ou à ne pas savoir que faire. Vous êtes trop actifs, à la réflexion trop courte ; ou bien abattus, sans capacité pour en sortir par vous-même.

Et encore vous vous confiez en des humains, tout semblables à vous, alors que ma Parole dit : "Maudit soit l'humain qui se confie dans l'humain."
Car il n'y a pas d'autres dieux que Moi seul, pour sauver, pour délivrer, pour guérir, qui puisse débrouiller les problèmes dans lesquels vous vous enfermez par vos comportements coupables, par votre manque de justice, de justesse, d'à propos, de compassion, d'humilité, de juste vue de vous-même.

Revenez à Moi et vous vivrez ! Ne croyez plus que les choses vont s'arranger, que les impies vont parvenir à solutionner leurs crises.
Les crises sont les conséquences de leurs actes, de leurs choix, de vos actes, de vos choix. Elles sont les signes, les symptômes qui devraient vous amener avec leurs conséquences et mes jugements à la repentance. Au renoncement à vos œuvres mauvaises, sans effet positif sur la vie, pratiquées en dehors de Moi.

Je ne mettrai personne dehors de qui vient à Moi. Lavez-vous, purifiez vos âmes. Regardez-vous comme responsable et coupable et je vous pardonnerai si vous re-venez à Moi de tout votre cœur.

Je suis humble de cœur et compatissant, mais je ne peux tenir le coupable pour innocent. Seule la foi dans le sacrifice parfait de mon Fils bien-aimé peut obtenir la purification, la paix par la réconciliation avec Moi.

Car c'est une loi que "sans effusion de sang, il n'y a pas de pardon des péchés". Mais ma solution c'est que si vous confessez le mal que vous avez fait, dit ou même seulement pensé, je suis fidèle à l'alliance faite par ma crucifixion et juste pour vous pardonner toutes vos iniquités."

Je vous aime. Je l'ai prouvé.
Ne restez pas loin de Moi pour périr maintenant et pour l'éternité.

______________________________
Référence biblique à cette preuve de l'amour de Dieu manifesté envers nous : la Bible, lettre aux Romains chap. 5. versets 6 à 8 - 1ère lettre de Jean chap. 4, versets 9 et 10.

Croyez, et vous verrez bien que Dieu répond à une foi simple et sincère.

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4 mars 2019 1 04 /03 /mars /2019 11:29

Voici un florilège de témoignages que je crois réellement sincères et authentiques.
Et bien sûr le récit de mes propres expériences avec Dieu dont le lien est à la fin.

A vous de voir, en cliquant ici ou là... au hasard ! Hasard dont Albert Einstein a dit que c'est le nom de Dieu quand il veut rester incognito.

"Je vivais de l'occultisme"

De la rue à Jésus – (Témoignage de Thierry Perez)

Témoignage d'Azadeh

TÉMOIGNAGE : « J'ÉTAIS LE DERNIER À SAUVER… »

Témoignage Renversant : Après 50 ans de souffrance, d’occultisme, de divination, de spiritisme etc, elle finit par rencontrer le seul vrai Dieu vivant !

TÉMOIGNAGE : DE LA DROGUE À LA VIE EN CHRIST

Mon témoignage personnel de la réalité de Dieu - et autres expériences...

Soyez... attiré-e par la lumière, la vérité, la vie qui est bien plus que l'existence...

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18 février 2019 1 18 /02 /février /2019 16:09

 

Connaissez-vous cette histoire d'un homme qui dans la nuit a perdu une clé et la cherche sous un lampadaire ? Quelqu'un le voyant en difficulté s'approche, lui propose de l'aider, et comme ils ne trouvent pas finit par lui demander : - Vous êtes sûr de l'avoir perdue ici ?
- Non non ! Je l'ai perdu plus haut, là-bas dans le noir ; mais pour y voir plus clair je suis venu sous ce lampadaire.

SANS BLA-BLA
Ne comptez pas ou plus parvenir par vous-même à une satisfaction assez durable si vous n'avez pas pour appui une véritable croyance en Dieu, la foi en Jésus le Rédempteur (Rédempteur potentiel pour tous, ou déjà actif pour notre relation lui avec nous).

