Un sondage pour savoir si cela pourrait vous intéresser ceprintemps (ou cet été sur plus de jours, avec caravane ou tente ou autre...)

Recycl'Art Claude vous soumet :

 

(republication)

L’être humain n’est pas un produit aléatoire de milliards de micro-évolutions hasardées (par qui !) avec des sauts de kangourou pour passer d’une espèce à une autre, mais une créature de Dieu faite à son image, avec
- une âme (personnelle, définie et mouvante, unique),
- un esprit (universel, objectif, rétractable)
- et un corps (ce qui est le plus périssable) qui les véhicule,
chacun avec des intelligences propres).
- De plus, nous ne sommes que par des relations, avec un environnement naturel, humain et surnaturel,

ce qui fait de nous la somme complexe de quatre éléments à la fois entiers et inter-dépendants, intriqués, juxtaposés, hiérarchisés... Ce que bien sûr aucune dynamique hasardeuse n'aurait pu produire...

LE PARI D'UNE INTELLIGENCE SANS FRAUDE

Bien que surnaturel, le pari de croire en Dieu n’a rien de hors-sol,
- d'une part parce qu'il s'accorde le mieux avec une raison objectivée et le simple bon sens,
- et surtout parce que nous sommes tous, athées comme religieux, – et cela s’observe aisément – des croyants... qui n’avançons que par des pas dans le non tangible, dans une sorte de vide*. Ce qui est le cas pour tout mouvement, tout apprentissage, tout risque pris, tout développement tenté et notre déploiement d'humains (comme dit dans >> l'article précédent <<)

UN PRINCIPE OU CAUSE PREMIÈRE (DÉDIÉE) DU VIVANT 

La croyance ou foi est bien en réalité un (des quatre) principes dynamiques fondamentaux inhérent au vivant.
Ce principe se décline en 4 degrés de puissance.

a - 1er degré, infrasturcturel
C'est une dynamique qui agit en non conscience aux plans (bien que très différenciés) des trois règnes végétal, animal et humain.

Ce principe actif fonctionne en tant que déterminisme complexe (pré-requis à la fois rigide et souple) des bases et définis selon les espèces.
C’est un principe d’appel très subtil à... bouger, chercher, avancer ou reculer, se lancer dans l’inconnu, dans le non-certain.
Il est à peu près ce qu'on appelle "l'instinct aimal", tout en couvrant des plages du vivant bien plus larges qu'animale.

b - 2e degré, en système semi-ouvert
C'est tout autrement une dynamique dont le sujet/objet a une certaine conscience, ce qui est particulier chez l'homme.
Ce principe joue à une frontière entre se lancer à bouger ou rester statique (à cause de la peur ou d'une prudence).
C’est une capacité de notre âme pour gérer notre quotidienneté, des choix plus ou moins libres ou contraints, relativement à nos relations horizontales au monde (à ce qui fait nos environnements matériels et psychiques).

Faute d’avoir une vie spirituelle authentique (l’esprit éveillé et sollicité), l’âme peut aussi selon ce principe se faire religieuse, croire à des réalités de l’ordre du surnaturel (on parle alors de religiosité, par distinction avec les spiritualités).
Mais c'est alors sans discernement de ce qui est bon et de ce qui nocif, dangereux à mortel, amalgament et mélangeant préjugés, superstitions, magie et vérités ; ce qu'il en est du vrai Dieu et ce qui est de Satan (l'ange dégradé qui sait plus d’une fois, malignement, se faire passer pour le vrai Dieu) ;

c – Foi de l'ordre surnaturel
Ce principe actif de foi est encore une dynamique plus spécifique, en rapport avec le surnaturel.
C’est une capacité de l’esprit qui contrebalance l’égocentrisme psychique par des données à la fois universelles (les mêmes pour tous) et personnelles (transmises dans l’à propos de nos situations et besoins).

L’esprit est capable de juger de tout avec discernement. Son originalité est d’être un complément d’âme (de notre moi-je fabriqué), notamment ouvert sur les lois morales (la conscience du bien et du mal) et les réalités spirituelles comme Dieu, les anges (fidèles dans leur cadre ouvert, et d'autres sortis de leur rang et devenus des démons).
On parle alors de « foi (issue) de Dieu », car étant de l’ordre de l’esprit, cette foi est amorcée et entretenue ou soutenue par Dieu lui-même.

Parmi divers moyens qui activent et développent ce type de foi vivante, on trouve
- les Paroles de Dieu (inspirées et vivifiées par son Esprit - on parle alors de "croire Dieu", sur parole, ce qui est plus adéquant et puissant que de "croire (seulement) en Dieu") (via le moyen qu’est la prière notamment)
- et les prières... (>> un guide de prières efficaces est accessible ici <<).

d – L'espérance
Une expression plus haute encore de la foi est appelée "l'espérance" - à ne pas confondre avec l'espoir dont il peut en paraître ou germer des quantités (fondés ou controuvés) dans l'âme (et non de l'esprit).

L'espérance agit comme une manière de relayer notre foi en Dieu quand on se trouve en butte à trop de ténèbres, d’hostilité, de complications, de traîtrise, qui nous laissent sans voix, sans réaction, sans foi sensible, faible à l'extrême
Faible parce que l'âme est submergée par ce qui apparaît qui la dépasse largement. 
Elle étouffe, la noie, angoisse, se départit de l'esprit et donc de Dieu.
C'est un point critique - qui peut atteindre tous croyants comme agnostiques ou athées - face à qui il ne reste plus que la possible espérance.

