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27 mars 2018 2 27 /03 /mars /2018 14:05

- sous la forme d'une (bonne) nouvelle -

Yerushaláyim (Jérusalem), fin de la troisième décennie de notre ère. 6ème jour (jour où Dieu créa l'homme).

Salmon – Tu as entendu ce qui se passe du côté de Golgotha !?
David – Shalom Salmon ! Qu'est-ce qui se passe à Golgotha ?
Salmon – Les romains sont en train de crucifier des brigands.
David – Rien de bien nouveau !
Salmon – Quand même ! On arrive à un grand shabbat et les chefs du Sanhédrin (tribunal religieux) seraient à l'origine d'une des mises à mort ! Et ça avait l'air urgent de chez urgent d'après ce que j'ai entendu. Étonnant non !?
David – Pour dépendre les corps avant le commencement de la fête.
Arrive Moshé tout excité :
- Eh David, shalom, il paraît que c'est Jésus qu'on veut crucifier ! Tu sais, celui qui fait des miracles et a de bonnes paroles pour les pauvres.
David – Non !? Celui qu'on a vu guérir un paralytique à la piscine de Bethesda ?
Moshé – Oui et entends comment ça rouspète du côté de chez Pilate !
Arrive Josh – Jésus a été arrêté cette nuit. Il paraît qu'on est en train de lui donner les 40 coups moins 1 quelque part dans Antonia (Palais du gouverneur romain).
Salmon – Aïe ! C'est dur mais au moins il ne sera pas crucifié ! Qu'est-ce qu'il a bien pu faire pour mériter ça ?
Moshé – Il n'a pas été tendre avec les prêtres ! Je l'ai entendu les traiter de race de vipères !
David – Le racisme est-il une faute que condamne la Torah (la Loi ou Écritures qui fondent la religion juive) ?! D'ailleurs c'est même pas du raciste ! C'est comme quand il leur aurait dit que leur père c'est le diable. Il paraît qu'il y avait de l'orage dans l'air ce jour-là !
Moshé – Ça a toujours été chaud entre lui et tous ces religieux qui font les beaux par devant, mais dans le fond on ne sait pas tout ce qui se passe !...
Salmon – Si tu veux mon avis, c'est tous des hypocrites ; alors que Jésus, je l'ai vu et entendu une fois, c'est un parfait. Il guérit, il chasse les démons, et ses paroles - je sais pas comment dire... elles coulaient dans mon âme comme un miel liquide descend dans la gorge. Un délice !
Josh – Moi j'ai compris pourquoi il était si dur avec les prêtres et les lévites ! Parce qu'en fait ils se donnent pour justice uniquement les articles de la Torah, sans la moindre miséricorde. Et en fait, ils les transgressent, peut-être autant que nous (malgré toute notre bonne volonté). Alors Jésus les traite comme ils font eux-mêmes avec nous, selon la même loi, œil pour œil. Dureté pour dureté. A la différence d'avec ceux qui le suivent, à qui il manifeste de l'attention, de la compréhension... une gentillesse comme j'ai jamais vue.
Moshé - Ça ne veut pas dire qu'il méprise la Loi et que pour lui tout le monde il est beau, tout le monde il ira au Paradis ! Moi je l'ai entendu dire à la femme adultère - qu'il a sauvée de la lapidation : Va, et ne pèche plus !
David - Sinon la condition devient pire. Forcément !
Salmon – Tu as raison Josh, et toi aussi Mosh ; je comprends mieux maintenant… Je suis sûr qu'on n'imagine même pas la moitié du quart du sens de ce qu'il dit.
Moshé – Moi je connais un peu un apôtre - Jean il s'appelle -, je lui demanderai encore des choses.
Salmon – Hey, c'est quoi cette clameur !... Moi j'y vais, je sens qu'il se passe vraiment de drôles de choses ici ce matin…

¤

 

Face au mont Golgotha (autrement appelé Lieu du crâne), au nord-ouest de Jérusalem.

Élisée – Il parait que c'est Jésus.
Barthélémy – Oui. On le reconnaît même pas tellement ils l'ont massacré. Quels ss… (Il retient sa colère). L'horreur comme j'ai jamais vu… Comment des hommes peuvent-ils faire ça à un autre homme !?... Moi je comprends plus rien.
Élisée – Pour comprendre déjà, il faut voir Satan et les démons qui sont derrière tout ça !
Barthélémy - Au fait, je cherchais Pierre ! Tu l'as pas vu ?
- Non, pas vu.

¤

Jésus a été cloué sur le patibulum comme certains clouent une peau de bête sur une porte pour se protéger des mauvais esprits. Une fois les deux bras ficelés, il a été monté en l'air jusqu'à ce que la pièce de bois prenne sa place - dans un sursaut terrible, sur le poteau de la condamnation et du supplice.
Jean à Philippe : - Tu crois qu'il nous voit ?
- Je sais pas... Je sais pas ce qu'on a fait de mal pour en être arrivé là !?...
A côté d'eux Nicodème qui les a entendus cite la parole du prophète Isaïe :
- "Méprisé et abandonné des hommes, homme de douleur et habitué à la souffrance, semblable à celui dont on détourne le visage, nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu, et humilié."

Jean et Philippe ont d'abord sursauté. Philippe a eu un mouvement de recul, presque de répulsion en découvrant à son habit qu'il s'agit d'un des prêtres du Temple. Celui-ci le regarde droit dans les yeux et poursuit sa lecture :
- "Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris."
- Mais attends Maître, l'interrompt Jean. Que dis-tu là !? D'où tiens-tu ces paroles ? Tu es prophète ?
- C'est Isaïe qui a prophétisé il y a 700 ans : "Nous étions tous errants comme des brebis, chacun suivait sa propre voie; Et l’Éternel a fait retomber sur lui l’iniquité de nous tous. Il a été maltraité et opprimé, Et il n’a point ouvert la bouche, Semblable à un agneau qu’on mène à la boucherie, à une brebis muette devant ceux qui la tondent; Il n’a point ouvert la bouche."
Les yeux et les oreilles grand ouverts quelques hommes présents ont écouté, comme magnétisés par ces paroles étrangement nouvelles.
- Mais, mais j'ai jamais entendu cette écriture dans la synagogue, réagit Philippe ! Tu es sûr ? Et pourquoi n'es-tu pas avec les autres du Sanhédrin, là-bas ?
- L’Éternel Adonaï notre Dieu sépara le premier jour la lumière d'avec les ténèbres, après qu'il l'eut prononcé. La lumière est venue mais ils ne l'ont pas reçue. Ils ont préféré rester attachés à leurs œuvres sombres, cachées, que pourtant lui est venu nous rendre visibles, plus encore que les paroles de notre Loi.
Jean – Et toi tu as cru que Jésus…!?
- Est l'oint de l’Éternel, le fils du Psaume deuxième. Peut-être celui-là même que le prophète annonça encore comme devant naître d'une jeune fille vierge… On le saura bientôt.

- Il a dit quelque chose ! Il a dit quelque chose !
Comme une vague qui roule, un murmure sourd parcourt les rangs épars.
- Quoi, quoi ?
- Il a dit "Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu'ils font."
Nicodème – Alors c'est bien lui.
Parce qu'instantanément il s'est souvenu de la fin de cette prophétie : " il a intercédé pour les coupables."
- Hashem soit loué ! C'est lui !
Son cœur se gonfle comme la voile d'une embarcation qui prend le meilleur des vents. Il n'a jamais été aussi heureux de toute son existence.

Au bout d'un moment où chacun reste tendu vers la croix dans l'attente d'une autre parole, Jean ajoute :
- Je le crois aussi… Pierre avait été inspiré par la Rouah du Très-haut quand il avait dit sans la moindre réflexion : - Tu es le fils du Dieu vivant !
Nicodème – C'est cela. On y est les enfants ! C'est notre Mashiah. C'est le Messie de notre peuple.
- Mais Maître, réagit Philippe, il est en train de mourir là !?
Au même moment une pensée pleine de vie le traverse et il ajoute sur un tout autre ton :
- Il va ressusciter ! C'est ça, on va le voir ressusciter !? Comme il a fait avec Lazare à Béthanie ! Oh oui ça va être glorieux ; pour fermer la bouche à tous ces religieux qui n'ont eu que l'endurcissement comme réponse à ses lumières. Pour mettre dehors ses romains qui nous prennent pour des esclaves.
- Chuuut ! fait Nicodème. Attendons, et ne risquons pas d'attirer l'attention au détriment du plan de Dieu.

C'est que l'homme connaît la suite du chapitre 53ème d'Isaïe dont il se dit intérieurement la suite : "Il a été enlevé par l’angoisse et le châtiment ; et parmi ceux de sa génération, qui a cru qu’il était retranché de la terre des vivants, et frappé pour les péchés de mon peuple ? On a mis son sépulcre parmi les méchants, son tombeau avec le riche. Quoi qu’il n’eût point commis de violence et qu’il n’y eût point de fraude dans sa bouche. Il a plu à l’Éternel de le briser par la souffrance… Après avoir livré sa vie en sacrifice pour le péché, Il verra une postérité et prolongera ses jours; et l’œuvre de l’Éternel prospérera entre ses mains. A cause du travail de son âme, il rassasiera ses regards. Par sa connaissance mon serviteur juste justifiera beaucoup d’hommes, et il se chargera de leurs iniquités. C’est pourquoi je lui donnerai sa part avec les grands; il partagera le butin avec les puissants. Parce qu’il s’est livré lui-même à la mort, et qu’il a été mis au nombre des malfaiteurs; parce qu’il a porté les péchés de beaucoup d’hommes, et qu’il a intercédé pour les coupables."

Sur la croix, délaissé comme un simple - ou le pire - homme pécheur, Jésus parle à son céleste père :
- "Je suis un ver et non un homme, l’opprobre des hommes et le méprisé du peuple. Tous ceux qui me voient se moquent de moi. Ils ouvrent la bouche, secouent la tête :
- Recommande-toi à l’Éternel, disent-ils partagés en deux entre la haine et la crainte ! L’Éternel le sauvera, Il le délivrera, puisqu’il l’aime !"

