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17 mars 2020 2 17 /03 /mars /2020 11:30

 

Que sommes-nous qu'un si petit organisme puisse modifier tout le cours de la planète habitée ?...

Et s'il pouvait contribuer à couronner notre existence personnelle de sa plus grande gloire possible ?...

 

Est-ce qu'être réduit au minimum de nos mouvements, activités et relations, ne serait pas finalement être mis dans les meilleures conditions pour avoir du temps pour soi, en vue de rechercher... l'essentiel !?

QU'EST-CE QUE L'ESSENTIEL ?
Wolinski (auteur de bande dessinée, journaliste et acteur français) parlait de "ne pas mourir idiot" ! Une formule des plus profondes en réalité.

Ainsi, l'essentiel de cette existence, faite de contraintes, d'imprévisibles et d'une mort qui ne peut être niée, n'est-ce pas d'en trouver LE sens ?

Je veux parler du sens général, universel, objectif, primordial, qui transcende toutes les opinions divergentes, cultures et religions.

LE sens de notre vie, c'est en connaître sa raison d'être, la raison de ses difficultés irréductibles, des souffrances, de la fragilité de nos bonheurs et de la finalité de ce temps vécu sur terre.

LE sens qui concerne tous et donc chacun, vous comme moi, qui peut être contredit, mais qui reste dans tous les cas forcément, essentiellement, logiquement, raisonnablement le même pour tous (les êtres en capacité d'entendre ou de lire et de comprendre).

Question dont la connaissance de la réponse devrait en précéder bien d'autres (secondaires ou totalement superflues).

Voilà le bon, le bien fondamental, qui peut être tiré de ce coronavirus... comme de bien d'autres choses dont on ne voit généralement que le mauvais côté.

Et donc voilà un temps favorable, qu'on n'aurait peut-être jamais su prendre par nous-même, du temps libre imposé et en fait libéré, pour comprendre.

LE SENS DE L'EXISTENCE SE TROUVE
Il se trouve pour quiconque veut savoir "en vérité", dans la liberté de sentir soi-même, débarrassé-e de schémas et conditionnements socio-culturels et religieux.

Dans la compréhension que la vérité est une, et par là forcément étroite. Comme en physique, chimie, mathématique, ou avec une adresse internet, la seule bonne réponse en esclut quantité d'autres.
C'est en ce sens qu'il faut vouloir savoir 'en vérité" ce qui est la vérité qui donne à notre existence son sens, immédiat et perpétuel.

UNE RÉPONSE QUI ÉCHAPPE AU TEMPS ET À L'ESPACE
Notre existence ne peut prendre sens que si la barrière de la mort est bousculée.

Le sens de notre venue en ce monde (tragique, notamment par la mort) et de notre présence temporelle, nécessite que nous espérions, désirions, souhaitions et croyons, que la mort physique n'est pas une fin sans suite, n'est pas un anéantissement totale de notre personne consciente.

Ainsi, dans un univers relatif, pour rejoindre le sens de l'existant, nous pouvons et devons accéder à une connaissance qui échappe aux relativités, qui soit de l'ordre de l'Absolu.

Dans un univers fait de contradictions et de libertés comme il est, nous avons à choisir ce que nous croyons ou allons croire.
Croire en effet, pour la simple et bonne raison que personne ne peut accéder à un savoir quelconque, juste ou faux, sans d'abord croire ce qu'il entend.
C'est un principe dynamique universel d'acquisition des savoirs.

LA QUESTION DE NOTRE ÂME, EXISTANTE, MORTELLE OU IMMORTELLE... ÉTERNISABLE

Pour avoir, comme des millions d'autres, découvert un jour (en lire le compte-rendu ici) ce qui donne son sens le plus absolu à notre vécu, je peux vous dire que LE sens qu'il est possible de rejoindre dépasse nécessairement la seule partie de vie que nous avons à vivre là sur terre.

Il s'agit d'entrer dans la possibilité - qui existe, ce qu'on peut croire et savoir personnellement, intimement - d'immortaliser ou éterniser notre âme, afin de pouvoir vivre en tant que soi conscient de lui-même, éternellement.

Ce qui veut dire qu'il nous faut nous poser sur cette question à la fois existentielle (par ses conséquences toutes immédiates) et essentielle (par des conséquences infinies, sans fin).

C'est en ce sens que la pandémie covid-19 peut devenir une vraie chance pour avoir, par la réduction des mouvements, du temps pour approcher jusqu'à toucher, expérimenter la réalité de l'Absolu, du Divin donc.

à suivre, très bientôt (abonnez-vous pour en être informé).

Soyez d'ores et déjà béni-e.

Un chant qui est une prière... en cours d'exaucement ici

Si vous ressentez le besoin de prier, vous avez > ici ou > là deux trames pour y aider.

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25 mai 2018 5 25 /05 /mai /2018 14:36

Voici un témoignage intéressant qui montre que la recherche de vérité peut aboutir dans nos existences à des découvertes révolutionnaires, enthousiasmantes, en contact avec le surnaturel divin.
Cela à travers un questionnement et des comparaisons pertinentes, par l'exercice de notre raison et d'une logique départies des préappris formant une connaissance superficielle qui n'est somme toute que préjugés.

On retrouve là la fameuse découverte que fit Descartes (ce qui donna son "Discours de la méthode") qu'il résume quelque part de manière générique ainsi :
"Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances."

Einstein a dit dans le même sens : "Rare est le nombre de ceux qui regardent avec leurs propres yeux et qui éprouvent avec leur propre sensibilité."
Et encore : ''Le souci de parvenir à la vérité doit primer sur toutes les autres considérations.''

"En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire." G. Orwell, dans 1984.
Et on peut ajouter : La trouver aussi !
Mais parce qu'existe précisément un Dieu vivant véritable, rien ne peut empêcher qu'il se révèle... que nous-même !... Et encore...

Ici vous pouvez lire ce témoignage en français,
et là l'entendre et le voir en vidéo et en anglais.

Ajout : Je découvre ce nouveau témoignage (par clic ici).
Il s'avère que Jésus apparait de plus en plus aux croyants de tous bords qui se veulent intègres et ont une "crainte respectueuse" de Dieu - ce que la Bible qualifie de "commencement de la sagesse"...

Ajout 2 : Jésus qui pleure et sauve

Soyez béni-e, déjà pour que le Dieu unique et vrai soit l'objet d'une découverte fructueuse pour vous (aussi)...

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29 avril 2018 7 29 /04 /avril /2018 09:26

Est-ce dans un tel rapprochement de l'air qu'on peut se sentir physiquement
le plus libre ? Question de goût(s) et d'opinion(s).
Mais pour se sentir libre intérieurement, il nous faut trouver avec quel élément sérieux composer au mieux...
 