Voyons l'exemple d’Abraham – ce patriarche ancien appelé par Dieu « le père de la foi (la foi » (la foi du point c -). il l'a découvert comme un Dieu bon (le seul bon), avec qui on peut relationner, le Dieu créateur transcendant   unique dont il a appris à reconnaître la voix et à y obéir.

Il nous est rapporté qu'il devint "le Père de la foi" car il crut comme personne avant lui, "espérant contre toute espérance". 
Il vécut notamment deux situations où la foi fut particulièrement mise à l'épreuve, au sujet de sa descendance,
- d'abord promise à un âge inconcevable pour lui et sa femme (environ 100 ans) : ayant cru il hérita d'une descendance innombrable d'une femme stériel rendue féconde par (son) Dieu >> ici dans la Bible << ;
- ensuite il crut quand ce même Dieu lui demada de lui offrir ce fils unique devenu adolescent en sacrifice. : une épreuve de nature prophétique, pour qu'il sache par avance, le premier, que Dieu allait devoir un jour sacrifier son fils unique - Jésus - pour assurer à l'humanité condamnée que nous sommes une possibilité de sauvetage ouvrant sur une race toute nouvelle qui va vivre éternellement (C'st toute la Bonne Nouvelle ou Évangile de Jésus-Christ "l'Agneau de Dieu" devenu le Sauveur universel...)

LE GRAND SURNATUREL DE DIEU N'EST PAS A SON TERME

Car aujourd'hui encore, il va falloir à beaucoup de chrétiens d'"espérer contre toute espérance" concernant le retour que Jésus a promis et va mettre en oeuvre très prochainement .
Le but, où sortir ceux qui ont cette foi de la fournaise terrible qui échauffe déjà la Terre entière, par un cumul de crises et de crimes jamais aussi conséquents et horribles... >> lire ou écouter ici << ou encore >> tout le chapitre 15 de la 1ère lettre aux Corinthiens <<

Bien qu'il vécut une existence sans pareil, fit des miracles comme personne, offrir sa vie en barrage au mal pour nous éviter le pire, être celui qui laisse au fil de l'histoire le plus d'effets bénéfiques et de souvenirs, il est fait bien peu de cas, de nos jours, de ce Jésus historique et magnifique.

Il est donc comme l'immense arche de Noé destinée à sauver une minorité des pires horreurs de son temps (violences et sexualités perverties), semblable parmi nous à une embarcation curieuse, surannée, risible, méprisable, un canot de sauvetage en somme, vu comme ridiculement petit à côté du Titanic des géants de ce monde qui travaillent à produire une gouvernance mondiale... dont ils seront, intelligents mais naïfs et malencontreusement crédules, des victimes et des esclaves comme tous les autres qu'ils auraont vus ou mis dans des galères...

Dans une attente lucide et sérieusement informée de cet avénement inouï, soyez renouvelé-e dans votre intelligence de base (psychique) par la grâce de Dieu toujours active selon notre foi et sa volonté.
Car des épreuves sévères, des jugements soudains, n'ont pas fini de se succéder, face à quoi
- les athées ou légers seront tentés de se donner la mort - ce qui envoie l'âme dans l'hadès ou séjour de beaucoup de défunts,
- et les chrétiens nés de Dieu auront pour force les annonces prophétiques de la Bible, les affirmations et promesses divines, le soutien du Saint-Esprit de Dieu, une certaine communion fraternelle... et l'espérance trouvera sa récompense...

AVIS DE TEMPÊTE

Heureux ceux qui peuvent déjà jouir de "la paix de Christ", s'attendre à Dieu dans la confiance que le temps vient des délivrances, au cœur des remous qui secouent tout le monde, car la mer montre déjà les signes qu'elle peut très vite se démonter...
Que celui/celle qui grince des dents en entendant ses choses car il/elle est dans les mailles du filet maléfique, se repente de ses mauvaises oeuvres, de ses choix sordides, de son arrogance et de sa volonté malveillante... car Dieu pardonne encore (pour un peu de temps) le péheur/la pécheresse repentant-e, qui renonce de toutes ses forces au mal, à l'occulte destructeur, aux pratiques multiforme du vic.

Ici >> une page d'aide pour des prières sincères et efficaces <<

à suivre...

________________________
_* Le futur est une sorte de vide comme en est fait l'esssntiel de l'univers, à la fois existant, réel et potentiel, impalpable mais indispensable (indice pensable), qui n'a aucune consistance matériel, ce qu'on appelle en physique "mattière noire" et "énergie noire", qu'on peut voir comme un support qui précède et permet l'expansion des choses...

D'AVANCER SANS CONSCIENCE À

AVANCER DANS LA CONSCIENCE DE

LA RÉALITÉ DE DIEU

LES 4 TYPES OU DEGRÉS DU PRINCIPE "D'APPEL À... ", QU'EST LA FOI (OU CROYANCE)

Ce principe irréductible de l'ordre de toute matière animée, fait que que nous sommes TOUS des croyants, athée le plus revêche comme croyant le plus spirituel (en passant par les croyances en tous les préjugés et autres superstitions).

La foi, croire bien que l’on ne sache pas vraiment ou pas tout, apparaît donc à l'observation et à la réflexion, comme étant un des (quatre) principes fondamentaux du vivant (étude intéressante par ailleurs).

C'EST UN CONTENU ET UN MOYEN

Par ce moyen qu'est la foi ou croyance, chercher si Dieu existe et apprendre des choses non immédiates sur lui est exactement la même démarche qu’effectuer une recherche scientifique quant à quelques vérités cachées de la nature. Le résultat étant que si on cherche avec suffisamment de cohérence, de logique et de conviction, on trouve !... Et parfois c'est même à notre insu - de "l'autre côté'" - que la découverte est produite (on parle ainsi de "hasard" (alors que cela n'en est pas, ou de "sérendipité" (voir encyclopédie)...