Jésus lutte contre les pensées qui tourbillonnent et s'agitent  au-dedans de lui. Il veut revenir à son père. Il veut ne pas se laisser esseulé, enfermé dans la souffrance et l'hystérie qui sévissent jusqu'à perdre le sens de qui il est. Ne pas lâcher la main perdue du père, dont il ne perçoit absolument plus rien :
- "Dès le sein maternel j’ai été sous ta garde: dès le ventre de ma mère tu as été mon Dieu. Ne t’éloigne pas de moi quand la détresse est proche, quand personne ne vient à mon secours! De nombreux taureaux sont autour de moi, des taureaux de Basan m’environnent. Ils ouvrent contre moi leur gueule, semblables au lion qui déchire et rugit. Je suis comme de l’eau qui s’écoule, et tous mes os se séparent. Mon cœur est comme de la cire, Il se fond dans mes entrailles. Ma force se dessèche comme l’argile, et ma langue s’attache à mon palais. Tu me réduis à la poussière de la mort. Car des chiens m’environnent, une bande de scélérats rôdent autour de moi. Ils ont percé mes mains et mes pieds. Je pourrais compter tous mes os. Eux, ils observent, ils me regardent; ils se partagent mes vêtements, ils tirent au sort ma tunique."

Autour le temps semble arrêté.

à suivre
 

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17 mars 2018 6 17 /03 /mars /2018 13:50

Beaucoup de personnes aujourd'hui encore disent ou pensent
que les animaux n'ont pas d'âme.
Mais la Bible dit que les animaux sont comme l'homme "une âme vivante".

Par ses yeux (fenêtre de l'âme !), le sentiment d'étonnement mêlé de crainte
de ce chaton ne vous apparait-il pas ?
...Mais les ressemblances n'excluent ni n'annulent les différences !...

Les animaux ne savent pas construire un langage.
L'être humain est distinct de tout le reste du règne vivant en ce qu'il est capable de créer des langages (des langues parlées, articulées et articulables, aussi des langages mathématiques, informatiques, symboliques, culturels…).

Bien plus que l'animal donc, l'être humain est capable de prouesses phénoménales, de découvertes et d'inventions merveilleuses… mais il est aussi capable des pires crasses, d'actes de cruauté sidérants, de manipulations psychologiques et (désormais) génétiques sur une échelle qui va des moins respectueuses de l'environnement et de la personne aux plus abjects.

ET DONC !?
No problem ! No questionnement ?
Non ! A cause de tout cela, il faut qu'en tant qu'être - digne de cet adjectif : humain, que nous sachions bien mieux qui nous sommes ?!
a) Créature de néants qui les unes les autres se télescopent, s'attirent et se repoussent aléatoirement depuis l'origine de la vie - celle-ci étant dans ce cas présumée apparue par hasard (rien que par des hasards !), sans intention ni finalité, ce qui fait que tout y est essentiellement absurde (vision existentialiste), dépourvu de sens, de cohérence, de surnaturel !? Est-ce votre vue des réalités ?...

b) ou bien nous sommes créature problématique, à l'image dérivée d'un esprit puissant qui a quelque chose de notre père, qu'on appelle Lucifer, Prométhée, le serpent ancien, Satan ou le diable !? Il est évident en ce sens que bien sûr le mal existe, et parfois en étant "plus fort que nous", proliférant plus facilement qu'on ne parvient à construire de bonnes relations durables. Ainsi, on n'a pas besoin d'apprendre à un enfant à mentir... mais il faut lui apprendre à dire la vérité.

c) ou encore sommes-nous créature d'un Dieu parfait, éternel, unique qui est en soi le Bien, le Beau, le Bon, qui nous dota, dans son image, de beaucoup de capacités et potentialités, dont aussi une liberté que ne possède aucune autre créature vivante de la terre !?
Espace spécifique de liberté, ici comprise comme accordée par un Créateur, si réelle que par elle on est chacun capable de sortir du bien (du beau, de l'aimable, de l'honorable, du juste, de la vérité, de la paix... plus facilement que d'y revenir), jusqu'à devenir la création d'un autre - du dit-diable, de Satan-Lucifer et encore de ses hordes d'anges déchus comme lui et devenus les démons.

¤

En vérité, on est bien chacun cumul de c) et de b), des êtres hybrides, des fruits génétiquement modifiés qui unissent si difficilement la Lumière et les ténèbres, le Sublime et l'horreur, la permanence et la corruption, des vérités et des mensonges mêlés et scellés... par une usurpation initiale (comme il est écrit ici).
De là la situation duelle malaisée à terrifiante dans laquelle on est tous aujourd'hui encore.

ILLUSTRATION
Dans cette image du mal résidant, en nous plus fort que faire le bien, on a pu entendre ces derniers temps l'histoire d'un septuagénaire qui réussit pendant très longtemps à abuser de dizaines de femmes qu'il hameçonnait sur internet (sous l'apparence d'un beau jeune homme), et qui finissait par copuler avec elles à partir d'un scénario trompeur suffisamment tentateur pour séduire celles qui croyaient qu'il suffit d'être libre de ses choix et de ses déplacements pour trouver son bon plaisir voire le bonheur.... Rien de nouveau sous le soleil ! Seulement les formes et forces des violences et des tromperies changent.
La Bible dit encore qu'on est chacun amorcé par sa propre convoitise, et que la convoitise étant consommée, elle produit la mort (au moins spirituelle, au pire physique).

ET DONC !?
Il faut choisir de savoir Qui on est, si on ne veut pas être la proie de ces esprits démonisés qui insécurisent nos pays et nos rues (et peuvent venir jusqu'en nous-mêmes), d'autant qu'on leur ouvre des portes pour entrer dans nos sphères personnelles ou collectives (de politique à conjugale) ! C'est la question capitale de notre première identité : De qui sommes-nous d'abord issus ?  Et encore Quelles sont les forces réellement en présence dans ce monde ?

COHÉRENCE DANS LE RÉEL
Déjà la physique nous répond : Ce qui est le plus puissant dans tout l'univers, ce ne sont pas les corps visibles (soleil, planètes, et autres étoiles), mais les forces invisibles qui tiennent et repoussent les corps (forces électromagnétiques, ondes de transport de données, forces quantiques...).
Quid chez nous avec la force de la pensée, et infiniment de Dieu, et des anges, compris les entités dénaturées rusées et méchantes.

Aux religieux de son temps qui se défendaient en disant qu'Abraham était leur père (ce qui était vrai sur le plan physique, génétique), Jésus répond : C'est pas vrai ! La vérité, c'est que votre père c'est le diable !
Jésus regarde au plan psycho-génétique, de leur âme (dont le corps physique est ,dans la normalité, le véhicule plus que le directeur), et il leur dit : Votre père c'est le diable, parce que vous obéissez à ses injonctions, vous vous soumettez à ses tentations. (lire ici)

Il est capital de savoir que nous existons entre la rive de l'éternité qui nous précède, et celle de l'éternité que le développement de notre conscience individualisée nous permet d'apercevoir (tout ne finissant pas avec nous), et dans laquelle à tout moment on peut entrer...

HUMAIN A PART ENTIÈRE OU PARTIELLEMENT ?
Si on ne s'arrête pas à ce genre de considération fondamentale pour en connaître la vérité, on aura été en quelque sorte comme un de ces milliards de spermatozoïdes produits et éjaculés pour rien dès lors qu'ils n'atteignent pas la cible unique prédisposée à la fois pour leur fin et pour leur métamorphose glorieuse : un ovule.
...La cible étant à notre niveau la sphère de Dieu lui-même, son Royaume éternel aux capacités et développements infinis... et plus encore…

Qui êtes-vous ? C'est à vous à le savoir - chacun pour notre part de conscientisation. Que voulez-vous devenir ?
Votre objectif et fin est-ce seulement de mourir à cette terre ?
Et si la réalité va bien au delà, et que vous ne le sachiez pas ?... Considérez tout le temps que vous passez à telle ou telle activité qui n'est pas vitale, et combien vous en avez passé à chercher la vérité sur Dieu, sur l'immortalité réelle ou potentielle de votre âme - c'est-à-dire de vous-même !

La vie, "on est vraiment rien sans elle" ! Des foules entendent tous les soirs depuis des années ce refrain du générique d'une série télé ! Mais qu'est-ce que ça veut dire !?...
Tout de surface, on se laisse ainsi bercer (ou secouer l'instant d'après par un nouveau thriller) avant d'aller se coucher abruti plus que lucide sur ce qu'on a fait de cette journée... Et ainsi, jour après jour, on se laisse endormir (et en même temps on n'arrive plus à trouver le sommeil !) par les idées et modes ambiantes d'un système qui vit sans Dieu - sans réaliser qu'"on est vraiment rien sans... LUI" ! Encore combien de temps ?
Jusqu'au dernier sommeil, où il ne restera plus qu'à découvrir avec effarement et en toute impuissance où nos choix et notre insouciance nous auront conduits.

Bonne quête ! Il en est maintenant encore temps : On ne sait jamais avec assurance de quoi tout à l'heure sera fait.
Or le jeu en vaut la chandelle, et ... *:) Heureux "un peu plus", ce que Dieu appelle l'éternité, une place dans son Royaume de vies sans fin, le véritable Paradis.
Sinon ce sera éternellement rien moins que tout le contraire du Bien...
Bénédictions de sa part. Il est vivant. Cherchez-le en vérité.

Prière-guide de réconciliation avec Dieu

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20 janvier 2018 6 20 /01 /janvier /2018 21:18

Attention ! Création imminente ! Invisible à nos yeux par l'échelle où cela se passe, et encore par le lieu où la chose arrive... Mais prodige un jour en vue !


Le mot mort sous-entend pour la plupart de nous la mort physique. Mais cela n'est qu'un des aspects de ce qu'est la mort en tant que concept : fin par séparation d'avec un état et/ou un environnement donné pour un autre. Lire aussi ici article sur Les 5 types de mort.

Cela dit car concernant notre réalité et univers, la mort, si elle n'est pas la vie, est indissociable d'elle. En ce que Dieu conçoit et crée des dynamiques actives et potentielles pour des évolutions à vivre par étape (ou paliers successifs), dont chaque fois une certaine mort constitue le passage.
C'est cette dynamique qu'on trouve dans beaucoup de jeux vidéo où on progresse dans un monde en perdant ou en gagnant jusqu'à en atteindre un autre…
A combien plus forte raison ce processus est ou devrait être enthousiasmant pour nous s'agissant rien moins que de notre existence personnelle en 3D réelles !