La vérité est un principe contesté dans un univers humain qui, originellement duo, est devenu duel. Ainsi ne pouvons-nous pas voir les vérités et les mensonges comme des réalités complémentaires, mais comme une forme des antagonismes, comme des ennemies. De la même manière que la lumière qui en créant des ombres donnent du relief, mais aussi contre laquelle lutte l'obscurité qui est le fond naturel de notre univers.

Quand Jésus paraît, il parle beaucoup moins que la plupart d'entre nous. Mais ce qu'il dit ne peut être qu'une véritable interrogation pour chacun qui dispose de quelque capacité réflexive.
Parmi ses enseignements et affirmations, il (a) dit "Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi."
Parole d'un mégalomane - incapable de prouver ce qu'il affirme - ou parole d'un fils d'homme qui est aussi fils unique de Dieu - ce qu'il prouve par des actions surnaturelles d'exception - ? (lecture ou écoute possible ici de l'essentiel de la vie, des paroles et des actions de Jésus).

À part l'indifférence (qui tient de l'ignorance ou de notre superficialité), on peut considérer concernant Jésus et le poids de ses paroles. qu'il s'agit soit de l'expression d'un orgueil maxi-mégalomane, soit d'une maxi-originalité, d'une apparition unique : "Il leur parla de nouveau, et dit : Je suis la lumière du monde ; celui qui me suit ne marchera pas dans les ténèbres, mais il aura la lumière de la vie."

Entendant de telles affirmations, pouvons-nous rester insensible, statique, désintéressé, étranger... à moins d'être réduit à une incapacité d'être réellement un être humain !?

"LA CHÈVRE BROUTE LÀ OÙ ELLE EST ATTACHÉE" Proverbe africain
Notre formation depuis notre conception et après notre naissance à la lumière physique de ce monde fut essentiellement un conditionnement, une mise en boîte de nos capacités et déploiements via des savoirs, selon un système sociétal donné - non choisi - formant une socio-culture, avec une religion de tradition ou dans le bain de l'athéisme (vue qui se confond de plus en plus avec la laïcité).*
Ce bouillon aux ingrédients multiples et pas forcément bien assemblés, fait se produire en nous des conceptions et autres opinions qu'on considère comme les nôtres, comme "nos" vérités, par mimétisme et autres moyens d'acquisitions conscients ou inconscients, essentiellement indépendamment de tout recul qui pourrait favoriser un regard critique objectivé.
D'où le mot des plus pertinents de Descartes :
"Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances." ...Et deux fois si on s'aperçoit qu'on n'est pas encore au cœur des savoirs et de la connaissance véritables.

En réalité c'est déjà un mensonge qui se propage qu'il suffit que nous ayons des vérités personnelles pour être capable de juger de tout et de bien vivre.
C'est donner à ce qui n'est le plus souvent que ramassis de savoirs partiels, d'affirmations non prouvées (comme est la théorie de l'évolution !), d'opinions diverses mises à notre contact, de préjugés, qui font qu'on arrive (compris philosophies ou idéologies diverses) à des avis, des vues personnelles, qu'on nomme nos vérités. Qui peuvent certes contenir bien des vérités objectives, mais aussi des erreurs, des bourdes, des mensonges volontaires, des demi-vérités trompeuses, de l'ignorance préjudiciable.

Car existe effectivement le fait que nous pouvons avoir chacun des opinions personnelles, des convictions, mais elles ne peuvent pas être contraires, en antagonisme avec des vérités de premier ordre tel que la Bible ou Jésus essentiellement les abordent, les affirment et nous les fait connaître... sauf au détriment de notre cohésion (équilibre, santé !) personnelle, intérieure (psychique et spirituelle) et même psycho-somatique. Sauf au détriment de notre et de nos justes positionnements dans ce monde (choix, décisions, orientations, relations, activités, pratiques...).

C'est en ce sens que Philippe Mélenchton (bras droit de Martin Luther) dit en vue de l'harmonisation sociale comme de notre harmonisation personnelle :
"Pour les vérités premières : unité (universalisme) ;
Pour les vérités secondes : diversité (opinions différenciées) ;
En tout : charité (amour, respect les uns des autres, tolérance)".

"Jésus dit : « Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples,32 vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous rendra libres. »
33 Ils lui répondirent : « Nous sommes la descendance d'Abraham et nous n'avons jamais été esclaves de personne. Comment peux-tu dire : ‘Vous deviendrez libres’ ? »
34 « En vérité, en vérité, je vous le dis, leur répliqua Jésus, toute personne qui commet le péché est esclave du péché.35 Or, l'esclave ne reste pas pour toujours dans la famille ; c’est le fils qui y reste pour toujours.36 Si donc le Fils vous libère, vous serez réellement libres."

Avec Jésus on est loin de la religiosité : il introduit l'humain dans la connaissance de soi la plus profonde. Qui peut être meilleur psychologue que celui qui a participé, en tant que parole de Dieu, à la création de l'homme comme de l'univers !?

Pas question pour lui de nous interpeller dans le but de remplir des églises ou de nous fidéliser dans des groupements de croyants ! Le nombre n'est pas sa préoccupation, mais la droiture de cœur, c'est-à-dire la vérité vis-à-vis de soi-même pour commencer.

L'essentiel est que nous entrions dans (et connaissions) une vie autre, potentiellement toute autre, spirituelle et non religieuse seulement. Car la liberté dans laquelle Dieu a créé l'homme à son image, ne se trouve pas dans des pratiques ritualistes, mais dans la libération des contraintes de "la loi du péché...", qui nous habite tous et nous pousse à mal faire, contre notre propre volonté même. Dominante à mal faire qui est aussi "loi de la mort" - dont l'imposition finale atteste plus que tout que nous ne sommes pas libres de vivre, donc pas maîtres par nous-même des grandes orientations comme de la durée de la vie qui nous a été prêtée...

ET DONC QUELLES VÉRITÉS LIBÈRENT !?
Les vérités les plus essentielles à connaître sont :
- Celle relative à la réalité de Dieu et à qui il est (quelle en est la meilleure représentation qui nous ait été donnée pour que nous parvenions à entrer en relation avec lui et vivre dans une réelle connexion avec lui) ;
- Celle relative à la personne de Jésus donc ;
- Celle relative à des écrits qui se disent sacrés, émanés de la même source divine, et qui pourtant se contredisent ;
- Celle relative à l'état réel de nos personnes selon le regard que Dieu porte sur nous ; des gens bien, parfaits, suffisants en eux-mêmes, ou des êtres qui ont besoin de grâce, de pardon... et de transformations ;
- Celle relative au bien et au mal, selon des écritures avérées et/ou selon notre propre conscience si on ne se réfère à aucun écrit ;
- Celle relative à notre mortalité** et aux possibilités de pérennité de notre âme après la séparation d'avec le corps ;
- ...

