Que de paroles, d'injustices (dont l'infidélité, les mensonges), de comportements qui sabordent un couple pourtant initialement uni, parfois avec des enfants, et tout qui peut s'enchaîner : perte d'emploi ou faillite d'une entreprise (démotivation, déprime), plus de logement... ! Drame avec quelqu'un qu'on voudrait aimer, mais qui le rend impossible par ce qu'il ou elle est, ou parce que faisant sans cesse ce qui est trop injuste. Ou encore à l'inverse, quelqu'un qui a voulu nous aimer mais a dû abandonner à cause de notre fichu caractère ou de telle lubie dont on ne veut ou peut se départir !...
Alors, est-ce qu'on va continuer encore et encore, sans intelligence, sans vraie réflexion, sans chercher la bonne solution... ou en la refusant encore si on en a déjà entendu parler ?
Il s'agit que nous devenions des êtres libres ! Pas comme les idoles construites pour nous faire rêver de travers et tomber comme elles tombent ! Elles ne sont pas libres, mais plutôt forçats oui (d'emploi du temps, trop vide ou trop bien rempli, qu'ils ne maîtrisent pas, de la facilité d'accès aux sexes, et à l'alcool ou à la drogue, de médicaments...). Mais voilà ! Pour devenir libre et apaisé le mieux possible, sont nécessaires une connaissance minimale de Dieu, de ses pouvoirs et des rapports mutuels qui peuvent s'établir entre lui et nous. Il faut savoir en quoi Jésus s'est fait, en pleine conscience, "forçat de l'amour" de Dieu ! En quoi il a choisi comme personne de "mourir d'amour enchaîné" !
JÉSUS, FORÇAT DE L'AMOUR, ESCLAVE DE LA JUSTICE. Avez-vous déjà vu la vie et la mort de Jésus de cette manière-là ? Rien n'est plus juste, et rien n'est plus haut en matière d'amour et de don de soi. Bien sûr qu'on ne parle pas là d'amour en tant que jouissance (physique ou même psychique) qu'on cherche à se donner, qu'on prend, voire qu'on vole, qu'on arrache, pour soi-même ! S'agissant de l'amour altruiste qui est le propre de la nature de Dieu, je parle là maintenant de l'amour manifesté par Dieu et par Jésus en notre faveur, à notre avantage.
Cela s'est passé quand l'humanité est parvenue à un stade de non-retour, il y a 2 000 ans. L'empire romain s'était alors déjà étendu au point où plus rien sur la terre ne pouvait et ne pourrait l'empêcher de devenir au fil du temps le premier gouvernement mondial ! Les israélites (juifs) en tant que peuple unique mis à part par Dieu pour contrer les puissances démoniaques et Satan, étaient tombés sous cette botte romaine à cause de leurs fautes non pardonnées (injustices, idolâtrie, désobéissances...). Derrière cet empire et les césars qui vont se succéder, Satan et ses légions d'anges déchus. Leur finalité : parvenir à un contrôle sans fin (éternel si l'humanité se perpétue éternellement) de tout le genre humain. Souveraineté que Dieu devra leur consentir si effectivement un jour plus aucun humain ne se soucie plus du Dieu véritable et de ses paroles, directives, conseils... On est là commeau temps de Noé, où l'humanité qui s'était corrompue avec les démons (appelés aussi fils de Dieu) est condamnée, qui ne sera sauvée que par le concours de Noé et sa famille, en tout huit personnes.
Il y a 2 000 ans donc, à l'exception d'une poignée de personnes sans force... que leur foi, tous se sont soumis à des faux-dieux - César s'est imposé comme Dieu sur terre - ; à d'autres idoles de bois, de pierre ou de fer ; à des trafics où la valeur de l'argent l'emporte sur l'équité et le respect des personnes. Les responsables de la religion donnée aux israélites sur le mont Sinaï sont des orgueilleux et des fourbes privés de discernement spirituel, dont "le père est le diable", leur dira Jésus.
La Bible nous révèle qu'à cette heure, il y a par toute la terre, fidèles à Dieu, capables de l'entendre parler et d'obéir à sa voix, au moins quatre personnes ! Un vieil homme nommé Siméon, une très vieille veuve nommée Anne, une jeune fille nommée Marie, et son fiancé qui va suivre le mouvement : Joseph. Un mince cordon tressé de vies attachées par la foi à Dieu, dont il sait bien qu'il ne peut rien attendre de durable. Sauf, sauf à lui permettre de jouer une carte unique, son ultime carte, son va-tout, qui consiste à s'incarner lui-même dans un corps pleinement humain !
Ainsi paraît Jésus, qui grandit jusqu'à pouvoir affronter dans un désert, et ne pas succomber à Satan, le diable en personne, alors qu'il a 30 ans. A partir de là, il peut déployer sa force divine auprès de ses désormais semblables qu'il trouve en piteux état sous la puissance de maux divers. Dans son amour pour le genre humain qu'il vient défendre, il touche des lépreux pour les purifier, il rappelle des morts à cette vie. Et puis, dans la force et volonté de cet amour, il va jusqu'à donner sa vie pour le sauvetage du genre humain... sans que personne ne s'en doute. Sans ce sacrifice, tous les vivants seraient et resteraient aujourd'hui encore esclaves absolus de la puissance angélique dévoyée... si encore l'humanité n'avait pas déjà été anéantie.
JÉSUS MEURT D'AMOUR ENCHAINÉ Jésus a donc choisi et décidé de se laisser faire prisonnier de l'amour et de la justice de Dieu, celle-ci réclamant la vie d'un juste pour payer à la place de tous les coupables qui n'ont pas les moyens pour se sauver eux-mêmes. C'est toute la terrible et Bonne Nouvelle qu'est l’Évangile ou venue et œuvre rédemptrices opérées par Jésus, devenu ainsi Seigneur sans égal. Lisons dans la Bible :
A que voilà des paroles d'une force incroyable ! Mais que signifient-elles !?
En français, il y a plusieurs mots qui permettent de parler d'amour : l'amour-éros ou sexuel ; mais aussi l'amour-compassion (qui parle de souffrir avec...) ; l'amour miséricorde (une corde - de Dieu, affective - lancée à la misère pour en secourir) ; l'amour-filéo (affection fraternelle, amitié par affinité) ; l'amour-agapé qui est l'amour de Dieu (l'amour qu'il est en lui-même de la même manière qu'est la lumière blanche, en laquelle se trouvent toutes les couleurs). Et il y a encore des séductions qui ne sont pas de l'amour mais y ressemblent, des imitations comme Satan et certains de ses démons savent les produire...
ET quand Johnny devient "forçat de l'amour", de quel amour s'agit-il ? Explicitement de l'amour physique, en vue du plaisir charnel qui peut en résulter, possiblement indépendant de l'amour qui est le véritable amour entre un homme et une femme (à la fois filéo et agapé), celui qui n'a même pas besoin de mettre les corps en mouvement ni pour être, ni pour brûler ni pour s'entretenir.*
C'est qu'il est des amours dont le feu est destructeur, de l'âme ou du corps indifféremment, et bien sûr de la spiritualité. Comme il en est qui sont semblables au feu qui brûlait devant Moïse dans un buissonsans le consumer.
Quand même le meilleur de l'amour se mêle de convoitise, d'envie charnelle qu'on ne maîtrise pas, de désirs impudiques, s'en est fait de l'amour ! Apparaît une emprise qui va croissant, d'autant on se soumet à des tentations, à toutes les occasions et séductions, jusqu'à nous posséder. On devient ainsi addict au sexe, comme à l'alcool, à la drogue, à l'argent ou à la nourriture... C'est-à-dire que de certains comportements humains dont Dieu nous met en garde, on va tomber sous une double domination, d'une part de nous-même dont le corps après l'âme se dérègle (phénomène de somatisation) ; et d' autre part d'un démon (minimum) qui, nous voyant ainsi amorcé, peut entrer dans le jeu de nos ébats (comme de nos beuveries ou prises de stup', actes de cupidité ou boulimique...).