On va donc approcher la question et la connaissance de la vie comme on a abordé celle de la mort, en réalisant que la Vie en tant que concept, si on dit le plus souvent au singulier, est elle aussi une réalité plurielle, comme je vais le développer ici, pour que nous saisissions mieux comment être inséré dans un projet immense à notre sujet dans une conjonction de la volonté bonne, agréable et parfaite de Dieu et de notre foi.

VUES PREMIÈRES DE NOTRE PROPRE VIE

B*- Commencement ou état 1 : VIE FŒTALE

Tout commence là par la fusion de deux gamètes, quand un ovule (latin ovum, oeuf) est pénétré par un spermato (semence, graine). Une création ou créature à la fois ancienne dans sa genèse et toute nouvelle dans cette apparition qui se forme, avec son ADN et son identité propres dès ce point et instant de départ.
On parle de notre conception, de la grossesse d'une femme, d'un œuf fécondé ou embryon qui se met à se développer par des multiplications et différenciations cellulaires... époustouflantes !
Rien que là, ne pas voir l'indispensable nécessité d'une intelligence créatrice à l'origine de ce schéma créateur, c'est être à la fois sans curiosité et d'une crédulité grave si on croit à la théorie (en)fumeuse évolutionniste. Après avoir pris des distances par rapport à la religion (dont certes les formes traditionnelles sont parfois aux antipodes de l’Évangile et de la vie spirituelle), on ferait bien aujourd'hui d'être suspicieux du côté de la pseudo-science évolutionniste car on est d'autant plus au risque d'un endoctrinement dangereux (pour l'avenir éternel de notre âme) qu'il arrive d'un côté où on ne l'imagine pas…
Ainsi, la gestation qui fut la nôtre tient d'un principe-moteur pluriel spécifique au vivant, qui œuvre par des intelligences incluses juxtaposées, imbriquées ou croisées - qu'on voit aujourd'hui beaucoup plus qu'au XVIIIe et XIXe siècle où on ne connaissait rien de la cellule vivante. De la sorte nous avons été tissés à l'abri des regards dans le sein d'une mère (dans un utérus, quand ce n'est pas dans une éprouvette).
- Oui, on le sait, peut-on répondre sans être plus impressionné par rien !
Et c'est bien dommage quand le savoir n'est pas aussi révélation de merveilles ou du surnaturel de quoi on parle en réalité.
Toujours est-il qu'en 8 à 9 mois d'un travail incessant des plus phénoménaux, on est chacun passé d'un condensé extrême de technologies de vie impressionnantes avec succès !... puisqu'on est arrivé à ce point où j'écris et vous lisez.
Sur la fin le circuit de la circulation sanguine a étonnamment été modifié pour que les poumons jusque-là inactifs soient branchés en vue d'une toute nouvelle façon de vivre, pour l'entrée de ce corps dans l'étape suivante du projet qui fut à son origine...

Un jour donc (ou une nuit), on est "venu au monde". On est sorti d'un antre nourricier et protecteur chaud et noir pour se pointer, sous le regard de prédécesseurs gigantesques, attentifs et normalement bienveillants, sous les rayons du soleil et des flux d'électricité. Acte deux !

C - Commencement ou état 2 : EXISTENCE ou VIE VERS TOUJOURS PLUS DE CONSCIENCE

Nous voilà parvenu-e dans une vie comme sans rapport avec la première, pour une existence aux capacités infiniment plus larges que les précédentes - cependant déjà incluses dès et dans les gamètes -, avec de nouvelles potentialités plus extraordinaires à laisser et à aider à se déployer.

Qu'est-ce qui est la raison fondamentale, fondatrice, que nous soyons là ? Comment le définiriez-vous vous-même ? Ce qui est le plus important de notre présence, de nos acquis, de nos expériences et divers développements ?...

la suite ici...

__________
* On verra plus loin le A primordial...

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11 janvier 2018 4 11 /01 /janvier /2018 10:51

...comme encore le départ (de l'âme) de France Gall ou de Françoise Dorin vient nous le redire...

Peu importe si on ne connaît pas Tennessee William pour savoir ce que chante vraiment Johnny Hallyday ? Peu importe si on écoute ou fredonne toute la journée tant de chansons anglophones dont on ne comprend rien aux paroles !? Et donc sans avoir non plus la moindre idée de à quoi on peut s'unir de bon, ou de néfaste de cette manière !

Car les musiques comme les paroles ne sont pas neutres : cela se fait par "inspiration", et qu'est-ce qu'une inspiration ? D'où cela vient-il !?... Pourquoi la drogue est liée à certaines musiques ? pourquoi la paix ou la joie à d'autres ?...

Mais si on ne peut pas (avoir le temps ou l'intérêt pour) connaître tout ce qui caractérise au fond chacun d'entre nous, ce peut être une vraie bonne recherche que de savoir ce qui caractérise fondamentalement nos tout premiers ancêtres ! puisque les lois de la génétique et psychogénétique nous obligent à leur ressembler : C'est une démarche qui tient de la science comme de la foi - les deux faisant très bon ménage si chacune n'empiète pas à tort dans le domaine de l'autre.

Ainsi au lieu de partir d'une prétendue transition ininterrompue qui va de la vie de l'amibe au tarsier, peut-être en passant par le poisson, puis en évoluant en simien (singe) et jusqu'à nous, partons du fait - plus rationnel et raisonnable - qu'il y a un vrai premier homme et une vraie première femme à notre origine.
Car que ce soit Tennessee, la Charlie's band, Jojo, Jean, France ou encore Jacquot, les chinois et moi et moi et toi, on a tous en nous quelque chose du premier Adam ! Quelque chose de problématique, de taré, de déréglé, de sombre, d'asocial, de tordu*, d'insuffisant, d'anti-heureux... au point où même on est tous mortels (pour ne pas perpétuer sans fin le mal et des maux)

Alors avançons ainsi dans la connaissance brute de décoffrage de soi (et des autres), si du moins comme disait Sempé nous ne voulons pas mourir idiot, et parce qu'il s'agit à partir de là de pouvoir bien mieux se respecter et s'aimer (dans le sens christique du verbe).

PARTIR DU BON ENDROIT
Pour cela à la base, il nous faut donc faire ce choix plutôt drastique, entre
- croire que nous sommes des humains venus du Hasard et de ses satellites Nécessités ; puis qu'on a transmigré jusqu'à la planète des grands singes, pour finir (présentement) dans la sphère des réflexions et élucubrations intellectuelles, et des émotions et sensations à la fois magnifiques et difficilement gérables...

- ou croire que nous venons d'un Dieu créateur supérieurement intelligent et sage, qui a pensé, conçu, formé et doublement vivifié de son souffle cette créature bipède, pensante et susceptible de créer des langages et des applications technologiques, dont nous sommes encore vous et moi des spécimens.**

Dans les deux cas la réalité est qu'on est tous marqués par une ou plusieurs difficultés existentielles, des difficultés qui ne cessent de nous tomber dessus, ce qui donne un mal-être qui se double d'un relatif mal-vivre prégnant, étant tout à la fois mal au point et mal en point.

La seconde manière de voir fait logiquement corps avec ce qu'est notre quotidien, qu'on peut alors mieux expliquer pour mieux le gérer, comme ayant tous en nous quelque chose comme les traces profondes d'un impact traumatique, des pensées puissantes mais peu cohérentes et qui dominent notre besoin de réflexions, des regards troubles et jusqu'à obliques-révolver, soumis de plus à des tentations venant du dehors qui sont de l'ordre... d'attouchements démoniaques !
Ignorer cette dimension du Réel, c'est en être des proies faciles ; au contraire le sachant, on peut se mettre en position de résister et de lutter. "Résister" grava dans la pierre de son cachot Marie Durand, bien avant que ne le chante France Gall.
Mais comment ?

DÉCALÉS EN DÉCALAGE
C'est ainsi fait, qu'on a la liberté de croire au faux comme au vrai, au plagiat des vérités ou à leur contraire tout comme adhérer aux vérités elles-mêmes. Liberté de choisir donc une base primordiale, un socle de connaissances justes ou controuvées, d'où appréhender le Réel (présent et éternel) et s'y insérer au mieux, ou de la pire manière.
Et cela avec 30 ou 85 % de conscience,  ou dans une méconnaissance qui tient de celle de l'animal.
Une base, une assise, sur laquelle mieux on sera dans ou près des vérités essentielles en soi, surtout de soi et de Dieu, mieux on se portera et pourra (se) bâtir dessus, dedans et autour...

Quand on croit en évolutionniste peu soucieux des vérités, c'est-à-dire sans soucis de vérifier les dogmes de sa croyance, on a naturellement tendance à être le centre - intéressé et se voulant intéressant - de son monde. Tendance à vouloir s'approprier des biens (inertes, virtuels ou vivants) et au mieux à viser des progrès sociaux, moyens privilégiés pense-t-on alors, pour s'affranchir par nos capacités (pas toujours) propres de ce qu'il y a ou il y aurait d'animal associable dans notre condition (reconnue aliénée).

Et comme on n'y arrive pas - après encore que la faute de nos difficultés existentielles ait été mise sur le compte de la religion, c'est aujourd'hui la faute à la culture, au colonialisme d'hier, au manque présent de cœur et de moralité - des autres -, aux hommes plus qu'aux femmes, aux rigueurs même des apprentissages scolaires... bref, une évolution et croyance qui - heureusement - va finir par s'auto-détruire tant elle se tape dessus sans vouloir jamais se remettre en cause là où il faudrait. Ce que la Bible dit simplement ainsi :
"Pourquoi l'homme vivant se plaindrait-il ? Que chacun se plaigne de ses propres péchés."

Alors on a beau se barder d'idéologies ou s'enrubanner de beaux mots (positivisme, progressisme, socialisme, communisme, humanisme), ce n'est pas encore que nous sommes prêts d'arrêter nos enlisements. Pire, dans les sables mouvants que sont les erreurs, les demi-vérités, l'ignorance et les mensonges, plus on bouge plus on s'enfonce.