Ce principe actif ou moteur du vivant qu'on peut appeler foi ou cryance ou appel à..., est la dynamique incluse dans le vivant, qui révèle le futur en tant que vide dans lequel avancer. Vide pas plus vide que ne l’est l’espace cosmique entre les corps célestes dont on connaît la réalité immense insondable (physiquement) appelée (faute de mieux jusqu’à présent) matière et énergie noires (ou sombres. (pour +, mon étude sur les 4 principes ou lois-cadres « holystiques » de l’univers...

LE PARI D'UNE INTELLIGENCE SANS FRAUDE

Bien que surnaturel, le pari de croire en Dieu n’a donc rien de hors-sol,
- d'une part parce qu'il s'accorde le mieux avec une raison objectivée et le simple bon sens,
- et surtout parce que nous sommes tous, athées comme religieux, – et cela s’observe aisément – des croyants... qui n’avançons que par des pas dans le non tangible, dans une sorte de vide*. Ce qui est le cas pour tout mouvement, tout apprentissage, tout risque pris, tout développement tenté et notre déploiement d'humains (comme dit dans >> l'article précédent <<)

UN PRINCIPE OU CAUSE PREMIÈRE (DÉDIÉE) DU VIVANT 

La croyance ou foi est bien en réalité un des principes actifs ou moteurs fondamentaux inhérents au vivant.
Ce principe se décline en 4 degrés de puissance, chacun avec un contenu plus ou moins branchu.

a – UN MOTEUR BASIQUE DE TOUS LES MOUVEMENTS
C'est une dynamique qui agit en non conscience aux plans des régnes végétal et animal.
Nous sommes nous-mêmes pourvus – sans être pour autant de l’ordre des animaux – des fondamentaux de ce moteur de mouvements qui est déjà là un déterminisme complexe - pré-requis du vivant organique à la fois rigide et souple, définie selon les espèces tant végétales que du vivant équipé d’un psychisme..
C’est un « principe d’appel » très subtil "à... bouger, chercher, avancer ou reculer, se lancer dans l’inconnu, dans le non-certain...
On peut appeler cela un « instinct » élaboré pour répondre aux besoins (basiques et multiples) de la survie.

Ce mécanisme qui correspond exactement à de « l’intelligent dédiée » (comme on met dans des appareils que nous fabriquons), joue par des « sous-moteurs » indépendants et en intersactions, comme la germination, la croissance, l’adaptation au milieu et à ses variations, les forces réparatives et immunitaires, la reproduction avant mort… autant de sous-moteurs qui doivent être présents et activables (potentiels) dès les toutes premières apparitions de toutes ces formes de vie qu’on nomme le vivant.

Notons que rien que cette complexité avec des sous-parties ne peut que rapidement dissuader quiconque aime la vérité qu’un « maître ou Dieu Hasard » puisse être à l’origine d’un tel système, et donc de la vie sur terre.

b – FOI EN CONSCIENCE A GÉOMÈTRIE VARIABLE
C'est tout autrement une dynamique dont le sujet/objet a une certaine conscience, ce qui est tout particulier chez l'homme.
De fait, pourvus de ce type de déterminisme actif, on en subit des spécificités, mais aussi on peut très largement interférer par la disposition de notre volonté, de nos émotions, de pulsions et autres...

Prenez le temps d'y réfléchir : C'est par la foi que vous mangez le pain et tout ce que vous achetez pour manger ! - Que nous apprenons à marcher, puis à faire du vélo, à nager, puis à TOUT apprendre, à se marier, à vouloir monter une entreprise, à aller chez un médecin ou sur une table d'opération, à prendre la route ou monter dans un avion, etc...
Tout mouvement tient de ce principe !

Ce principe joue à une frontière entre se lancer à bouger ou rester statique (à cause de la peur, d’un calcul, d’un argument, d'une prudence, d'une ignorance, d'un manque de curiosité...).
C’est une capacité de notre âme ou psychisme (du grec psyché qui désigne l’âme) pour gérer notre quotidienneté, faite de choix plus ou moins libres, contraints, conscientisés ou qu’on a automatisés. Cela dans les domaines de nos relations horizontales, essentiellement matérialistes, à ce qui fait nos environnements matériels et psychiques.

Faute d’avoir une vie spirituelle authentique (l’esprit éveillé et sollicité), l’âme (nous en tant qu'ego) peut aussi selon ce principe se faire religieuse, croire à des réalités de l’ordre du surnaturel (on parle alors de religiosité, par distinction avec les spiritualités).
Mais c'est alors de la croyance sans discernement de ce qui est bon et juste par rapport à ce qui semble bon et juste et se trouve être nocif, maléfique, dangereux à mortel.
On, amalgame et mélange préjugés, superstitions, magie et vérités ; ce qu'il en est du vrai Dieu et ce qui est des représentations (bonnes ou mauvaises) qui en sont données, ou encore de Satan (l'ange dégradé qui sait plus d’une fois, malignement, se faire passer dans la pensée et les concepts pour le vrai Dieu, ou pour une apparition ou une voix de lumière, qui ne vise qu'à tromper, séduire, égarer...) ;

c – LA FOI DE L’ORDRE DE L’ESPRIT
Ce principe actif de foi est encore une dynamique plus spécifique, davantage en rapport avec le surnaturel.
C’est une capacité de l’esprit qui contrebalance l’égocentrisme psychique par des données ayant une fixité d’ordre universel (les mêmes pour tous) et d’autres toute personnelles, qui se transmettent à bon escient, dans l’à propos de nos situations et besoins.