L'insatisfaction est au cœur de notre existence, que ce soit par exemple pour le riche qui a trop comme pour le pauvre qui n'a pas assez. Poser une frontière entre pauvre et riche, comme vouloir qu'il n'y en ait pas, est un égarement. Croyons-nous naïvement que les riches ou les célébrités sont épargnés par le mal ? Croyons-nous injustement que prendre aux riches pour donner aux pauvres sera un bien bénéfique pour l'un et pour l'autre ? La réalité montre, notamment par le communisme et le socialisme (deux faces politiques illusoires et illusionnistes de l'humanisme), que ça ne marche pas. Car nous sommes tous capitalistes au fond, cette déviance du déploiement dynamique de soi dont le Créateur nous a heureusement pourvu...

1er TYPE DE SATISFACTION
C'est la satisfaction qui s'obtient à partir des besoins (réels) et des désirs (légitimes).
a) Besoins et satisfactions corporelles ET psychiques : de se nourrir, de bouger (de travailler), de paix et de repos (dont les loisirs), de dormir, d'acquérir des connaissances et des biens, de réfléchir et de construire, de se développer, de relations... et encore d'éliminer (déchets et toxines physiques mais aussi des choses (principalement entendues ou vues) fausses, frelatées,trompeuses, injustes...
N'est-ce pas merveilleux que Dieu nous ait créés êtres vivants avec des besoins qui à la fois nous mettent en action (contraire du laxisme, de l'oisiveté vicieuse, de la paresse) et procurent du bien, des énergies et des satisfactions sensibles !?

Un chant dit : "Compte les bienfaits de Dieu, et tu verras en adorant combien le nombre en est grand..."

Une prière d'enfant de Dieu : "Enseigne-nous à bien compter nos jours, Afin que nous appliquions notre cœur à la sagesse.13 Re-viens, Éternel ! Aie pitié... !14 Rassasie-nous chaque matin de ta bonté, Et nous serons toute notre vie dans la joie et l'allégresse."

ET LES FAUX BESOINS !?
Attention à ne pas vous laisser séduire et frustré-e par des faux besoins ! Les plus courants dans notre Occident matérialiste sont un besoin de confort qui dépasse largement ce qui nous est nécessaire pour être bien. Cette mauvaise idée et conception du confort poussent à des achats superflus, parfois compulsifs, qui nous appauvrissent au lieu de nous être en bénédiction.
Autre faux besoin : la sexualité ! Cette fonction n'est pas un besoin ! Elle est une option qui résulte d'un choix d'existence entre désirer unir toute sa vie à une autre, complémentaire, aimée plus que soi, et rester sciemment célibataire, c'est-à-dire sans activité sexuelle... qui est le cadeau que Dieu ajoute à celles et ceux qui optent pour une union de cœur et d'âme.
D'où il résulte que mal appliqué, ce don particulier qu'est la sexualité peut devenir un piège, un ennemi de l'amour même, un enfer... Quelqu'un a dit : "Rien n'est pire que la corruption du meilleur."

De même le besoin d'agent peut être perverti par la cupidité, l'avarice, ou au contraire une prodigalité (générosité excessive) qui changent les bienfaits de l'avoir en source de mal-vivre.

b) Autres que les besoins sont les désirs.
Leur caractère peut être tout aussi pressant qu'un vrai besoin, ce qui nécessite là aussi que nous acquérions une maîtrise.
Tous les désirs ne sont pas bons, et tous ne sont pas mauvais ! Il n'est pas question de faire soi-même mourir tous nos désirs pour faire disparaître nos souffrances ! Cette vue - bouddhiste, que je trouve particulièrement insatisfaisante, cause de frustration plus que de libération - relie toutes les souffrances aux désirs dès lors qu'ils restent inassouvis.

Cela n'a rien à voir avec l’Évangile, où la marche à suivre s'exprime plutôt ainsi (Psaume 37) :
"4 Fais de l'Éternel tes délices, Et il te donnera ce que ton cœur désire.5 Recommande ton sort à l'Éternel, Mets en lui ta confiance, et il agira."
Il ne s'agit pas d'annihiler - à notre détriment - nos désirs, mais d'expérimenter un relationnel bon, apaisé, filial et même amoureux avec Dieu.
Étant lui-même le créateur de ce moteur du vivant qu'est le désir, il ne peut vouloir qu'on le piétine purement et simplement. 
Dieu respecte la légitimité du désir... sans pour autant tout nous accorder comme certains font (au détriment der tous) à des enfants versatiles et capricieux : Dieu ne "gâte" pas ses enfants !
Car c'est dans notre nature (adamique, abîmée, dégradée, largement inconsciente du Réel et de ce qui est bien et mal) que nous ayant des désirs sans avoir la moindre idée de ce qui est bon ou mauvais pour nous. Notamment sollicités par les publicités et autres manipulations médiatiques, films, chansons... venant diaboliquement (et le mot n'est pas que métaphorique) jouer sur notre fond dénaturé qu'est la convoitise - une perversion du désir.