On est donc devenus capables de découvrir des lois de l'univers, des postulats, axiomes et modes de calcul très complexes, des moyens d'assemblages, de séparations et de transformations des élémentaires, au point d'en tirer des applications plus qu'il nous en faut. Mais, MAIS aussi, dans le même temps, en parallèle, on ne sait toujours pas mieux vivre les uns avec les autres ! Et bien sûr avec soi-même !
On est toujours pris - et plus que jamais -, en tant que personne, dans des compressions intérieures et des contraintes extérieures à faire "péter les plombs", disjoncter, de plus en plus de monde. Sur cette pente des progrès et libérations recherchés sans Dieu, les attentats d'aujourd'hui risquent de n'être que des signaux d'alarme sporadiques et spasmodiques du grand chaos qu'on est en train de mettre en place en croyant bien faire...

Parce que chacun, au fond, adamiquement, on est ainsi fait que le mal a plus d'emprise sur nous que le bien véritable.
Quand Albert Einstein découvre la loi de l'énergie (E = mc²), on va pouvoir entrer dans l'ère fantastique de la manipulation des atomes ! Sauf que la première principale application qu'on développe, avant les centrales nucléaires, c'est des bombes atomiques, et c'est Hiroshima et Nagasaki !.. (D'ailleurs les centrales nucléaires ne sont pas forcément non plus une bonne application ou la meilleure de la fission nucléaire puisque (si j'ai bien compris) on ne rend utilisable pour faire de l'électricité que la chaleur résiduelle des réactions atomiques, c'est-à-dire une infime partie de la puissance engagée et dégageable).

D'une façon générale, les recherches et applications des technologies les plus pointues sont premièrement militaires ! Il peut bien sûr en sortir des bienfaits - comme les ordinateurs et autre internet et mobiles*** - mais il en sort d'abord des moyens de surveillance, d'espionnage, de contrôle des personnes, et des armes, de plus en plus lourdes en pouvoir de destruction, et très coûteuses ! Pourquoi ?

Parce que notre existant d'adam accidenté est décalé (vers le rouge sang) de notre origine bénie, et se poursuit en décalages divers, dont celui entre nos capacités d'avancées de productions matérielles - développées même jusqu'à Mars mazette ! - et nos incapacités à nous changer nous-mêmes - bof ! -, ce qui fait qu'on patauge, on stagne ou on s'affole, on grimpe comme Icare, et dans tous les cas on s'enfonce toujours un peu plus dans des complications et difficultés, dans ce qui reste toujours s'appeler... le péché (tout ce qui est mal évident ou bien présumé mais pas sécurisé dont tel effet néfaste fini par venir à la fois dramatiquement mais heureusement au grand jour : vache folle, prothèse mammaire, pollutions de l'air à l'assiette, lait contaminé... ).

Parce que l'expansion de conscience et de volonté vers le bien non seulement présumé mais véritable, ne suit pas !  "Seule la bénédiction de l'Eternel n'est suivie d'aucun effet secondaire néfaste."
Et plus on veut sophistiquer cette civilisation post-chrétienne - c'est-à-dire en croyant présomptueusement qu'on peut bien  mieux faire sans Dieu qu'avec lui - le véritable -, plus on fait s'approcher les puissances du faux-dieu de ce monde (Satan). Parce qu'on se trompe sur ce qu'est et vaut vraiment ; sur ce dont on est réellement, pratiquement et utilement capables ; et sur les tenants et aboutissants de ce monde et de nos existences individuelles. On cherche**** à se créer une éternisation, on croit et on investit beaucoup pour se donner une immortalité informatique, sans même entendre ou croire que depuis deux mille ans Jésus nous offre, au seul prix de la reconnaissance et de l'abandon de nos fautes et de la foi en lui, une vraie vie éternelle.

à suivre... et bonne suite pour vous...
______________
* ... que Brassens par exemple interprète ainsi dans une de ses chansons : "Sitôt qu'on est plus de quatre, on est une bande de cons." ...Avec le bémol qu'on peut aussi former de belles équipes à plusieurs, non !?...

** Un peu de réflexions honnêtes à partir d''observations un peu poussées des réalités matérielles visibles et invisibles, des agencements fixes et des ordres en mouvements et interactions, des 4 lois élémentaires et des 23 réglages hyper-pointus qui tiennent tout en des équilibres inouïs… suffisent pour arriver à la conclusion qui ouvre la porte à la foi en des réalités, vérités et causalités (re)liant le physique et la métaphysique (âme et esprits), dont font partie Dieu et ce qui concerne notre vie et santés en relation avec lui.

*** Et par internet et autres portables, on n'a pas non plus créé que des plages de rencontres paradisiaques, exemptes de toutes séductions trompeuses, arnaques et virus, possibilités de manipulations, de trafics et autres indiscrétions visant, via psychologie mal employée et algorithmes fouineurs, à l'exploitation la plus subtile de son prochain.

**** on cherche sur la base fausse que le cerveau (physique, physiologique) c'est l'âme (dont la nature est autre, psychique) ! C'est elle qui transmet la vie au corps et au cerveau - "simple" interface entre le vivant qu'elle est et l'inerte en soi...

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7 janvier 2018 7 07 /01 /janvier /2018 10:13

Psychologie : Il ne suffit pas de faire un nœud au canon d'un colt
pour qu'on ne vise plus à faire (le) mal...

Comme cela se chante avec une étrange nostalgie dans le ton, on aurait "tous en nous quelque chose de Tennessee" !? Ou bien par un autre côté, il faudrait tous qu'on soit Charlie pour un "vivre-ensemble-français-heureux" !?
Arrêtons la poésie à deux euros comme le compassionnel à deux balles qu'on se tire dans le pied !

N'y a-t-il pas assez de morts dramatiques au quotidien, d'accidents, d'accrocs, d'abus, de pressions (fiscale comprise), de non-respect des autorités et des proches… pour se réveiller - et se tenir éveillés - malgré les berceuses médiatiques et l'essoufflement dans lequel aussi les technologies - le progrès ou le progressisme !? - nous entraînent ?

Dans le remake américain du film de Godard "A bout de souffle", c'est son identification à un héros de B.D. qui donne au personnage principal de devenir un flambeur... Et surtout pour des spectateurs, il "risque" de devenir un modèle, alors même qu'il ne s'agit en regard du Réel que de l'existence d'un minus, voire d'un minable !*
Mais "rien de nouveau sous le soleil", déjà longtemps avant ces années-là, il y avait eu Bonnie and Clyde…

Toujours est-il que nous sommes sans cesse entraînés, en 3D perso ou par procuration, par un puissant esprit de séduction - qui régit ce monde -, qui montre divers aspects du mal comme des prouesses ou de la bravoure, l'irrespect des conventions comme admirable et comme étant la liberté, jusqu'à susciter des envies malsaines, des luttes fratricides, des identifications problématiques, offrant les pires matériaux pour que se construisent en toute inconscience chez des jeunes (et moins jeunes) des caractères rudes, écervelés, voire démonisés, des personnalités marginales, voire dramatiquement imaginaires, ayant de moins en moins de rapports avec les réalités bonnes et mauvaises telles qu'elles sont selon Dieu, selon ce que Jésus est venu nous montrer et dire.

Alors certes nos existences ne sont pas ce qu'on voudrait ! On a des aspirations, des envies ou des prétentions qui dépassent ce que notre environnement (naturel ou culturel) offre ou permet en toute légalité. Mais là, il faut réaliser que si nous sommes contraints bien souvent de manière injuste, ce qu'on voudrait nous-même est aussi bien souvent injuste, inapproprié, voire disproportionné. Et cette tension entre l'individuel et le collectif ne peut que croître en rapport de l'illusion dans laquelle nous baignons et que nous nourrissons.

Il en résulte qu'on parle de démocratie (pouvoir par l'unité des peuples), alors que se développe au contraire une montée généralisée des egos, des opinions (subjectives) prises pour des vérités (objectives), plus propices aux révoltes qu'à la paix (sociale et personnelle)

PIÈTRE ÉTAT DES RICHES COMME DES PAUVRES
Ce qui veut dire que la quête du bonheur telle que nous la menons est une chimère ! Il n'est que voir l'état déplorable dans lequel se trouve rapidement ceux qui obtiennent de la gloire et/ou de l'argent à ne plus savoir qu'en faire ! Beuveries, éclats caractériels, mal-être, saouleries, orgies, drogues, dépression ou maladie, médicaments, et souvent mort précoce…
"Que sert-il à un être humain de gagner le monde, s'il perd son âme !?" La question de Jésus demeure.

C'est en ce sens encore que J.B. Shaw dit qu'il y a "deux tragédies pour l'homme en ce monde : être riche et ne pas être riche". C'est-à-dire que nous sommes tous, indistinctement, dans le tragique. Et donc avant de se prendre pour des poussières d'étoiles - poésie séductrice maléfique -, réalisons qu'on est basiquement un corps formé de poussières... de la terre ! Et que par la réalité qu'est notre condition adamique déchue, nous y retournons plus sûrement qu'on ne devient une étoile.
En tout cas, il en est ainsi de notre dimension charnelle, après seulement quelques décennies. Or, qu'est-ce que même 100 ans face à l'éternité ?
Et encore qu'est-ce que le corps, si ce n'est qu'un support, un moyen, un véhicule, biodégradable et recyclable***, dont nous - en tant que moi-je psychique** ou ego -, sommes la part consciente la plus essentielle ?
Or, le cinéma et autres romans même à connotation psychologique, ne traite que très très peu de l'âme en la considérant tout autre que le corps, et surtout de ce qu'est son devenir éternel ! On est poussés à rechercher à se délecter d'effets spéciaux, d'actions furieuses, plus que du sens holistique (générique) qui constitue notre raison d'être ici…

Alors oui, réveillons encore, réveillons nous de l'illusion séductrice et/ou de la torpeur qui s'appesantissent sur notre monde (civilisations) finissant et sur nos âmes qui ne savent pas ce que sera leur demeure d'outre-tombe ! Sommes-nous là pour nous extasier ou attendre seulement les scènes filmées les plus explosives ou dénudées, les suites de sagas réelles ou controuvées, les derniers tubes, les concerts où se rendre ou les reprises nostalgiques !
Ne laissons pas le cinéma ou tout autre écran faire écran, nous faire leur cinéma, faisant de nous la proie d'une immense illusion collective qui ne fait qu'une autoroute monumentale à une gouvernance mondiale… qui ne pourra être que menée (au plus haut) par des démons, et jusque par Satan lui-même. Ce qui veut dire impérialisme globalisant, dictature, totalitarisme désidentifiant, comme il n'y en a jamais eu sur terre. Ne nous laissons pas jouer du violon pendant que tout brûle, s'enlise ou se délite autour de nous, et de plus en plus jusqu'en nous. Pourquoi ?