Il y a une frontière entre l'humain et le démoniaque, qui est "matérialisée" par notre conscience morale et des lois de société, par des préceptes d'une religion quand on en a une, aussi par des situations ou circonstances défavorables (qu'on doit apprendre à discerner comme étant significatives), et même des songes. Frontière dont le passage un peu répété ouvre en nous la porte à une présence démoniaque, d'abord sous forme de convoitise excessive, pressante et exacerbée au point qu'on y pense sans pouvoir le contrôler, voire tout le temps. Oppression donc, compulsion et dépendance avec toutes les souffrances de l'obsession, du manque créé artificieusement, de la frustration..., jusqu'à une possible possession où l'on ne s'appartient plus. Quand on arrive à dire "C'est plus fort que moi ! C'a été plus fort que moi !". D'où des comportements que dominent la violence, l'insolence, des abus, l'irrespect le plus absolu, jusqu'au viol ou meurtre comme l'actualité nous donne parfois de voir. ...Ce qui peut également se produire dans le cadre du mariage, ce qui fait dire à la Bible cette exhortation interpellative : "Que le lit conjugal soit exempt de toutes souillures." Est-ce que Dieu est voyeur et despote jusqu'à ne pouvoir s'empêcher d'instruire de telles dispositions concernant nos intimités, ou parle-t-il ainsi pour notre bien ?... sachant mieux que nous que les anges déchus, démons séducteurs autant que méchants, plongent leur regard dans nos vies jusqu'à vouloir et pouvoir les posséder pour en jouir selon leurs lubies, leurs dérèglements, leurs perversités, leur rage et haine du bonheur du genre humain. Ainsi si Satan peut dénaturer l'amour et les beautés qui y sont liées, il réussit à nous asservir à ses propres vices, et donne au monde l'image de la bassesse humain qui cherche à nous faire conclure, à partir de là, qu'il ne peut y avoir un Dieu.
Ainsi dès lors qu'on suit de moins en moins le comportement individuel et/ou sociétal que la Bible présente comme le bien, ce qui est bon, on donne de plus en plus accès à des esprits méchants et trompeurs qui, de leur sphère céleste sombre coincé entre le ciel divin et notre ciel atmosphérique, peuvent descendre jusqu'à nous, parmi nous, et quand c'est possible jusqu'en nous (possession). C'est seulement avec ce regard sur le Réel qu'on peut comprendre ce qui arrive de plus en plus parmi nous, qu'il s'agisse des drames terroristes, de l'amour de l'argent, des addictions à des produits ou d'abus sexuels.
Il est ainsi des libertés qu'on se donne dont l'issue n'est pas plus de libertés encore, mais un enfermement, un esclavage, - des conditions de forçat -, souvent accompagné de solitude qui grandit... En ce sens, dans les libertés prises, le sexe tue l'amour véritable bien plus qu'il ne le sert. Le beau, précieux, fragile, exclusif et intime cadeau de Dieu perd de ses attraits (par impuissance, déception, frustration, asynchronicité, mépris, dégoût, nausée, haine...) quand il est foulé aux pieds, abordé dans la boue des péchés... Il n'est pas difficile dès lors de comprendre que l'amour véritable n'a rien à voir avec ces mélanges et ce gâchis. Et là aussi on peut dire que "rien n'est pire que la corruption du meilleur."
Vouloir mourir d'amour enchaîné, est donc une folie, parmi d'autres auxquelles nous adhérons sans discernement, inconscient de ce qu'est la vie réelle, ses forces les plus fortes, ses tenants et aboutissants... dont la souffrance, la maladie, les accidents et autres ruptures toujours douloureuses, la mort étant l'ultime.
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Ce qu'on ne nous apprend pas, c'est que l'amour, s'il est du domaine du sentiment, de l'affect, du cœur, est aussi une réalité qui se vit par la volonté... Le pasteur noir Martin Luther a écrit un livre qui s'appelle "La force d'aimer". Il sait de quoi il parlait ! Et on devrait savoir de quoi on parle, quand on parle d'amour, d'aimer. Pour le défendre comme il y a des plantes à protéger de prédateurs, ou encore pour l'entretenir et le soigner intérieurement comme avec les plantes prises par une maladie.
Que de paroles, d'injustices (dont l'infidélité, les mensonges), de comportements qui sabordent un couple pourtant uni, parfois avec des enfants ! Quelqu'un qu'on voudrait aimer, mais qui le rend impossible parce qu'il est ou fait ce qui est trop injuste. Quelqu'un qui a voulu nous aimer mais a dû abandonner à cause de notre fichu caractère ou de telle lubie !...
à suivre, demain...
____________________ * L'amour physique étant avec cet amour-là, dans un couple, cadeau particulier de Dieu. Mais cet amour n'est pas forcément celui dont parlait Platon (l'amour platonique), qui est plutôt l'amour filéo qui donne la véritable amitié, indépendamment du genre des personnes.
Plus tard des érudits cherchèrent à établir la date de naissance de Jésus. Il était devenu si grand aux cœurs de quantité d'hommes et de femmes se découvrant perdus et se faisant sauver, qu'il fut décidé d'abandonner le calendrier romain pour en commencer un nouveau. Là aussi les hommes se trompèrent un peu, mais bon, Dieu sait bien de quoi nous sommes faits ! Bref, c'est de là qu'est née la fête de Noël.
Timothée - On y parle beaucoup des cadeaux mais pas beaucoup de Jésus je trouve !
Papé - Eh oui. C'est comme si on fêtait ton anniversaire sans toi ! En tout cas les années et tous les jours qu'on passe sous ce soleil sont marqués de ce qu'avec Jésus une nouvelle ère a été ouverte. Une ère dans laquelle sont mises à la portée du genre humain une formidable grâce immédiate, qui comprend aussi que nous entrions vivants dans l'éternité de Dieu.
Timothée - C'est l'histoire vraie de Noël ?
Papé - Tout-à-fait fiston !
Timothée - Nickel ! Un peu drôle quand même l'histoire des 4x4 de la NASA !
Papé - C'est pour dire que ce qui s'est passé il y a plus de 2 000 ans, continue aujourd'hui encore. Et que riche ou pauvre, on peut toujours venir tel que nous sommes jusqu'à Jésus, lui rendre hommage et un jour l'adorer.
Timothée - Il n'est plus un bébé maintenant !
Papé - Certainement pas ! Je te lirai comment il est maintenant : c'est écrit* dans l'Apocalypse, le dernier livre de la Bible.
Timothée – Et il est au ciel maintenant ! Sur le trône de Dieu.
Papé - Tout-à-fait. Mais tu sais, ce ciel-là n'est pas loin du tout ! Il est à portée de notre cœur, pourvu qu'on le laisse être purifié…
D'ailleurs as-tu compris pourquoi Jésus est né dans une étable, au milieu des bestiaux et des mauvaises odeurs d'écurie ?
Timothée - Berk ! Parce qu'il n'y avait plus de chambre à l'hôtel !
Papé - Oui… Mais aussi pour nous dire, par les habitants de l'étable, qu'il n'y a pas de cœur humain trop sale qu'il ne puisse venir habiter, et nettoyer.
Timothée - Ça fait des grosses bouses les vaches !... Et les ânes c'est têtu, c'est très bête !
Papé - Nous aussi quelquefois - et parfois bien plus qu'eux ! Chez nous cela s'appelle le péché. Des méchancetés ou des injustices qu'on commet ; des mauvais sentiments qu'on laisse se développer et pourrir dans notre cœur… Mais Jésus est venu pour nous pardonner et libérer de tout ça, pour faire même d'une écurie un temple saint, un magnifique palais divin.
Timothée - C'est sympa.
Papé - Oui Timothée, c'est le moins qu'on puisse dire !
Timothée - Et pourquoi on dit la crèche ?
Papé - C'est l'autre nom de la mangeoire des animaux où Jésus a été couché après sa naissance. C'est aussi un symbole, que Jésus est venu pour se donner à nous comme de la nourriture, pour nous nourrir de nouvelles connaissances venant directement du ciel.
Timothée - Et c'est quoi ces nouvelles connaissances ?
Papé - Ah ça c'est une bonne question ! Jésus a dit que Dieu aimait tellement le monde que nous formons, qu'il a livré son fils unique pour que n'importe qui parmi nous qui croit en lui ne meurt pas pour toujours, mais qu'il reçoive sa vie éternelle.
Timothée - Qu'est-ce que ça veut dire "qu'il a livré son fils unique" ?
Papé - Allons dans le salon, je vais t'expliquer….