On a vu là ce qui peut produire des satisfactions légitimes, bonnes, agréables, et causer des insatisfactions dès lors que Dieu ne nous habite pas (suffisamment) par son Esprit pour nous faire avancer la lumière de Dieu et de Christ et ses libérations.

"Plusieurs disent : Qui nous fera voir le bonheur ? Fais lever sur nous la lumière de ta face, ô Éternel !7 (4 : 8) Tu mets dans mon coeur plus de joie qu'ils n'en ont Quand abondent leur froment et leur moût.8 (4 : 9) Je me couche et je m'endors en paix, Car toi seul, ô Éternel ! tu me donnes la sécurité dans ma demeure."

On a compris que la quête du plaisir n'est pas la bonne démarche. Car le plaisir n'est qu'une conséquence, et court-circuiter sa et ses causes, c'est-à-dire ses conditions, c'est entrer dans une chasse qui ne permet pas d'atteindre ce qu'on vise et recherche. Jusqu'à l'épuisement du plaisir et du désir, la nausée et l'éloignement du bonheur.
C'est en ce sens que Barbey d'Aurevilly écrivit : "
Le plaisir est le bonheur des fous, le bonheur est le plaisir des sages."

2e TYPE DE SATISFACTION
C'est une satisfaction plus rare, que l'incroyant ou le religieux peut poursuivre vainement toute sa vie. C'est une satisfaction de vivre qui repose sur une paix intérieure établie, et non sur une paix qu'on n'a pas et qu'on cherche sans cesse à s'accaparer, que ce soit par des méditations fastidieuses, des liturgies répétitives ou encore par des exercices corporels. 
En fait nous cherchons par là à obtenir, par nos propres efforts, persévérance, constance, et routine, ce qui peut nous être... donné ! Donné par Christ, par Dieu lui-même seulement, à quiconque se présente en vérité, sans faux-semblant, sans duplicité, dans une foi droite, devant lui.
Ce que Jésus dit à ses disciples : "
Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne. Que votre cœur ne se trouble point, et ne s'alarme point. "

Cette paix peut être attaquée, agressée de diverses manières, mais elle résiste à pas mal d'oppositions, et si on vient à la perdre, on la retrouve sans des tas d'exercices, en nous, par la foi et la confiance réitérée en notre Dieu et Sauveur qui en est le garant.
Qui est le Prince de la paix, c'est-à-dire Celui qui en dispose plus que tout autre ?
Il a été annoncé ainsi, 7 siècles avant qu'il ne paraisse sur terre, par le prophète Ésaïe (
Yeshayahu  en hébreu) :
"Car un enfant nous est né, un fils nous est donné, Et la domination reposera sur son épaule ; On l'appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix."

Ainsi, si vous cherchez la paix, intérieure, du cœur, et encore avec vos circonstances de vie et avec vos relations (obligées), sachez que c'est Jésus (Yeshoua en hébreu) qui en a la clé et seul peut nous la procurer durablement (éternellement même).
N'est-il pas merveilleux de pouvoir lire - et croire - cet exposé de l’Évangile ? "
Maintenant, en Jésus Christ, vous qui étiez jadis éloignés, vous avez été rapprochés par le sang de Christ (par sa mort pour nous).14 Car il est notre paix, lui qui des deux (les juifs et les autres) n'en a fait qu'un, et qui a renversé le mur de séparation, l'inimitié... afin de créer en lui-même avec les deux un seul homme nouveau, en établissant la paix,16 et de les réconcilier, l'un et l'autre en un seul corps, avec Dieu par la croix, en détruisant par elle l'inimitié.17 Il est venu annoncer la paix à vous qui étiez loin, et la paix à ceux qui étaient près ;18 car par lui nous avons les uns et les autres accès auprès du Père, dans un même Esprit."

On comprend ainsi que l'antisémitisme (et autres expression de racisme) qui ronge les cœurs de beaucoup, ne peut en être ôté que dans la foi en Jésus - le juif mort pour la libération des cœurs de tous.

On comprend ainsi que la satisfaction transcendante - qui aussi sublime celles relatives à nos besoins élémentaires vitaux et à des désirs légitimes - tient d'une paix (r)établie avec Dieu, qui met sa paix en nous.
Et on peut alors parler d'une satisfaction de vivre, une satisfaction non plus obtenue par diverses manières de faire, mais par la foi en Christ, qui devient notre rédempteur, la source d'un bien-être nouveau.
A partir de là, on peut comprendre et vivre que "
C'est, en effet, une grande source de gain que la piété avec le contentement ;7 car nous n'avons rien apporté dans le monde, et il est évident que nous n'en pouvons rien emporter."