Et avec les charges, pressions et contraintes qu'imposent des lois de société et planétaire toujours plus nombreuses et restrictives de libertés de faire et de temps, (obligations et interdictions), il est bon de chercher comment trouver dès maintenant une vraie liberté intérieure... tout en accueillant la solution divine pour notre devenir éternel.
"... que tout ce qui est vrai, tout ce qui est honorable, tout ce qui est juste, tout ce qui est pur, tout ce qui est aimable, tout ce qui mérite l'approbation, ce qui est vertueux et digne de louange, soit l'objet de vos pensées.9 Ce que vous avez appris, reçu et entendu de moi, et ce que vous avez vu en moi, pratiquez-le. Et le Dieu de paix sera avec vous."

Gardez-vous donc de "toutes les séductions de l'iniquité (des injustices) qui emportent ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés."
Voyez-vous là l'importance de la vérité ? D'être vrai, de chercher ce qui est juste, d'aimer la justice plus que les avantages que peuvent nous procurer quelque mensonge ou détournements ?...

Bonne recherche donc dans les vérités premières, qui fondent tant l'existence que notre devenir - que nous voulons le meilleur (et sans fin quand tout mal aura disparu) - sur un roc (Jésus-Christ et ses paroles)... sinon nous ne faisons que bâtir sur du sable...

Un chant : Libre

________________
* Et s'il arrive que malheureux ou malheureuse dans l'impiété laïque ambiante et personnelle, on nous propose un fond de tarte (une vision du Réel et de soi) tout différend (qui inclut Dieu sous une représentation ou une autre, des relations et mouvements nouveaux), l'alternative est parfois bien tentante... sans qu'on s'interroge plus sur la justesse, la pertinence, la validité devant Dieu, de la nouvelle proposition...
Certes une conception qui intègre le Divin ou le spirituel sera toujours moins étriquée dans la perception du Réel global, mais pas forcément plus large, plus libre, dans ce qui va en résulter dans notre existence et surtout dans notre âme... Car il ne faut pas là d'erreurs à la place des vérités fondamentales qui l'on ne veut pas basculer d'une insatisfaction dans une autre...
** En réalité à notre porte sont 5 types de mort bien distinctes

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2 février 2018 5 02 /02 /février /2018 15:55

La Bible est une création de Dieu qu'on peut voir
comme une terre à explorer, psychiquement et spirituellement,
avec des richesses de connaissances à fleur de sol,
d'autres enfouies - mais connaissables...

F - LES DEUX RÉSURRECTIONS

Comme il y a deux endroits où nous pouvons aller après cette incarnation, il est aussi prévu et annoncé depuis longtemps, qu'il y a deux résurrections également bien distinctes. Notamment séparées l'une de l'autre par 1 000 années.

  • F1 - LA RÉSURRECTION DES JUSTES ou 1ère RÉSURRECTION

En Apocalypse on trouve écrit : "...C'est ici la première résurrection.6 Bienheureux et saint celui qui a part à la première résurrection : sur eux la seconde mort n'a point de pouvoir ; mais ils seront sacrificateurs de Dieu et du Christ, et ils régneront avec lui mille ans...
Le reste des morts ne vécut pas jusqu'à ce que les mille ans fussent accomplis
"

La première résurrection est pour bientôt, qui fera sortir des tombeaux les corps soudain métamorphosés des croyants qui avaient mis leur foi en Jésus : "Si l'on prêche que Christ est ressuscité des morts, comment quelques-uns parmi vous disent-ils qu'il n'y a point de résurrection des morts ?13 S'il n'y a point de résurrection des morts, Christ non plus n'est pas ressuscité.14 Et si Christ n'est pas ressuscité, notre prédication est donc vaine, et votre foi aussi est vaine.15 Il se trouve même que nous sommes de faux témoins à l'égard de Dieu, puisque nous avons témoigné contre Dieu qu'il a ressuscité Christ, tandis qu'il ne l'aurait pas ressuscité, si les morts ne ressuscitent point.16 Car si les morts ne ressuscitent point, Christ non plus n'est pas ressuscité.17 Et si Christ n'est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous êtes encore dans vos péchés,18 et par conséquent aussi ceux qui sont morts en Christ sont perdus.19 Si c'est dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux de tous les hommes.20 Mais maintenant, Christ est ressuscité des morts, il est les prémices de ceux qui sont morts.21 Car, puisque la mort est venue par un homme, c'est aussi par un homme qu'est venue la résurrection des morts.22 Et comme tous meurent en Adam, de même aussi tous revivront en Christ,23 mais chacun en son rang. Christ comme prémices, puis ceux qui appartiennent à Christ, lors de son avènement."

(aussi 1 Thessalon. 4.13...)

Dans la Bible, bien d'autres détails suivent cet événement fantastique immense, planétaire, qui arrive.
Globalement, à partir du moment de cette résurrection, partout la terre va devenir un champ de bataille...
Selon la chronologie fournie par le livre de l'Apocalypse - du grec apocalupsis signifiant révélation (de Jésus-Christ, donnée à Jean son apôtre), nous sommes dans le temps de la 6e des 7 trompettes (faits très importants qui jalonnent le déroulement de l'Histoire)...
Comme la venue de Jésus fut une rupture totale dans le continuum de notre histoire, cette première résurrection (dont il est aussi l'initiateur) sera aussi une rupture en ce que cela va changer le cours de l'histoire sur la terre : les deux millénaires de l'ère de la Grâce divine où le salut éternel de notre âme - notre salut personnel ! - s'obtient par la foi seront clos. Pour être sauvé parmi les horreurs qui font alors paraître, la condition du salut sera très nettement durcie...

Aussi à ce sujet la parabole des 10 vierges...

 

F1, acte 1 : LE MILLÉNIUM ou 1 000 ans de règne de Christ sur cette terre
Après cette intronisation céleste des croyants au Christ et Messie Jésus et quelques années..., une nouvelle phase terrestre apparaitra. (Apocalypse ch. 19, vers. 11 et ss).
Jésus paraît enfin là comme "Le Roi des rois, le Seigneur des seigneurs" de la terre et des cieux.
D'abord pour mettre un terme à un chaos planétaire phénoménal : massacres, viols et toutes sortes d'horreurs perpétrées par lesquels Satan et son horde de démons cherchent à s'assurer un contrôle total du genre humain et de la planète.
Pour cela, Satan l'ange déchu terrible ivre de sang, sera emprisonné pendant mille ans pour ne plus nuire à personne et à travers personne. (Apo ch. 20).