Nous, vous, avez de grands intérêts (à commencer) à voir que le dieu de ce monde n'est pas "le Bon Dieu" ! Bon sous-tendant qu'il y a aussi un Mauvais, un Méchant dieu ! Celui qui s'est acquis le droit de dominer tout le genre humain, célébrités et riches ultra-milliardaires comme les autres.
Cet ennemi de Dieu et de chacun de nous est appelé Satan par Jésus... qui parle aussi ouvertement de la réalité des démons, des esprits maléfiques. Ceux qui séduisent et trompent par exemple les religieux jusqu'à les pousser à faire crucifier le fils unique de Dieu, ou à organiser des inquisitions, ou à perpétrer des attentats.
Et puis ceux qui sévissent et font souffrir les méchants mais aussi ceux qui veulent faire le bien : Pourquoi Daniel Balavoine meurt jeune dans un accident d'hélicoptère alors qu'il amène des pompes pour aider des africains déshérités ? Pourquoi Coluche meurt accidentellement alors qu'il crée Les restos du cœur ? Pourquoi Thierry Le Luron meurt à 34 ans ?
Pourquoi les morts non-naturelles d'Elvis Presley ou Mickaël Jackson, Jean-Luc Delarue ou Johnny Hallyday, Patrick Dewaert ou Jo Dassin et combien d'autres en rien que quelques décennies ?...
Pourquoi la mort tout court ?

Il faut connaître les réponses à ces questions qui ne sont mystères que pour ceux qui ne veulent pas savoir ! Et pourquoi ne voulons-nous pas savoir ce qui nous concerne au premier chef… et pour l'éternité ?
Quel sera le sort de mon âme si je ne fais rien pour savoir ? Suis-je si primaire que je ne cherche qu'à tirer quelques bons moments ici ou là d'une existence foncièrement problématique, et dont rien ne dit que ma conscience va s'arrêter avec la mort physique ? Oui c'est ainsi que j'ai été moi aussi, car on est tous et toujours largement à côté de ce qui fait l'essentiel de TOUT le Réel, déjà par naissance adamique?

De nombreux témoins sont désormais visibles ou audibles sur le net**** ayant vécu des expériences dites de "mort imminente" (en abrégé EMI ou NDE), qui racontent ce qu'ils ont vu et entendu, certains dans ce qu'on appelle le Paradis (ou Royaume de Dieu), d'autres dans un lieu de tourments des plus abominables…
Et pour revenir au cinéma - car bien sûr il n'est pas question de condamner le cinéma (la littérature ou la musique…) comme mauvais en soi -, vous pouvez aussi voir le film "Et si le Ciel existait", qui relate l'histoire - vraie - d'un petit garçon transporté au Ciel et qui en rapporte ingénument des connaissances plus que troublantes.
Cela pour dire encore une fois - car c'est aussi mon histoire -, que si le Dieu véritable (incréé, éternel et bon) existe, en exil de nos existences chaotiques (c'est-à-dire de manière naturellement voilée), il reste cependant un Dieu connaissable et qui veut que nous le connaissions.
Que reste-t-il donc entre ce fait et ce que nous sommes ?

Un espace qui est comme un voile, un mur ou un abîme, qui est encore temporairement franchissable, par une porte - selon que Jésus a dit en être le point de passage et qu'il en a frayé le chemin en laissant ses mains et des pieds être cloués sur un instrument de supplice.
Cet espace qui nous sépare et coupe de Dieu et d'une vision éclairée du Réel, est fait de notre liberté de faire des choix et de prendre des décisions nous concernant, d'ignorances ou de méconnaissances existentielles et essentielles, et encore de non-expériences sensibles, aux plans physique (de guérison divine, miraculeuse), psychique (de révélation, vision, expansion de conscience, connaissance biblique), ou encore spirituel (naissance et croissance en relation avec l'Esprit-Saint*****).

Alors bien sûr que le monde que nous expérimentons existait, bien que nous ne pouvions pas le voir et le croire tant que nous n'étions qu'embryon, fœtus, enfant à naître ! Avec la face cachée du Divin, c'est tout simplement la même chose ! C'est pourquoi Jésus dit à un maître religieux de son temps : Il faut naître de nouveau, naître spirituellement, pour entrer en contact avec ce qui est de Dieu…

à suivre...
En attendant, cherchez... et soyez béni-e.

__________
* Dans cette version (Breathless), on perçoit bien les moments où le "héros" bascule de son insouciance et superficialité naturelles dans des comportements conduits non plus par lui-même, mais par un démon.

** Psychique : du mot grec psuché, qui désigne l'âme

*** Le corps physique (ou plus précisément physiologique) est recyclable en ce que Dieu, dans tous les cas, le ressuscitera, soit lors d'une première résurrection introduisant pleinement les véritables croyants dans la réalité d'un Royaume éternel de Dieu (Paradis), soit lors de la seconde et dernière résurrection pour l'ultime jugement (Apocalypse 19.).

**** Aussi parce que Jésus a dit qu'il n'y a rien de caché qui ne viendra un jour ou l'autre à la lumière. Il a aussi dit à Thomas qui ne voulait pas croire sans voir - et pour qui Jésus est quand même revenu pour se montrer percé et ressuscité : "Heureux ceux qui croient sans voir". Ce qui veut dire que tous, de toute façon, nous verrons clairement ce qu'il en est de Dieu et des jugements, mais qu'il est bien préférable d'avoir, de désirer, de développer dès maintenant une foi vivante, qui connaît Dieu de manière spirituelle - par l'Esprit -, plutôt que d'avoir une simple croyance religieuse de tradition - seulement au plan de l'âme, alors qu'on est encore mort spirituellement.

***** L'Esprit de Dieu est appelé Esprit-Saint ou Saint-Esprit, car il est d'une part le seul qui soit saint (pur, éternel, infini et parfait en tout), et d'autre part pour le distinguer de multitudes d'autres esprits que sont notamment les anges déchus, (désormais démons dont Satan est le leader), sortis de la sainteté originelle qui était leur partage.

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2 janvier 2018 2 02 /01 /janvier /2018 20:59

Fin d'année : Réveillon - Nouvelle année : Réveillons-nous !

Quand on ne sait pas que Dieu existe, on fait librement beaucoup de choses honteuses…Les fêtes (officielles ou qu'on s'accorde) en sont souvent l'occasion (ou une occasion de plus), surtout l'alcool et son pouvoir désinhibant aidant.

Et puis vient-on à réaliser que Dieu existe, on est comme sortant d'un étrange rêve, si vrai qu'on l'avait pris pour toute la réalité ! Et tout à coup on peut avoir honte, ou très honte, sans savoir comment réparer, couvrir, effacer ce qu'on a laissé derrière soi ! On a pu se dévêtir de manière impudique devant des convives, des enfants ! Ou raconté quelques-unes de ces histoires graveleuses qui n'attendent que ce genre d'occasions arrosées pour sortir de leur boîte…
On a pu être un-peu-beaucoup trop lourd (entreprenant, voire sexuellement pressant) auprès de la compagne d'un ami ou d'un cousin, voire céder à une aventure adultère (dont l'effet peut aller jusqu'à la conception d'un enfant ! ...).
Bien sûr encore dans cet hémisphère, manger jusqu'à trop-plein et peut-être courir vomir dans les toilettes (quand on a le temps d'y arriver)… Sans oublier la vieille querelle familiale qui resurgit à partir d'une parole de trop ! Ou encore un regard concupiscent qui provoque une vraie jalousie !
...Et vous pouvez ajouter ce que vous avez vu ou vécu perso dans ce registre de vérités de ce qu'on est tout au fond, de ce qu'on est parfois (quand la conscience est grisée) et qu'on ne peut pas toujours cacher !... Et les femmes ne sont pas forcément en reste - d'autant qu'on les veut ou qu'elles se veulent égales aux mâles dans tous les domaines…

Alors bon départ dans les starting-blocks cette première semaine de 2018 !? Pas toujours évident, malgré les "vœux les plus sincères" et la bonne volonté qu'on voulait manifester ! Certes la gueule de mélèze ou la crise de foie est peut-être déjà passée, mais êtes-vous surtout sorti-e de la crise de foi !?
Heureusement, pour réparer nos bavures, pour remédier à nos manquements coupables, pour remettre les compteurs à zéro - et pas seulement des écarts ou excès, voire de l'impiété de la fin d'année -, oui heureusement il y a un Dieu vivant !
Un Dieu qui sait tout - forcément ! -, mais surtout qui est toujours disposé et capable de pardonner quiconque d'entre nous se repent, celui ou celle qui admet amèrement sa ou ses fautes, et veut désormais vivre tout autrement sa vie - et ses fêtes. Oui, dans son amour, ce Dieu qui sait de quoi nous sommes faits, peut venir au secours de toutes nos faiblesses, comme aussi des méfaits causés par nos forces malignes.

Alors pour commencer cette nouvelle année de la meilleure façon possible, si vous pouvez avoir honte un moment de ce qui s'est passé d'inavoué, de peu glorieux, lors de ces fêtes ou encore au cours de l'année écoulée, c'est déjà une très bonne chose !
Il suffit ensuite à demander pardon à Dieu de tout son cœur, et de vouloir, avec sa force à lui mise en nous, mener la suite de votre existence autrement vis-à-vis de ce qui est mal - aux yeux de votre propre conscience et de Dieu lui-même, de sa justice et de l'amour pur dont il voudrait que nous nous aimions. On peut se demander : Quelle image de Dieu ai-je donnée, ai-je laissée, autour de moi ?...