Ainsi ce grand-père dans le coup transmit-il la connaissance de ce Dieu à la fois père et mère veillant (ferme et doux) ; de ce fils dont les vérités éternelles rendent libre et apaisent ; et de la Vie spirituelle sans fin qui s'obtient par la foi en lui.
Noël heureux... pas sans Jésus !... et peut-être avec un chant
_________ Jésus aujourd'hui : Apocalypse chap. 1, versets "9 Moi Jean, votre frère, et qui ai part avec vous à la tribulation et au royaume et à la persévérance en Jésus, j’étais dans l’île appelée Patmos, à cause de la parole de Dieu et du témoignage de Jésus.10 Je fus ravi en esprit au jour du Seigneur, et j’entendis derrière moi une voix forte, comme le son d’une trompette,11 qui disait: Ce que tu vois, écris-le dans un livre, et envoie-le aux sept Eglises, à Ephèse, à Smyrne, à Pergame, à Thyatire, à Sardes, à Philadelphie, et à Laodicée.12 Je me retournai pour connaître quelle était la voix qui me parlait. Et, après m’être retourné, je vis sept chandeliers d’or,13 et, au milieu des sept chandeliers, quelqu’un qui ressemblait à un fils d’homme, vêtu d’une longue robe, et ayant une ceinture d’or sur la poitrine.14 Sa tête et ses cheveux étaient blancs comme de la laine blanche, comme de la neige; ses yeux étaient comme une flamme de feu;15 ses pieds étaient semblables à de l’airain ardent, comme s’il eût été embrasé dans une fournaise; et sa voix était comme le bruit de grandes eaux.16 Il avait dans sa main droite sept étoiles. De sa bouche sortait une épée aiguë, à deux tranchants; et son visage était comme le soleil lorsqu’il brille dans sa force.17 Quand je le vis, je tombai à ses pieds comme mort. Il posa sur moi sa main droite en disant: Ne crains point! (1-18) Je suis le premier et le dernier,18 et le vivant. J’étais mort; et voici, je suis vivant aux siècles des siècles. Je tiens les clefs de la mort et du séjour des morts."
Claude T. - Déc. 2017 - ALGDDV - Utilisation soumise à simple demande et autorisation préalables. Merci.
Jeune, j'ai aimé les musiques rock et yéyé du temps de "Salut les copains", les Johnny, Sylvie, Sheila, Eddy, Antoine, Dutronc, Claude François, Françoise Hardy... (pour les français).
Et puis j'ai découvert la réalité de Jésus, non pas sous sa forme Super-star ou hippie comme on le chantait alors, mais de Jésus mort crucifié pour moi !!!? J'ai appris qu'il avait ainsi donné SA vie pour MOI ! Cela ayant été fait comme une réponse pré-établie, tenue en réserve, solution à ce qui allait un jour m'apparaître comme mon besoin de lui, besoin de cette mort pour que mes fautes puissent être pardonnées... Après quoi aussi Dieu le ressuscita...
Et maintenant donc je donne gloire à Dieu - ce que signifie le mot Alléluia - et non plus à des hommes ou femmes qui ont reçu un talent même certain - de qui ? - et qui l'utilisent, bien trop souvent pour obtenir une gloire toute personnelle, sans rendre la moindre gloire (qui devrait revenir) à Dieu. (Ceux qui le font le montrent ou en parlent, comme certains sportifs notamment, ou encore le chantent comme le font voir et entendre les vidéos qui suivent).
Dans les années 60-70, il y avait aussi de vrais chrétiens dont les chants traversaient l'Atlantique ou des pays, mais la plupart du temps on ne comprenait rien aux paroles, seule la musique plaisait (ou ne plaisait pas) et leur témoignage de foi se perdait (Simon et Garfunkel - Bob Dylan - Elvis*, qui disait : Non, le king c'est pas moi, c'est Christ - ici vidéo reportagesur la vie d'Elvis).*
Et maintenant donc, connaissez-vous de ces chants actuels qui donnent gloire à Dieu et à Jésus qui donne à qui croit en lui la vie ÉTERNELLE ! Pour les jeunes comme pour les soixante-huitards, écoutez et voyez : C'est la musique sacrée de notre temps !
Plus spécifiquement comme style, il y a bien sûr tout le Gospel, ce mot anglo-américain qui est contraction de God spell(s) : appel de Dieu ou Dieu appelle, et plus largement chants issus de la foi en Jésus le Christ et Messie. A l'origine le chant - récitatif, heureux, libéré, joyeux - des esclaves noirs travaillant sur les champs de coton des américains du sud, et mis en contact avec les écrits bibliques qui changeaient leur perspective de vue et bientôt de vie.
Pour finir ici avec la musique chrétienne, il est certain que parmi la musique dite classique, on peut toujours apprécier, selon la sensibilité de chacun, les pièces souvent enjouées de Vivaldi (comme les 4 saisons), de Beethoven (sa 9e symphonie** avecl'hymne à la joie), de Bach, de Haendel, etc, etc...
Dieu se crée parmi le genre humain une famille innombrable de toutes les ethnies, tribus, couleurs, langues et nations de la terre, en faisant naître spirituellement des êtres en manque de Dieu comme nous sommes, morts à sa vie, à la vie de son Esprit (qui est la vie éternelle). Et les membres de cette famille sont amenés à sortir de leur enlisement adamique (torpeur, vanité vaine, endormissement spirituel, illusion, angoisse, impuissance, mensonge, insuffisance...) au point de chanter librement, joyeusement et heureusement les louanges de leur Père (céleste) et Dieu (rédempteur) : De tout mon être.
Ce n'est donc pas d'avoir ou de rejoindre une religion qui donne une vie telle qu'on peut, comme ici chanter des louanges de reconnaissance, de satisfaction, de joie, amour, à ce Dieu manifesté en la personne humaine de Jésus-Christ, mais c'est d'avoir reçu de lui sa vie et de ses dons.
Et encore éventuellement, pour mieux comprendre comment vivre avec un Dieu vivant qui n'est pas qu'une morne religion à pratiquer, voici un message : Amazing grâce pour un nouveau style de vies.
Que le Dieu vivant et vrai vous bénisse par une (et plusieurs) expérience(s) qui change(nt) - en bien et éternellement - votre existence et votre être le plus profond. Pour moi and U2*** !
____________ * On peut aussi voir à travers l'existence déréglée et décadente de plusieurs stars, idoles, gloires (de la chanson notamment mais pas que...), des dérives, des excès, des stupéfiants, des délires... autant de glissements et changements malsains, de perte de maitrise, dont on doit aussi comprendre qu'il s'agit des effets de pressions et tentations d'ordre démoniaque sur leur nature charnelle adamique. leurs pensées, désirs et autres manques essentiels...
** La particularité de cette symphonie est qu'elle est la première sur laquelle ont été mises des paroles ! A l'époque une révolution. Il s'agissait des paroles du poète Schiller qui avaient particulièrement touché le compositeur.
*** U2 (you too, toi aussi) est un groupe chrétien à grands succès surtout dans les années 80
les merveilles admirables que peut nous donner de contempler notre ciel atmosphérique, aux dimensions physiques, à la fois réalités époustouflantes et images de celles bien plus extraordinaires encore du Ciel de Dieu, dans les dimensions spirituelles.
Johnny a chanté la foi d’Édith Piaf qui a écrit L'hymne à l'amour, ce chant mythique qui finit sur cette rime fantastique : "Dans le ciel plus de problèmes, Dieu réunit ceux qui s'aiment". C'est beau, et c'est vrai... mais relativement !
Quand on dit Ciel de cette manière-là, on pense Paradis, par opposition à enfer, à un lieu où les tourments qu'on connaît plus ou moins ici-bas, deviennent éternels, voire se condensent et s'amplifient, dans la mesure où on aura préféré le mal au bien, les magouilles, les fruits des injustices, des méchancetés, des perversions, l'égotisme, au bien, à aimer. Et qui a le premier et le mieux parlé de l'amour, si ce n'est Jésus !?
Car Oui, Dieu est amour. Jésus est né de Dieu pour venir nous le dire de manière plus audible, et pour le démontrer. C'est son disciple et apôtre Jean (surnommé l'apôtre de l'amour) qui écrira ces trois mots jamais assemblés ainsi auparavant. Et ce n'est pas parce que tout à coup Dieu s'est mis à aimer alors qu'il n'était pas amour avant ! Dieu EST (verbe être au présent indicatif dans le texte original) amour signifie que c'est sa nature qui est éternellement amour, c'est son Être même.