Jésus Christ et ses fidèles commencent par restaurer l'ordre moral - La Loi de Justice divine - dont les transgressions ont été la cause de l'asservissement (et des souffrances immenses) des êtres humains aux esprits satanisés.
Et c'est encore la restauration de la terre, la remise en ordre des dérèglements (climatiques, écologiques), des appauvrissements et pollutions des sols, air et eaux...

Cela va notamment montrer
- que Dieu mène à terme ce qu'il a mis en œuvre, même si le mal s'y est glissé un temps pour tout abimé ;
- qu'avec Jésus et notre acceptation généralisée du plan rédempteur divin, on peut - et on aurait pu depuis longtemps - remettre la planète en ordre au lieu de continuer à la détruire par nos entêtements ;
- que Dieu associe les êtres humains (comme les anges) à son règne et ses œuvres...

Un chant : de grâce en grâce

suivre et fin ici...

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23 janvier 2018 2 23 /01 /janvier /2018 13:52

On est chacun mis en situation, en position d'acteur et de spectateur,
juste vêtus différemment selon les lieux et les époques

avec un quotidien personnel qu'on joue en amateur, et qui nous est aussi observable, analysable... d'autant qu'on en aura la curiosité, ou que des épreuves finissent par nous conduire, quand ce n'est pas dans la dépression, à des pensées, interrogations, réflexions et/ou recherche(s) et découverte(s) au-delà de l'existentiel.

C - (reprise) NOTRE DEUXIÈME ÉTAT DE VIE : DE L'INCONSCIENCE A DES PRISES DE CONSCIENCE

La vie fœtale a quelque chose de l'invisibilité, comme l'air qu'on respire, les ondes, les photons, électrons, etc...  ce qui doit nous sensibiliser à ne pas croire seulement ce qu'on voit, mais à creuser pour mieux découvrir ce qu'est (entre autres) LA VIE... et ses diverses expressions...
Et là, pour commencer, après que la croissance du corps* fut centrale de l'étape précédente, c'est surtout maintenant à l'âme de déplier ses antennes et de remplir ses unités de stockage..

La réponse à la question de l'article précédent (la raison fondamentale, fondatrice, que nous soyons là ?) est : la conscientisation. Avec deux sommets, pas difficiles en soi à atteindre, avec aussi des champs de conscience ou collines moindres, mais importants à conquérir, plus ou moins.

  • 1er sommet : LA CONSCIENCE DE SOI

C'est si commun qu'on ne réalise même pas en quoi c'est fantastique ! Un jour où commence à réaliser,qu'on a une existence propre, différente de tout le reste de ce qui est, plutôt autonome même si elle est loin d'être indépendante (manger, boire, éliminer, dormir, bouger, travailler, relationner...). Ainsi on dit "je", "moi-je..." en tant que sujet pensant commençant à se penser.
Ce n'est pas parce qu'on pense qu'on est (pleinement, dans le sens d'éternel) ! Mais existant, on devient toujours plus "quelque chose" - en bonne voie ou totalement en perdition - d'un projet inouï qui nous fait devenir, sans s'imposer, en passant par le fait qu'on pense, conscient de notre existence et d'une responsabilité propres.

Si minus qu'on soit en rapport de la terre, du système solaire et de l'univers, on est cependant une création extraordinaire, unique en soi, importante et valorisable et éternisable  c'est-à-dire existant en rapport d'un autre sommet à atteindre, et à franchir !

  • Second sommet : LA CONSCIENCE DE DIEU PAR EXPÉRIENCE

Cet autre sommet est moins évident - forcément, car tout cela se passe dans l'idée prédéfinie d'une dynamique de progrès, de croissance en connaissances, de développements réflexifs, d'extension de conscience, d'emprises croissantes bénéfiques sur autre chose que soi. Dynamique à quoi s'opposent des forces sombres, occultantes du Réel, des déroutes, des contraintes imposantes, des fausses informations, des tentations à mal faire, à se tromper, des manques, etc, etc... Mais avançons quand même, car l'enjeu est d'importance : la vie éternelle ! à quoi on est appelés à naître.

 

D - NAÎTRE A UN NOUVEAU COMMENCEMENT
Il s'agit de parvenir à croire au Dieu réel en vérité. Ce qui n'est pas seulement apprendre - qu'il y a un Dieu et des choses relatives à lui et à ce versant du Réel -, mais expérimenter les réalités divines en esprit, par son Esprit. C'est autre chose que la croyance religio-culturelle qu'on a pu hériter ou à laquelle on adhère intellectuellement. C'est une foi d'enfant en son Père, vivante et vivifiante, efficace, qui met réellement en contact avec Dieu.

Dit autrement, ici-bas, dans tous les domaines - celui des réalités surnaturelles, de la métaphysique comprises -, on apprend par l'âme. Mais c'est par l'esprit seulement qu'on va arriver à connaître** Dieu, par expérience(s), parfois en tâtonnant, toujours en cheminant, qu'on va se perfectionner après y être entré, dans un relationnel ou connexion de diverses sortes avec le Divin.

Pour faire ce passage, pour connaître cette réalité ajoutée, qui est le point de départ d'un 3e commencement pour nous, il faut, nous dit Jésus, "naître une seconde fois". On lit cette révélation faite initialement à un chef religieux ici. (Plusieurs articles ici développent cette question capitale ainsi qu'une trame de prière qui y conduit).
Il s'agit de naître cette fois spirituellement, en recevant l'Esprit de Dieu en nous - ce qui nous reconstitue ou régénère à l’image de Dieu, c'est-à-dire en une créature tri-unitaire : une âme qui est ce qu'elle est (devenue) + un esprit (vivifiant nouveau), associés dans un corps (avec qui on est appelés à vivre en bonne intelligence).

Cette nouvelle naissance - ou pas - ne survient pas au moment où nous mourrons (physiquement), mais durant le temps de notre présence incarnée actuelle, au moment où nous sommes rendus capables de reconnaître à la fois notre misère profonde, existentielle, nos échecs et insuffisances, et d'autre part la réalité d'un Dieu qui nous aime, qui veut nous pardonner, nous libérer, nous donner plus qu'un nouveau départ : une vie vraiment nouvelle.

Cette nouvelle naissance a donc pour base 4 éléments majeurs :
- Ce que Jésus a fait pour nous quand il s'est laissé arrêté et crucifié pour nous éviter la condamnation présente et éternelle qui est la conséquence de nos offenses envers Dieu ;

- La foi que nous accordons à cet événement, à la personne de Jésus et le pardon qu'ainsi par lui nous pouvons obtenir effectivement ;

- Le don par le St-Esprit d'une part de lui-même (arrhes de l'Esprit) qui est vie éternelle venant s'unir à notre âme, à la fois comme un coach, un enseignant, un avocat, une force supplémentaire d'existence et autres potentialités naturelles et surnaturelles ;

- Un cheminement de vie qui résulte de cette "nouveauté de vie" dans laquelle on est désormais, fait d'un regard tout nouveau (plus compréhensif), de connaissances et d'expériences toutes nouvelles,  de transformations... comme il en est d'une chenille destinée à devenir un papillon et qui se met à changer en ce sens.