Pour que Dieu puisse vous pardonner et que cela devienne franchement bénéfique pour vous, il peut aussi falloir considérer comment vous êtes en ce moment même, par rapport à toutes les personnes que vous connaissez : Y en a-t-il une ou plus à qui vous en voulez ? A qui vous ne pardonnez pas pour ce qu'elle vous a fait (ou pas fait) ?...

Il faut comprendre là que Dieu pardonne nos offenses (nos fautes, nos manquements, tous nos péchés), si nous-même pardonnons à qui nous a fait du mal. Et s'il arrive que c'est devenu pour nous comme une impossibilité de pouvoir pardonner, la grâce de Dieu envers nous est encore qu'il peut libérer notre cœur si nous voulons, malgré cette impossibilité, pardonner.
Car si nous voulons entrer dans la dimension du pardon, nous n'avons pas toujours le pouvoir de le faire. Mais Dieu peut venir ici aussi à notre secours. C'est important car le pardon est une puissance qui libère, en premier celui qui pardonne…
"Demandez, et vous recevrez", dit Jésus dont les paroles ne passent pas. Que ce soit le pardon de vos fautes, ou la force pour pardonner. Sans passer par ses "cases départ", il va être bien difficile en 2018 encore, de connaître le meilleur, d'éviter ou de surmonter les écueils qui ne manqueront pas de survenir jusqu'à nous rendre peut-être l'existence exécrable.

Dieu a le meilleur pour chacun et chacune, adulte ou enfant : Il est amour, et le sacrifice de Jésus* a été le moyen par lequel nous pouvons être rendus juste, sans péché, devant sa face. Croyez-le, bénéficiez-en, et faite-le savoir à ceux que vous aimez.
Prier, c'est seulement parler à Dieu. Venez à lui tel/le que vous êtes, et vous ne le resterez pas définitivement dans des choses maléfiques et/ou honteuses qui font obstacles à votre paix personnelle et relation vivante avec le Dieu que Jésus est venu mettre à notre portée de cœur...

Commencer l'année par une bonne demande orientée vers le Ciel, c'est mieux que la commencer par des souhaits ou bonnes intentions dans lesquelles vous ne tiendrez pas ! Avec pour objectif de dire un jour comme l'apôtre : "Mon désir ardent et mon espérance sont que je n'aurai (plus) honte de rien..."
Pour vous guider dans une prière de paix avec Dieu.

Soyez encouragé-e dans la foi et béni-e de manière miraculeuse.

Libre  - Il est là

___________
* Quelle nouvelle !...

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2 janvier 2018 2 02 /01 /janvier /2018 09:46
 

suite de ici

Que de paroles, d'injustices (dont l'infidélité, les mensonges), de comportements qui sabordent un couple pourtant initialement uni, parfois avec des enfants, et tout qui peut s'enchaîner : perte d'emploi ou faillite d'une entreprise (démotivation, déprime), plus de logement... !
Drame avec quelqu'un qu'on voudrait aimer, mais qui le rend impossible par ce qu'il ou elle est, ou parce que faisant sans cesse ce qui est trop injuste. Ou encore à l'inverse, quelqu'un qui a voulu nous aimer mais a dû abandonner à cause de notre fichu caractère ou de telle lubie dont on ne veut ou peut se départir !...

Alors, est-ce qu'on va continuer encore et encore, sans intelligence, sans vraie réflexion, sans chercher la bonne solution... ou en la refusant encore si on en a déjà entendu parler ?

Il s'agit que nous devenions des êtres libres ! Pas comme les idoles construites pour nous faire rêver de travers et tomber comme elles tombent ! Elles ne sont pas libres, mais plutôt forçats oui (d'emploi du temps, trop vide ou trop bien rempli, qu'ils ne maîtrisent pas, de la facilité d'accès aux sexes, et à l'alcool ou à la drogue, de médicaments...).
Mais voilà ! Pour devenir libre et apaisé le mieux possible, sont nécessaires une connaissance minimale de Dieu, de ses pouvoirs et des rapports mutuels qui peuvent s'établir entre lui et nous. Il faut savoir en quoi Jésus s'est fait, en pleine conscience, "forçat de l'amour" de Dieu !
En quoi il a choisi comme personne de "mourir d'amour enchaîné" !

JÉSUS, FORÇAT DE L'AMOUR, ESCLAVE DE LA JUSTICE.
Avez-vous déjà vu la vie et la mort de Jésus de cette manière-là ? Rien n'est plus juste, et rien n'est plus haut en matière d'amour et de don de soi.
Bien sûr qu'on ne parle pas là d'amour en tant que jouissance (physique ou même psychique) qu'on cherche à se donner, qu'on prend, voire qu'on vole, qu'on arrache, pour soi-même ! S'agissant de l'amour altruiste qui est le propre de la nature de Dieu, je parle là maintenant de l'amour manifesté par Dieu et par Jésus en notre faveur, à notre avantage.

Cela s'est passé quand l'humanité est parvenue à un stade de non-retour, il y a 2 000 ans. L'empire romain s'était alors déjà étendu au point où plus rien sur la terre ne pouvait et ne pourrait l'empêcher de devenir au fil du temps le premier gouvernement mondial !
Les israélites (juifs) en tant que peuple unique mis à part par Dieu pour contrer les puissances démoniaques et Satan, étaient tombés sous cette botte romaine à cause de leurs fautes non pardonnées (injustices, idolâtrie, désobéissances...).
Derrière cet empire et les césars qui vont se succéder, Satan et ses légions d'anges déchus. Leur finalité : parvenir à un contrôle sans fin (éternel si l'humanité se perpétue éternellement) de tout le genre humain. Souveraineté que Dieu devra leur consentir si effectivement un jour plus aucun humain ne se soucie plus du Dieu véritable et de ses paroles, directives, conseils...
On est là comme au temps de Noé, où l'humanité qui s'était corrompue avec les démons (appelés aussi fils de Dieu) est condamnée, qui ne sera sauvée que par le concours de Noé et sa famille, en tout huit personnes.

Il y a 2 000 ans donc, à l'exception d'une poignée de personnes sans force... que leur foi, tous se sont soumis à des faux-dieux - César s'est imposé comme Dieu sur terre -  ; à d'autres idoles de bois, de pierre ou de fer ; à des trafics où la valeur de l'argent l'emporte sur l'équité et le respect des personnes. Les responsables de la religion donnée aux israélites sur le mont Sinaï sont des orgueilleux et des fourbes privés de discernement spirituel, dont "le père est le diable", leur dira Jésus.

La Bible nous révèle qu'à cette heure, il y a par toute la terre, fidèles à Dieu, capables de l'entendre parler et d'obéir à sa voix, au moins quatre personnes ! Un vieil homme nommé Siméon, une très vieille veuve nommée Anne, une jeune fille nommée Marie, et son fiancé qui va suivre le mouvement : Joseph. Un mince cordon tressé de vies attachées par la foi à Dieu, dont il sait bien qu'il ne peut rien attendre de durable. Sauf, sauf à lui permettre de jouer une carte unique, son ultime carte, son va-tout, qui consiste à s'incarner lui-même dans un corps pleinement humain !


Ainsi paraît Jésus, qui grandit jusqu'à pouvoir affronter dans un désert, et ne pas succomber à Satan, le diable en personne, alors qu'il a 30 ans.
A partir de là, il peut déployer sa force divine auprès de ses désormais semblables qu'il trouve en piteux état sous la puissance de maux divers. Dans son amour pour le genre humain qu'il vient défendre, il touche des lépreux pour les purifier, il rappelle des morts à cette vie.
Et puis, dans la force et volonté de cet amour, il va jusqu'à donner sa vie pour le sauvetage du genre humain... sans que personne ne s'en doute. Sans ce sacrifice, tous les vivants seraient et resteraient aujourd'hui encore esclaves absolus de la puissance angélique dévoyée... si encore l'humanité n'avait pas déjà été anéantie.

JÉSUS MEURT D'AMOUR ENCHAINÉ
Jésus a donc choisi et décidé de se laisser faire prisonnier de l'amour et de la justice de Dieu, celle-ci réclamant la vie d'un juste pour payer à la place de tous les coupables qui n'ont pas les moyens pour se sauver eux-mêmes. C'est toute la terrible et Bonne Nouvelle qu'est l’Évangile ou venue et œuvre rédemptrices opérées par Jésus, devenu ainsi Seigneur sans égal. Lisons dans la Bible :

Où Jésus annonce ce qu'il est et qu'il va mourir : "Jésus dit encore : En vérité, en vérité, je vous le dis, je suis la porte des brebis.8 Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des brigands ; mais les brebis ne les ont point écoutés.9 Je suis la porte. Si quelqu'un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et il sortira, et il trouvera des pâturages.10 Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu'elles soient dans l'abondance.11 Je suis le bon berger. Le bon berger donne sa vie pour ses brebis.12 Mais le mercenaire, qui n'est pas le berger, et à qui n'appartiennent pas les brebis, voit venir le loup, abandonne les brebis, et prend la fuite ; et le loup les ravit et les disperse.13 Le mercenaire s'enfuit, parce qu'il est mercenaire, et qu'il ne se met point en peine des brebis. Je suis le bon berger.14 Je connais mes brebis, et elles me connaissent,15 comme le Père me connaît et comme je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis...
Le Père m'aime, parce que je donne ma vie, afin de la reprendre.18 Personne ne me l'ôte, mais je la donne de moi-même ; j'ai le pouvoir de la donner, et j'ai le pouvoir de la reprendre : tel est l'ordre que j'ai reçu de mon Père."