L’esprit, étant une parcelle divine, est capable de juger de tout dans la paix, avec discernement. A nous d'apprendre - par la foi - à le distinguer de ce qui est de notre psychisme).
Son originalité est d’être un complément d’âme (de notre moi-je fabriqué), notamment ouvert sur les lois morales (la conscience du bien et du mal) et les réalités spirituelles comme Dieu, les anges (fidèles dans leur cadre ouvert, et d'autres sortis de leur rang et devenus des démons).
On parle alors de « foi (issue) de Dieu », car étant de l’ordre de l’esprit, cette foi est amorcée et entretenue ou soutenue par Dieu lui-même.

Parmi divers moyens qui activent et développent ce type de foi vivante, on trouve
- les « Paroles de Dieu » (dont basiquement la Bible, inspirées et vivifiées par son Esprit). On parle alors de "croire Dieu", sur parole, ce qui est plus adéquat et puissant que de croire (seulement) en Dieu.
Jésus a assuré que « Quand le consolateur sera venu (que depuis il a envoyé du Ciel sur la Terre), l'Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu'il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir. » Jean 16.13.

- les prières... (>> un guide de prières efficaces est accessible ici “).

- Les songes, cauchemars (significatifs) ou visions (à distinguer des rêves)… >> voir article sur ce point <<

d – L’ESPÉRANCE
une expression plus haute encore de la foi est appelée "l'espérance" - à ne pas confondre avec l'espoir dont il peut en paraître ou germer des quantités (fondés ou controuvés) dans l'âme (et non de l'esprit).

L'espérance agit comme une manière de relayer notre foi en Dieu quand on se trouve en butte à trop de ténèbres, d’hostilité, de complications, de traîtrise, qui nous laissent sans voix, sans réaction, sans foi sensible, faible à l'extrême
Faible parce que l'âme est submergée par ce qui apparaît qui la dépasse largement. 
Elle étouffe, la noie, angoisse, se départit de l'esprit et donc de Dieu.
C'est un point critique - qui peut atteindre tous croyants comme agnostiques ou athées - face à qui il ne reste plus que la possible espérance.

Voyons l'exemple d’Abraham – ce patriarche ancien appelé par Dieu « le père de la foi (la foi » (la foi du point c -). il l'a découvert comme un Dieu bon (le seul bon), avec qui on peut relationner, le Dieu créateur transcendant   unique dont il a appris à reconnaître la voix et à y obéir.

Il nous est rapporté qu'il devint "le Père de la foi" car il crut comme personne avant lui, "espérant contre toute espérance". 
Il vécut notamment deux situations où la foi fut particulièrement mise à l'épreuve, au sujet de sa descendance,
- d'abord promise à un âge inconcevable pour lui et sa femme (environ 100 ans) : ayant cru il hérita d'une descendance innombrable d'une femme stériel rendue féconde par (son) Dieu >> ici dans la Bible << ;
- ensuite il crut quand ce même Dieu lui demada de lui offrir ce fils unique devenu adolescent en sacrifice. : une épreuve de nature prophétique, pour qu'il sache par avance, le premier, que Dieu allait devoir un jour sacrifier son fils unique - Jésus - pour assurer à l'humanité condamnée que nous sommes une possibilité de sauvetage ouvrant sur une race toute nouvelle qui va vivre éternellement (C'st toute la Bonne Nouvelle ou Évangile de Jésus-Christ "l'Agneau de Dieu" devenu le Sauveur universel...)

LE GRAND SURNATUREL DE DIEU N'EST PAS A SON TERME...

Car aujourd'hui encore, il va falloir à beaucoup de chrétiens d'"espérer contre toute espérance" concernant le retour que Jésus a promis et va mettre en oeuvre très prochainement .
Le but, où sortir ceux qui ont cette foi de la fournaise terrible qui échauffe déjà la Terre entière, par un cumul de crises et de crimes jamais aussi conséquents et horribles... >> lire ou écouter ici << ou encore >> tout le chapitre 15 de la 1ère lettre aux Corinthiens << Il y est question d'une résurrection massive des morts, et d'une élévation céleste de quantité de personnes préparées pour cet avènement. >> voir le film "L'instant d'après" <<

Bien qu'il vécut une existence sans pareil, fit des miracles comme personne, offrir sa vie en barrage au mal pour nous éviter le pire, être celui qui laisse au fil de l'histoire le plus d'effets bénéfiques et de souvenirs, il est fait bien peu de cas, de nos jours, de ce Jésus Dieu incarné, historique et magnifique en oeuvres et en parroles !
Etonnant, non ! Même à Pâques ou à Noël où la fête se fait sans lui qui est vivant !... 

Mais Dieu reste à la barre de l'univers, et va intervenir quand il mettra un terme éclatant, éblouissant, particulièrement surnaturel, aux libertés liberticides des humains et des démons.

COMME LORSQUE LE TITANIC FUT ÉVENTRÉ...

Le canot de sauvetage divin qu'est la rédemption (le plan divin pour nous sortir des chaos de ce monde) sera alors comme l'immense arche de Noé destinée à sauver une minorité disponible pour cela, des pires horreurs de son temps (violences et sexualités perverties), semblable parmi nous à une embarcation curieuse, surannée, risible, méprisable, un canot de sauvetage en somme, vu comme ridiculement petit à côté du Titanic des géants de ce monde qui travaillent à produire une gouvernance mondiale... dont ils seront, intelligents mais naïfs et malencontreusement crédules, des victimes et des esclaves comme tous les autres qu'ils auraont vus ou mis dans des galères...