Mais alors pourquoi ne le percevons-nous pas mieux, pas plus souvent, pourquoi ne nous est-il pas constamment accessible ? C'est le grand mystère à connaître, et à résoudre. Car pourquoi en mourant, comme par un automatisme obligé, l'athée, l'anti-Dieu comme le croyant fervent, entrerait-il dans l'univers et la présence de l'amour absolu ?
Ce serait une terrible injustice ! Injustice que de condamner des blasphémateurs, des "rejeteurs" de Dieu, à vivre une éternité avec lui, non !? Injustice aussi envers ceux qui auront renoncé à des avantages, à des conforts (tels des missionnaires), voire au mariage, à une famille, par amour pour Celui qui est devenu leur Dieu !
Or Dieu EST AUSSI JUSTICE, et PURETÉ totales ! Et s'il a conçu la création humaine comme elle est, c'est bien pour que dans un premier temps nous ayons la liberté - une vrai liberté - de faire l'expérience de ce qu'est vivre sans (relation effective, consciente avec) lui, et là de pouvoir choisir de répondre à ce qu'on entend de lui qui veut nous venir en aide, nous purifier, nous pardonner, nous délivrer de situations dramatiques ou de démons que nous avons laissés prendre le dessus sur nous. Et comment peut-il nous faire du bien, nous manifester qu'il nous aime, tout en gardant sa pureté et sans bafouer sa justice*?
Car nous, chacun, Johnny, Jean, Pierre, Paul et toi comme moi, nous sommes tous marqués par des défauts, des travers, des imperfections, des fautes, un passé aux taches sombres, aux problèmes irrésolus... qui font de nous en vis-à-vis de Dieu des injustes, des impurs, des souillés, des malades ou des handicapés (psychiques et spirituels surtout) et complices du diable l'initiateur (angélique) du mal. Et donc comment faire le joint, comment rapprocher et réconcilier, comment faire se mixer deux réalités incompatibles ?...
Et pour que nous ne croyons pas que c'est par accident que Jésus a été crucifié encore jeune, comme s'il avait échoué dans sa mission, nous avons une parole délivrée environ 700 ans avant que cette croix terrible ne soit dressée avec Jésus cloué dessus, par le prophète Esaïe - ici tout le chapitre 53.
Des juifs bien sûr ont cru : Pierre, Paul, Matthieu, Jean, Marc, Silas, Priscille, les Marie.... et des grecs, comme Timothée, Apollos, le médecin grec Luc devenu l'évangéliste du Nouveau Testament, et les dix et cents millions à la suite, de toutes tribus, nations, couleurs, cultures, idéologies ou religions initiales, jusqu'à nous, jusqu'à moi... et jusqu'à vous !? Déjà ? Pas encore ?
Alors, et c'est notre part et responsabilité individuelle, sauvez-vous de cette génération impie qui se perd et entrez, vous, perso, en ne cherchant que la vérité sur la perdition et sur le salut éternel, dans la seconde phase infinie du plan créateur, qui va succéder à ce monde : C'est là que notre choix est essentiel, comme libre adhésion au dessein le meilleur de Dieu, ou par un rejet ou une inattention qui envoie éternellement loin de la lumière, du bonheur, de la vie parfaite que Dieu est.
_____________ * Pour prendre une image, on est comme un enfant qui a renié son père jusqu'à partir s'exiler sur un autre continent, où il tombe entre les mains d'une mafia, est obligé de les servir, se drogue et devient malade à mourir. Que fait le père ? Il lui fait savoir qu'il est prêt à le recueillir et qu'il met un billet d'avion à sa disposition pour son retour. Que va faire le fils ? Il est libre de revenir, ou de rester obstiné dans son indépendance... qui maintenant lui a fait perdre son autonomie et tout futur heureux possible... Lire aussi.
Idole des jeunes - Bête de scène - Talent fou - Instinctif - Courage - Engagement - Intelligence de comportement - Combattant - Homme hors du commun - Invulnérable....... mais aujourd'hui.. un corps mort ! SEULEMENT !?...
Si la mort de Johnny peut avoir pour ceux qui l'ont apprise un effet au moins aussi important que ses chansons ou ses concerts, c'est bien maintenant cela l'ESSENTIEL ! Le comprenez-vous ?
Avec cette croix, ce crucifié qu'il portait en image sur sa poitrine, n'a-t-il pas plus que jamais quelque chose de primordial à interpeler chez nous, à faire réagir en vous ?
Oui on pleure, et j'ai eu en écrivant cette émotion qui monte du fond de moi, le cœur sensible touché. Mais encore ?
Qu'en est-il de nos âmes quand le corps se refroidit, se raidit et bientôt va retourner à la poussière d'où il a été tiré et formé à l'origine par le Créateur ? Qu'en est-il maintenant que son corps est tombé, de Johnny ? De son âme qui contient et qui est le plus essentiel, le moi-je Jean-Philippe Smet Johnny Hallyday, cette personne qu'il avait la conscience d'être, le plus réel et durable de lui-même ?
Où est Johnny quand on lui adresse des messages désormais ? Quand Michel Drucker lui dit qu'on se reverra, qu'est-ce que cela signifie ? Que la mort physique n'est pas la fin de la personne ? Qu'ils avaient l'un et l'autre la foi qui sauve* l'âme telle que la Bible en parle ? Si c'est cela, ce n'est malheureusement pas explicite, dit ouvertement ? Ou est-ce une illusion qu'on s'invente en la circonstance pour se consoler ? Ne croyez-vous pas qu'il faut savoir !?
Il ne s'agit pas de croire au Père Noël, cette invention belle mais démoniaque - qui trompe la crédulité des enfants, qui tue en eux la racine du principe de la foi, pour qu'ensuite ils ne croient pas plus à ce qui est vrai qu'à ce qui est faux !?
Il ne s'agit pas de se leurrer comme chantait Michel Polnareff : On ira tous au paradis ! Sur la base de quoi ? De quelle justice divine qui ne saurait être bafouée ?...
Il ne s'agit pas de croire au quotidien en l'évolutionnisme néo-darwinien - cette hypothèse darwinienne devenue doctrine athée dont il n'y a jamais eu aucune preuve scientifique ! -, et puis, quand un être cher disparait, on se met à croire que ça ne peut pas finir comme ça ! D'un coup on passe d'une croyance en des hasards créateurs producteurs de néant, à une croyance en une immortalité qu'ils seraient bien incapables de créer !
Ô que la mort de Johnny serve maintenant à chercher et trouver LA réponse à cette énigme !
Il s'agit de savoir s'il y a réellement une perdition de l'homme, et donc aussi un Dieu qui rachète nos fautes - quand nous les lui confessons, quand nous lui demandons pardon*.
Il s'agit de ne pas avoir qu'un passé ! Qui après nous va seulement alimenter des souvenirs, voire du commerce, ici avec des enregistrements vidéo - déjà préparés depuis quelque temps, tenus sous le coude ! - qui soudain envahissent les écrans ! Seulement un passé qui, quant à nous, quant au défunt, passerait où ?...
Il est plus juste de croire autrement ! Il s'agit de regarder que nous avons tous un avenir, un devenir qui est un mystère terrible tant qu'on n'a pas abordé sérieusement cette question de la mort ! Sommes-nous seulement de la matière qui se décompose ? Pourquoi alors penser, espérer, ressentir, qu'on va retrouver un défunt ? C'est absurde, de cette absurdité dont Sartre a écrit ; "L'univers sans Dieu, sans raison d'être est absurde dans son ensemble et dans ses parties." C'est tout à fait vrai ! Mais c'est une philosophie de la mort si on en reste là ! Par contre si de là, on reprend la recherche à partir de l'hypothèse qu'il y a un Dieu préalable à tout, alors l'absurde fond, et des perspectives s'ouvrent comme des paysages panoramiques là où il n'y avait que des dunes de désert, des sommets inatteignables, ou des vallées trop sombres. Le sens en nous vient d'abord du postulat accepté qu'il y a un Dieu, existant et à connaître. C'est pourquoi Jésus a dit : "Cherchez premièrement le royaume et la justice de Dieu ; et toutes ces choses vous seront données par-dessus..."