La quête du bien-être vient de ce que nous sommes tous mal en nous-même, adamiquement dégénérés, dénaturés, amoindris, ne nous aimant pas - ou trop ! -. C'est une quête de bien-être en soi et forcément avec notre environnement, nos proches.
Voire une quête de l'amour, toujours maladroite ou, grand il nous tombe dessus, jamais évident à gérer...

Dieu m'a fait la grâce de se révéler à moi comme étant une réalité effective, dont j'ai cherché en retour la face (les faces), les bénédictions, le repos, la compréhension, le sens de tout. Et c'est seulement dans ce relationnel à la vertical que je suis parvenu à saisir les pourquoi - et les pour quoi - des insatisfactions et encore la différence entre les satisfactions laborieuses et toujours éphémères liées à notre volonté et s'obtenant par quelque chose à faire (acheter encore, pratiquer encore plus, ne pas lâcher...), et les satisfactions qui sont dans un repos, dans l'être. Dans l'être entier, reconstitué par Christ et son Esprit à l'image originelle de Dieu, tri-unité accordée d'un corps, d'une âme et de l'Esprit (de Dieu).

L'apôtre Paul écrit ainsi à de nouveaux croyants au Christ-Messie Jésus : "Ne savez-vous pas que votre corps est le temple du Saint Esprit qui est en vous, que vous avez reçu de Dieu, et que vous ne vous appartenez point à vous-mêmes ?20 Car vous avez été rachetés à un grand prix. Glorifiez donc Dieu dans votre corps et dans votre esprit, qui appartiennent à Dieu."

Et encore : "Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l'esprit, si du moins l'Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu'un n'a pas l'Esprit de Christ, il ne lui appartient pas."
Est-ce clair !?

CHERCHER LE BIEN-ÊTRE OÙ IL A ÉTÉ PERDU
Pour être dans le maximum de satisfaction connaissable sur terre, de repos, de sécurité, de bien-être, il faut venir ou revenir à Dieu jusqu'à être à lui.
Une appartenance semblable à celle d'un enfant à son père. Certes, comme dit le Petit Prince, on peut se prendre pour "des grandes personnes", qui n'ont pas besoin du surnaturel divin pour vivre ! Mais dans cette prétention, on reste des enfants sans père, et on sait tout le mal qui s'en suit dans la vie d'un enfant qui n'a pas connu son père ou a eu un mauvais père.

Car même si la maman est capable d'apporter une bonne contribution à son enfant, l'absence d'un père véritable engendre toujours un manque qui laisse place à des problèmes, pour le moins à des séquelles...

Et cela aussi parce que l'humanité entière a hérité d'une sorte de père malveillant qui cherche et trouve en chaque être humain des moyens de mal faire, de faire mal faire et contribue à notre mal être.
Jésus en a ainsi parlé à des leaders religieux - et donc cela s'applique au moins autant à des croyants lambda ou à des incroyants :
"Vous avez pour père le diable, et vous voulez accomplir les désirs de votre père. Il a été meurtrier dès le commencement, et il ne se tient pas dans la vérité, parce qu'il n'y a pas de vérité en lui. Lorsqu'il profère le mensonge, il parle de son propre fonds ; car il est menteur et le père du mensonge.45 Et moi, parce que je dis la vérité, vous ne me croyez pas."

Qui parmi nous ne ment jamais ?
Mentir est suffisant pour que Satan ait des droits sur nous ! Qu'on le croit ou pas, et même d'autant plus qu'on ne le croit pas !
Qui donc est assez grand et fort et perspicace et suffisant pour vivre son existence sans subir des attaques plus ou moins virulentes, aux conséquences parfois bien dramatiques... qui pourraient être évitées !?

Or on peut en éviter ou être gardé de pas mal de difficultés et souffrances, quand on a trouvé en Dieu le Rédempteur qui a terrassé Satan et pris le dessus sur toutes sortes de maux par ses souffrances et sa mort injuste et sa résurrection.
C'est tout le bien, la satisfaction suprême que je vous souhaite et invite à rechercher et trouver... au bon endroit - Vous vous souvenez de la petite histoire !?Emoji

C'est ma prière que le Dieu vivant et vrai vienne en aide, voire au secours de quiconque aura lu cet article. Amen... et à suivre bien sûr !...

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  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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