Dans une attente lucide et sérieusement informée de cet avénement inouï, soyez renouvelé-e dans votre intelligence de base (psychique) par la grâce de Dieu toujours active selon notre foi et sa volonté.
Car des épreuves sévères, des jugements soudains, n'ont pas fini de se succéder, face à quoi
- les athées ou légers seront tentés de se donner la mort - ce qui envoie l'âme dans l'hadès ou séjour de beaucoup de défunts,
- et les chrétiens nés de Dieu auront pour force les annonces prophétiques de la Bible, les affirmations et promesses divines, le soutien du Saint-Esprit de Dieu, une certaine communion fraternelle... et l'espérance trouvera sa récompense… et le monde restera dans sa sidération (ce qui caractérise toujours plus l’incompréhension face au Réel et quand des démons conduisent des hommes ou des femmes devenus leur instruments/esclaves, dans des actes de destruction terribles.

« Ne savez-vous pas qu'en vous livrant à quelqu'un comme esclaves pour lui obéir, vous êtes esclaves de celui à qui vous obéissez, soit du péché qui conduit à la mort, soit de l'obéissance qui conduit à la justice? » Romains 6.16
« car chacun est esclave de ce qui a triomphé de lui » 2Pierre 2.19

QUI COMME COACH OU DIRECTEUR DE NOTRE EXISTENCE !?

Le coaching est à la mode.
Mais bien plus qu'une mode, il correspond à un besoin croissant pour un nombre croissant de personnes, de trouver de l'aide hors du commun, par une personne capable.
Ce n'est donc pas seulement une mode, mais cela correspond à des besoins réels d'aide, et quel meilleur coach trouver que l'Esprit de Dieu ! Il suffit d'orienter notre potentiel de foi vers ce pôle supérieur de toutes les aides possibles.

- Sinon, cela peut être tant de choses... vaines !
C'est que nous avons toujours une réalité ou une autre qui s’impose à nous. Cela par ou en dehors des circonstances et situations et installé en nous, par dessus même notre force de volonté ou discernement (qui en est occulté) !
Cela peut venir de ce qu’on est culturé laïco-athée, ordonné selon ce système reçu servilement (aux fondamentaux parfois fort discutables) - produits stupéfiants ou nourriture (boulimie) – manipulateur/manipulatrice-pervers – patron tyrammique – maitre-chanteur – cupidité (amour excessif de l’argent) – addiction au sexe ou autres pratiques imposantes – idolâtries (envers objets ou personnes)…

Toutes réalités qui peuvent, malignement (car tout cela est sans pouvoir pour nous faire réellement et durablement du bien), prendre sur notre âme et volonté un ascendant qui ne nous laisse pas en paix, parce que trônant sur notre ego à la place qui est originellement celle de Dieu en nous – le seul qui soit une compagnie juste et bonne, bienveillante et capable de nous faire grandir et rendre enthousiaste…

Puisque dans tous les cas, cette existence n'a de mouvements que par une activation du principe de foi, à vous de l'orienter ou de le maintenir orienter vers Dieu, vers le Christ Jésus et l'Esprit Divin formant ensemble la tri-unité du Dieu Un et unique.
Cette foi-ci "est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas. 2 Pour l'avoir possédée, les anciens ont obtenu un témoignage favorable. 3 C'est par la foi que nous reconnaissons que le monde a été formé par la parole de Dieu, en sorte que ce qu'on voit n'a pas été fait de choses visibles." Hébreux 11

Cette foi-ci se fonde sur du solide : Elle "vient de ce qu'on entend, et ce qu'on entend vient de la parole de Christ." Romains 10.17

Pour prier personnellement le vrai Dieu avec efficacité, >> ici une page-guide <<

Bien cordialement,

Sait-on qu'on est un psychisme (du grec psyché qui désigne l'âme) avec un esprit résidant dans un corps !

Sans les opposer mais en notant leur différence notoire, quels sont les fondements des concepts de développement personnel et de déploiement de soi !?

Le développement personnel vise une amélioration de soi à partir de la conscience qu'on est
- déjà quelqu'un de relativement bien, au dessus de la moyenne en terme de développements divers,
- tout en désirant s'améliorer encore pour se donner une melleure image de soi-même, qui valorise, voire attire des compliments, suscite de l'admiration, donne de l'audience... et gomme plus ou moins une ou de ces zones d'ombre récurrentes qu'on a au tableau.

Cependant, si on acquiert bien du positif, un enrichissement sur un point ou un autre, notre point le plus noir ne se colore pas autrement si facilement.
Pire parfois, même des efforts accrus pour devenir bon-ne, pour dire juste ou réagir avec maîtrise, pour faire (du) bien, semblent vains, voire déchaînent des oppositions, amenent des situations qui vont à l'encontre de l'objectif fixé.

Et c'est un fait, quasiment une loi de cause à effet, que rechercher ainsi le bien active des réalités opposées, au point où l'on peut s'inquiéter, ou continuer dans un certain déni pour se faire croire qu'on est "maître de son destin".

Tout autrement, le déploiement de soi a bien souvent pour point de départ une grosse "tuile" qui nous tombe sur la tête, ou un cumul de difficultés qui font que la coupe du supportable est pleine et déborde.
Il est temps alors - le moment est venu - de profiter de telle pression qui nous arrête dans un continuum rendu impossible, pour apprendre à se connaître, et à connaître le Réel, sans fau-semblants, sans plus se voiler la face, dépouillé-e qu'on est alors de toute façade artificielle.