Pour moi, ayant été un temps incroyant, du camp des athées-agnostiques, puis touché par Dieu pour que je me mette à regarder ailleurs et autrement, il est devenu évident que tout a du sens - dont je n'ai pas forcément toujours la compréhension -, pourvu que notre croyance en Dieu, en un au-delà de la mort physique, repose sur des connaissances avérées ! Or, il en existe : la pérennité et l'accessibilité quasi universelle de la Bible, les témoignages de millions et de millions de chrétiens l'attestent : On peut savoir plein de choses sur Dieu, sur notre condition de mortel coupé de Dieu, et sur le moyen d'une véritable paix et réconciliation avec ce Dieu qui nous a créés libre et attend de nous des réactions personnelles aux stimuli du Réel - dont la mort n'est pas des moindres.
Aussi cherchez maintenant plus que jamais, si vous ne savez pas encore comment relationner effectivement avec Dieu ! Ce n'est pas toujours facile, mais connaissez-vous quelque chose qui ait quelque valeur qu'il soit facile d'acquérir honnêtement, sans difficulté ?
Ah que la mort de Jojo vous réveille pour trouver vous-même le chemin du ciel non-atmosphérique, du ciel spirituel qui un jour paraitra dans toute son évidence : Pour le moment, c'est par la foi que nous le rejoignons, en esprit... et un jour avec un corps ressuscité**, comme Jésus l'a fait, précédant ceux qui veulent croire comme lui et en lui. Lisez la Bible ! (en commençant peut-être par le Nouveau Testament)..
(article annexe : les 5 types de mort et encore... _____________________ * 1 Jean 1 ** Versets qui font référence à la destination des croyants élus par leur foi personnelle au Christ. Mais cela ne se finira pas encore là ! Car la Bible révèle bien d'autres événements consécutifs... dont la disparition de la mort et de tout mal et l'apparition d'une terre et d'un ciel nouveau...
Un des aspects les plus profonds et unique de la Rédemption possible, potentielle, de nos âmes s'appelle la RÉGÉNÉRATION.
Elle est (bonne, nécessaire, recevable) pour quiconque veut avancer dans la plus juste connaissance du Réel et de soi, jusqu'à saisir le sens le plus fondamental de notre présence ici en bas...
En quoi aurions-nous besoin d'être régénéré ? C'est-à-dire de trouver, de recevoir, un regain de forces vives, vitales, physique, psychique (mentale, sentimentale, sensible, émotionnelle…) et/ou spirituelle. N'est-ce pas ce que nous recherchons chacun-e plus ou moins confusément, en regardant "L'amour est dans le pré" ou en suivant telle série, en rejoignant telle émission ou tel lieu où on peut rigoler ou être touchés par les talents de tel ou telle ; en trouvant sur internet des sites qui nous boostent et/ou font réagir ici ou là ; en se faisant masser, en pratiquant telle activité sportive et/ou en se douchant, ou en se mettant en posture ou condition pour tels exercices de relaxation, de concentration, méditation ou autre prière ; en étant assidu aux réunions de tels groupes (religieux ou pas), ou en aspirant à une rencontre déterminante, qui redonne au cœur - ou au portefeuille… - une plénitude qui change beaucoup de choses.
Qui se trouve suffisant en lui-même pour être toujours au top, et pour s'assurer une pérennité que rien ne va pouvoir arrêter ? Outre plusieurs des moyens énumérés que j'ai connus comme apportant, pendant des moments plus ou moins longs, du bien-être et une vitalité physiologique ou psychique accrue, aucun n'a été capable de mettre à demeure en moi une vie et force nouvelle qui se maintienne ! Aucun si ce n'est, il y a maintenant plus de 35 ans, Dieu par son Esprit, "lorsqu'il plut à Dieu… de révéler en moi son fils.." : seule la vie même de Dieu ajoutée à nos forces de vie existentielle est réellement régénératrice, dès ce présent et jusqu'en vie éternelle. Comment ?
Le Nouveau Testament ou Évangile nous enseigne qu'à un homme ou femme sais-e par le sentiment de son indigence, insuffisance, corruption morale ou autre addiction perverse, Dieu peut donner son Saint-Esprit ! Alors le propre esprit de cette personne est régénéré, c'est-à-dire qu'elle est déjà transformée par l'Esprit de Dieu, qui a ensuite la possibilité de faire croître en elle cette vie nouvelle - greffée sur l'ancienne - "jusqu'à ce que Christ soit formé en nous".
Ainsi le grand miracle intérieur, caché mais perceptible par ses effets, produit par la rédemption, c'est que Dieu peut mettre en nous, une vie et tendance nouvelles, qui nous rendent capable de vivre une vie totalement nouvelle, plus forte et plus légère, jusqu'à pouvoir sentir et dire "Ce n'est plus moi qui vis, c'est (d'abord) Christ qui vit en moi". Qu'on est loin de la religion ! Dont les lois, préceptes, rassemblements et autres rituels sont toujours sans force pour nous changer, pour dégager notre nature habitée par "la loi du péché et de la mort".
Ce n'est qu'au point de ma mort (en quelque sorte, spirituelle) à vouloir continuer mon existence sans Dieu, que Dieu, qui me traite en être moralement responsable, peut mettre en moi les dispositions qui étaient en Jésus-Christ. Si, seulement SI, j'éprouve ce besoin d'un + de vie, de pureté, de repos intérieur, de grâce… sinon je reste encore comme je suis.
Certes ce n'est pas tous les croyants, religieux, chrétiens ou de quelque croyance que ce soit, qui peuvent entrer dans cette nouveauté de vie spirituelle, et il ne faut pas que les comportements de tels ou telles nous dissuadent de chercher Dieu et de vouloir vivre avec lui ce dont il parle. Dieu ne donne ainsi de ses innombrables bienfaits qu'en rapport de notre soif d'en désirer, de vouloir vivre de la meilleure façon qu'il est possible dans ce monde.
Car ce que nous sommes, n'est pas d'abord la sainteté ! Ce que je suis au plus profond, c'est précisément ce que Dieu va avoir à changer en moi. Car par mon hérédité comme par mes propres agissements et pensées, je ne suis pas saint, ni près de l'être ! mais pécheur, c'est-à-dire enclin à mal faire, à ne pas terminer victorieusement ce que j'entreprends, d'autant que dans tous les cas, la mort vient tout interrompre de mes engagements.. Si tout ce que Jésus-Christ peut faire est de me dire que je dois être saint, son enseignement ne peut que me jeter dans le désarroi, dans le désespoir. Mais si Jésus-Christ par son Esprit est un vrai Régénérateur, qui peut substituer aux forces malignes de mon hérédité et de mes travers peu glorieux une part significative de ses propres forces en moi, alors je comprends mieux à quoi il veut aboutir lorsqu'il me dit qu' il me faut être (un) saint.
Ainsi, grâce à l'œuvre de la Rédemption - opérée par les souffrances et la mort de Jésus crucifié -, il peut mettre en nous ses propres dispositions, et ses exigences supposent toujours qu'il donne ce qu'il ordonne. C'est en cela que Dieu nous commande d'aimer, selon son double et triple commandement (qui accomplit les autres), qui est d'aimer, d'aimer et encore d'aimer ! Aimer Dieu (de toutes nos forces), et aimer son prochain (quel qu'il ou qu'elle soit), comme nous-même. Aïe aïe aïe, sans Dieu, comment aimer l'Un ou les autres, voire s'aimer soi-même !? Ce que nous devons faire de notre côté, ce n'est pas de nous efforcer - sans cesse et toujours lamentablement - à obéir aux commandements divins, mais c'est accepter pour… moi, la condamnation du péché prononcée par Dieu sur la croix où Jésus est mort. Accepter que la condamnation du péché en la personne crucifiée de Jésus en tue la puissance en moi si je crois.
Qu'arrive-t-il donc à celui ou celle qui croit en la mort substitutive de Jésus ? "Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie selon la tradition des hommes, selon les principes élémentaires du monde, et non selon Christ. 9 Car en lui, habite corporellement toute la plénitude de la divinité. 10 Et vous avez tout pleinement en lui, qui est le chef de toute principauté et de tout pouvoir. 11 En lui aussi vous avez été circoncis d’une circoncision (du cœur) qui n’est pas faite par la main des hommes… 12 Ensevelis avec lui par le baptême, vous êtes aussi ressuscités en lui et avec lui, par la foi en la puissance de Dieu qui l’a ressuscité d’entre les morts. 13 Vous qui étiez morts par vos offenses et par l’incirconcision de votre chair, il vous a rendus à la vie avec lui, en nous faisant grâce pour toutes nos offenses; 14 il a effacé l’acte rédigé contre nous et dont les dispositions nous étaient contraires; il l’a supprimé, en le clouant à la croix; 15 il a dépouillé les principautés et les pouvoirs (tous les types de démons et Satan leur chef), et les a publiquement livrés en spectacle, en triomphant d’eux par la croix."