Entre ces deux sommets de conscience qui ensemble donnent (comme le fait d'avoir deux yeux) une meilleure vue de la réalité que nous sommes et de la réalité de Dieu, nous évoluons aussi par des prises de conscience moindres mais importantes pour un mieux vivre notre humanité et nos relations aux autres :
- la conscience morale : très importante, elle est aussi celle que nous avons le plus de mal à respecter, à écouter. Ne serait-ce que parce que son origine tient de l'esprit plus que de l'âme où on en écrit plus ou moins imparfaitement les termes ;
- La conscience civique, sociale, citoyenne ;
- la conscience écologique, des autres types de vie et agencements naturels ;
- la conscience de l'autre - mon semblable, mon prochain -, de ce qu'il a des besoins, de ses attentes, de ses capacités à interagir avec moi et moi avec lui... et pas seulement sur la base et dans l'objectif de mon intérêt à moi ;
- la conscience de la réalité des démons, de Satan, en tant que puissances spirituelles invisibles maléfiques, à l’œuvre dans ce monde qui est essentiellement le leur.***

un chant :
Si la lune me glace, Et le soleil menace
Créateur des étoiles, Mon secours est en toi
Si mes larmes ruissellent, Et que mon pas chancelle,
Créateur de la terre, Mon secours est en toi.

REFRAIN Je lève les yeux Vers les hauts sommets,
Toi seul est (soit) mon Dieu, Je proclamerai :
Toi seul es ma force, Toi seul me restaures,
Mon secours est en toi ;
Toujours tu me portes, Jamais tu ne dors
Mon secours est en toi.

Si la peur m’envahit, Et mon âme chavire,
Créateur de la vie, Mon secours est en toi.

REFRAIN

Ta victoire, mon espoir, Ton chemin, mon destin,
Ton salut, mon refuge, Tout est en toi...

à suivre (ici...)
_________________
* Que le corps continue à se développer après la naissance, est aussi une image que le passage d'un univers dans un autre n'est pas un nouveau tout à zéro, mais s'inscrit dans un continuum où rien ne s'achève véritablement. Il va logiquement en être de même pour notre âme...

** Connaître dans le sens de connaissance intime, jusqu'à la communion. C'est le verbe utilisé dans la Genèse s'agissant d'Adam et de la première femme : ils se connurent, et naquit leur premier fils.

*** Il suffit de voir certains événements comme les attentats, les séquestrations, des abus et les viols, les manipulations, guerres, armements, séductions trompeuses, maisons hantées, perceptions surnaturelles quand elles ne sont pas de Dieu, addictions... pour déjà au minimum s'interroger sur les raisons de telles manifestations ! Quand on réalise vraiment qu'il y a un Dieu (bon, juste et saint) et aussi un et des esprits mauvais, on se met à mieux comprendre dans quel univers on est (pour un temps).

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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 21:18

Attention ! Création imminente ! Invisible à nos yeux par l'échelle où cela se passe, et encore par le lieu où la chose arrive... Mais prodige un jour en vue !


Le mot mort sous-entend pour la plupart de nous la mort physique. Mais cela n'est qu'un des aspects de ce qu'est la mort en tant que concept : fin par séparation d'avec un état et/ou un environnement donné pour un autre. Lire aussi ici article sur Les 5 types de mort.

Cela dit car concernant notre réalité et univers, la mort, si elle n'est pas la vie, est indissociable d'elle. En ce que Dieu conçoit et crée des dynamiques actives et potentielles pour des évolutions à vivre par étape (ou paliers successifs), dont chaque fois une certaine mort constitue le passage.
C'est cette dynamique qu'on trouve dans beaucoup de jeux vidéo où on progresse dans un monde en perdant ou en gagnant jusqu'à en atteindre un autre…
A combien plus forte raison ce processus est ou devrait être enthousiasmant pour nous s'agissant rien moins que de notre existence personnelle en 3D réelles !

On va donc approcher la question et la connaissance de la vie comme on a abordé celle de la mort, en réalisant que la Vie en tant que concept, si on dit le plus souvent au singulier, est elle aussi une réalité plurielle, comme je vais le développer ici, pour que nous saisissions mieux comment être inséré dans un projet immense à notre sujet dans une conjonction de la volonté bonne, agréable et parfaite de Dieu et de notre foi.

VUES PREMIÈRES DE NOTRE PROPRE VIE

B*- Commencement ou état 1 : VIE FŒTALE

Tout commence là par la fusion de deux gamètes, quand un ovule (latin ovum, oeuf) est pénétré par un spermato (semence, graine). Une création ou créature à la fois ancienne dans sa genèse et toute nouvelle dans cette apparition qui se forme, avec son ADN et son identité propres dès ce point et instant de départ.
On parle de notre conception, de la grossesse d'une femme, d'un œuf fécondé ou embryon qui se met à se développer par des multiplications et différenciations cellulaires... époustouflantes !
Rien que là, ne pas voir l'indispensable nécessité d'une intelligence créatrice à l'origine de ce schéma créateur, c'est être à la fois sans curiosité et d'une crédulité grave si on croit à la théorie (en)fumeuse évolutionniste. Après avoir pris des distances par rapport à la religion (dont certes les formes traditionnelles sont parfois aux antipodes de l’Évangile et de la vie spirituelle), on ferait bien aujourd'hui d'être suspicieux du côté de la pseudo-science évolutionniste car on est d'autant plus au risque d'un endoctrinement dangereux (pour l'avenir éternel de notre âme) qu'il arrive d'un côté où on ne l'imagine pas…
Ainsi, la gestation qui fut la nôtre tient d'un principe-moteur pluriel spécifique au vivant, qui œuvre par des intelligences incluses juxtaposées, imbriquées ou croisées - qu'on voit aujourd'hui beaucoup plus qu'au XVIIIe et XIXe siècle où on ne connaissait rien de la cellule vivante. De la sorte nous avons été tissés à l'abri des regards dans le sein d'une mère (dans un utérus, quand ce n'est pas dans une éprouvette).
- Oui, on le sait, peut-on répondre sans être plus impressionné par rien !
Et c'est bien dommage quand le savoir n'est pas aussi révélation de merveilles ou du surnaturel de quoi on parle en réalité.
Toujours est-il qu'en 8 à 9 mois d'un travail incessant des plus phénoménaux, on est chacun passé d'un condensé extrême de technologies de vie impressionnantes avec succès !... puisqu'on est arrivé à ce point où j'écris et vous lisez.
Sur la fin le circuit de la circulation sanguine a étonnamment été modifié pour que les poumons jusque-là inactifs soient branchés en vue d'une toute nouvelle façon de vivre, pour l'entrée de ce corps dans l'étape suivante du projet qui fut à son origine...