"DEPOUILLEMENT" PRÉALABLE AU DÉPLOIEMENT

C'st dans cet dépouillement d'artifices, dans une sorte de mise à nu intérieur de soi, qu'on va pouvoir se déployer en découvrant les réalités vraies nous concernant.
En fait en découvrant que ce qu'on voit comme tensions, crises, division, violence, chaos dans ce monde, sont une image qui nous renvoie à nous-même, c'est-à-dire à une insuffisance notoire de bien du fond de notre coeur, ce qui va se traduire par des comportements inappropriés,
-chez les uns trop laxistes, voire lâches, doubles, vicieux juqu'à la traitise ;
- chez d'autres par la dureté, des coups de colère, des paroles ou gestes blessants, diverses formes de violences...

Dans les deux cas, le douceureux ou le cassant ne permettent pas de vivre des relations durablement aimantes, apaisées, sécurisées, et bien sûr pas le bien-être intérieur qu'on voudrait connaître, que conteste sans cesse ou les autres ou nous-même.

C'est dans cette vue juste de soi (comme du reste de nos semblables les mieux habillés ou les plus dépenaillés), qu'on va pouvoir trouver - entendre - des solutions trop cherchées en aveugle jusque là.

BESOIN D'AIDE INCOMPRESSIBLE POUR ¨ÊTRE MIEUX

On a déjà pu chercher une aide auprès d'un-e psy ou par une psychothérapie quelconque.
On peut parvenir ainsi à un certain soulagement (du porte-feuille aussi), mais sans parvenir à un bien désiré qui nous échappe encore, voire en devenant dépendant d'une nouvelle manière, d'une nouvelle autorité dont la pertinence ne se prouve pas dans le temps >> par exemple vidéo d'un déballage psy - par d'éminents psy "déconvertis" - des plus éclairants <<.

QU'EST-CE QU'UNE AIDE SPYCHOLOGIQUE… EFFICACE ?

Elle doit mettre en lumière,
   a - UN PEU pour voir en quoi on n’a pas grandi ou navigué dans un système largement cru et vécu « le nez dans le guidon », comme s’il était un idéal social libre et bon (parents, école, copains, médias, réseaux sociaux, voisinage…).
Alors que tout y est imparfait, partial, relatif, insuffisant en lui-même (car l’ensemble et les sous(ensembles sont toujours gérés par des personnes toutes insuffisantes pour leur propre compte/ existence).
Une organisation sociétale (qu’elle soit athée ou religieuse) qui nous a formés avec ses obscurités autant que des lumières, où bien et mal ont une frontière poreuse, sont emmêlés, voire inversés…
Rétrospective spécifique et globale dont on est essentiellement le produit, depuis notre conception jusqu(à ce jour… mais sans pour autant que nous soyons exonérés d’une responsabilité personnelle.

MAIS l’aspect victimaire qui peut se dégager de ce diagnostic, ne doit pas prendre le dessus sur ce qui est de notre fait, d’où

   b - SURTOUT voir en quoi on est responsable de certains mauvais choix – qui auraient pu être tout autres -. Choix dont les effets
- sont maintenant ce qui nous rend l’existence plus difficile que jamais,
- sont telle rupture grave (accident, divorce, licenciement, maladie conséquente) et/ou telle addiction…

Un principe d’existence est que nous avons une liberté pour faire des choix, de penser, de paroles et d’actions, mais nous ne sommes pas libres des conséquences du comportement qu’on a adopté.
Car il y a, outre de la liberté, des lois qui s’imposent à nous, que nous le sachions ou que nous en soyons ignorants, qu’on le croit ou pas...

C'EST LA VÉRITÉ QUI NOUS REND LIBRE

A partir de ces bonnes bases, de la connaissance de soi et du fait que nous sommes responsables des conséquences de nos pensées et comportements, on va pouvoir avancer dans le désencerclement de notre âme par le déploiement de la vie spirituelle...

à suivre...

La série PANORAM apporte et préconise des lumières quant à la connaissance du Réel, en ce que ces connaissances sont utiles et bénéfiques pour la meilleure gestion possible de notre existence, ici-bas et au delà même de la mort*

_____________
* Plus justement encore, on peut parler de "nos morts", car la mort (dans le sens de rupture et de séparation) qui s'impose comme une part de nous "plus forte que nous, tant dans l'ordre spirituel ou psychique que physique (>> Article "Les 5 types de mort" <<

Si besoin ressenti de prier >> une page d'aide pour prières fondées personnalisables efficaces <<

>> Premier article de la série <<

Il y a deux catégories de fête : Celles qui rappellent un événement libérateur passé, et celles qui sont un moment dérivatif sans autre motif que se divertir d'un quotidien contraignant ?
D'un côté un souvenir de a solution divine à notre existence aliénée et chaotique, de l'autre c'est plutôt un oubli du fond ordinaire problématique de notre condition contrainte et contraignante.

.

Dans les deux cas le vin est généralement de la fête, ce que Dieu ne condamne pas puisque lors d'un mariage Jésus changea de l'eau en vin : après Mac modération ou les excès font partie de notre liberté, avec des effets conrespondants..
Mais que fêtent les fuifs d'une part, les chrétiens par ailleurs, outre un week-end prolongé dont tout le monde généficie ?

DEUX FÊTES DE PÂQUE(S)

Pour les deux types de croyants, il s'agit de se rappeler (célébrer, commémorer) une grande libération, le passage de deux conditions d'existence plutôt mauvaise ou franchement déplorable, à une liberté de penser, de parler ou de bouger qu'on ne soupçonnait même pas.