Que voilà des paroles puissantes en elles-mêmes ! Leur force produit en nous de la vie, dès lors qu'on est dans cette croyance.
"De même que la tendance au péché est entré par un homme dans la race humaine, de même le Saint-Esprit est entré en nous par un autre Homme. La Rédemption signifie qu'à l'hérédité du péché, Jésus-Christ substitue une hérédité nouvelle, sans tache : le Saint-Esprit." (Oswald Chambers).
Soyez béni-e en saisissant la merveille qu'est pour vous l'œuvre de Dieu ainsi opérée par le Christ Jésus pour le salut éternel des âmes humaines.
Le Dieu vrai n'est pas à confondre avec Satan l'ange usurpateur, esprit invisible qui séduit (par de belles apparences, l'argent, le sexe, le succès, du pouvoir...), fait peur et/ou fait souffrir. Parmi nous, c'est parfois moins évident de faire la différence que de bien vouloir le croire !
Ici par un clic le témoignage d'un homme qui parle en toute simplicité et vérité de ses expériences des profondeurs possibles de l'existence - profondeurs démoniaques, mais aussi céleste...
Après la défaite de François Fillon par KO debout au 1er round, il reste la finale qui ne peut être qu'une victoire normalement aux points... anormalement aux poings. Plus sérieusement, risque et danger sont partout (on vit sur une planétaire dangereuse, et en danger). Et ici, au plan politique, le danger - comme dans les arts et les religions - s'appelle aussi idolâtrie !
L'idolâtrie, c'est la propension naturelle que nous avons tous à voir une personne - ou un objet - avec des yeux embués d'une émotion qui nous le ou la montrent de manière quelque peu idyllique, naïve, et dotée de capacités fabuleuses... qu'elle n'a pas !
Le fait que plusieurs aient vu dans le comportement ou quelque harangue d'E. Macron une posture qui leur a fait penser à la notion de gourou, (devrait) interroge(r) et amène(r) à creuser plus avant. "En marche" donc pour progresser vers plus de lumière en vue de plus de vraie liberté... (c'est là mon progressisme ☺)
QUI EST UN IDOLÂTRE ? Plus explicitement, idolâtrer c'est faire d'une réalité créée un dieu, c'est-à-dire - déjà dans notre coeur l'élever à la place que devrait seul y occuper Dieu - le vrai Dieu... ; - voire c'est contribuer (ce qu'on appelle prosélytisme) à l'élever aussi aux yeux des autres, jusqu'à une positon de pouvoir d'où il semble qu'elle va manifester plus nettement ce qu'on croit qu'elle est. Ainsi se fait une célébrité, par le fait qu'on la célèbre (qu'on lui rend un culte) et que cela tend à s'élargir... indépendamment de la valeur réelle ou même de la nocivité de la "chose" ainsi mise en avant (au-dessus).
De la sorte nous pouvons fabriquer une idole à partir de tout et de rien : - d'une idée, d'un slogan ou d'une image, d'une statue, d'une pierre autant que de l'or, d'un animal, d'un liquide (enivrant) ou d'un oignon (il existe une secte où l'on vénère pour ses vertus l'oignon)... - comme aussi à partir d'un être humain, un chanteur ou une actrice, d'un cinéaste ou d'un philosophe... et de bien moins que cela (un dealer, un tueur - mais oui bien sûr...).
ATTITUDES IDOLÂTRES Quand l'idole est de pierre et de dorures, on voit des gens se prosterner devant elle, faire des pèlerinages, leur parler comme si c'était à une personne, l'embrasser ou embrasser son image, etc... On s'offusque assez facile de ce genre de comportement quand il est lié à la religion. Mais ce n'est pas que...
Quand les idoles sont de chair - papale ou autres que papale -, on fait la même chose ! attitude révérencieuse (prosternation de coeur), baisers, rêves, fantasmes, désir de voir ou de toucher... Tout cela donne à l'idole les moyens (financiers ou de séduction) qui lui permettent de "se payer" (ou s'offrir, dominer) plus ou moins de personnes (jusqu'au plan sexuel) et d'acquérir beaucoup de biens (dont elle n'a pas besoin)...
Car l'idolâtre que nous pouvons tous devenir - c'est moins courant de devenir une idole - donne, accorde, concède sur lui un pouvoir - qui va prendre de lui temps et/ou argent, âme et/ou corps. Idolâtrer, c'est donc se donner sans réserves, à l'objet de notre vénération (amour fort ou adoration) ; c'est un abandon sans soupçon du moindre mal ou du moindre défaut... ce qui ne peut être une attitude juste que face à Dieu... Dès lors on est fragilisés, à la lisière d'une soumission qui est déjà ou peut devenir problématique...
EN POLITIQUE AUSSI Et donc, pourquoi l'être faillible et en manque* que nous sommes, qui se trouve être convoqué comme citoyen pour voir et entendre des candidats politiques, ne peut-il pas succomber et devenir là aussi idolâtre ? Comment les candidats, dotés de capacités humaines réelles, bien que limitées, ne pourraient-ils pas être tentés de glisser, de jouer, sur autre chose que sur le bon sens ou la raison - sur l'émotion - pour obtenir des suffrages en leur faveur ? C'est évident ! Et entre la conviction honnête et la subtile manipulation, voit-on aisément la frontière ? Parfois oui ! Entre le coeur touché par la vérité et l'émotion remuée dans son manque, a-t-on le recul nécessaire ? A-t-on fait le travail de l'âme (en lien avec l'Esprit) pour ressentir juste, pour ne pas se la laisser jouer !? Pas souvent !...
On peut se demander : Pourquoi chercher encore midi à quatorze heures pour ce qui est des sentiments et de la raison (et de leurs effets), comme aussi de la raison et de la foi !?... Pour le moins, comme disait l'humoriste : parce que "Je ne veux pas mourir idiot" ! Au plus juste, parce que derrière les hommes, naturellement susceptibles de devenir des marionnettes, se trouvent des marionnettistes, experts...
LA FACE CACHÉE DES POUVOIRS Et donc en quoi y a-t-il un problème à se laisser séduire, endormir, tromper, berner... par des paroles, par une voix, des mots, des idées ou des traits d'un visage de chair ou qui a été tracé sur un papier pour l'imprimer ?**
C'est que l'idolâtrie est en rapport direct avec la réalité subtile des esprits. Là où on a été créés pour aimer ou adorer Dieu - dans la dimension Esprit qu'il est - ce sont d'autres esprits qui veulent trouver en nous l'espace laissé vacant par une non-instruction et éducation et expériences spirituelles. Or Dieu seul est bon, tous les autres esprits qui veulent (venir) nous influencer, voire jusqu'à nous habiter, sont mauvais ! (les anges fidèles de Dieu aussi sont bons, mais ils ne cherchent pas à venir prendre en nous la place qui doit revenir à leur Créateur)*.
Et donc se faire idolâtre face à une personne - homme politique compris -, c'est s'ouvrir à laisser entrer dans notre âme des pensées, des croyances, des illusions, des valeurs - ou horreurs - qui l'habitent, au point que nous soyons nous-même assujettis à l'esprit mauvais ou démon qui a triomphé de lui ou d'elle qui s'est laissé-e séduire et élever au-dessus de sa condition typiquement humaine. S'agissant de personnalités politiques, on va parler - au plan du terrain (physique) de despote, tyran ou dictateur (qu'il soit empereur, président, secrétaire ou chef de parti...). C'est celui qui allie généralement séduction (surtout au début) et arrogance (puis violences incontrôlées) ; - et au plan des idées (psychique et spirituel) on parlera de religion ou d'idéologie hégémonique, impérialiste... toujours de plus en plus totalitaire et inhumaine. L'Histoire et sans doute votre mémoire ne manquent ni des uns ni des autres...