Un jour donc (ou une nuit), on est "venu au monde". On est sorti d'un antre nourricier et protecteur chaud et noir pour se pointer, sous le regard de prédécesseurs gigantesques, attentifs et normalement bienveillants, sous les rayons du soleil et des flux d'électricité. Acte deux !

C - Commencement ou état 2 : EXISTENCE ou VIE VERS TOUJOURS PLUS DE CONSCIENCE

Nous voilà parvenu-e dans une vie comme sans rapport avec la première, pour une existence aux capacités infiniment plus larges que les précédentes - cependant déjà incluses dès et dans les gamètes -, avec de nouvelles potentialités plus extraordinaires à laisser et à aider à se déployer.

Qu'est-ce qui est la raison fondamentale, fondatrice, que nous soyons là ? Comment le définiriez-vous vous-même ? Ce qui est le plus important de notre présence, de nos acquis, de nos expériences et divers développements ?...

la suite ici...

__________
* On verra plus loin le A primordial...

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31 mai 2017 3 31 /05 /mai /2017 12:36

Sommes-nous comme un ragondin qui jouerait à cache-cache avec la vérité
pour la trouver,
ou comme le même qui se voile la face pour ne pas la voir ?

A - En politique, le lancer de javelot contre François Fillon n'a pas fini de frapper. Parce qu'en fait il s'agissait d'un boomerang, une arme qui fait des émules, mais capable d'atteindre autant qui le lance que qui est visé.
Un boomerang explosif (progrès oblige, pouvant atteindre une fois lancé plusieurs nuques ou front de lanceurs... ou de marcheurs), au tempo réglé pile-poil sur le cycle électoral.

Connaître là l'Évangile se serait une nouvelle fois avérer capital - un capital plein d'intérêt, qui enrichit tout le monde sans léser personne - qui dit en (l')espèce (sonnante et particulièrement trébuchante) :
On vous jugera du jugement dont vous jugez, et l'on vous mesurera avec la mesure dont vous mesurez.
Avec Jésus, on est chacun averti pour en valoir deux, en tout cas pour réfléchir avant de jeter des pierres sur tout ce qui bouge qui nous dérange. (Voir aussi ici la leçon complémentaire, niveau élémentaire, comme on peut toujours en tirer d'un mal...).

Pour être complet, on peut sortir un proverbe qui a de la profondeur (ou de la hauteur selon comme on l'entend), qui laisse à penser, surtout sous les tropiques - mais je le trouve aussi très exportable sous nos latitudes, vu nos attitudes - : "Quand on veut monter au cocotier, il vaut mieux avoir le derrière propre."

B - Tout aussi sérieusement, au sujet de la croyance (puisque tous concernés).
En effet, qu'on le veuille ou non, on croit tous en "quelque chose".
- En des choses, comme l'avion dans lequel on monte, la direction ou le frein de la voiture qu'on conduit... On croit que le pain ou le steack-frites (les moules) ou le médicament qu'on a payé n'est pas empoisonné... On croit en une banque !

- En des personnes : en quelqu'un qu'on élit pour en faire un élu - en quelqu'un à qui on donne sa main, et parfois bien plus... avant même de le connaître. Je crois au boulanger qui fait mon pain - au réalisateur du nouveau film que je vais voir - au patron de ma boîte, au moins pour le salaire - à mon banquier, au point je lui passe tout ce que je gagne, etc, etc...

- Et on croit tous en soi - plus ou moins consciemment : quand on apprend à marcher, à nager, à apprendre (parce qu'on croit que ça va nous servir à quelque chose). On y croit quand on écrit et envoie son CV ; quand on se couche - qui est sûr de se réveiller ?
Vous avez déjà remarqué ça, que la plupart de ce qu'on fait (ou pense), n'est jamais dans la certitude - mais dans la foi que... ?

Ainsi on peut apprendre - de manière certaine ! - que la foi est un principe inhérent au vivant ! Ce qui déjà peut nous aider à remettre en cause ce mensonge éhonté des adultes aux enfants et à eux-mêmes, qu'est la doctrine évolutionniste. Et oui, on a cru (patate crue) comme si c'était vrai ! Un propos sans fondement scientifiquement - quoi qu'on nous en est dit. Car si le principe de vie par la foi est avérée, celui des hasards créateurs ne peut être prouvé et doit être banni - en tout cas si vous voulez être mieux...

C - En ce sens voici quelques citations que je pense pertinentes à connaître et à méditer :
Einstein : ''Le souci de parvenir à la vérité doit primer sur toutes les autres considérations.''

Ainsi entre Dieu et Hasard, il faut trouver ! C'est simple, non, si on se met à réfléchir ne serait-ce que sur la beauté ou la profondeur de tant de choses ?!
Après savoir Lequel il est ce seul vrai Dieu, parmi les représentations plus ou moins déformantes - et contradictoires - qu'on nous en donne. Cela requiert de la recherche - non prédéfinie, le propre de l'homme - de l'attention. De la liberté aussi - et là je prie Dieu qu'il en donne à celui/celle qui lit -, car il n'est pas toujours facile de se départir d'un formalisme ou formatage (athée comme religieux) pour basculer dans ce qui est vrai et/ou meilleur encore que ce qu'on connaît déjà (la religion comparée est une des méthodes pour trouver où la vérité est la plus délivrée)...

Ici une indication de Descartes peut nous être précieuse : "Pour atteindre la vérité, il faut une fois dans sa vie se défaire de toutes les opinions qu'on a reçues, et reconstruire de nouveau tout le système de ses connaissances."

Normalement Dieu s'expérimente. Il est un Dieu qui se veut proche, il désire qu'on se connaisse comme entre personnes qui s'apprécient. D'abord caché - à cause de nos péchés, fautes diverses - toujours apparentées à l'injustice et au danger), il est un Dieu qui veut se dévoiler, aussi faut-il le chercher si une révélation subite ne nous l'illumine tout à coup...

Victor Hugo aussi nous aide à voir clair quand il y a trop de choix, ou de confusion : "On ne se compose pas plus une sagesse en introduisant dans sa pensée les divers résidus de toutes les philosophies humaines que ne se ferait une santé en avalant tous les fonds de bouteille d'une vieille pharmacie."

Dit plus simplement par Lewis Carroll le père d'Alice au pays des merveilles : "Si vous vous efforcez de tout croire, vous deviendrez incapable de croire les vérités les plus simples."