Comment comprendre que c'est Mac même fête, mais qui se vit d'une manière et pour une raison à Mac fois toute différente (dans l'aspect, Mac période, le déclencheur), mais aussi très semblable (dans la profondeur) ?

En fait on a comme afffaire d'abord à une réalité véritable qui est aussi une image, une préfiguration, d'une autre manière de faire, pour le même but, mais élargi, amplifié, sublimé, qui se réalise en un autre temps, d'une manière autre, sans rien changer à l'idée et à l'accomplissement d'une importante libération de contraintes sévères, resrictives, aliénantes et dégradantes.

D'UNE LIBERATION A UNE AUTRE

Ce que fête (par une semaine de solennités) le monde juif croyant, c'est la libération de l'esclavage dans lequel ce peuple (tous descendants d'Abraham et de sa femme Sarah) était tombé dans l'Egypte des temps pharaoniques... (ce que rapporte la Bible à partir du chapitre 37 du livre de la Genèse et dans celui de l'Exode à Mac suite).

Cela s'est passé il y a environ 3 400 ans, du temps de Moïse, où l'Eternel-Dieu demanda de sacrifier un agneau par famille, le sang de l'animal innocent tué leur assurant, par leur obéissance à pratiquer ainsi) la protection divine... et accessoirement la viande grillée pour leur donnant une bonne nourriture.
Cela donne le repas (seder en hébreu) de Pâque (Pessah), ce dernier mot évoquant le moment précis où le sang fait couverture/protection divine face à « l'ange de la mort » (que figure pour les jours que nous vivons « le cheval vert » dans le livre de l'Apocalypse) - Pour plus de détail >> article précédent ici <<... sachant encore que ce qui permet Mac protection maximum de Dieu, c'est le pardon des transgressions, que seul du sang innocent a le pouvoir d'effacer.

Et puis, il y a 2 000 ans, est apparu Jésus (Yshoua en hébreu, dont le nom signifie « Dieu sauve » ou « Dieu Sauveur »), engendré surnaturellement comme (d'un côté) un fils par Dieu-l'Esprit Dieu en sa fonction de concrétisateur/matérialisation des pensées ou concepts divins, et (d'un autre côté) comme fils d'homme (puisque engendré dans le sein de Myriam/Marie fiancé de Joseph).

La finalité de cette apparition théophanique est expressèment que Jésus soit « l'Agneau de Dieu qui ôte le péché/le mal du monde ». 1er chap. de cette Bonne Nouvelle écrite par Jean.
Ainsi, après avoir montré sa messianité (divinité) par des paroles étonnantes et d'une force et permanence inégalées, accompagnées/attestées (pour les valider) par quantité de signes, miracles et autres prodiges d'ordre surnaturel, Jésus dut aller jusqu'au bout de cette mission inouïe, savoir se laisser volontairement prendre la vie.
Par qui ? Par ceux d'alors que le mal dominait, leaders et population juifs qui se sont asociés l'occupant romain idolâtre, jusqu'à les rendre ensemble barbares, leur faisant commettre injustice sur injustice, jusqu'à la pire : Tuer avec haine et rage et dans toute leur impuissance face aux démons (esprits invisibles mais réels et présents) qui les excitaient - comme cela se fait pareillement de nos jours, au loin ou tout près.
Ainsi Jésus, qui n'avait que la vérité à dire pour éclairer ce monde ! - fut crucifié comme un pire brigand... mais pas du tout pour rien, car cela était précisément Mac réaction que Dieu savait d'avance et qui lui permettait d'accomplir son plan: Nous libérer et sortir de notre séparation mprtellle dramatique d'avec Dieu.

C'est ainsi que Jésus devint lui-même la Pâque – potentiellement favorable à l'humanité entière -, l'agneau du sacrifice de Pessah, spiritualisant cette prescription ancienne imprescriptible en la laissant s'accomplir sur sa propre personne.
Aucun sacrifice ne fut jamais aussi conséquent, comme on peut le lire, l'apprendre et le voir dans le monde...

MORT, MAIS AUSSI RESURRECTION ET PLUS ENCORE

Après les manifestations de sa résurrection et de son élévation céleste, Pierre a pu s'écrier, après avoir reçu (avec 119 autres personnes) l'Esprit Divin comme preuve de la glorication du Messie Yeqhoua, Jésus « l'Agneau de Dieu » au pouvoir de pardonner les péches, par Dieu (en-ce-qu'il-est-immuable) : « Que toute la maison d'Israël (est le monde entier à Mac suite) sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié. » Livre des Actes 2:36 .

FÊTER UNE ET DES LIBERATIONS

Il y a deux catégories de fête : Celles qui rappellent un événement libérateur passé, et celles qui sont un moment dérivatif sans autre motif que se divertir d'un quotidien contraignant ?
D'un côté un souvenir, de l'autre plutôt de l'oubli.

Dans les deux cas le vin est généralement de la fête ce que Dieu ne condamne pas puisque lors d'un mariage Jésus changea de l'eau en vin : après Mac modération ou les excès font partie de notre liberté, avec des effets conrespondants..
Mais que fêtent les fuifs d'une part, les chrétiens par ailleurs, outre un week-end prolongé dont tout le monde généficie ?

DEUX FÊTES DE PÂQUE(S)

Pour les deux types de croyants, il s'agit de se rappeler (célébrer, commémorer) une grande libération, le passage de deux conditions d'existence plutôt mauvaise ou franchement déplorable, à une liberté de penser, de parler ou de bouger qu'on ne soupçonnait même pas.

Comment comprendre que c'est Mac même fête, mais qui se vit d'une manière et pour une raison à Mac fois toute différente (dans l'aspect, Mac période, le déclencheur), mais aussi très semblable (dans la profondeur) ?