DEUX SENS DE L'HISTOIRE HUMAINE Qui ne connaît l'histoire horrible et horrifiante liée à un pas si lointain Adolf Hitler, qui séduisit très rapidement, par son harangue et ses premières mesures de redressement de l'économie, au point où il fut appelé "le sauveur" par beaucoup d'allemands subjugués. Une fois la confiance gagnée de ses proches lui ayant accordé des pleins pouvoirs, on sait comment les démons réussirent à le pousser dans leur vue hégémonique et leur folie meurtrière, notamment en visant une branche trop significative à leurs yeux de la réalité du Dieu unique... (significative mais la moins couverte par la grâce du même Dieu que les juifs religieux n'ont pas su voir en la personne et en l'oeuvre transcendante de Jésus-Christ).
Ainsi depuis l'Antiquité des hommes, Satan (le dieu usurpateur qui nous trompe d'autant que nous ne croyons pas qu'il existe) n'a jamais cessé de se donner des têtes humaines pouvant transmettre ses impulsions maléfiques aux rênes du char de sa suprématie. En vue d'établir un pouvoir et un contrôle complets des petits hommes. C'est un sens majeur de notre Histoire. L'autre sens majeur de l'Histoire est développé par le Dieu véritable en lien avec la foi que nous pouvons avoir en lui (La foi est toujours un fait personnel même si des nations entières peuvent être placées dans ce bénéfice).
La Bible annonce que "la fin du temps des nations" - que nous vivons - va se concrétiser comme jamais par l'avènement d'un gouvernement mondial - le dernier mouvement impérialiste tentaculaire. Il sera constitué via une oligarchie, quelques poignées d'hommes influents qui auront entre leurs mains les moyens pour mettre l'humanité sous un joug (pièce de bois qui sert à mener les boeufs où on veut qu'ils aillent). Le livre de l'Apocalypse parle notamment d'un moyen monétaire mis en place sur tous les échanges économiques pour que tout le monde - s'il était possible - exprime son allégeance à ce système (d'origine satanique)... (Apo 13)... Le 666 dont il est question est déjà en place, avec le système de codes-barre qui étiquettent les produits, et avec le web... Et donc il est édifiant, en suivant les actualités mondiales en parallèle des Paroles inspirées de Dieu, de voir où nous en sommes et comment se positionner personnellement quand nous avons, comme lors d'élections, à réagir face à des propositions.
UN PLAN D'EXPANSION SELON DIEU Il n'y a rien de mauvais qui ne soit antagonisme ou imitation de ce qui le précède qui est bon. On dit que Satan est un imitateur. Et donc le sens majeur de l'Histoire qui constitue le Plan B Divin, vise - premièrement, à ce que, individuellement, nous cessions de subir aveuglement le sens pesant qu'est "le train toujours dégradant de ce monde", en nous plaçant judicieusement sous la protection de Dieu. Car il a, lui, capacité à nous donner une vraie bonne vie, nouvelle et qui sera éternelle, à partir du pardon de nos fautes, qui s'obtient quand nous regardons avec foi la crucifixion de Jésus comme le moyen de notre réconciliation et paix avec Dieu. - dans le même temps et à la suite, une création toute nouvelle (nouveau ciel et nouvelle terre), qu'habiteront les croyants au Christ devenus un corps d'humanité nouvelle, une unité de vivre-ensemble sans rapport avec l'illusion déraisonnée qui voudrait se faire ici et maintenant...
Dans la Bible, Dieu se déclare comme étant un "Dieu jaloux" ! Il est dit par là que dans son amour pour nous, il trouve déplorable et fou et révoltant que nous nous laissions abuser par les tentations, vices et autres pièges démoniaques, au point d'en devenir les jouets et instruments méprisés, avilis, cassables, jetables... Qui ne voit ces dégâts dans la vie des uns ou des autres autour de nous, rendus méconnaissables en peut de temps, via le moyen de l'alcool ou de la drogue, d'un divorce subi ou d'un accident grave, d'un deuil, d'une maladie... Et quand Satan se trouve des politiques ouverts par leurs péchés à ses vues, cela devient son règne sur la terre, avec des "éliminations" - de qui ne suit pas sa vue et sa pensée controuvées -, des lois aberrantes, des génocides, des guerres fratricides, ethniques ou mondiales... et les crises internes qui viennent en jugement des comportements ou choix corrompus. La haine, raciale ou pas, tient bien sûr de ces esprits/anges devenus démons à qui nous accordons, par notre incrédulité ou nos fausses croyances, par diverses injustices et par l'orgueil de la part des dirigeants ou de la masse des peuples, le droit de nous soumettre à leurs regards et pressions dévoyés.
Dans ce contexte épineux et conséquent comme jamais, que l'on vote pour l'un ou pour l'autre, pour un coup de frein à main ou pour un coup d'accélérateur, bonne réflexion, bon sens (commun et surnaturel), bon vote. Soyez béni-e.
Dernière minute : je crois intéressant de vous soumettre un article que je découvre venu de chrétiens des Etats-Unis, c'est-à-dire un regard moins pris dans la mêlée que nous ne le sommes : ici.
_________________ * C'est en manque de Dieu qu'on est chacun en réalité, car on a été créés avec, en nous, cette plage de vide, cet espace d'un manque, qui correspond à la place que Dieu veut venir occuper au plus profond de notre être intérieur, pour le meilleur que nous puissions connaître (vivre), maintenant et éternellement...
** C'est au point où les 2 premiers des 10 Commandements (qu'on connaît par Moïse) se rapportent à cela, et donnent des raisons (Exode, ch. 20, 3 à 6 et Deutéronome 5. 7,10).
François FILLON se prend le mur du second tour !? C'est ce qui semble sur cette image de Bruno Saby passant à sa façon un raccordement délicat de chaussées dans une course de côte ! Mais en réalité il va passer, sa course ni sa carrière ne vont se terminer ici...
Cette élection a été portée par la prière de milliers de chrétiens devant le trône de Dieu**. Donc on s'incline devant le résultat. Pour paraphraser Pascal : Dieu a des raisons que notre raison pouvait ignorer. (Ce qui ne veut pas dire que les prières de la minorité chrétienne priante n'étaient pas justes...).
Cela ne nous laisse donc pas pour autant dans le découragement et l'inintelligence de ce qui se passe.
PARCE QU'IL Y A DES RAISONS A TOUT 1- Par anticipation j'avais aperçu et écrit sur ce que je sentais comme un danger pour le camp du redressement via F. Fillon : le fait que des (soit-disant = se disant eux-mêmes) gaullistes restent à défendre leur vue personnelle - vouée à plus de 99 % au balayage du premier tour - au détriment d'une recherche d'unité intelligente qui seule (on en a la preuve maintenant) aurait pu porter le mieux placé au second tour. (articles précédents). 4 ou 5 % de voix en plus est tout était différent pour 5 ans et au delà !... En écrivant cela à Jean Lassalle, j'avais utilisé - avec déférence - l'image du lion et du rat tels que dépeints dans une de ses fables pleines d'enseignement par La Fontaine.
2- Le fait que F. Fillon ait été lâchement torpillé par instruction judiciaire et mis la tête sous l'eau par les médias n'a bien sûr pas été un hasard et a eu son importance. a) Cela montra que psychiquement F. Fillon avait du répondant. Là l'épreuve a été passée avec succès. Ce sont les français qui ont globalement manqué de savoir prendre du recul pour juger des faits (soudain apparus et incriminés) et tenir dans une ligne de mire stable.
b) Mais avant l'heure du vote, cette attaque inattendue autant que virulente a aussi été reprise par Dieu - qui sait toujours rebondir sur tout - comme un test vis-à-vis des membres de l'équipe de campagne de la rue Firmin-Gillot. On a vu les désistements successifs, et plus malheureusement encore, on a vu les retours sur la fin. Tout cela en une unité au goût douteux, à la profondeur suspect. Là encore une erreur que ce ralliement mal conscientisé, sans repentance ou regret qu'on aurait voulu entendre.
De fait, je pense que beaucoup de français qui aiment la droiture - l'honnêteté devenant un thème de campagne - n'ont pas apprécié et ont changé leur fusil d'épaule. Je crois aussi que des français expectatifs désireux de voter à partir de leur conscience propre ("en leur âme et conscience") n'ont pas bien pris qu'on leur dicte (si maladroitement) la direction de leur vote par ce ralliement de surface des têtes d'affiche (é)perdues et retrouvées après qu'elles aient abandonné si cavalièrement le navire dans la tempête. Qu'il y ait eu des retours spontanés, l'ego mis de côté et non par calcul personnel, éventuellement oui, mais il ne fallait pas aller les chercher...