G. Orwell, le "père" inspiré de Big Brother et 1984 : "En ces temps d'imposture universelle, dire la vérité est un acte révolutionnaire."
Guy Béart le chanta par la suite.

Et surtout Jésus l'a vécu et le dit, depuis 2 000 ans jusqu'à aujourd'hui avec une audace qui ne peut qu'interpeler : "Je suis le chemin, la vérité, et la vie."
Culot monstre ? Folie douce ? Impertinence outrancière ? Parole d'autorité ? Vérité ?

Depuis nos premiers pas sur deux jambes, un vrai acte de croyance est toujours un dépassement
- de où on en est,
- de ce qu'on connait,
- d'une peur.

Osez croire ! Mais plus encore : Osez vérifier ! si ce que vous croyez ou commencez à croire est fiable, se démontre, vous fait réellement trouver Dieu, par expérience personnelle indiscutable ! Car tel est le Dieu qui s'est révélé à moi, avec qui je vis mes fiançailles depuis des décennies - le mariage sera céleste -.
Tel est le Dieu véritable, qui est, et qui nous/vous cherche. Qui vous aime et désire que vous expérimentiez vous-même, personnellement, la réalité qu'il est amour*...

Qu'il vous aide dans cette confiance à faire, peut-être le premier pas, ou un pas de plus vers ou avec Dieu.

_______
Réalité mise à mal par les faits conjoints de sa justice et de sa sainteté qui, tous deux, limitent extrêmement l'accès à sa présence. Mais la solution nous a été donnée ici versets 4 à 9...

 

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21 décembre 2016 3 21 /12 /décembre /2016 13:39

On a déjà vu plusieurs raisons importantes dans cet article ici.

Une autre est liée au fait qu'au lieu d'aimer les personnes - ou une personne plus particulièrement - on aime l'image qu'elle(s) donne(nt). Et là quand au bout d'un moment apparaissent ensemble la réalité et l'image ça peut être un grand écart - qu'on ne sait pas faire -, un gouffre - dans lequel on s'abime -, et on va faire quoi ? Le plus souvent non pas assumer mais fuir, ou se dédoubler (jusqu'à diverses profondeurs de tromperies), voire cohabiter. Toutes choses qui ne sont plus l'amour - même s'il en reste un peu.

C'est que l'amour exige la vérité (comme écrit dans l'article précédent), aussi sous la forme de notre vulnérabilité. Quelqu'un a compris et écrit : "Sans la vulnérabilité, il n’y a pas d’amour vrai ! Parce que sinon, les gens ne t’aiment pas toi, ils aiment l’image que tu leur donnes de toi."       
Ce qui veut dire qu'on ne doit ni craindre de ne trouver personne qui nous aime, qui se maquiller l'intérieur pour paraître aux autres mieux que ce qu'on est le plus réellement. Et c'est souvent ce jeu de dupes - surtout maintenant via internet et autres écrans interposés - qui cause tant de dégâts dans les relations humaines, celles où ça fait le plus mal quand ça casse.

La vérité c'est qu'on est forcément quelque part fragile et vulnérable et pas complétement aimable, même pour quelqu'un qui se met à nous aimer.
La vérité c'est encore que pour nous aimer vraiment, il faut aussi à l'autre de la force - ce qui est autre chose qu'un simple élan amoureux ou désir charnel.
La vérité c'est donc que de part et d'autre sans Dieu - qui est l'Amour et pour nous la source d'où peut (potentiellement toujours) couler l'amour - on est incapable d'aimer sans avoir à court ou moyen terme à en souffrir. C'est un vrai drame. Et seul Dieu est la réponse, ce qui demande de découvrir qu'il existe vraiment - indépendamment de toutes religions -  et que lui nous aime tel(le) que l'on est là où l'on en est - même si à la suite il va nous faire évoluer pour que nous devenions plus fort dans l'amour et la défense de l'amour.

S'accepter et se montrer tel(le) que l'on est est donc une chose première à voir et vouloir vivre. Et plus on sera vrai de la sorte, plus on va se trouver moche peut-être, insignifiant, pas aimable, pas sociable - ou par à-coups... Mais cela ne doit pas nous décourager car alors Jésus qui a été comme nous sait bien ce qui se passe et va, par son Esprit, travailler à nous faire nous accepter nous-même, et à nous changer à la suite.
Parmi tout ce que j'ai vécu, je te trouve rien de plus profond et enthousiasmant que de vivre ce niveau de relation avec Dieu, d'apprentissage avec lui, par lui, et de transformation sous son regard.

Si donc vous en avez assez de souffrir, notamment en rapport de relations liées à l'amour, qui tournent mal, qui vous laissent sur le carreau ou vous font péter les plombs... cherchez Dieu, venez à Jésus, déjà par la pensée, commencer à comprendre qu'il manque l'essentiel dans ce que présente ce monde : Le Dieu qui l'a créé et qu'on a mis à la porte par nos arrogances et prétentions, par nos excès et notre nullité qu'on a pris pour de la grandeur. Venez, revenez au Dieu créateur qui est CONNAISSABLE tout autant que les réalités enfouies dans la nature et qui pourtant l'on découvre - de préférence directement, mais aussi par la médiation de certains qui nous précédent.

Pourquoi est-il bon de venir à Dieu par Jésus ? La réponse nous est donnée ici par le prophète éternel de Dieu Jérémie au chapitre 29 de son livre

Une expression de la liberté c'est déjà de pouvoir entendre cela. Une autre c'est la liberté que vous avez de croire et de vouloir voir. Et le plus beau de la liberté, c'est au-delà de notre choix, celle qu'il nous donne de nous approcher toujours plus près de lui, de vivre déjà de son éternité, et de le rejoindre dans son amour et ses bienfaits parfaits qui seront les bases de la création très-bonne qui au final va remplacer celle-ci. Car avec Dieu - et avec lui seul : Tout est bien (et mal) qui finira bien... pourvu qu'on y aspire : On va avoir la fin qu'on se donne, et cela en fonction de notre rapport avec ce fait majeur que Dieu le premier s'est donné pour nous... A nous maintenant revient la part d'apprendre à tenir en lui, dans sa grâce, pour que l'amour qui en est élément s'inscrive et tienne en nous.

Que sa bénédiction vienne sur nous sans être suivie d'aucun chagrin.
 