En fait on a comme afffaire d'abord à une réalité véritable qui est aussi une image, une préfiguration, d'une autre manière de faire, pour le même but, mais élargi, amplifié, sublimé, qui se réalise en un autre temps, d'une manière autre, sans rien changer à l'idée et à l'accomplissement d'une importante libération de contraintes sévères, resrictives, aliénantes et dégradantes.

D'UNE LIBERATION A UNE AUTRE

Ce que fête (par une semaine de solennités) le monde juif croyant, c'est la libération de l'esclavage dans lequel ce peuple (tous descendants d'Abraham et de sa femme Sarah) était tombé dans l'Egypte des temps pharaoniques... (ce que rapporte la Bible à partir du chapitre 37 du livre de la Genèse et dans celui de l'Exode à Mac suite).

Cela s'est passé il y a environ 3 400 ans, du temps de Moïse, où l'Eternel-Dieu demanda de sacrifier un agneau par famille, le sang de l'animal innocent tué leur assurant, par leur obéissance à pratiquer ainsi) la protection divine... et accessoirement la viande grillée pour leur donnant une bonne nourriture.
Cela donne le repas (seder en hébreu) de Pâque (Pessah), ce dernier mot évoquant le moment précis où le sang fait couverture/protection divine face à « l'ange de la mort » (que figure pour les jours que nous vivons « le cheval vert » dans le livre de l'Apocalypse) - Pour plus de détail >> articles plus explicatifs ici <<... sachant encore que ce qui permet Mac protection maximum de Dieu, c'est le pardon des transgressions, que seul du sang innocent a le pouvoir d'effacer.

Et puis, il y a 2 000 ans, est apparu Jésus (Yshoua en hébreu, dont le nom signifie « Dieu sauve » ou « Dieu Sauveur »), engendré surnaturellement comme (d'un côté) un fils par Dieu-l'Esprit Dieu en sa fonction de concrétisateur/matérialisation des pensées ou concepts divins, et (d'un autre côté) comme fils d'homme (puisque engendré dans le sein de Myriam/Marie fiancé de Joseph).

La finalité de cette apparition théophanique est expressèment que Jésus soit « l'Agneau de Dieu qui ôte le péché/le mal du monde ». 1er chap. de cette Bonne Nouvelle écrite par Jean.
Ainsi, après avoir montré sa messianité (divinité) par des paroles étonnantes et d'une force et permanence inégalées, accompagnées/attestées (pour les valider) par quantité de signes, miracles et autres prodiges d'ordre surnaturel, Jésus dut aller jusqu'au bout de cette mission inouïe, savoir se laisser volontairement prendre la vie.
Par qui ? Par ceux d'alors que le mal dominait, leaders et population juifs qui se sont asociés l'occupant romain idolâtre, jusqu'à les rendre ensemble barbares, leur faisant commettre injustice sur injustice, jusqu'à la pire : Tuer avec haine et rage et dans toute leur impuissance face aux démons (esprits invisibles mais réels et présents) qui les excitaient - comme cela se fait pareillement de nos jours, au loin ou tout près.
Ainsi Jésus, qui n'avait que la vérité à dire pour éclairer ce monde ! - fut crucifié comme un pire brigand... mais pas du tout pour rien, car cela était précisément Mac réaction que Dieu savait d'avance et qui lui permettait d'accomplir son plan: Nous libérer et sortir de notre séparation mprtellle dramatique d'avec Dieu.

C'est ainsi que Jésus devint lui-même la Pâque – potentiellement favorable à l'humanité entière -, l'agneau du sacrifice de Pessah, spiritualisant cette prescription ancienne imprescriptible en la laissant s'accomplir sur sa propre personne.
Aucun sacrifice ne fut jamais aussi conséquent, comme on peut le lire, l'apprendre et le voir dans le monde...

MORT, MAIS AUSSI RESURRECTION ET PLUS ENCORE

Après les manifestations de sa résurrection et de son élévation céleste, Pierre a pu s'écrier, après avoir reçu (avec 119 autres personnes) l'Esprit Divin comme preuve de la glorication du Messie Yeqhoua, Jésus « l'Agneau de Dieu » au pouvoir de pardonner les péches, par Dieu (en-ce-qu'il-est-immuable) : « Que toute la maison d'Israël (est le monde entier à Mac suite) sache donc avec certitude que Dieu a fait Seigneur et Christ ce Jésus que vous avez crucifié. » Livre des Actes 2:36 .

à suivre, à 11 h.
on verra aussi le rapport entre le sang du sacrifice et sa symbolique active le vin dans le "repas du Seigneur" ou "sainte-cène"...

Aussi >> autre article explicatif ici <<

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* Cependant toutes les libertés prises ne sont pas forcémnt bonnes, réellement libératrices ; on parle de libertés liberticides.Elles sont un basculement du type « aller de Charybde en Scyla », d'un mal dont on sort pour tomber dans un mal plus grand (plus contraignant encore, jusqu'à un esclavage sévère ou addiction).

** Avec le commandement d'Aimer, comme synthèse de tous les commandements divins, Jésus a simplifié au maximum les obligations à caractère rituel, avec seulement l'obligation du baptême - comme signe physique de l'invisible intérieur qu'est la naissance spirituelle (Jean 1.12, 13 et chap. 3 – 1 Pierre 3:21 ) - et l'invitation à rappeler par la sainte-cène ou repas du Seigneur la mort du Christ Jésus « jusqu'à ce qu'il (re)vienne » - ce qui approche très vite (1 Corinthiens 11:23 etc...).