Où Pierre redit pourquoi Jésus a été mis à mort et la suite : "Christ a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Dieu, ayant été mis à mort quant à la chair, mais ayant été rendu vivant quant à l'Esprit,"

Effet 1 de la manière dont Jésus s'est fait forçat de l'amour, esclave de la justice divine : "Celui qui a été abaissé pour un peu de temps au-dessous des anges, Jésus, nous le voyons couronné de gloire et d'honneur à cause de la mort qu'il a soufferte, afin que, par la grâce de Dieu, il souffrît la mort pour tous.10 Il convenait, en effet, que celui pour qui et par qui sont toutes choses, et qui voulait conduire à la gloire beaucoup de fils, élevât à la perfection par les souffrances le Prince de leur salut...
14
Ainsi donc, puisque les enfants participent au sang et à la chair, il y a également participé lui-même, afin que, par la mort, il anéantît celui qui a la puissance de la mort, c'est à dire le diable,15 et qu'il délivrât tous ceux qui, par crainte de la mort, étaient toute leur vie retenus dans la servitude.16 Car assurément ce n'est pas à des anges qu'il vient en aide, mais c'est à la postérité d'Abraham (tous ceux qui marchent par la même foi qu'Abraham).17 En conséquence, il a dû être rendu semblable en toutes choses à ses frères, afin qu'il fût un souverain sacrificateur miséricordieux et fidèle dans le service de Dieu, pour faire l'expiation des péchés du peuple ;18 car, ayant été tenté lui-même dans ce qu'il a souffert, il peut secourir ceux qui sont tentés."

Effet 2 : " - Que faut-il que je fasse pour être sauvé
- Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta famille."
"Car Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique, afin que quiconque croiten lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour qu'il juge le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui qui croit en lui n'est point jugé ; mais celui qui ne croit pas est déjà jugé, parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu."

Sachant, à vous de jouer votre vie, de la meilleure façon possible. Soyez béni-e.

Guide pour commencer à prier Dieu...

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16 décembre 2017 6 16 /12 /décembre /2017 14:20

Jeune, j'ai aimé les musiques rock et yéyé du temps de "Salut les copains", les Johnny, Sylvie, Sheila, Eddy, Antoine, Dutronc, Claude François, Françoise Hardy... (pour les français).

Et puis j'ai découvert la réalité de Jésus, non pas sous sa forme Super-star ou hippie comme on le chantait alors, mais de Jésus mort crucifié pour moi !!!? J'ai appris qu'il avait ainsi donné SA vie pour MOI ! Cela ayant été fait comme une réponse pré-établie, tenue en réserve, solution à ce qui allait un jour m'apparaître comme mon besoin de lui, besoin de cette mort pour que mes fautes puissent être pardonnées...
Après quoi aussi Dieu le ressuscita...

Et maintenant donc je donne gloire à Dieu - ce que signifie le mot Alléluia - et non plus à des hommes ou femmes qui ont reçu un talent même certain - de qui ? - et qui l'utilisent, bien trop souvent pour obtenir une gloire toute personnelle, sans rendre la moindre gloire (qui devrait revenir) à Dieu. (Ceux qui le font le montrent ou en parlent, comme certains sportifs notamment, ou encore le chantent comme le font voir et entendre les vidéos qui suivent).

Dans les années 60-70, il y avait aussi de vrais chrétiens dont les chants traversaient l'Atlantique ou des pays, mais la plupart du temps on ne comprenait rien aux paroles, seule la musique plaisait (ou ne plaisait pas) et leur témoignage de foi se perdait (Simon et Garfunkel - Bob Dylan - Elvis*, qui disait : Non, le king c'est pas moi, c'est Christ - ici vidéo reportage sur la vie d'Elvis).*

Et maintenant donc, connaissez-vous de ces chants actuels qui donnent gloire à Dieu et à Jésus qui donne à qui croit en lui la vie ÉTERNELLE !
Pour les jeunes comme pour les soixante-huitards, écoutez et voyez : C'est la musique sacrée de notre temps !

Ici en France : Hosanna - Fort et puissant - Majestueux - Abba père

Là aux USA : How great is our God - Our God Is An Awesome God (Live) - Your love never fails - Awesome God 

Ici encore en Australie : Mighty to save (en français)

Chant chrétien kabyle - Chant oriental en arabe -

Chant en chinois - Chant en Corée du sud - louange à l'africaine -  ...

Plus spécifiquement comme style, il y a bien sûr tout le Gospel, ce mot anglo-américain qui est contraction de God spell(s) : appel de Dieu ou Dieu appelle, et plus largement chants issus de la foi en Jésus le Christ et Messie. A l'origine le chant - récitatif, heureux, libéré, joyeux - des esclaves noirs travaillant sur les champs de coton des américains du sud, et mis en contact avec les écrits bibliques qui changeaient leur perspective de vue et bientôt de vie.

Pour finir ici avec la musique chrétienne, il est certain que parmi la musique dite classique, on peut toujours apprécier, selon la sensibilité de chacun, les pièces souvent enjouées de Vivaldi (comme les 4 saisons), de Beethoven (sa 9e symphonie** avec l'hymne à la joie), de Bach, de Haendel, etc, etc...

 

Dieu se crée parmi le genre humain une famille innombrable de toutes les ethnies, tribus, couleurs, langues et nations de la terre, en faisant naître spirituellement des êtres en manque de Dieu comme nous sommes, morts à sa vie, à la vie de son Esprit (qui est la vie éternelle).
Et les membres de cette famille sont amenés à sortir de leur enlisement adamique (torpeur, vanité vaine, endormissement spirituel, illusion, angoisse, impuissance, mensonge, insuffisance...) au point de chanter librement, joyeusement et heureusement les louanges de leur Père (céleste) et Dieu (rédempteur) : De tout mon être.

Ce n'est donc pas d'avoir ou de rejoindre une religion qui donne une vie telle qu'on peut, comme ici chanter des louanges de reconnaissance, de satisfaction, de joie, amour, à ce Dieu manifesté en la personne humaine de Jésus-Christ,  mais c'est d'avoir reçu de lui sa vie et de ses dons.

Et encore éventuellement, pour mieux comprendre comment vivre avec un Dieu vivant qui n'est pas qu'une morne religion à pratiquer, voici un message : Amazing grâce pour un nouveau style de vies.

Que le Dieu vivant et vrai vous bénisse par une (et plusieurs) expérience(s) qui change(nt) - en bien et éternellement - votre existence et votre être le plus profond. Pour moi and U2*** !

____________
* On peut aussi voir à travers l'existence déréglée et décadente de plusieurs stars, idoles, gloires (de la chanson notamment mais pas que...), des dérives, des excès, des stupéfiants, des délires... autant de glissements et changements malsains, de perte de maitrise, dont on doit aussi comprendre qu'il s'agit des effets de pressions et tentations d'ordre démoniaque sur leur nature charnelle adamique. leurs pensées, désirs et autres manques essentiels...

** La particularité de cette symphonie est qu'elle est la première sur laquelle ont été mises des paroles !  A l'époque une révolution. Il s'agissait des paroles du poète Schiller qui avaient particulièrement touché le compositeur.

*** U2 (you too, toi aussi) est un groupe chrétien à grands succès surtout dans les années 80

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10 décembre 2017 7 10 /12 /décembre /2017 16:20
les merveilles admirables que peut nous donner de contempler
notre ciel atmosphérique, aux dimensions physiques,
à la fois réalités époustouflantes et images de celles bien plus extraordinaires encore
du Ciel de Dieu, dans les dimensions spirituelles.
 

LE CIEL OUI, MAIS COMMENT SE REJOINT-IL ?

Johnny a chanté la foi d’Édith Piaf qui a écrit L'hymne à l'amour, ce chant mythique qui finit sur cette rime fantastique :
"Dans le ciel plus de problèmes,
Dieu réunit ceux qui s'aiment".
C'est beau, et c'est vrai... mais relativement !

Quand on dit Ciel de cette manière-là, on pense Paradis, par opposition à enfer, à un lieu où les tourments qu'on connaît plus ou moins ici-bas, deviennent éternels, voire se condensent et s'amplifient, dans la mesure où on aura préféré le mal au bien, les magouilles, les fruits des injustices, des méchancetés, des perversions, l'égotisme, au bien, à aimer. Et qui a le premier et le mieux parlé de l'amour, si ce n'est Jésus !?

Car Oui, Dieu est amour. Jésus est né de Dieu pour venir nous le dire de manière plus audible, et pour le démontrer. C'est son disciple et apôtre Jean (surnommé l'apôtre de l'amour) qui écrira ces trois mots jamais assemblés ainsi auparavant.
Et ce n'est pas parce que tout à coup Dieu s'est mis à aimer alors qu'il n'était pas amour avant ! Dieu EST (verbe être au présent indicatif dans le texte original) amour signifie que c'est sa nature qui est éternellement amour, c'est son Être même.

Mais alors pourquoi ne le percevons-nous pas mieux, pas plus souvent, pourquoi ne nous est-il pas constamment accessible ? C'est le grand mystère à connaître, et à résoudre.
Car pourquoi en mourant, comme par un automatisme obligé, l'athée, l'anti-Dieu comme le croyant fervent, entrerait-il dans l'univers et la présence de l'amour absolu ?

Ce serait une terrible injustice ! Injustice que de condamner des blasphémateurs, des "rejeteurs" de Dieu, à vivre une éternité avec lui, non !?
Injustice aussi envers ceux qui auront renoncé à des avantages, à des conforts (tels des missionnaires), voire au mariage, à une famille, par amour pour Celui qui est devenu leur Dieu !

Or Dieu EST AUSSI JUSTICE, et PURETÉ totales ! Et s'il a conçu la création humaine comme elle est, c'est bien pour que dans un premier temps nous ayons la liberté - une vrai liberté - de faire l'expérience de ce qu'est vivre sans (relation effective, consciente avec) lui, et là de pouvoir choisir de répondre à ce qu'on entend de lui qui veut nous venir en aide, nous purifier, nous pardonner, nous délivrer de situations dramatiques ou de démons que nous avons laissés prendre le dessus sur nous.
Et comment peut-il nous faire du bien, nous manifester qu'il nous aime, tout en gardant sa pureté et sans bafouer sa justice*?

Car nous, chacun, Johnny, Jean, Pierre, Paul et toi comme moi, nous sommes tous marqués par des défauts, des travers, des imperfections, des fautes, un passé aux taches sombres, aux problèmes irrésolus... qui font de nous en vis-à-vis de Dieu des injustes, des impurs, des souillés, des malades ou des handicapés (psychiques et spirituels surtout) et complices du diable l'initiateur (angélique) du mal.
Et donc comment faire le joint, comment rapprocher et réconcilier, comment faire se mixer deux réalités incompatibles ?...