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7 décembre 2016 3 07 /12 /décembre /2016 22:14

"CAR DIEU A TANT AIME LE MONDE... dit la Bible

Le monde (en grec cosmos dans le texte biblique original) désigne diverses réalités dont surtout
- l'ensemble des habitants de la terre, les hommes, la race humaine; ou encore
- la multitude des hommes séparés de Dieu, ceux qui vivent sans Dieu et/ou sont hostiles à Christ.
Voilà ce que Dieu a aimé avec un amour qui tient de la passion dévorante : vous, toi, moi, nous tous nés en un temps ou un autre ici ou là sur cette terre, croyant en lui ou hostile à l'idée de sa réalité.
Il a aimé de l'amour qu'il est, infini en soi MAIS conditionnel dans sa manifestation (contrairement à ce qui se dit ici ou là, car l'amour de Dieu ne peut se séparer de ses autres attributs essentiels : ce qui est juste et sa pureté).

Je viens d'avoir un âpre débat avec un homme qui, pour faire accepter sa religion comme étant la dernière et de là la plus universelle, cherchait avec insistance à me faire admettre que le Dieu de la Bible ne s'intéresse pas à tous les hommes mais uniquement aux juifs.
Il fonde cela sur une parole même de Jésus qui a dit qu'il n'avait été envoyé que vers les brebis perdus d'Israël. De là sa conclusion - qu'on lui a enseignée - que sa religion est destinée au reste du monde, au cosmos !

Il était facile de lui répondre que Jésus a aussi dit à ses apôtres et disciples qu'ils aient à aller faire de toutes les nations des disciples (Matthieu 28.19), commençant par Jérusalem où ils étaient, puis en Samarie "et jusqu'aux extrémités de la terre" (Actes des apôtres 1.8). Mais il ne voulait pas démordre que les nations dont Jésus parlait c'étaient les tribus dispersés d'Israël. De là il conclut que c'est sur leur propre initiative que les apôtres et chrétiens ont christianisé les nations (notamment) occidentales.

Je lui dis qu'il y a une différence entre ce que sont les nations (en grec ethnos) qui forment le monde, et ce que sont les tribus (grec phule) formant Israël. Mais il ne peut pas entendre, car il a intégré ce qu'on lui a dit et y revient plusieurs fois pour que je comprenne bien ce qu'il dit. Ce qu'il dit de juste - que j'acquiesce - et ce qu'il dit de faux - que je réfute.
Drame de la force que peut prendre sur notre entendement une chose entendue à quoi on a mordu comme une truite à un ver recouvrant un hameçon. C'est au point où l'échange devient tellement décalé que l'Esprit de Dieu finit par me dire qu'il ne sert plus à rien de continuer à parler. Lui veut continue : il me dit finalement que ça lui a plu de débattre, de trouver de la répartie même si on n'est pas arrivés à voir de la même manière.

Moi je suis plutôt navré de ce que l'ouverture d'esprit qu'il annonçait dans son désir de parler de Jésus et de la Bible n'était qu'un leurre. Mais certainement pas du temps perdu ! Parce que j'ai bien remarqué que quelquefois des paroles l'ont touché au-delà ou autrement que ce qu'il croyait obtenir en retour de son désir de parler avec moi.
Maintenant il reste à Dieu à faire du chemin dans son âme pour qu'il ose accepter de voir et de remettre en cause des fondements qu'il a reçus sans jamais les observer en vis-à-vis de la vérité comme Dieu la révèle dans le Livre où Thora (Ancien Testament) et Injil (Nouveau Testament) antagonistes sur un même plan sont intelligemment associés pour former la plus complète révélation dont nous ayons besoin... 
C'est pourquoi aussi il est écrit sur "ceux qui périssent parce qu'ils n'ont pas reçu l'amour de la vérité pour être sauvés : Dieu leur envoie une puissance d'égarement, pour qu'ils croient au mensonge.*" Tout le contexte ici

Que le seul vrai Dieu vous garde d'être trompé-e par des mensonges touchant à votre avenir éternel. Aimez la vérité et Dieu pourra vous faire ressentir son amour.

__________
* Contre cela la compassion peut conduire le chrétien à prier (intercéder) pour que le voile (religieux ou aussi d'incrédulité) qui a déjà été déchiré dans le Temple de Jérusalem au moment de la mort de Jésus soit ôté du coeur.

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29 juillet 2016 5 29 /07 /juillet /2016 05:48

Réponse à un article de presse - dont on peut imaginer ce qu'il dit, d'assez semblable sur le fond avec tant d'autres.

Réponse

OUI ! (au texte égaré !)
Maintenant il faut aller plus loin, plus haut, pour faire sortir de son repaire masqué celui qui réellement agite le drapeau de l’Islam et ses versets et ses imans et ses fidèles !
Où la question devient sans réponse, et où vous n’aurez fait qu’une belle poésie en prose, c’est quand, sous couvert d’évolution, d’intelligence, de psychologie et autres psy, on ne veut pas voir qu’existe une dimension spirituelle du Réel, de laquelle Satan, le vieil ange déchu qui fait trop décalé dans notre monde moderne !, continue à sévir avec joie et d’autant plus de liberté et de forces qu’on ne croit plus qu’il existe ! On n’y croit pas malgré les apparences, et quelles apparences ! Comme si on ne pouvait même pas croire que l’air existe pendant un ouragan parce qu’on refuse de croire qu’il existe quand il est immobile.

On attend avant de croire, de trouver un appareil qui puisse mesurer ou enregistrer la réalité d’un esprit, d’un démon, d’une pensée, d’un sentiment ?

Le bon sens ne nous sert-il plus à ce point ? Les faits qui sont des effets ne sont-ils pas encore assez criants qu’on ne puisse réaliser qu'on est dans l’inhumain, le sous-humain et sur-humain, l’incompréhensible – à la raison -?

Hitler l’SDF devenu petit caporal et soudain rendu puissant orateur et entraîneur d’hommes n’a-t-il pas suffit – avec combien d’autres !? – comme tirer la leçon majeure de toute l’Histoire ? Les maisons hantées, des cauchemars, les visions démoniaques, des rapports de NDE, les barbaries récurrentes - pas seulement islamiques – le faisceau d’éléments tangibles n’est-il pas suffisant ?

Dans quelle ténèbre est plongé le cœur et le regard de l’homme ! Faut pas s’étonner si on n’y comprend rien, si on n’a pas de solution, si on va finir par un totalitarisme planétaire inouï… que la Bible a annoncé pour que nous puissions réagir avant que cela nous emporte chacun. Car le salut comme l’instant de la mort est toujours individuel.

Que dit Jésus le Dieu incarné, dont la parole est immuable, en pareille circonstance ? La seule bonne réponse, qui appelle à ne pas se soucier des autres, mais qui consiste à s'occuper d'abord de soi, car c'est soi désormais qui est le plus en jeu, comme on le voit bien, qui peut mourir du jour au lendemain n'importe où. Lisons par clic des versets 1 à 5

Soyez transporté-e dans la lumière du Dieu très haut !

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Présentation

  • : OSER TOUCHER LA LUMIERE !
  • : Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.
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