Sur ce point, le Dieu qui ne change pas, nous a laissé une histoire édifiante : celle de Gédéon qu'on trouve à partir d'ici. A nous, et notamment aux croyants, à connaître et croire que Dieu a toujours des principes (établis) et des stratégies (inconnues et tenues dans ses réserves... inépuisables), quand on veut de lui pour faire avancer au mieux nos affaires (personnelles ou collectives).
3- Ainsi, et là c'est le résultat qui permet de le comprendre, aux yeux de Dieu F. Fillon, croyant déclaré, n'était pas (encore) assez construit pour affronter convenablement (avec chances de vrais succès) l'hydre polycéphale et multi-doctrinaire occulte (Satan et ses démons) qui fait face aujourd'hui à la France dans le but de la soumettre à leur vue mondialisante - ultime possibilité d'impérialisme satanique*.
4- Maintenant, ce n'est pas qu'E. Macron ou Marine Le Pen soient plus forts - eu égard aux vrais enjeux, aux vrais combats ! Loin de là. Car seule une vue ouverte sur la dualité de la dimension céleste - divine et maléfique - et sur leurs rapports avec ce qui se passe parmi nous, peut permettre de ne pas descendre encore, d'une manière ou d'une autre, sous l'autorité des maux et du Mal. C'est-à-dire dans les ombres d'illusions, dans les séductions (egocentrées et/ou démoniaques), dans les violences (dans les rues, dans les rapports sociaux, dans les maisons). Or il semble évident que ni l'un ni l'autre ne soit et ne sera à même de voir comme il faudrait.
Ainsi Dieu a permis - c'est donc sa volonté par défaut - que l'élu des finalistes sera là encore une fois - comme il y a 5 ans -, non sur la base des termes de son programme, mais par défaut.
5- Autre raison : Parce que l'éveil et le regard éclairé - spirituel - sur le Réel fait gravement défaut chez la plupart des français - essentiellement instruits dans une laïcité fermée (conduite par une idéologie toujours plus athée et athéisante) plus que dans une laïcité ouverte qui chercherait - par l'observation scientifique la vérité sur le Réel - dont les nombreuses expressions du sur-naturel... - et à comprendre la (persistance de la) foi ou croyance et le fait religieux (dont la vocation première est d'interpeler)... au lieu d'étouffer ces réalités à moitié... ce qui ne pourra durer bien longtemps.
Étaient possibles - soit la grâce divine, qui aurait pu accorder à la France des temps de rafraîchissements, d'apaisement, - soit une justice qui apporte aux français plutôt ce que mérite une somme de leurs comportements (laxistes, fêtards, égocentrés, peu réfléchis, indifférents à Dieu ou sans recherche de sa réalité...). Par la liberté de vote et une relative majorité des votants ayant définis les finalistes, on est entrés dans l'option II. La plus rude. Sans repentance, cela progressera dans le sens d'abattements plus forts encore des libertés, des personnes et de la France. Dans le sens de plus d'illusions et plus de travail de sape (violent manifeste ou sournois souterrain) des forces occultes qui entendent pouvoir mener tambour battant LEUR propre campagne hégémonique... sur le tapis rouge et sous le couvert béant de beaucoup trop d'ignorance.
C'est en cela que j'ai écrit que la démocratie est neutre en soi, ni bonne ni mauvaise ; mais c'est le courant le plus admis - au détriment des autres et d'une unité jamais possible par ce système - qui oriente, soit vers un redressement (ce qu'on peut appeler un bien ou un mieux commun), soit vers un glissement (un mal plus vaste ou profond partagé... dont a priori les plus puissants ou malins se protègent mieux... et/ou même tirent des profits).
6- Raison souveraine de Dieu. C'est dans tous les cas dès maintenant le relief de terrain sociétal (qui va vite et progressivement apparaître) qui va permettre la meilleure implication possible de l'Esprit-Saint dans les vies individuelles (et/ou familiales principalement). Car le plan B de Dieu (la rédemption qui est l'essentiel de notre ère) est toujours activé, qui place toujours le souci de la vie aléatoire des personnes avant le don de quelque bien ou pseudo-bien collectif.
L'essentiel (essence du Ciel), c'est que nous sachions que Jésus est venu pour sauver et guérir et consoler..., un à un, les êtres défaits que nous sommes (pécheurs, pécheresses). Or c'est quasiment une loi que cela se passe d'autant plus manifestement et possiblement qu'on est au taquet de notre condition, dans nos bas-fonds. Quand tout marche bien pour nous, on vit comme si on était invulnérable et éternel - un véritable leurre temporaire de notre condition. Pourquoi avoir besoin de Dieu quand tout semble bien aller ?... Cependant, dans tous les cas de nos situations, la condition adamique (déchue, handicapée, mal égocentrée, mortelle) qui est notre lot commun, reste toujours soumise à quelque mal, à l'occulte, à telle force maligne qui nous trompe, ou telle autre qui nous contraint ou domine (ou)vertement, et jusqu'à la mort qui ferme à ce côté-ci du Réel. "Car le salaire que paie le péché, c’est la mort ; mais le don que Dieu accorde gratuitement, c’est la vie éternelle dans l’union avec Jésus-Christ notre Seigneur."
Voilà ! Dieu a permis que selon notre système démocratique une minorité de 45,29 % des votants impose quasiment qui sera Président ! Pas de quoi réjouir tout le monde c'est certain ! Au delà, la foi consiste à croire et à s'attendre à ce que le Dieu vivant et vrai** va pouvoir tirer le plus grand bien de cette configuration. Ce sera un bien essentiellement de l'ordre du bien spirituel, immédiat comme éternel en faveur des âmes, ce qu'un autre résultat du vote n'aurait pas aussi bien, au temps présent, permis.
C'est le départ d'une nouvelle "spéciale" comme on dit en rallye, avec tous ses dangers, tous ses possibles soulèvements de coeur - nauséeux et/ou joyeux. Et cela va (encore, aussi) dépendre de nous - et de Dieu - (comme pilote et copilote), comme il est écrit en Romains ch. 8.
Soyez béni-e. Bonne suite, sans se relâcher ni sur les autoroutes des apparentes facilités ni dans les rues sombres ou routes sinueuses pas toujours sécurisées. Jésus est vivant ! Ressuscité ! Ce n'est pas à croire que le temps de la fête de Pâque(s) ! C'est une vérité permanente et éternelle.
______________ * un impérialisme est toujours un totalitarisme qui s'auto-affermit. Tous les grands impérialismes de l'Histoire ont été initiés et/ou soutenus par de puissants démons (cavaliers bibliques, généraux du diable). Le dernier en date, il n'y a pas si longtemps, ayant eu le petit caporal Hitler comme voix audible (bouche arrogante) et comme instrument possédé de la volonté démoniaque haineuse envers toute notre humanité.
** Quand je dis "Dieu", j'entends toujours le Dieu véritable, Celui 1/ qui a créé les mondes, et 2/ qui est venu, par et en Jésus, nous apporter le moyen de la reprise en mains de nos existences - vouées à la souffrance, aux désordres et à la mort suite à la sortie du Bien (comme il est écrit au 1er livre de la Bible : Genèse, ch. 3. Cela précisé car il y a toujours trop largement parmi nous méconnaissance et confusion majeure entre ce Dieu dont parle "toute" la Bible, et le "dieu de ce monde" ou "prince de la puissance de l'air", Satan, qui n'est qu'un ange déchu, mais qui cependant conserve encore (par notre incrédulité et nos croyances erronées) de très grands pouvoirs en regard de nous.
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Un après-midi Dieu fait irruption dans ma vie! Rien de violent, mais avec une force de persuasion telle que d'un coup JE SAIS ! Dieu existe !!! C'est ici mon cheminement depuis ce 1er instant... aussi pour faciliter le chemin à qui cherche le sens de son existence et/ou se demande : Dieu existe-t-il vraiment !? Des questions et réponses dans les domaines de la connaissance de soi, de Dieu, du Réel, Jésus-Christ, spiritualité(s), psycho, philo, actualité... bref, un blog qui englobe des Essentiels ☺ Soyez béni-e.