C'est là que la croix, la crucifixion de Jésus intervient. C'est l'acte et l'événement les plus conséquents de tout ce qui s'est passé sur la planète depuis Noé et Abraham, en ce que ses effets sont potentiellement universels et éternels. Si vous ne savez pas vraiment, de quoi s'agit-il donc en vérité ?
La Bible nous le dit :
"L’amour du Christ remplit notre cœur quand nous pensons à ceci : un seul homme est mort pour tous, c’est le Christ... Il est mort pour tous, ainsi les vivants n'ont plus à vivre pour eux-mêmes. Ils vivent pour le Christ qui est mort pour eux et qui, pour eux, a été réveillé de la mort...18 Tout cela vient de Dieu qui nous a réconciliés avec lui par le Christ et il nous a demandé d’annoncer cette réconciliation.19 Oui, c’est Dieu qui a réconcilié le monde avec lui, par le Christ. Il ne tient plus compte des fautes des êtres humains et il nous charge d’annoncer cette parole de réconciliation... En réalité, par nous, c’est Dieu lui-même qui vous lance un appel : au nom du Christ, acceptez d’être réconciliés avec Dieu. Cela, nous vous le demandons avec force. 26 (Car) Le Christ était sans péché, mais Dieu l’a chargé de notre péché. Alors maintenant, par le Christ, Dieu nous a rendus justes."

Cela signifie que du côté de Dieu "tout est accompli" (c'est la dernière parole de Jésus mis à mort) pour que tous les hommes, toutes les femmes et les enfants puissent (re)trouver la paix avec lui, puisse sortir de cet exil de la vie divine dû à une relation brisée par notre péché (tout ce qu'on a dit, fait, pensé de mal, qui n'était pas du bien véritable) :
"Car le salaire que paie le péché, c’est la mort ; mais le don que Dieu accorde gratuitement, c’est la vie éternelle dans l’union avec Jésus-Christ notre Seigneur."

Ainsi il n'est pas question de penser nous sauver nous-même par nos propres capacités, par nos (prétendues) bonnes œuvres - nos B.A. - par du bien qu'on a pu faire aléatoirement ! Car notre problème à résoudre est celui du mal, comme une vilaine tache qui serait sur le devant d'une robe immaculée de mariée. C'est cela que Jésus est venu prendre sur lui pour nous sauver d'une perdition éternelle loin de Dieu.
"Car c’est par la grâce de Dieu que vous avez été sauvés, au moyen de la foi. Ce salut ne vient pas de vous, il est un don de Dieu ;9 il n’est pas le résultat de vos efforts, et ainsi personne ne peut se vanter."

Et pour que nous ne croyons pas que c'est par accident que Jésus a été crucifié encore jeune, comme s'il avait échoué dans sa mission, nous avons une parole délivrée environ 700 ans avant que cette croix terrible ne soit dressée avec Jésus cloué dessus, par le prophète Esaïe - ici tout le chapitre 53.

Comment ne pas croire quand on sait !?
"Mais voilà comment il est parlé de la possibilité d’être juste par la foi : « Ne dis pas en toi-même : Qui montera au ciel ? » (c’est-à-dire : pour en faire descendre le Christ). 7 Ne dis pas non plus : « Qui descendra dans le monde d’en bas ? » (c’est-à-dire : pour faire remonter le Christ d’entre les morts).8 Qu’est-il dit alors ? Ceci : « La parole est près de toi, dans ta bouche et dans ton cœur. » Cette parole est le message de la foi que nous prêchons.9 Si, de ta bouche, tu affirmes devant tous que Jésus est le Seigneur et si tu crois de tout ton cœur que Dieu l’a ramené d’entre les morts, tu seras sauvé.10 C’est par le cœur, en effet, que l’on croit, et Dieu rend juste celui qui croit ; c’est par la bouche qu’on affirme, et Dieu sauve qui fait ainsi.11 L’Écriture déclare en effet : « Quiconque croit en lui ne sera pas déçu. »12 Ainsi, il n’y a pas de différence entre les Juifs et les non-Juifs : ils ont tous le même Seigneur qui accorde ses biens à tous ceux qui font appel à lui.13 En effet, il est dit : « Quiconque fera appel au Seigneur sera sauvé. »14 Mais comment feront-ils appel à lui sans avoir cru en lui ? Et comment croiront-ils en lui sans en avoir entendu parler ? Et comment en entendront-ils parler si personne ne l’annonce ?15 Et comment l’annoncera-t-on s’il n’y a pas des gens envoyés pour cela ? Comme le déclare l’Écriture : « Qu’il est beau de voir venir des porteurs de bonnes nouvelles ! »16 Mais tous n’ont pas accepté la Bonne Nouvelle. Ésaïe dit en effet : « Seigneur, qui a cru la nouvelle que nous proclamons ? »17 Ainsi, la foi vient de ce qu’on écoute la nouvelle proclamée et cette nouvelle est l’annonce de la parole du Christ.18 Je demande alors : Les Juifs n’auraient-ils pas entendu cette nouvelle ? Mais si, ils l’ont entendue ! L’Écriture déclare : « Leur voix s’est fait entendre sur la terre entière, et leurs paroles ont atteint le bout du monde. »".

Des juifs bien sûr ont cru : Pierre, Paul, Matthieu, Jean,  Marc, Silas, Priscille, les Marie....
et des grecs, comme Timothée, Apollos, le médecin grec Luc devenu l'évangéliste du Nouveau Testament,
et les dix et cents millions à la suite, de toutes tribus, nations, couleurs, cultures, idéologies ou religions initiales, jusqu'à nous, jusqu'à moi... et jusqu'à vous !? Déjà ? Pas encore ?

Cette façon qu'a décidé Dieu de nous réconcilier avec lui et de nous offrir d'entrer dans son éternité et son univers exempts de tout mal, n'exclut pas la valeur de "nos œuvres", du bien qu'on aura pu faire, mais non comme moyen de notre rédemption, du salut de notre âme. Ces œuvres nous suivent, dit la Bible, car "de même que le corps sans esprit est mort, de même la foi sans œuvres est morte."

Mais surtout soyez au clair avec ce que Jésus est venu dire et faire, quant au moyen unique de notre accès au Ciel de Dieu,  que la Bible explicite bien plus et mieux que les religieux frileux ou égarés d'aujourd'hui (comme du temps de Jésus) :
"En effet, personne ne sera considéré comme juste devant lui sur la base des œuvres de la loi, puisque c'est par l’intermédiaire de la loi (des commandements de la religion, qu'on transgresse régulièrement) que vient la connaissance du péché.21 Mais maintenant, la justice de Dieu dont témoignent la loi et les prophètes a été manifestée indépendamment de la religion :22 c'est la justice de Dieu par la foi en Jésus-Christ pour tous ceux qui croient. Il n'y a pas de différence :23 tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu,24 et ils sont gratuitement déclarés justes par sa grâce, par le moyen de la libération qui se trouve en Jésus-Christ.
25 C'est lui que Dieu a destiné à être par son sang une victime expiatoire pour ceux qui croiraient. Il démontre ainsi sa justice, puisqu'il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, à l’époque de sa patience.26 Il la démontre dans le temps présent de manière à être juste tout en déclarant juste celui qui a la foi en Jésus.27 Où est donc la raison de se montrer fier ? Elle a été exclue. Par quelle religion ? Par celle des œuvres ? Non, par la loi de la foi.28 En effet, nous estimons que l'homme est déclaré juste par la foi, indépendamment des œuvres religieuses."

"Et tout comme Moïse a élevé le serpent dans le désert**, il faut aussi que le Fils de l'homme soit élevé15 afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle.16 En effet, Dieu a tant aimé le monde qu'il a donné son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse pas mais ait la vie éternelle.17 Dieu, en effet, n'a pas envoyé son Fils dans le monde pour juger le monde, mais pour que le monde soit sauvé par lui.18 Celui*** qui croit en lui n'est pas jugé, mais celui*** qui ne croit pas est déjà jugé parce qu'il n'a pas cru au nom du Fils unique de Dieu."

Ayez donc foi au Christ Jésus et Mashiah Yeshoua comme "Nous tous aussi, nous étions du nombre des égarés : notre conduite était dictée par les désirs de notre nature propre, puisque nous accomplissions les volontés de la nature humaine et de nos pensées, et nous étions, par notre condition même, destinés à la colère, tout comme les autres.4 Mais Dieu est riche en compassion. A cause du grand amour dont il nous a aimés,5 nous qui étions morts en raison de nos fautes, il nous a rendus à la vie avec Christ – c’est par grâce que vous êtes sauvés –,6 il nous a ressuscités... avec lui (dans les lieux célestes), en Jésus-Christ.7 Il a fait cela afin de montrer dans les temps à venir l'infinie richesse de sa grâce par la bonté qu’il a manifestée envers nous en Jésus-Christ.8 En effet, c'est par la grâce que vous êtes sauvés, par le moyen de la foi. Et cela ne vient pas de vous, c'est le don de Dieu."

Alors, et c'est notre part et responsabilité individuelle, sauvez-vous de cette génération impie qui se perd et entrez, vous, perso, en ne cherchant que la vérité sur la perdition et sur le salut éternel, dans la seconde phase infinie du plan créateur, qui va succéder à ce monde : C'est là que notre choix est essentiel, comme libre adhésion au dessein le meilleur de Dieu, ou par un rejet ou une inattention qui envoie éternellement loin de la lumière, du bonheur, de la vie parfaite que Dieu est.

Article parallèle...

Chant : Tu as tout accompli

Guide pour vous lancer dans la prière

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* Pour prendre une image, on est comme un enfant qui a renié son père jusqu'à partir s'exiler sur un autre continent, où il tombe entre les mains d'une mafia, est obligé de les servir, se drogue et devient malade à mourir.
Que fait le père ? Il lui fait savoir qu'il est prêt à le recueillir et qu'il met un billet d'avion à sa disposition pour son retour.
Que va faire le fils ? Il est libre de revenir, ou de rester obstiné dans son indépendance... qui maintenant lui a fait perdre son autonomie et tout futur heureux possible... Lire aussi.

** récit ici

*** Le salut des âmes s'acquiert par une foi toute personnelle (en Christ).

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23 novembre 2017 4 23 /11 /novembre /2017 17:20

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